L'intelligence et sa mesure

La capacité de relier des éléments entre eux.

Explique pourquoi certaines personnes ont de meilleurs résultats que d'autres dans des tâches cognitives.

Ensemble d'aptitudes permettant de s'adapter, d'apprendre de l'expérience, de résoudre des problèmes et de raisonner clairement.

Activité préformée, programmée qui ne nécessite pas d'apprentissage.

La capacité d'une personne à résoudre des problèmes pour lesquels elle n'a pas de disposition innée.

Évaluer le niveau d'intelligence d'un individu.

Tentent de classer quantitativement le niveau d'intelligence d'un sujet.

Ne fournissent pas la valeur exacte de l'intelligence, mais une orientation générale de l'efficacité intellectuelle.

La capacité d'une personne à adopter un comportement adaptatif orienté vers un but.

Elle englobe tous les aspects de la vie et a permis à l'humanité de progresser.

La période sensori-motrice est basée sur des schémas moteurs qui font entrer l'enfant en contact avec le monde externe.

L'enfant se détache de la perception immédiate grâce à la représentation mentale et la fonction symbolique.

L'enfant accède au raisonnement logique concret, aux notions de réversibilité et de conservation.

L'enfant accède au raisonnement logique abstrait et la pensée devient hypothético-déductive.

L'intérêt de l'intelligence en psychologie englobe les aspects clinique, psychopathologique et thérapeutique.

Piaget a décrit quatre stades de développement de l'intelligence chez l'enfant.

Un score qui mesure l'intelligence en comparant l'âge mental à l'âge chronologique.

Une détérioration progressive des fonctions cognitives, acquise et non congénitale.

Une perturbation temporaire des fonctions intellectuelles causée par des états émotionnels comme l'anxiété ou la dépression.

Des enfants très intelligents avec un développement plus avancé que leur âge, mais qui peuvent avoir des difficultés scolaires ou sociales.

Une altération de l'intelligence qui se manifeste dans certains troubles psychiatriques. Par exemple, le jugement altéré chez les schizophrènes et le raisonnement illogique chez les paranoïaques.

Un trouble caractérisé par des déficits intellectuels et adaptatifs. Il se manifeste par des difficultés à comprendre, à apprendre et à s'adapter à la vie quotidienne.

L'un des critères du retard mental qui fait référence aux capacités de raisonnement, de résolution de problèmes, de planification, de pensée abstraite, de jugement, d'apprentissage scolaire et d'apprentissage par l'expérience.

L'autre critère du retard mental qui évalue la capacité à respecter les normes sociales et à gérer les activités de la vie quotidienne, comme la communication, les relations sociales et l'autonomie.

Le processus de développement intellectuel qui est influencé par plusieurs facteurs, y compris la maturation neurologique, l'état mental, la nutrition, la génétique, l'intégration des expériences, les interactions sociales et l'autorégulation.

Se réfère à la capacité à résoudre de nouveaux problèmes et à s'adapter à des situations nouvelles. Elle diminue avec l'âge.

Se base sur les connaissances accumulées au fil du temps. Elle tend à augmenter avec l'âge.

L'âge mental est estimé en fonction du niveau de développement intellectuel atteint par un individu, tandis que l'âge chronologique correspond à l'âge réel.

Un test d'intelligence est standardisé lorsque les conditions d'administration et de notation sont les mêmes pour tous les participants. Ceci permet de comparer les résultats de manière objective.

Les résultats des tests d'intelligence sont interprétés en fonction de la performance d'un groupe de référence, appelé population d'étalonnage.

Les tests d'intelligence doivent être réadaptés si ils sont utilisés dans une population différente de celle pour laquelle ils ont été créés.

Les tests d'intelligence sont utilisés pour évaluer les capacités cognitives et sont conçus pour permettre une comparaison entre différents individus.

Les fonctions exécutives incluent la concentration, la planification et la gestion des émotions.

L'encouragement sans intervention permet à l'enfant d'apprendre par lui-même.

Permettre à l'enfant de s'habiller ou de ranger seul, même si cela prend plus de temps, favorise son autonomie et son développement.

Initier les enfants aux tâches ménagères dès l'âge de 3 ans favorise le développement de leur autonomie et de leur intelligence.

L'étude de Marty Rossmann a montré que les enfants engagés dans les tâches domestiques à l'âge de 3 ans sont plus autonomes, ont de meilleures relations sociales et des performances scolaires supérieures à l'âge adulte.

Le cortex préfrontal, responsable des fonctions exécutives, est important pour gérer le stress et les émotions.

Refuser à un enfant de 3 à 5 ans de faire des choses par lui-même peut entraver son développement intellectuel et affectif.

L'autonomie développe le plaisir, la confiance en soi et contribue à la réussite dans la vie.

Les fonctions exécutives (FE) sont un ensemble de compétences cognitives qui permettent de planifier, de contrôler les impulsions, de se concentrer et de gérer ses émotions. Elles sont essentielles pour réussir dans la vie, tant sur le plan scolaire que professionnel.

Le contrôle inhibiteur, une des FE, est la capacité à contrôler ses impulsions et à résister aux distractions. Un bon contrôle inhibiteur est lié à un meilleur succès scolaire et professionnel.

Le développement des FE chez les enfants est lié à la croissance de l'enfant et nécessite un accompagnement spécifique. Il est primordial de les soutenir, car elles ne se développent pas automatiquement.

Les FE se développent rapidement entre 3 et 5 ans. C'est une période cruciale pour le développement des compétences de base.

Le développement des FE est progressif. Les compétences de base acquises durant l'enfance constituent la base pour un développement plus avancé à l'âge adulte.

Les FE se développent différemment selon les enfants, car les opportunités d'apprentissage ne sont pas égales pour tous. Il est important de soutenir les enfants et de leur offrir des opportunités d'apprentissage pour qu'ils développent pleinement leur potentiel.

L'autonomie précoce, en encourageant les enfants à prendre des initiatives et à agir de manière indépendante dès leur plus jeune âge, est bénéfique pour le développement des FE.

La promotion de l'autonomie chez les enfants est cruciale pour le développement des FE. Encourager les enfants à agir de manière indépendante permet de les aider à développer leur capacité à planifier, à contrôler leurs impulsions et à résoudre des problèmes.

La mémoire procédurale représente la capacité à apprendre et à exécuter des tâches motrices et cognitives de manière automatique, sans effort conscient.

La mémoire déclarative permet de stocker et de récupérer des informations conscientes, telles que des faits, des évènements et des concepts. Elle peut être classée en mémoire sémantique (connaissances générales) et en mémoire épisodique (événements personnels).

La mémoire non-déclarative est une forme de mémoire inconsciente qui se construit par l'expérience et est difficile à verbaliser. Elle inclut des capacités comme la mémoire procédurale, l'apprentissage associatif et l'apprentissage non-associatif.

La mémoire prospective implique le souvenir d'actions futures que l'on doit réaliser, incluant le moment et la nature de l'action elle-même.

La mémoire rétrospective est la capacité à se souvenir d'événements passés. Elle peut être épisodique (souvenirs personnels) ou sémantique (connaissances générales).

L'amnésie antérograde est l'incapacité à former de nouveaux souvenirs après un événement traumatique. L'amnésie rétrograde est l'incapacité à se souvenir d'événements antérieurs à l'événement traumatique.

Le patient H.M. souffrait d'une amnésie sévère après une opération du cerveau. Il ne pouvait pas créer de nouveaux souvenirs et avait perdu une partie de ses souvenirs antérieurs. Cependant, il pouvait se souvenir d'événements appartenant à une période précise avant son opération.

Le patient H.M., après l'opération, a montré qu'il pouvait toujours se souvenir de certaines choses, comme comment faire du vélo ou reconnaître des visages. Cela signifie que certains types de mémoire sont indépendants des zones touchées par l'opération.

Les paroles du patient H.M. indiquent son incapacité à se souvenir du passé immédiat. Il évoque une sensation de confusion et d'incertitude, comme s'il se réveillait d'un rêve. Il témoigne de la difficulté à se souvenir d'événements récents.

Les travaux de Brenda Milner, une neuroscientifique canadienne, ont été fondamentaux pour la compréhension des fonctions cérébrales et de la mémoire. Elle a étudié le patient H.M. pendant des années et a contribué à la compréhension de la mémoire et de ses différentes formes.

Des études sur le fonctionnement du cerveau et de la mémoire se font sur différents modèles animaux, comme la souris, le rat, la drosophile, l'aplysie et le poisson zèbre.

Une technique utilisée en recherche sur la mémoire qui consiste à observer les cellules et leur activité cérébrale.

Un test de mémoire spatiale qui utilise un labyrinthe ou une piscine pour observer la capacité de l'animal à se souvenir de l'emplacement d'objets ou de points de repère.

Plusieurs types de mémoire existent.

H.M., également connu sous le nom d'Henry Gustav Molaison, a subi une ablation bilatérale des lobes temporaux, notamment de l'hippocampe, en 1953 pour traiter ses crises d'épilepsie.

L'hippocampe semble jouer un rôle crucial dans la formation de nouveaux souvenirs, comme H.M. l'a démontré en perdant la capacité de former de nouveaux souvenirs après l'ablation de son hippocampe.

L'opération d'H.M. a révélé l'existence de différents types de mémoire. La mémoire à court terme était intacte, tandis que la mémoire à long terme était compromise.

Le cas de H.M. a joué un rôle crucial dans la compréhension de l'organisation et du fonctionnement de la mémoire.

C'est une mémoire à court terme qui permet de stocker et d'utiliser une information pendant quelques secondes, moins d'une minute. Elle peut recevoir des informations de la mémoire sensorielle ou de la mémoire à long terme.

C'est le lieu où la pensée active se déroule. Elle permet de traiter des informations provenant de la mémoire sensorielle et de la mémoire à long terme, tout en ayant une capacité limitée.

Cette mémoire de travail, selon le modèle de Baddeley et Hitch (1974), se divise en trois parties distinctes.

Ce sous-système de la mémoire de travail stocke temporairement les informations verbales entendues ou lues.

Ce sous-système de la mémoire de travail maintient temporairement les informations visuelles et spatiales, ainsi que les images mentales.

Cet élément de la mémoire de travail fonctionne comme un contrôleur, gérant les deux sous-systèmes (la boucle phonologique et le calepin visuo-spatial) simultanément.

L'information stockée dans la mémoire de travail disparaît généralement après 15 à 30 secondes. Mais l'autorépétition, gérée par l'administrateur central, permet de la maintenir un peu plus longtemps si nécessaire.

L'Empan Mnésique, qui correspond à 7 +/- 2 éléments, est un test permettant de mesurer la capacité limitée de la mémoire de travail.

Un type d'amnésie caractérisé par une perte de mémoire sélective, souvent associée à des états modifiés de conscience.

Des états de conscience modifiés caractérisés par une diminution de la vigilance et des comportements inhabituels.

Des états de conscience modifiés caractérisés par une obnubilation plus ou moins intense, une désorientation et des pensées confuses, entrecoupées de moments de lucidité.

Des états modifiés de conscience caractérisés par une diminution de la sensibilité aux stimuli, une perte de contact avec le monde extérieur et des comportements automatiques.

Des activités physiques coordonnées qui surviennent pendant le sommeil.

Une amnésie qui se produit après un choc émotionnel intense, pouvant être physique ou psychique, et qui implique une perte de mémoire de l'événement traumatisant.

Un type d'amnésie caractérisé par une perte de mémoire limitée à une période spécifique du passé, les souvenirs anciens et récents étant préservés.

L'amnésie élective est une amnésie psychogène qui présente des similitudes avec l'amnésie périodique, se manifestant sous forme d'états seconds, crépusculaires, de transes ou d'accès somnambuliques.

Le lobe temporal et l'hippocampe sont des zones du cerveau cruciales pour la consolidation de l'information.

Le test du miroir mesure la capacité à reconnaître son propre reflet et à comprendre que l'image dans le miroir est un reflet de soi-même. Il permet d'évaluer le développement de la conscience de soi.

Le phénomène de la mémoire à très court terme quasi-normale chez les patients atteints de la maladie d'Alzheimer indique que certaines fonctions cognitives peuvent être préservées malgré la détérioration générale des capacités cognitives.

La capacité de dessiner au miroir est un test qui évalue la capacité à coordonner ses mouvements et à compenser les effets du miroir.

Le test des erreurs sur les séquences montre que les patients atteints de la maladie d'Alzheimer ont des difficultés à se souvenir et à reproduire des séquences d'actions.

Les erreurs sur les séquences reflètent une dysfonctionnalité du lobe préfrontal, une région cérébrale qui joue un rôle crucial dans la mémoire de travail et la prise de décision.

Les tests répétés sur plusieurs jours montrent que les patients atteints de la maladie d'Alzheimer ont des difficultés à apprendre de nouvelles informations et à améliorer leurs performances au fil du temps, ce qui souligne le déclin de leurs capacités d'apprentissage.

Les résultats des tests, malgré certains progrès, restent significativement en dessous de la performance attendue pour une personne sans démence, ce qui met en évidence la persistance des difficultés liées à la maladie d'Alzheimer.

L'évolution des performances des patients atteints de la maladie d'Alzheimer sur les tests, malgré des progrès modestes, est un indicateur précieux pour comprendre le cheminement de la maladie et l'impact de ses effets sur les capacités cognitives.

L'attention est la capacité du cerveau à sélectionner des informations pertinentes parmi un flux constant de stimuli sensoriels. Elle permet de se concentrer sur une tâche ou un objet spécifique en ignorant les distractions.

La vigilance est un état de préparation à l'environnement, permettant de détecter rapidement les changements et d'y réagir. Elle est essentielle pour rester alerte et capable d'agir .

La concentration est la capacité à maintenir l'attention sur une tâche ou un objet pendant une période donnée. Elle permet de filtrer les distractions et de rester concentré malgré les interruptions.

La mémoire permet de stocker, de maintenir et de récupérer des informations. Elle est essentielle pour apprendre, penser et se souvenir d'événements passés.

La mémoire procédurale est une forme inconsciente de mémoire qui permet d'effectuer des actions motorisées ou cognitives de manière automatique. Elle est responsable de l'apprentissage d'automatismes comme la conduite d'une voiture ou la pratique d'un instrument de musique.

La mémoire déclarative est une forme consciente de mémoire qui permet de stocker et de récupérer des informations telles que des faits, des concepts ou des événements. Elle est indispensable pour apprendre et comprendre notre environnement.

La mémoire prospective est la capacité à se souvenir d'actions futures que l'on prévoit de réaliser. Elle est nécessaire pour planifier des activités, respecter des rendez-vous ou accomplir des tâches.

La mémoire rétrospective est la capacité à se souvenir d'événements passés. Elle est essentielle pour notre identité et permet de comprendre notre histoire personnelle.

Il n'existe pas un seul centre cérébral dédié à l'attention, mais plutôt un réseau neuronal distribué impliquant plusieurs régions du cerveau.

Le système d'activation réticulaire (SAR) est un réseau de neurones dans le tronc cérébral qui joue un rôle crucial dans la vigilance, la conscience et l'attention. Il régule l'excitation cérébrale en fonction des changements environnementaux.

Le colliculus supérieur (CS) est une structure cérébrale du mésencéphale impliquée dans la direction des mouvements oculaires et la détection de stimuli visuels. Il participe à l'orientation de l'attention vers des stimuli pertinents.

Le gyrus cingulaire antérieur est une zone corticale impliquée dans la régulation des émotions, la motivation et la prise de décision. Son rôle dans l'attention consiste à maintenir l'intérêt et la concentration sur la tâche.

Le cortex pariétal est une zone corticale qui traite les informations spatiales et permet de localiser les objets dans l'espace. Il est activé lors des tâches attentionnelles nécessitant une focalisation sur l'emplacement d'un stimulus.

Les lobes frontaux jouent un rôle crucial dans les fonctions exécutives, notamment le contrôle attentionnel, la planification et la prise de décision. Ils permettent de sélectionner et de maintenir l'attention sur les informations pertinentes.

Le cortex occipito-temporal est une zone corticale qui traite les informations visuelles, notamment la couleur et la forme. Il est activé lors des tâches attentionnelles nécessitant de distinguer des objets en fonction de leurs caractéristiques visuelles.

Le niveau 1 du contrôle attentionnel est activé pour les comportements routiniers et automatiques, comme conduire en voiture ou préparer le petit-déjeuner. Ces tâches ne nécessitent pas un effort mental important.

Le gestionnaire de conflits est un processus semi-automatique qui intervient dans la résolution de conflits entre plusieurs schémas d'action pouvant être activés simultanément pour une situation donnée. Il permet d'inhiber certains schémas et de choisir le plus adapté en fonction de la situation.

Le système attentionnel superviseur (SAS) est requis pour des situations nouvelles, dangereuses, techniquement difficiles, de planification, de prise de décision, de correction d'erreurs ou d'inhibition d'une réponse dominante. Il nécessite un contrôle attentionnel plus élevé.

Selon le modèle de filtre de Broadbent, un filtre empêche la perception de tous les stimuli. Ce filtre peut être influencé par l'intérêt personnel, la motivation, ou la nature des stimuli. Le filtre n'analyse pas la signification des stimuli avant la sélection.

Le modèle d'atténuation de Treisman propose que seuls certains stimuli sont détectés, car l'intensité des autres est réduite. Les stimuli pertinents sont perçus, tandis que les autres ne sont pas complètement bloqués mais leur intensité est diminuée.

L'attention est la capacité du cerveau à sélectionner des informations pertinentes parmi un flux constant de stimuli sensoriels. Elle permet de se concentrer sur une tâche ou un objet spécifique en ignorant les distractions.

La vigilance est un état de préparation à l'environnement, permettant de détecter rapidement les changements et d'y réagir. Elle est essentielle pour rester alerte et capable d'agir.

La concentration est la capacité à maintenir l'attention sur une tâche ou un objet pendant une période donnée. Elle permet de filtrer les distractions et de rester concentré malgré les interruptions.

La mémoire permet de stocker, maintenir et récupérer des informations. Elle est essentielle pour apprendre, penser et se souvenir d'événements passés.

L'attention consciente et automatique est la capacité à détecter rapidement des stimuli pertinents dans un environnement encombré. Cette capacité est liée à la vitesse de réaction et est plus rapide pour les stimuli importants, comme les visages tristes ou les stimuli effrayants.

Le modèle de Mesulam décrit le réseau neuronal impliqué dans l'attention spatiale. Il comprend les régions pariétales (carte sensorielle), le cortex cingulaire (signification motivationnelle), et le cortex frontal (programmes moteurs).

La mémoire de travail est une zone de stockage temporaire des informations utilisées en cours d'action. Son capacitée est limitée et les processus attentionnels permettent de gérer la flûte continue d'informations.

L'amnésie antérograde est la perte de la capacité à former de nouveaux souvenirs après un événement traumatique. On ne se souvient plus de ce qui s'est passé après le traumatisme.

L'amnésie rétrograde est la perte de mémoire des événements antérieurs à un traumatisme. On ne se souvient plus de ce qui s'est passé avant le traumatisme.

L'hippocampe est une partie du cerveau essentielle pour former de nouveaux souvenirs. Sans hippocampe, le cerveau a du mal à créer des souvenirs à long terme, comme démontré par le cas de H.M.

Un stimulus simple et direct attire l'attention de manière immédiate, car ses caractéristiques sont facilement identifiables. L'attention se focalise naturellement sur ces caractéristiques.

Un stimulus complexe, manquant de caractéristiques distinctes, nécessite un traitement plus élaboré. La comparaison et la recherche sérielle sont nécessaires pour le détecter.

La recherche par conjonction est un processus cognitif qui implique la combinaison de différentes caractéristiques d'un stimulus pour le détecter. Elle implique une comparaison et un processus sériel, ce qui la rend plus complexe que la recherche d'une seule caractéristique.

Un stimulus dirigé est conçu pour attirer l'attention de manière intentionnelle, rendant sa perception plus rapide et plus facile.

L'attention consciente nécessite un effort mental et une volonté de se concentrer sur une tâche ou un objet spécifique. Elle est contrôlée et volontaire.

L'attention automatique est déclenchée automatiquement par des stimuli saillants ou par des habitudes. Elle est rapide et inconsciente.

La mémoire de travail est un système cognitif qui permet de manipuler et de stocker des informations pendant une tâche. Elle combine des informations provenant de la mémoire à court terme et de la mémoire à long terme, facilitant le raisonnement et la résolution de problèmes.

La vigilance est un état d'alerte et de préparation à l'environnement. Elle permet de détecter rapidement les changements et d'y réagir de manière adéquate.

La concentration est la capacité à maintenir l'attention sur une tâche ou un objet pendant une période prolongée. Elle permet de filtrer les distractions et de rester concentré malgré les interruptions.

La mémoire est la capacité du cerveau à stocker, à maintenir et à récupérer des informations. Elle permet d'apprendre, de se souvenir d'événements passés et de construire notre identité.

La mémoire procédurale est une forme inconsciente de mémoire qui permet d'effectuer des actions motorisées ou cognitives de manière automatique. Elle est responsable de l'apprentissage d'automatismes comme la conduite d'une voiture ou la pratique d'un instrument de musique.

La mémoire déclarative est une forme consciente de mémoire qui permet de stocker et de récupérer des informations telles que des faits, des concepts ou des événements. Elle est indispensable pour apprendre et comprendre notre environnement.

La mémoire prospective est la capacité à se souvenir d'actions futures que l'on prévoit de réaliser. Elle est nécessaire pour planifier des activités, respecter des rendez-vous ou accomplir des tâches.

La mémoire rétrospective est la capacité à se souvenir d'événements passés. Elle est essentielle pour notre identité et permet de comprendre notre histoire personnelle.

La plus petite unité significative d'un mot, pouvant être un mot en soi (ex: "do", "-s", "-ing").

Les sons individuels qui composent les morphèmes.

La collection de tous les mots d'une langue.