Étude de la sphère oro-faciale PDF
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Summary
Ce document présente une étude détaillée de la sphère oro-faciale. Il couvre l'anatomie des muscles et des structures impliquéés dans les fonctions de la bouche, du visage, de la déglutition, et de la parole. L'étude aborde notamment les différents muscles et leur rôle dans les expressions faciales et la parole.
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ESOF Étude de la sphère oro-faciale Introduction : Pour dire un seul phonè me, 80 à 90 muscles s’active Phonème : Unité minimale distinctive du son (Ex: « p » et non « Pa ») è Phonè mes n’est pas une lettre, c’est un « son distinctif » ! Syllabe : Succession d...
ESOF Étude de la sphère oro-faciale Introduction : Pour dire un seul phonè me, 80 à 90 muscles s’active Phonème : Unité minimale distinctive du son (Ex: « p » et non « Pa ») è Phonè mes n’est pas une lettre, c’est un « son distinctif » ! Syllabe : Succession de phonè me (Ex: « Pa » et non « p ») Ex : Dans maison, 4 phonè mes Un nouveau-né est capable de dissé miner tous les sons qu’il existe, dans toutes les langues sur terre. Une fois qu’il nait, il ne sait plus que dissé miner ceux de sa maman. Parler est donc une activité motrice trè s complexe. Troubles articulatoire (dyslalie) qui se dé veloppe si le « beug » se situe sur les mê mes phonè mes. Exemple de trouble articulatoire : stigmatisme interdental (Zozotement) Pour chaque phonè me qu’on va produire notre cerveau va activer une commande motrice. S’il y a une pré sence de dyslalie, un professionnel (logopè de) va devoir apprendre ou ré apprendre au patient la commande motrice, changer l’habitude de la « mauvaise » commande motrice. Dyslalie : Troubles de l'articulation des sons de la parole. Déglutition, c’est le moment ou on avale. (Pas celui ou on mâ che). Juste aprè s la dé glutition, la nourriture ou le liquide passe par l’œsophage et Tini l’estomac. Le larynx monte, pour bloquer les voies respiratoires et ainsi empê cher le bolus d’aller dans les voies respiratoires (la traché e). La glotte est la partie de la gorge où se trouvent les cordes vocales. Elle se situe dans le larynx et joue un rô le important dans la parole et la respiration.(La glotte n’a aucun rô le dans la dé glutition) Quand on "avale de travers", cela signiTie qu'un peu de nourriture ou de liquide est passé par le larynx (et donc la traché e), au lieu de passer par l'œsophage, qui mè ne à l'estomac. 3 grandes étapes pour parler: (Simplifié) 1.Formulation d’idée : Au sein du cerveau, une idé e, un concept de ce qui veut ê tre raconter 2.Programmation : Cerveau reçoit l’idé e. Avec les informations reçues, le cerveau sait les phonè mes que je veux dire et qui va programmer la commande motrice pour chaque mot que je veux dire. 3.Exécution : Programme envoyer, il ne reste plus qu’à exé cuter l’idé e, à parler. Le cours de EDF portera essentiellement sur la programmation et l’exé cution Anatomie de la sphère oro-faciale (SOF): La sphère oro-faciale regroupe toutes les fonctions lié es à la bouche et au visage, Incluant la respiration, la mastication et la dé glutition, la production de la parole, et les expressions faciales. En logopé die, l'os ethmoïde et l'os sphénoïde sont importants car : Os ethmoïde : Contribue aux fonctions respiratoires et olfactives, qui peuvent inTluencer la voix, la parole et la ré sonance nasale. Os sphénoïde : Joue un rô le dans la protection des nerfs crâ niens, qui contrô lent les mouvements des yeux, la mastication et d'autres fonctions essentielles pour la parole. Plan de Frankfort : Croissance du crâne : Le Plan de Francfort est une ligne horizontale imaginé e pour é tudier l’é volution naturelle du crâ ne de l’enfant à l’adulte.→ Diffé rence entre un crane adulte et un crane enfant : La mandibule est beaucoup plus horizontale chez l’enfant. è La gé né tique inTluence le dé veloppement du crâ ne, mais elle ne sufTit pas à elle seule. Des fonctions oro-faciales bien dé veloppé es, et des fonctions physiologiques (respiration, mastication, etc.) sont né cessaires pour un dé veloppement optimal → Sans ces bonnes fonctions, le crâ ne peut se dé velopper de façon inadapté e, causant des dysmorphoses (dé formations) malgré la croissance naturelle. ⚠ Cercle vicieux dysmorpho-fonctionnel : La mandibule doit bien se dé velopper, en partie grâ ce à la gé né tique et aux fonctions oro-faciales (respiration, mastication, etc.). Si ces fonctions sont mauvaises, la mâ choire ne se dé veloppe pas correctement. Une mâ choire mal formé e rend ces fonctions encore plus difTiciles. Cela cré e un cercle vicieux où les problè mes de fonction et de croissance s’aggravent mutuellement. Et donc, si dé veloppement faciale mauvais oro, mauvais dé veloppement de la mandibule. Et ainsi de suite… Problèmes que l’on peut observer chez le patient : Mandibule trop en avant, trop en arriè re, trop à droite ou trop à gauche (souvent trop en arriè re) Absence de diastè me (Eb cart physiologique entre les dents) Placement de la langue Respiration buccale (Respiration buccale → Mauvais !) Problè mes articulatoires : Lorsqu'un patient pré sente des difTiculté s articulatoires, il est important de rechercher la cause, qui peut ê tre organique (lié e aux os) et/ou fonctionnelle (lié e à la façon dont les muscles fonctionnent). En corrigeant la cause fonctionnelle , il est parfois possible d'amé liorer la structure et ré tablir une bonne position de l'organe. Incident sur la mastication : Mastication unilaté ral ou incomplè te o La mastication unilaté rale → mâ che principalement d’un seul cô té de la bouche. o La mastication incomplè te → aliments sont mal broyé s. * Respirer par la bouche ne pré sente des inconvé nients sans bé né Tices, contrairement à la respiration nasale qui n’a que des avantages spé ciTiques ! Les muscles extérieurs de la bouche : Orbiculaire : Sert à effectuer la projection labiale (Cul de poule) Faire le son « ou, o, on, an, un, u, eu, e, b, p, ch, j » -Le muscle orbiculaire est important chez les bé bé s pour la succion → Beaucoup plus contracté a l’allaitement qu’au biberon. -La diffé rence entre les sons "B" et "P" ré side dans l'utilisation des cordes vocales. Le son "B" est sonore, car il implique une vibration des cordes vocales, tandis que le son "P" est sourd, car il n'y a pas de vibration. Buccinateur : Muscle qui va permettre de mouvoir les joue (muscle profond des joue) Si des aliments tombe entre les joues et les dents, le buccinateur sert à ramener les aliments sur le dos de la langue. Participe à former le bolus, et joue un rô le majeur dans la mastication. Bolus = aliments mastiqué s et mé langer à la salive Zygomatique : Muscle du sourire, n’a pas vraiment d’incidence sur les fonctions, juste sur les mimiques Risorius: Muscle du rire, pour rigoler Élévateur de l’angle de la bouche : Soulè ve les coins de la bouche (expression joyeuse) Abaisseur de l’angle de la bouche Abaisse les coins de la bouche (expression triste) Élévateur de la lèvre supérieure : Soulè ve la lè vre supé rieure (expression de surprise ou mé pris). Abaisseur de la lèvre inférieure : Abaisse la lè vre infé rieure (expression de tristesse ou mé contentement). Mentonnier : Muscle du menton qui aident à relever la peau et à pousser la lè vre infé rieure vers l'avant, souvent pour exprimer des é motions comme le doute. Platysma : Muscle plat du cou qui aide à bouger la peau du cou et à exprimer des é motions comme la peur. Les muscles intérieurs de la bouche : Arc palato-glosse : é galement appelé pilier anté rieur du voile, Son rô le est d’abaisser le voile du palais et d’élever la base de la langue. Sa fonction est principalement lié e à la prononciation des phonè mes et il n'intervient pas dans le processus de déglutition. Arc palato-glosse : Palato pour "palais" et glosse pour "langue"). Le voile du palais : palais mou : C’est la partie molle du palais, intervient dans la production des sons « nasaux » ("on" et "an"), qui sortent par double voie : à la fois nasale et orale. Pour la production de ces sons → le voile du palais s’abaisse, permettant à l’air de circuler partiellement par le nez. Lors de la déglutition → le voile du palais se relève aTin d'empê cher les aliments ou les liquides de remonter vers la cavité nasale. Arc palato-pharyngien : pilier posté rieur du voile, est un muscle reliant le voile du palais et le pharynx. Il permet d’abaisser le voile du palais tout en resserrant et en é levant le pharynx. Joue un rô le essentiel dans la déglutition → Aide à abaisser le voile du palais et à é lever le pharynx, ce qui facilite le passage des aliments vers l'œsophage et empê che les aliments de remonter dans la cavité nasale. Rô le dans la résonance de certains sons. Base de langue : Rô le principal dans la déglutition → Lorsqu’on avale, elle se dé place automatiquement (on ne peut pas la bouger intentionnellement pour pousser les aliments vers l’arriè re de la gorge et les diriger vers l'œsophage. Joue é galement un rô le dans la phonation → Elle participe à la production de certains sons. → Pé ristaltisme : La base de la langue contribue à la dé glutition du bol alimentaire Le pé ristaltisme aide à orienter le bol alimentaire vers l'œsophage, é vitant qu'il n'entre dans la traché e. → Premiè re protection des voies respiratoires (Avant mê me que le larynx et l'é piglotte n'entrent en jeu pour bloquer l'accè s à la traché e) Mouvement qu’on peut retrouver dans tout le corps La luette : uvula : aide à assurer une dé glutition correcte, participe à la phonation et joue un rô le dans la protection de la gorge. La luette se dé place lors de la déglutition pour fermer l'accè s à la cavité nasale, empê chant ainsi les aliments et les liquides de remonter par le nez. Production de certains sons, notamment les voyelles et certaines consonnes qui né cessitent une modulation de la ré sonance. Sa position affecte la qualité de la voix en facilitant la cré ation d'un espace ré sonnant dans la cavité buccale. Rô le de protection (immunitaire), elle peut aider à pré venir l'entré e de particules indé sirables, comme des aliments ou des agents pathogè nes, dans la gorge et les voies respiratoires. Glotte : La glotte se situe dans le larynx, c’est l’espace entre les cordes vocales. → La glotte est essentielle pour la production de la voix. Principale base de la phonation. Sans glotte, il serait impossible de produire des sons vocaux, car il n'y aurait pas d'espace pour que l'air passe et fasse vibrer les cordes vocales ⚠ La glotte contribue é galement à protéger les voies respiratoires. Lors de la déglutition, elle se ferme pour empê cher les aliments et les liquides d'entrer dans la traché e. Frein de la lèvre inferieur : Si trop court ça peut embê ter les muscles orbiculaires car champs d’action trop petit pour eux du coup. Différents types d’amygdales : Amygdales tubaires : Petits organes lymphatiques situé s prè s des trompes d'Eustache, dans la gorge. Leur rô le principal est de protéger contre les infections respiratoires en capturant les microbes. Et aider à prévenir les infections de l'oreille. Amygdales pharyngées = végétation adénoïdes : Situé es au bout des fosses nasales, dé bouchant sur le rhinopharynx. Leur rô les principales est de proté ger contre les germes et luttent contre les infections. Hypertrophie des végétations adénoïdes : Lorsque les vé gé tations adé noı̈des deviennent trop volumineuses, elles : o Ré duisent fortement le passage de l'air par le nez. o Forcent à respirer par la bouche. Traitement : Dans certains cas, elles sont retiré es pour amé liorer la respiration nasale, en particulier chez les enfants. Chaque individu possède : 2 amygdales tubaires 2 amygdales palatines 1 amygdale linguale 1 amygdale pharyngé e (ou vé gé tation adé noı̈de). Les amygdales éléments clés du système immunitaire : Les amygdales sont des é lé ments clé s du systè me immunitaire car elles agissent comme une premiè re ligne de dé fense contre les infections. Elles interceptent et capturent les microbes (bacté ries, virus) qui pé nè trent dans le corps par la bouche ou le nez. → Rô le crucial dans la protection des voies respiratoires et de l'organisme contre les infections. Fact : es troubles, maladies ou affections lié s aux amygdales, ainsi qu'aux autres structures des oreilles, du nez et de la gorge, sont pris en charge par les mé decins spé cialisé s en oto-rhino-laryngologie (ORL). Schéma SUPER IMPORTANT : Trompe d’Eustache : Petit canal reliant l'oreille moyenne au nez et à la gorge. Fonctions : o Eb quilibre la pression de l'air dans l'oreille moyenne. o Draine les sé cré tions pour pré venir les infections. Isthme du gosier : Espace situé dans la partie posté rieure de l’oropharynx. Passage entre la cavité buccale et le pharynx. Rôle : o Déglutition : Faciliter la digestion en guidant les aliments vers le pharynx. o Phonation : Participer à la production de sons clairs et modulés, et à la résonance de la voix, influencer par le flux d’air pendant la production des sons. o Respiration : Coordonner les fonctions de respiration, de déglutition et de phonation. Os hyoïde : Petit os isolé en forme de fer à cheval, attaché à la base de la langue. Fonctions : o Joue un rô le crucial dans la dé glutition, la phonation et le soutien de la langue. o L’os hyoı̈de, sert de point d’ancrage pour plusieurs muscles, facilitant les mouvements de la langue et du larynx. Épiglotte : Cartilage situé au-dessus du larynx. Fonctions : o Le larynx lui-mê me joue un rô le de protection pour empê cher la nourriture ou les liquides de pé né trer dans les voies respiratoires o L’é piglotte est un cartilage qui se referme sur le larynx lors de la dé glutition pour empê cher la nourriture ou les liquides de passer dans la traché e. → Protection supplé mentaire au larynx o L’é piglotte est essentielle pour é valuer et traiter les troubles de la dé glutition. Occlusion glottique : mes cordes vocales se ferme pour bloquer le passage. Se ferme quand on avale, le « j » vibre donc les cordes vocales se ferme pour faire vibrer. Elles ne sont pas entré es en vibration. Occlusion glottique : Fermeture des cordes vocales pour bloquer le passage de l'air. Les cordes vocales se rapprochent l'une de l'autre, bloquant ainsi le passage de l'air. Cela se produit lors de la dé glutition, de la toux ou de la production de certains sons. Fonctions : o Se produit lors de la dé glutition pour empê cher l'entré e d'air ou de nourriture dans les voies respiratoires. o Les cordes vocales se ferment é galement pour produire des sons, mais elles ne vibrent pas forcé ment dans ce cas. o Exemples : § Lors de la production du son « j », les cordes vocales se ferment pour provoquer une vibration. (Exemple la Tille de tik tok des calendriers de l’avant : Problè me avec Le « s » et le « z ») =>Sigmatisme interdental, car la langue passe entre les dents. Mais phonologiquement ça ne touchera pas le « t d et n » Troubles spéci\iques Sigmatisme interdental : Trouble articulatoire où la langue passe entre les dents. o Impact phonologique : § Affecte les sons comme « s » et « z ». § N’affecte gé né ralement pas les sons « t », « d » et « n ». o Exemple : Une personne ayant des difTiculté s avec le « s » et le « z », comme vu sur certains contenus de TikTok (ex. : les calendriers de l’avent). La cavité nasale : La cavité nasale est un espace vide composé de deux couloirs (les deux narines), sé paré s par le septum. Ces couloirs dé bouchent sur le rhino-pharynx (partie supé rieure du pharynx) via les choanes, situé es à l'arriè re des narines. 3 structures osseuses : Cornets : Aident à Tiltrer, ré chauffer et humidiTier l'air inspiré. Les méat : permettant la circulation de l'air et l'é coulement des sé cré tions. Les sinus paranasaux : comprenant les sinus frontaux, ethmoı̈daux, maxillaires et sphé noı̈daux (les sinus sont des espaces creux). → Participent à la ré sonance vocale. La cavité nasale est traversé e par les nerfs olfactifs, essentiels pour reconnaı̂tre les odeurs. Ces nerfs transmettent l’information via le bulbe olfactif jusqu’au cerveau. Tronc vertébral : Le tronc cé ré brale, c’est une des trois partie du cerveau. C’est la ou siè ge toutes les informations. La connexion entre la cavité nasale et le tronc cé ré bral se fait par l’intermé diaire des nerfs olfactifs qui transportent les informations lié es à l’odorat. Le tronc cérébrale reçoit des informations volontaire et involontaire : Volontaires, comme la reconnaissance consciente des odeurs, et involontaires, comme les ré actions automatiques à certaines odeurs. (Encé phale = Cerveau) Le palais : Palais dur :Sé pare les fosses nasales de la cavité buccale. Maxillaire : mâ choire supé rieure Mandibule : mâ choire inferieure Fente labiale : o Visible gé né ralement avant la naissance, mais peut parfois passer inaperçue. Fente palatine : o Souvent dé tecté e durant la grossesse. o Plus complexe à traiter, possibilité d'IVG si dé couverte. o Si non dé tecté e, l’enfant subira plusieurs opé rations jusqu’à ses 18 ans. o Peut aussi y avoir une combinaison des deux fentes (labiale et palatine). o Possibilité mix des deux Voile du palais : Joue un rô le essentiel dans : Phonation Dé glutition Articulation Respiration Phonation vs. Articulation : Articulation : Articuler les phonè mes. Phonation : Travail des cordes vocales, qualité vocale. → Le voile du palais permet de produire des sons nasaux ou vocaux. Muscles du voile du palais : Muscles abaisseurs : Palatoglosse (il abaisse le voile du palais tout en élevant la langue vers le palais. Mouvement particuliè rement important dans la dé glutition.) Muscles élévateurs : Péristaphylin interne : Constricteur de la trompe d’Eustache (resserre) Péristaphylin externe : Dilatateur de la trompe d’Eustache (ouvre) → Le voile du palais partage des muscles avec la trompe d'Eustache. Ces muscles sont : Le muscle tenseur du voile du palais et le muscle élévateur du voile du palais → Jouent un rô le dans la dé glutition, la phonation et l'é quilibre des pressions dans l'oreille moyenne. Ses muscles s’activent principalement lors de la dé glutition, du bâ illement ou de changements de position de la tê te, pour é galiser la pression entre l'oreille moyenne et l'exté rieur. 1. Ouverture : La trompe s'ouvre pour é quilibrer la pression en dé glutissant ou en bâ illant. 2. Dilatation : Elle se dilate temporairement pour faciliter l'entré e de l'air. 3. Fermeture : Une fois la pression é quilibré e, elle se ferme pour maintenir cette pression. Muscle uvulaire : RigidiTie la luette. Eb paissit le voile, notamment lors de la dé glutition. Le muscle uvulaire contribue à la stabilité de la luette et renforce le voile du palais pendant la dé glutition pour assurer que la nourriture passe correctement dans l'œsophage sans interfé rer avec les voies nasales. Le péristaphylin externe : C’est un muscle qui agit sur le voile du palais. Il a deux fonctions principales : Tendre le voile du palais : Lorsqu'il se contracte, il tend et é tire le voile du palais, ce qui joue un rô le dans la phonation et la dé glutition. Dilatation de la trompe d'Eustache :Le pé ristaphylin externe, ré gule l'ouverture et la fermeture de la trompe d'Eustache de maintenir la pression dans l'oreille moyenne. o La trompe d'Eustache est un tube qui relie le pharynx à l'oreille moyenne. Le voile du palais à un rôle de protection durant la déglutition : Le voile du palais : Lors de la dé glutition, il se soulève pour fermer l'accè s aux fosses nasales (en remontant contre la paroi arriè re du pharynx). Cela empê che la nourriture et les liquides de remonter dans le nez (dans le nasopharynx). En d'autres termes, il bloque l'accè s des aliments aux cavité s nasales. L'épiglotte : L'é piglotte est un petit cartilage situé au niveau du larynx. Elle agit comme un couverture qui se ferme pendant la dé glutition. Lorsque nous avalons, l'é piglotte se baisse pour couvrir l'ouverture du larynx, empê chant ainsi la nourriture ou les liquides de descendre dans la trachée et les poumons. Résumé : Voile du palais = empê che la nourriture de remonter dans les fosses nasales. Épiglotte = empê che la nourriture de descendre dans les voies respiratoires (larynx et traché e). Pé ristaphylin externe : Vient tendre le voile, est un dilatateur de la trompe d’eustache. ¨Permet de resserrer la trompe d’eustache. La langue : → La langue est composée de 17 muscles. Corps : Partie mobile de la langue. Racine (ou base de la langue) : Partie Tixe de la langue, qui ne bouge pas de maniè re volontaire situé e à l'arriè re, et qui peut interagir avec d'autres structures. è Rappel : Le muscle palato-glosse ainsi que l’os hyoı̈de permettent d’é lever la base de la langue. Dos : La face dorsale de la langue, elle est recouverte d'une muqueuse qui permet de percevoir les saveurs : amer, acide, sucré et salé → papilles gustatives. Plat : La face ventrale (cô té infé rieur, la face caché de la langue) Apex (ou pointe) : L'extré mité de la langue, le bout de la langue. La langue est divisé en 2 catégorie de muscles : Intrinsèque VS extrinsèque : Intrinsèque : Ce sont des muscles situé s uniquement à l'inté rieur de la langue, sans connexion osseuse avec d'autres structures. Extrinsèque : Ce sont des muscles qui ont des points d'insertion sur des os exté rieurs et qui se connectent à la langue. Intrinsèques : → Permettent des ajustements Fins et des mouvements variés de la langue, essentiels pour la déglutition, la phonation et l'articulation des sons. Longitudinal supé rieur : Permet d’é lever et de ré tracter la langue, permet de tirer la langue vers l’arriè re Longitudinal infé rieur : Va permettre d’abaisser la langue et ré tracter la langue. Vertical : Aplati et allongé la langue Transverse de la langue : Ré tré cie dans le sens de sa largeur et l’allonge dans sa longueur Extrinsèques : → Collaborent pour contrôler les mouvements de la langue, essentiels pour la déglutition et la phonation Gé nio-glosse : Permet de tirer la langue vers l’avant et vers le bas = protraction de la langue. Hyoglosse : Tire la langue vers l’arriè re et vers le bas Palatoglosse : Sert à faire é lever la base de langue et à abaisser le voile du palais. Styloglosse : Tire la langue vers l’arriè re et vers le haut. Sert a amener le bonus vers l’oropharynx Muscle palatoglosse : Ce muscle se trouve entre le voile du palais et la langue. Lorsqu'il se contracte, il abaisse le voile du palais tout en é levant la langue vers le palais. Ce mouvement est particuliè rement important dans certaines phases de la dé glutition. Proprioception : La langue ne possè de pas de faisceaux neuro-musculaires pour la proprioception, qui permet de ressentir la position et l'orientation de ses membres. Ainsi, si la langue est placé e au centre de la bouche sans toucher d'autres surfaces, il est impossible de savoir où elle se trouve, car il n'y a pas de retour sensoriel. è Proprioception = Le fait de toujours ê tre au courant de la position, de l’orientation de mes membres. Arrêt de la tétine/ du pouce : Les principales pré occupations lié es à la phonation et à la dentition : 1. Phonation : Peut affecter le dé veloppement de la parole et l'articulation. 2. Dentition : Risque de malocclusions et problè mes orthodontiques. 3. Développement bucco-facial : Impact sur la croissance des mâ choires et la forme du palais. 4. Interactions sociales : Risque de perception né gative par les pairs en grandissant. → Il est donc gé né ralement admis qu'à partir de 3 ans, on devrait intervenir pour aider un enfant qui utilise encore une té tine ou qui suce son pouce. L'idé al serait de commencer à sevrer l'enfant de la té tine dè s l'â ge de 2 ans. Interaction de la langue : La langue joue un rô le essentiel dans la circulation des informations, qu'elles soient motrices, sensitives ou vé gé tatives. Elle transmet ces informations de l'organe vers le cerveau. Innervation de la langue : Innervation motrice → Part du cerveau et va vers l’organe Nerf XII hypoglosse : Ce nerf contrô le les mouvements de la langue, tels que manger, avaler, bouger et tirer la langue. Eb tant donné qu'il y a deux nerfs, si l'un d'eux est endommagé , l'autre peut parfois compenser, à condition que la lé sion soit situé e en dehors du tronc cé ré bral. Innervation gustative (sensitivité) → Part de l’organe et va vers le cerveau Nerf facial (VII) : Il innerve les deux tiers anté rieurs de la langue et est responsable du goû t, de la sensation tactile, ainsi que des mouvements des muscles du visage pour les mimiques. Nerf glosso-pharyngien (IX) : Il s'occupe du tiers posté rieur de la langue et a une fonction motrice au niveau des muscles du pharynx. Innervation tactile → Part de l’organe jusqu’au cerveau Nerf trijumeau (V) : Il est responsable de la sensation tactile pour les deux tiers anté rieurs de la langue, jouant un rô le dans la mastication en informant sur ce que touche la langue. 12 paires de nerfs crânien : Nerfs → information qui passe. Approche Description Catégorie Postulats Nerf olfactif I Sensitif Perception des odeurs Nerf Optique Sensitif Prolongement des cellules de II la ré tine. Assure la vision. Nerf moteur oculaire Assure les mouvements des III commun Moteur muscles de l’œil Assure les mouvements des IV Nerf pathé tique Moteur muscles de l’œil Nerf sensitif de la face et le Mixte V Nerf trijumeau (M/S) nerf moteur des muscles masticateurs. Nerf moteur oculaire Assure les mouvements des VI externe Moteur muscles de l’œil Nerf sensitif et moteur des VII Nerf facial S/M muscles de la face Nerf vestibulo-cochlé aire Responsable de l’audition et de VIII (acoustique) Sensitif l’é quilibre Nerf sensitif et moteur du IX Nerf glosso-pharyngien S/M pharynx et nerf sensitif de la langue Nerf connecté au cœur et aux X Nerf vague S/M appareils respiratoire et digestif Nerf moteur responsable des XI Nerf spinal Moteur mouvements des muscles du cou. XII Nerf grand hypoglosse Moteur Nerf moteur de la langue L’oreille : Oreille Externe : L’oreille externe est une structure cartilagineuse qui comprend un conduit auditif externe (CAE). Rôle : Le rô le de se conduit est le nettoyage et le protection du conduit auditif grâ ce au cé rumen. Oreille Moyenne : Le rô le de l’oreille moyenne est de transmettre et ampliTier des sons vers l'oreille interne. L’oreille moyenne est composé : Chaîne ossiculaire : Elle contient les 3 osselets , les trois plus petits os du corps : Étrier, marteau, enclume Ré\lexe stapédien : Cette chaine ossiculaire se met dans une position pour empê cher la transmission des sons trop intense. Elle assure une protection contre les bruits trop forts en positionnant les os pour limiter la transmission de sons intenses. Tympan : Organe tympanique qui capte les vibrations sonores. Trompe d'Eustache : Relie l'oreille moyenne au rhinopharynx et permet de maintenir la pression de l'air. Acouphènes Cause : Cils auditifs abı̂mé s et non ré gé né ré s, ce qui cré e la sensation d'entendre des sons inexistants. (Souvent un son sourd et continue) Oreille interne : Elle transforme les ondes sonores en impulsions électriques que le cerveau peut recevoir, capter et interpré ter. La cochlée analyse la fré quence des sons, permettant de diffé rencier les sons aigus des sons graves. (escargot sur le sché ma). o Les acouphè nes sont souvent causé s par des lé sions des cellules ciliées de la cochlé e, qui perturbent la transmission des informations auditives au cerveau, gé né rant la sensation d'entendre un bruit inexistant. Le cervelet est impliqué dans le contrô le de l’é quilibre. L'oreille interne joue aussi un rô le dans l'é quilibre grâ ce au système vestibulaire, qui collabore avec le cervelet. o Lorsque l’on boit de l’alcool, le cervelet est touché , c’est pourquoi, en ayant beaucoup bu, on peut avoir l'impression de tanguer La trompe d’eustache : Conduit osseux et Tibro-cartilagineux (semi-rigide). La trompe d’Eustache relie les amygdales tubaires à l’oreille moyenne, puis au rhinopharynx et assure plusieurs fonctions clé s : 4 grandes fonctions : Barrière mécanique : Empê che l'entré e d'agents pathogè nes dans l'oreille moyenne. Prévention de l'autophonie : Empê che la ré sonance de notre propre voix en limitant la conduction osseuse. o La trompe d’eustache joue un rô le pour empê cher l’autophonie. La trompe d’eustache permet d’entendre notre voix par conduction aé rienne. Évacuation des agents pathogènes : Eb vacue les sé cré tions normales ou pathologiques vers le rhinopharynx. Équilibrage de la pression : Maintient une pression atmosphé rique é gale des deux cô té s du tympan (mouvement de Valsalva = mouvement de la trompe d’eustache) Fonctionnement : La trompe d'Eustache se ferme normalement, mais s'ouvre toutes les 5 à 10 minutes pour ré équilibrer la pression. Elle s'ouvre lorsque nous baillons, mangeons ou ouvrons grand la bouche. Les muscles permettant cette ouverture sont les Muscles péristaphylins interne et externe : Ces muscles permettent l'ouverture (pé ristaphylin externe) et la fermeture (pé ristaphylin interne) de la trompe d'Eustache. Incidence sur les fonctions oro-faciales : La trompe d'Eustache affecte les fonctions oro-faciales comme : La déglutition : La trompe d’eustache s'ouvre lorsque l’on avale pour é quilibrer la pression dans l'oreille moyenne. La fonction tubaire : La trompe d'Eustache à un rô le dans l'é quilibre de la pression entre l'oreille moyenne et l'exté rieur. Elle ré gule cette pression en s'ouvrant et se fermant, ce qui est crucial pour pré venir la douleur, l'inconfort et les infections de l'oreille, notamment pendant des actions comme la dé glutition, le bâ illement ou la toux. Troubles vestibulaires : Ces troubles proviennent du systè me vestibulaire, qui contrô le l'é quilibre et la coordination. Ils peuvent ê tre causé s par des infections, des traumatismes ou des maladies. Vertiges : Sensation de rotation, soit de soi-mê me, soit de l'environnement. Dif\icultés d'équilibre : Augmentation du risque de chutes. Nausées : Sensation de malaise souvent associé e, lié es aux vertiges. → Le traitement varie selon la cause, la ré éducation vestibulaire et les mé dicaments sont souvent utilisé s pour traiter ces troubles. La Mandibule : L'os infé rieur de la mâ choire, qui fait partie de la bouche et peut bouger. Contrairement au maxillaire, la mandibule est mobile et permet les mouvements de la mâ choire infé rieure. → Mâchoire = Mandibule + maxillaire Structure : Tête de la mandibule : Situé e sous les oreilles, elle s'articule avec l'articulation temporo-mandibulaire (ATM), permettant une rotation lors de l'ouverture de la bouche et de la dé glutition. Branche de la mandibule : Partie verticale de l'os. Corps mandibulaire : Partie horizontale qui soutient les dents infé rieures. Les dents infé rieures sont insé ré es sur la mandibule. Les dents : Nombre et répartition des dents Nombre total : 32 dents. Répartition : divisé es en 4 quadrants, avec 8 dents par quadrant : 2 incisives, 1 canine, 2 pré molaires, 3 molaires. Rôle des dents : Articulation : Les dents jouent un rô le important dans l'articulation des sons. Particularités et anomalies → Agénésie : Absence d'une ou plusieurs dents. Les causes peuvent être : o Congé nitale (gé né tique). o Acquise (accident ou autre problè me). Fact : L'absence des dents de sagesse est considé ré e comme une agé né sie si elles ne sortent jamais. Conséquences possibles : o Troubles articulatoires (dyslalie). o Dé formation ou malocclusion dentaire. Diastème : Eb cart entre les dents. - On regarde le sché ma de droite à gauche et gauche à droite, on doit le regarder comme si c’é tait nos dents - Un numé ro de dent ne peut pas Tinir par 0 ou par 9. Insertion Dans la mandibule : Les dents du bas sont insé ré es dans l'os mandibulaire. Dans l’os maxillaire : Les dents du haut sont insé ré es dans l’os maxillaire. Composition des dents 1. Émail : o Partie la plus dure de la dent. 2. Dentine : o Partie un peu moins dure. 3. Os (partie tigré e) : o Structure sous-jacente des dents. Types et fonctions des dents 1. Incisives : o Fonction : Trancher. o Nombre : 8 (2 par quadrant). 2. Canines : o Fonction : Dé chirer. o Nombre : 4 (1 par quadrant). 3. Pré molaires : o Fonction : Broyer. o Nombre : 8 (2 par quadrant). 4. Molaires : o Fonction : Mâ cher et é craser. o Nombre : 12 (3 par quadrant). Numérotation des dents Chaque dent est identiTié e par un numéro à 2 chiffres : 1. 1er chiffre : Indique le quadrant de la dent. 2. 2ème chiffre : Indique la position de la dent dans le quadrant (en partant du centre vers l’exté rieur). Quadrants : 1. 1er quadrant : Maxillaire droit (en haut à droite). 2. 2ème quadrant : Maxillaire gauche (en haut à gauche). 3. 3ème quadrant : Mandibule gauche (en bas à gauche). 4. 4ème quadrant : Mandibule droit (en bas à droite). → A l’examen, il sufTira de donner le numé ro de la dent. Ex : Comment s’appelle la canine qui est situé au niveau du Maxillaire gauche, 3è me dent → 23 Q1 : En haut à droite. Q2 : En haut à gauche. Q3 : En bas à gauche. Q4 : En bas à droite. Dents déciduales : Dents chez l’enfant = dents de laits. 5 dents par cadran et 20 dents au total. Cela ne sufTit pas de compter, car certaines personnes peuvent avoir une dent en plus, une dent en mois, ou bien des dents mé langé es, … La raison la plus probable pour des dents manquantes, c’est les dents de sagesse. Dentition mixte = Un peu de dents adultes et un peu de dents dé ciduales. Tant qu’il y a une dent de lait, on prend les cadrans dé ciduaux. Mê me s’il n’en reste que 1, on reste dans les cadrans 5,6,7,8. Entre 2,5 ans et 6 ans car entre ces deux â ges ont à toutes nos dents de lait. Les différentes dents ⚠ Pas de pré molaire chez l’enfant Dent I : incisive centrale Dent II : incisive laté rale Dent III : Canine Dent IV : Premiè re molaire de lait Dent V : Deuxiè me molaire de lait → Toutes les dents de lait sont normalement sorties à 2,5ans et l’enfant commence à les perdre aux alentours de 6 ans. Les différentes faces des dents Faces au sein de la bouche. Sur une dent on a 5 faces. ⁃ Face occlusale : Va servir à broyer, diriger vers l’arcade opposé. Existe quasiment que sur les molaire et pré molaire. ⁃ Face Vestibulaire : Tourné vers le vestibule, Soit vers les lè vres soit vers les joues. La face que on voit, qui est à l’avant de la dent ; ⁃ Face linguale ou palatine : Opposé à la face vestibulaire, Linguale, elle se trouve vers le palais (dents infé rieur). Palatine, se tourne vers le palais (Dents supé rieure) ⁃ Face distale : Face la plus é loigné de la ligne mé diane, la face arriè re. N’existe pas pour incisive et canines. ⁃ Face mésiale : Celle vers l’avant (si mon corps é tait une dent, ce serait le ventre) Uniquement pour molaire et pré molaire. Occlusion des incisives L’occlusion des incisives dé signe la maniè re dont les dents incisives (les dents de devant, en haut et en bas) s’alignent et entrent en contact lorsqu’on ferme la bouche Sens Vertical : Sens transversal : (Horizontal) Sens Sagittal : (De l’avant vers l’arriè re) Physiologie : Positionnement idéal : L’arcade maxillaire est naturellement lé gè rement en avant de l’arcade mandibulaire. Recouvrement vertical : Overbite : Les dents incisives supé rieures descendent devant les dents incisives infé rieures. ⁃ Cela ne concerne que les incisives et canines (pas les pré molaires ou molaires). Recouvrement horizontal : Overjet (=surplomb) : Les dents incisives supé rieures dé passent lé gè rement les dents incisives infé rieures lorsqu'on les observe de proTil. Il est né cessaire d’avoir une vue de face pour vé riTier le recouvrement vertical l’Overbite. Il est né cessaire d’avoir une vue de proTil pour vé riTier l’Overjet. Occlusion des prémolaires et molaires Position des arcades dentaires : Les dents supé rieures doivent ê tre lé gè rement plus larges que les dents infé rieures, tout comme l’arcade maxillaire est plus large que l’arcade mandibulaire. Cela fonctionne comme un systè me de couvercle et de boı̂te : le couvercle (arcade supé rieure) doit ê tre lé gè rement plus grand pour couvrir la boı̂te (arcade infé rieure). Les molaires et pré molaires supé rieures sont nettement plus larges que celles du bas pour permettre un bon emboı̂tement. Les incisives et canines pré sentent une diffé rence plus petite, mais elle est toujours pré sente. Cuspides et sillons : Les molaires et pré molaires possè dent des cuspides (rebords ou sommets) et des sillons (creux). Les cuspides sincè re dans les sillons et inversement. Cuspides : Les incisives n’ont pas de cuspide, les canines n’ont qu’un seul cuspide. Alors que les molaires et les pré molaires ont plusieurs cuspide. Sillons : Le sillon peut-ê tre un creux dans la dent chez les molaires et les pré molaires, mais il est é galement un espace entre les dents. Exemple avec la première molaire dé\initive maxillaire (dent de 6) : La premiè re molaire maxillaire (dent 16) doit s’insé rer dans le sillon de la premiè re molaire mandibulaire (dent 46). De mê me, la molaire supé rieure gauche (dent 26) doit s’insé rer dans le sillon de la molaire infé rieure gauche (dent 36). Chez l’adulte : La première molaire (dent de 6) apparaı̂t vers l’â ge de 6 ans. → Elle joue un rô le clé dans l’alignement et l’occlusion des autres dents. ATM = Articulation temporo mandibulaire (Os temporal) o Relier l’os temporal à la mandibule, sert dans l’articulation, la mastication o Fait partie des articulations les plus solliciter par le corps humain 3composans : o Tê te de la mandibule o Disque articulaire o Casque articulaire Rotation de la mandibule : Diduction (mouvement transversaux) Translation = protrusion, qui va permettre d’avancer la mandibule vers l’avant Mouvement ouverture/fermeture Muscles masticateurs : Masseter : Beaucoup plus bas, va permettre de tirer la mandibule vers l’avant et vers le bas (ouvrir la bouche, ouvrir la mandibule) Temporal : Tirer la mandibule vers le haut pour fermer la mâ choire, on parle d’é lé vation et de ré traction de la mandibule (é lever = fermer) Pté rygoı̈dien laté ral et mé dial : Le mé diant fermeture de la bouche, sert au broyage et le laté ral il permet de faire avancer la mandibule vers l’avant. (Laté ral et mé dial = broyage) Muscles qui ouvrent la mandibule : Muscles gé nio-hyoı̈dien : Ouverture de la mâ choire et ré tracter Muscle digastrique : ouvre la mâ choire Muscle mylo-hyoı̈dien : Ouvre la mâ choire et ré tracte Le larynx : C’est celui qui est sur l’avant ( à l’arriè re, c’et le pharynx), il se trouve au-dessus de la traché e, l’air va passer dans le larynx, on s’en sert pour la respiration, c’est là ou se passe le mé lange de route bolus passe par l’œsophage et air passe par le pharynx, il va se fermer pour empê cher que la nourriture ne rentre pas dans son conduit. Il a tout à voir avec la voix ou la phonation. (Est-ce que les cordes vocales sont « dans » le larynx ??). Il est composé de cartilages (ex : os hyoı̈de, tyroı̈de, aryté noı̈de) On a besoin de trois grandes choses pour parler, pour avoir de la voix : 1. SoufTle, air pulmonaire qui viens des poumons 2. Mise en vibration , muqueuse des cordes vocales qui vibre 3. Ré sonateur : Pharynx, cavité buccale et la cavité nasale, servent de ré sonateurs, vont donner la couleur, le timbre de notre voix, c’est ce qui fait notre identité vocale (Ex : Passer un coup de té lé phone, sans dire notre pré nom on est sensé nous reconnaitre, en connaissant la personne en face). Il servent aussi à la Phonation = Mise en route des corde vocal (Aaaaaaaa) Il est constitué́ de : Cartilages : Cricoïde : Situé supé rieur au tube traché ale (tube de la traché e) : cartilage cricoı̈de placer sur les premiers anneaux traché ale ? Tyroïde : C’est la lame, le bout du tyroı̈de qui va se lever. Cartilages Aryténoïde : Deux petits cartilage, beaucoup plus petit et forme triangle, il vont permettre par l’articulation crycro-arythé noidienne (Cricoı̈de et aryté noı̈de qui ont une articulation ensemble), rapprocher les corde vocale l’une de l’autre, c’est quand mes cordes vocales sont en vibration. Os hyoïde : Forme de « c », pas directement rattacher au pharynx, sert à aider à monter la base de langue au moment ou on va avaler. Épiglotte : Elle va se rabattre sur le larynx pour é viter que le bolus alimentaire rentre dans le larynx et que ça force le trajet du bolus alimentaire à aller vers le pharynx. Sert quand on vomi, quand on vomi, elle remonte vers la bouche pour é viter que ce qui remonte passe dans le larynx et Tinisse sa route par la bouche. o Fausse route épiglotte qui ne fait pas bon travail. Le reflux nasal, ça se passe plus haut, lorsque le bolus chercher à descendre vers l’œsophage, il remonte par le nez. Articulation crico-thyroïdienne : Entre le cartilage tyroı̈de te le cartilage cricoı̈de, articulation qui permet au tyroı̈de de basculer = bascule du tyroı̈de, qui sert a dé tendre et basculer le tyroı̈de d’avant en arriè re. Sert a é tirer ou dé tendre les cordes vocales, pour faire les sons grave et aigu (aigu = é tendre/é tirer et grave=dé tendre) Intrinsèque et extrinsèque : Intrinsè que : permette de relier les structures laryngé entre elle, un cartilage avec un autre cartilage. Extrinsè que : Permet de relier le larynx avec d’autre structures avoisinante. (Ex : la base de langue) Muscles : Il permettre de tendre, dé tendent, ouvrir et fermer les cordes vocales. Un muscles va se mettre en mouvement suite à une information du cerveau, l’information est passer par le nerf X (Nerf 10 des nerfs crâ nien), le nerf vague ou pneumogastrique. Il est principalement moteur mais é galement sensitifs. Moteur = tendre, dé tendre, ouvrir et fermer les cordes vocales. Sensitifs = Quand on fait une fausse route pour tousser, venir sentir qu’il y a quelque chose de bloquer sous le larynx, ça donne l’information de tousser. ((Raison pour fausse-route avec nourriture = Mauvaise mastication (Diffé rent avec des liquides ou des morceaux)) Muqueuse : Muqueuse qui recouvrent les cordes vocales est souple et amortissante, c’est elle qui va subir le passage de l’air et donc pouvoir faire vibrer le bord-libre (partie autour des cordes vocales qui va vibrer) (Ex avec pull orange Lucie). Bord-libre = muqueuse. Plis vocaux = cordes vocales Sché ma SUPER IMPORTANT !!! (Maxillaire infé rieur = mandibule) Fonctions du Larynx : Respiration : Air passe par le larynx Dé glutition : Protection des voix aé riennes par la bascules de l’é piglotte et en provocant l’occlusion glottique ( Fermer espace entre les corde vocales, elle se rapproche l’une de l’autre mais ne rentre pas en vibration) Phonation : Corde vocale se trouve au niveau du larynx et permettent la phonation, la production de voix. Protection des voies respiratoires Le pharynx Conduit musculo-membraneux d’environ 13 cm. Il a des parois qui peuvent se resserrer pour aider au pé ristaltisme (Aider à descendre les aliments dans l’œsophage). Le péristaltisme : C’est des contractions musculaire qui pousse les aliments dans le tube digestif. Carrefour aé ro-digestif Le pharynx se divise en trois parties : Rhino-pharynx ou Nasopharynx : la partie supé rieure, situé e derriè re le nez Oropharynx : la partie mé diane, situé e derriè re la bouche Hypopharynx (aussi appelé́ laryngopharynx) : la partie infé rieure, situé e au- dessus du larynx Ces trois sections jouent des rô les dans la respiration, la dé glutition et la phonation. Rô le dans la dé glutition, pé ristaltisme pharyngé , c’est le fait que les aliments vont pouvoir descendre par à -coup ;Voile du palais va se relever pour permettre une occlusion velo- pharynger, pour empê cher la nourriture de remonter par le nez. Fonction de phonation, il a une fonction de ré sonnateur, quand je parle ça vient resonner dans mon pharynx (ré sonateur = conduit ou espace qui permet d’ampliTier le son). Incidence dans la respiration : Passage de l’air entre les fosses nasales et L’oropharynx est obligatoirement activer quand on respire, que ce soit par le nez ou la bouche ????? Fonction olfactive : Quelque ré cepteur olfactif se trouve dans le nasopharynx. Fonction tubaire : Role dans la fonction tubaire, dé bouche sur l’oreille moyenne par la trompe d’oestache. https://www.youtube.com/watch?v=dCHz7J4xFR8 Muscles du pharynx : Les muscles constricteurs : Permettre le pé ristaltisme (Paroi du pharynx vont se rapproche/ se contracter l’une de l’autre, pour forcer le bol alimentaire à avancer petit à petit vers l’œsophage. Inferieur Moyen Supé rieur Les muscles longitudinaux § Stylo-pharyngien Palato-pharyngien Salpingo-pharyngien Les fonctions oro-faciales : Les théories : Théorie de l’équilibre C’est le fait que chaque structure subit des forces, toutes les forces que je subit s’é galise. Les forces d’une structure s’é galise pour que la structure ne bouge pas (Ex : Avec notre corps, gros coup de vent, normalement on s’é galise pour pas bouger mais si on s’é galise pas, on bouge ou on tombe. Les dents, notre rô le en tant que logopè de c’est de s’assurer que toutes les forces effectuer sur les dents s’é galise, si trop de force exercer sur la dent, elles vont bouger. Une langue est une des forces qui à la longue peut faire bouger les dents. La duré e / ré pé tition est plus importante que la magnitude des forces. Il s’agit d’une mauvaise position de la langue à ré pé tition ! il y a problè me quand il y a un mauvais placement de langue ré gulier. Eb quilibre fonctionnel = Que la force pour les dents central (exercer par la lè vre) soit la mê me pour la langue que pour les lè vres. Et que la forces exercer par les joues pour les dents laté rales soit la mê me que la langue. Théorie de Moss = Thé orie des matrices fonctionnelles. C’est une thé orie qui dit que la fonction modè le l’organe. On est tous constitué d’un ensemble cranio faciale fonctionnel, chaque personne à son ensemble cranio facile fonctionnel (on l’appel comme ça mê me si il est dysfonctionnel). o Matrice fonctionnelle : (ex : la langue) un ensemble de tissu mou (xxx) ou un espace fonctionnel (ex : les cavité s nasale) qui sont né cessaire pour accomplir une fonction o Unité squelettique : Chaque matrice fonctionnelle a une unité squelettique correspondante (ex : avec la langue c’est le palais). Ensemble de partie du squelette qui sont né cessaire au soutien des matrices fonctionnelle et qui donc se rapporte à une fonction donné e. La croissance des matrices fonctionnelles (des tissus mou et espace qui me permette de faire des fonctions) va se faire avant la croissance squelettique. La matrice grandit, l’organisme ré pond = la langue grandit. ( SOIT = Les tissus mous grandissent avant les structures osseuses) -> Si une fonction est dé vié e, cette dé viation modiTier l’anatomie de l’organe DONC si une fonction est dé vié , l’organe sera aussi dé vié. Page 79 et 80 : Sché ma ⚠ Tout ce dont on parle au cours, c’est des organes,… qui peuvent avoir des incidences sur les patients ou qui peuvent gé né rer un trouble oro myofonctionnel ⚠ ((( Les questions d’examen seront centrer sur a quoi ça sert, en quoi c’est bon ou mauvais pour nous)))) La thé orie des effecteurs communs Les muscles ne sont pas spé ciTique à une seule fonction. (Ex : muscles palato-glosse qui n’ a pas que une seul fonction abaisser le voile du palais et é lever la base de langue) Une fonction perturber peut en perturber une autre parce que elle partage le mê me muscles (ex : Problè me trompe d’eustache et problè me pour avaler, car on a es muscles qui partagent la meme fonctions) Les chaines musculaires Notre langue est au centre de chaines musculaire et ça peut expliquer que un dé faut de langue peut donner des problè me de dos et des problè mes de dos peut donner des problè mes au niveau de la langue. DONC, un soucis linguale peut donc impacter toute la structure du corps. L’organisation des fonctions : Va expliquer la hié rarchie ou les priorité s des fonctions. La plus grande fonction va ê tre la ventilation (respiration). On a pris deux points majeur : Fonction vitale et fonction de relation. 2è me critè re est la ré gulation : Fonctions permanentes et fonction intermittentes. certaines fonctions (comme la respiration ou la mastication) sont continues, tandis que d'autres (comme la parole) peuvent ê tre temporaires ou occasionnelles). Fonction, de dé glutition et mastication, peut ê tre dé vier si la ventilation est dé vier. Relation de corré lation entre la ventilation et la dé glutition : Si on a un patient qui vient pour un problè me de mastication et de dé glutition on doit absolument tester la ventilation car dans les priorité s des fonctions, c’est le premier. Rappel : Apex : L'apex est le sommet, le bout d'une chose. (Ex : Le bout de la langue) Si quelqu’un a une respiration buccale ou mixte, beaucoup de « chance » d’avoir une langue basse, et donc la langue à moins de force, est moins tonique et donc ça a un impact sur la mastication. Phonation, expression faciale : Non essentiel au niveau de la survie et non permanent (fonction de phonation, articulation et mimique. C’est un sché ma qui met en relation les fonctions, dysfonctions et les troubles (ré pertoire phoné tique = tel phonè me il sait produire, tel phonè me il ne sait pas le produire) on doit se demander si il n’y a pas une origine morphologique ou fonctionnel. La ventilation : DéFinition : Chacune des ré actions oxydatives productrices d’é nergie mettant en œuvre le transfert d’oxygè ne et la production de gaz carbonique et d’eau. Ventilation : Renouvellement de l’air dans les voies aé rifè res lequel alimente l’hé matose, elle-mê me né cessaire à la respiration cellulaire Hématose: Eb changes gazeux pulmonaires convertissant le sang veineux en sang arté riel. Les fonctions du nez : Fonction de conditionnement XXX : Photo Romane Un air qui est plu chaud va donner plus d’é nergie aux poumons. Au plus on a d’é nergie au niveau des poumons au mieux vont se passer les é changes. Tout ça va contribuer à la thermo ré gulation cé ré brale (thermo ré gulation : Fonction d’é puration et immunitaire La respiration nasale permet de Tiltrer l’air, les Tils du nez, ne sont pas que des poils é galement des « dé tecteurs » vont empê cher certains corps é trangers d’entré s. Si il sent que des agents pathogè nes qui tente de rentrer, il va dé clencher une ré action immunitaire. Les vé gé tations adé noı̈des qui sont derriè re le nez vont s’activer, elle vont gonTler quand elle vont devoir travailler. C’est pour ça que notre nez est bouché quand on est malade, c’est parce que les vé gé tations adé noı̈des grossissent dans le but de faire ressortir les agents pathogè nes qui serait rentré s par le nez. C’est le vé gé tation adé noı̈de qui vont dé tecter qu’un agents pathogè ne est pré sent et qui vont commencer à tenter de l’é jecter. La respirations buccale n’a aucun Tiltre contre les bacté rie, contre les agents pathogè nes. La respiration par le nez est sensé aider à faire grandir l’os maxillaire. La respiration par le nez va aider à faire grandir l’os maxillaire, au plus j’ai de la place, au plus mon arcade maxillaire peut grandir. Rappel : Overbite : Dent du haut qui recouvre trop celles du bas. Overjet : Espace entre les dents du haut et du bas. Sigmatisme interdental : Mauvaise prononciation des sons « s » et « z » à cause d'un trou entre les dents. Trouble qui touche le « ch » : Le chuintement Fonction d’odorat Fonction morphogé nique Le but c’est d’arriver à un é quilibre oro-myo-fonctionnelle, ça passe par les os. Oro : zone orale – myo : Muscles- fonction : On va s’inté resser au muscles de la fonction oro-faciale. Le cycle nasale : Alternance de phases de vasoconstriction et de vasodilatation : Nos fosses nasales elle vont tantô t se resserrer et tantô t se dilater, c’est toujours une sur deux. C’est pas totalement serer, c’est juste que une serait un peu plus resserrer et une un peu plus dilater. Alternance de phases de vasoconstriction et de vasodilatation : Vasoconstriction : Les vaisseaux sanguins se ré tré cissent, ce qui ré duit le Tlux sanguin et augmente la pression arté rielle. Vasodilatation : Les vaisseaux sanguins s'é largissent, ce qui augmente le Tlux sanguin et diminue la pression arté rielle. Toutes les 1 à 5h, et il serait plus court chez l’enfant que chez l’adultes. Serait surtout pour laisser une narine se « reposer » , c’est pour ça que lorsqu’on est enrhumé on a souvent que une seule narine qui coule. L’alimentation : Les grandes phases : Mise en bouche : La mise en bouche fait intervenir les muscles des lè vres, langue, joue, mandibule à Demande une bonne coordination et musculature de la SOF. Contention des aliments dans la cavité buccale : Lè vres fermer Palato-glosse abaisser (contacter) -> Voile du palais abaisser Respiration normal à ce moment la Mastication : Semi mé canique. Rythmique d’apposition/sé paration des arcades. Activité : Langue apporte les aliments vers les surfaces dentaires occlusales Contraction des buccinateurs (Muscles de la joue qui permet de faire ramener les aliments tomber dans le vestibule (couloir entre dent et joue) sur la langue. Fermeture labiale : Lorsque que on mastique on est sensé avoir la bouche fermer pour empê cher les aliments de ressortir. Voile contracté : Et abaisser le voile du palais Activité́ des muscles masticateurs (Massé ter, muscles temporal, pté rygoı̈dien 3 modes de mastications : la mastication unilatérale alternée : Mastication à gauche et à droite en cycle ré gulier (une fois à gauche, une fois à droite,…) -> Physiologique, « normal » La mastication unilatérale stricte ou dominante : Mastication d’un seul cote uniquement. la mastication bilatérale : Mastication des deux coté s en mê me temps Rappel : Muscles de la mastication : Masséter, muscles temporal, ptérygoïdien Trois phases : Ouverture (trè s rapide) Fermeture rapide : au contact de l’aliment, quand la nourriture est sur la phase occlusale. Fermeture lente : pour continuer à é craser les aliments contre les arcades (arcades : Succession de dents) Mastication chez le nouveau-né́ : (Avant appariation des dents) La toute premiè re dent de lait, incisive centrale Re=lexes archaïques : Ils servent à la survies, son inné es et sont sensé disparaitre aux alentour de 6 mois. Il est « normal » d’avoir ces reTlexes mais il doivent disparaitre à 6 mois, sinon cela pourrait ê tre signe de problè me RéFlexe d’orientation ou de fouissement : Il va se diriger vers la source nourriciè re, rotation de la tê te tout seul. RéFlexe des points cardinaux : Quand on vient touché les 4 coins de sa bouche, il va ouvrir la bouche et orienter sa tê te. RéFlexe de succion : Dè s que les lè vres rentre en contact avec la source nourriciè re, il va dé buter des mouvements de succion. Tronc cé ré brale : Ce sur quoi repose l’acé phale, gè re les fonctions les plus vitale, contient les ré Tlexes automatiques. Ca va se corticalisé , et donc là c’est le cortex qui va gé rer l’alimentation. Allaitement : Cré ation d’un vide intra-buccal (dé pression d’air dans la bouche, l’air se dé place d’une haute à une basse pression, bé bé cré e un vide intrabuccale pour que le lait puisse reculer dans la bouche) --> Eb tanché ité́ labiale, pour assure l’é tanché ité , il va falloir que l’orbiculaire des lè vres soit bien enrouler autour du mamelon, sans passage d’air. Il y a aussi les muscles mentonniers qui doivent ê tre bien contracter. Propulsions de la mandibule et de la langue, le moment ou le bé bé va avancer vers le mamelon, don cil faut vraiment que toute la mandibule et la langue soit avancer vers le mamelon. Il y a un appel d’air qui est cré é par des mouvement synchroniser de la mandibule et de la langue. La dé pression intra-buccale à lieu et va faire avancer/reculer le lait au fond de la bouche. La langue va faire une gouttiè re autour du mamelon et il va y avoir des mouvements de rétraction (reculer) mouvement ré aliser grace au hyoglosse et de protraction (avancer) vont être fait par le génioglosse. La langue se place sur la place inferieur du mamelon, va le conTirmer puis reculer grâ ce à l’hyoglosse, là on a le vide intra-buccale qui est cré é par la ré traction de la langue. Plusieurs mouvement de succion, on commence à cré er du ré servoir, pendant tout ce temps-là le voile du palais est toujours collé contre la base de langue. Plusieurs mouvement de succion -> Puis on avale. Carrefour Aero digestif : ConTiguration qui fait que le larynx permet la respiration et manger en mê me temps. Le bé bé est capable d’avaler et de respirer en mê me temps. Biberon : Utilisation et stimulation des muscles est pas pareil. Beaucoup moins né cessaire de cré er le vide intra buccale, XXX donc La té tine est beaucoup moins aspirer que le mamelon et elle va moins loin que la bouche. Mouvement beaucoup plus verticaux, alors que allaitement maternel, plus horizontale. LA forme de la té tine aide la succion mais c’est moins bon que le seins au niveau de la té ter, car la succion est plus simple, donc le bé bé fait moins « d’effort » et c’est pas forcé ment une bonne chose car il ne se muscles pas donc risque d’une diminution de dé veloppement musculaire de la sphè re oro-faciale. Eb galement risque de dé veloppement morphogé nique. Formation de l’isthme buco pharyngien, par l’accolement du voile du palais sur la base de langue. Salivation Dé glutition Attention à la comorbidité́ entre les troubles d’alimentation et troubles de l’articulation Contention des aliments dans la cavité́ buccale Fermeture labiale Contraction du vdp par la contraction du palato-glosse Respiration normale ATTENTION il y a os temporal et muscles temporal Bien fait et mal fait de l’allaitement : Travail en autonomie Bienfaits : Renforce le système immunitaire du bébé, rôle de protection, car le lait maternel contient des anticorps et d’autres substances qui protè ge le bé bé des infections et des maladies. (colostrum). Pré viens au niveaux des maladies inTlammatoires. Favorise le lien entre la mère et son enfant, le contact peau à peau pendant l’allaitement renforcent les liens affectifs et agit comme un anti-stress. Libé ration d’ocytocine = Hormone de la dé tente. Réduit le risque de développer des mal occlusion dentaire, c’est quand les arcades ne s’accorde pas comme elle sevraient s’accorder, elle ne se ferme pas comme elle devrait se fermer. Lait maternelle apporte les nutriments essentielles, en effet, la composition du lait maternel ré pond parfaitement au besoin nutritionnelle du nourrisson, il est adapter pour la croissance de chaque. Il contient le bon é quilibre en proté ines, en lipides, en glucides, en vitamines et en miné raux. Contient acide gras, donc ça contribue au bon dé veloppement cé ré brale de l’enfant. Il sera donc plus simple à digé rer, car la mè re produit un lait adapté au besoin de son enfant. = Favorise la croissance Rythme de nutrition adapté au bébé, le bé bé peut choisir à quel rythme il dé cide de boire, alors qu’il ne peut pas le faire au biberon Enfant apprend lui-même à atteindre la satiété, alors que au biberon c’est la mè re ou le pè re qui dé cide de quand le bibi est Tini. Cela pré vient donc l’obé sité. Aide à prévenir un bon équilibre maxillo-faciale, une bon é quilibre de toutes les arches faciales. Diminue le risque de mort subite chez l’enfant et diminue les risques d’anémie Favorise le développement des papilles du bé bé par la diversiTications des saveurs car le lait change de gout en fonction de ce que la mè re mange. Permet un microbiote buccale plus sains et donc limite le risque de dé velopper des caries. (Microbiote = ???) Favorise le placement de langue, permet une meilleure position de langue au repos. (Pas une cause à effet !! Ce n’est pas le cas pour tous les enfants). Diminuait l’incidence et la gravité des risques ORL, digestif et respiratoire Économiquement parlant, ça ne coute rien ! Et on l’a toujours avec soi ! Malfaits : Douleur pour la mère, l’allaitement peut ê tre douloureux, et les crevasses au mamelon ainsi que l’engorgement (surproduction de lait) peut causer un grand inconfort. Muguet au mamelon et dans la bouche du bé bé (tache blanche dans la bouche du bé bé ) Stress lié à l’allaitement, la pression de devoir allaiter peuvent provoquer du stress chez certaines mè res. Il peut ê tre exigeant et fatiguant. Pression sociale sur les é paules des mamans ⚠ Risque de dépendance de l’enfant à l’allaitement, un enfant nourrit au seins peut dé velopper une dé pendance au sein. Ce qui peut poser problè me lorsque la mè re doit retourner au travail ou doit s’é loigner de l’enfant. DifTiculté de logistique si la mè re recommence à travailler DifFiculté de position et de prise en bouche, la mè re et son enfant peuvent rencontrer des problè mes de positionnement ou de prise en bouche, ce qui peut rendre l’allaitement compliqué. Consommation d’alcool ou fumer (cigarette et drogue) ⚠, si la maman consomme, elle transmet les substances par la barriè re eumato-ancephalique (barriè re chimique), qui se situe autour de l’encé phale. Le tout bé bé , avant ces 3 mois, cette barriè re n’existe pas, donc ça peut ê tre superrrrr grave !!!!!! Syndrome d’alcoolisme fœtal,… In utero et post partum, mais surtout in utero !!!!! Beaucoup plus fatiguant pour bébé de prendre le seins que le biberon, parce que il s’é puise, physiquement, et il s’arrê terait pas forcement par satié té mais par fatigue ?????? OMS : recommande l’alitement exclusif pendant 6 mois, a partir de 6 mois, il faut diversiTier l’alimentation, et poursuite de l’allaitement jusqu’à 2 ans voir plus tard. Anémie : La composition du sang n’est pas optimale. Mastication à l’éruption des premières dents Rappel : La premiè re dent c’est la premiè re incisive (51, 61,71 ou 81) à 6 mois Corticalise : de moins en moins le tronc cé ré brale qui gè re mais de plus en plus le cortex. Petit à petit, il va dé cider de manger, d’avaler,… C’est de plus en plus le cortex car de plus en plus volontaire. 6mois : DiversiTication alimentaire et modiTication de la posture de la langue , il y a un recul de la langue pour é viter qu’il se morde durant la mastication. Et le dé but de la diversiTication alimentaire. Si on commence trop tô t la diversiTication alimentaire, il y a un risque de carence. Pré hension-morsure : le bé bé́ dé couvre qu’il peut mordre, pincer, serrer, mouvements plus verticaux. Semi-volontaire (--> SNC) Alimentation de plus ne plus volontaire et de plus en plus « adulte ». Mastication unilatéral alterné : On mange a droite et à gauche de façon automatique et alterné e. Primordiale que les parents donne des morceaux à l’enfant, si on ne propose jamais de morceau à avaler, l’enfant n’aura pas l’occasion de dé velopper la mastication. DME ???? La salivation : On produirait de 0,5l à 1,4l par jour (24h) Salivation sert à aller dé truire les cellule des aliment pour quelle puisse par la passer par la digestion La salivation est formée de : Eau à plus de 97% Enzymes : Mucines : pour hydrater, lubriTier la bouche Lysozymes : pour inhiber la croissance bacté rienne, diminuer, ré duire Fabriqué par 3 types de glandes, qui elles sont innervé es par le nerfs VII (7), qui est le nerf facial. : parotides, sous-maxillaires et sublinguales. Les nerfs transfert 3 grands types d’information : sensitive, motrice, ? La déglutition On dé glutit plusieurs milliers de fois par jour ! 3 phases : Phase orale : Se passe dans la bouche, avec la cavité buccale fermé e, pour pas que ça ressorte par l’avant. Pé ristaltisme cré é par la langue Le bol arrive aux piliers du palato-glosse Voile du palais va ê tre relevé par la paroi pharyngé. Phase pharyngée : Au moment où on avale on ne sait pas respirer SSO : Sphincter supé rieur de l’œsophage. (On ouvre la barriè re pour que ça rentre dans l’œsophage) L’œsophage la seule fois où il s’ouvre c’est pour la dé glutition. Phase œsophagienne Vv Chez le fœtus Dé glutition est dé jà en place chez le fœtus. Dé glutition infantile qui sera là jusqu’à 4-6 ans. Elle apparait à partir de 10 semaines d’amé norrhé e, on a les premier mouvement antero posté rieur (d’avant en arriè re). Bé bé avale dé jà le liquide amniotique. Ca lui fait dé jà des premiè re expé rience motrice et sensorielle. Entre la 12è me et la 15è me semaine, la dé glutition est bien mieux mise en place 0,5l à 1l de liquide amniotique. A 28 semaines, va se mettre en place la succion non nutritive. Il faut attendre autour de la 37è me semaine pour la coordination entre succion et dé glutition peut se mettre en place. La succion nutritive devient mature ou les mouvement de succion sont coordonné avec la dé glutition. De la naissance (37 semaines) à 6 ans c’est une dé glutition infantile. Avant il s’agit d’une dé glutition fœtale.` Rappel : In utero, les 5 sens sont dé jà en place. A la naissance : Suckling ReTlexe oro primitif qui sont dé jà en place (reTlexe succion,…) sont gé né rer par le tronc cé ré brale ReTlexe oro persistant, sont pré sent avant la naissance et va perdurer. Ex : ré Tlexe orientation de la langue vers le cote stimulé sous le bord de la langue, ou sur les joues ou sur les gencives. Pression alternative : Mouvement mandibulaire ouverture et fermeture quand un stimulus est placé sous les arcades Contraction de l’orbiculaire des lè vres : pour retenir la té tine ou le mamelon à l’inté rieur de la bouche. Beaucoup plus fort grâ ce à l’allaitement Protrusion de la langue : Si l’enfant sent qu’il y a qqch de trop gros sur sa langue, il va le recracher. ReTlexe nausé eux : ReTlexe de toux : s’active des que quelque chose passe par le larynx Suckling : de 0 à 4 mois, mouvement d’avant en arriè re gé rer par le tronc cé ré brale (reTlexe primitif) Tout à fait involontaire et automatique. De 4 à 6 mois : Sucking : Oralité dite primaire car gé rer par le tronc cé ré brale Si on commence trop tô t la diversiTication alimentaire, il y a un risque de carence. Sucking : Succion dé glutition qui commence à se dé velopper. De 6 à 9 mois : Munching Oralité dite secondaire car gé rer par le cortex ?? ModiTication neurologique, mouvement de succion de plus en plus corticaliser. Mouvement de plus en plus verticaux alors que avant c’é tait interro-posté rieur. La mandibule va se diffé rencier de la langue. Arriver de la cuillè re, arriver en parallè le avec l’apparition des dents. ReTlexe primitif : protrusion de la langue. : la langue va vers l’avant XXX Va commencer a dé couvrir d’autre saveur, d’autre gout. Les parents ont un rô le à jouer dans les expé riences sensorielle buccales. On recommande de commencer par les lé gumes car c’est un gout tout à fait nouveau pour l’enfant car il connait dé jà le sucre, du lait de sa maman. Fruit compote, panade sont plus facile à manger. Enfant qui souffre d’hypersensibilité et dysoralité : C’est lorsque les parents n’ont pas eu d’expé riences assez agré able au niveau du repas, de la nourriture avec leur enfant. Il est donc important de dé velopper des expé riences positives Capacité sensorielle du bé bé et aussi en rapport avec sa dentition, le bé bé va prendre de plus ne plus le contrô le sur sa mandibule. (Elle se met en avant pour se claquer sur le mamelon a la naissance), maintenant se mouvements vont ê tre de plus en plus contrô ler (Ex : Ouvrir la bouche quand la cuillè re arrive) Mastication unilaté rale alterné : C’est le moment ou l’enfant prend du plaisir au niveau buccale, il va tout mettre en bouche et tenter de dé couvrir de nouvelle sensation. Il est donc important que l’enfant dé couvre de nouvelles expé riences et appré cie le plaisir de manger Munching = Macher De 9 à 12 mois : Le bitting ffff De 12 mois à 16 mois La morsure, parce que les incisives inferieur et supé rieur sont en places, il va pourvoir pincer, mordre,… avec ses incisives. Premiè re molaire qui arrive, meilleur contrô le de la langue, des lè vres, de la mandibule. Dé veloppement des premier cycle de mastication. Mastication unilaté rale alterné : Permet de manger des deux coté. Les pré molaires ont dé jà des sions. (Petite trou qui permette au dent maxillaire et mandibulaire de se superposé. Les mouvements de broyages, lissent les dents et les sions et creux des dents adultes. Les dents tombes et elle ressortent en dents adultes avec des creux et des sillons. Usure attritionelle :Les dents de devant le bloque et lui empê che de dé velopper sa mandibule (qui doit se dé velopper à 300%), c’est pourquoi ses dents se lisse, pour pouvoir relâ cher sa mandibule et lui permette de grandir. -> Propulsion de la mandibule vers l’avant. C’est pourquoi la diversiTication alimentaire est super importante, car si on ne permet pas au bé bé de broyer, il ne pourra pas se lisser les dents molaires et donc pas dé bloquer la mâ choire inferieure, la mandibule. Cela va contribuer à dé velopper l’overjet. De 18 à 24 mois : Les mouvements deviennent cyclique, se pré cise, aidait à l’expansion des arcades dentaires. 24 moi et plus Capable de pouvoir accepter toutes les textures pour ces 2 ans. Quasiment toute les dents sont sensé ê tre arrivé. Si les dents de lait molaire s’use, et quelle commence à ce lié , alors c’est signer d’une bonne fonction masticatrice. Si les dents ne s’abiment pas c’est signiTicateur d’une fonction masticatrice faible. Occlusion attritionnelle : Dans le sens transversal : Expansion des arcade dentaire qui se marques et prennent plus de diamè tre. L’extension est essentielle pour l’apparition des autres dents et essentielle pour l’apparition d’overbit ou overjet. Dans le sens sagittal : (D’avant en arriè re) La mandibule va grandir, va croire si les molaires de lisse sont bien lissé. L’intercuspidation n’existe plus car les But chez l’enfant : User pour avancer la mandibule Diastè me : La dysoralité : DifTiculté ou une aversion à manger certains aliments ou textures. Oralité : ???? Intercuspidation : position dans laquelle la molaire du haut va se mettre dans le creux de la molaire du bas. Phase pharyngienne en déglutition infantile : XXX voir romane Langue en position interdental : La langue qui passe et sort de la bouche lorsque on avale Bé bé capable de respirer et avaler en mê me temps, sa conTiguration fait qu’il est possible de faire les deux. La fonction vélaire : →Fonction vé laire = Fonction du voile du palais Rappel 5 muscles du VDP (voile du palais) : Élévateur du voile : (péristaphylin interne) : Élève palais mou pour fermer le nasopharynx lors de la déglutition Tenseur du voile : Tends le voile du palais et ouvre la trompe d'Eustache. Palato-pharyngien : Abaisse le voile et aide à fermer le nasopharynx durant la déglutition. Palato-glosse : Élève la langue et abaisse le voile du palais Intra vélaire : Connecte les parties du voile, assurant =lexibilité et mouvement Occlusion pharyngé : Lors de la dé glutition se produit lorsque le voile du palais et la luette se soulè vent pour s'appuyer contre la paroi posté rieure du pharynx, empê chant ainsi le bol alimentaire de remonter dans le nez. Les 5 fonctions : Respiration : Le voile du palais s’abaisse pour laisser passer l’air Succion-déglutition : Il se relè ve lorsqu’on dé glutit pour ne pas que ça ressorte par le né Audition : Partage des muscles (3/5) qui ont une incidence, qui ont aussi une fonction, qui sont en lien avec la trompe d’eustache. Articulation : Quand on parle, le voile du palais s’abaisse pour prononcer les sons nasaux. (Sons nasaux = sons mixtes car sorte par le nez ET par la bouche)(Et il s’abaisse pour les sons oraux) (Ex de son qui passe par le nez : an, on, en, un, m, gne, ing,…) Phonation : C’est pour le timbre de la voix, le voile est plus abaisser chez certains et donc ces personne la vont plus « parler du nez » La fonction tubaire : Fait ré fé rence à la trompe d’eustache, elle va devoir é quilibrer les pressions des 2 cô té s du tympan pour permettre à l’oreille moyenne de ré aliser ses fonctions de façon optimale. Physiologie et rôles : Tube cartilagineux avec une partie osseuse Nouveau-né ́ et enfant : Position horizontale Plus courte, plus plate Plus ouverte, plus perméable ->Plus grande risque d’otite séro-muqueuse -> Suivit ORL pour s’assurer qu’il n’y ait pas de perte d’audition suite aux otites chroniques. -> Risque de perte auditive qui est solutionnable Végétation adénoïde = Amygdale pharyngé (se situe derrière le rhinopharynx au bout de fosse nasale) : On les opère lorsque elle sont trop grosse, (quand on est malade c’est elle qui grossisse et nous empêche de respirer). On va les opérer parce que si elle sont trop grosse l’enfant risque de respirer ou respirera par la bouche. On va donc opérer pour qu’il puisse re respirer et il devra suivre un ORL pour réapprendre à respirer par le nez. Rôles : Aération OM Drainage Équilibre des pressions Protection contre les bruits intérieurs Autophonie : Le fait d’entendre sa propre voix résonner de manière amplifiée dans sa tête è Naso et rhino = Nez è Oro = Bouche è Oto = Oreille è Hypo = en dessous è Hyper = Au-dessus L’articulation -phonétique (2 questions dans l’examen sur alphabet phonétique) Dé Tinitions : Phoné tique articulatoire : Elle analyse les sons en tant que production physiologique de l’appareil phonatoire Phoné tique acoustique : examine les caracté ristiques sonores des sons du langage Phoné tique auditive : examine les phé nomè nes de perception et de reconnaissance des sons du langage par les ê tres humains. Phonè me : unité́ minimale distinctive Tronc cé ré brale fait partie du cerveau, il est comme un pied qui porte le cerveau. Et le dessus avec le cerveau c’est l’ancé phale. Diffé rence voyelle- consonne : Voyelle le passage du larynx jusqu’au lè vre, l’air n’est pas couper alors que consonne, l’air est coupé , un obstacle bloque l’air (ex : langue, lè vre (f)) Soude : Sonore : Constrictif : Le son peut ê tre prolonger Occlusive : le son ne peut pas ê tre prolonger (à vori en profondeur avec brassart) Voie buccale Voie nasale : ça passe quand mê me toujours par le bouche donc son mixte Les lieux d’articulations : Lè vres → Dents Alvé oles des dents Palais Voile du palais Luette Le voisement : Vibration des corde vocale Les voyelles : Caracté ristique majeure : Passage de l’air libre des cavité s supra- glottiques Nombre de ré sonateurs Forme du résonateur : ou va se placer la langue dans la zone buccale → Dé terminé́ par l’emplacement de la masse de la langue : Voyelles anté rieures Voyelles posté rieures Voyelles centrales Volume du résonateur : Ca dé pend de l’ouverture (= degré́ d’aperture )de la mâ choire → 4 grands degré d’ouverture Trapèze vocalique : Analyse du trapèze : Les occlusives bilabiales → C’est le « p » et le « b » Les occlusives dentale → C’est le T et de D On dessine les dents car la langue vient se mettre derriè re les dents Occlusives vélaires → C’est le G et le K Occlusives nasales Schéma ARTICULATOIRE à L’EXAMEN !!!!! Mé dio dorso palatale Anté rieure arrondie Posté rieur arrondies Schlintement = Zozotement = Mot vulgarisé qui reprend tous les troubles articulatoires Occlusion glottique : Sert dans plusieurs indication. Sert de protection quand on avale (volontaire) Cranialisation : ???? La phonation : La phonation La phonation est l'ensemble des mé canismes qui permettent de produire la voix. Trois éléments nécessaires à la production de la parole : De l’air venant des poumons : L’air est expulsé lors de l’expiration. La vibration des cordes vocales : Vibration produisent le son Les résonateurs : L'ensemble des cavité s qui modiTient le son, formant le tractus pharyngo-buccal (lè vres, cavité s buccales, nez, etc.). Décibels : Les dé cibels (dB) sont mesuré s sur une é chelle logarithmique. Chaque fois que l'on double l'intensité sonore, on ajoute environ 3 dB supplé mentaires. Production du souffle : Mouvements de la cage thoracique à l’inspiration (et vice versa pour l’expiration) Mouvement d’élargissement des côtes. Crânialisation du sternum et des clavicules Abaissement du diaphragme et lé ger abaissement du larynx Inspiration :Lors de l’inspiration : Tout le corps se contracte, sauf le larynx qui descend. Lors de la phonation Les muscles se contractent davantage pour emmagasiner de l'air. Les muscles principaux impliqué s sont le diaphragme, les intercostaux externes et les muscles scalènes (au niveau du cou). → On mobilise d’avantage les abdominaux quand on parle Cycle respiratoires en phonation : A l’inspiration : L’inspiration est plus rapide, courte et elle peut ê tre buccale ou nasale Lorsqu’on parle l’inspiration est beaucoup plus longue et l’expiration est beaucoup plus courte. A l’expiration : Elle correspond aux dé bits de la parole et à la longueur de l’é noncé́. Elle est plus lente que l’inspiration. Commande nerveuse : 🐈⬛ Tous les muscles laryngé s sont innervé s par le nerf vague (X) qui se divise en 2 branches: Première branche appelée nerf laryngé supérieur lui-même divisé en 2 branches : Branche sensitive(Nerf laryngé interne):permet de lutter contre les FR Branche motrice(Nerf laryngé externe):innervation du muscle crico-thyroı̈dien: tenseur des CV Deuxième branche appelée nerf laryngé inferieur ou récurrent Branche exclusivement motrice de tous les muscles laryngé s sauf le crico- thyroı̈dien Mise en vibration : La mise en vibration se fait grâ ce au larynx (complexe cartilagino-ligamento- musculaire) Cordes vocales : Les cordes vocales sont comparables à deux lè vres placé es horizontalement. Abduction (ouverture) et adduction (fermeture) des cordes vocales permettent la production du son. Articulations laryngées : Crico-thyroïdienne : Permet la bascule du cartilage thyroı̈dien, ajustant la tension des cordes vocales pour produire des sons aigus ou graves. Permet de tendre ou dé tendre si je veux faire un son aigu ou grave). Crico-aryténoïdienne : Permet le glissement laté ral des cartilages pour rapprocher les cordes vocales et ainsi les faire vibrer. C’est un cartilage que l’on a en double, rapproche les cordes vocales pour avoir une vibration et pouvoir parler. Muscles laryngés : (important pour la phonation !) o Thyro-aryténoïdien : Permet la fermeture des cordes vocales. o Crico-thyroïdien : Tenseur des cordes vocales. Fact : Muscle crico-thyroı̈dien et articulations crico-thyroı̈dienne : Le muscle active l’articulation mais il s’agit bien de deux choses diffé rentes ! Les résonateurs Dé\inition : Structures traversé es par l'air qui modiTient le timbre de la voix. Timbre : Le timbre est cré é par les ré sonateurs. C'est ce qui permet de reconnaı̂tre une personne par sa voix. Donc ce qui permet de reconnaitre un personne qui parle sont les ré sonnateurs. Résonateurs principaux : Pharynx Cavité buccale Fosses nasales Autres : cage thoracique, traché e, sinus Les positions de repos : Position linguale Apex : L’apex se trouve derriè re les incisives maxillaire, une partie qui va au palais, un peu plus reculer que l’apex. Les bord latéraux de la langue qui doivent toucher les dents laté ral maxillaire. Espace Donders : C’est l’espace qui doit rester libre entre le dos de la langue et le palais. Une partie plus posté rieure de la langue. Langue eutonique : La langue doit toujours avoir un tonus de base, il y a toujours né cessité d’un minimum de tonus. Elle ne doit pas ê tre trop contacté ni trop dé tendu/ relâ ché. Le fait d’avoir une langue eutonique, permet de neutraliser les forces qui s’exercent autour de la langue (=thé orie de l’é quilibre). → Dents ne sont pas en contact : Les dents mandibulaires et maxilaire ne se touche pas. Position des lèvres : Les lè ves supé rieure et infé rieure doivent ê tre en contact, sans tension, ni contraction. Cette position favorise la respiration nasale. Elle permet é galement de neutraliser les forces qui se trouve autour de la bouche, des lè vres. Position de la mandibule : La mandibule doit ê tre en é quilibre, les muscles antagonistes (celles qui ouvrent et ferment la bouche) exercent des forces opposé es et donc permettent cet é quilibre. Si l’é quilibre est perturbé e, c’est un des muscles exercent une plus grosse force que l’autre, alors cela peut entraı̂ner des dé sé quilibres, des douleurs ou des problè mes de mastication, comme des troubles temporo-mandibulaires. Troubles oro-myofonctionnels Trouble du tonus Mauvaise position linguale au repos Respiration buccale Trouble de la dé glutition Incompé tence vé lopharyngé e Dysfonctionnement tubaire Trouble articulatoire Mastication dysfonctionnelle Les fentes Trouble du tonus : Tonus = activation des muscles lorsque ceux-ci sont au repos → Tonus permet de garder notre bouche fermé. 2 types de troubles Hypotonie : Tonus trop faible Causes possibles : Gé né tique, problè me au niveau des muscles, des nerfs pé riphé riques (Les nerfs qui relient les muscles au cerveau ou à la moelle é piniè re ne transmettent pas correctement les messages), ou des fonctions. *Nerfs pé riphé riques : Hypertonie : Tonus trop fort Souvent atteinte nerveuse centrale 2 grands symptô mes: rigidité́ et spasticité́ (Spasticité́ : Encore plus fort que la rigidité ) Thé orie de Moss : Une mauvaise fonction peut diminuer le tonus de la structure. Type hypodivergent – hyperdivergent : Hypodivergent : Quelqu’un qui a tendance à ê tre hypotonique Hypodyvergent : Quelqu’un qui a tendance à ê tre hypertonique Toutes les matrices fonctionnelles, toutes les fonctions ont une tendance à avoir une matrice trè s puissante qui peut donc contribuer à sur dé velopper les unité s squelettiques correspondantes. Type musculaire massétérin : Type de personne qui a surdé veloppé le muscles massé ter ( qui joue un rô le dans la mastication). Raison fonctionnelle (Ex : la personne à surdé velopper car elle a des grands mouvement de mastications) ou gé né tique. Deep-bite squelettique Brachycé phalique Tendance à la ré trusion incisive : Incisive ont tendance a se rentrer sur elle- mê me. Pas d’over jet ni d’over bite. Tendance vers l’hypertonie Mé sialisation faible : Trè s peu grandit vers l’inté rieur, surtout grandit vers l’exté rieur ; Direction vers le sens, grandit dans tous les sens ; Couvercle inversé : L’arcade maxillaire doit ê tre plus grande que l’arcade mandibulaire. Hyperdivergent : → Celui qui divergent beaucoup par rapport à l’axe horizontal de la mandibule. Se dé veloppe verticalement, de haut en bas. Il s’agit d’un excè s de croissance vertical de l’é tage infé rieur de la face. Tendance à la protrusion incisive : Les dents du maxillaire et de la mandibule vont vers l’avant Type musculaire temporal Augmentation de la hauteur faciale anté rieure Menton en retrait Inocclusion labiale : Les lè vres ne se rejoignent pas naturellement au repos. Dolichocé phalique : Crane allongé OpenBite squelettique Tendance à la protrusion incisive : Les dents du maxillaire et de la mandibule vont vers l’avant le bout des dents Tendance vers l’hypotonie Mé sialisation importante : Toute la partie oro-faciale grandit vers le milieu et vers l’avant (Poisson) (Beaucoup, presque toutes les fonction oro-faciale vont perdre en tonus) → Troubles anatomique ET fonctionnelle Exemple : Bé bé qui est né « normal » physiologiquement et qui va dé velopper par la suite des mauvaise fonctions oro-moi-faciale et ces mê me fonctions peuvent entraver le dé veloppement. Té tine = Arrê t MAXIMUM à 3 ans. Le plus tô t est le mieux. Au plus tard on arrete au mieux c’est car les dents sont normalement toute la a 3 an et ça permet de ne pas les faire bouger. Pedo dentiste : Doc.bourgois ET Dr.ptit.chico (Insta) Respiration bucalle, sucion,.. sont potentiellement responsable de ce « troubles » Mauvaise position linguale au repos : (Appex devrait se trouvez derriè re les incisive ) = Position physiologique de la langue au repos Position basse Apex au niveau du plancher buccal. → Consé quence sur le dé veloppement de la zone oro-faciale et consé quences sur les fonctions oro-faciales. (Palais ogival lien avec hyperdivergent ??? ) Risques/conséquences sur le développement oro-faciale: Pour é viter un palais dit ogival : Palais rebomber qui est beaucoup trop ovale. → Mauvais développement des narines, fosses nasales : Langue en position basse ne permet pas le dé veloppement optimal du palais. Hors, faire grandir le palais aide à agrandir les fosses nasales qui m’aide à respirer par le nez et donc à amé liorer ma respiration. Dent mandibulaire, ça va faire bouger les incisives mandibulaire. Risque de protrusion incisive et risque d’over bite inversé e (Incisive mandibulaire qui passe au-dessus des incisive maxillaire → Alors que normalement c’est l’inverse) Dans les cas extrê mes : Overbite inversé Cas plus commun : Béance antérieure : ça ne mord pas du tout. Incisive maxillaire n’arrive pas à recouvrir les incisives mandibulaire. (Quand l’enfant va sourire, on peut voir entre les dents car c’est vraiment ouvert. La persistance de la dé glutition infantile : Passage de la langue, contraction au niveau des orbiculaires des lè vres. 2 grands troubles de la déglutition : Persistance de la dé glutition infantile (Si à 6 ans, il a toujours une dé glutition enfant alors qu’il est sensé a partir de cet â ge avoir une dé glutition adulte ET trouble de la dé glutition de l’adulte (perdu ses ré Tlexes de dé glutition, une des protections des voies aé riennes ne fonctionne plus correctement) Langue haute Lorsque toute la langue, tout le corps de la langue touche le palais. (Souvent chez quelqu’un d’hypertonique) Position adentale Position basse mais qui ne touche pas les dents. Pas vraiment de grandes diffé rences de consé quences avec la langue basse. En pulsion : Langue qui ne s’appuie pas juste sur les dents, c’est lorsque la langue fait pression sur les dents. Interposition : Lorsque le bout de la langue passe entre les dents. LA papille palatine (ET NON DES papilles palatine, endroit juste derriè re les dents) Les causes possibles : Manque de place Frein de langue trop court = Ankyloglossie = Frein de langue restrictif Mauvaise habitude Quand la respiration nasale est impossible → Souvent parce que problème de respiration, donc on respire par la bouche. Ou que respiration par le nez est pas possibles pour X raisons et Ducoup notre langue descend et la bouche d’ouvre. La respiration buccale : → Jamais physiologique (sauf effort intense) Fact : Les nouveaux né s respire dé jà par le nez. Et il peuvent respirer par le nez en mê me temps qu’il mange. La respiration buccale à une ré percussions sur toutes les fonctions oro-faciales Causes : Facteurs déclenchants : Insuf\isance nasale aigue / rhinite chronique : Enfant qui a chaque fois qu’il a le rhume ne sait pas respirer par le nez. Et il peut arriver que ces maladies devienne chronique, et qu’il prenne l’habitude de respirer par la bouche car pendant plusieurs mois il n’a pas su respirer par le nez Hypertrophie des végétations adénoïdes et/ou amygdales palatines : Se trouve au bout des fosses nasales, si les amygdales sont beaucoup trop gonTlé , le canal nasal se bouche, se ré duit et pousse l’enfant à prendre une respiration buccale. Corps étranger: Qui pourrait entraver la respiration nasale Tra