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Psychopédagogie Aude Picavet Année 2023-2024 Clôture EXERCICES D’APPLICATI ON de Exercices de corrections l’échelle GAS Exercices d’application / du plan de traitement Finalité : Favoriser l’indépendance de Monsieur dans sa vie quotidienne But : Développer l’indép...

Psychopédagogie Aude Picavet Année 2023-2024 Clôture EXERCICES D’APPLICATI ON de Exercices de corrections l’échelle GAS Exercices d’application / du plan de traitement Finalité : Favoriser l’indépendance de Monsieur dans sa vie quotidienne But : Développer l’indépendance de Monsieur dans ses soins personnels OG : Au bout de 3 mois, Monsieur aura une bonne hygiène corporelle +2 Monsieur se lave totalement son corps, seul, avec une aide technique pour le dos +1 Monsieur se lave seul quasiment la totalité de son corps, sans guidance verbale, avec une aide technique pour son dos 0 Monsieur se lave seul son corps, avec une guidance verbale et une aide technique pour le dos -1 Monsieur se lave partiellement certaines parties de son corps avec une aide humaine pour le dos -2 Monsieur ne se lave plus Finalité : Favoriser l’indépendance de Monsieur dans sa vie quotidienne But : Développer l’indépendance de Monsieur dans ses soins personnels OG : Au bout de 12 mois, Monsieur pourra préparer une recette de lasagne lors de l’activité « cuisine » du vendredi à l’institution +2 Monsieur superposera les pâtes et le reste de la préparation sur les pâtes. Mise en place d’une prothèse mnésique +1 Monsieur cuira seul, la viande et les légumes et réalisera seul, la béchamel avec une guidance verbale 0 Monsieur coupera seul, les légumes avec une guidance verbale -1 Monsieur ne comprend pas les consignes verbales pour réaliser la recette de lasagne -2 Monsieur ne prépare plus de lasagne malgré la guidance verbale et les consignes simplifiées de la recette Sur base de la vignette clinique qui suit : Exercice Quel modèle conceptuel choisir pour établir le d’applicatio profil occupationnel de notre patiente ? Quel plan de traitement proposeriez-vous ? n MV est une femme âgée de 93 ans, Belge, d’origine espagnole. Elle est veuve, n’a pas d’enfants et sa famille résiduelle vit en Espagne. Elle vit donc seule en Belgique. Quand Madame V. était jeune, elle travaillait à la ferme en Espagne. Elle s’est mariée avec un Belge et vit depuis une vingtaine d’années en Belgique. En Belgique, elle travaillait comme femme de chambre. Avant d’être hospitalisée en service de gériatrie aigue, elle bénéficiait de l’aide d’un ami pour ses courses, gérer ses finances. Elle se faisait livrer les plats et avait la capacité à utiliser son téléphone fixe pour faire des commandes, contacter ses proches,… Le 10 septembre, madame MV a appelé les urgences car elle était enrhumée et ne se sentait pas bien. A son arrivée, l’équipe a diagnostiqué une dégradation de l’état général, une perte d’autonomie et des troubles cognitifs démentiels consécutifs à une démence d’origine vasculaire. Le MMS réalisé montre un résultat de 10/30. Le 20 septembre, madame est transférée au service revalidation pour cause de troubles cognitifs démentiels, cardiopathie et insuffisance rénale chronique. La question se pose d’un retour ou non à domicile pour la patiente, ou d’un placement en maison de repos et de soins. Les premières évaluations réalisées, nous transmettent une série de données : - Mme MV présente une légère désorientation spatio-temporelle. - Elle est parfois agressive et pleure régulièrement, elle présente des troubles émotionnels. Une dépression a été diagnostiquée. - Elle présente également des troubles visuels mais porte des lunettes pour compenser sa vue et présente aussi des troubles auditifs, elle entend très mal, surtout lorsque les activités se passent en groupe. - Elle a la capacité d’aller aux toilettes. Pour se laver, elle bénéficie de l’aide totale des aides-soignantes qui la lavent chaque matin. - Elle montre un intérêt particulier pour les animaux. Elle avait d’ailleurs chez elle 2 chats. D’autre part, elle allait régulièrement à la messe ainsi qu’à la chorale. Elle aime également regarder la télévision. - Pour se déplacer, elle utilise un rollator, mais a besoin de l’aide de quelqu’un pour se déplacer. Sa marche est touchée, ainsi que son équilibre en déplacement. Par contre, la mobilité des membres supérieurs ainsi que la capacité à rester debout ou assis sont préservées. - Elle montre une certaine motivation à participer aux activités, aux séances avec les kinésithérapeutes et ergothérapeutes. - Mme MV se plaint de ne plus savoir appeler ses proches en Espagne car le téléphone n’est pas le même que celui de sa maison qu’elle a l’habitude d’utiliser - Elle ne comprend pas pourquoi elle ne peut plus être chez elle et présente également des troubles du comportements lorsque les aides- soignantes viennent pour la laver, ne comprenant pas pourquoi quelqu’un s’occupe d’elle ainsi alors qu’à la maison elle vivait seule. Des objectifs clairs augmentent la motivation et conduisent à de meilleurs résultats (Locke & Latham, 1990). Ponte-Allan et Giles (1999) précisent que les objectifs plus fonctionnels et spécifiques conduisent aux meilleurs résultats. D’après Theodorakis et al. (1996), plusieurs facteurs influencent le processus d’évolution et donc l’atteinte des résultats d’un patient : La perception que la personne a de sa propre capacité d’atteindre l’objectif (selfefficacity); La rétroaction (feed-back) qui lui est donnée sur sa performance ; La satisfaction que la personne a de sa performance actuelle Différents outils pour soutenir la réadaction de notre plan de traitement « Une compétence est une capacité d’action efficace face à une famille de situations, qu’on arrive à maîtriser parce qu’on dispose à la fois des connaissances nécessaires et de la capacité de les mobiliser à bon escient, en temps opportun, pour identifier et résoudre de vrais problèmes ». Les notions Ph. Perrenoud C’est un ensemble de comportements potentiels de (affectifs, cognitifs et psychomoteurs) qui permettent à un individu d'exercer efficacement compétenc une activité considérée généralement comme complexe es  Renvoi à l’aptitude d’un sujet à accomplir un certain nombre de tâches et d’actions dans une série de situations concrètes (occupations)  Renvoi aux notions de savoirs, savoir-faire, savoir-être, savoir devenir On peut parler de 2 grandes catégories de compétences : Les compétences générales ou d’intégration Elles se développent peu à peu par l’intégration qualitative et quantitative de compétences spécifiques. Elles permettent la résolution de problèmes complexes, d’affronter des situations nouvelles par le choix et la combinaison de différentes procédures. Les notions Les compétences spécifiques Elles sont plus précises et mettent davantage en de évidence de quoi il s’agit. Elles se développent au fil du temps dans des situations d’apprentissage pour atteindre une plus grande performance, un certain compétenc rendement dans les compétences générales. es Kartz distingue 3 types de compétences : Les compétences conceptuelles = analyser, comprendre, agir de manière systémique Les compétences techniques = méthodes, processus, procédures, techniques d’une spécialité Les compétences humaines = dans les relations intra et interpersonnelles Guy le Boterf parle de « mobilisation ou action de plusieurs savoirs, dans une situation et un contexte donnés »  Plusieurs types de compétences : Savoirs théoriques : savoir comprendre, savoir interpréter Les notions Savoirs procéduraux : savoir comment procéder Savoir-faire procéduraux : savoir procéder, savoir de opérer compétenc Savoir-faire expérientiels : savoir y faire, savoir se conduire es Savoir-faire sociaux : savoir se comporter, savoir se conduire Savoir-faire cognitifs : savoir traiter de l'information, savoir raisonner, savoir nommer ce que l'on fait, savoir apprendre. Prendre conscience des procédures et méthodes que l’on met en œuvre pour résoudre des problèmes Intérêt de l’analyse Le séquençage des activités permet de soutenir le choix des objectifs spécifiques (opérationnels). de L’analyse des composantes, des tâches de l’activité permet de cibler les fonctions l’activité sollicitées à la réalisation de cette dernière. challenge "consignes exactes" - YouTube Taxonomie de Bloom Taxonomie de Connaissanc Compréhensi Application Analyse Synthèse Evaluation Bloom : e Mémoriser ; on Reconnaitre ; Relier ; Analyser ; Combiner ; Comparer ; Verbes Nommer; Répéter ; Associer ; Regrouper ; Combiner ; Déterminer ; Examiner ; Fouiller ; Spéculer ; Compiler ; Estimer ; Mesurer ; d’action dans Identifier ; Décrire ; Ordonner ; Distinguer ; Classifier ; Transférer ; Survoler ; Décomposer Modifier ; Intégrer ; Tester ; Réviser ; Juger le domaine Définir ; Dupliquer ; Comparer ; Contraster ; Relater ; Illustrer ; ; Sélectionner Adapter ; Réécrire ; ; Déduire ; Prédire ; cognitif Montrer ; Dire ; Formuler ; Différencier ; Convertir ; Représenter ; ; Relier ; Calculer ; Regrouper ; Renforcer ; Planifier ; Conclure ; Évaluer ; Spécifier ; Estimer ; Expérimenter ; Comparer ; Préparer ; Classer ; Rappeler ; Prédire ; Citer ; Simuler ; Contraster ; Généraliser ; Noter ; Choisir Lire ; Citer ; Décrire ; Résoudre ; Corréler ; Exprimer ; ; Déterminer ; Étiqueter ; Paraphraser ; Démontrer ; Discriminer ; Formuler ; Choisir ; Sélectionner ; Reformuler ; Établir ; Séparer ; Proposer ; Décider ; Relier ; Retracer ; Préparer ; Diviser ; Suggérer ; Recommander Arranger ; Expliquer ; Compléter ; Subdiviser ; Structurer ; ; Justifier ; Ordonner ; Résumer ; Appliquer ; Inventorier ; Substituer ; Résumer ; Lister ; Rapporter ; Pratiquer ; Catégoriser ; Réordonner ; Expliquer ; Énumérer ; Réviser ; Produire ; Inférer ; Imaginer ; Reformuler ; Enregistrer ; Élargir ; Modifier ; Détecter ; Concevoir ; Critiquer ; Reproduire ; Interpréter ; Construire ; Interpréter ; Composer ; Défendre ; Examiner Traduire ; Utiliser ; Arranger ; Anticiper ; Supporter ; discuter Changer ; Prioriser ; Intervenir ; Convaincre ; Agir ; Esquisser ; Faciliter ; Persuader Interviewer ; Illustrer ; Collaborer ; Dramatiser ; Schématiser Produire ; Administrer ; ; Classifier ; Créer ; Découvrir ; Expliquer ; Développer ; Enseigner ; Signaler ; Inventer ; Développer Concentrer Négocier ; Réorganiser ; Taxonomie de Bloom : Verbes d’action dans le domaine Tenter Accepter affectif Questionner Défendre Juger Supporter Provoquer Contribuer Contester Partager Complimenter Joindre Se proposer Taxonomie de Bloom : Verbes d’action dans le domaine Fléchir Relaxer psychomoteur Étirer Écrire Atteindre Taper Saisir Exprimer Manipuler Agir Donner un coup de Opérer pied Conduire Exécuter La CIF permet de détailler les fonctions mentales, sensorielles, de l’appareil moteur et liées au mouvement, à L’appui de partir desquelles des objectifs sont concevables dans une approche Bottom-up nos Le MDH-PPH soutient notamment la précision dans les aménagements, les adaptations environnementales, les aides humaines et/ou techniques modèles Les modèles et cadres de référence facilitent le choix d’objectifs, notamment parce que – de façon directe ou conceptuel indirecte – ils proposent des objectifs génériques Exemple : Habilités du MOH s Le cadre conceptuel de l’AOTA qui détermine les domaines occupationnels dans lesquels les objectifs sont envisageables Activités de base et instrumentales de la vie quotidienne Le repos et le sommeil La formation Le travail Les loisirs Le jeu La participation sociale Exercice Repartez du diagnostic reformulé pour Charles d’applicatio et proposez un plan de traitement correspondant à vos priorités occupationnelles n relevées L’apprentissage expérientiel Quatre L’apprentissage réflexif L’apprentissage transformateur approches L’apprentissage stratégique théoriques de Ces 4 approches théoriques de l’apprentissage l’apprentissage visent l’autonomie fonctionnelle de la personne, le développement de la capacité à solutionner des problèmes, et l’appropriation de son expérience. C’est un modèle d’apprentissage préconisant la participation à des activités se situant dans des contextes les plus rapprochés possible des connaissances à acquérir, des habiletés à L’apprentiss développer et des attitudes à former ou à changer (Legendre, 2007) age expérientiel (Source : L’ergothérapie comme source L’apprentissage expérientiel s’inscrit directement d’apprentissage : actes du colloque dans la lignée de l’approche pragmatiste. Il peut tenu dans le cadre du 62e Congrès de être défini comme le fait d’apprendre en l’Acfas, 1994 ) réfléchissant sur ce que l’on fait (Felicia, 2011). Selon Kolb nos styles d'apprentissage individuels émergent en raison de notre génétique, de nos expériences de vie et des exigences de notre environnement actuel. L’apprentiss age expérientiel (Source : L’ergothérapie comme source d’apprentissage : actes du colloque tenu dans le cadre du 62e Congrès de l’Acfas, 1994) A partir de ce modèle, Charbonneau et Chevrier (1990) ramènent l’apprentissage expérientiel à 3 grands moments : l’action, la réflexion et son réinvestissement critique. L’apprentissage Expérience => Importance d’explorer, pratiquer, dans le plaisir. Le fait de pratiquer permet d’avoir de l’expérience expérientiel  Et l’expérience, l’exploration se répète renvoie à la Suite à l’expérience et pendant l’expérience, le client va boucle interpréter  On va demander au client de créer des ouvertures pour créer des interprétations. Et donc on va volitionnelle soutenir le questionnement = chercher à ré-évaluer et ne pas rester sur une seule interprétation Ensuite, on va chercher à négocier avec le client et on négociera ensemble  qu’est-ce que vous en pensez si… on pourrait imaginer que… pour amener la personne à faire des nouveaux choix et donc on va faire des propositions pour soutenir l’anticipation qui amène des choix Enfin, on veut que le client fasse des choix, qu’il s’engage dans ces choix et qu’il maintienne ses choix afin de répéter l’expérience permettant de soutenir la volition et donc les choix comportementaux et l’adaptation occupationnelle constante Cet apprentissage est conçu comme un processus de construction du savoir pratique L’apprentiss (savoir-dire, savoir-faire et savoir-être reliés à la age réflexif pratique) à partir d’un retour critique sur son action et sur les présupposés derrière cette action. L’apprentissage se centre sur la pratique (Source : L’ergothérapie comme du patient et ses propres conceptions théoriques. source d’apprentissage : actes du colloque tenu dans le cadre du 62e Congrès de l’Acfas, 1994) Il s’agit de principalement favoriser la prise de conscience de ce qu’il fait de manière à développer un fonctionnement efficace qui s’inscrit dans un savoir pratique propre (« mes techniques », « mes manières de procéder »,…). Il s’agit du processus d’apprentissage conduisant à L’apprentiss une reformulation d’une perspective de sens dans le but de permettre une compréhension plus age englobante, plus discriminante et plus intégrée de sa propre expérience. transformate La réflexion constitue un facteur essentiel de la ur transformation de la signification donnée à l’expérience. La réflexion devient auto-réflexion critique et consiste à évaluer ses propres (Source : L’ergothérapie comme perspectives de sens, particulièrement celles en source d’apprentissage : actes du colloque tenu dans le cadre rapport avec les rôles que nous sommes appelés à du 62e Congrès de l’Acfas, 1994) jouer et qui mettent en jeu l’identité personnelle et le sens de la vie : ce que je suis et veux être comme personne. Lorsque la personne prend conscience de l’inadaptation de certaines de ses croyances ou de certaines de ses valeurs fondamentales, les changements requis sont tels que la personne éprouve le sentiment de transformations profondes. L’apprentiss age Cet apprentissage est un processus actif de construction et de structuration (organisation) stratégique des connaissances, fondé sur une démarche orientée, géré par l’apprenant et comportant des (Source : L’ergothérapie comme stratégies cognitives et métacognitives. source d’apprentissage : actes du colloque tenu dans le cadre du 62e Congrès de l’Acfas, 1994) La conception que l’on se fait de l’apprentissage a une influence sur le choix des stratégies, la régulation des actions et l’évaluation de la performance (Romainville, 1993). L’apprentiss Cet apprentissage est lié à la notion de mémoire age dans de travail qui présente 3 caractéristiques importantes à tenir en compte dans nos prises en une charge, dans un apprentissage : perspective  Elle a une capacité de traitement de l’information limitée cognitiviste  Elle a une durée de rétention courte  Elle ne peut traiter qu’une seule information par compartiment de mémoire Stratégies de répétition : - Répéter plusieurs fois (mentalement, à voix basse ou voix haute) - Ombrer, souligner, encadrer - Recopier (formules, symboles,…) à chaque exercice Différentes - Prendre des notes mot à mot stratégies - Faire des listes de termes, de symboles,… cognitives Stratégies d’élaboration : - Utiliser des moyens mnémoniques (méthodes des lieux, d’apprentissage des associations, des mots clés) (traduit et adapté par L. Saint-Pierre, - Paraphraser (réécrire avec ses propres mots) 1991) - Résumer - Faire une analogie - Produire des notes (commentaires, questions) - Formuler des questions et y répondre - Créer une image mentale - Ecrire une phrase qui fait le lien avec ce qu’on sait déj)à - Inventer un exemple - Trouver des implications - Créer des relations Stratégies d’organisation : - Regrouper, classifier - Ecrire, énumérer - Comparer - Faire des schémas, des réseaux, des matrices Différentes - Identifier la sorte de liens entre les parties d’un stratégies réseau, les types de , les caractéristiques de, les causes/conséquences de,… cognitives d’apprentissage Stratégies de généralisation : (traduit et adapté par L. Saint-Pierre, 1991) - Faire des hypothèses : trouver des raisons pour lesquelles un exemple donné est un exemple du concept - Rechercher des raisons ou une explication pour lesquelles une action particulière est appropriée - Comparer 2 exemples : trouver les ressemblances - Inventer des exemples Stratégies de discrimination : - Faire des hypothèses : trouver des raisons pour lesquelles un exemple donné n’est pas un exemple du concept - Rechercher des raisons ou une explication pour lesquelles une action particulière n’est pas appropriée Différentes - Contraster un exemple et un contre-exemple stratégies - Trouver les différences - Identifier le type d’exercices à faire cognitives - Inventer des contre-exemples d’apprentissage Stratégies d’automatisation d’une procédure (traduit et adapté par L. Saint-Pierre, 1991) (procéduralisation et composition) : - Trouver un exemple et le suivre étape par étape - Faire une liste des étapes à suivre - Pratiquer de petites étapes à la fois - Pratiquer la procédure entière - Pratiquer suffisamment longtemps pour que les étapes s’enclenchent automatiquement - Comparer sa performance au modèle d’un « expert » L’apprentiss Le concept d’apprentissage selon les approches age en lien socio-cognitives consiste en une construction personnelle de compétences dépendante des avec interactions sociales l’éducation  Pour le patient, ses compétences de soins s’élaborent en fonction de son réseau familial, thérapeutiqu professionnel et en fonction des interventions d’éducation thérapeutique individuelles et e collectives. Nous pouvons donc aussi lier l’apprentissage aux pédagogies sous-tendant l’éducation thérapeutique… Deux grandes La pédagogie dite « magistrale » L’acquisition de savoirs comme une simple « écoles mécanique de transmission / réception avec un pédagogiques minimum de mémorisation. Elle s’applique sur des patients n’ayant pas de troubles cognitifs et » en éducation suppose une communication directe et passive du soignant au patient. thérapeutique du patient La pédagogie dite « de la construction » Elle repose sur des activités de groupes, des résolutions de problèmes, des études de cas, des essais-erreurs, l’expérientiel,… Le savoir n’est pas directement transmis, il est construit par les patients eux-mêmes et part donc des besoins et intérêts des patients. La pédagogie dite « par imitation » D’autres Elle se base sur un apprentissage « en voyant types de faire » et se réalise par étapes et sur base de conseils. pédagogies en éducation La pédagogie dite « de conditionnement » thérapeutique L’apprentissage est favorisé par des « récompenses » (renforcements positifs) en cas du patient de bonnes réponses, ou des « punitions » (renforcements négatifs) en cas d’erreurs. La pédagogie dite « allostérique » L’apprentissage se base sur la découverte de la dimension perceptive de ce qu’il ressent au travers des sens et d’une multidimensionnalité. Il s’agit de partir de situation-problème à résoudre par l’apprenant. Le travail est surtout intéressant en groupes. Ce mode d’apprentissage vise à la confrontation des idées des différents apprenants  L’apprenant développe donc Approches également des habiletés d’interaction sociales. Le formateur pense ces situations-problèmes ou les constructivis laisse émerger du groupe. Il est une ressource tes de intéressante en cas de difficulté  répond aux questions, réoriente la recherche… mais ne donne pas Minder la solution L’apprenant met en œuvre une démarche de recherche. Il analyse la situation, recherche des pistes de solution, les essaie, retient celle qui fonctionne et donc modifie ses connaissances. Il s’aide de matériel, d’outils, d’objets, proposés par le formateur. Cette méthode suppose des apprenants très actifs, demandeurs, en recherche, capables d’analyser une situation, de formuler des hypothèses de solutions, de les mettre en œuvre, de synthétiser. Selon le livre M-C Morel-Bracq, on peut retrouver les approches suivantes : - Approche biomécanique Quelques - Approche neuro-développementale approches - Approche cognitive - Approche interactive en - Approche comportementale - Approche psycho-dynamique ergothérapie - Approche cognitivo-comportementale - Approche ludique - Approche CO-OP - Approche humaniste Elle compare le fonctionnement humain à une mécanique. Elle se focalise sur l’un et/ou l’autre aspect fonctionnel précis : articulations, muscles, tendons L’objectif = restaurer la fonction touchée (récupération L’approche d’amplitude articulaire, augmentation de la force musculaire, augmentation de l’endurance ou de la vitesse d’exécution,…) biomécaniq et, si nécessaire, la compenser avec des orthèses, prothèses ou aides techniques. ue Elle s’applique dans le secteur de la traumatologie, de la neurologie périphérique, de la rhumatologie,… Au niveau des moyens thérapeutiques, l’activité utilisée devra être graduée en amplitude, résistance, vitesse, force, répétition, durée et aide apportée. Elle est associée au développement neurologique sensitivo- moteur et tient compte d’une vision holistique du patient. Elle se focalise sur le développement des niveaux d’évolution motrice, mettant en lien la stimulation sensorielle et la réponse motrice. L’objectif = aider l’enfant à parcourir le plus loin possible les étapes du développement neurologique dit « normal » et/ou de retrouver les capacités sensori-motrices lésées par une L’approche affection neurologique. neuro- Elle s’applique aux problèmes liés à une lésion cérébrale congénitale ou acquise  IMC, PC, polyhandicaps,… + pour développement les adultes qui présentent un traumatisme crânien, une SEP, Parkinson,… ale Au niveau des moyens thérapeutiques, l’activité utilisée permettra de suivre l’une et/ou l’autre étape du développement psychomoteur normal. Le moyen choisi s’appuiera sur les principes de facilitation neuromusculaire, d’intégration sensorielle, d’inhibition de la spasticité et de lutte contre les syncinésies. On retrouve comme techniques utilisées : Bobath, l’intégration sensorielle, l’éducation conductive, … Elle s’appuie sur les connaissances du fonctionnement du cerveau et tient compte du fonctionnement cérébral, des processus cognitifs qui permettent à la personne d’intégrer ses perceptions, de gérer ses processus cognitifs et d’organiser son fonctionnement physique, intellectuel et psychologique. L’objectif = la rééducation, la restauration et la réorganisation des connaissances et des apprentissages. Il peut s’agir aussi de réadaptation au sens d’une recherche de compensation et d’enseignement de nouvelles stratégies, de nouveaux schèmes. L’approch Elle s’applique dans 3 champs : Physique (exemple : AVC ou traumatisme crânien) e cognitive Intellectuel (exemple : PC chez les enfants, handicap mental, Alzheimer) Psychologique (exemple : Alzheimer, état de stress, TSA) Au niveau des moyens thérapeutiques, différentes activités de rééducation et réadaptation fonctionnelle pourront être envisagées comme : réentraînements de fonctions spécifiques (mémoire, orientation spatio-temporelle, résolution de problèmes, langage,…), identification et entraînement des processus mentaux, ateliers de réminiscence, gestion du stress, … Elle concerne les interactions et la communication dans un groupe restreint, en prenant en compte la personnalité des personnes et leurs comportements. Elle est en lien avec une pratique en travail de groupe centré sur une activité commune à réaliser. Elle est souvent associée à d’autres approches. Elle s’appuie sur le postulat que l’homme est un être social, influencé par les personnes avec qui il entre en relation ; et les habiletés d’interactions ne peuvent être acquises que par l’expérience. L’approche L’objectif = permettre le développement personnel, une meilleure connaissance de soi-même et le développement de capacités de interactive relation grâce à l’interaction dans un groupe thérapeutique. Elle s’applique dans des secteurs vastes allant du thérapeutique au pédagogique. On peut ainsi voir notamment son application au travers de groupe thérapeutiques en psychiatrie, en rééducation- réadaptation fonctionnelle, dans des groupes de paroles et de soutien,… Au niveau des moyens thérapeutiques, ceux-ci vont se baser essentiellement sur un processus groupal comme lors de formation, de création ou d’expression créative, de jeux de rôles, de groupe-projet,… Elle s’intéresse à l’apprentissage et aux comportements en termes de stimulus-réponse. Elle s’appuie sur les comportements des personnes, c’est-à- dire toutes les actions produites par l’individu (même le langage). Les comportements sont considérés comme appris. Et elle se fonde sur les théories de l’apprentissage, en particulier selon Pavlov (conditionnement) L’approche L’objectif = acquérir un comportement souhaitable (en comportemen rapport notamment avec les normes et rôles sociaux) ou abandonner un comportement indésirable. tale Elle s’applique dans des secteurs prenant en charge des difficultés d’apprentissage, des troubles psychiatriques, des problèmes liés à des dépendances, des troubles du comportement Les moyens thérapeutiques sont multiples. Le principe est d’énoncé des objectifs clairs permettant d’encourager- récompenser en cas de réussite et désapprouver-punir en cas d’échec. Elle est centrée sur le psyché de la personne et sur son passé même si elle évolue aussi vers le présent et le futur. Elle s’appuie sur les processus inconscients qui gouvernent le comportement des patients et qui sont associés à des conflits non résolus dans l’enfance ou suite à des traumatismes psychologiques. Elle se base sur un long processus d’analyse pour découvrir l’origine des symptômes, résoudre les conflits et améliorer les relations insatisfaisantes. Les théories de la personnalité et du développement psycho-affectif de l’enfant sont mobilisées dans L’approche cette approche. L’objectif = aider la personne à (re)découvrir les causes psycho- inconscientes de son mal-être, de sa pathologie. Elle s’utilise dans des secteurs d’intervention accueillant des dynamique personnes avec des troubles de développement de leur personnalité ou lors de décompensation après un traumatisme psychologique  principalement dans le secteur de la psychiatrie ou en rééducation fonctionnelle. Les moyens thérapeutiques mobilisés sont des techniques projectives, des activités créatives,… permettant de faire émerger du matériel inconscient, d’analyser et interpréter les expériences passées. Elle nécessite un point d’attention aux mécanismes tels que la projection, le transfert ou contre-transfert, la défense,… Elle vise la réadaptation et la réinsertion sociale au travers notamment de la réhabilitation psycho-sociale, l’entraînement aux habiletés sociales ou aux compétences sociales, la thérapie cognitivo-comportementale,…  psychologique (croyances de base par exemple) + comportement (apprentissage). Elle part du postulat qu’une modification des schémas de pensées liée à un apprentissage de comportements adaptés permet à la personne d’augmenter ses capacités à vivre en société. L’approche Les objectifs = atténuer les difficultés dues à des schémas de pensée dysfonctionnels et optimiser les capacités cognitivo- d’intégration sociale. comportemen Elle s’applique dans de la cadre de réadaptation sociale des psychotiques chroniques mais aussi pour d’autres troubles tale psychiatriques (phobies, TOC, anxiété, dépression, troubles sexuels) ; ainsi que pour des patients avec des troubles neuropsychologiques ou en cas de déficit cognitif complexifiant une situation clinique (exemple douleurs chroniques, kinesiophobie). Parmi les moyens thérapeutiques utilisés, on peut retrouver les jeux de rôle ou de mise en situation, des modules d’activités (exemple : gestion du traitement, du budget, mise en place d’un loisir,…), des activités de groupe,… Elle considère qu’au travers du jeu, le patient développe ses capacités d’adaptation et d’interaction avec les autres ainsi que son autonomie ; et que ce qui est appris au travers du jeu se transpose dans les autres activités de la vie quotidienne. Dans cette approche, le rendement n’est pas recherché. Le jeu est considéré sous 3 aspects : l’attitude, l’action et l’intérêt. Ce sont ces 3 composantes qui entraînent le L’approche plaisir de l’action et la capacité d’agir pour mener vers l’autonomie et le bien-être. ludique L’objectif = développer une attitude, des intérêts et des habiletés de jeu et amener à utiliser ses forces pour compenser ses difficultés. Elle s’applique dans des secteurs associés principalement au handicap, dans le cas de déficience physique sévère mais peut aussi pour des enfants avec déficience intellectuelle, retard de développement ou encore en cas de problèmes de santé mentale, ainsi que pour les adultes et personnes âgées. Comme moyen thérapeutique, on peut retrouver tout type de jeu ; ce qui importe c’est le cadre qui est apporté ; à savoir : L’enfant est maître d’œuvre de sa thérapie et est invité à décider lui-même de ce qu’il fera Le thérapeute s’adapte aux choix de l’enfant à partir desquels il détermine les objectifs qu’il sera possible de viser pendant la séance La thérapie va au-delà du jeu et favorise le processus de décision et de choix L’approche L’analyse de l’activité est l’outil de choix de l’ergothérapeute ludique L’évolution du comportement ludique est retracée dans un tableau de suivi et répertorie les caractéristiques et composantes affectives de l’attitude ludique, les composantes sensorielles, motrices, cognitives et sociales de l’action. Cette évolution se fait en 3 étapes principales :  L’approche sensorielle  La manipulation du matériel et l’exploration des objets et de l’espace  L’activité ludique proprement dite Il s’agit d’une approche non directive qui repose sur la motivation intrinsèque qu’apporte le jeu. Elle est issue du MCREO et s’appuie sur différents principes théoriques : La pratique doit être basée sur des preuves d’efficacité L’approche Il est essentiel de partir de la personne et ses besoins ainsi que ses choix personnels qui font sens et sont CO-OP importants pour elle  Approche centrée sur la personne, ses besoins et problèmes occupationnels ; ce qui créé la (Cognitive motivation et l’engagement. La performance occupationnelle est le premier moyen Orientation to utilisé et le but ultime  L’activité est un besoin vital L’apprentissage est tant comportemental que cognitif  il existe une relation entre le stimulus, les réponses et les daily conséquences comportementales ; et l’apprentissage implique des processus cognitifs, mentaux tels que la Occupational résolution de problème (modèle Goal-Plan-Do-Check) L’objectif = permettre l’acquisition de compétences, l’utilisation Performance) de stratégies cognitives, la généralisation de l’apprentissage au-delà du temps d’accompagnement, et le transfert de l’apprentissage vers de nouvelles tâches de la vie quotidienne Elle s’applique au départ dans le secteur de l’enfance, la pédiatrie et plus spécifiquement pour des enfants ayant des troubles de l’acquisition de la coordination. Elle s’applique L’approche aussi aux personnes cérébrolésées et les divers troubles de l’enfance (paralysie cérébrale, autisme,…). Mais elle nécessite CO-OP une formation pour devenir thérapeute certifié en CO-OP. En termes d’intervention = principalement un processus de (Cognitive résolution de problèmes guidé par l’ergothérapeute permettant au patient de découvrir et appliquer ses propres Orientation to stratégies pour réaliser les tâches de la vie quotidienne. Les moyens thérapeutiques sont issus des théories cognitives daily et comportementales. Le thérapeute initie la prise en charge mais c’est le patient qui s’en saisit, devient acteur de sa prise en charge en personnalisant les moyens. Occupational Parmi les moyens thérapeutiques, on retrouve le Goal (objectif Performance) choisi par le patient) – Plan (plan d’action construit sous la guidance de l’ergo mais les choix sont issus du patient) – Do (la personne expérimente le plan) - Check (le patient s’auto- évalue, vérifie si le but est atteint, sinon de nouvelles propositions sont faites) Elle considère l’individu comme un tout dans son environnement physique et social Son objectif primordial = viser l’autonomie des patients. Mais aussi leur authenticité (= expérience personnelle et conscience de l’individu) et leur accomplissement dans une vie pleine de sens ; tout en ayant confiance dans les capacités d’auto-développement, auto-direction et responsabilité des individus. L’approche L’ergothérapeute agira comme facilitateur = aider le patient à décider humaniste Elle s’applique à tout individu ; mais s’utilise en particulier lors de troubles psychologiques ou physiques, de maladies dégénératives ou terminales. Au niveau des moyens thérapeutiques, ceux-ci s’appuient sur des principes de non-directivité, de congruence entre le vécu interne, la conscience que l’on a et la manière de l’exprimer. On se centre sur les besoins de notre patient. On verra pour aider à l’expression, faciliter l’expression de choix, reformuler, ne pas juger, mettre en valeur les aspects positifs de la personne,… Selon Lepper & Hodell (1989), une attention particulière doit être donnée à 4 sources importantes : Le défi  Fournir des exercices qui s’adaptent à l’expérience de l’apprenant ; offrir la possibilité d’atteindre un but pour que l’apprenant augmente sa confiance en ses compétences ; donner la possibilité à l’apprenant de définir de nouveaux défis afin de maintenir sa motivation intrinsèque Soutenir la La curiosité  Trouver des idées originales qui motivation apparaissent bizarres ou qui surprennent l’apprenant Le contrôle  Permettre aux apprenants de choisir intrinsèque leurs activités et d’établir leurs propres façons de dans nos prises faire pour qu’ils aient une sensation de contrôle sur leur apprentissage en charge La fantaisie Créer ou utiliser des jeux ou des simulations afin de libérer certains plaisirs aux apprenants qu’on ne leur accorde pas souvent. Ajouter des éléments de jeu dans une activité Selon Mucchielli, ennuyante peut augmenter l’intérêt de celui qui « les meilleurs stimulants sont ceux qui apprend. Utiliser une métaphore d’une situation renvoient l’individu à lui-même » courante de la vie de tous les jours qui peut aider l’apprenant à faire un lien avec son apprentissage théorique Clôture autour d’exemples de question d’examen Pour un patient venant d’être opéré d’une PTH et qui n’a pas de problèmes cognitifs. Pour l’objectif général suivant, les OS sont-ils adéquats (significatif), correctement formulés ? Si pas, proposez une nouvelle formulation Exemple OG 1 : Monsieur se déplacera seul en dehors de la résidence pour aller faire ses courses autour d’un OS : Monsieur lèvera bien les pieds pour éviter tout obstacle plan de OS : Monsieur utilisera une tribune à roulette OS : Monsieur pensera à prendre son téléphone au cas traitement où il y aurait une urgence OS : Monsieur marchera, sans aide, sur une distance de 1km au bout d’une semaine OS : Monsieur prendra une montée et une descente OG 2 : Monsieur habillera son membre inférieur seul OS : Monsieur restera en station debout pendant quelques secondes afin d’enfiler son pantalon OS : Monsieur se penchera sans difficulté d’ici 1 semaine afin d’enfiler ses chaussettes Exemple autour d’un plan de traitement : Apparier correctement le plan de traitement suivant : Finalité M. s’aura utiliser l’outil « planning » en vue d’anticiper chaque grand temps d’activité à l’école ; à savoir : le temps d’accueil, le temps de travail en individuel, le temps de collation-récréation, le temps de travail en groupe, le temps de repas, le temps de récréation, le temps d’activité ludique et le temps de départ But D’ici 1 mois, M. rédigera 10 phrases en moins de 5 minutes lors de l’activité dictée Améliorer le rendement dans les activités d’apprentissage scolaire Participer à la vie scolaire Objectif D’ici 1 mois, M. rédigera un texte de 2 pages lors des ateliers de général rédaction Intégrer l’utilisation de l’ordinateur pour le journal de classe Améliorer la rapidité d’écriture lors des dictées Objectif Lors des ateliers en groupe, M. proposera au moins une idée à ses En vous donnant cette donnée « Permettre une récupération de la mobilité articulaire de l’épaule pour réaliser de manière indépendante les soins personnels »  Selon vous, à quelle composante du plan de traitement appartient cette formulation ? Exemple  Après avoir précisé la composante, définissez- la autour d’un plan de Formuler une échelle GAS pour la situation suivante d’un patient : traitement « Mme D. vient de subir une ablation du sein droit suite à une tumeur maligne. Mme D. est droitière. Suite à son opération réalisée il y a 1 semaine, elle présente de fortes douleurs et une limitation de mobilité au niveau du membre supérieur droit. Elle ne sait donc plus réaliser ses soins personnels seule, comme prendre une douche, se laver les cheveux,… » Citez les habiletés du MCHCC et définissez-en une de votre choix. Expliquez l’intérêt d’une échelle GAS. Développez votre réponse. Qu’allons-nous analyser lors de l’établissement du profil occupationnel d’un patient ? Que devrait comporter le diagnostic ergothérapique ? Définissez l’approche biomécanique Définissez 2 méthodes d’apprentissage qui pourraient guider vos Exemple interventions. Justifiez votre choix A quoi correspond la définition suivante : « c’est un objectif très autour de global qui donne une orientation générale à l’ensemble des interventions des divers spécialistes. Elle est souvent connue dès questions l’admission de l’usager dans le service ou l’institution, car elle est en relation avec la mission générale qui est assignée à ces théoriques services par la société. » Répondez par vrai ou faux à l’affirmation suivante : Le plan de traitement comporte la précision des moyens d’intervention Citez les critères de qualité de la performance occupationnelle Quelle(s) habileté(s) du MCHCC allez-vous mobiliser dans un contexte de soin de gériatrie aigüe ? Ce type de prise en charge est-il basé sur l’occupation ou centré sur l’occupation : « Expliquez-moi ce que vous faites pour prendre votre douche » ? Comment se structure le diagnostic lorsque l’on s’appuie sur la CIF comme modèle ergothérapique ?

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