Cours Histoire PDF 04/09/2024

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Summary

This document is a history course document covering the scientific and technological revolution in the 18th and 19th centuries. It discusses the origins and development of scientific thought and the role of the church, humanism, and the Protestant Reformation in shaping it. The text also examines the factors driving the shift and the emergence of new scientific methods.

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Cours Histoire 04/09/2024 Thème 3 – La révolution scientifique et technologique au XVIII et XIX siècles La formulation de la démarche scientifique De la croyance à la science On connait une sorte de révolution dans le rapport du savoir, dans le sens que des hommes vont fonder un nouvelles manièr...

Cours Histoire 04/09/2024 Thème 3 – La révolution scientifique et technologique au XVIII et XIX siècles La formulation de la démarche scientifique De la croyance à la science On connait une sorte de révolution dans le rapport du savoir, dans le sens que des hommes vont fonder un nouvelles manière de questionner et voir le monde. Le terme de révolution scientifique : d’habitude ca induit un changement brutale, mais or cette révolution c’est étalé sur plusieurs siècles. Les enjeux de cette révolution scientifique : une sorte de confusion s’est instaurer entre la sciences et la croyance. => Dans quelle mesure les 17 et 18ème siècles marquent-ils une rupture dans le domaine des sciences et de la constitution des savoirs ? => Pourquoi peut-on dire que ces deux siècles ouvrent la voie à la construction progressive d’une science moderne ? I. Les sciences traditionnelles jusqu’aux XVI-XVIIème siècles A) Le poids traditionnel de l’Église et le rôle des université Au M-A, toute la conception du savoir repose sur la religion, c’est une societe habité par la religion, elle cadre et structure la société. On part du principe que tout le savoir est dans la bible ou explicable a partir de la bible et que tout doit être en conformité avec la bible. De ce fait, l’Église, institutions, contrôle les système de savoir et de l’enseignement. Jusqu’au 12ème siècle l’enseignement se fait dans les abbaye et monastère et seule les clercs sont instruits, dans les école monastiques. Globalement l’église a le monopole sur la transmission l’organisation du savoir. A l’époque quartier latin dans l’église saint germain des prés. Création des université et collège. On y transmet la discipline reine « théologie » (sorte de sciences de Dieux), en dessous de la théologie, la savoirs sont organiser avec le « trivium » (=3 voies, Rhétorique, dialectique, grammaire) et « Quadrivium » (=4 voies, Arithmétique, géométrie, astronomie musique). 12-15ème siècles = grand moment de diffusion du savoir avec éclosion des université en Europe. De plus le berceaux des universités est Bologne (12ème siècles) en Italie, cœur du savoir en Europe. On étudie les philosophes dans la mesure qu’ils sont compatible avec la théologie Chrétienne. Quitte a déformer leurs propos, mais on ne rejetent pas en bloc leurs propos. B) Les savoirs « traditionnels » 1 Dans les savoirs traditionnelles est transmit l’idée de « géocentrisme » (l’idée que la terre est au centre, la terre c’est le monde du mouvement et plus on s’y éloigne et c’est le monde de l’immobilité). En revanche on ne croit pas que la Terre est plate. II. la remise en cause des savoirs et pratiques traditionnels par la mathématisation de monde : naissance d’une nouvelle conception des sciences A) Les facteurs de remise en cause Dès le 15ème siècle, l’apport de l’humanisme (courant philosophique et intellectuelle née en Italie notamment a Florence qui est caractériser par un intérêt pour le travail des auteurs antique qu’on va lire vraiment et que les humaniste vont se passionné pour le savoir et la connaissance du monde. De plus ils vont se passionné pour l’humain et totalement révolutionner le rapport aux savoirs). Marcel Ficin se passionne et redécouvre le latin, traduit des textes, redécouvre la pensée antique et opère une sorte de réconciliation entre les pensée antique et pensée chrétienne. Pic de la Mirandole, Erasme. Questions : 1) L’homme est placé au milieu de l’univers en position intermédiaire, il se façonne lui-même. Il fonde l’idée que l’homme peut devenir ce qu’il veut. 2) L’intérêt pour l’homme a susciter des recherche comme les dissections, ce qui a permis de grande avancée dans la science. 3) Les langues (grec, latin, hébreu, chaldéen et arabe), histoire, géométrie, arithmétique, musique, astronomie, droit civil, la nature, la médecine. Il dit a ligne 12 « que rien ne te sois inconnue ». 4) Rabelais souhaite que son fils emploie sa jeunesse à bien profiter de en étude et en vertu. Erasme indique qu’il est nécessaire que l’enfant trouve du plaisir dans ses études pour l’empêché de ressentir de la fatigue. Le rôle du protestantisme joue un rôle majeur début 16ème siècle. Les protestants critique la toute puissance du pape, chez les catho il ont besoins d’intermédiaires pour interpréter par exemple la bible, mis chez les protestants non, ils considèrent que si tu sais lire tu peux interpréter la bible. Ils vont donc chercher a s’instruire afin de lire la bible, qui va être traduite dans pleins de langue. Chez les protestant il y a donc une place importante de l’éducation, apprendre a lire, donc ils deviennent de plus en plus instruit notamment chez les protestants. 2 L’invention de l’imprimerie par Johanes Gutenberg va révolutionné le rapport a savoir, car on va avoir plus accès aux livres et donc davantage accès aux études. B) La naissance d’une nouvelle conception de la science : pratiques et méthodes C’est dans ce contexte que des savants vont essayer de penser de connaitre le monde qui soit précise et rigoureuse, ils vont donc poser des principes, notamment le scientifique britannique Francis Bacon 1620, avec Novum Organum (= la méthode nouvelle). Il dénonce la façon dont est construit le savoir, qu’il n’y a pas de sources pas de faits, qualifiants de rumeurs, écho d’expérience, en faisant une comparaison avec la sciences et la construction d’un état. Il pose les bases de ce que doit être les bases de ce que doit être une expérience scientifique avec l’idée de mesure, appréhender le monde avec les mathématiques, l’arithmétique. Et pour cela il faut des instruments, donc on invente les microscopes, lunettes astronomiques (Galilée XVIème siècle)…. Il pose aussi la méthode expérimentale. L’idée majeur de sa façon de prôner l’expérience : partir de l’extraction des faits pour obtenir des faits, l’expérience est un protocole qui permet d’observer de très nombreuse fois des faits, et a partir de la répétitions de faits, on peut obtenir des déductions, des lois générales. Alors que jusqu’à présent c’était l’inverse, on partait des idées générales et on essayait de le prouver. La science dit ce que le scientifique observe avec ces expériences. Un scientifique rigoureux n’affirme que e qu’il a observer avec ses expériences. Il y a une sorte de confusion de plus en plus grande entre la religion, croyances et la science. La sciences n’affirme pas dire la vérité mais elle relate ce qu’elle observe. Or la technologie et les techniques peuvent évoluer et rendre des choses actuellement vrai fausses. Les scientifiques ne prétendent pas avoir la vérité absolue, la science est un progrès constant. L’école est le lieu de la transmission des savoirs scientifiques. Les expériences vont se multiplier, avec différents outils, exemple vue au tableau : expérimentation pneumatiques (la pompe à vide). III. De nouveaux savoirs fondés sur une nouvelle science Les champs s’ouvrent de manière considérable, avec par exemple la lunette astronomique de Galilée, avec également ces expériences sur la chutes des corps, le géocentrisme, héliocentrisme. Isaac Newton, physicien qui fonde a partir de ces expériences la gravitation universelle (17ème siècles), et un domaine qui progresse : la chimie, avec le couple Antoine et Marie Lavoisier (1743-1798) => les poids et mesures, découvert la compositions de l’air et travaille sur la météorologie (masse d’air, pression atmosphérique). La médecine est également un domaine qui progresse énormément, avec William Harvey, qui et découvre la circulation du sang et qui effectue une dissection sur un cadavre humain. 3 Thème 1 : La révolution scientifique et la révolution technique au XVIIIème et XIXème siècles. Séance 2, mercredi 11 septembre Nouveaux lieux et milieux du savoir I. Qui sont les nouveaux savants ? A) Clercs et universitaires Au 16-17èmes siècles, la plupart des hommes universitaire sont des homes d’eglise restent formé par l’église, ca reste une règle. Par exemple Copernic était un Chanoine, mais il arrive a s’émanciper de l’église B) De plus en plus laïcs. La nouvelle place des ingénieurs et des artisans Ces domaines scientifique sont progressivement investit par des laïcs, car au départ les scientifiques ont besoins d’artisans pour faire leurs expériences, et progressivement les artisans vont se passionné pour la sciences et les techniques, trouve des inventions, Les artisans sont donc une sorte de moteur de la laïcisation de la science. Parmi les artisans on a les opticiens , qui est a cheval entre l’artisan et le scientifique, l’horloger également, car les scientifiques ont besoins de mesurer le temps, les mécaniciens… on observe le passage de l’artisan a l’ingénieur, qui va être capable de pensée les instruments et de les fabriquer. Il faut pour tous ca des gens de plus en plus formé, c’est la naissance d’une société où l’ingénieur occupe une place de plus en plus importante. Au 18ème siècle le gout du savoirs se diffusent dans la haute société (aristocratie bourgeoisie). Donc certaines filles ont pu bénéficier d’une excellent éducation. Emilie du Chatelet nait dans une famille noble et dispose d’une éducation au même titre que ses frères donc une éducation d’homme, elle aurait comme précepteur Maupertuis, qui va la former, elle écrit des traités, traduit Newton… Elle rêve de rentrée dans l’académie des sciences mais comme c’est une femme, elle va soumettre anonymement sont travail, et elle va être publier. Elle finit pas être accepter dans une académie en Italie à Bologne mais meurt en mettant au monde son deuxième enfant. Elle va être fortement dénigrer car une femme savante ca dérange. II. L’implications croissances des états A) Les sciences au services des princes Les états décident d’investir le champs scientifique. Ils se rendent compte que is ont tout intérêt et peuvent en tirer profits. Au début ce n’est pas évident d’accepter des discours différent car on retrouve des scientifique persécuté comme Copernic et Galilée. On retrouve au 17ème siècle un arrêt qui condamne des écrits de Voltaire. 4 Les états sont au départ méfiants envers la sciences mais progressivement ils y voit un intérêt stratégique, technologique, comme les progrès balistiques. Toutes les disciplines qui permet de rendent plus fort en guerre est soutenue par l’état. La géographie également est soutenue par l’état car il cherche a avoir une cartographie précise du royaume => les cartes de Cassini 1756. Pour défendre les frontières Louis 14 appelle un ingénieurs qui s’appelle Vauban et construits des citadelles pour repousser l’ennemie. Résumé de mes documents : Doc 1 – les gens de la haute société se réunissent dans un salon pour que quelqu’un leur conte une pièce de théâtre Doc 2 – Les bourgeois éclairé se rassemble pour lire la presse, échanger, discuter. Café Procope => Voltaire et Rousseau. Idée de plan : Comment est diffuser le savoir ? I. Idées principales : définir le cheminement de diffusion des savoir => l’importance qu’est la diffusion du savoir (encyclopédie, salon)doc 1 II. Création des connaissance : savoirs et connaissance, contenues III. Comment, a qui c’est Transmis (instruire tout le monde grâce au ouvrage) doc 3, 4 IV. Limites doc 2,4,5 Mercredi 25 septembre 2024  Plan montrant la correction du travail de la semaine précédente, ce n’est pas un plan de cours. La diffusion des savoirs au XVIIIe siècle I. Les lumières, un projet inédit de refondation et de diffusion des savoirs. 1) Une entreprise des Lumières : le savoir universel, fondement du bonheur de l’humanité. 2) « bouleverser le système des savoirs » : l’exemple de l’Encyclopédie  Des savoirs fondés sur la raison  Une nouvelle hiérarchisation des savoirs : la place des arts manuels et de la technique. 3) Une entreprise collective 5  De nombreux auteurs  Prospectus de souscription  Des soutiens (cf. Lettre de Diderot à Voltaire) II. Une diffusion de l’accès au savoir à (presque) toutes les échelles 1) Les progrès de l’alphabétisation 2) Des supports multiple du savoirs (image, correspondance, affiches, presse, livres, théâtre, etc.) 3) Des lieux de diffusion (café, jardins publics, places publiques, salons, etc.) 4) Des réseaux, par-delà les frontières III. Une diffusion qui rencontre des limites et des oppositions 1) Une alphabétisation inégale  Lecture/écriture  Hommes/femmes  Nord-Est/Sud-Ouest  Réticence de l’état et des Lumières 2) L’Eglise, première opposante à l’Encyclopédie  Le Pape  Les jésuites 3) L’état et la censure  Le roi  Le parlement  Publier à l’étranger L’industrialisation et les mutations du travail XIX- première moitié du XXe siècle L’industrialisation est un processus de transformation des méthodes de production marquer par la mécanisation et la concentration de la production dans les usines. C’est ce qu’on a très longtemps appeler « révolution industrielle » mais que aujourd’hui les historien préfère appeler « industrialisation » car « révolution » fait penser a un changement brutale, or l’industrialisation s’est fait sur une centaines d’années. Dans le travail, il y a une idée de compétence et de savoirs faire pour travailler. Une idée nouvelle du 18e siècle, c’est que les compétence vont amélioré le produit finit, et on va le rémunérer par la valeurs, le temps qu’il met dans son produit. Dans le siècle des lumière, l’idée de travail va amélioré l’humanité. Mais cette conception va être remis en cause avec le changement des méthodes de travail, 6 l’industrialisation. C’est un bouleversement des paysage, de la façons de travailler, des rapports sociaux, là où il y a eu l’idée de révolution c’est que en quelques décennies on a vu la société complétement changer. Le développement des lumières et de la sciences à permis le développement des machines, comme celles de James Watt en 1759 => son principe, avec du charbon on fait chauffer de l’eau qui boue et se transforme en vapeur. Quand on canalise cette vapeur, cela produit de la pression et pousse des soupapes, actionne un balanciers… ces machines vont révolutionné les gestes au travail. Le premier secteur qui va être mécaniser est le secteur textile. 1769 => Invention de la machine à vapeur Fin XVIIIe – 1880 => première révolution industrielle (machine à vapeur, charbon). Cette révolution permet de développer les secteurs mécaniser : textile, métallurgie, et minier car on a besoin de charbon pur faire marcher les machines. 1830 => appariation du chemin de fer 1850 => premiers bateaux à moteurs 1880-1914 => deuxième révolution industrielle (pétrole, électricité). Les sources d’énergie changent, et développe les secteurs de la chimie, de l’aviation et des transports. 1900 => début de l’aviation Il y a donc deux phase de l’industrialisation avec le triomphe de l’Europe (GB, France et Allemagne. Les Etats-Unis sont notamment une nouvelle force émergente car ils détiennent du pétrole. Les historiens ont beaucoup quantifier cette production industrielle, et aujourd’hui ils relisent cette quantification en s’intéressant plus à l’histoire des ouvriers eux-mêmes. François Jarrige : La contamination du monde. Une histoire des pollutions à l’Age industriel, le travail eu Europe occidentale, la modernité désenchantée…. Emmanuel Fureix : Gerad Noiriel, les ouvriers dans la société française, Xavier Vigna, Histoire des ouvriers en France au XXe siècle. La prof nous conseil un reportage sur YouTube, Le temps des ouvriers, ARTE. I. Le système du travail à l’usine (factory système) et la réorganisation du travail Fin du 18e, jusqu’à a peu près les années 1850. C’est vers 1820 que Victor Hugo situe les Misérable et que Jean Valjean se fait réintégrer dans une ville car il réinvente une production textile. Sur cette période, il y a une idée de transition et une permanence des anciennes façons de travailler. La prof nous montre une représentation d’un intérieur d’atelier de Canuts ( travaille de la soie..). Il y a une famille organisée autour du père qui est le maitre artisans, le canuts. Les femmes sont autour et font le travail préparatoire, elles file. Ils sont dans un atelier, qui se situe dans leurs lieu de vie. 7 2. Le factory system comme nouveau modèle d’organisation Quatre principes majeurs : -concentrer la production, c’est-à-dire les machines dans un seul lieu. Acheter une machine coute chère, donc c’est les riches qui acheté pleins de machine qu’ils vont concentrer dans un même endroits = usine. Factory système= l’idée de concentrer plusieurs machine au même endroit. -mécaniser : faire exécuter les taches par des machines, gain de productivité, de temps, de meilleure qualité -diviser : au lieu d’un seul artisan / d’une cellule familiale exécutant toutes les taches, divisions des taches et des fonctions. - Discipliner : au lieu de d’une main d’œuvre travaillant au rythme des saisons, avec une organisation hiérarchique relativement lâche, contrôle accru du temps et des comportements de la mains d’œuvre. La disciplinarisation des ouvriers au 19ème siècles est centrale car avant les gens étaient des artisanats avec un savoir faire et compétences reconnues et là très rapidement on leurs dit vous allez a l’usine et on s’en tape de vos connaissances. Ils faut s’adapter au rythme de travail qui leurs est imposer, avec un rythme de vie nouveaux. Un des effets de la disciplinarisation c’est que les patrons créer des règlements pour cadrer les ouvriers et qu’ils ne se révoltent pas. Par exemple, quand ils se font embaucher ils doivent faire un dépôts de 20 francs qui les engagent a rester un an sinon il perd son dépôts. Cœur Manon < 3 Réflexion qui apparait progressivement en 1820-30 où on fait un lien avec les nouvelles formes de misère que explosent à ce moment là et les conditions de travail. On fait faire à l’époque des enquêtes sociale avec de commentaires qui accuse les ouvriers de leurs misère, au début. Villermé est le premier (environ 1830) a faire des vrai enquête en demandant comment les ouvriers vivent et combien ils gagnent. Comment un ouvrier qui travaille 13h par jour ne 8 gagne pas assez pour vivre. Victor Hugo va porter cette questions sociale des ouvriers à l’assemblés générale, avec un texte « Les caves de Lille » en mars 1851. On passe de cette conception de responsabilité morale des ouvriers à la prise en compte de la responsabilité collective. Mais cela n’a aucun impact, jusqu’au années 80 au seront promulguer des mesures sociale comme la retraite, les risques, journée de travail… II. Le temps de la grande industrie : développement de l’organisation du travail et paternalisme (1850-1880) Dans les années 1850 se pose la question de la prise en compte croissante de la question sociale, besoins de fixer la main d’’œuvres => réponse des patrons : le paternalisme. Voir le polycopié « pourquoi les ouvriers fuient-ils les usines ? ». Un mot inventer par Marx : le prolétariat. Le prolétaire est celui qui ne possède rien sinon leurs force de travail. Le paternalisme est une politique patronale qui visent à amélioré les conditions de vie des ouvriers, dans le but de fixer la main d’œuvre, parfois pour des raisons morale mais pas souvent. Ex : le familistère de Guise, en Picardie. Charles Godin, 1850, est un ingénieurs qui se spécialise dans la fonte et plus précisément les poêles. Il a cœur de mettre en œuvre un modèle sociale nouveaux : il construit des logements sur place pour les ouvriers et pour leurs famille. Le loyer est pas trop chère, abordable. Le patron propose des avantages en nature comme du charbon gratuit, créer une sorte d’épicerie collective où l’épicier ne se fait pas de marge car il est payer par le patron. Il développe le bien être des ouvriers avec piscine, théâtres, écoles pour enfants. Ce qui contribue a faire de l’usine une petite ville. Bon, l’architecture est très peu intimiste et il y a une sorte d’auto contrôle. Les usines Schneider au Creusot 1836 = Eugène Schneider rachète une forge et développe une usine ville. Il y aussi les usines de wagons de Dietrich à Lunéville en Lorraine (1936). Les historiens du 19ème siècles ont prouver, chiffre à l’appuie que la France n’auras pas peut s’industrialiser aussi tôt si il n’y avait pas eu de main d’œuvre étrangère. La grande Bretagne devient majoritairement urbaine en 1831, car les anglais ne sont pas propriétaire de leurs terres et les patrons vont racheter toutes les terres publique pour insister les paysans a venir dans leurs usines, c’est assez violent et rapide. En France, les français ont eu du mal a se déplacer en ville pour renflouer les rangs des ouvriers, car en plus eux sont propriétaire de leurs terres, donc c’est plus lent. La France deviendras majoritairement urbaine en 1931. Comme les français ne veulent pas aller a l’usine mais la France souhaite s’industrialiser, on fait appelle à de la main d’œuvre étrangère et c’est grâce à eux que la France a pu s’industrialiser et se développer. (Belges, Italiens, et polonais un peu plus tard). 9 III. La rationalisation du travail (1900-1930) 10

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