Examen de Licence - 2018 - Medecine - PDF

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Summary

Cet examen de licence 2018 de médecine porte sur la pneumologie et le traitement médicamenteux des maladies chroniques, notamment la maladie rénale chronique (MRC). L'examen comprend un grand nombre de questions sur les différents aspects de ces sujets.

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EXAMEN DE LICENCE – 2018 FACULTE DE MEDECINE MEDECINE -FRANCAIS I. PNEUMOLOGIE Complément simple : 1. Laquelle des affirmations suivantes sur la dysfonction obstructive...

EXAMEN DE LICENCE – 2018 FACULTE DE MEDECINE MEDECINE -FRANCAIS I. PNEUMOLOGIE Complément simple : 1. Laquelle des affirmations suivantes sur la dysfonction obstructive chronique irréversible dans le cadre des MPOC est FAUSSE : (2) A. On peut la rencontrer dans la sarcoïdose aussi B.Este pathognomonique pour les MPOC C. On peut la rencontrer dans la fibrose kystique aussi D. On peut la rencontrer dans les bronchiolites oblitérantes (post-virales ou post-transplantation pulmonaire) E. On la rencontre également dans d’autres maladies obstructives chroniques irréversibles 2. Laquelle des affirmations suivantes sur les indices physiques de sévérité dans les MPOC est VRAIE: (10) A. Le flapping tremor est un indice de l’encéphalopathie hypocapnique B.Fréquence respiratoire inférieure à 25/mn C. Allure ventriculaire inférieure à 110/minute D. Dépression paradoxale de l’abdomen lors de l’inspiration E. Maintien de la conscience 3. Le signe de Hoover se caractérise par: (10) A. Hypersonorité pulmonaire diffuse et réduction des excursions des hémidiaphragmes B. Hypersonorité pulmonaire diffuse avec excursions normales des hémidiaphragmes C. Lors de l’inspiration, la partie supérieure du thorax se déplace en avant et en bas D. Lors de l’inspiration, la partie supérieure du thorax se déplace en avant et en haut, avec augmentation du diamètre transversal E. Lors de l’inspiration, la partie supérieure du thorax se déplace en avant et en haut, avec diminution du diamètre transversal 4. Dans les MPOC diagnostic différentiel se fait par rapport aux maladies chroniques suivantes, induisant la toux, l’expectoration et la dyspnée, SAUF : (11) A. L’asthme bronchique B. La mucoviscidose C. Les bronchiectasies D. Le syndrome post-tuberculeux E. Le pneumothorax 5. Dans la classification GOLD des MPOC, le groupe C se caractérise par: (14) A. Haut risque, symptômes significatifs, stade III ou IV d’obstruction selon le VEMS et/ou≥2 exacerbations par an: CAT≥ 10 ou MMRC 0 ou 1 1 B. Bas risque, symptômes réduits, stade III ou IV d’obstruction selon le VEMS et/ou ≥2 exacerbations par an: CAT 15 ml/min et albuminurie > 30 mg/g D. Les patients avec DFG entre 29-15 ml/min et albuminurie < 300 mg/g E. Les patients avec DFG entre 45-59 ml/min et albuminurie < 300 mg/g 42. Lesquelles des catégories suivantes de patients ont un risque moyen dans la MRC: (479) U A. Stade G3b et albuminurie A2 B. Stade G2 et albuminurie A3 C. Stade G4 et albuminurie A1 D. Stade G3a et albuminurie A2 E. Stade G3b et albuminurie A3 43. Lesquelles des affirmations suivantes concernant la catégorie d'albuminurie N'este pas VRAIE: (476) U A. A1 inclut une albuminurie en 24 heures < 300 mg/24 ore B. A2 inclut un rapport albumine/créatinine < 30 mg/g C. A3 inclut une albuminurie > 300 mg/24 heures D. A1 inclut un rapport albumine/créatinine < 30 mg/g E. A2 inclut une albuminurie entre 30-300 mg/24 heures 44. En ce qui concerne le débit de filtration glomérulaire, les affirmations suivantes NE sont pas vraies: (476-477) M A. Le clearance de l'inuline est «l'étalon-or» pour la détermination directe du DFG et est très employé dans la pratique médicale 95 B. Le dosage de la créatinine a une imprécision analytique, parce que une grande partie est éliminée par sécrétion tubulaire C. L'estimation du débit de filtration est recommandée et se calcule en employant la formule CKD EPI 2012 D. L'estimation du débit de filtration est recommandée et se calcule en employant la formule MDRD E. L'estimation du DFG basé sur la cystatine C est recommandée lorsque la filtration glomérulaire a des valeurs limite pour l'estimation uniquement de la créatinine sérique et il n'y a pas d'indicateurs de lésion du rein 45. Lesquelles des affirmations suivantes concernant les IECA dans la MRC sont VRAIES: (484) G A. Sont indiqués comme antihypertenseurs en première intention lorsque l'albuminurie est < 300mg/g creatinine même lorsque la PA est normale B. Il n'y a pas de différences importantes entre les IECA et les bloquants récepteurs de l'angiotensine C. Déterminent la vasodilatation de l'artériole afférente et la vasoconstriction de l'artériole efférente, en augmentant le débit sanguin au niveau du glomérule D. Pendant les premiers jours de traitement, il faut monitoriser la diurèse, la créatinine et le potassium E. La combinaison Aliskiren et IECA diminue la protéinurie et est recommandée lorsque le DFG baisse sous 60ml/min 46. En ce qui concerne le contrôle de la pression artérielle et de la protéinurie dans la MRC, sont VRAIES: (484-485) M A. Les statines sont indiquées aux patients avec hypercholestérolémie et âge < 50 ans B. Les fibrates peuvent être récommandés aux patients avec néphropathie diabétique et hypercholestérolémie C. La médication antihypertenseuse principale chez le patient avec MRC comprend les IECA, les diurétiques et les calcium bloqueurs D. Vérapamil en combinaison avec les IECA réduit supplémentairement la protéinurie E. Il est recommandé d'associer un diurétique de l'anse et des thiazidiques en cas de résistance au diurétique de l'anse tout seul 47. En ce qui concerne les complications neurologiques dans la MRC, NE sont PAS vraies: (501-502) M A. La polyneuropathie est fréquemment symptomatique, le patient présentant des «plantes des pieds brûlantes» B. L'encéphalopathie urémique aparaît secondairement aux calcifications des petits vaisseaux au niveau du cerveau C. La raréfaction de la substance blanche (leucoplasie) et les infarctus sous-cliniques représentent le substrat de l'altération cognitive D. La dépression est un prédicteur indépendant de la mortalité, parce que celle-ci s'associe avec la non-adhérence et l'abandon du traitement E. La gabapentine peut être responsable de l'apparition du délire aux personnes avec MRC avancée 48. Lesquelles des affirmations suivantes concernant l'ajustement de la dose des médicaments choisis dans la MRC NE sont PAS vraies: (504-505) G 96 A. D'habitude, DFG > 60ml/min n'impose pas la réduction de la dose B. Au cas des oedèmes prétibiaux, on réduit 10 kg de la masse corporelle C. Au cas où il y a des regorgements séreux, on réduit 15 kg de la masse corporelle D. En général, dans le traitement antibiotique, on modifie la dose de charge, les doses d' entretien restant les mêmes E. L'ajustement de la dose des médicaments choisis peut se faire en diminuant la dose à chaque prise et en augmentant le nombre de prises par jour 49. Lesquelles des affirmations suivantes concernant l'administration des médicaments dans la MRC sont VRAIES: (502-505) M A. En général, au patient avec MRC, il faut traiter toutes les comorbidités, quel que soit le nombre de médicaments ou de prises par jour B. Au cas du traitement avec digoxine, on recommande la surveillance de la digoxinémie C. Les préparés de plantes et les suppléments nutritionnels qui peuvent être délivrés sans prescription peuvent être utiles dans la MRC D. L'affection concomitante du foie impose la réduction des doses de médicaments par 20% E. Les équations d'estimation du DFG ne sont pas valides au cas où la créatinine sérique a des variations grandes tous les jours 50. Lesquelles des suivantes NE sont PAS des indications d'envoi immédiat pour consultation néphrologique des patients avec MRC: (506) G A. Augmentation de plus de 1.5 fois de la créatinine en 7 jours B. Albuminurie > 3000mg/g C. Hb < 10g/dL D. Soupçon de LES E. HTA résistante au traitement (plus de 4 antihypertenseurs) 51. Lesquelles des suivantes NE sont PAS des indications d'envoi de routine pour consultation néphrologique des patients avec MRC: (506) U A. MRC avec un risque très élevé B. Progression accélérée de la MRC C. Lithiase rénale récurrente D. Syndrome néphritique E. Syndrome néphrotique 52. Lesquelles des suivantes sont des indications d'envoi d'urgence pour consultation néphrologique des patients avec MRC: (506) M A. La crise hypertensive (plus de 180/120 mmHg) B. Le syndrome néphrotique C. La blessure aiguë du rein D. L'acidose sévère E. La réduction du DFG avec 5 ml/an 53. Lesquelles des affirmations suivantes concernant les antibiotiques dans la MRC sont VRAIES: (503) G A. Les tétracyclines peuvent augmenter la rétention azotée B. L'association du furosémide avec la pénicilline est contre-indiquée C. Les fluoroquinolones ont un risque de cristallurie lorsque le DFG baisse sous 15 ml/min 97 D. Il est recommandé de réduire les doses de tétracycline à un DFG < 45ml/min E. La neurotoxicité apparaît à de grandes doses de pénicilline administrées lorsque DFG est < 15ml/min 54. Le traitement de la calciphilaxie inclut: (501) M A. La parathyroïdectomie doit être rapidement pratiquée B. Il faut interrompre l'administration des anticoagulants dicumariniques C. Il faut interrompre l'administration de la héparine non-fractionnée D. L'oxygénothérapie hyperbare favorise la guérison des plaies E. En première intention, on réalise la toilette chirurgicale des lésions, antibiothérapie et analgésie 55. Sur la calciphilaxie, NE sont PAS vraies: (501) M A. La biopsie cutannée est rarement pratiquée B. Est une affection similaire à la sclérose systémique C. La nécrose apparaît secondairement à la calcification de l'intima des vaisseaux artériels petits dermiques D. Débute comme des papules, des nodules ou des plaques érythémateuses indurées, oedématiées E. Il n'y a pas de traitement efficient, mais certains patients répondent aux doses grandes de prednisone 56. Sur la dysfonction thrombocytaire dans la MRC sont VRAIES: (499) G A. En cas d'hémorragies aiguës qui menacent la vie chez les patients qui ne tolèrent pas la surcharge volémique, le traitement se fait avec cryoprécipité B. En cas d'hémorragies aiguës qui menacent la vie chez les patients qui ne tolèrent pas la surcharge volémique, le traitement se fait avec du sang frais C. Les oestrogènes conjugués peuvent être utiles D. Caractéristique à la dysfonction plaquettaire est un temps de saignement réduit, avec les temps normaux de prothrombine et prothrombine activée E. La tendance de saignement est une caractéristique de la MRC même d'un DFG < 45ml/min 57. Les principaux facteurs pathogéniques de la pancréatite de la MRC sont: (498) U A. L'hyperparathyroïdie secondaire B. Les médicaments C. Les calculs biliaires D. L'hypertriglycéridémie E. L'incidence élevée des maladies auto-immunes 58. Le traitement médicamenteux du délire de la MRC se fait avec: (502) U A. Gabapentine B. Carbamazépine C. Amitriptyline D. Halopéridol E. Olanzapine 59. Les risques du traitement avec érythropoïétine sont: (499) U A. L'augmentation de la pression artérielle B. Les accidents vasculaires cérébraux 98 C. La thrombose de la voie d'abord veineuse D. La progression des néoplasies E. La progression de l'insuffisance cardiaque 60. Sont des toxines urémiques les suivants: (492,496) U A. Para-cresol phosphate B. Diméthylarginine asymétrique C. Homocystéine D. AGF E. Indoxyl sulfate 61. Les indications de la corticothérapie dans la néphropathie Ig A sont: (528) G A. La créatinine sérique en augmentation et DFG en baisse (pas < 30 ml/min) B. S'il y a une prolifération ou une nécrose au niveau des anses C. Si la protéinurie ne se remet pas en 3-6 mois sous traitement avec IECA D. La présence de l'atrophie tubulaire et de la fibrose interstitielle étendue E. La presence de la glomérulosclérose 62. Les conséquences de la perte urinaire de protéines dans le syndrome néphrotique sont: (533- 536) U A. Des troubles de coagulation B. La baisse de la concentration sérique des hormones thyroïdiennes C. L'augmentation de la concentration sérique des anticoagulants dicumariniques D. Hyperlipoprotéinémie E. La baisse du calcium ionisé 63. Lesquelles des suivantes sont des causes secondaires de glomérulopathie avec des lésions minimales: (538) U A. Les atopies B. Le traitement avec AINS C. Le traitement avec des macrolides D. La cirrhose biliaire primitive E. Le cancer du sein 64. Lesquelles des affirmations suivantes concernant les manifestations cliniques dans la glomérulonéphrite rapidement progressive NE sont PAS vraies: (530) M A. Présente un début clinique brusque, par hématurie et syndrome néphritique B. HTA est en général sévère C. Peuvent apparaître des signes d'une maladie systémique: infiltrés pulmonaires, purpura, hepato-splénomégalie D. L'hématurie est constante E. L'hypocomplémentémie apparaît dans les formes pauci-immunes 65. Lesquelles des affirmations suivantes concernant les syndromes glomérulaires sont VRAIES: (521) G A. Dans les glomérulonéphrites rapidement progressives, les patients développent insuffisance rénale en 1-3 mois 99 B. Le syndrome néphrotique apparaît presque constamment dans la glomérulopathie membraneuse et dans la néphropathie diabétique avancée C. Les anomalies urinaires asymptomatiques se manifestent le plus fréquemment par protéinurie récidivante D. Le syndrome hépatorénal est l'un des syndromes supplémentaires nouveaux E. Le syndrome néphrotique représente l'équivalent clinique de l'inflammation glomérulaire et associe une protéinurie massive 66. Lesquelles des affirmations suivantes concernant la coloration dans la microscopie optique sont VRAIES: (520) G A. La coloration rouge congo est employée afin de mettre en évidence l'amyloïde B. PAS est employé pour l'étude de la paroi des capillaires glomérulaires, de la capsule Bowman, de la membrane basale tubulaire, de l'expansion mésangiale et des dépositions C. La coloration trichrome de Masson est employée pour mettre en évidence les zones de sclérose et le collagène D. L'hématoxiline eosinophile permet l'estimation générale et la différenciation des éléments cellulaires E. La coloration argent-méthenamine met en évidence les dépôts d'amyloïde, les zones de sclérose et le collagène. 67. Sur la dynamique ASLO sont VRAIES: (525) G A. ASLO touchent le niveau maximum 3-4 semaines après le début de l'infection streptococcique B. ASLO commencent à augmenter 10-14 jours après le début de la glomérulopathie C. Le niveau ASLO est étroitement corrélé avec la sévérité de la glomérulonéphrite D. Dans les infections cutanées, la valeur diagnostique ASLO baisse E. Après avoir touché le maximum, ASLO baisse graduellement 68. Lesquelles des affirmations suivantes concernant la glomérulosclérose focale et segmentaire NE sont PAS vraies: (540-541) G A. À la microscopie optique, l'on observe la prolifération du mésangium B. À l'immunofluorescence l'on observe des dépôts du type Ig M et C3 dans les zones de sclérose C. Est caractérisée par des zones de sclérose limitées à un grand nombre de glomérules et qui affectent certaines anses (focales) D. Peut apparaître dans le reflux vésico-urétéral E. Présente des modifications podocytaires similaires à la glomérulopathie membraneuse 69. En ce qui concerne le syndrome néphrotique NE sont PAS vraies: (531-533) U A. La protéinurie est > 3.5 g/1.73 m²/jour B. La protéinurie est < 3.5 g/1.73 m²/jour C. Peuvent être présents des cristaux en croix de Malte D. L'hyperlipémie apparaît comme une conséquence de la surproduction d'apoprotéines E. A un risque de saignement, à cause de la perte des facteurs de coagulation par urine 70. Dans lesquelles des affections suivantes on a décrit des dépositions de Ig A au niveau mésangial: (526) U A. Cirrhose 100 B. Purpura Henoch C. Maladie coeliaque D. Lupus E. Syndrome de Goodpasture 71. Lesquelles des affirmations suivantes concernant la néphropathie Ig A sont VRAIES: (526-527) U A. Est fréquemment primaire B. Est caractérisée par une déposition glomérulaire de Ig A dans le mésangium, visible à l' immunofluorescence C. Se manifeste d'habitude comme une hématurie macroscopique qui apparaît 1-2 jours après une infection respiratoire supérieure D. La complémentémie est baisse E. L'huile de poisson influence favorablement l'évolution de la maladie 72. La glomérulonéphrite membranoproliférative est caractérisée du point de vue morphopathologique par: (544) G A. Type I présente des dépositions mésangiales et sous-endothéliales B. Type II présente chez l'immunofluorescence des dépôts de C3 sans des immunoglobulines le long de la membrane basale glomérulaire C. Type III présente des dépôts sous-endothéliaux et sous-épithéliaux D. Selon la localisation des dépositions, on la classifie en 3 types E. Type II présente le dédoublement des parois des capillaires glomérulaires 73. Lesquelles des affirmations suivantes concernant le traitement de la glomérulopathie avec des lésions minimes sont VRAIES: (539) G A. Les rechutes «steroid responsive» apparaîssent 3 fois par an au maximum B. La cyclophosphamide est récommandée aux patients avec des rechutes fréquentes C. La cyclosporine est récommandée aux patients auxquels apparaîssent des rechutes après le traitement avec cytostatiques D. Rituximab a un effet favorable E. La rechute peu après la corticothérapie indique une forme de maladie «frequently relapsing» 74. Sur la classification des glomérulonéphrites rapidement progressives sont VRAIES: (529) M A. Le syndrome de Goodpasture associe des infections du tractus respiratoire supérieur B. Les formes pauci-immunes sont représentées par la polyangéite microscopique, la granulomatose de Wegener et le syndrome de Churg-Strauss C. La plupart sont causées par des complexes immuns D. ANCA et les anticorps anti membrane basale glomérulaire peuvent exister en même temps E. La glomérulonéphrite rapidement progressive peut se superposer à une glomérulopathie membraneuse 75. Le traitement de la glomérulonéphrite rapidement progressive comprend: (531) G A. La pulse-corticothérapie avec méthylprednisolone est la thérapie de base B. La plasmaphérèse est récommandée afin d'enlever les complexes immuns circulants C. La cyclophosphamide s'administre dans le pulse et puis à voie orale pour 2-4 semaines D. L'azathioprine est fréquemment employée dans la thérapie d'induction de la rémission 101 E. Chez les patients avec créatinine élevée et des éléments de chronicité à la ponction biopsie, les chances de récupération rénale sont réduites 76. Lesquelles des affirmations suivantes concernant les explorations paracliniques dans la glomérulonéphrite post-streptococcique NE sont PAS vraies: (525) M A. Le complément sérique est normal B. Rarement peuvent apparaître des cryoglobulines C. La créatinine et l'urée sont en général modérément augmentées ou normales D. La biopsie rénale est indiquée lorsque les arguments bactériologiques et sérologiques de l' infection streptococcique manquent E. La ponction biopsie rénale est indiquée en cas de protéinurie massive prolongée 77. Lesquelles des affirmations suivantes concernant les types de lésions des glomérulonéphrites sont VRAIES: (520-521) G A. La prolifération extra-capillaire est caractérisée par la formation de «semilunes» secondaires à l'augmentation du nombre de cellules à l'intérieur de la capsule de Bowman B. Les dépositions sous-épithéliales sont localisées entre la membrane basale et les cellules pariétales de la capsule de Bowman C. Les dépositions granulaires visibles par immunofluorescence comprennent d'habitude des anticorps anti membrane basale glomérulaire D. Les lésions globales sont des lésions qui intéressent plus de 50% des glomérules E. Les lésions segmentaires sont des lésions limitées à de certaines anses 78. Lesquelles des affirmations suivantes concernant les mécanismes non-immunologiques des lésions glomérulaires NE sont PAS vraies: (519) U A. Les nodules Kimmelstiel-Wilson apparaîssent dans la HTA B. Dans le syndrome Alport apparaîssent des mutations sur les gènes qui codifient la chaîne 3 du collagène IV C. Dans le diabète sucré, SRAA contribue à l'hypertension intraglomérulaire D. L'augmentation de la production d'amyloide AA est l'un des mécanismes de la néphropathie diabétique E. Dans la maladie de Fabry se produit l'accumulation d'une glycopeptide 79. En ce qui concerne la glomérulopathie avec des modifications minimes sont VRAIES: (538) U A. La microscopie optique montre des lésions de glomérulosclérose B. L'immunofluorescence montre des dépôts d'Ig G C. S'exprime cliniquement par protéinurie massive D. Le début est fréquemment soudain, après une infection respiratoire supérieure E. La forme primaire étant plus fréquente chez les enfants, la biopsie rénale est nécessaire 80. Lesquelles des affirmations suivantes concernant le traitement de la glomérulonéphrite post- streptococcique sont VRAIES: (525) M A. L'antibiothérapie précoce de l'infection streptococcique avec pénicilline peut prévenir l'apparition de la glomérulopathie B. La thérapie avec immunosuppresseurs est indiquée chez les patients avec prolifération extracapillaire C. La thérapie des oedèmes se fait le plus fréquemment avec IECA et furosémide D. Le traitement antihypertensif se fait par injection dans l'encéphalopathie hypertensive 102 E. Le repos au lit est recommandé aux patients avec HTA importante, hématurie macroscopique ou oedèmes massifs 81. Les causes d'hématurie post-glomérulaire sont: (523) U A. La lithiase réno-urinaire B. L'urétrite gonococcique C. Les néoplasies D. La thrombose veineuse rénale E. L'hypercalciurie 82. Pour l'origine glomérulaire de l'hématurie plaide: (523) U A. L'apparition de l'hématurie en même temps avec une gastro-entérite B. La combinaison hématurie et protéinurie > 2-3 g/24 heures C. L'association de l'hématurie avec la surdité et les troubles oculaires dans la maladie de Fabry D. Urine ayant l'aspect de «coca-cola» E. La presence des cylindres hématiques 83. Lesquelles des affirmations suivantes concernant la cystite chronique NE sont PAS vraies: (562) M A. A les mêmes agents étiologiques que la cystite aiguë B. Peut être causée aussi par le bacille de Koch C. L'adénome de prostate est un facteur favorisant D. L'examen sommaire d'urine met en évidence une bactériurie significative, protéinurie, leucocyturie E. En poussée, la thérapie dure 7-14 jours 84. Lesquelles des suivantes sont des complications aiguës de PNA: (553) U A. La pyonéphrose B. La maladie chronique rénale C. La pyélonéphrite chronique D. La nécrose papillaire E. Le phlegmon périnéphrétique 85. Lesquelles des affirmations suivantes concernant la clinique PNA NE sont PAS vraies: (551) M A. Le début est brusque par pollakiurie, mictions fréquentes et impérieuses, douleur suprapubienne et sous-fébrilité B. La douleur lombaire peut être absente chez les patients avec éthylisme chronique C. La propagation ascendente est suggérée par la présence du syndrome cystique avant le début de PNA D. Est accompagnée par des manifestations digestives: fréquemment un tableau diarrhéique et en plan secondaire des nausées et des vomissements E. La lombalgie est fréquemment du type collicatif 86. Lesquelles des affirmations suivantes concernant les NTI aiguës infectieuses associées avec des infections systémiques sont VRAIES: (549-550) M A. L'infection avec l'Hantavirus se transmet des rongeurs B. L'infection avec VIH détermine rarement NIA 103 C. La leptospirose détermine surtout NIA et se transmet par contact avec l'urine des animaux porteurs, qui contaminent le sol et l'eau D. L'examen d'urine relève protéinurie, sédiment urinaire avec leucocyturie, éosinophilurie et hématurie E. La protéinurie dépasse d'habitude 1g/24 heures, mais n'arrive pas à un rang néphrotique 87. Lesquelles des affirmations suivantes concernant le traitement PNC sont VRAIES: (557-558) M A. L'antibiothérapie à courte durée (7-14 jours) est recommandée dans les aggravations B. L'antibiothérapie à longue durée (6 semaines-6 mois) est recommandée dans les ITU récurrentes C. La dysfonction tubulaire rend difficile l'obtention d'une concentration urinaire bactéricide D. On peut employer les macrolides avec l'adaptation des doses au DFG E. Dans l'hyponatrémie l'on administre du sel de cuisine 88. Les complications PNC sont: (557) U A. L'HTA en 1/3 des cas avec PNC avancée B. La pyélonéphrite xanthogranulomateuse C. GSFS chez les patients avec RVU D. La pyonéphrose (dans la présence de la néphropathie obstructive) E. Le phlegmon périnéphrétique 89. Le traitement RVU inclut: (560) U A. Biseptol est indiqué chez le nouveau-né B. Chez l'adulte on peut administrer de la quinolone C. Chez les femmes enceintes avec des ITU l'on administre pendant toute la grossesse céphalosporine de 3-ème génération D. La réimplantation urétérale ne se pratique plus à grande échelle E. Il est indiqué de maintenir la TA < 130/80 mmHg 90. Lesquelles des affirmations suivantes concernant la symptomatologie RVU sont VRAIES: (558- 559) M A. Chez l'adulte, se manifeste par HTA et douleurs lombaires lorsque la vessie urinaire est pleine, accentuées au début de la miction B. La fièvre est un signe clinique important à tout âge et suggère un épisode de PNA C. Chez les enfants < 3 ans, les signes généraux prédominent D. Chez les enfants > 3 ans, les signes urinaires prédominent: dysurie, pyurie, l'énurésie nocturne E. Chez les enfants grands, on évidencie protéinurie, HTA légère, la réduction progressive du DFG, avec l'installation de la MRC 91. Le screening RVU est indiqué dans les groupes de sujets suivantes: (559) U A. Enfants avec hypospadias B. Enfants avec bassinet double C. Enfants avec rein surnuméraire D. Familles comprenant un membre avec HTA à un jeune âge E. Enfants avec duplicité urétérale 104 92. Lesquelles des affirmations suivantes concernant les données paracliniques de la PNC sont VRAIES: (556) M A. L’uroculture positive est constamment présente B. Les cylindres leucocytaires apparaîssent fréquemment et attestent l’origine rénale de la leucocyturie C. Au cas de l’association avec la GSFS, la protéinurie peut dépasser 3.5g/24 jour D. On peut rencontrer l’acidose hyperchlorémique et l’hyperkaliémie E. L’osmolarité urinaire est > 500 mOsm et la densité urinaire > 1022 93. Lesquelles des affirmations suivantes concernant les prostatites NE sont PAS vraies: (561) M A. La prostatite aiguë présente douleur périnéale ou lombaire intermittente, mictions difficiles et hémospermie B. Dans la prostatite aiguë, PSA peut être élevé, mais il baisse immédiatement après l’initiation de l’antibiotique C. La persistance du PSA impose une échographie transrectale répétée, éventuellement biopsie D. Les agents étiologiques les plus fréquents sont: E.Coli, Klebsiella, le Pyocyanique, l’entérocoque E. La prostatite chronique peut s’associer avec l’épididymite aiguë 94. La symptomatologie de l’acidose respiratoire N’inclut PAS: (572-573) U A. Peuvent apparaître des crises de tétanie B. Peut apparaître l’oedème cérébral C. Peut déterminer l’arrêt respiratoire D. Tachycardie, HTA, vasodilatation E. Se manifeste par hyperventilation 95. La symptomatologie de l’alcalose métabolique inclut: (573) U A. Hyperventilation B. Iléus dynamique C. Fièvre inexplicable D. Convulsions E. Oedème cérébral 96. La symptomatologie de l’acidose métabolique inclut: (572) U A. Respiration Kussmaul B. Convulsions C. Tétanie D. Paresthésies E. Réduction de la tension artérielle diastolique 97. Lesquelles des affirmations suivantes concernant les causes des troubles acido-basiques sont VRAIES: (569) M A. La perte de bicarbonate par l’urine conduit à l’acidose métabolique B. L’excrétion exagérée d’acides conduit à l’acidose métabolique C. L’obstruction des voies aériennes conduit à l’acidose respiratoire D. Les salicylates produisent l’alcalose respiratoire E. L’hypoxie produit l’augmentation de la ventilation alvéolaire et produit l’acidose respiratoire 105 98. L’acidose avec GA normale et hyperkaliémie apparaît dans: (570) M A. L’acidose tubulaire rénale distale hypercalcémique B. L’administration de HCl C. L’acidose tubulaire rénale distale hypocalcémique D. L’administration d’inhibiteurs d’anhydrase carbonique E. Post hypocapnie 99. Les lois physico-chimiques de l’équilibre acido-basique et hydroélectrolytique sont les suivants, À L’EXCEPTION de: (569) M A. La loi de l’électronégativité: la somme des charges positives doit être plus petite que la somme des charges négatives B. La loi de l’isoosmolarité: dans les fluides du corps entre lesquels l’eau est véhiculé, l’osmolarité doit être la même C. L’organisme a la tendance de réinstaller toujours le pH normal D. La loi de l’électropositivité: la somme des charges positives doit être supérieure à la somme des charges négatives E. Les lois de l’électronégativité et de l’iso-osmolarité interfère s’il y a des membranes semi- perméables 100. Le traitement de l’alcalose métabolique inclut: (573-574) G A. Dans la forme sans réponse à l’administration de chlore, l’on recommande la spironolactone B. L’hyperventilation mécanique C. L’administration d’acides est rarement nécessaire (0.1 mol/l HCl en veine périphérique) D. Chez les patients avec bicarbonatémie < 40 mEq/l et insuffisance rénale, l’on recommande l’épuration extra-rénale E. L’évitement de l’excès d’aliments alcalinisants 101. Les conséquences de l’alcalose sont: (572) M A. L’hyperexcitabilité du système nerveux central B. La dépression du système nerveux central C. L’hyperventilation D. La déviation à droite de la courbe de dissociation de l’oxyhémoglobine E. L’hypokaliémie 102. Lesquelles des affirmations suivantes concernant la déshydratation NE sont PAS VRAIES: (578) M A. Au cas de la réduction du volume plasmatique, l’élasticité des téguments baisse, les globes oculaires deviennent hypotoniques, les membranes et les téguments sont secs B. Au cas de la réduction du volume interstitiel apparaît l’hypotension C. La déshydratation légère se caractérise par un déficit d’eau de 5% du poids du corps, manifesté par soif et adynamie D. Dans la déshydratation sévère apparaîssent des hallucinations et du délire E. La déshydratation sévère se caractérise par un déficit d’eau de 6-10% du poids du corps 103. La symptomatologie de l’hypokaliémie comprend: (585) U A. Tachycardie, extrasystoles, modifications de l’ECG B. Néphropathie kaliopénique C. Acidose métabolique 106 D. Parésie flasque E. Iléus paralytique 104. L’étiologie de l’hypernatrémie comprend: (583-584) M A. Perfusions hypotoniques administrées en excès B. Corticothérapie C. Ventilation mécanique avec de l’air non-humidifié D. Plaies massives ouvertes E. Traitement diurétique 105. Les symptômes de l’hyponatrémie NE comprennent PAS: (581) M A. À Na⁺>120 mmol/l, le patient est asymptomatique B. À Na⁺ entre 115-125 mmol/l apparaît l’anoréxie, la nausée, les vomissements C. À Na⁺ 10 mmol/l 108. Sur l’équilibre hydro-électrolytique sont VRAIES: (575-576) M A. La tonicité fait référence à l’effet exercé par la pression osmotique d’une solution sur le volume cellulaire B. L’osmolalité d’une solution est déterminée par la concentration totale des particules dissouses ou colloïdes de la substance en question C. L’osmolalité est appellée aussi osmolarité D. Le compartiment intracellulaire comprend 1/3 de la quantité totale d’eau E. Le trou osmolaire est la différence entre les valeurs mesurées et calculées de l’osmolalité sérique IX. PÉDIATRIE 107 Complément simple: 1. L’étiologie des crises épileptiques dans la période anténatale est représentée par les suivantes, À L’EXCEPTION DE: (2) U A. Malformations du cortex cérébral B. Infections intra-utérines du système nerveux central C. Encéphalopathie hypoxique-ischémique D. Anomalies chromosomiales E. Neurofibromatose type I 2. En ce qui concerne les spasmes épileptiques, laquelle des affirmations suivantes est VRAIE? (4) G A. Sont des contractions musculaires massives et globales avec prédominance axiale B. Sont en général unilatéraux et asymmétriques des muscles du cou, du tronc et des extrémités C. Typiquement, les spasmes épileptiques sont «en extension» et peuvent représenter le seul type de convulsion D. Les spasmes «en flexion» déterminent la flexion brusque de la tête, du tronc et des bras, avec la flexion des jambes ou, plus rarement, l’extension des jambes et la flexion des bras E. Sont rencontrés dans les épilepsies généralisées idiopathiques: EMJ, EAJ, EAC 3. Les manifestations épileptiques dans la période néonatale peuvent être, À L’EXCEPTION DE: (6) U A. La pyridoxine-dépendence B. L’hypocalcémie néonatale C. L’encéphalopathie myoclonique précoce D. L’épilepsie myoclonique sévère E. L’encéphalopathie épileptique infantile précoce 4. Lesquels des énoncés suivants concernant le status épileptique (SE) N’EST PAS vrai? (13) G A. Est défini par l’OMS comme étant «une crise d’épilepsie qui se répète à intervalles brefs de temps, pour créer une condition épileptique fixe et durable» B. Un facteur précipitant du SE peut être le sévrage absolu ou relatif des MAE C. SE peut être non-convulsif ou convulsif D. SE non-convulsif se classifie selon les modifications EEG enregistrées dans la période ictale E. SE convulsif se classifie en: SE type absence et SE partiellement complexe 5. Sur le traitement chronique avec des médicaments antiépileptiques (MAE), on peut affirmer les suivantes, À L’EXCEPTION DE: (14) G A. A comme but l’obtention du contrôle complet des crises avec des effets secondaires minimes B. Le choix des MAE dépend du type de crise généralisée ou focale C. L’interaction entre de différentes MAE est recommandée (idéalement double thérapie) D. La durée du traitement est déterminée par le type du syndrome épileptique E. La dose correcte de MAE est la dose la plus petite qui assure le contrôle des crises sans l’apparition des effets adverses 6. L’affirmation suivante concernant le titre des anticorps anti streptolysine O (ASLO) N’EST PAS vraie: (20) M A. Est recommandé pour détecter les infections streptococciques et pour suivre l’évolution dans le temps de ces maladies B. Le titre augmente en 80% des malades C. La «pointe» sérique est touchée en 2-3 semaines après le début 108 D. Le retour aux valeurs normales des ASLO n’indique pas une guérison E. En dynamique, le titre ASLO augmente 2-4 fois par rapport au niveau basal 7. Dans la laryngite aiguë oedémateuse sous-glottique, l’enfant NE présente PAS: (23) U A. Toux aboyante B. Stridor inspiratoire C. Dyspnée inspiratoire D. Dypnée expiratoire E. Tirage sus-sternal et sus-claviculaire 8. Quel est l’agent bactérien fréquemment retrouvé après l’âge de 5 ans chez les patients avec otites moyennes? (28) M A. Steptococcus pneumoniae B. Haemophilus influenzae C. Moraxella catarrhalis D. Staphylococcus aures E. Pseudomonas aeruginosa 9. Sur les formes cliniques de l’otite moyenne aiguë (OMA), on peut faire les affirmations suivantes, À L’EXCEPTION DE: (30) G A. OMA catarale est une conséquence de l’inflammation, qui apparaît secondairement au blocage de la trompe d’Eustache B. Lors de l’examen otoscopique dans l’OMA suppurée l’on relève le tympan oedématié qui bombe le trou de perforation C. L’otite aiguë récurrente est définie par 3 épisodes d’OMA pendant 6 mois D. Le symptôme principal de l’OMA suppurée est l’otalgie violente, qui est exagérée par la déglutition et par la mastication E. L’otomastoïdite - forme manifeste apparaît surtout chez les nourrissons sous-alimentés, prématures et chez ceux avec des déficits immuns 10. Les suivants sont des modulateurs de croissance présents dans le lait humain mature, À L’EXCEPTION DE: (36) U A. Facteur bifidum B. Soufre-hydroxylase C. Taurine D. Alpha-amylase E. Facteur de stimulation des lymphocytes B 11. Les facteurs favorisant la malnutrition peuvent être, À L’EXCEPTION DE: (42) U A. Prématurité B. Grossesse gémellaire C. Affections neurologiques chroniques (paralysies cérébrales) D. Grossesse multiple E. Retard de croissance intra-utérin 12. La modalité par laquelle un déficit qualitatif NE peut PAS apparaître dans la production de la malnutrition est: (41) M A. La diversification précoce ou tardive par rapport à l’âge chronologique du nourisson 109 B. L’apport insuffisant en lait en poudre C. Les formules de lait inadéquates au nécessaire calorique et nutritionnel du nourisson D. L’alimentation prolongée et exclusive du nourisson avec du lait de vache E. Régimes végétariens 13. Quel est l’indice anthropométrique le plus ancien et employé pour évaluer l’état de nutrition? (43) U A. L’indice nutritionnel (IN) B. L’indice statural (IS) C. La circonférence du bras D. L’indice pondéral (IP) E. Le pli cutané tricipital et le pli cutané sous-scapulaire 14. La vitamine – cholécalciférol NE se caractérise PAS par : (49) M A. Est un composé stérolique B. Est présente dans les aliments d’origine animale C. Est synthétisée dans le derme sous l’action des rayons solaires D. Peut se retrouver en quantités petites dans les aliments végétaux E. Est transforméee au niveau du tégument sous l’action des rayons UVB solaires de la provitamine D 15. Sur l’hypervitaminose D, l’affirmation suivante N’EST PAS vraie: (52) M A. Peut être une complication accidentelle ou iatrogène du traitement avec la vitamine D B. Les signes cliniques consistent dans: inappétence, vomissements, anorexie, polydipsie, polyurie C. Calcémie >10,5 mg/dl et concentration sérique de 25 (OH) D élevée D. Absence de l’élimination du calcium par l’urine E. Peuvent apparaître des calcifications rénales et l’ostéosclérose 16. Les particularités paracliniques de l’anémie ferriprive sont les suivantes, À L’EXCEPTION DE: (55) U A. Hypochrome B. Microcytaire C. Hyposidérémique D. HEM élevée E. CHEM baisse 17. Les voies majeures de transmission des infections périnatales sont les suivantes, À L’EXCEPTION DE: (61) M A. Infections hématogènes transplacentaires B. Infections d’autres individus infectés C. Infections ascendentes (infections transcervicales) D. Infection du nouveau-né au moment de l’accouchement (infections intra-natales) E. Infections post-natales, de la mère 18. Le traitement de la toxoplasmose congénitale associe: (72) M A. Spiramycine et acide folique B. Pénicilline G et acide folique C. Aciclovir et ganciclovir 110 D. Valganciclovir et ganciclovir E. Pyriméthamine et sulfdiazine 19. TORCH représente les initiales pour les suivantes, À L’EXCEPTION DE: (61) U A. T- Treponema pallidum B. O- Others C. R- Rubéole D. C- Cytomégalovirus E. H- Herpes simplex Complément multiple: 20. Dans la période périnatale, les causes principales des crises épileptiques sont: (2) U A. L’encéphalopathie hypoxique-ischémique B. Les hémorragies intracrâniennes C. Les malformations du cortex cérébral D. Les neuroinfections E. Les dysfonctions métaboliques transitoires 21. Selon l’aspect électro-clinique et en relation avec l’étiologie, ILAE classifie les crises épileptiques en: (2) U A. Crises épileptiques bénignes B. Crises généralisées C. Crises épileptiques malignes D. Crises focales accompagnées ou non par la modification de l’état de conscience E. Crises épileptiques non-classifiables 22. Les crises partielles simples peuvent être avec: (5) U A. Sémiologie motrice B. Symptômes somato-sensoriels ou sensoriels spéciaux C. Symptômes végétatifs D. Symptômes psychiques E. Perte de la connaissance 23. Les manifestations épileptiques avec début dans la période 1 mois - 3 ans peuvent être, À L’EXCEPTION DE: (7) M A. L’épilepsie myoclonique sévère B. La dépendance de pyridoxine C. L’épilepsie myoclonique bénigne du nourrisson D. L’encéphalopathie myoclonique précoce E. Le syndrome de West 24. Sélectez les syndromes qui font partie du terme d’encéphalopathie dépendante de l’âge: (6) U A. Le syndrome de Dravet B. Le syndrome d’Aicardi C. Le syndrome d’Ohtahara D. Le syndrome de West E. Le syndrome de Lennox-Gastaut 111 25. Lesquelles des affirmations suivantes sont spécifiques au syndrome de West (SW)? (7) G A. Est l’encéphalopathie épileptique infantile la plus fréquente et la plus connue B. Le pronostic dans la forme symptomatique est favorable C. Dans les formes idiopathiques, le pronostic est sévère D. La forme idiopathique débute chez un enfant normal du point de vue neurologique jusqu’à ce moment-là et dans lequel on ne peut pas prouver des facteurs étiologiques ou des lésions cérébrales neuro-imagistiques E. La forme symptomatique peut avoir des causes multiples,étant considérée comme une réponse du cerveau immature à de différents types de lésions 26. Le syndrome de West se caractérise par la triade: (7) M A. Symptômes somato-sensoriels ou sensoriels spéciaux B. Spasmes épileptiques en flexion/extension ou asymmétriques C. Hypsarythmie (ou variantes) D. Arrêt ou régression dans le développement neuro-psycho-moteur E. Crises: myocloniques, absences typiques et tonico-cloniques 27. Sur le syndrome de Lennox-Gastaut, on NE peut PAS affirmer: (7) G A. Fait partie des manifestations épileptiques avec début dans la période néonatale B. Est une encéphalopathie épileptique, caractérisée par des crises épileptiques polymorphes généralisées (toniques, atones, absences atypiques) C. EEG est représenté par des pointes-ondes lentes diffuses pendant le sommeil lent D. A une étiologie variée, avec de nombreux facteurs impliqués comme: EHI, maladies métaboliques E. Le pronostic est favorable 28. Les facteurs de risque principaux pour un pronostic grave dans le syndrome de Lennox-Gastaut sont: (8) U A. Le caractère symptomatique du syndrome B. Début précoce sous 3 ans C. Fréquence élevée des crises D. Absence du status épileptique E. Durée prolongée des périodes d’aggravation 29. Sur les convulsions fébriles simples ou bénignes, on peut affirmer: (8) U A. Apparaîssent entre 6 mois-5 ans, à l’augmentation brusque de la température au-dessus de 38,5 ℃ B. La duréee de l’épisode est > 15 minutes C. Se répètent d’habitude pendant une journée D. Se manifestent par des crises tonico-cloniques bilatérales, plus rarement toniques ou hypotoniques E. Peuvent être suivies par un déficit post-critique 30. Sélectez les syndromes épileptiques juvéniles: (9) U A. L’épilepsie bénigne de l’enfant B. L’épilepsie absence de l’enfant C. L’épilepsie myoclonique juvénile 112 D. L’épilepsie absence juvénile E. L’épilepsie avec des crises généralisées tonico-cloniques du réveil (EGCTCR) 31. Lesquelles des affirmations suivantes concernant le spasme du sanglot NE sont PAS vraies? (11) U A. Est rencontré chez les enfants < 5 ans B. Les formes cyanotiques appelées aussi des crises anoxiques réflexes sont moins fréquentes C. Les formes pâles sont constamment provoquées par la peur, la douleur, la frustration D. Le trajet EEG est normal E. Le pronostic est bon 32. Les manifestations paroxystiques non-épileptiques de sommeil (crises hypniques) peuvent être: (12) U A. L’énurésie nocturne B. Les automatismes verbaux nocturnes C. Le syndrome «sleep-apnea» D. REM behaviour disorders E. Attaques ischémiques transitoires 33. La syncope est caractérisée par: (11) G A. La perte transitoire de la connaissance et du tonus musculaire B. Est la conséquence d’une insuffisance passagère de l’irrigation cérébrale C. Apparaît toujours pendant le jour, presque constamment dans l’orthostatisme étant précédée par des sensations suggestives comme: faiblesse, nauséee, gêne épigastrique, vision brouillée D. La perte du tonus musculaire est progressive, la baisse étant brusque; rarement peut être lente E. Le trajet EEG est représenté par des pointes-ondes lentes diffuses pendant la baisse lente, d’habitude asyncrones et déchargements de polypointes et rythmes rapides bilatéraux et synchrones lorsque la baisse est brusque 34. Sélectez les principes du traitement du status épileptique (SE): (16) M A. Implique des mesures générales et pharmacologiques B. La détermination toxicologique et la concentration plasmatique MAE n’est pas nécessaire C. Les mesures pharmacologiques doivent être initiées d’urgence D. La duréee prolongée du SE convulsif baisse le risque d’apparition des lésions neuronales et des complications systémiques E. La première ligne thérapeutique inclut: lorazépam ou diazépam ou clonazépam 35. La 2-ème ligne thérapeutique employée dans le traitement pharmacologique du status épileptique comprend: (16) M A. Lorazépam B. Phénobarbital C. Lévétiracétam D. Phénitoïne E. Valproate de sodium 113 36. Sur un patient de 25 ans, suspect de pharyngite GABHS, avec des amygdales tuméfiées, ganglions lymphatiques cervicaux antérieurs tuméfiés, fièvre 38,5℃, toux absente, on peut affirmer: (20) M A. Présente un score Centor ≥ 2 B. Présente un score Centor ≥ 4 C. S’impose le test microbiologique D. La confirmation microbiologique n’est pas nécessaire E. On peut faire un traitement 37. Les complications de l’infection GABHS non-suppurative sont: (21) U A. La lymphadénite cervicale B. Le rhumatisme articulaire aigu C. La glomérulonéphrite aiguë diffuse post-streptococcique D. Otite moyenne E. Abcès péritonsillaire 38. La tonsillectomie, au cadre de la pharyngite récurrente avec GABHS est indiquée: (21) U A. Si l’enfant a eu plus de 2 épisodes dans le dernier an B. En cas de résistance au traitement avec pénicilline V C. Si l’enfant a eu plus de 5 épisodes pendant les 2 dernières années D. En cas d’abcès périamygdalien E. Respiration orale persistante 39. Lesquels des énoncés suivants concernant la laryngite aiguë simple NE sont PAS vrais? (22) M A. Est une infection bactérienne rapidement progressive B. Est la forme la plus fréquente C. L’examen clinique met en évidence l’inflammation du pharynx D. Au laryngoscope on met en évidence l’oedème des cordes vocales et du tissu subglottique E. Se caractérise du point de vue clinique par dyspnée inspiratoire et stridor inspiratoire 40. Les affirmations suivantes caractérisent la laryngite striduleuse, À L’EXCEPTION DE: (23) G A. Est une laryngite obstructive, dénommée aussi laryngite aiguë spastique ou croup spasmodique (pseudocroup) B. Le terrain allergique et les facteurs psychologiques ont un rôle important C. Le prodrome dure 1-3 jours et se caractérise par rhinorrhée, toux, fièvre modérée D. Le début est insidieux, la détresse respiratoire étant manifeste en 2-3 jours E. Le traitement peut se faire au domicile 41. Le traitement du croup viral suppose: (24) M A. Le traitement au domicile dans les formes légères de la maladie B. L’hospitalisation de l’enfant dans les formes moyennes/sévères C. L’administration des antibiotiques, pour la prophylaxie des supra-infections bactériennes D. L’administration des corticostéroïdes afin de réduire l’oedème de la muqueuse du larynx E. Les aérosols avec épinéphrine racémique classique ou un mélange 1:1 d’isomère L et D d’ épinéphrine 42. Les complications de l’épiglottite aiguë NE peuvent PAS être: (25) U 114 A. Les méningites B. L’otomastoïdite C. L’abcès rétropharyngé D. L’arthrite septique E. L’abcès péritonsillaire 43. Conformément à l’Académie Américaine de Pédiatrie (AAP), la définition OMA est basée sur les critères suivants: (27) G A. Des antécédents de maladie récente avec début aigu B. La présence de l’exsudat au niveau de l’oreille moyenne, suggéré par n’importe quel des éléments suivants: le gonflement du tympan, la mobilité du tympan réduite ou absente, niveaux hydroaériques derrière le tympan, otorrhée C. Les signes et les symptômes d’inflammation de l’oreille moyenne, suggérés par n’importe quel des éléments suivants: érythème évident du tympan, otalgie D. Les signes et les symptômes d’inflammation de l’oreille moyenne, suggérés par n’importe quel des éléments suivants: hypoacousie, tympan rétracté E. La présence de l’exsudat au niveau de l’oreille moyenne, suggérée par n’importe quel des éléments suivants: tympan opaque ou perforé, le reflet lumineux du tympan réduit ou diminué 44. Chez le nouveau-né, les agents bactériens plus fréquemment incriminés dans l’otite moyenne sont: (28) U A. Streptococcus pneumoniae B. Haemophilus influenzae C. Escherichia coli D. Klebsiellla E. Staphylococcus aureus 45. Les complications intratemporales qui apparaîssent dans l’évolution d’une otite peuvent être: (30) U A. La paralysie du nerf facial B. La thrombophlébite du sinus latéral et sigmoïde C. La mastoïdite aiguë ou chronique D. Le cholestéatome E. La labyrinthite aiguë 46. Dans les cas avec otite prouvés avec S. pneumoniae multidrogue résistant (sérotype 19A), l’on peut employer: (32) M A. Amoxicilline B. Trimétoprim/sulfaméthoxazole C. Lévofloxacine D. Erythromicine- sulfisoxazole E. Linézolide 47. La tympanométrie est employée pour: (30) U A. La confirmation du diagnostic dans certains cas atypiques B. L’évitement du diagnostic excessif par l’OMA C. La poursuite de l’évolution de l’OMA 115 D. La différenciation OMA rapidement et complètement rétablie par l’OM où l’exsudat persiste, même asymptomatique, une situation qui nécessite la réexamination du patient E. La confirmation du diagnostic dans tous les cas 48. Sur l’otomastoïdite, on NE peut PAS affirmer: (29) G A. La forme latente apparaît aux nourrissons eutrophiques qui n’ont pas été traités en préalable avec des antibiotiques B. Le début de la forme latente est brusque, avec fièvre élevée, des symptômes auriculaires et des manifestations générales intenses C. La forme manifeste apparaît surtout chez les enfants sous-alimentés et a un début insidieux D. Dans la forme manifeste, après la perforation du tympan, les symptômes cessent et dans la plupart des cas la guérison peut être spontanée E. La forme latente peut se présenter avec les symptômes d’une maladie générale, prédominant l’agitation et la somnolence 49. En ce qui concerne les formules de lait, les affirmations suivantes sont VRAIES: (37) G A. Les formules pour les prématurés sont enrichies du point de vue calorique 20-24 kcal/30 ml, sont emulsionées, ce qui simplifie les processus de digestion et d’absorption B. Les fortifiants de lait maternel (HMF- human milk fortifiers) sont employés uniquement chez les enfants naturellement alimentés, avec un poids réduit à la naissance < 2500 g C. Les formules de début pour les nourrissons sont enrichies avec des vitamines et des oligo- éléments D. Les formules de continuation sont recomandées aux nourrissons > 4-6 mois, en parallèle à l’alimentation diversifiée E. Les formules de soja sont indiquées dans le traitement diététique des prématurés et dans la fibrose chistique 50. Les principes généraux employés dans la diversification de l’alimentation du nourrisson sont: (38) M A. La diète doit être équilibrée B. Le choix du premier aliment de diversification s’individualise selon les particularités de développement du nourrisson C. L’introduction de chaque aliment va se faire progressivement et de manière non-sélective D. La valeur calorique de l’aliment nouveau doit être d’environ 65 kcal/100 g E. Afin de stimuler l’habitude pour le goût doux, le sucre est prioritaire devant les polysaccharides 51. Dans la production de la malnutrition, les causes déterminantes sont les suivantes, À L’EXCEPTION DE: (40) M A. Les carences nutritionnelles par déficit quantitatif et qualitatif B. Les maladies infectieuses aiguës et chroniques C. Les déficiences de soin D. Les malformations congénitales E. Les conditions environnementales défavorables 52. L’état de nutrition d’un enfant de 1 an, avec le poids actuel de 7000 g, la taille actuelle de 65 cm, (Le poids idéal = 9000 g, Taille idéale = 75 cm) est évalué de la manière suivante: (43) G A. L’indice statural (IS) = 0,86 B. L’indice de masse corporelle (IMC) = 0,86 C. L’indice de masse corporelle (IMC) = 0,77 116 D. Selon l’IMC, le patient a le II-ème degré de dystrophie E. Selon l’IMC, le patient a le I-er degré de dystrophie 53. En ce qui concerne la malnutrition protéine calorică (MPC) I-er degré, les affirmations suivantes sont VRAIES: (44) M A. Les téguments sont pâles B. IMC = 0,90-0,76; IN = 0,90-0,81 C. La tolérance digestive et l’appétit sont réduits D. Le tissu adipeux est diminué sur le thorax et sur l’abdomen E. Aspect de nourrisson maigre 54. En ce qui concerne la malnutrition protéine calorique (MPC) III-ème degré, les affirmations suivantes sont FAUSSES: (44) M A. Déficit pondéral >40% B. La courbe pondérale est descendente par paliers C. La tolérance digestive est compromise, apparaît la diarrhée «de faim» ou infectieuse D. Est difficilement réversible E. Les téguments sont pâles 55. Les énoncés suivants NE caractérisent pas le marasme nutritionnel: (45) U A. Est la forme la plus sévère de malnutrition protéique, d’une gravité extrême B. Est une maladie avec des déficits nutritionnels majeurs, qui intéresse toutes les principes nutritives, les vitamines et les oligo-éléments C. L’abdomen est excavé et creusé D. L’hépatomégalie apparaît par l’infiltration grasse du foie (stéatose) E. Dans les formes extrêmes apparaît l’hypothermie, la bradycardie, la bradypnée et l’hyporéactivité 56. En ce qui concerne la forme de malnutrition Kwashiorkor, les affirmations suivantes sont VRAIES: (46) U A. Est une forme de malnutrition protéique, qui intéresse surtout le métabolisme protéique B. Se caractérise par des oedèmes importants au niveau du visage et des membres C. Apparaîssent des modifications des phanères et des téguments D. L’abdomen est excavé et un peu creusé E. Présente un déficit pondéral constant 57. La pathogénie complexe dans les formes graves de malnutrition se caractérise de la manière suivante: (47) M A. L’hypoglycémie détermine l’hypoinsulinisme, avec la libération en circulation d’AG libres B. Les processus de gluconéogénèse baissent C. L’anabolisme protéique musculaire s’intensifie comme une conséquence de l’augmentation de la cortisolémie D. La réduction du métabolisme basal avec hypotonie, bradycardie, tendence à la chute E. L’hypernatrémie, la déshydratation intracellulaire, à cause des pertes digestives 58. Dans la malnutrition, les critères d’évaluation de l’efficience du traitement sont: (48) U A. La normalisation du transit intestinal 117 B. La reprise de l’augmentation pondérale (apparaît en 6-8 semaines après la normalisation des selles) C. Le redressement immun (25-30 jours) D. La récupération clinique (en 2-3 semaines) E. La normalisation psychique et motrice 59. Les modifications osseuses rencontrées dans le rachitisme carentiel sont représentées par les suivantes, À L’EXCEPTION DE: (51) U A. Le front «olympien» B. Le thorax en forme de «cloche» C. L’hyperlaxité ligamentaire D. L’hyperexcitabilité neuromusculaire E. La présence des «bracelets rachitiques» au niveau des membres supérieures 60. Conformément aux stages du rachitisme, le II-ème stage se caractérise par: (52) U A. Hypocalcémie B. Hypophosphatémie C. Phosphatases alcalines élevées D. Normocalcémie E. Normophosphatémie 61. Les signes pathognomoniques osseux radiologiquement évidentiés dans le rachitisme carentiel sont: (52) M A. L’élargissement des métaphyses des os longs qui prennent l’aspect de «coupe» avec la ligne métaphysaire concave, irrégulière, estompée et dentelée B. L’élargissement des métaphyses des os longs qui prennent l’aspect de «coupe» avec la ligne métaphysaire convexe, régulière, estompée denteléee C. L’absence des spicules latéraux D. Le retard d’ossification des noyaux de croissance, des diaphyses des os longs et des côtes E. La présence des spicules latéraux 62. En ce qui concerne le traitement du rachitisme carentiel, les affirmations suivantes sont FAUSSES: (53) G A. La prophylaxie du rachitisme chez l’enfant doit commencer dès le dernier trimestre de la grossesse B. Pour la prophylaxie postnatale, il est recommandé d’utiliser des préparés de la vitamine solution orale, administrés chaque jour à partir de l’âge de 7 jours jusqu’à 12 mois C. Le traitement curatif avec la vitamine D du rachitisme est recommandé uniquement après la confirmation clinique, radiologique et biologique du diagnostic D. Les préparés injectables sont utilisés uniquement dans des cas exceptionnels: syndrome de malabsorption, atrésie des voies biliaires E. Dans le cas du traitement curatif, on recommande 400-800 UI /jour oralement, pour 6-8 semaines 63. La carence en fer peut être déterminée par les mécanismes et causes ci-dessous: (56) M A. L’épuisement rapide de certaines réserves quantitativement réduites: prématurité, grossesse gémellaire 118 B. Apport élevé de protéines d’origine animale, régime lacté prolongé C. Pertes élevées par hémorragie chronique, hémosidérinurie, exsudation protéique D. Troubles d’absorption et digestives qui peuvent être sélectives (mucoviscidose, céliakie) ou globaux (maladie de Riley) E. Nécessaire élevé: prématurité, dismaturité, puberté 64. Les signes cliniques de déficit tissulaire en Fe dans l’anémie ferriprive sont les suivants, À L’EXCEPTION DE: (56) U A. Troubles trophiques des téguments et des muqueuses B. Pâleur C. Rhagades commissurales D. Friabilité des ongles E. Fatigabilité 65. La carence pré-latente en Fe se caractérise par: (58) U A. Réserves de Fe absentes B. Fer sérique normal C. Fer sérique réduit D. Ferritine sérique réduite E. Coefficient de saturation de la transferrine réduit 66. En ce qui concerne les formes cliniques d’anémie ferriprive, les affirmations suivantes sont FAUSSES: (58) M A. L’anémie de fer nutritionnelle est la conséquence d’un apport alimentaire de fer inadéquat B. L’anémie post-hémorrhagique chronique est réversible sous ferrothérapie, dans les conditions de la résolution des manifestations hémorrhagiques C. L’anémie du prématuré est définie par son apparition précoce dans les 7-10 premiers jours de vie D. L’hémosidérose pulmonaire est la forme la plus fréquente, est définie par hémorrhagie pulmonaire intra-alvéolaire récidivante accompagnée par anémie ferriprive typique E. Pica définit certaines habitudes alimentaires de consommation de certaines substances non comestibles 67. Le traitement de l’anémie ferriprive vise la substitution avec du fer, de la manière suivante: (59) M A. La prophylaxie commence dès la période prénatale et continue postnatal B. Le traitement curatif a comme objet le rétablissement de l’homéostasie du fer C. Les moyens diététiques visent l’initiation d’une alimentation correcte, en évitant le lait de vache et les farines D. Comme traitement médicamenteux, l’on recommande l’administration de sels ferreux à voie orale E. La transfusion de sang a des indications restreintes pour le traitement des formes très sévères, avec des valeurs de l’hémoglobine < 7 g/100 ml 68. Dans les infections périnatales avec le virus varicello-zostérien et Toxoplasma gondii, les manifestations relativement spécifiques sont: (62) U A. Calcifications intracrâniennes B. Cataracte 119 C. Microcéphalie D. Hydrops fetalis E. Anomalies cardiaques 69. Les anomalies caractéristiques les plus fréquentes associées à la rubéole congénitale sont: (63) M A. Oculaires (cataracte, rétinopathie) B. Cardiaques (persistance du canal artériel) C. Osseuses («genu varum», «genu valgum») D. Neurologiques (microcéphalie, retard mental) E. Dentaires (modifications des premières molaires, dents de Hutschinson) 70. L’infection congénitale avec cytomégalovirus (CMV) est la cause principale de: (64) U A. Anomalies cardiaques B. Hypoacousie neurosensorielle C. Retard mental D. Rétinopathie E. Paralysie cérébrale 71. En ce qui concerne la manière de transmission de l’infection néonatale avec le virus Herpes simplex (HSV), les affirmations suivantes sont VRAIES: (65) M A. Peut se transmettre de la mère même avant la naissance (infection intra-natale) B. Peut se transmettre pendant l’accouchement, au moment du passage par le vagin (infection ascendente) C. La transmission intra-utérine transplacentaire est aussi possible plus rarement D. Peut être transmise dans la maternité d’un autre nouveau-né infecté (infection post-natale) E. La naissance par césarienne augmente le risque de transmission intra-natale du virus 72. Les tableaux cliniques de l’infection périnatale avec HSV peuvent être: (66) M A. Maladie disséminée (pneumonie, hépatite, choc) B. Maladies neurologice (léthargie, fièvre, convulsions) C. Maladie localiséé (au niveau de la dentition, du canal auditif et oculaire) D. Maladie disséminée (bactériémie, arthrite, méningite) E. Maladie localisée (cutanée, oculaire, cavité buccale) 73. Lesquels des énoncés suivants sont VRAIS sur l’infection périnatale avec Chlamydia trachomatis? (68) G A. Est l’infection congénitale la plus fréquente dans les pays développés B. La localisation la plus fréquente de la colonisation est celle oculaire (70%) C. La conjonctivite néonatale apparaît en 5-14 jours après la naissance et dure 1-2 semaines D. La pneumonie apparaît en 2-19 semaines après la naissance et se caractérise par l’absence de la fièvre E. La prophylaxie topique avec nitrate d’argent, érythromicine ou tétracycline est efficiente dans la prophylaxie de la conjonctivite avec C. trachomatis 74. La triade de Hutchinson suppose la coexistence de: (69) M A. Malformations dentaires (dents de Hutchinson) B. Lésions oculaires (kératite interstitielle) 120 C. Hydrops fetalis D. Anémie E. Surdité causée par l’affection du nerf crânien VIII 75. Les tests sérologiques tréponémiques incluent: (69) M A. Les test de l’absorption des anticorps fluorescents antitréponémiques (FT-ABS) B. Le test direct des anticorps fluorescents anti-Treponema pallidum (DFA-TP) C. Le test de la microhémagglutination pour T. pallidum (MHA-TP) D. Le test de l’agglutination des particules de T. pallidum (TP-PA) E. Le test VDRL (Venereal disease research laboratory) 76. Un cas confirmé de syphilis congénitale est celui où: (70) M A. Le nouveau-né d’une mère séropositive a des signes cliniques, des modifications de LCR ou des lésions osseuses sur les radiographies B. Les tréponèmes sont prouvées par microscopie dans un champs obscur C. Le titre du nouveau-né d’anticorps non-tréponémiques est 4 fois plus élevé que celui de la mère D. Le nouveau-né présente un test sérologique tréponémique pour les anticorps du type IgM positifs E. La mère avec sérologie positive n’a pas été traitée, incorrectement traitée ou traitée il y a moins d’un mois par rapport à la naissance 77. Dans l’infection congénitale avec Toxoplasma gondii, le diagnostic sérologique est basé sur: (72) G A. La présence des anticorps spécifiques du type IgA ou IgM pendant les 6 premiers mois de vie B. L’isolement du micro-organisme du placenta ou du sang du cordon ombilical C. L’augmentation des anticorps spécifiques du type IgG chez le nourrisson par rapport au titre de la mère D. La persistance des anticorps spécifiques du type IgG après l’âge de 6 mois E. Tests PCR pour le liquide amniotique ou LCR X. NEUROLOGIE Complément simple: 1. En ce qui concerne les artères carotides internes, les affirmations suivantes sont vraies, À L’EXCEPTION DE: (76) U A. Chaque artère provient de la bifurcation a. carotides communes de chaque partie B. L’a. carotide commune gauche a son origine dans l’arche aortique C. L’a. carotide commune droite a son origine dans la bifurcation du tronc brachyocéphalique D. Dans leur trajet latérocervical vers la base du crâne, les aa. carotides internes donnent naissance à l’artère ophtalmique E. Chaque artère pénètre dans la boîte crânienne par le trou déchiré antérieur 2. Lequel des énoncés suivants concernant la barrière hémato-encéphalique (BHE) est FAUX? (79)U A. Assure dans des conditions optimales la nutrition du tissu nerveux 121 B. Ne permet pas l’évacuation vers la circulation veineuse des substances résultées du métabolisme cellulaire C. Un rôle important dans la réalisation des fonctions majeures de la BHE est celui du contrôle hémodinamique local, réalisé par la fonction endothéliale normale et des péricites D. A la capacité de réaliser de manière controlée le passage transendothélial de certaines composantes biochimiques utiles du sang capillaire E. La fonction antithrombotique de l’endothélium BHE assure la fluidité normale de la circulation capillaire 3. Les aspects essentiels de la physiopathologie de l’ischémie cérébrale NE font PAS référence à: (84) M A. Le dépassement des possibilités d’autoréglage de la circulation cérébrale dans le territoire du vaisseau affecté, en même temps avec une réaction vasomotrice dans le voisinage du foyer ischémique et même à distance par rapport à celui-ci B. Les altérations profondes métaboliques intriquées avec celles inflammatoires et qui apparaîssent dans la zone d’infarctus cérébral, surtout dans la zone de pénombre ischémique C. Les réactions vasculaires et l’altération de la BHE, générées par certains phénomènes D. La pénétration de l’eau dans les cellules du tissu nerveux, ayant comme conséquence l’apparition de l’oedème cérébral dans la zone d’infarctus E. La baisse réactive de la pression artérielle systémique qui représente un phénomène adaptatif de redressement de la perfusion cérébrale 4. Les AVC lacunaires NE se caractérisent PAS par: (87) G A. Représentent une entité clinique-imagistique, qui se réfère aux AVC de petites dimensions B. Sont localisés dans le territoire des aa. centrales/perforantes de la base des hémisphères cérébraux et des aa. para-médiennes C. Dans plus de 85% des cas, ils sont la conséquence de certaines embolies du type atérothrombotique D. Peuvent se manifester du point de vue clinique par des syndromes neurologiques relativement caractéristiques E. Un très grand nombre d’infarctus lacunaires sont cliniquement silentieux au moment de leur production 5. Sur les AVC cardioemboliques, on NE peut PAS affirmer que: (88) G A. Ont une sévérité élevée et représentent 20-40% des AVC ischémiques B. La cause la plus fréquente est la fibrilation atriale C. Ont un grand risque de récurrences (environ 10%/an) D. L’identification des malades est extrêmement importante, parce que l’institution d’un traitement de prévention secondaire attire une baisse importante des récurrences d’AVC E. Ont une tendance plus réduite vers la transformation hémorrhagique rapide 6. Les signes précoces tomodensitométriques qui confirment la nature ischémique des AVC sont, À L’EXCEPTION DE: (92) M A. L’effacement des girations corticales dans une zone d’un hémisphère cérébral B. L’effacement de la ligne de démarcation entre le cortex et la substance blanche subcorticale dans une zone du cerveau C. L’augmentation de la densité dans une zone du cerveau superposable sur un territoire vasculaire et qui correspond du point de vue topographique à la localisation des signes cliniques 122 D. L’effacement unilatéral du «dessin» normal des structures de la région des ganglions de la base E. La présence du contraste spontané des a. cérébraux moyens lésés correspondant au tableau clinique 7. Lequel des énoncés suivants concernant les mesures thérapeutiques spécifiques d’urgence de l’AVC ischémique est FAUX? (95) G A. La thérapie de reperfusion avec rtPA administré iv, dans une fenêtre thérapeutique de maximum 4,5 heures dès l’apparition du premier signe clinique d’AVC B. Pour l’occlusion d’artère basilaire, on peut faire une fibrinolyse C. Avant la fibrinolyse, il faut réduire les valeurs de la pression au-dessous 185/110 mmHg D. Les héparines avec poids moléculaire réduit sont recommandées en 24-72 heures après le début de l’AVC E. Dans les 48 premières heures suivant la production d’un AVC ischémique, l’on recommande l’aspirine à voie orale ou associée avec dipyridamol 8. Les facteurs de risque associés avec une plus grande fréquence des AVC hémorrhagiques peuvent être, À L’EXCEPTION DE: (98) U A. HTA chronique B. La vieillesse C. Le sexe féminin D. La présence des allées ApoE2 et ApoE4 E. La présence des microsaignements cérébraux 9. En ce qui concerne le traitement des HSA anévrismales, les affirmations suivantes sont vraies, À L’EXCEPTION DE: (105) M A. La baisse des valeures de la TA peut favoriser le resaignement et l’augmentation des valeurs facilite l’apparition du vasospasme et de l’ischémie cérébrale tardive B. On peut utiliser des antifibrinolytiques, mais uniquement dans la période précoce et limitée jusqu’à la cure chirurgicale/endovasculaire de l’anévrisme C. Le traitement du vasospasme cérébral commence avec la gestion précoce de l’anévrisme rompu D. La correction de la natrémie peut se faire par administration d’acétate de fludrocortizone et de solution saline hypertonique E. Si les patients ont eu dans le passé des crises épileptiques, l’on recommande le traitement anticonvulsivant Complément multiple: 10. Les branches terminales des aa. carotides internes distribuées vers l’irrigation du parenchyme cérébral NE sont PAS: (77) U A. Aa. cérébrales antérieures B. Aa. cérébrales moyennes (sylviennes) C. Aa. choroïdiennes antérieures D. Aa. ophtalmiques E. A. spinale antérieure 11. La maladie des petits vaisseaux cérébraux apparaît au niveau de: (78) A. Aa. centrale 123 B. Aa. cérébrale C. Aa. para-médiennes D. Branches du polygone de Willis E. Aa. cérébrales dans leurs segments proximaux 12. En ce qui concerne les principaux systèmes hémodynamiquement adaptatifs par lesquels on peut assurer la circulation colatérale au niveau de l’encéphale, sont VRAIES: (79) M A. Le rôle fonctionnel majeur du polygone de Willis est celui de protéger le tissu cérébral par les lésions désastreuses de l’obstruction de l’une des artères majeures B. Lorsque le polygone de Willis devient non-fonctionnel, une augmentation du débit sur l’une des artères cervicales avec destination cérébrale peut être la cause d’un infarctus massif C. Les anastomoses leptoméningéales sont réalisées dans l’espace sous-arachnoïdien entre les branches corticales de frontière des 3 artères cérébrales majeures D. Les anastomoses des branches aa. carotides externes et celles des aa. carotides internes et vertébrales limitent les conséquences lésionnelles au niveau de l’encéphale, losqu’il y a une obstruction vasculaire majeure sur un vaisseau d’apport artériel vers le tissu cérébral E. L’anastomose la plus importante est celle qui se réalise entre les branches des artères méningéales et les branches provenant des aa. carotides internes 13. L’autorégulation de la circulation cérébrale se réalise par la participation de certains types de mécanismes majeurs et se caractérise par: (81) M A. Fonctionnent en interdépendance et ont une pondération fonctionnelle différente dans de divers segments du lit vasculaire cérébral B. Les mécanismes neurogènes agissent surtout au niveau des artères cérébrales grandes et de celles leptoméningéales C. Les mécanismes métaboliques sont essentiels pour l’adaptation régionale et locale du débit sanguin cérébral au niveau des petits vaisseaux intra-parenchymateux et au niveau de la microcirculation cérébrale D. La dépendance face aux besoins métaboliques se réalise par des substances ayant un effet vasoconstricteur local E. La fonction endothéliale est essentielle dans tous les segments du lit vasculaire pour la régulation de la vasomotricité cérébrale 14. Sélectez les énoncés VRAIS concernant l’AIT: (85) U A. Est une forme réversible d’AVC ischémique B. Détermine des lésions structurales cérébrales C. Est un épisode de courte durée de dysfonction déterminée par une ischémie focale cérébrale ou rétinienne D. Les symptômes cliniques durent typiquement moins d’une heure et sans des preuves pour un infarctus aigu E. S’impose le diagnostic différentiel avec d’autres conditions neurologiques avec des manifestations paroxystiques ayant une durée relativement courte 15. En ce qui concerne l’étiologie des AVC ischémiques, les suivantes sont VRAIES: (84) M A. Les AVC ischémiques les plus fréquents sont les AVC cardioemboliques B. Sur la deuxième place on retrouve les AVC ischémiques atérothrombotiques C. La fibrillation atriale rhumatismale est la cause la plus fréquente d’AVC cardioembolique 124 D. Parmi les causes concernant la pathologie de la paroi vasculaire, la dissection de aa. cervico- cérébrales est la cause la plus fréquente chez les malades < 45 ans E. Il y a un pourcentage important d’AVC ischémiques cryptogéniques (15-20%) 16. Sélectez les affirmations VRAIES concernant le mécanisme de production de l’attaque ischémique transitoire (AIT): (85) M A. Le mécanisme hémodynamique suppose l’existence d’une sténose artérielle significative B. Apparaît le plus fréquemment à cause d’un trouble de coagulation C. Le mécanisme thromboembolique peut se produire par une embolie plaquettaire artério- artérielle D. Le mécanisme thromboembolique peut se produire de temps en temps par une embolie de petites dimensions qui provient de toute autre source emboligène E. Rarement, peut être causé par une microangiopathie inflammatoire 17. En ce qui concerne les formes de l'infarctus cérébral, les déclarations suivantes sont FALSES: (86) G A. Les infarctus cérébraux silencieux n’ont aucune expression clinique au moment de leur production, mais peuvent être identifiés par l'IRM B. Les infarctus cérébraux deviennent symptomatiques en termes d'une détérioration clinique progressive au fil du temps C. Les infarctus cérébraux sont une conséquence majeure de gros vaisseaux cérébrale et des embolies cardiogéniques et D. Les micro-infarctus cérébraux sont le résultat de petits vaisseaux du cerveau, de cause hypertensive E. Les infarctus lacunaires sont une conséquence de microangiopathies autres que ceux causées par l'hypertension chronique 18. Les syndromes lacunaires peut être subdivisées dans les suivantes formes cliniques classiques: (88) U A. Hémiparésie purement sensorielle B. Hémihipoéstesie purement motrice C. Sindrôme dysarthrie – main incapacité D. Hémiparésie ataxique E. Hémiparésie sensorio-motrice 19. Les syndromes survenant dans les lésions obstructives des branches collatérales du système artériel vertebrobasilar sont: (91) U A. Sd. de aa. paramédians et circonfèrentiels , aa. vertébrales et basilaires B. Sd. de a. cérébelleuse postero-inférieure C. Sd. de a. cérébelleuse antero-inférieure D. Sd. de a. cérébelleuse antero-supérieure E. Sd. de a. cerebrală antérieure 20. En ce qui concerne le syndrome de Wallenberg, les déclarations suivantes sont VRAIES: (91) M A. Il est appelé syndrome bulbaire ou le syndrome médian inter-olivaire B. Il se caractérise par un trouble alterne de sensibilité thermo-algésique (trigéminale controlatéral et spino-réticulaire thalamique ipsilatéral C. Il est associé à des signes ipsilatéraux du tronc cérébral (syndrome cérébelleux) 125 D. Il est associé à des signes contre-latéraux du tronc cérébral (syndrome de Horner) E. Il est associé à un syndrome vestibulaire, dysphagie, hoquet 21. En ce qui concerne l'éco échographie Doppler des vaisseaux du cerveau, on peut dire que: (93) G A. Elle exige la ligne d’urgence I B. Il est très utile après l'imposition d'un traitement d'urgence C. Il consiste à examiner les aa. carotides internes du segment cervical et aa. vertébrales D. Il n’est pas obligatoire d'être complété par Doppler transcrânien (TCD) E. Il est un procédé d'imagerie de choix en cas de suspicion de dissection artèriale dans un vaisseau cervico-cérébral 22. Les mesures thérapeutiques générales d'urgence de l’AVC ischémique se réfère à: (94) M A. Thérapie de reperfusion avec rtPA administré iv B. Administration de l’oxygène si la saturation est inférieure à 95% C. Au moins les premières 24 heures, pour maintenir l’équilibre hydrique s’utilise solution saline 0,9% et solutions glucosées D. En AVC aigu ne se recommande l’abaissement de routine de la tension art´´erielle, lorsque les valeurs TA sont extrêmement élevés (>220/120 mmHg) E. La prophylaxie antibiotique est recommandée chez les patients immunocompétents 23. Les mesures thérapeutiques spécifiques d'urgence de l’AVC ischémique se réfère à: (95) U A. La thérapie de reperfusion avec rtPA administré iv, au plus de 4,5 heures après l'apparition du premier signe clinique d’AVC B. Administration d’oxygène, si la saturation tombe en dessous de 95% C. La prophylaxie antibiotique est déconseillée chez les patients immunocompétents D. En AVC qui ne répond pas à la thérapie par avec fibrinolyse rtPA, est recommandé reperfusion par une procédure interventionnelle neuroradiologique endovasculaire E. Chez les patients atteints de dysphagie considérable, il est recommandé de commencer le plus tôt possible las réallimentation, par sonde nasogastrique 24. Les principales recommandations pour la prévention secondaire après un AVC ischémique sont: (96) U A. La diminution du LDL-cholestérol sous 120 mg/dl B. Valeurs inférieures à 110 mmHg pour TA systolique et pour TA 70 mmHg diastolique C. Thérapie antithrombotique - obligatoire D. Endartériectomie, méthode de choix pour la sténose extracrânienne symptomatique de a. de la carotide interne E. L'angioplastie carotidienne percutanée endovasculaire est recommandé chez les patients présentant une sténose carotidienne symptomatique significativement hémodynamiquement 25. En ce qui concerne la thérapie plaquettaire antiagrégante, utilisée dans la prévention secondaire après un AVC ischémique, les déclarations suivantes sont VRAIES: (96) G A. Il est obligatoire, sauf si le patient présente une indication pour la thérapie d'anticoagulation B. On préfère clopidogrel seul (en monothérapie) C. Nous préférons l'aspirine en monothérapie en première ligne D. Comme alternative, l'association entre l'aspirine et dipyridamole E. Le traitement d'association avec le clopidogrel plus aspirine peut être utilisé chez les patients qui ont eu un accident vasculaire cérébral ischémique et l'angor instable 126 26. Lequels des énoncés suivants liés à un traitement anticoagulant utilisé en prévention secondaire après un AVC ischémique sont FAUX? (97) M A. Il est recommandé chez les patients qui ont des crises épileptiques incomplétement contrôlées B. Il peut être fait avec dicumarinice ou anticoagulantes non-antivitamine K et avec non- antrithrombotiques nouvelles C. Il est la recommandation de la première ligne chez les patients atteints de fibrillation auriculaire D. Il n’est recommandé chez les patients présentant une hémorragie gastro-intestinale ou une faible compliance E. Il n’est recommandé pour les grandes athéromes aortiques et les anévrismes fusiformes d’a. basilaire 27. Sélectionnez les déclarations VRAIES sur la thérapie endovasculaire chirurgicale et interventionnelle utilisée dans la prévention secondaire après un AVC ischémique: (97) M A. L'angioplastie carotidienne endovasculaire percutanée est recommandée dans les sténoses symptomatiques intracrânienne B. L’endartériectomie est recommandée dans la sténose asymptomatique significative hémodynamiquementchez les jeunes sans autres facteurs de risque vasculaire importants C. L’endartériectomie carotidienne devrait être pratiquée le plus tôt possible après le dernier épisode ischémique, généralement pas plus de 2 mois D. Non recommandé pour les sténoses artérielles carotidienne asymptomatiques E. L'angioplastie carotidienne endovasculaire percutanée est recommandée pour les sténoses post-irradiation 28. En ce qui concerne l'étiologie des hémorragies cérébrales intraparenchymateuses les énoncés suivants sont FAUX: (98) M A. Elles sont le résultat des changements chroniques des qualités structurelles dans les parois vasculaires Sunt consecinţa modificărilor cronice ale calităţilor structurale ale pereţilor vasculari B. La cause la plus fréquente chez les jeunes sont les malformations vasculaires C. Chez les ddultes d'âge moyen (50-70 ans) la plus commune cause c’est l’angiopathie amyloïde D. Chez les patients âgés de plus de 70 ans, la cause principale est la maladie des petits vaisseaux causée par l'hypertension chronique E. D'autres causes, mais moins fréquemment, sont des troubles de la coagulation 29. Dans les hémorragies cérébrales intraparenchymateuses les plus importants facteurs pronostiques négatifs par rapport à la survie sont les suivants: (100) U A. Un œdème cérébral grave B. Le jeune âge C. Le volume augmenté de l'hématome et de forme irrégulière D. Le score Glasgow (CGS) augmenté associé aux valeurs plus hauts de TA à l'admission E. Localisation infratentoriale 30. En ce qui concerne les mesures thérapeutiques générales utilisées dans les hémorragies cérébrales intraparenchymateuses, les énoncés suivants NE sunt pas vrais: (101) M A. HTA doit être traitée rapidement si elle a des valeurs supérieures à 180/110 mmHg B. H TA doit être traitée rapidement, lorsque la pression artérielle moyenne (MAP) est supérieure à 130 mmHg 127 C. Les statines sont recommandés, car ils diminuent le risque de récidive hémorragique cérébrale D. Pour prévenir les récidives hémorragiques, la cible thérapeutique de la TA chez les patients souffrant de diabète ou de maladie rénale chronique devrait être de 140 mmHg pour TA systolique et 90 mmHg pour TA diastolique E. La cible thérapeutique de TA chez les patients atteints de la maladie hypertensive des petits vaisseaux devrait être de 130 mmHg pour TA systolique et 80 mmHg pour TA diastolique 31. En se référant à des mesures thérapeutiques spécifiques utilisées dans les hémorragies cérébrales intraparenchymateuses, les suivants énoncés sont VRAIS: (101) M A. Les patients ayant des troubles sévères de coagulation par déficit de coagulation ou tromobocitopenie sévère, devraient bénéficier d'un traitement de substitution appropriée B. Ils doivent recevoir substitution par des facteurs de coagulation dépendants de la vitamine K associé à l'administration iv de la vitamine K C. Il est recommandé d’administer en monothérapie le facteur VIIa D. Après l'arrêt du saignement sont recommandées petites doses d'héparine de bas poids moléculaire E. Il est recommandé d’utiliser les statines, parce qu’elles diminuent le risque d'hémorragie cérébrale récurrente 32. Les localisations les plus communs des anévrismes intracrâniens sont: (103) U A. A. ophthalmique B. A. péricaleuse C. A. cérébrale postérieure D. Partie antérieure du polygone de Willis E. A. communicante postérieure 33. L’examen clinique objectif neurologique et général dans le cas des hémorragies sous- arachnoïdienne révèle la présence de: (105) U A. Les signes d'irritation méningée B. Les signes Kernig, Brudzinski, Lasègue bilatérale, communs dans les premières heures suivant l'apparition C. Saignements subhialoides prépapillaires, vu l'examen ophtaloscopique D. Globe vessie et rétention urinaire (parfois) E. ROT diminuées / abolies dans les premières 4 heures suivant l'apparition des saignements 34. En ce qui concerne le traitement de l'anévrisme HSA, ce qui suit est VRAI: (105) M A. Les diminutions de TA peuvent favoriser le resaignement B. L’utilisation de l'acide aminocaproïque et de l'acide epsilon-tranexamique est contre-indiqué C. Le traitement du vasospasme cérébral commence avec prise en charge précoce de l'anévrisme rompu D. la gestion de l'hyponatrémie se fait par l'administration de volumes accrues de fluides hypotoniques E. La nimodipina est le seul médicament qui réduit le risque de vasospasme et ischémie cérébrale tardive XI. RHUMATOLOGIE 128 Complément simple: 1. Le facteur rhumatoïde peut être présent dans les catégories suivantes de personnes, À MOINS DE: (110) A. Les patients diagnostiqués avec cryoglobulinémie mixte essentielle B.10-15% des personnes en bonne santé C. Les patients diagnostiqués avec l'hépatite auto-immune D. 40% des personnes en bonne santé E. Les infections bactériennes et virales transitoires 2. Dans la polyarthrite rhumatoïde l’affection articulaire est caractérisée par: (114) A. La douleur et la raideur matinale qui dure au moins 60 minutes B. Roujeur des téguments adjacents C. Additivité D. Asymétrie des articulations affectées E. Le dommage fonctionnel survient soudainement 3. Lequel des suivants types d’articulations N’est pas couramment affectés dans la polyarthrite rhumatoïde: (115) A. Les articulations diarthrodiales B.Les articulations radiocubitocarpiennes C. Les articulations interphalangiennes distales D. Les articulations métacarpophalangiennes E. Les articulations interphalangiennes proximales 4. Parmi les modifications radiologiques les suivantes NE SONT PAS dans la polyarthrite rhumatoïde: (118) A. Subluxations et dislocations causées par la destruction du cartilage B. Tuméfaction des tissus mous périarticulaires C. Elargissement de l'espace articulaire à cause des errosions sous-chondrales D. Rétrécissement des espaces articulaires E. Érosions marginales, géodes et microgéodes 5. Lequel des énoncés suivants en ce qui concerne le méthotrexate N’EST PAS VRAI: (121) A. Il est un analogue structural qui agit en inhibant l'enzyme dihydro-orotate-déshydrogénase B. A des actions du type cytostatique, immunosuppressif et anti-inflammatoire C. L'administration concomitante de l'acide folique diminue sa toxicité D. Présente d'effets secondaires type oligospermie E. Les réactions indésirables aux méthotrexate sont plus fréquents dans les 6 premiers mois 6. Lequel des éléments suivants N’EST PAS une caractéristique du groupe A de la spondylarthrite ankylosante: (131) A. Psoriasis B. Uvéite C. Sacro-iliite prouvée par imagerie D. Antécédents familiaux de spondylarthrite ankylosante E. La présence de HLA-B27 129 7. Lequel des énoncés suivants au sujet des maux de dos dans la spondylarthrite ankylosante est FAUX: (133) A. S’améliore à l'effort physique B. Elle se prolonge pendant au moins trois mois C. Est fréquent chez les jeunes adultes de moins de 40 ans D. Se développe habituellement dans la seconde moitié de la nuit E. Est accompagnée par une raideur matinale de 30 minutes 8. Lequel des énoncés suivants concernant l'hyperostose diffuse est VRAI: (137) A. C’est une condition de type inflammatoire B. Elle apparraît fréquemment chez les femmes de moins de 30 ans en raison de déséquilibres métaboliques C. Elle est accompagnée par l'expansion thoracique anormale D. Elle déter

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