Summary

Ce document explore les composantes du langage, l'acquisition du langage et les aspects du langage humain et animal. L'analyse se concentre sur la perception, la production, les symboles, la structure et la hiérarchie du langage, ainsi que sur une variété d'études et d'exemples.

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1. Développement du langage Composantes du langage Qu’est-ce que langage ? SYMBOLE - Systèmes qui représentent : Pensées Sentiments Connaissances - Permettent de les communiquer aux autres. Langage - Acquisition du système de symbole humain....

1. Développement du langage Composantes du langage Qu’est-ce que langage ? SYMBOLE - Systèmes qui représentent : Pensées Sentiments Connaissances - Permettent de les communiquer aux autres. Langage - Acquisition du système de symbole humain. - Utilisation d’un système de signe (vocaux, gestuel, graphiques, tactiles, etc) Symboles linguistiques - Langage parlé - Langage écrit Symboles Symboles non-linguistiques P. ex. dessin, nombres, graphes, photos, carte, Emoji Utilisation du langage Compréhension Production Comprendre ce que les autres Processus de parler, écrire disent ou écrivent. 5 ans Maitrise la structure basique du langage Hiérarchie du langage Générativité Bénéfice du système permet de : - Former une infinité de phrases - Exprimer un nombre infini d’idées Grâce à l’utilisation de l’ensemble fini de mots ð Avec un ensemble fini de sons et de mots on peut avoir un nombre infini d’idées. Compétences requises D’abord Ensemble de développement phonème phonologique associé apprentissage des ensemble qui La façon Regroupe phénomènes donne un dont les mots tous les important afin de morphème sont facteurs discriminer et qui a du assemblés va structurels produire les sens. donner un dans lesquels différentes sens à la les mots sont phonèmes. phrase. utilisés. Comment et Discriminer les dans quel phonèmes de façon contexte, les adapté à la langue mots sont qu’on utilise. utilisés. Que faut-il pour parler ? CAPACITÉ HUMAINE : ACQUISITION DU LANGAGE - Seul un être humain peut acquérir une langue entière. Dans quel condition est-il appris ? § Un humain totalement isolé ne peut acquérir le langage donc avoir un cerveau n’est pas la seule option, il faut aussi être exposé au langage. Langage : comportement spécifique à notre espèce Vidéo sur Kanzi, un bonobo qui Vidéo sur Alex, un perroquet appris les symboles non- qui appris à produire et linguistique. comprendre des paroles basiques en anglais. Humains Autres animaux - Langage structuré, complexe - Langage humaine basique - Apprentissage avec peu - Entraînement très intensif d’enseignement explicite. - Pas de syntaxe Lexique de 350 mots Capable de produire des phrases qui ont un sens mais son niveaux utilise les mots de est semblable à celui d’un petit façons isolés, il peut enfant. Acquière un niveau associer les mots ne incroyable pour son espèce mais sont pas correctes de pas celui d’un humain adulte. manières syntaxique. Cerveau humain LOCALISATION HÉMISPHÉRIQUE Droitiers : Hémisphère gauche Gauchers : Hémisphère droite / Hémisphère droite et gauche - Aire de Broca : production - Aire de Wernicke : compréhension PÉRIODE CRITIQUE (FINI ENTRE 5 ANS – PUBERTÉ) à GRANDE VARIABILITÉ INTER-INDIVIDUELLE Ø Apprentissage facile du langage à acquisition la plus efficace. Ø Apprentissage général dans d’autres domaines. Après cette période, Ø Plus difficile au niveau de l’apprentissage. Ø Difficultés à créer de nouvelles connexions. Cas de Genie « enfant sauvage » - Aucun apprentissage du langage auparavant. - Incapacité d’atteindre une capacité du langage correspondant à son âge. Enfermé dans une pièce entre 18 mois et 13 ans. Malgré un entrainement intense son langage n’a jamais dépassé celui d’un petit enfant. Perte du langage plus facile chez les adultes, enfants capacité de réorganiser les connexions. Âge du début de l’apprentissage du langage JOHNSON & NEWPORT (1989) - Test grammaire anglaise d’adultes originaires de la Corée et de la Chine. - Âge à l’arrivée aux États-Unis. Les individus ayant acquis l’anglais avant 7 ans ont de meilleure capacité/connaissance que ceux qui l’ont acquis plus tard. Acquisition du langage chez les enfants sourds NEWPORT (1990) - Compréhension de la grammaire en ASL. - Compréhension entre 2 groupes : Individus ayant acquis ASL comme 1ère langue des signes. Durant l’enfance > Durant l’adolescence ou l’âge adulte. Environnement humain Il faut un environnement dans lequel l’enfant est exposé au langage INFANT-DIRECTED SPEECH (IDS) Langage adressé au bébé - Lent Effets positifs - Émotions positives - Tonalité - Mise en confiance - Exagère les voyelles - Davantage d’intérêt à meilleure - Exagère les mimiques faciales compréhension - Simplifié Globalement, on le retrouve dans tous les langages. - Presque universel Instinctif à propriété facilitent l’apprentissage du langage à l’enfant. CULTURE SANS IDS - Kaluli en Papua nouvelle guinée - Kwara’ae aux îles Salomon Processus d’acquisition de la langue FŒTUS DANS L’UTÉRUS EFFETS POSITIFS Préférence pour : - Rythme et intonations - Voix de leur mère caractéristiques, avec lesquels une - Langue que leur mère parle langue est parlée. - Habituation à la prosodie de la langue dans laquelle, il est immergé. Perception de la parole - Sons perçus en fonction de catégories. On entend les phénomènes de manière catégorisé : on prend soit un, soit l’autre. VOT : VOICE ONSET TIME - Durée entre passage de l’air entre les lèvres et vibrations des cordes vocales. Étude chez les adultes VOT de /p/ et /b/ - 2 groupes : tâches de reconnaissances /p/, /b/. - 25 ms distinction entre /p/ et /b/. LES NOURRISSONS PEUVENT-ILS PERCEVOIR LA DISTINCTION PHONÉTIQUE ENTRE /B/ ET /P/ ? EIMAS ET AL. (1971) Étude chez les nourrissons (1-4 mois) - Groupe 1 Deux sons appartenant à deux catégories adultes (/b/ et /p/). - Groupe 2 Deux sons appartenant à la même catégorie adulte (/p/). Méthode de succion de haute amplitude - Habituation : succion moins forte. Pas de distinction entre les sons. - Déshabituation : succion plus forte. Distinction des sons. - Groupe 1 Taux de succion à déshabituation § Au moment de la présentation du nouveau son regain d’intérêt donc les bébés ont remarqué la différence. - Groupe 2 Diminution du taux de succion à habituation § Au fur et à mesure que le son est présenté. Interprétation Nourrissons capables de : Discriminer Catégoriser Les phénomènes comme les adultes. CAPACITÉ À PERCEVOIR TOUS LES PHONÈMES EXISTANTS Les nourrissons sont capables de tous les discriminer mais en grandissant ils Langages humains : se spécialisent dans les phonèmes de - 600 consonnes leur langue maternelle donc ils perdent - 200 voyelles la connaissances des autres phénomène À partir de 12 mois ils sont spécialisés dans leur langue maternelle, plus (-) de réaction. RÉTRÉCISSEMENT PERCEPTIF ÉTUDE DE WERKER (1989) Participants - Nourrissons de famille anglophones. Conditions - Hindi (barres bleues) - Nthlakapmx (barres vertes) Mesure - Habituation et déshabituation - Tourner la tête vers la source sonore après un changement. Interprétation - Diminution de capacité à discriminer des phonèmes des langues étrangères. Rétrécissement perceptif - Baisse de la sensibilité aux phonèmes utilisés dans les langues étrangères. ð Adaptation au langage maternelle utilisé. - Spécialisation de perception des phonèmes de la langue maternelle. Segmentation de mots § Processus de découverte de la scission des mots. o Où les mots commencent et finissent. o Première étape, être capable de distinguer l’ensemble des sons afin de savoir distinguer les différents mots. Comment ? § Accentuation o Prosodie : consistant à l’intérieur d’une même langue, permet la distinction entre les mots. § Propriétés distributionnelles (apprentissage statistique) o Probabilité que 2 syllabes se suivent à régularité dans l’enchaînement des syllabes, permet de distinguer les mots. Période pré-linguistique Babillage 6 – 8 semaines : exertion du système de production vocal Produire des sons de voyelles allongées « aaahh ». Contrôle moteur pour les vocalisations. Vocalisation permet de communiquer avec autrui. 6 – 10 mois : répétition de syllabes qui n’ont pas de sens Commencent du babillage. Importance de l’exposition au langage pour babiller. o Enfant ASL à Babillage ASL Interactions précoces Rôles passif (écouter) et actif (parler). o Pour les enfants commence avec les jeux p.ex. : pick-a-boo. Développement des routines interactives passives et actives. o À tour de rôle § Influence réciproque entre les deux individus qui interagissent. o Intersubjectivité o Attention conjointe § Base de l’intersubjectivité à 2 individus portent leur attention sur une même chose. o Montrer du doigt § 12 mois : comprend le sens du pointage Premiers mots Comment les enfants arrivent-ils à produire les premiers mots ? Processus d’apprentissage Production Compréhension Reconnaissanc e Reconnaissance Reconnaissance précoce des mots précoce Concerne les mots fréquents Développement rapide. Les bébés reconnaissent plus que ce que leurs parents pensent. 6 mois : reconnaissance du mot « Mommy » ou « Daddy ». Utilisation du contexte pour reconnaître les mot. 24 mois: calcul temps pour se diriger vers la bonne image => plus rapide à 24 mois Premiers mots 10 – 15 mois : production des premiers mots Des fois les babillages peuvent ressembler à des mots à utilisent des sons pour désigner des choses Élimination de sons difficiles ou réorganiser le mot pour commencer par les sons faciles o (p. ex. « nana » pour « banana », « pisketti » pour « spaghetti ») Type de mots: Concerne les choses importantes pour eux o Membres de la famille, animal de compagnie, objets importants o Routines fréquentes (p.ex. « up », « bye-bye ») o Changement (p.ex. « hot », « all gone ») Premiers mots dans différentes cultures sont similaires (Tardif et al., 2008) o Universalité d’intérêts et de priorités chez les enfants Efforts de communication en raison du vocabulaire limité de l’enfant Surgénéralisation o Faciliter la conversation avec un vocabulaire limité p.ex. « chien » désigne aussi tous les animaux qui ont quatre pattes Sous-généralisation o Utilisation d’un mot dans un contexte plus limité qu’approprié p.ex. « chien » désigne le chien de la famille mais pas celui des voisins Mauvaises associations entre les sons et les sens o Les enfants doivent les réviser lors de l’apprentissage Période holophrastique (mots) Le mot exprime une phrase entière P.ex. «manger» à Je veux manger Explosion lexicale - Vocabulaire d’environs 50 mots vers 18 mois - Puis explosion lexicale (croissance rapide) (Bloom, 1973; McMurray, 2007) Influence des adultes sur l’apprentissage des mots Taux de développement du vocabulaire influencé par : - Qualité & quantité de parole - Type de paroles qu’ils entendent (IDS) Jeux de nommage («où est ton nez ?»), centrer l’objet nommé dans la vision de l’enfant, répétition des mots nouveaux et du contexte. Développement du langage et statut socioéconomique Ø Dès 4 ans : grandes différences au niveau de l’expérience avec les mots Plus le statut socio-économique amène un vocabulaire plus o Classe moyenne supérieure riche et une plus grande interaction avec les enfants o Classe ouvrière o Familles à l’aide sociale Moins Ø Statut socioéconomique des parents Ø Qualité et nombre des interactions langagières Ø Développement du langage de l’enfant Contribution des enfants Exclusivité mutuelle Hypothèse de l’objet entier (Markman & Wachtel, 1988) (Markman, 1989) - Les nouveaux mots réfèrent à un - Une entité n’a qu’un seul nom objet entier, plutôt qu’à une - Associer nouveau mot et un partie de l’objet. objet pour lequel les enfants - « Comment les enfants savent A n’ont pas de nom B que le mot lapin réfère à un animal entier pas seulement à son Les expérimentateur disent montre-moi le nez ou à ses oreilles ? » (Quine, toma, les enfants vont lui tendre l’objet 1960) qu’ils ne connaissent pas - Lapin ≠ le nez, les pattes, les oreilles = l’animal entier Indices pragmatiques (Baldwin, 1993) Indices émotionnels (Tomasello, Strosberg & Akhtar, 1996) - Utilisation du contexte social dans lequel le mot a été utilisé. - Inférence basée sur les émotions de l’adulte. o P.ex. attention des adultes - Expérience de Tomasello, - Expérience de Baldwin (1993) Strosberg & Akhtar (1996) o Enfant présentée avec deux o Trouver un « gazzer » seaux contenant des objets o L’enfant ne peut pas voir qu’elle ne voit pas. C D l’objet. o L’adulte regarde l’un des o 2 réactions émotionnelles objets en nommant « modi ». quand l’adulte regarde un o L’adulte donne les deux objet. objets à l’enfant et demande § Mécontentement lequel est « modi ». § Contentement o L’enfant prend l’objet que l’adulte regardait oL’enfant associe l’objet a souri et le nouveau mot « gazzer » Conflit : nouveau mot vs Contexte linguistique (Markman & connaissances (Jaswal, 2004) Wachtel, 1988) - Nouveau mot qui ne correspond - Utilisation de la grammaire pour pas aux connaissances de comprendre le sens de nouveaux l’enfant. mots. - L’enfant adopte le nouveau mot - Expérience de Brown (1957) si l’adulte l’a utilisé o Enfants préscolaires présentés intentionnellement avec l’image ci-contre. E o Ex. insiste sur le fait que c’est F o Nouveau mot : (« sibbing »), étonnant. nom (« a sib »), nom non o P.ex. image d’un félin que comptable (« some sib »). l’adulte appelle « chien ». o Différentes hypothèses sur le sens de « sib » : action, contenant ou contenu Selon la forme qui est utilisé l’enfant va faire des hypothèses sur le sens du mot. Influences de la forme Cross-situational word learning - Interprétation des nouveaux mots - Déterminer la signification des guidée par la forme des objets. mots en suivants les corrélations entre les étiquettes et les - Étude de Landau, Stith & Jones significations à travers les scènes (1988) et les contextes. o Enfants présentés avec la 1ère forme. G H o Laquelle des trois autres à la même dénomination. o Résultats : étendre le plus souvent une étiquette à des objets de la même forme même si la texture ou la taille À chaque fois que j’entends ce mots, est différente y’a telle objet qui est présent donc ce Lequel est un mot veut forcément dire ça dax ? Syntactic bootstrapping Amorçage syntaxique - Utilisation de la structure grammaticale pour détruire le sens d’’un mot. - Étude de Naigles (1990) Selon la phrase l’enfant va déduire ce que Kradder veut dire I o 2 conditions 1) « le canard est en train de kradder le lapin » 2) « le canard et le lapin sont en train de kradder » Période syntaxique (faire des phrases) o Interprétations différentes Fin de la 2ème année Langage télégraphique - Phrases simples : éléments non essentiels manquant. - Universel dans différentes langues ; Anglais, Finnois, Dhloluo, Kaluli (Boysson- Bardies, 1996-1999). Longueur de l’énonciation - Relation entre l’âge et la longueur moyenne de l’énonciation. - Comparaison de trois enfants sur le graphique. - Différences individuelles (Brown, 1973) - Les enfants à partir de 18 mois vont commencer à pouvoir dire des phrases de plus en plus longue et qui auront de plus en plus de sens Grammaire : outils pour construire des phrases Généralisation Étude de Berko (1958) - Enfants d’âge préscolaire - Utilisation des règles grammaticales pour des mots nouveaux - «wug» => «wugs» Sur-régularisation Ø Traiter des mots irréguliers comme des mots réguliers o Chevals (nom + s) Ø Une fois acquisition de la grammaire erreur: o Disait chevaux avant, après acquisition dit chevals Rôles des parents Ø Modèle des paroles correctes grammaticalement Ø Corriger la grammaire Ø Compléter les énoncés incomplets Converser Discours destiné à eux-mêmes § Discours privé : parler à voix haute pour organiser leurs actions o Finira par s’internaliser (pensées) § Égocentrisme : monologue collectif o Chacun des enfants dit un truc différent, ils ne parlent pas ensemble. Ø Compétence de conversation des enfants inférieurs à leurs compétences de langage. Théoriciens Piaget Vygotsky Exploration individuelles de Interactions sociales l’enfant permettant à l’enfant d’acquérir Approche les connaissances par sa culture d’appartenance. Monologue collectif Soliloque - Langage égocentrique - Action de penser à voix haute. Interprétations des discours - Sans communiquer avec autrui. Égocentrisme Maitriser ses actions Théorie basée Aider à résoudre des problèmes Développement plus tardif Capacité linguistique à l’âge scolaire - Réfléchir et analyser la langue - Maitriser les structures grammaticales complexes - Reconnaissances de multiples significations des mots (blagues, jeux de mots...) o Les enfants sont capable d’apprendre des nouveaux mots et leur définition Vocabulaire - 6 ans: 10,000 mots (Anglin, 1993) - 10 ans: 40,000 mots (Anglin, 1993) - Collège: 150,000 mots (Miller & Gildea, 1987) Productions narratives - Histoire concernant les éléments au passé o À partir de 5 ans, les enfants deviennent meilleurs pour raconter des histoires Théorie du développement du langage Théorie comportementale de développement du langage Skinner (1957) Développement du langage au travers des : - Renforcement positifs - Renforcements négatifs o Le langage se développe comme du conditionnement. - Style d’apprentissage des parents = techniques utilisées pour entraîner les animaux à adopter de nouveaux comportements. Chomsky (1957) S’oppose à Skinner Le langage ne peut pas être appris par des processus de renforcement et de punition. - À cause de la propriété de générativité du langage. Raisonnement de Chomsky Générativité Reconnaissance de phrases grammaticales et non grammaticales Reconnaissance d’autres structures linguistiques qui n’ont pas été enseignées Grammaire universelle Ensemble de principes qui régissent la grammaire dans toutes les langues - Langues fondamentalement similaires dans la façon dans elles sont construites. Nativisme Théorie supposant que les enfants ont une connaissance innée et des capacités spécialisées pour l’apprentissage du langage et de la grammaire universelle. - Explique que la plupart des enfants apprennent une langue très vite Débat actuels Consensus sur les observations de Chomsky a) Nombreuses caractéristiques communes entre les langues humaines b) Capacité à généraliser des principes de grammaire Divergences - Explications : pourquoi et comment Dimensions sur lesquelles les théories diffèrent Nature (enfant) Domaine spécifique (langage) vs vs Culture (environnement) Domaine général (mécanismes) Dans quelle mesure les explications se trouvent Est-ce que les mécanismes cognitifs et neuronaux sous-jacents à l’apprentissage du dans l’enfant ? langage n’ont évolué́ que pour soutenir dans l’environnement? Apprentissage du langage ? Apprentissage de nombreuses autres choses ? Explications se trouvent dans l’enfants ou dans l’environnement ? Dimension Nature Culture Nativisme Théories socioculturelles Théories Chercheurs Chomsky Tomasello Inné Acquis, processus d’apprentissage Sans efforts ni Explications instruction des autres. Similarité des interactions sociales à travers les cultures Comme les enfants sont motivés à utiliser le langage parce qu’il veut interagir avec les autres, il va se forcer à apprendre le langage. Mécanismes uniquement pour l’apprentissage du langage ou pour l’apprentissage en général ? Dimension Spécifique au langage Domaine général Mécanismes cognitifs Nativisme généraux Théories Chercheurs Chomsky Saffran & Kirkham (20189 Pinker (1994) Markson & Bloom (1997) Inné Peut-être inné, pas spécifique au langage Mécanismes Explications spécifiques pour Mécanismes généraux l’apprentissage du utilisés aussi pour langage d’autres domaines Computational modeling Vu que ce sont des ordinateurs pas les mêmes contraintes que les humains Rôle important dans le développement des théories modernes Modèles de calcul Manipulation de la structure innée et l’environnement o Test pour déterminer ce qui est crucial Connexionnisme Mise en évidence de l’activité simultanée de nombreuses unités de traitement interconnectées.

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