PSY-1501 (1) PDF - Introduction à la Psychologie

Summary

Ce document fournit une introduction à la psychologie, couvrant les bases de la méthode scientifique et des biais potentiels dans la recherche psychologique. Il explore également des concepts clés tels que la perception, le comportement et les méthodes de recherche en psychologie.

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+Rg-xuU3wn.fx7C Chapitre 2 La psychologie est une science issue de la philosophie : “ la psychologie a un long passé,mais une courte histoire” Le rationalisme-été autrefois la façon dont en réponse à la question sur l'esprit humain.Mais ce que nous croyons être vrai à propos du...

+Rg-xuU3wn.fx7C Chapitre 2 La psychologie est une science issue de la philosophie : “ la psychologie a un long passé,mais une courte histoire” Le rationalisme-été autrefois la façon dont en réponse à la question sur l'esprit humain.Mais ce que nous croyons être vrai à propos du comportement est souvent différent de la façon dont nous comportement réellement.(par exemple Aristote (philosophe du IV e siècle av. J.-C.) a utilisé le rationalisme pour établir le raisonnement selon lequel les pensées, les perceptions et les émotions humaines étaient des produits du coeur, plutôt que du cerveau) Ebbinghaus et la psychologie : Ebbinghaus est une figure importante dans l'histoire de la psychologie, notamment pour sa citation célèbre sur la "longue passé mais courte histoire de la psychologie. Cette citation met en lumière la transition de la psychologie d'une discipline basée sur le rationalisme à une science expérimentale. ( l'étude scientifique de la psychologie est très récente) La méthode scientifique : La psychologie utilise la méthode scientifique pour étudier les processus mentaux et le comportement et faire des déductions à leur sujet. Les étapes de la méthode scientifique sont (1) l'identification du problème, (2) la collecte d'informations, (3) la formulation d'une hypothèse, (4) la conception et la réalisation d'expériences, (5) l'analyse des données et la formulation de conclusions et (6) la reprise du processus à partir de l'étape 3 en tenant compte des apprentissages réalisés. Les méthodes descriptives : La recherche descriptive en psychologie nous permet de décrire des comportements observables. Observation naturaliste : Observer les sujets dans leur environnement naturel sans interférence. Observation participante : Le chercheur s'implique dans le groupe qu'il observe. Études de cas : Une étude approfondie d'un individu ou d'un petit groupe.(phineas gage,HM) Enquêtes : Recueillir des données auprès d'un grand nombre de personnes à l'aide de questionnaires ou d'entretiens. Les biais : Biais de supériorité illusoire : Comme mentionné, c'est la tendance à se voir comme meilleur que la moyenne. Cela peut s'appliquer à des compétences comme la conduite ou d'autres attributs personnels. +Rg-xuU3wn.fx7C Biais de désirabilité sociale : Les gens répondent de manière à être perçus favorablement par les autres, souvent en cachant des comportements jugés socialement inacceptables. Biais d'acquiescement : C'est la tendance à être d'accord avec la plupart des affirmations dans une enquête, indépendamment de son opinion réelle. Cela peut fausser les résultats si les participants ne réfléchissent pas vraiment à leurs réponses. Biais de genre : Ce biais peut survenir si les hommes et les femmes ne sont pas répartis également dans les groupes d'une étude, ce qui pourrait influencer les résultats, par exemple, dans des études sur le comportement agressif. Biais de volontariat : Les personnes qui choisissent de participer à une étude peuvent ne pas être représentatives de la population générale, ce qui peut biaiser les résultats. Biais de cadrage : La manière dont une question est posée peut influencer la réponse, en orientant les participants vers une certaine perspective. Éthique, consentement, considérations particulières : L'éthique de la recherche en psychologie est un ensemble de normes visant à protéger les droits et le bien-être des participants. Elle a été développée suite à des études controversées comme l'étude de Tuskegee sur la syphilis. Les cinq principes éthiques fondamentaux établis par l'American Psychological Association (APA) pour guider la recherche en psychologie sont : la bienfaisance et non-malfaisance (faire le bien et éviter de nuire), la fidélité et responsabilité (être digne de confiance et honnête), l'intégrité (pratiquer une science précise et honnête), l'équité (assurer une représentation juste et des bénéfices équitables), et le respect des droits et de la dignité (protéger les droits, la vie privée et le bien-être des participants). Les populations vulnérables (y compris celles dont les capacités de prise de décision sont altérées et celles qui sont vulnérables en raison de leur situation) doivent être traitées avec un soin particulier; le consentement éclairé est particulièrement important dans ces groupes. La tromperie dans la recherche psychologique n'est justifiée que dans des circonstances particulières. Lorsque l’on considère les droits des personnes qui participent à une recherche en psychologie, il est important de souligner certaines situations éthiques où des participantes et des participants potentiels ne sont pas en mesure de donner un consentement libre et éclairé. Ces populations vulnérables comprennent toute personne ou tout groupe de personnes répondant à l’un des deux critères ci-dessous. 1. Inaptitude décisionnelle : Personnes ayant une capacité réduite à donner un consentement éclairé (ex: enfants, personnes avec déficience intellectuelle). 2. Vulnérabilité situationnelle : Personnes dont la liberté de choix est compromise par une influence externe (ex: détenus, militaires, personnes en situation économique précaire). +Rg-xuU3wn.fx7C Les corrélations : Définition : Une corrélation mesure la relation entre deux variables. Elle peut être positive, négative ou nulle. ○ Corrélation positive : Les deux variables augmentent ou diminuent ensemble. Par exemple, plus on étudie, meilleures sont les notes. ○ Corrélation négative : Une variable augmente tandis que l'autre diminue. Par exemple, plus on regarde la télévision, moins on fait d'exercice. ○ Corrélation nulle : Il n'y a pas de relation apparente entre les deux variables. Force de la corrélation : Elle est mesurée par le coefficient de corrélation, qui varie de -1 à 1. ○ Un coefficient proche de 1 ou -1 indique une forte corrélation. ○ Un coefficient proche de 0 indique une faible corrélation. Corrélation n'est pas causalité : Ce point est crucial. Même si deux variables sont corrélées, cela ne signifie pas que l'une cause l'autre. Par exemple, il y a une corrélation entre les ventes de crème glacée et les homicides, mais cela ne signifie pas que l'un cause l'autre. D'autres facteurs, comme la température, peuvent influencer les deux. Utilité des corrélations : Elles sont utiles pour faire des prédictions et explorer des relations potentielles entre des variables. Elles peuvent guider les chercheurs vers des études plus approfondies pour déterminer des relations de cause à effet. Méthode expérimentale : Les variables, les groupes, l’effet placebo : Variables : ○ Variable indépendante : C'est la variable que les chercheurs manipulent pour observer son effet. Par exemple, dans une étude sur l'effet d'un médicament sur la mémoire, le médicament serait la variable indépendante. ○ Variable dépendante : C'est la variable mesurée pour voir l'effet de la manipulation. Dans l'exemple précédent, la performance de mémoire des participants serait la variable dépendante. Groupes : ○ Groupe expérimental : Ce groupe reçoit le traitement ou la condition d'intérêt. Par exemple, les participants qui reçoivent le médicament pour la mémoire. ○ Groupe témoin : Ce groupe ne reçoit pas le traitement d'intérêt, mais est traité de manière identique au groupe expérimental à l'exception de la variable indépendante. Cela permet de comparer les résultats et de déterminer l'effet du traitement. Effet placebo : +Rg-xuU3wn.fx7C ○ L'effet placebo se produit lorsque les participants montrent une amélioration simplement parce qu'ils croient recevoir un traitement, même si ce traitement est inactif (comme une pilule de sucre ou une injection de solution saline). ○ Pour contrôler cet effet, les chercheurs utilisent souvent un groupe placebo, qui reçoit un traitement factice. Cela aide à isoler l'effet réel de la variable indépendante en comparant les résultats avec ceux du groupe expérimental. Échantillons : Représentativité : Un échantillon doit être représentatif de la population pour que les résultats de l'étude puissent être généralisés. Cela signifie que les caractéristiques de l'échantillon (comme l'âge, le sexe, l'origine ethnique, etc.) doivent refléter celles de la population. Méthodes d'échantillonnage : Il existe différentes méthodes pour sélectionner un échantillon, comme l'échantillonnage aléatoire, où chaque membre de la population a une chance égale d'être choisi, ou l'échantillonnage stratifié, où la population est divisée en sous-groupes et des échantillons sont tirés de chaque sous-groupe. Taille de l'échantillon : La taille de l'échantillon est également importante. Un échantillon trop petit peut ne pas capturer la diversité de la population, tandis qu'un échantillon trop grand peut être coûteux et difficile à gérer. Mesures descriptives des données : Les mesures descriptives des données sont des outils statistiques utilisés pour résumer et décrire les caractéristiques principales d'un ensemble de données. Voici quelques-unes des mesures descriptives les plus courantes : 1. Moyenne : C'est la somme de toutes les valeurs divisée par le nombre de valeurs. Elle donne une idée du "score moyen" d'un ensemble de données. ○ Question de réflexion : Que se passe-t-il si une valeur extrême est ajoutée à l'ensemble de données ? Comment cela affecte-t-il la moyenne ? 2. Médiane : C'est la valeur du milieu lorsque les données sont classées dans l'ordre croissant. Si le nombre de valeurs est pair, la médiane est la moyenne des deux valeurs centrales. ○ Question de réflexion : Pourquoi la médiane pourrait-elle être une meilleure mesure centrale que la moyenne dans certains cas ? 3. Mode : C'est la valeur qui apparaît le plus fréquemment dans un ensemble de données. ○ Question de réflexion : Est-il possible d'avoir plus d'un mode dans un ensemble de données ? Que signifie cela ? 4. Écart-type : Il mesure la dispersion des données par rapport à la moyenne. Un écart-type faible indique que les données sont proches de la moyenne, tandis qu'un écart-type élevé indique une plus grande dispersion. ○ Question de réflexion : Comment l'écart-type peut-il aider à comprendre la variabilité des données ? Étendue : soustraire la valeur la plus faible de la valeur la plus élevée +Rg-xuU3wn.fx7C Variance : moyenne des écarts à la moyenne mis au carré; (écart-type) Chapitre 3 Les composantes du neurone : la fonction du neurone est de interper(intégration) et de transfert des informations, il existe trois zone dans le neurone important,la première est celle du haut est une zone de réception, la deuxième en bas est une zone de transfert, la dernière zone en bout de la deuxième zone est une zone de communication avec l'extérieur du neurone(une communication électrochimique). Les dendrite sont dans la zone 1, c est le premier point de contact avec les informations(c'est l'arrivée du message dans le neurone par l'intermédiaire des dendrites et de ses épines dendritique), en bas le corps cellulaire avec le noyau. Le cône d' implantation se trouve au bout du corps cellulaire, a la suite du cône se trouve l axone(transfert l' information juste à la zone 3) il est décrit comme un fil proteger par des amas du noms de gaine de myéline, ses amas son espace de l' une de l' autre est cette espace est le noeuds de Ranvier cela permet d' accélérer la propagation de l' influx nerveux donc l' information est plus rapidement transfert. Au bout de l' axone, nous avons la troisième zone qui est la terminaison axonal , l information neuronale est devenu chimique puisqu' il va avoir expulsion d élément chimique qui sont neurotransmetteurs(sert au contact d' autres neurone) Les cellules gliales : ▪ Cellules qui soutiennent les neurones Nourrissent le neurone Libèrent le neurone de ses déchets Décomposent les neurones morts Aident à maintenir le système immunitaire Accélèrent les impulsions électriques Le SNC /SNP (somatique et autonome); les afférences et efférences : SOMATIQUE : Fonction : contrôle volontaire des mouvements du corps via l’action des muscles squelettiques. Les nerfs de ce système transmettent aussi au système nerveux central les messages relatifs aux sens. AUTONOME : Fonction : système involontaire ou inconscient responsable de la régulation des fonctions vitales internes Le PA : une brève inversion de la polarité électrique de la membrane d' un neurone qui se pro[age au long de l axone.Il est declencher lorsque que la membrane atteint un seuil de dépolarisation. Dépolarisation : le potentiel devient moins négative Hyperpolarisation : devient plus négatif Les ions Na+ entrent par les canaux Na+ et dépolarisent les cellule pour atteindre le seuil du potentiel ▪ Les canaux Na+ (qui sont sensibles au potentiel) s’ouvrent et beaucoup d’ions Na+ rentrent, ce qui cause la dépolarisation ▪ Potentiel d’action est atteint ▪ Les canaux K+ s’ouvrent et il y a une sortie massive d’ions positifs, ce +Rg-xuU3wn.fx7C qui est la polarisation ▪ Petite période réfractaire : un moment où le neurone ne peut pas être restimuler pour produire un nouvel potentiel d’action ▪ On revient à l’état stable (à -70 mV) Les NT : ▪ Augmente la probabilité que le neurone devienne actif ▪ Ex : acétylcholine, Glutamate, Sérotonine, Dopamine. o INHIBITEUR : ▪ Diminue la probabilité que le neurone devienne actif ▪ Ex : Acide gamma-aminobutyrique, Glycine, Dopamine - EFFETS DES NEUROTRANSMETTEURS : o AGONISTE : ▪ Composé qui imite l’action des récepteurs DIRECT : se lie au même site que le NT (donc il y a une compétition entre les deux) INDIRECT : se lie à un site différent o ANTAGONISTE : ▪ Composé qui bloque l’action des récepteurs DIRECT : se lie au même site que le NT (donc il y a une compétition entre les deux) INDIRECT : se lie à un site différent L’encéphale (noyaux, lobes, régions et grandes structures) Résumé des principales fonctions cérébrales: - Lobes frontaux/Lobe frontal o Prise de décisions et le mouvement o C’est ce qui nous sépare du reigne animale - Cortex moteur o Réalisation des mouvements volontaires - Cortex préfrontal o Décider quand, pourquoi et comment il faut effectuer les actions - Lobes pariétaux o Traitement des chiffres et réalisation des calculs - Corps calleux o Relier les deux hémisphères du cerveau et partager l’information - Lobes occipitaux o Traitement visuel THALAMUS : o Station relais (dispatcher) o Les neurones dans le thalamus relaient l’information sensorielle à d’autres sections du cerveau (il envoie l’information à la bonne place) +Rg-xuU3wn.fx7C CERVELET : o Communique avec différentes zones du cerveau afin de coordonner le mouvement et la pensée o Un des sièges de l’équilibre, coordination, planification SYSTÈME LIMBIQUE : o Aide (entre autres) à mémoriser les souvenirs émotionnels (mémoire émotionelle) o Permet d’apprendre pour mieux nous adapter à l’environnement o Cortex préfrontal et olfactif ▪ Ex : les émotions/souvenirs reliées avec des odeurs comme l’odeur de la bonne bœuf d’une mère o Amygdale ▪ Responsable de la gestion de la peur o Hippocampe o Gyrus cingulaire o Hypothalamus Le corps calleux est une sorte de pont reliant entre elles les moitiés (hémisphères) gauche et droite du cerveau et permettant le passage de l'information d'un côté à l'autre. Les techniques d’imagerie - IRM (imagerie par résonance magnétique) - TEP (tomographie par émission de positrons) Chapitre 5 Perception : Combinaison des sensation provenant du système sensoriel et de connaissance préalable et sensation : stimuli provenant de l'environnement pour créer une compréhension du monde Traitement ascendant et descendant :Le traitement de bas en haut (ascendant) est basé sur la prise information objective dans environment puis l’ analyse de ces informations et/ou des hypothèses émises sur ce qu’est l’élément capté dans l’environnement Le traitement de haut en bas (descendant) est basé sur l’expérience et les connaissances emmagasinées. Sur les processus mentaux de haut niveau, sur nos attentes. Il permet de reconnaître efficacement l’information. Le plus souvent , le traitement de bas en haut seul ne suffit pas à identifier les objet de l’environnement Les principes (ou lois) gestaltistes : 1.Perception figure-fond +Rg-xuU3wn.fx7C 2.Loi de la similitude 3.Loi de la proximité 4.Loi de la fermeture 5.Loi de la continuité 6.Loi du destin commun La vision (l’œil et les voies) Les cellules spécifique de la rétine vont permettre la transduction entre l'énergie lumineuse et l'énergie du système nerveux(le pntiel d action) loeil possède trois membrane 1-La sclérotique(qui donne la forme) 2-la choroïde(forme souple 3-La rétine(possède les photorécepteur qui permet de transformer l' information électrique en potentiel électrique) l'oeil est entouré d'une membrane épais qui permet de donner sa morphologie à l'oeil a part le devant la membrane devient transparente pour laisser place a la lumière,Ensuite il ya une ouverture la pupille et elle gere par l'iris Quand la lumière rentre a passe la cornée et l'iris,elle sera ensuite refléter par une lentille spécifique du nom de Cristallin qui peut se bombé pour diriger le rayon lumineux vers le fond de l'oeil vers la membrane la rétine et sur la rétine en va trouver un point spécifique appeler la fovéa. À partir de la rétine l' information , partira de l'œil par les axones de cellules, ses action sont appeler nerf optique cela ira vers le thalamus pour arriver finalement à l'air visuelle primaire du niveau occipital. :LES VOIES OPTIQUE Les voies optiques sont un aspect fascinant du système visuel. Elles commencent à partir de la rétine, où la lumière est convertie en signaux électriques par les photorécepteurs (bâtonnets et cônes). Voici quelques points clés pour vous aider à comprendre ce processus Chiasma optique : C'est l'endroit où les fibres nerveuses de chaque œil se croisent partiellement. Cela permet à l'information de l'hémichamp visuel droit de chaque œil d'être traitée par l'hémisphère gauche du cerveau, et vice versa. 1. Corps géniculé latéral (CGL) : Après le chiasma optique, les signaux se dirigent vers le CGL du thalamus, où ils sont organisés pour un traitement plus sophistiqué. 2. Cortex visuel : Finalement, les signaux atteignent le cortex visuel dans le lobe occipital, où l'information est traitée pour former une image visuelle complète. Vision des profondeurs : les principes de la vision de profondeurs 1.Occlusion — si nous voyons deux objets ensemble, et que lun est masqué par l' autre notre cerveau se percevra que celui non caché est plus proche de nous et l' autre non. 2.Hauteur relative—- Plus les objets sont haut dans notre champs visuelle , plus il sont éloignés et les verticaux sont perçu pour long que les horizontal. +Rg-xuU3wn.fx7C 3.Taille relative —- Deux objets similaire , mais si un est plus loin l objets sera perçu plus petit que celui plus proche 4.Taille familière —-- informations déjà perçu du cerveau 5.Convergence de la perspective—- Quand des lignes parallèle se rejoins en perçoit la profondeur , plus les lignes se converge plus il semble que la profendeurs est exprimer comme un tableau avec les lignes de fuite.Cela donne l'effet de profondeur Ponzo , même si deux ligne sont de la même taille éloigne elle donne l'effet que l'autre et plus grands alors que non. Le cerveau est incapble de le voir , parce qu' il reconstruit avec les indices de profondeur 6.Perspective atmosphérique—- Atmosphère entre nous et la distance qui donne l impression de flou moins claire comme regarder une montagne de loins *On a plusieurs façons de recréer la profondeur, il existe aussi des indices binoculaire (les deux yeux) on s'aperçoit que quand les deux yeux regarde la même chose il y a un décalage entre eux.Il n a pas le même angle, ce qui fait que l' image recrée dans le cerveau n' a pas exactement la même information cela donne l'effet de profondeur et aussi un effet de convergence dans certain cas. effet de convergence : rotation des yeux pour mettre un objet en vision central( l' objet doit être proche pour faire ca) L’audition (l’oreille et les théories) Les ondes sonores sont captées par le pavillon de l'oreille qui permet de rédiger le son vers le méat acoustique et une fois que le son c' est propager le son arrivera par la suite vers une membrane élastique appelée la membrane tympanique. et le son frappera le tympan qui est élastique (souple) qui vibra au même rythme que la vibration sonore.Le tympan est solidaire de trois osselets (qui sont les petit os humain) le marteau, l'enclume et l'étrier ils sert à amplifier la sonorité parce que le son par la suite sera propager dans le milieu liquidien puisqu' il y ira vers la cochlée (un milieu liquide) il faut donc d' abord amplifier le son pour conserver une certain intensité sonore. La fenêtre ovale , est l'endroit de jonction de l'étrier et la cochlée.Un l intérieur de la cochlée c' est un milieu liquide et en trouve une membrane du nom basilaire qui vibra elle aussi et par elle la transduction commencera sensorielle auditive l' information sera transformé en potentiel d action. Selon la vibration sonore, la membrane réagit à sa façon si elle haute la partie de la membrane proche de la fenêtre ovale réagit si elle sont moyen le milieu et si bas a la fin de la membrane.Sur cette membrane se trouve , des cellules ciliées qui réagit (activer) pour produire du potentiel action. Selon l' emplacement le cerveau reconstruit le son (haut , grave.etc) +Rg-xuU3wn.fx7C Tout comme les voies visuelle , après les cellules ciliées l' information ira vers laire primaire auditif qui se trouve au niveau temporal (le corps géniculé médian-thalamus) par la suite l informations ira vers le cortex temporal et dans ce meme cortex en trouvera une organisation au niveau des sonorités(organisation tonotopique-tonalité qui provient des ciliées)Chez les humains les sonorité proche de la voix humain seront dès partie mieux représenter par les cellules qui les analyse. Théories : Localisation sonore, nous les humains somme capable de faire une différence temporel et intensité avec l'arrivée du son entre nos oreilles.Par exemple quand un son vient de droit notre oreille droit le réparer plus rapidement par rapport à celle de gauche, le cerveau en conclura donc que le son vient de droit et cela sera renforcé par une intensité puisque que le son venant de droit va être plus intense sur ma droit que l'autre , la tete fait une onde acoustique et atténuer l'intensité sonore pour la gauche.La théorie téléphonique de l'audition, proposée par Rutherford, compare le fonctionnement de l'oreille à celui d'un téléphone simple. Elle suggère que l'oreille interne transmet directement les fréquences sonores au cerveau sans les analyser, comme un microphone transmettrait un signal électrique. Selon cette théorie, les nerfs auditifs reproduisent fidèlement la fréquence des sons entendus, laissant au cerveau la tâche d'interpréter ces signaux. Bien que cette explication soit aujourd'hui considérée comme trop simpliste Les sens chimiques: On fait la référence de l odorat et le goût , ils possède tout les deux des chimiorécepteurs qui sont capable d' interagir avec des molécule chimique malgre la difference , les deux sens ont des relations et les source d informations sont combinées ont niveau du cortex orbitofrontal cette combinaison donnera la saveur de la nourriture que nous mangeons, vous remarqué que si vous ete enrhumé vous perdez de la sensation gustative, la sensation les plus la même. Odorat : il y a des molécule dans l'air qui génère l'odeur , elle finira dans la cavité nasale cela passe aussi par la bouche par la suite il y a des neurones récepteur(NRO) qui vont avoir pour fonction de capter et les envoyer vers les glomérules par la suite il va des bulles olfactif et des neurones olfactif qui vont traiter. l humains a ses propre capacité olfactif, on connaît peu le sens chimique les neurones (NRO) ne capte pas tout et se mêle souvent les pinceaux leur compheriens sont donc très complexe.Nous savons que nous avons 350 types de NRO par rapport au cellules visuelle ou en y a moins. Goût : sens complexe, sucre. salé.aigre.amer.umami (au niveau de langue nous avons des pailles repartie dans différent endroit de la langue) +Rg-xuU3wn.fx7C Papilles filiformes Nombreuses : Les plus abondantes sur la langue. Aspect : Rugueuses, donnent une texture à la langue. Rôle : Pas de papilles gustatives, elles aident à la mastication. Papilles fongiformes Forme : En forme de champignon. Localisation : Sur la pointe et les côtés de la langue. Rôle : Contiennent des bourgeons du goût, perçoivent les saveurs. Papilles foliées Forme : En forme de feuillets. Localisation : Sur les bords arrière de la langue. Rôle : Contiennent des bourgeons du goût, participent à la perception des saveurs. Papilles caliciformes Forme : Les plus grosses, en forme de V. Localisation : À l'arrière de la langue. Rôle : Contiennent de nombreux bourgeons du goût, jouent un rôle clé dans la perception des saveurs. Chaque papille gustative contient entre 50 et 100 cellules sensibles au goût, cela former la fossette gustative et c est à partir de ca que l' information chimique du goût va etre traduit en message pour le cerveau(un ou des potentiel d action) qui va aller sur la fibre inférence pour aller dans le cerveau et l'estomac pour commencer le processus. La somesthésie (température): la peau fournit grâce au récepteurs la température (thermorécepteurs- activé par des changement de température) , la douleur et les attributs de surface des objets Récepteurs–Mécanorécepteurs: cellules qui réponde à la pression Récepteur de Merkel : Situé à la base de l'épiderme, il détecte les pressions légères et prolongées, permettant de percevoir les textures et les formes. Corpuscule de Meissner : Présent dans la peau glabre, il est sensible aux touchers légers et aux vibrations de basse fréquence, assurant une discrimination tactile fine. Cylindre de Ruffini : Localisé dans le derme profond, il est sensible à l'étirement de la peau et détecte les mouvements des articulations ainsi que la pression profonde. +Rg-xuU3wn.fx7C Corpuscule de Pacini : Situé dans l'hypoderme, il est très sensible aux vibrations et aux pressions rapides, permettant de détecter les mouvements et les textures. Ses récepteurs vont apporter de l' information au niveau cortex pariétal somatosensitif et la encore nous avons une organisation en fonction de la représentation des récepteurs somatotopie. Les partie du corps les plus représentés au niveau du cortex sont les partie les plus sensible(levere,mains etc..) Le sens statique et kinesthésie: On est également capable de connaître la position du corps dans l'espace. Grâce au récepteurs interne dans les muscles qui m apporte des information sur ce qui mentoure ils join leur information pour ensuite aller au cortex somatosensitif qu'on appelle le sens kinesthésique On a également le sens de l'équilibre qui provient de l'information dun autre partie de la cochlée ,on y aussi d'autres récepteur les canaux semi-circulaires qui détectent les changements dans l’accélération et la rotation de la tête et les sacs vestibulaires qui réagissent à l’équilibre et à la posture.Le cervelet sert aussi a l analyse de l'équilibre. Les seuils et la détection des signaux: Seuils absolues: mesure qui permet de dire à partir quelle moment je peux détecter le stimulus(50%) Seuils différentiel : Combien de quantité de stimulus cela prend pour remarquer que le stimulus a changé.La quantité les jamais la même , tout dépend de la quantité de départ.Si le point est petite , je sentirai la différence mais si elle est grande de départ je la sentria pas tout de suite(la quantité est différente et peut être calculé par la loi de Weber)

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