Cours 3 - Notes de Psychologie PDF

Cours 3 Montre qu'il existe 2 structures mnésiques différentes. Les premiers et les derniers mots sont mieux restitués que ceux au milieu. Les premiers : effet de primauté (MLT) Les derniers : effet de récence (-\> les plus récents, MCT). Mais on n'a pas tout le temps ça Effet de récence apparaît...

Cours 3 Montre qu'il existe 2 structures mnésiques différentes. Les premiers et les derniers mots sont mieux restitués que ceux au milieu. Les premiers : effet de primauté (MLT) Les derniers : effet de récence (-\> les plus récents, MCT). Mais on n'a pas tout le temps ça Effet de récence apparaît parce qu'on demande au sujet de restituer les mots après avoir dit la liste. Forcement les mots sont récents. Effet de primauté : les mots ont étés présentés à une cadence lente. La MLT est sensible à la cadence car ça laisse le temps au sujet de répéter les mots dans sa tête. Quand on présente le premier mot, le sujet sait qu'il doit s'en souvenir donc répétition. Comme la cadence est lente il a le temps de répéter les mots. Effet de recense (MCT) Effet de primauté (MLT) MCT diminué par : - Sensible au décomptage - Similarité phonologique (même si les mots sont écrits, quand on le lit, l'info rentre de manière phonologique. On en présente les mots avec les même son, cette mémoire se dégrade - Longueur des mots, si les mots sont longs, elle se dégrade rapidement, ça prend de la place au nv de ? mnésique - MLT diminué par : - Cadence de présentation des mots. Par qu'avec une cadence rapidement, le sujet n'a pas le temps de les auto-répéter. - Mots sémantique proches (si le sens des mots se rapprochent) (grand, long, haut etc.) - Nombre d'items (plus il y a de mots plus la MLT se dégrade, autorépétition compliqué) - Mémoire de travail (MDT) - La mémoire de travail permet, à la fois un [maintien temporaire d'information], mais aussi la [manipulation de l'information maintenue] - Stockage + traitement-\> double tâche - Empan de MDT= empan MCT -1 (Ex : empan MCT = 7 -\> empan MDT=6) Plus petite que MCT, car prend de la \^la - Exercice d'empan : liste de chiffres à resituer à l'envers. Mémoriser les lettres + donner dans le sens, travail supp donc moins de mots retenus Empan mnésique : quantité d'info que la MCT est capable de retenir. Capacité d'éléments retenus - Elle permet la compréhension du langage, le raisonnement, planification de l'action etc. - Selon Baddeley (1986, 1992), il existerait 3 composantes ; - Boucle phonologique- par entrée auditives. Stockage, activation subvocale. Liste de mots etc. - Administrateur central -\> gestion des ressources, planification, stratégie - Calepin visuo-spatial- par entrée visuelles Tâche peut être verbale ou spatiale Boucle phonologique Architecture fonctionnelle de la boucle phonologique (diapo) Que l'info arrive visuelle ou verbalement, l'info arrive de façon phonologique Le calepin visuo-spatial - Il est responsable du stockage à court terme de l'information visuo-spatiale (pièce de puzzle, visage, etc.) - Il est impliqué dans la généralisation et la manipulation des images mentales (s'orienter dans l'espace à partir d'un plan ou faire des rotations mentales) L'administrateur centrale - L'AC est conçu comme un système attentionnel qui permettait de : - Coordonner les opérations des sous-systèmes spécialisés (boucle phonologique et calepin visuo-spacial) - De gérer le passage des infos entre ces sous-systèmes et la MLT - Procède à la sélection stratégique des actions les plus efficaces - La mémoire à long terme La MLT apparait lorsqu'une information contenue dans la MDT est entreposée via un « processus de répétition » : - Illimitées en quantité & durée (1mn à - Profondeur de l'encodage : profond - La récupération est lente (effort) - Le codage est sémantique - La MLT comprend 3 phases principales : - Encodage : processus par lequel une information est mise en mémoire La profondeur de l'encodage : traitement profond - Expérience de Hyde (1972) : 2. Groupes expérimentaux : - Traitement superficiel (mot qui contient « a » ou « e ») - Traitement profond (évaluer le côté agréable du mot) VI= type de traitement du mot présenté VD= performance du sujet en tâche de rappel (% mots rappelés) - Résultats : - Groupe 1 (traitement superficiel) = 39% - Groupe 2 (traitement profond) = 68% - Si apprentissage intentionnel= 69% - Stockage : implique des processus de consolidation - Grâce à des mécanismes de réactivation (répétition) - Et de réorganisation (réseau sémantique) - Récupération : les opérations de récupération correspondent au principe de spécificité de l'encodage de Tulving et Thomson (1973) Quand on mémorise qqch, on ne mémorise pas que ça, on mémorise aussi la luminosité, l'emplacement des objets, la température, TOUT le contexte - Les informations sont encodées [avec le contexte] dans lequel l'information a été encodée - Les informations contextuelles font partie intégrante de la trace mnésique et constituent des indices de récupération - Ces indices facilitent la recherche et l'accès à l'information cible stockée en mémoire à long terme - Cette information récupérée peut, elle-même, servir à son tour d'indice de récupération d'autres informations. Lien entre encodage & récupération : importance du contexte Expérience de Smith (1979) : Tâche : apprentissage d'une liste de mots dans le même contexte (G1) On divise ce grp en deux : Le lendemain, un groupe revient dans cet environnement, l'autre dans un nouveau - Soit rappel dans même contexte - Soit contexte différent VI : même contexte/ contexte différent VD \*DIAPO Expérience de Godden & Baddeley (1975) - Item avec plongeurs : liste de 40 mots - 2 contextes : sur terre/ 60m sous l'eau 4groupes : - 2= même contexte - 2= contexte différent (entre apprentissage & rappel) Apprentissage/ rappel : Diapo