Introduction à l'étude économique (Chapitre 5) : Les Consommateurs et les Incitatifs - PDF
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Ce chapitre de l'introduction à l'étude économique aborde le problème de gaspillage, les incitations à la consommation et les choix économiques des consommateurs. Il introduit des concepts tels que la perte, la demande, et l'élasticité. Le document propose une étude théorique des consommateurs et des mécanismes économiques.
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Introduction à l'étude économique (Chapitre 5) : Les consommateurs et les incitatifs I. [Le problème du consommateur :] - Le problème de perte et de gaspillage principalement dans le domaine alimentaire revient en premier à une hausse de demande de produits dont on n'a pas besoin. -...
Introduction à l'étude économique (Chapitre 5) : Les consommateurs et les incitatifs I. [Le problème du consommateur :] - Le problème de perte et de gaspillage principalement dans le domaine alimentaire revient en premier à une hausse de demande de produits dont on n'a pas besoin. - Les consommateurs, esclaves de leurs propre besoins et envies cèdent à la tentation et à l'individualisme et monopolise des ressources rares jusqu'à l'épuisement. - Les gouts et les préférences, l'individualisme sociétal mène inconsciemment au problème de gaspillage. Une conscientisation est ainsi de rigueur. - Ce processus vient s'opposer au phénomène de l'imitation et inculque une rationalisation des comportements et des choix économiques. - L'émergence de la classe moyenne et les effets revenu sont des causes du gaspillage. - En plus des effets prix directs et croisés pour les biens complémentaires et substituts. - L'incitation à la consommation qui traduit l'avènement du capitalisme monstre incite indirectement au gaspillage. Plus on achète moins on paye, donc on est plus prône à la surconsommation. - Un surplus de consommateur influencer et inciter sont mener au gaspillage. - Ce surplus désigne la différence entre le prix qu'on était prêt à payer (la volonté à payer) et le prix factuel du marché. L'argent restant peut donc être utiliser dans d'autre domaine (utilitarisme). - Le surplus du consommateur dérive d'une mauvaise anticipation du consommateur. - Par élasticité en entend la volonté du consommateur à consommer. Si le prix d'un bien augmente, va-t-on continuer de l'acheter ? Ce terme répond à cette question. - Sur le côté de l'offre, on peut déduire que le gaspillage est lié à une mauvaise anticipation de la demande. La réalité ne rencontre pas la vision émise par les producteurs pour des raisons externes (changement économique de revenu, une crise, inflation...). - Une grande production mène à une mauvaise allocation des ressources qui devienne menacer par l'épuisement (conséquences environnemental). C'est aussi un cout d'opportunité de produire un bien au lieu d'un autre suite à une mauvaise optimisation. On assiste alors à une perte non seulement des avantages du compromis mais aussi à ceux du choix entrepris puisqu'il est liée à une mauvaise décision. - Il existe des systèmes de mesure pour remédier aux pertes du gaspillage : la taxation (pour dissuader les consommateurs d'acheter), loi pour la restauration et distribution (loi qui régule la gestion de bien principalement lors de leur distribution dans le secteur alimentaire), subvention aux producteur (aide financière), gestion des déchets, sensibilisation (conscientisation des consommateurs face aux incidence de ce phénomène). - Les incitatifs représente les raisons qui pousse un consommateur à prendre ou non une décision ou un choix économique. - Dans certains cas, la contrainte monétaire n'est pas un incitatif suffisant. - Quand l'addiction (notamment à la cigarette), l'argent n'estyttftttt pas un facteur limitant suffisant. - Les choix de consommation se base sur des principes simples comme les préférences et les gouts, la question d'argent qui concerne le prix des produit et le budget du consommateur. - Les préférences et les gouts diffèrent d'une personne à l'autre, le traitement de ces derniers est une question macroéconomique. La façon la plus simplifier de l'étudier est de travailler sur l'agrégation des demandes. - Le consommateur cherche au-delà de sa satisfaction le bénéfice. D'une manière ou une autre il cherche à gagner en consommant. - Sur la question des prix, les produits ont des prix fixes appliqués sur tous. Les preneurs de prix doivent se conformer aux lois du marché. - En ce qui concerne le budget, dans le cas où il n'y a ni épargne ni emprunt, l'ensemble budgétaire représente l'ensemble des combinaisons d'achat possible considérant le revenu. - La théorie du consommateur est regardante des gouts des consommateurs, du prix du produit et du budget. - Pour représenter l'ensemble budgétaire, les deux axes de la courbe représentent des quantités. Puisque ce concept en économie met en relation deux marchés différents et étudie l'association des deux à la fois par le consommateur, chaque axe représente une quantité. La courbe tracée est un ensemble budgétaire. - C'est la comparaison du revenu obtenu à partir d'un calcul basé sur cet ensemble qui nous informe sur la rationalité des choix du consommateur. - L'ensemble budgétaire représente l'attitude consommatrice maximal qu'un consommateur peut avoir. Il ne peut pas consommer plus à faute de tomber dans les dettes. - La pente négative de la contrainte budgétaire est dû à un compromis et à un CO. Un choix économique implique forcément c'est deux facteurs et le CO est la pente de la courbe de la contrainte. - Les politiques publiques viennent gestionner et réguler le marché et ses fluctuations, elles utilisent des outils comme la taxation ou les impôts. L'augmentation ou la diminution de ces derniers impacts directement la courbe de contrainte en la déplaçant vers la droite (diminution des outils augmente le revenu) ou vers la gauche (augmentation des outils diminue le revenu). - Le principe d'équimarginalité est un principe important d'optimalité qui repose sur la formation d'un panier optimal qui satisfait tous les bénéfices et toutes les envies du consommateur. C'est un principe en économie qui se base sur le principe d'optimisation dans la formation panier équilibrer et la prise de choix rationnel en accord avec les revenues des individus pour que ces derniers puissent tirer le plus de bénéfice possible. - Le bénéfice net de l'ajout d'une unité supplémentaire d'un bien n'augmente pas avec les quantités mais au contraire il diminue. La valeur d'ajout diminue avec l'augmentation de la quantité de produit dont le consommateur dispose. - Le consommateur n'a pas intérêt à acheter une grande quantité d'un même bien. - La comparaison du bénéfice marginale n'est pas toujours véridique pour comparer les bénéfices apportés par un produit sur un autre, le prix de chacun entre en jeu. Si les deux produits on le même pris, c'est un outil de comparaison adapté, sinon on utilise le bénéfice marginal par dollar dépensé. - Dans la courbe D agrégé la pente est conforme à la loi de demande, c'est pour ça que la pente est négative. II. Le surplus du consommateur : - Ce surplus représente la différence entre la volonté de payer et le prix réel du produit. - Dans une courbe de demande, le surplus du consommateur représente l'air délimité le sommet de la courbe (l'ordonné à l'origine) et le prix du marché d'un produit x. - Le bénéfice total se définit comme la satisfaction globale qu'en tire le consommateur. - L'élasticité mesure la sensibilité d'une variable à la variation d'une autre variable. 1. L'élasticité-prix de la demande : - Étudie la variation des quantités avec la variation du prix. - Elle s'exprime en pourcentage. - C'est une formule de calcul qui mesure l'influence des fluctuations des prix sur les comportements des consommateurs. - Pour la plus part du temps, le résultat de ce rapport est négatif suivant la loi de la demande. Quand le prix d'un produit, les consommateurs sont moins inclinés à acheter donc il existe une relation négative entre le prix et la demande. - A partir du résultat de la valeur absolu du rapport de l'élasticité prix-demande, on peut obtenir plusieurs interprétations possibles. - Si elle est supérieure à 1 on dit qu'il y a élasticité. - Si elle est inférieure à 1 on dit que c'est inélastique. - Si c'est égal à 1 on parle d'élasticité unitaire. - Si on obtient l'infini on dit que le rapport entre les deux variables est parfaitement élastique. - Si le rapport est égal à 0 on dit que la relation est parfaitement inélastique. - L'élasticité de la demande dépend de plusieurs autres facteurs comma la quantité d'unité d'un produit déjà posséder, le budget consacré à l'achat et la structure du marché. 2. Élasticité-prix croisée de la demande : - C'est une relation qui étudie la relation la quantité de bien demandé et le prix du produit. - Elle compare entre deux produits distincts. - Le résultat de ce calcul peut être soit positif ou négatif. - Une élasticité croisée positive implique qu'on étudie des biens substituts. - Une élasticité croisée négative implique des biens compléments. - L'interprétation des résultats obtenus réside dans la grandeur de la valeur absolu de ces derniers. Plus elle augmente plus la relation entre les deux biens est fortes. 3. Élasticité-revenu de la demande : - C'est une relation qui mesure la relation entre le revenu est la quantité demandée. - Cette dernière est généralement positive puisque plus le revenu du consommateur augmente plus il achète (bien normal). Sauf dans le cas de bien inférieur où la demande diminue avec l'augmentation du salaire.