Heureux ceux qui croient - Document PDF
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Summary
Ce document examine le témoignage de Jésus et l'importance de la foi, en se concentrant sur des exemples tels que le témoignage de Marie et d'Abraham. Il explore les concepts de la rédemption et de la spiritualité. Le texte est probablement un extrait d'un document religieux ou spirituel.
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Heureux ceux qui croient Texte à mémoriser: **« Jésus lui dit: Parce que tu m'as vu, tu as** **cru. Heureux ceux qui n'ont pas vu, et qui ont cru! »** *(Jean 20:28, 29, LSG).* Jésus parlait de Son identité avec confiance et certitude. Souvent, Il faisait allusion à Son identité comme étant l'acco...
Heureux ceux qui croient Texte à mémoriser: **« Jésus lui dit: Parce que tu m'as vu, tu as** **cru. Heureux ceux qui n'ont pas vu, et qui ont cru! »** *(Jean 20:28, 29, LSG).* Jésus parlait de Son identité avec confiance et certitude. Souvent, Il faisait allusion à Son identité comme étant l'accomplissement du Messie promis et demandait aux autres de témoigner de Sa messianité. Pourquoi leur témoignage en faveur de Son identité était-il si important pour Jésus ? Il voulait sauver le plus grand nombre possible de personnes dans Son royaume éternel, et Il savait que croire en Lui était le seul moyen d'être sauvé du péché et de ce monde déchu. Jésus avait également fait appel à beaucoup de Ses témoins oculaires pour qu'ils expriment leurs convictions sincères au sujet de leurs expériences tangibles avec Lui. Le témoignage de Marie sur le sacrifice de Jésus était puissant et significatif. Son coeur était totalement ouvert à Ses yeux, comme le sont tous nos cœurs, car Jésus connait la profondeur de chaque coeur. Ainsi, Il connaissait aussi le coeur de Judas, avide et complice. De même, Jésus avait lu le coeur de Ponce Pilate, un gouverneur romain païen, qui, à certains égards, était plus véridique que beaucoup d'accusateurs de Jésus. Jésus avait aussi reçu le témoignage d'un sceptique qui devait voir et toucher par lui-même l'évidence de la résurrection de son Seigneur. Jésus avait été patient avec Thomas et lui avait montré la preuve évidente de Son corps cicatrisé. Cette semaine, nous étudierons aussi le témoignage le plus puissant de la messianité du Sauveur : Jésus lui-même, qui témoigne de Sa mission messianique par Ses paroles de vie éternelle et par Ses œuvres puissantes. **Retour à Abraham** Jean 8:56 implique qu'Abraham avait reçu une révélation du futur Messie. Cette révélation divine de l'espérance glorieuse était censée servir de confirmation du plan universel de salut de Dieu. En voyant cette magnifique révélation, Abraham « a tressailli » et « s'est réjoui ». En revanche, les dirigeants juifs n'avaient pas besoin d'une vision pour voir le jour de Christ, car ils Le voyaient, Lui et Ses œuvres puissantes, en personne. Au lieu d'être joyeux, comme l'était leur père Abraham, ils étaient plutôt en colère et prêts à Le tuer. De plus, Abraham avait reçu une application pratique de cette vision, qui révélait le plan graphique de la rédemption humaine. Abraham avait servi comme un type de Dieu le Père, et Isaac comme un type de Jésus, le Fils unique de Dieu. Le bois pour le sacrifice fut porté sur le dos d'Isaac à l'autel, tout comme Christ avait porté la croix de bois à l'autel du Calvaire. Isaac et Jésus, sans aucune objection, étaient tous deux disposés à être le sacrifice. Il est difficile de croire qu'un jeune homme aussi costaud qu'Isaac, dans la fleur de l'âge, puisse être si obéissant, même jusqu'à la mort. L'incroyable foi d'Abraham, même dans sa réticence douloureuse à sacrifier son fils unique -- le fils de la promesse -- symbolisait la volonté du Père de laisser Jésus mourir pour l'humanité. La principale différence entre Jésus et Isaac était le substitut qui était prévu pour ce dernier. Mais rien n'avait été prévu pour Jésus. Le sacrifice de Christ devait en effet être le Substitut pour nous tous. En versant Son sang, Jésus avait donné pour notre rédemption Sa vie et Sa justice, que personne d'autre ne possédait. **Le témoignage de Marie** Alors que nous tournons notre attention vers la fête dans la maison de Simon le pharisien, nous devons noter que Jésus était l'invité d'honneur, avec Lazare, qu'Il venait de ressusciter d'entre les morts. Marie, en revanche, n'était pas une invitée d'honneur. Simon et Marie sont des études de cas en contrastes. Jésus avait purifié Simon de la lèpre, mais Simon n'avait pas encore permis à Jésus de le guérir de la lèpre de ses choix pécheurs. En revanche, Marie s'était entièrement abandonnée à Jésus et Lui avait permis de la purifier de la lèpre de son passé pécheur. Simon s'était senti obligé, conformément à la coutume juive, d'honorer Jésus pour l'avoir guéri, et il Avait donc invité Jésus par sens du devoir. Mais Marie était complètement engagée et dévouée à Jésus, répandant le parfum de Son amour dans toute la maison. Lors de la fête, elle avait oint le corps de Christ, l'Agneau de Dieu qui allait bientôt être immolé et qui était le Sacrifice par procuration envoyé pour sauver l'humanité pécheresse. Jésus avait défendu Marie quand elle était devenue le centre de l'attention de tous. Judas avait orchestré une agression verbale contre elle pour avoir oint Jésus, une agression qui fut soutenue par les autres disciples. Mais Jésus Décrit l'acte de dévotion de Marie envers Lui comme une chose merveilleuse parce qu'elle avait fait ce qu'elle pouvait pour Lui. Par conséquent, lorsque nous faisons notre part par amour authentique, Jésus accepte un tel effort comme notre meilleure offrande, car Il connait le fonctionnement interne d'un coeur authentique. Lorsque nous faisons de notre mieux pour Jésus, Il considère que c'est suffisant. Si c'est assez bon pour Jésus, cela devrait l'être aussi pour nous. **Le témoignage involontaire de Pilate (Jn 18:38, Jn 19:4-22)** Il est surprenant et ironique qu'un gouverneur païen prenne, en un sens, le parti de Jésus et proclame Son innocence, alors que Son propre peuple, qu'Il était venu sauver, Le rejetait, réclamant Sa mort. Vivant et gouvernant dans un monde très corrompu, Pilate désirait connaitre la vérité, mais il doutait qu'elle existât. De tels doutes sur l'existence de la vérité sont répandus, Surtout aujourd'hui. La vérité est interprétée à tort comme des mensonges, comme rien d'autre que des stratagèmes de pouvoir, et la lumière est étiquetée comme l'obscurité utilisée pour subjuguer les ignorants. La tromperie est de plus en plus normalisée dans notre société. Et, tout comme Pilate, nous crions pour connaitre la vérité. C'est pourquoi ce que Jésus avait dit à Thomas est si vrai et indispensable pour notre temps : « Je suis le chemin, la vérité, et la vie » (Jn 14:6). En ces derniers jours, nous avons besoin de marcher avec Jésus, qui est le Chemin. Lorsque nous marchons avec Lui, Il nous enseigne la vérité, par la parole et par l'action, qui nous conduit finalement à la vie éternelle. Il est facile de se décourager et même de se désillusionner lorsque nous sommes confrontés aux évènements de notre monde ; c'est pourquoi nous devons embrasser Jésus, qui est toujours la vérité et en qui il n'y a aucune trace de ténèbres que l'on trouve dans cette vie. Il est constant, car Il est le même hier, aujourd'hui Et éternellement. Une dernière pensée à propos de Pilate : il savait dans son coeur que Jésus N'était pas seulement innocent. Il était également convaincu que Jésus était extraordinaire à tous points de vue. Pilate n'avait jamais vu quelqu'un comme Lui. Sa femme avait confirmé cette conviction en lui faisant part de la vérité sur Jésus et en l'avertissant de ne pas le condamner. En fait, Pilate lui-même avait déclaré Jésus innocent, non pas une fois, mais trois fois. Mais, comme beaucoup le font, Pilate succomba à la pression de la foule. Il vacillait dans un moment de faiblesse, violant ainsi sa conscience. Pilate avait essayé de plaire à la fois à Rome et à la foule, mais il n'a fini par plaire ni à l'un ni à l'autre. Dépouillé de tous ses honneurs et exilé en Gaule, en France, la lourde dépression de Pilate l'accabla, et il se suicida. **Le témoignage de Thomas (Jean 20:19-31)** Le cas de Thomas est tout un livre de leçons de foi et de confiance. Tout comme Pilate, Thomas manifestait le doute, malgré les nombreuses preuves. Mais Jésus était prêt à apaiser ses craintes et ses appréhensions. Le Sauveur était doux envers Thomas, l'invitant à toucher Ses cicatrices. Jésus veut aussi que nous « venions et que nous voyions », que nous fassions l'expérience De Lui, personnellement par nous-mêmes. Il est prêt à pourvoir tout ce qu'il faut pour nous aider à croire. Il nous rencontre là où nous sommes : dans notre désespoir, notre découragement ou nos doutes. Jean aborde souvent le sujet du doute dans ses écrits. Lorsqu'il écrivait son Évangile, il était confronté à des membres d'église découragés qui étaient mis au défi par des hérésies gnostiques sur la réalité de Christ. À l'époque de Jean comme à la nôtre, il y avait ceux qui choisissaient de ne pas croire parce qu'ils ne voyaient pas toutes les preuves qu'ils désiraient, qu'elles soient scientifiques ou philosophiques. Beaucoup aujourd'hui se concentrent sur chaque doute soulevé dans l'objection à la messianité de Christ et, ainsi, ignorent les preuves massives de la réalité et de la mission de Christ. Ces sceptiques insistent sur le fait que toute la coupe de preuves soit remplie à ras bord avant qu'ils ne choisissent de croire. Mais dans ce monde déchu, il y a toujours de la place pour le doute. Nous sommes Entourés de preuves : la merveilleuse création de Dieu, la vie elle-même, la providence divine, notre conscience et la mesure de la foi avec laquelle nous sommes nés. Avec ce genre de preuves, croire, c'est vraiment voir. Une telle expérience était exactement ce pour quoi Élisée avait prié lorsqu'il supplia l'Éternel d'aider son serviteur douteux à voir, comme le rapporte 2 Rois 6:17: « Éternel, ouvre ses yeux, pour qu'il voie » *(LSG).* La Bible nous dit ce qui s'était passé en réponse à la prière d'Élisée : « Et l'Éternel ouvrit les yeux du serviteur, qui vit la montagne pleine de chevaux et de chars de feu autour d'Élisée » *(LSG).* Ainsi, nous pouvons conclure que voir réellement, c'est croire à la réalité plus grande au-delà de nos circonstances immédiates. **Le témoignage de Jésus** Jésus est en effet le plus grand témoin de Sa propre divinité et de Sa mission divine. À plusieurs reprises et inlassablement, Il s'était efforcé d'ouvrir les yeux et les cœurs des classes intellectuelles et riches. Le Sauveur désirait vivement que ceux qui doutaient de Lui prennent en considération les preuves évidentes à Son sujet. Il désirait ardemment qu'ils croient et soient sauvés, même si c'était souvent en vain. Combien de fois plusieurs d'entre nous désirent voir et entendre Jésus en personne ! Mais si nous avions vécu pendant le ministère terrestre de Christ et vu toutes les preuves qu'ils avaient présentées, aurions-nous cru ? Nous avons maintenant l'avantage d'avoir beaucoup de prophéties accomplies, que nous pouvons étudier pour en apprendre davantage sur Ses œuvres puissantes et Ses paroles vivifiantes. Il y a une vie inhérente à Ses paroles, car Ses paroles rapportées sont conformes avec Sa Personne. Comme Pierre en a témoigné, Jésus possède les paroles de la vie éternelle ; Jésus lui-même avait témoigné que Ses paroles donnent la vie. Considérons le poids des innombrables témoignages de vies transformées grâce à une rencontre avec Christ. Le pouvoir de Christ de transformer le cœur humain endurci et désespéré est pleinement exposé pour que nous puissions y réfléchir et nous remplir d'émerveillement. Considérez comment Christ, par le Saint-Esprit, Se forme lui-même, l'espérance de la gloire, en nous. Nous avons parfois tendance à croire ce que nous ne devrions pas croire. Les gens ne pensent pas toujours ce qu'ils disent ou ne disent pas toujours ce qu'ils pensent. D'autre part, la Fontaine de la vérité, Jésus, est à l'opposé. Il dit toujours ce qu'Il pense et pense ce qu'Il dit. Nous pouvons faire pleinement confiance à ce qu'Il dit et à ce qu'Il promet. **1. Les pharisiens avaient eu le privilège de voir de leurs propres yeux les oeuvres** **et les paroles de Jésus, mais ils avaient résisté à croire en Celui qui était le don** **inestimable du Dieu du ciel. Thomas avait douté, tout comme certains pharisiens,** **mais il avait fini par croire. Comparez et contrastez les différentes attitudes envers** **Jésus chez Thomas et les pharisiens. Quelle était la différence essentielle?** **2. Christ n'avait pas seulement prié pour Ses propres disciples, comme le rapporte** **Jean 17:9; Il avait également prié pour toutes les générations futures qui croiraient** **au témoignage des disciples, comme on le voit au verset 20. « Ce n'est pas pour** **eux seulement que je prie, mais encore pour ceux qui croiront en moi par leur** **parole »** *(LSG).* **Cette affirmation n'implique-t-elle pas que nous sommes devenus** **croyants en Christ à cause de Ses prières pour nous et pour les autres? Que vous** **dit cette réalité au sujet de Son amour incroyable, de Sa sollicitude et de Sa puissance** **divine?** **3. Pensez aux hésitations et aux loyautés divisées de Pilate. Quelles sont quelquesunes** **des conséquences négatives d'un leadeurship aussi défaillant? Comment le** **fait d'essayer de plaire à tous dans le but de tenir compte de leurs points de vue** **divers provoque-t-il la confusion et la consternation?** **4. Nos vies dégagent un « parfum », ou une influence, sur les personnes qui nous** **entourent lorsque nous interagissons avec elles dans nos différentes sphères.** **Nous ne pouvons pas émettre le doux parfum de Jésus à moins d'être « parfumés** **» par Lui. Lorsque nous considérons notre vie quotidienne, l'atmosphère** **qui nous entoure attire-t-elle les autres vers Christ ou les éloigne-t-elle de Lui?**