UEF2- Enfances : Âges en Éducation - Psychologie du Développement - PDF

Loading...
Loading...
Loading...
Loading...
Loading...
Loading...
Loading...

Summary

These notes cover the psychology of development, exploring topics such as the brain and cognitive development. They present an overview of brain structures, including the cortex, striatum, thalamus, and hypothalamus, and discuss cognitive functions.

Full Transcript

UEF2- ENFANCES: âges en éducation Sandrine Garin- [email protected] PSYCHOLOGIE DU DÉVELOPPEMENT - cognition et émotion examen sur table 15/10, type question qcm, petite question Séance 1 Partie 1 - Le cerveau Hypothalamus, corps striés, thalamus: Ces trois part...

UEF2- ENFANCES: âges en éducation Sandrine Garin- [email protected] PSYCHOLOGIE DU DÉVELOPPEMENT - cognition et émotion examen sur table 15/10, type question qcm, petite question Séance 1 Partie 1 - Le cerveau Hypothalamus, corps striés, thalamus: Ces trois parties sont divisées en trois parties pour le cerveau. 1. Le cortex = le manteau C’est une couche fine/sombre qui entoure le cerveau, 2mm, 6 étages de cellule pour 20 milliards de neurones. Les 6 étages sont complexes et différents niveau de compréhension/d’action couche de 2 millimètres, entoure le cerveau (boite crânienne d’1L5 d'où ses plis/circonvolution) vingt milliards de neurones pas programmé à la naissance → votre disque dur, l’ensemble de nos mémoires 2. Corps striés Centre de la motricité volontaire. S' il est blessé, il est atteint de la maladie de Parkinson. Cervelet fait partie du corps strié, fait les mouvements volontaires. =les centres de la motricité volontaire maladie de Parkinson: capacité lésée a décider de son mouvement (indicateurs= grands tremblements) la motricité automatique est assurée par le cervelet 3. Le thalamus Il traite les infos, la vision, l'audition et toucher. L’odorat lui a donné un pilote à part rien que pour lui. est spécialisé dans la réception et l'intégration des premiers signaux venant des organes sensoriels ○ ordinateur de notre perception ○ une partie qui s’occupe de la vision, une de l’audition, une du toucher ○ seul l’odorat a son propre centre (bulbe olfactif) 4. L’hypothalamus Il est relié à nos besoins, si on le stimule on va enclencher les hyperstimulations reliées à nos pulsions comme la faim, la sexualité. (hypo en grec signifie “en dessous”), situe sous le thalamus =l’ordinateur de notre vie végétative et de nos besoins le monde souterrain des pulsions puissantes (stimulations électriques enclenchent des hyperstimulations comme la faim, la sexualité…) Sous notre crâne il y a beaucoup d'étapes reliées, complexes. Partie 2: développement cognitif: éléments théoriques ★ L’intelligence et la pensée ○ compréhension ○ mémorisation ○ analyser ★ Activites mentales permettant de connaître et d’apprendre ○ la perception ○ la mémoire ○ le raisonnement, la résolution de problème ○ la prise de décision ○ la compréhension ○ la production du langage ★ La cognition ○ l’utilisation efficace des processus mentaux ○ la théorie du traitement de l’information par différents processus mentaux = ces activités nous permettent d’apprendre et connaitre. La cognition c’est l’utilisation efficace des processus mentaux qui nous permettent le traitement de l’information par les différents processus mentaux. La cognition traite une partie de l’information alors que l'intelligence est plus globale. Partie 3: Le développement durant l’enfance Après ces développements se développent doucement les relations amoureuses, notre position dans le monde. Théorie Freudienne Freud va avoir des mots clés sur ce qui dit: La Théorie Infantile Quand une personne a un problème, Freud va aller chercher ce qu’il s’est passé dans l’enfance pour comprendre. Le développement marque l'inconscient et le développement psychique de l’enfant. L’appareil psychique - Théorie de la sexualité infantile → le développement marque l'inconscient et le fonctionnement psychique de l'adulte - Ça → siège de la pulsion et des désirs refoulés, régi par le principe de plaisir, enclenchée une action selon l’objectif. Soit pulsion de vie (sexualité) soit pulsion de mort (agressivité). La libido par exemple est neutre, centrale. Il faut bien différencier la sexualité infantile et adulte. En Europe c’est très fort cette théorie alors qu' en amérique ils trouvent ça pas correcte. - Surmoi→intériorisation de l'idéal du Moi et des injonctions sociales et parentales →à l’origine de la conscience morale Toutes activités est dirigé par une pulsion dans la réalisation d’un but et donc ça apaise ma pulsion. Plus on grandit et ces pulsions vont être mutées. À 2-4ans l’enfant comprend son rôle, on appelle ça le stade anal. Le complexe d’oedique, selon l’identité de genre, pénis ou pas, si pénis alors surinvestissment de l’organe et sinon il ya une blessure narcissique et donc attirance pour le sexe opposee, donc la fille attire par le pere car il est detenteur du penis. Le parent du meme sexe vient poser l’interdit sociale et quant il ya cette interdiction il a une peridoe de latence, on comprend l’interdiction. Théorie de wallon L’être dès la naissance est social. Si on fait du mimétisme on fait s'accaparer les connaissances, dont il y a des strates et strates de changement. Soit je dev ce qui est connaissance/apprentissage (centrifuge) soit je suis sur la création de la personnalité (centripète). Mais on ne peut pas faire les deux en même temps. Soit le dev de l’être sociale soit l'achèvement de la personnalité. A 6 ans c’est moi mais moi par rapport à l'autre. Les trois stades ce n’est pas que centripète car c’est que le MOI Théorie Piagétienne -l’assimilation : on intègre les info et on les range (ex: la crise climatique) -l'accommodation: plus on n’a de connaissances plus on doit ajuster et donc faire une rééquilibrage avec mon écosystème (ex: donc je reçois des connaissances sur le sujet) -l’adaptation: l’info est integrer, et donc on s’adapte et on réajuste notre façon de faire (ex: je fais en sorte de ne pas subir ça) →Observation de piaget, on peut voir qu’il y a une suite de chaîne. ça applique un apprentissage et une mise en œuvre d’action pour apprendre quelque chose comme attraper la boule de papier en tirant la ficelle. Les bebes sont des machines de guerre de l’apprentissage. La satisfaction c’est la compréhension et la reconnaissance sociale et être fière. Ils apprennent au début avec des objets gros, utilisent les sens puis au fur et à mesure on a des objets de plus en plus petits ce qui va amener à une motricité plus fine. On a vraiment des stades de développement dans cette motricité qui va amener l’enfant à manier un crayon. et à l'emmener où il veut. Séance 2 Figure: Modèle de Russel et Carroll On voit ce qui serait les sentiments de base et des sentiments combinés. 4 curseurs, émotions positives, négatives avec activation forte/faible. - ennui → activation faible - stimulé → activation forte Ce qui est étonnant c’est la position de heureux qui se trouve bas par rapport au ressenti de chacun. Avec ces combinaisons on peut aller chercher une émotion très précise chez les adultes. Cependant, chez un enfant, on a plutôt des émotions primaires, et il ne connaît pas toutes les émotions comme passionné etc. Selon les travaux d'ekman dans les années 80. Une émotion est une réaction qu’on a suite à un stimuli externe, ce n’est pas volontaire, ce n’est pas raisonné, ca surgit. On a des combinaisons primaires. - La honte serait une association de peur et de colère, une colère envers sois même On a besoin de toutes ces émotions. Dans la vidéo, on peut voir qu’on peut avoir des émotions difficile à décortiquer, il faut faire attention à la personne et la façon dont elle les exprimés, émotions contradictoire, on les exprime de façon différente pas forcément en harmonie, il faut faire attention aux interactions et à ce qui entoure la personne. Les émotions: définition Comportement physiques et physiologiques, et ces comportements vont correspondre à la personne. Tout cela va aussi dépendre du contexte. Il y a du visible et de l'invisible. Parfois les gens ne sont pas en capacité de percevoir nos propres émotions et on les rend invisibles. Il y a en plus de la complexité, comme la peur qui est complexe à décrypter. Quand on reçoit un stimuli on va avoir sur le plan primaire, 4 curseurs: - Le combat - ou la fuite - Agréable: je reste, je me bats - pas agréable: je pars, c’est trop fort Quand j'éprouve de la JOIE, c’est soit la satisfaction d’un besoin ou d’un but COLÈRE, c’est quand quelque chose est arrivé et que ça a arrêté la satisfaction d’un besoin ou d’un but. On a soit une colère froide soit une couleur chaude. TRISTESSE, on a soit un but soit la satisfaction d’un besoin qui n’est pas atteint. PEUR, c’est quand c’est imprévisible et qu’on se met en position de survie. Pour la colère, il y a de la chaleur, pour la dépression il y a une baisse de température mais les émotions négatives ne suscitent pas toujours une baisse de chaleur. Les émotions n’ont pas de lien physique et physiologique en ce qui concerne la température du corps. Neutre et dépression seraient les pires qui c’est difficile de mettre des mots sur ces émotions, le stimuli n’est pas ressenti et donc il faut des choses très extrêmes pour ressentir quelque chose. On croit que l’amour est la meilleure émotion, mais c’est plutôt la joie qui serait la meilleure émotion. =>Impact sur les fonctions cognitives: → goûts → intérêts projets de vie → danger → communication →motivation → ajustement comportement face aux émotions d’autrui en fonction de l'émotion (ex: je suis très triste, avoir envie d'être chez soi, ou si je suis très joyeux, mes projets de vie vont être très différents. La perception du danger est différente si je suis triste ou si je suis calme/posée.) Le développement durant l’enfance Durant l’enfance son développement a besoin d'étayage, des adultes, et cet étayage va venir développer ses compétences sociales, il faut essayer de comprendre pourquoi l’enfant pleure. Plus on va essayer de comprendre ce que l’enfant dit, plus on peut accompagner l’enfant. Plus on va essayer de l'accompagner dans ses émotions douces, plus il va de ses compétences cognitives, il ne tapera pas car il saura qu’il peut communiquer d’une autre façon. Puis on va pouvoir savoir s' il y a des problèmes autres, si l’enfant a normalement appris à développer ses compétences cognitives. Ça permet aussi la conscience de soi et des autres. Pour Wallon, c’est un être biologique, social et émotionnel. L'évolution de l'expression d’autrui, on va commencer à comprendre nos propres émotions, apprendre à faire semblant, masquer sa déception, taire une colère, à un moment les émotions se tamisent. Vu qu’on évolue avec un bagage lexical alors on apprend à mieux mettre des mots sur ce que l’on ressent, à partir de 2 ans. On va prendre conscience de ce qu'on perçoit et de ce que les autres perçoivent. + sur le plan cérébral il y a une maturation, plus on arrive a avoir des comportement - violent, - excessif. Il faut réguler les émotions des enfants pour qu’il arrive à s'auto-réguler. Si on s'énerve tout le temps, l’enfant s'énerve tout le temps. La femme est malade et on vole le pharmacien ou la femme meurt et on ne vole pas le pharmacien → Ce type de dilemme n’est pas accessible avant 25 ans, car on n’a pas la maturation cérébrale. Attachement et conscience de soi. Quand le bebe naît, il pense à sa survie et il peut y accéder seul. Sinon il va développer des stratégies pour signifier à son référent ses besoins. Faim: succion, Agripper: garder le référent, le bebe fait fusion avec la mère et quand il y a la diffusion avec la mère, il y a apparition du JE, j’existe seul et plus il y a de référent, plus j’ai conscience que je suis moi. Emotions, sentiments, perception et humeurs La discussion entre sentiment, émotion et perception est essentielle en psychologie. Bien que ces termes soient parfois utilisés de manière interchangeable dans le langage courant, ils ont des définitions distinctes en psychologie. Émotions: Les émotions sont généralement décrites comme des réponses complexes, à court terme, à des événements spécifiques. Elles impliquent un mélange de réponses physiologiques (comme l'augmentation du rythme cardiaque), comportementales (comme fuir ou attaquer) et cognitives (comme la focalisation de l'attention). Dans ce travail, Paul Ekman a identifié six émotions de base : joie, tristesse, dégoût, peur, colère et surprise. Sentiment: Le sentiment peut être considéré comme l'expérience subjective d'une émotion. Alors qu'une émotion est souvent éphémère et réactive, un sentiment peut durer plus longtemps et est la prise de conscience ou la sensation de cette émotion Perception: La perception est le processus par lequel les individus sélectionnent, organisent et interprètent les informations sensorielles pour donner un sens à leur environnement. C'est une étape cognitive qui fait suite à la sensation (la réception brute des stimuli). Humeur: L'humeur est un état affectif moins spécifique, moins intense et plus durable que les émotions. Elle peut ne pas avoir de cause déclenchante apparente et peut durer des heures, des jours voire plus longtemps. L'humeur crée un arrière-plan pour notre expérience quotidienne, influençant la manière dont nous percevons les événements, interagissons avec d'autres personnes et pensons à nous-mêmes. Les humeurs ont des origines biologiques et psychologiques. Elles influencent le comportement et le cognitif. Distinction principale : L'une des principales différences entre l'humeur et l'émotion est leur durée. Les émotions sont généralement de courte durée et réactives, tandis que l'humeur peut durer beaucoup plus longtemps sans stimulus externe clair.Par exemple, on peut être d'humeur joyeuse toute la journée sans raison particulière, alors qu'une émotion de joie peut être déclenchée par un événement spécifique, comme recevoir de bonnes nouvelles. Une autre différence clé est la spécificité. Les émotions sont généralement des réponses à des stimuli ou des événements spécifiques, alors que l'humeur n'a pas nécessairement besoin d'un déclencheur spécifique. En résumé, l'humeur et l'émotion diffèrent principalement par leur durée, leur intensité et leur spécificité, bien que les deux influencent notre expérience quotidienne. Les émotions extérieurs: stimuli j’exprime, chaleurs, réaction physio, pas très long sentiment: plus long, et ça vient après les émotions, ça colore une journée, un mois, un trimestre. La perception: douleur physio, perception du danger, permet de traiter l’information Humeur: pas déclenché par stimuli externe, moins intense, pas long, moins spécifique que les émotions, cela peut correspondre à notre trait de personnalité. Séance 3 La théorie de l’attachement - 4 étapes du développement de l’attachement Stade 1: asocial De 0 à 6 semaines = les humains et les objets n'ont pas de discriminations par les bébés/mêmes choses pour eux Stade 2: attachement indifférencié De 6 semaines à 7 mois= apaisement en présence d’êtres humains Stade 3: attachement spécifique À 7-8 mois jusqu'à 24 mois=quand les personnes qu’on reconnaît s'éloigne on se sent pas bien, séparation difficile et joie de la reunion Stade 4: attachement multiple À partir de 8 mois: attachement à partir de plusieurs types, les grands parents, la fratrie… Cette progression d'attachement est différente d'où le même stade de 8 mois, selon l’individu et le niveau d’attachement. La théorie de l'empreinte (Konrad Lorenz) Expérience: il a pris un groupe de bébés oies, a pris une partie du groupe et a laissé une autre partie a la maman. Il est resté près d’eux, a fait des soins, à apporter tout ce qui faut et ensuite les bébés oies ont fini par le reconnaître, ils reconnaissent que c’est leur référent. Avec cette théorie on comprend que ce n’est pas forcément la mère à qui on se rattache mais à celui qui nous apporte des soins et avec qui on a une relation particulière, on s’attache à notre référent. Bonne nouvelle, car on peut créer un lien avec des personnes autres qu’avec des liens familiaux, comme avec l’adoption, la GPA, ou quand un enfant est orphelin car il pourra retrouver des liens. Bowley (1969): Théorie de l'attachement Vidéo: mise en danger, quand la mère ne souris plus, le bébé fait des sourires, s’agrippe comme quand elle était petite. Mais quand la maman sourit de nouveau, elle ne pleure plus, retour rapide à la communication de base. Si on crée un lien avec bébé, on favorise le bien-être. Le bébé sait comment la relation fonctionne donc ce bébé là sait que ça ne correspond pas à d’habitude. Il s’inspire des travaux de harlow(1958), sur les macaques, c’est sa base d’appui Le besoin d’autrui - Innéité ○ Repose sur le besoin de protection < survie du bébé ○ Doit être autant satisfait que le besoin alimentaire, être au chaud ○ L’innéité : dès la naissance, le bébé développe une série de comportements pour attirer et maintenir la présence d’autrui (succion, agrippement, regard qui suit, pleurs…) Pour survivre, le bébé humain a forcément besoin d’adultes (hygiène alimentation..). Le bébé développe depuis sa naissance pour attirer l’attention d’autrui, il l’agrippe, et quand il y a pas papa ou maman ou si il est dans le noir il va facilement pleurer. Pas de capacité motricité force mais le peu suffit à avoir un échange avec les parents, même pas un peu avec les yeux. L'attachement commence par la proximité. L’attachement comme système de régulation de la proximité ○ La proximité stoppe le comportement (pleurs) ○ L’éloignement déclenche le comportement (spatial, l’obscurité, la douleur) ○ Le développement cognitif et modèles internes (construction des figures d’attachement) Le développement cognitif va dépendre de cette façon dont on arrive à gérer cette proximité, soit aisée soit difficile à gérer. Ainsworth (1978) La situation étrange ○ Expérimentation (atroce, je vous l’accorde !) : séparation / retrouvailles entre mère/enfant 3 catégories d’attachement selon le comportement de l’enfant : ○ Attachements sécurisants : Recherche proximité de la mère Avec contact maintenu durant les réunions Distinction positif quand proximité de la mère plutôt que de l’étranger ○ Attachements résistants/ambivalents : Comportements de recherche de proximité avec contact ET d’évitement avec la mère Peu ou pas d’exploration Apaisement difficile lors des temps de réunions ○ Attachements évitants : évitements de toute proximité (mère ou autre) ○ 4ème catégorie l’attachement désorganisé (Main et Salomon, 1986) Attachement résistant-évitant (tremblements, rapprochement vif / éloignement vif Vulnérabilité majorée des enfants victimes de maltraitance Lien attachant sécuritaire, être au contact de la maman est sécurisant, être aux contacts des autres ce n’est pas la même sécurité que l’on ressent. L'attachement sécurisant c’est quand je reconnais une personne qui est souvent présente, avec qui j’ai une relation privilégiée. l'attachement ambivalent: j’ai le contact mais j’essaye de l'éviter, quand la maman a apporté les soins mais pas de faucon constant donc le bebe va chercher le contact/l'attachement mais en même temps va l'éviter. Ça va impacter un bebe qui ne va pas beaucoup explorer. l'attachement évitant c’est quand il va y avoir un bebe et une maman qui vont avoir une relation compliquée comme après une dépression post-partum. ATTENTION, variabilité interculturelle (Grossman et al, 1985). variabilité interculturelle: sur le continent africain, et on va avoir culturellement un bebe qui va être plutôt accompagner dans le village, figure d'attachement multiple très très tôt alors que japonais c’est plutôt une ou plusieurs figures d’attachement. Gewirtz Le principe de renforcement (Gewirtz et Pelaez-Nogueras, 1991) ○ Majoration du comportement d’alerte lorsque le parent y prête attention Si la figure d'attachement est vraiment à l'écoute alors je développe plusieurs types d’alertes. Clément, 2006 ○ Le sourire : lorsque le parent prête attention aux sourires de l’enfant, les pleurs tendent à diminuer. Si la figure sourit beaucoup, alors les pleurs se feront rares. Trouble anxiété de séparation ○ Quand l’anxiété de la séparation se développe de façon excessive face à l’éloignement (réel ou anticipé) de la figure d’attachement Le trouble de séparation devient un trouble quand il devient excessif. 3 critères de ce trouble de l’anxiété de séparation ○ Selon le DSM-5 : peut s’activer de l’enfance à l’âge adulte ○ Persistance de l’anxiété ○ Impacte sur le fonctionnement, le bien-être de l’individu ○ TCC (Thérapie cognitivo-comportementale) comme possible remédiation DSM: fait un consensus, un trouble = tel caractéristique et donc partir d’un certain nombre de caractéristiques il correspond à un “”””””diagnostique”””” mais qui doit être validé par un médecin. Et il va venir “nourrir le diagnostic” du praticien, du psychologue. TOC possible quand il y a une anxiété de séparation. Impact du lien d'attachement Fonctionnement de l'attachement: Impact sur l'émotionnelle de l’enfant sur son organisme et l’organisme du parent Sécrétion de cortisole, stress chez les parents lors de la séparation. Comportement qui devient parentaux et cette ocytocine chez l'enfant va lui permettre de comprendre que plus on va développer de l’affection plus on va se sentir bien et donc facilement le développement social. On se sent en sécurité quand on nous apporte des soins, des sentiments de bien-être quand on a tout ce dont on a besoin. Et cette empreinte est mémorisée pour la vie entière. Laurenz consolidation du lien de 6 à 8 mois. Même façon pour les animaux mais pas pour toute la vie lorsque pour letre humain c’est un impact à long terme. Ce sentiment de sécurité nous menace. Le système d'attachement, il ya sécrétion de cortisone et quand securite ocytocine Le biologique, le cognitif et l'émotionelle est en contact L’attachement et l’ocytocine Système motivationnel “génétiquement programmé” (Lemaire, 2021) ○ le biologique : survie et protection du bébé (théorie de l’attachement, Bowlby) cris, succion, agrippement, sourire... attirer l’attention des parents (système d’attach. : activation sécrétion cortisol (stress), émotions, mémoire, ocytocine) l'ocytocine : « hormone du lien », rôle tactile, facilitateur des comportements parentaux puis sociaux (Coan et Hardy, 2008). émergence sentiment de sécurité, bien-être, quand soins portés cette forme d’attachement devient une empreinte dans la mémoire de l’individu, à long terme (Coan et Hardy, 2008) Système d'attachement menace ○ sécrétion cortisol (hormone du stress) sentiment de sécurité ○ ocytocine (hormone du lien) La figure d’attachement Théorie de l’empreinte (Lorenz) consolidation du lien, pour les humains, 6 à 8 mois différent pour les animaux non humains (oies de Lorenz, une période propice) Émotionnel/cognitif/biologique lien fonctionnel entre les 3 lien à long terme Différence entre émotion, sentiment et perception Conséquence à long terme L’attachement durant la petite enfance En cas de menace, le bébé se tourne vers les adultes qui s'occupent le plus souvent de lui, ses parents, pour obtenir proximité et réconfort. Pour ce faire, il déploie des comportements d'attachement dirigés vers eux. INNÉITÉ Le tout petit bébé s'oriente préférentiellement vers ce qui est familier. Le lien d'attachement se construit avec ses parents, parce que ce sont eux qui portent des soins répétés. Les parents sont les donneurs de soins inconditionnels du bébé et deviennent des figures d'attachement. Cette relation est asymétrique, du fait de la vulnérabilité du bébé. Le bébé ne peut pas être une figure d'attachement pour son parent. MAIS en donnant des soins au bébé, les parents reçoivent du plaisir qui les encourage : l'échange est agréable et donne envie de continuer (Delage, 2008).L’attachement côté parent vers l’enfant est le bombing. Pour survivre le bébé tient un lien d’attachement avec son référent. Si il y a un attachement d’un bébé vers le parent on appelle ça le bombing. Chacun est à son rythme, chacun a sa personnalité et il explore cette distance avec cette figure d'attachement, s’en approche la suite et si elle s'éloigne elle voit ou est ce qu’elle va donc de plus en plus en sécurité. Mes soins seront toujours satisfaits, affectifs, alimentaires. Alors je me sens mieux, apaisée et ça va me permettre d’explorer mon environnement. Si je vis une crise, je vais plus facilement appréhender ce moment de crise. On va, suite à ça, construire une vision du monde, ce que c’est que d'avoir de l’aide et de demander de l'aide et va impacter les représentations de ce qu'est une figure d'attachement. 1. Entre 6-9 mois et 3 ans ○ l'enfant se développe activement dans tous les domaines : moteurs, cognitifs, affectifs, de la communication ○ selon son rythme et avec sa personnalité ○ il explore en modulant la distance avec sa FA : il s'en approche et il la suit si elle s'éloigne de lui pour obtenir de la sécurité S'instaure un véritable cercle de sécurité : la figure d'attachement procure à l'enfant une base de sécurité et de bien-être (apaisement émotionnel). Conséquence : Cela lui permet d'explorer l'environnement : il part vivre de petites aventures, affronter des défis ou des crises, négocier des conflits. Lorsqu'il est en détresse, il peut revenir vers sa figure d'attachement pour y trouver ce dont il a besoin, protection et réconfort : il s'agit du havre de sécurité. impact à long terme : Selon les expériences vécues réellement pendant sa petite enfance, avec sa FA, il se construit une vision du monde et de la relation d'aide qu'il va progressivement intérioriser sous forme de représentations de la relation d'attachement que nous aborderons plus loin. La régulation des émotions est facilitée par cet équilibre sécurité/exploration. Les émotions font partie de notre vie relationnelle et nous aident à communiquer rapidement notre état intérieur (Damasio, 2003). Elles passent par le corps et nous indiquent, quasi immédiatement, comment accorder ce que nous ressentons avec les autres et particulièrement nos proches. Apprendre à gérer la peur, la colère et la tristesse et apprécier le sentiment de sécurité, le plaisir, moduler les émotions négatives et positives font partie des fonctions de l'attachement (Delage, 2013). Mes émotions, quand je les reçois, je vais essayer de les communiquer par mon corps et ça nous indique quasi intégralement comment les indiquer aux autres. Lorsque la figure d'attachement est proche, disponible, sensible et attentive en cas de besoin - l'enfant peut développer des stratégies sécures pour explorer avec aisance l'environnement, jouer avec les autres, s'intégrer socialement, réguler ses émotions (particulièrement la peur, la colère, la tristesse) et augmenter ses capacités à surmonter les obstacles et trouver des compromis. Lorsque la figure d'attachement est moins proche, moins accessible et moins sensible et attentive en cas de besoin - l'enfant peut développer des stratégies insécures qui visent à lui permettre de s'adapter et de survivre. - Celles-ci sont plus coûteuses psychiquement, elles peuvent entraîner un appauvrissement de sa curiosité, des difficultés à réguler ses émotions et des problèmes pour s'intégrer socialement. Il s'agit de stratégies secondaires (Mary Main, 1990). L'enfant peut adopter des stratégies d'attachement identiques ou différentes avec chacun de ses deux parents en fonction de la qualité et de la régularité Attachement et régulation sociale: Le système d'attachement a un effet protecteur du contact social tant chez l'enfant que chez l'adulte: ce qui est familier fait baisser le stress, encore plus s'il s'agit de la figure d'attachement. Coan et al. (2006) réalisent une étude intéressante qui met en évidence un lien entre l'amélioration de la santé et du bien-être en fonction de la représentation sociale de la réponse émotionnelle face à des événements de vie stressants. ○ L'étude concerne des femmes mariées, qui s'entendent bien avec leur mari, que l'on soumet à des légers chocs électriques dans trois situations : alors qu'elles sont seules, ou qu'elles tiennent la main d'un étranger, ou celle de leur mari. ○ Résultats : un stress important quand elles sont seules une baisse généralisée de la réponse au stress lorsqu'elles tiennent la main de l'étranger et du mari La baisse est plus marquée avec le mari et moins marquée avec l'étranger Il existe donc un lien entre le système neuronal de réponse au stress, les processus d'apaisement et le système d'attachement, l'amélioration de la santé et du bien-être. selon la relation que j’ai avec mes parents, j’ai plusieurs stratégies d'attachement selon les figures d'attachements. Avoir un lien sécurisant, fait baisser le stress. Cours 4 Le développement de l’enfant: concept de soi, conscience de soi et estime de soi Le développement de l’enfant Clemont Demont (2017) Le développement du bébe dépend de son environnement, plus de bienveillance, plus d’interactions, plus le développement se passe. Quand il y a une notion de handicap on va encore plus faire attention à l'environnement de l’enfant. Quand le bébé naît, il n’y a pas de mots, pas de langage et il est sur ses premiers mois de survie, les gestes de succions, agripper pleurer est ma communication. La voix du référent, le beeb va le reconnaître et être en fusion avec. La conscience de soi → c’est la capacité de ses pensées, se percevoir distinctement des autres individus. expérimentation: → le point rouge sur le nez, test a 15 mois = il va peut être se rappeler de la couleur, se toucher et donc il va prendre conscience de son reflet, c’est son soi SENSORIEL QUI VA TRAITER L’INFORMATION → l'apparition du JE est à 2 ans , mais aussi l'apparition du NON, il éprouve sa relation avec les autres, le respect de son propre opinion, le pouvoir qu’il a vis à vis de son environnement, il apparaît avec le développement du langage Tout ceci va permettre… Le concept de soi→ ensemble de pensées, perception que j’ai de moi-même, il commence a savoir ce qu’il a des fiddents entre les autres ou pas → favorise donc la comparaison sociale (image, performances scolaires)permet de savoir qui on est → descriptions marrant concrètes pour devenir de plus en plus abstraites Au début c’est très concret :”je suis leo(=conscience de soi) et je suis sympa(=conscience de soi et comparaison avec les autres)” Estime de soi → lorsque la conscience de soi est l'ensemble de ce que nous pensons de nous même, l’estime de soi est le jugement que nous portons sur nous même Conscience de soi: je me découvre en fonction d es autres estime de soi: je juge →4 composantes - compétences scolaires - compétences sociales - compétences physiques/sportives - apparence (+++ ado) → les stéréotypes ont un poids lourds dedans, la comparaison, comprend que certains groupes me plaisent d’autres non et quand je trouve mon groupe c’est un groupe que je valorise et qui me valorise et ensemble on va faire perdurer et ne pas le mettre en danger et donc je vais comprendre qu je suis à travers eux exemple: exercice de géométrie =garçon meilleur que les filles exercice d’art plastiques = resultats equivalents donc l’estime de soi sur les compétences scolaires est très importantes → impact majeur - réussite scolaire - orientation - pratiques addictives : “je suis le plus timide ma classe” Les 4 styles parentaux hostiles chaleureux contrôlants AUTORITAIRE DÉMOCRATIQUES non-contrôlants DÉSENGAGÉS PERMISSIFS 1. Parents autoritaires - très rigides, imposent des règles non négociables et exigeantes - communication parents/enfants peu ouverte - enfants obéissants/performants à l'école - possibilité estime de soi faible, conflits familiaux, possibilité de dépression - adaptadiptilite +++, exploration de soi hostiles et contrôlants performants car habitués à un cadre et il sait comment réagir, on a nos parents en modèle et malgré ce que l’on fait ce n’est jamais assez, tendance à une dépression. Exploration de soi complique 2. Parents démocratiques - pose un cadre/règles flexibles/limites claires - communication ouverte avec limites établies - favorise l’autonomie, possibilité estime de soi forte. performances scolaires, habiletés scolaires ++, santé mentale ++ chaleureux et contrôlants “je te pose un cadre car je suis le parent et pour ton bien”, on peut aussi avoir des rêves et les mettre en pratiques assez tôt, le dialogue est ouvert mais peut donner une aisance, confiance en soi trop grande vu et peut mettre en difficulté le professeur 3. Parents permissifs - peu voire pas de cadre/règles négociables, répond toujours oui, peu exigeant - communication ouverte parents enfants mais presque comme parents/amis - potentiellement enfant en difficulté face aux cadres, règles, autorité - plus de difficultés scolaires chaleureux et non-contrôlants l'enfance avec ce style, va avoir du mal à se tenir en classe, se lever le matin va être compliqué 4. Parents désengagés - peu de règles/cadres, pas de soins/attention à l'enfant - possibilités difficultés scolaires, estime de soi faible/comportements à risque - adaptabilité - - Hostiles et non-contrôlants Les parents doivent poser un cadre, lui expliquer, essayer d'éprouver de la confiance, reposer le cadre, lui réexpliquer et le parent doit être là et lui montrer que le parent est là. Selon la famille d’une autre culture (l'occidentale) - parents américano-européens → style démocratiques - parents américano asiatiques hispaniques africaines → pratique plus autoritaires Impact différents sur l’enfant: - dans une porteurs le contrôle coercitif est perçu comme intrusif et dommageable pour l’enfant - les adolescents coréens =sentiments d'efficacité ++, difficultés moindre quand style parental autoritaire Engagement et bienveillance de l’adulte L’adulte engage et bienveillant Si un parent est désengagé vous pouvez être un relais, on est cruciaux. - l'adulte bienveillant et engagé doit être le parent MAIS pas seulement (l’enseignant, le PsyEN…) - favorise la capacité à développer des projets de vie, à décider - encouragement, attentes élevées MAIS sur la base des intérêts et forces de l’adoelscent (Chen et solberg 2017) L’adulte bienveillant et engagé est une personne qui soutient comme un “ami” et qui favorise une relation de confiance ET stable, c’est hyper important pour le jeune. Avoir un groupe d’adultes bienveillant et engageant a un impact ++ et ce sont des parents, tuteurs, enseignants, conseillers scolaires, psy et mentors. L’adulte qui vous a vu évoluer, il a vu du talent et il a cru en l'enfant, a un impact énorme car il donne de l'attention et il a confiance en cet adulte. L'intérêt c’est que ça favorise un environnement sûr afin de permettre émotionnelle et la possibilité d’explorer le monde extérieur. Comme ça si un jour ça ne va pas, s' il y a une réussite il sera là aussi, il y a un partage. CONFIANCE, PARTAGE, ENGAGÉE. Puis ça renforce l'identité professionnelle des jeunes. Mais comment? “principale source de persuasion sociale” les encouragements, les déclarations d'encouragements, comportements avec des attentes envers le jeune a partir de ses forces, intérêt. Cette persuasion se formule car j’ai des attentes plus hautes mais ça fait sens avec ce que l’enfant est capable de faire. Notion d'école décente École décente ? les expériences directes de l'éducation (par exemple recevoir un enseignement de qualité) les expériences au sein de l'environnement éducatif (par exemple un espace physique sur) → c’est avoir un enseignement de qualité mais être dans un cadre sûr, école plus sur pour travail plus dur École indécente? Les mauvaises expériences en matières d’éducation - en particulier au cours de l’ecole secondaires - sont à leur tour liées à un accès réduit à l'enseignement supérieur et à l'obtention de celui-ci, ainsi qu'à des difficultés de transition entre école et le travail Impact école décente? un meilleur climat scolaire favorise le bien être émotionnel et mental des élèves favorise de meilleurs résultats scolaires favorise la baisse des taux de consommation de drogues et de suspension a l’ecole VIDÉO: On comprend que tout l'environnement vient à notre aide en cas de difficulté. Engagement a besoin de se travailler en réseau, ça soulage les professionnels et la reconnaissance du travail que chaque professionnel fait. Ils peuvent accompagner les enfants qui peuvent être en difficulté. Les professionnels qui n'ont pas de bagages reconnaissent ce qui ne va pas, on va venir les aider afin qu’ils soient bienveillants, car le professionnel est en souffrance quand il ne comprend pas. Il faut se questionner sur notre bien-être pour celui de l’enfant. Séance 5 Qu’est ce que l'attention Vidéo: cadre très précis et très simple, les enfants sont attentifs au protocole. On voit aussi différents types d’attention. On va être attentif à comment ca va se poser sur la feuille - l’attention et la mémoire sont essentiels aux processus d’apprentissages - développement de l’attention et de la mémoire jusqu'à l'adolescence - développement avec intervention des adultes lorsqu’il est partiel, notamment pour les personnes neurotypiques Un élève qui n’aime pas une activité a peut-être juste une difficulté alors il faut être fin sur le coeur du problème - lorsqu’il est partiel, il entame les efforts lors des apprentissages notamment académiques - comprendre le fonctionnement de l’attention et de la mémoire, permet une meilleure intervention et un meilleur soutien à l’enfant Un élève qui n’aime pas une activité a peut être juste une difficulté alors il faut être fin sur le coeur du problème - L’attention= ”la capacité cognitive à sélectionner et à traiter de manière privilégiée certaines informations, au détriment d’autres,a partir de l'environnement externe et de la pensée interne. Elle permet à l'individu de diriger ses ressources mentales vers des stimuli ou des tâches spécifiques, facilitant ainsi la perception, la mémoire, et l’action dans des situations variées” (posner et petersen, 1980) Il n’existe pas qu’une seule façon d’être attentif → selon l'intensité - l'alerte : des arbres sur la route qui bouge - l’attention soutenue : pendant un contrôle - la vigilance → selon la sélectivité - l'attention focalisée : attention à l'élément - l’attention visuo spatiale : dans le 3D - l'attention divisée : parler en cours par exemple Les différents temps d’attention et leurs fonctionnent 1. Attention sélective ou localisé Elle traite les informations pertinentes dans une activité et inhibe les autres stimuli. - traitement des informations pertinentes pour l’activité - inhibition aux autres stimuli - pb : différences de traitement (infos retenues/les autres). - Broadbent (1958) - l’attention sélective comme un filtre - temps d’un bon traitement de chaque information - difficulté attentionnelle / coût de cette forme attentionnelle 2. L’alerte - l’organisme est en éveil de façon minimale - permet au cerveau de recevoir les informations - en alerte pour pouvoir répondre à un stimulus - en alerte plutôt physiologique (durant le jour, varie durant la journée) 3. L’attention soutenue - oriente l’individu et son intérêt vers la/les sources d’informations - maintien de l’attention durant un temps et sans interruption - sujets hyperactifs et impulsifs en difficulté forte et sans interruption (examen par exemple) TDAH et TDA l’attention soutenue est complexe, il faut que l’attention soit forte pour rester attentif 4. L’attention divisé - entre deux (ou plus) sources de stimuli différents (Au moins 2 stimuli externes) - risque d’un traitement moindre (par rapport à l’attention sélective) - activité automatique (moins coûteuse) / activité intentionnelle (plus coûteuse) = combinaison des deux actions simultanées possibles (attention aux doubles activités coûteuses) - activité scolaire : reine de la double activité (écouter et prendre des notes) - entrée : auditive / visuelle + sortie : graphique / orale - Problème : quand tâches ont des modalités entrée ou sortie identiques avec capacités cognitives ++ - problème : activités automatiques - non mémorisées contrairement aux activités intentionnelles - difficile à inhiber (effet “stroop”) Vaut mieux une moins coûteuses attentionnelles et l’autre plus coûteuses sinon trop complexes (prendre des notes) effet stroop = difficulté à inhiber une réponse automatique (ici lire le mot 0 si on demande à un enfant de lire et comprendre un texte tout en écrivant des mots dictés = l’enfant privilégie le sens du texte et développe une écriture automatique (donc peut être avec des fautes ou mal écrit) (Siéroff, 1994) Traitement intentionnel - contrôle - je choisis parmi les différents reponses (donc inhibe les autres) - coûteuse sur le plan cognitif - demande du temps - sur des nouveaux éléments (sur si pas d’automatismes) Traitement automatique - autonome (pilote automatique) = mettre les poubelles sur la rue - obligatoire - peu coûteuses sur le plan cognitif - rapide, simultanée - répétition stratégies surprises Les sous systèmes attentionnels pour un bon traitement de l’information La mémoire de travail ≠ mémoire à long terme - comme un petit disque dur ou l’on pose ce qu'on a besoin en ce moment, de cours précédents par exemple, il est temporaire La flexibilité mentale - peut switcher l’autonomie La capacité attentionnel mesure en disant des chiffres dans un sens et un autre, il faut la capacité intentionnelle pour les restituer L’attention ce sont les différents types d’attentions mais il faut des outils, les 6 sous-systèmes, sinon je n’aurai pas tous les types d’attentions. Les personnes avec TDAH, le contrôle attentionnel complique tout comme le déplacement attentionnel. Développement de l’enfant et de son attention MAIS FAIS ATTENTION ! (aux fautes d’orthographes, ne pas déborder…) il faut faire ATTENTION - capacités mnésiques et attentionnelles différentes - adaptations des exigences aux capacités attentionnelles de l’enfant - élèves en situation de handicap L'attention sélective ou focalisée Jusqu'à 9 ans, il me faut plusieurs caractéristiques de l'objet pour déterminer un objet. La maturation sélective arrive qu'à 12 ans. La maturation divisée arrive entre 6 et 12 ans, écouter deux choses en même temps est difficile. La capacité intentionnelle se développe entre 3 et 17 ans. A 6 ans on mémorise 4 objets, après 16 ans jusqu'à 7 objets. Évolue très lentement à partir de 13 ans. Préfère les capacités auditives que ecrite. si manipulation mentale oui mais que sur des compétences maîtrisées sinon écrire ou dessiner pour que ca soit plus facile

Use Quizgecko on...
Browser
Browser