Summary

This document discusses literary texts, focusing on the themes of literature and religion, particularly the role of convents in different historical periods. It includes insights from authors such as Diderot and Chénier, reflecting on the interplay between these concepts.

Full Transcript

CM1 Littérature classique Littérature et religion les fictions du couvent. - Des œuvres écrites lorsque les couvents étaient des institutions. - Des époques différentes dans les rapports hommes femmes, à l’identité. - Des ouvrages qui permet de questionner la pl...

CM1 Littérature classique Littérature et religion les fictions du couvent. - Des œuvres écrites lorsque les couvents étaient des institutions. - Des époques différentes dans les rapports hommes femmes, à l’identité. - Des ouvrages qui permet de questionner la place de la femme dans la société. - Comment des femmes réussissent à s'émanciper du couvent. 2 schémas différents : 1. La religieuse de Diderot, 17ème. Dans la religieuse = une jeune fille envoie une lettre à un destinataire pour le convaincre de l’aider => nous lecteurs et le marquis. 2. Fénelon de Chénier = joué pour la 1er fois lors en 1793 de la RF. Le théâtre devient 1 art politique. 1. Diderot aime les paradoxes, il installe un jeu de dupe avec le lecteur qui incite à se questionner sur les couvents de façon ambiguë. 2. Chénier dénonce les couvents sans ambiguïtés. Ombre et lumière dans les fictions du couvents - Le but est de montrer la face la + sombre de la religion. - Dans le destin féminin montrer les nouveaux comportements amenés par les lumières. Le rapport entre la littérature et la religion : le combat des lumières se focalise sur les couvents, il utilise la littérature pour dénoncer les dysfonctionnements de la religion qui conduit à des dérives => la religion entrave la liberté et le fonctionnement de la société. - L’ AR = la monarchie absolue= de droit divin est un pouvoir accordé par dieu. La légitimité est tirée de la religion qui est du côté de la Norme, de la Loi. - Il y a des tensions religieuses et des guerres de religion. - La religion ne peut pas être remise en question (représentants et fonctionnement),dangereux de la remettre en question. - La censure est présente, les livres donnés au grand public sont contrôlés => (contre les bonnes mœurs, atteinte à l’Etat et à l’église.) - Le vérité révéler => l’explication de l’ordre du monde indiscutable. On ne cherche donc pas à changer le monde. LE DOGME ne permet pas de les discuter. La religion est une lumière qui nous éblouit et donc empêche de voir, elle est unique. Les lumières = mouvement qui change le comportement et éclaire les esprits contre les pouvoirs en place. - Leurs idées se heurtent à celles des penseurs religieux. - Réagissent contre les vérités révélées (religieuse). - Ils provoquent des réactions, et proposent des solutions. - Les lumières philosophiques sont nombreuses. - Le système de la société = l’ordre rigide => les lumières veulent assouplir ce système en le bougeant de l’intérieur => En remettant en question le système / pour le questionnement. - Les hommes des lumières valorisent la nature qui est porteuse de vérités. Il valorise l’Homme qui est perfectible = ni mauvais ni bon de nature il peut se racheter = ce qui fait la beauté de la littérature qui instruit et rend meilleur. - Les vérités scientifiques reposent sur l’expérience, sur des preuves. - Devise des lumières Kant = « ose savoir » - Les lumières naissent déjà à la fin du 17eme. Diderot 1 artisan de ces lumières dans la remise en questions il est intéressé par les lettres et la science. Il participe à l’encyclopédie qui rassemble tout les connaissances. Cour 2 1789 = Renversement des valeurs 3 catégories dans la société : 1) La noblesse qui a la majorité des pouvoirs. 2) Le clergé qui est privilégié dépend du pouvoir => L’Église a des propriétés et génère des bénéfices. 3) Le tiers état, ni noble ni clergé, n’a aucun privilège => payent et travaillent pour les nobles => sans reconnaissance de la société - Les cahiers de doléances = donnent 1 voix à ceux qui n’en ont pas => début du changement. - 4 août - abolition des privilèges = le système devient 1 peu + égalitaire. Idéaux d’égalité et de liberté proclamés. - Les structures de pouvoir, les relations sociales changent => le tutoiement. - Le rapport à la religion évolue 1 nouvelle législation pour le clergé. Couvent = établissement religieux où des personnes choisissent de vivre en communauté pour mener une vie religieuse. Aux 17e et 18e siècles ont plusieurs usages : - Servaient à des fins purement religieuses - Permet d’entrer dans la vie monastique. - 1 rôle social et éducatif. - Les jeunes filles de la bourgeoisie y recevaient 1 éducation religieuse puis étaient mariées. Pourquoi parfois le couvent devient un enfermement ? - La solution des familles pour “caser” leurs enfants => car l’éducation est chère. Diderot La Religieuse => Suzanne est la plus jeune ( + enfant illégitime), et après les mariages onéreux de ses 2 sœurs, il ne reste plus d’argent pour sa dot. 1 situation courante à l’époque. - Au 18e siècle => plus vu comme un lieu de dévotion religieuse. - Le couvent devient un engagement social, souvent imposé. - Le couvent devient un symbole de l’autorité parentale et royale. - Pour les philosophes des Lumières le couvent = 1 prison / 1 enfermement/ 1 oppression. - Lumières => prônent la reconnaissance de la sensualité et de la reproduction des aspects essentiels de l’existence humaine. - L’univers du couvent est perçu comme contre nature, une aberration. - Les couvents ne pouvaient pas être critiqués avant la RF à cause de la censure et des dogmes. - La Révolution libère la parole permet de critiquer la religion, la fin des vocations forcées. - L’Église perd son pouvoir politique et ses biens. - L’Église n'a plus de statut politique. - Après une politique de déchristianisation. Cour 3 - 2 œuvres qui condamne les couvents - À des époques différentes - N°1 = lorsque le couvent est encore respectable = Diderot se cache - N°2 = lorsque le couvent n’existe presque plus => n’a plus de pouvoir = Chénier n’a pas besoin de se cacher. 2 formes différentes : - Le Roman un rapport secrêt et intime. - Le théâtre un partage avec le public. - 2 moyens différents d’agir sur le lecteur et les spectateurs. Rapport entre littérature et philosophie (fiction X idées) ? Œuvre qui s’attaque à des institutions : - Critique idéologique de L’église. - L’autorité parentale. - Un discours des lumière sur une institution corrompue. Susciter des émotions / des pulsions : - Tendance à la cruauté / au sadisme chez Diderot. - Suscite la fascination et la réflexion Le couvent a 1 esthétique : - Des aspects esthétiques dans la création d’un imaginaire horrifique. Le couvent un lieux d’enfermement : - Ou les pulsions ne peuvent pas être exprimées. - Ou les pulsions s’expriment par d’autre biais sombre. Suzanne Simonin : - La narratrice écrit à un homme qui pourrait la sauvé - Une entreprise de séduction se montre sous son meilleurs jour. - Une manière de jouer sur les émotions. La représentation féminine : 1) Comment négocie telle avec la gente masculine ? 2) Pourquoi les femmes sont enfermées au couvent ? Diderot - La religieuse - Diderot 1 auteur philosophique. - Caractérisé par sa polygraphie => écrit sur tous les questions. - Aucune discipline n’est séparée Science/ Littérature/ Art - Œuvre original marquée par des idées des lumières. - Il veux tester les limites de la littérature. Refus des règles. - Il apprécie les dialogue = au mouvement des idées. => lettres adressé au Marquis. - Il apprécie l’humour. Refus de se prendre au sérieux. - Un écrivain transgressif - Ses œuvres ne sont pas publiées officiellement => publiée qu’au 19eme siècle - La religieuse n’a pas été lu au 18eme siècle = œuvre posthume - Marguerite de Lamarre = 1 femme qui fait 1 procès à son couvent pour résilier ses vœux => combat suivie par les philosophes => soutien. - Conflit => Janséniste X Jésuite - La notion de réalisme existe pas (à l’époque de Diderot) - 1 représentation immorale et scandaleuse. Cour 4 - => 1 roman mémoire => texte adressé => mea coulpa de la personne qui raconte 1 prt de sa vie. - Raconte l’expérience de vie. - Le JE narrant qui explique ce qui l’a amené LA. - Le JE narrée la Suzanne de son histoire. - Mélange entre le roman mémoire et le roman épistolaire. - Relève leçons et progrès acquis par le personnages. - Texte qui reste ouvert. - Grimm inventé la correspondance littéraire. Joue sur 2 tableau : 1. Arguments 2. Mystification. - Révélation de la supercherie préface annexe. - 1 lecteur capable de prendre ses distances par rapport au manipulation littéraire. - Diatribe contre les couvents. Préface annexe - Pourquoi avoir ajouté cette mystification. - Des êtres sensibles faces aux machinateurs. Cour 5 1er couvent 2eme couvent le sadisme 3eme couvent aggravation => le règne du corps désirant => caractère malsain du couvent. - Suzanne se présente comme tout autant innocente. - Une stratégie de séduction réthorique pour se présenter de façon la plus favorable. - Pour Diderot c’est le couvent qui rend fou en empêchant l’expression de sa personne. 4 figure maternelle 1. Sa mère => qui la force à entrer au couvent => la rejettes. 2. La 1er mère supérieur très maternelle. 3. La 2eme mère négative monte les autres religieuse. 4. La 3eme mère => contre nature désir sa fille. - Roman inachevé car on ne connaît pas la réponse du marquis La description du couvent : - Aggravation - Lieux illuminé => devient un lieu des ténèbres. - Créer des émotions fortes. - Des espaces semi publique et d’autres cacher => les cachots. - Un imaginaire Gothique. Des scène de violence et de sexualité. La figure de Suzanne : - Suzanne est imperméable aux désirs. - Elle est simplement contre. - Incarnation du refus. - Elle n’a pas d’amour et n’est pas réfractaire à la croyance. - Une vrai croyante. - Elle ne veux pas de l’enfermement => prison. - Résistance par principe féminin. La question d’une lecture gender studies : - Quelles est la liberté des femmes dans le couvents. - Car c’est renoncer au monde - Renoncer de devenir mère - Renonciation a la sensualité. - Convaincre des autorités des hommes. - Sont sort dépend des hommes. - Ces relations avec les hommes suppose une séduction. - La narration est jamais inocente. - On fond de fantasme masculin. Cour 6 - La pièce n’est pas très populaire - Auteur chez qui littérature et politique sont très liées - Fénelon porte et défend des idées - 1 pièce qui se transforme vite en événement => le public réagis et s’identifie. - Chenier écrit une pièce anti monacale tard. - les femmes dans la société ne peuvent pas s’en sortir et ont besoin d’un deus ex machina. - Une pièce sur la sonorité. Cour 7 Une fin qui ressemble à une fin de drame : - Théâtre de Chénier = s’oppose à la vision pecimiste du monde. Un théâtre de perfectiviter qui améliore la société. - Discour préliminaire = l’art du théâtre qui passe par la companion. - Fenelon un vrai pontife = présenter comme un révolutionnaire avant l’heure qui gère bien son pouvoir à bonne escient. Lecture politique de Fenelon = 1 réforme politique. - Le théâtre 1 école politique = devient 1 instrument plus efficace. - Un théâtre de propagande = de valeurs, d’idées, agréer à la thèse. - Des représentation de part et pour le peuple. Un moment où la littérature est dotée d’un enjeux politique : - Litterature politique => lien en mouvement constant. L’hypocrisie dans la religieuse : - La supérieur du premier couvent demande à Suzanne de faire semblant => le couvent 1 lieu de l’hypocrisie. - La supérieur parle d’attendre de la mort des parents de Suzanne comme une libération. - Le couvent un lieu où les vertus chrétienne devait prôner => cependant sa beauté et son talent d’artiste sont renommé => une passion mondain. - Le voile devient un accessoire de beauté. On échappe pas au narcissisme et à la coquetterie.« une leçon de Marcelle sur la beauté monastique » - => le novica une période de séduction. - L’oublie du corps => mais une femme qui est échevelée => une première image qui donne raison à Suzanne. - À la suite premier vœux de Suzanne = scandale quand elle refuse. - Sainte Christine p50 = description = adversaire de Suzanne a Longchamps. - Un système de favoritisme et d’alliance. Cour 8 - La supérieur de Moni => bienveillante. Meurs - La sœur sainte Christine => aime le pouvoir et adepte du châtiment, a des favorites. Une tête politique. - Un changement mal vécu par Suzanne. Elle incite à la résistance. - Une forme de résistance contre l’esprit de clan amener par Christine. - Une intimité suspecte entre certaines religieuses => des choses pas très catholique. 😇👿 Elle est capable de distinguer ces choses sexuelles et déplacée. - C’est une erreur de la penser innocente / Le couvent ne va pas car : - La religion est transformer en luttes de pouvoir - Le couvent n’est pas un endroit paisible. - Le couvent lieu où règne la violence - Les religieuses essaye de pousser Suzanne au suicide. La porte qui mène au puit souvent ouverte. - La chapelle, le réfectoire, la cour => des endroits sociaux où Suzanne n’ira plus - Cellule, souterrain, couloirs => un imaginaire gotique, sombre ou ira Suzanne. - Le marquis de croimare - Porter le débat sur la place publique => démarche judiciaire un moyen de protection contre les persécutions. Le rejet de la religion - Suzanne ne rejette pas la religion => est une plutôt bonne religieuse => obéit au règles. - Madame de Moni reconnaît en elle une bonne chrétienne. - Son libre arbitre => vx décider de son sors. - Veux qu’on reconnaisse sa liberté individuelle et son libre arbitre. - Devient un bloc de résistance face aux stratégies => tortures, essaies discrédités, mechanisme féroce pour la rendre folle (70-80). Le couvent : - L’enferment du couvent fait ressurgir les pulsions => violence, férocité. - Un mise à nue de la noirceur du couvent. - Suzanne devient une figure christique qui subit la passion, la violence, la persécution comme le Christ. (p 90 : la folie de la croix => voit le christ sur la croix qui souffre plus qu’elle.) La justice : - L’autorité du grand viquaire rétablie Suzanne. Comparable à l’intervention de Fenelon. - On pense que tout ira bien mais non. - M.Manouri fait un requisitoire contre les couvents. Un argumentaire masculin qui n’est pas efficace. - Les lettres de Suzanne sont plus efficaces et plus pathétiques. Le réquisitoire de M.Manouri p99-100 - Un réquisitoires rationnel - La nature fait l’homme mais elle est renier en étant réprimer au couvent. - On en sort facilement et n’en sort pas facilement. - Le couvent n’exister pas à l’époque du christ une invention. - Pas besoins d’autant de vierge épouse du christ. - La raison ne lui permet pas de sortir. Mais lui permet de changer de couvent. Saint- Eutrone : - Plus agréable => temps pour les goûter, les chansons. Mais bizarre car le couvent est lieux de méditation. - La sœur sainte => du côté du plaisir et de la libération des désirs. - Un désirs dérégler => une répulsion des désirs/ besoins du corps => veux de chasteté. - Le dénie fait ressurgir plus fort. Des désirs au départ sain deviennent malsain. - Des les premières page => un désordre dans ce couvent. - Un lieu de débouché incontrôlée que Suzanne ne décrit pas comme telle. - Le père le Moine => un homme qui va catégoriser la supérieure comme libertine et indigne de sa profession. - Suzanne a besoin qu’on la pense innocente. Victime des actes sexuelles auxquelles elle participe. - On voit chez la Supérieure et Suzanne des symptômes des dérives du cloître. - Un autre requisitoire contre le cloître de la bouche d’un homme Dont Morelle => qui lui propose de s’en faire. - La seule issue pour Suzanne est l’homme philosophe Le Marquis de Croixmarre. Un texte qui critique les couvents : - Une lecture chrétienne proposer. Nostalgique de la religion. - Une lecture anti-chretienne et naturaliste. - Une dénonciation philosophique du couvent. - Des scènes pathétiques qui sucite des émotions, le plaisir du voyeurisme, de l’esthétique ghotique et du fantasme de l’héroïsme féminin. - Diderot apprécie ce qu’il condamne. - Des éléments de tension et d’ambiguïté. Un scandale à 2 niveaux : - Le scandale du cloître - La parole de Suzanne => une femme qui se défend parle et qui tord la vérité. Cour 9 Fenelon Requisitoire contre les couvents et pas contre la religion : - Un texte qui respecte les bienseillances représentés devant un publique. - Que l’ont peut montrer. - Le scandale est dénoncer. Le couvent est un espace qui s’apparente à une prison un espace clôt où les passion mauvaise se déploie. Acte 1 : - Amélie est retissante à prendre le voile. - La raison plus mûre la fait prendre conscience que le couvent n’est pas ce quelle pensait être. - Les lumières devraient amener le personnage a faire un choix en pleine conscience. Révélation effrayante par un univers sonore, un cri qui a fait pénétré la pièce dans un autre aspect du couvent, 1 représentation gothique du couvent. - Une contrainte illégitime de l’abbesse. - Le couvent incarne une religion corrompue. - Le vrai représentant de la religion = Fenelon. Isaure : - Elle révèle le côté sombre du couvent. - Elle qui la conduit à Héloïse => 1 parcours initiatique et géographique du passage aux endroits acceptables au cachot. Cour 11

Use Quizgecko on...
Browser
Browser