La conscience et l'inconscient PDF

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Ce document traite de la conscience et de l'inconscient en philosophie. Il explore les différentes formes de conscience, la conscience immédiate, la conscience réflexive et la conscience morale. Il aborde également la notion d'inconscient, sa nature et ses différentes formes.

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Philosophie *La conscience et l'inconscient* La conscience vient du latin « cumscine » qui signifie la conscience et le savoir. Par conséquent, on est conscient de ce que l'on fait, ce que l'on pense. Il peut avoir plusieurs objet possible de la conscience : -la conscience immédiate qui est la co...

Philosophie *La conscience et l'inconscient* La conscience vient du latin « cumscine » qui signifie la conscience et le savoir. Par conséquent, on est conscient de ce que l'on fait, ce que l'on pense. Il peut avoir plusieurs objet possible de la conscience : -la conscience immédiate qui est la conscience porté sur le monde, sur les objets ou les autres qui nous entoures. Cette conscience immédiate n'est as évidente pour l'espèce humaine si on intéresse à l'enfant en bas-âge qui n'a pas la perception consciente de ce qui l'entoure. Les sensations qu'il a du monde ou des autres sont confuses puisqu'il ne perçoit as l'identité des objets ou des personnes. C'est seulement lorsque l'humain développe sa raison qu'il peut définir les êtres du monde en clarifiant sa sensibilité. \- La conscience réflexive qui est le retour sur soit-même par la pensée. Un humain peut avoir conscience qu'il existe, il ne se contente pas de vivre. On peut faire son introspection où exercer son esprit critique afin de savoir si nos idées sont vraies ou fausses ou même afin d'être plus clair avec nos pensées. \- la conscience morale qui suppose de posséder un savoir sur ce qui est bien ou mal, de se sentir responsable. La conscience morale peut être perçu comme naturel ou comme culturel. Comme l'affirme Kant « nous possédons tous une voix intérieur qui nous juge sur nos pensées et nos aces suivant une orale universelle. ». A l'inverse, la conscience culturelle ne serait pas innée, elle viendrait de l'éducation morale que nous avons reçu. Comme l'affirme Freude :«  l'enfant est amoral, il n'a pas la conscience du bien et du mal tant qu'il n'a pas était éduqué de ses parents ». Il peut y avoir plusieurs degrés de conscience que l'on identifie dans les différentes espèces. La conscience sensible est ce qui est partagé par de nombreux animaux et plantes puisque ce êtres peuvent ressentir du plaisir et de la douleur. Cependant, on présuppose qu'il n'y a que l'humain qui possède une conscience rationnelle qui s'ajoute à sa conscience sensible. La raison est la capacité de calculer les différences possibilités d'actions ou valeurs que l'on vises( le vrai, le bien, le juste). On suppose que la conscience sensible est naturelle tandis que la conscience rationnelle serait lus ambiguë car elle nous ais donné par la nature mais elle permet de construire un monde culturelles( le valeurs morales, techniques et sciences). L'instinct est l'opposé du naturel de la conscience. Il est un système sensorimoteur qui suppose que notre corps est déterminé par les lois de la nature. Par exemple, le fait de respirer est instinctif, c'est notre corps qui agit sans la conscience. L'inconscient est le fait d'être, d'agir ou d'exister sans possessions du savoir. Il existe : -l'inconscient matériel qui est l'inconscient de la matière sans pensée ou du corps d'un organisme qui agit sans conscience (l'instinct). -l'inconscient psychique qui est l'inconscient de la pensée. Dans cet inconscient, il peut y avoir un inconscient virtuel ou ou caché, qui est un état « passager » pour revenir facilement à la conscience. Par exemple, un souvenir que l'on croit oublier et qui peut réapparaître à la conscience dans une occasion du présent, c'est l'utilité qui accompagne la conscience ou bien une émotion intense. -l'inconscient dynamique ou en acte qui s'exerce comme une force dans notre esprit en faisant des obstacles à la prise de conscience. Par exemple, un traumatisme passé que l'on a refoulé dans son inconscient et qui demandera l'accompagnement d'un psychanalyste pour réapparaître à la conscience. Un désir peut être aussi refoulé si il entre en conflit avec les normes sociales ou morales. Il sera donc difficile d'accepter son propre désir en affrontant le jugement d'autrui. -l'inconscient morale est le fait d'ignorer les conséquences de ses actes ou de ses paroles. I/ La conscience réflexive qui s'oppose à l'inconscient matérielle. A/Présentation de Descartes et des Méditations métaphysique Descartes es un philosophe du XVIIème siècle qui appartient au courant de l'idéalisme. Se sont les idées qui permettent de démontrer la vérité du réel contrairement aux sensations qui son sources d'erreurs et d'illusion. Grâce aux idées qui viennent d'un démonstration de la raison, on peut exercer son esprit critique pur prouver ce qui vient de la métaphysique(=science qui étudie l'âme, Dieu et le monde), 3 objets qui ne peuvent pas être connu par l'expérience sensible. D'où le titre de l'œuvre *Méditations métaphysiques*. La méditation étant le retour à la conscience sur ses propres idées afin d'identifier si elles sont vraies ou fausses(conscience réflexive). *B/ Le doute cartésien.* A l'ouverture de la première méditation, Descartes montre au lecteurs qu'il faut faire le bilan de toutes ses connaissances que l'on a perçu depuis notre enfance. En effet, nous avons des opinions qui nous semblent vraisemblables car elle viennent de préjugés qui n'ont jamais étaient l'objet d'examen de la raison. Par conséquent, il faut douter des opinions pour savoir si elles sont vraies ou fausses. Le doute doit être un moyen pour trouver une science qu se caractérise par un jugement fondé, le dépassement des opinions par des preuves. Ce doute doit se réaliser au bon moment car si on doute en étant trop jeune, on risque de douter sans méthode ou alors si on doue lorsqu'on est trop vieux, on aura pas u connaître la vérité dans son expérience. Le doute doit être méthodique : il suppose une démonstration rationnelle. Il doit être radicale : il doit s'attaquer à l'origine des connaissances. Il doit aussi être hyperbolique : il faut exagérer le doute en remettant une question ce qui semble évident. Descartes commence par douter de la sensation qui est le socle de la connaissance commune du réel. Dès notre enfance, on fait confiance à nos sensations car elle semblent plus évidente pour connaître le réel. Mais les sensations son bie souvent trompeuses, on peut en douter grâce à l'usage de notre raison qui va comparer les faits. Par exemple, les illusions d'optique comme celle du sommets d'une tour qui paraît arrondie vue de loin alors qu'il est anguleux quand on s'en approche. Un bâton de bois peut aussi apparaître brisé lorsqu'il est immergé dans l'eau en raison de la lois de réfraction. C'est par le toucher que je peux comprendre qu'il est droit, ou bien si je sors du milieu aquatique. Le toucher semble plus fiable que la vue car on a une relation de contact immédiat avec les objets, est pourtant ce qui put aussi nous tromper. En effet, le membre fantôme est un bras qui a été amputé mais la personne reçoit des mauvaises informations de son cerveau qui lui fait encore croire que son bras est présent. La sensation est aussi ce qui eut changer en fonction des individus. On parle alors d'un relativisme de la perception comme par exemple un relativisme dans les sensations de couleurs ou lorsque l'on goûte un aliment. Même pour un seul individu, il peut y avoir une variations des sensations comme lorsque la personne est malade. Cependant, la mesure mathématique pourrait être une norme universel qui permet de résoudre les contradiction entre les sensations. Toutes ces erreurs de la sensation peuvent être expliqué avec la relation scientifique mais Descartes veut que son doute soit hyperbolique donc il va chercher de nouveaux arguments afin de remettre en question le réel de son essence. Descartes fait une mise en abîme qui lui permet d'imaginer qu'il n'est peut être pas en train d'écrire les *Méditations métaphysique*. Mais il va recule devant cette hypothèse en partant du principe qu'il court le risque de basculer dans la folie. Il faut que le doute reste méthodique, il faut qu'il suive une démonstration rationnelle. Donc Descartes va s'appuyer sur l'argument du rêve qui lui permet de démontrer que la sensation paraît aussi certaine que quand on est endormis ou que quand on est réveillé. Par conséquent, nous n'avons aucun critère rationnel qui nous permet de trouver où se situe la réalité et où se trouve le rêve. Cette démonstration es idéaliste car Descartes veut nous faire comprendre que le rée eut venir d'une construction mentale. Mais Descartes prend conscience qu'il y a des évènements dans le rêve qui peuvent être retrouvé dans la réalité. Comme des êtres imaginaire ( sirènes, centaure) qui sont des monstres en tant qu'assemblage d'éléments du réel. Par ailleurs, quand je suis en train de rêver, les attributs de la matière ou de l'étendue sont toujours présents : la figure, la quantité, la grandeur, la durée et les couleurs. Il y a des notions simples et universelles qui sont toujours vrais durant le rêve u durant la réalité : c'est ce qui correspond aux mathématique pour Descartes : « Que je veille ou que je dormes, 2+2 sera toujours égale à 4 ». Les mathématiques serait la seule réalité qui permet de tenir un discours vrai sur le monde contrairement aux sensations. Descartes va alors chercher à douter de la conformité des vérité mathématiques. Il fait l'hypothèse de l'existence d'un mal ingénie qui pourrait s'amuser à nous tromper dans les représentations que l'on se fait du réel. Par exemples, 2+2 serait en réalité égale à 5. Par conséquent, il y aurait un vérité logique en notre esprit qui ne correspond pas à l'expérience du réel en soit. La solution serait alors de suspendre son jugement, de ne plus rien affirmer ou nier afin de ne jamais se tromper. *C/ La conscience réflexive comme seule certitude du réel.* Pour Descartes, le seul moyen de sortir du doute est de retrouver une certitude de l'existence t de s'intéresser à nos propres idées sur le réel. Si on reprend l'argument du mal ingénie, m\^me si il s'est amusé à me tromper dans toutes les idées que j'aurais du réel, il n'a pas pu me tromper sur le fait que j'existe. La pensée que j'inventerais moi-même, qui est de dire «  il est possible que je n'existe pas » est une pensée absurde car le simple fait de le dire montre que j'existe, d'où la formule : « je pense donc je suis ».Cependant, le seul moyen de retrouver une certitude sur le monde sans rester enfermé dans nos propres idées sera de prouver l'existence de Dieu «  j'ai en moi l'idée de l'infinie qui ne peut que venir de Dieu donc Dieu existe donc les idées que j'ai sur le réel peuvent être vraies car Dieu est un être bon et tout puissant ». On a pu voire avce Descartes qu'il y a un inconscient de la sensation car les sensations sont associés à une ignorance sur le réel, que ce soit la matière des objets ou bien mon propre corps. Cependant, la pensée est nécessairement consciente pour Descartes : c'est grâce aux idées que je peux connaître une vérité sur le réel ou sur moi. II/ L'inconscient, une réalité de la pensée qui est en lutte avec la conscience. *A/ Les origines de la psychanalyse.* La psychanalyse est une science humaine qui étudie l'origine de certaines idées en notre esprit, ceci dans un but thérapeutique car certaines idées sont inconscientes et donc elles peuvent provoquer en vous une névrose (= conflit en chauqe individu entre les idées qui sont accepté par la conscience t celle refoulé dans l'inconscient). Freude est un medecin de la fin du XIXème siècle jusqu'au Xxème siècle. Freude a rencontré Charcot qui organisait des séances d'hypnose. Ces séances permettent de comprendre que les symptômes du corps peuvent disparaître quand on est dans l'état d'inconscience. Par exemple, une femme dont le bras était paralysé retrouve l'usage de son bras quand elle est hypnotisé. Cependant, après la séance, le bras se trouvera de nouveau immobile. Freude se demande alors comment ce changement d'état est possible et si l'hypnose ne doit pas être dépassé par une méthode plus cathartique. Dans les essaies, Freude nous dis «  La moi n'est pas maître dans sa propre maison ». Il accuse l'opinion commune de faire comme si toutes les idées de l'esprit étaient conscientes. En réalité, l'humain est trop orgueilleux : il ne supporte pas l'idée de ne pas pouvoir maîtriser ses pensées par la raison et par la volonté. Pourtant, la plupart de nos idées sont inconscientes. On est impuissant par rapport à nos propres pensées. Cet orgueil peut aussi venir de la médecine classique qui considère qu'un symptôme du corps ne peut être expliquer par une cause organique.Par conséquent, si le médecin ne parvient pas à guérir un patient, alors il affirme que la maladie est inventée sous une forme d'hystérie. Il croit que l'origine corporel n'a pas encore était trouvé. Freude s'appuie sur le cas de Anna.O pour montrer qu'un symptôme du corps est ce qui va apparaître à la suite d'un traumatisme qui a été refoulé dans l'inconscient. Anno.o ne supporte pas l'idée de devoir faire le deuil de son père. Et lorsqu'elle était à son chevet, elle essayait de ne pas pleurer devant lui. Par conséquent, après la mort de son père, sa vue est devenue troublée sans aucune lésion au nerf optique, ce qui prouvait bien que ce trouble vient de son esprit, celui d'être dans encore dans le déni. La prise de conscience lui permettra de retrouver la vision normale et de faire véritablement son deuil. La patiente Elisabeth Illona Weiss est un exemple de désir refoulé car condamnable par la société ou ar la morale. Cette patiente était amoureuse de son beau frère et à la mort de sa sœur, elle désir avoir une relation avec lui. Mais ce désir amène à une forte culpabilité qui la fera tomber malade:elle a constamment des courbatures aux jambes qui sont le rappel des promenades qu'elle faisaient avec le beau frère. Mais grâce à la prise de conscience durant ses séances de psychanalyse, elle se souvient de ce désir passé et le symptôme disparaît. Ces deux patientes ont été analysé grâce à l'interprétation de leurs discours, le psychanalyse possède un savoir qui lui permet de trouver le sens caché derrière les mots mais il est aussi capable de ne pas juger le patient. Il demande au patient de raconter son enfance pour identifier une fragilité qui aurait un lien avec l'évènement traumatisant. *B/ Les preuves logiques et empiriques dans l'inconscient.* Dans *Métapsychose,* Freude veut démontrer que la psychanalyse est une science qui a fait ses preuves. Il s'appuie sur 2 critères de la vérité qui sont l'universalité et l'expérience. Pour Freude, chaque personnes peut avoir ainsi des idées ou des gestes dont elle ignore l'origine. Il n'y a que l'hypothèse de l'inconscient qui permet de donner une cohérence à notre comportement. Chez l'homme sain, on peu retrouver ces trois symptômes : la labsuce, l'acte manqué et les rêves. Le labsuce est le fait de dire un parole de façon involontaire car elle vient de notre inconscient. Les actes manqués sont des gestes que l'on a fait ou que l'on a pas réalisé qui son aussi révélateur de notre inconscient, comme le fait d'oublier d'aller à un rendez-vous qui ne vient pas de la distraction mais plutôt d'une peur que ce rendez-vous ai lieu. Mais cette peur est ce qui n'est pas assumé par l'individu. Les rêves sont aussi ce que l'on peut interpréter pour comprendre notre inconscient. En effet , quand nous dormons, le censure morale se relâche donc l'inconscient peut resurgir dans les rêves, mais sous une forme déguisé. Il faut trouver le sens caché du rêve qui est en apparence absurde comme une patiente de Freude qui rêve régulièrement qu'elle achète un chapeau de luxe noir. Ce chapeau est une image qui condense le désir que son mari meurt et celui d'avoir une relation avec l'homme riche et séduisant qu'elle rencontré dans un magasin de chapeau. Le rêve est révélateur d'un désir coupable. Freude veut aussi montrer que l'hypothèse de l'inconscient est ce qui s'intègre à un système cohérent de vérité. Il le désigne par l'expression de topique qui signifie qu'il y a plusieurs lieux symboliques de l'esprit. Le « moi » est la seule partie de l'esprit qui est consciente car le « moi » correspond au principe de réalité : ce principe est le fait d'être en accord avec les normes sociales et morales, d'avoir des désirs ou des preuves qui sont acceptable par la société. Le « sur-moi » est un lieu inconscient qui va faire le tri entre les idées qui peuvent rester dans le « moi » et celle qui doivent être refoulé dans le « ça ». Le « ça » est aussi inconscient, et il va être l'expression de nos pulsions sexuelles ou morbides qui veulent réapparaître à la conscience. Le « ça » se déguise à travers les symptôme afin d'être accepter par le « moi » conscient de la personne. On peut se référer au « ça » de Stephan King qui est un clown qui se déguise comme le « ça » pour révéler le traumatisme du passé. III/ Un inconscient aux limites confuses. *A/ Une théorie totalitaire*. Pou Popper, philosophe du Xxème siècle, les sciences humaines doivent appliquer la même méthode que les sciences naturelles. Dans la physique, la méthode expérimentale est essentiel pour valider ou pour expérimenter une hypothèse. Si le test est réussi, la théorie peut être considérer comme malade et si il échoue, alors il faut s'en séparer. Cependant, une théorie qui a été validée par l'expérience reste une vérité provisoire. En effet, si on regarde l'histoire des sciences, une théorie qui semblait être une vérité absolue, sera ensuite remise en question car elle va entrer en conflit avec d'autres théories. On ne doit pas en déduire qu'une théorie sera nécessairement réfuté à l'avenir. Mais il faut que la théorie laisse la possibilité d'objection. La science ne doit pas être confondue avec l'idéologie(= idée qui se présente comme une vérité absolue sans pouvoir être vérifié par des preuves logiques). Dans *Conjectures et réfutations*, Popper veut montrer en quoi les sciences humaines peuvent devenir une idéologie si elles ne respectent pas la méthode scientifique. La psychanalyse est ce qui doit être critiqué car elle est une science qui pourrait tout expliquer. Dès le début du texte, Popper démontre que le communisme et la psychanalyse sont des discours qui peuvent devenir idéologique. D'où le champs lexicale qui raccroche la science de la religion puisque la vérité se présente comme étant révéler sans être démontré. On croit tellement à la psychanalyse que l'on considère qu'elle peut tout expliquer avec la vérité caché de l'inconscient. Popper le prouve par le dialogue qu'il a eu avec Adler, psychanalyste qui est connu pour le complexe d'infériorité. Adler affirme sans même avoir vu l'enfant décrit par Popper qu'il est atteint par le complexe d'infériorité : la théorie se présente comme universelle, elle ne cherche plus à être prouvé par les cas particulier de l'expérience. Popper prend ensuite l'exemple de deux situations inversement : un homme qui noie un enfant et un autre qui le sauve. Ces deux exemples contraires peuvent être expliqué par le même concept : le complexe d'infériorité : l'homme veut se sentir puissant en sauvant l'enfant ou en le tuant. Freude peut aussi expliquer ces exemples par le concept d'Eudipe. Pour Freude, la psychanalyse fait parties des sciences humaines. Elle a fait avancer l'explication des comportements humains mais elle devient une idéologie si elle ne nous permet plus de douter d'une interprétation. *B/ La mythologie de l'inconscient.* Sarte est un penseur existentialiste qui considère que l'individu est libre dès la naissance. Toutes théories qui se présentes comme déterministes seraient une théorie qui se présentent comme incohérent utilisé par Freude lorsqu'il décrit le « sur-moi ». Comment le «  sur-moi » peut être inconscient et en même temps pouvoir choisir les idées qui sont acceptables par la conscience et celles que l'on doit refoulé dans le « ça » . Ce vocabulaire montre bien que le « sur-moi » vient de la conscience de l'individu. Il est toujours responsable de ce qu'il sait ou de ce qu'il ignore.

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