Examen final maladie predo PDF
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This document appears to contain a summary of an exam on diseases. It covers topics such as thyroid disorders, hypercortisolism, and diabetes, and presents details about possible causes, symptoms, examinations, and treatment options related to each medical condition.
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Examen final maladie predo Résumé examen final MP Trouble corticosurrénale - 3 catégories : glucocorticoïdes (cortisol), minéralocorticoïdes (aldostérone), androgènes (activité sexuelle, croissance et développement) - Les glucocorticoïdes régulent le métabolisme, glycém...
Examen final maladie predo Résumé examen final MP Trouble corticosurrénale - 3 catégories : glucocorticoïdes (cortisol), minéralocorticoïdes (aldostérone), androgènes (activité sexuelle, croissance et développement) - Les glucocorticoïdes régulent le métabolisme, glycémie et jouent un rôle crucial dans la réponse au stress - Hypophyse : sécrète ACTH qui stimule les surrénales Hypercortisolisme (syndrome de Cushing) = excès de cortisol - Problème a/n du cerveau (maladie), mais problème a/n des reins (syndrome) - 85% des cas d’excès de cortisol endogène dû à une tumeur hypophysaire - Autres causes : iatrogène, tumeur glande surrénales (+ femmes), production ectopique d’ACTH comme sur pms ou pancréas (+ hommes) - Manifestations cliniques : vergetures larges et pourpres, visage lunaire, bosse de bison, joues rouges, ecchymoses faciles, gain pondéral, abdo tombant - Examens paracliniques : taux de cortisol (doser le matin), si soupçon on fait dosage libre sur 24h avec urine, *possibilité FP si stress physique ou psychologique, dépression, dilantin, rifampine*, scan ou IRM des glandes, ostéodensitométrie, taux faible ACTH (surrénalienne ou Rx) ou élevée (maladie de cushing-hypophyse) - Tx selon la cause : adénome hypophysaire (ablation tumeur, irradiation), tumeur surrénalienne (surrénalectomie), tumeur ectopique (traiter néoplasme-pms ou pancréas) - Tx pharmacologique : inhiber la fonction surrénalienne avec kétoconazole (antifongique) ou mitotane (antinéoplasique) *si syndrome de cushing arrêter cortico de façon graduelle, réduire dose cortico, administration q2jours* Soins : SV, poids, dextro, signes infx, changements apparence, s/s toxicité hormonale ou médicamenteuse Dysthyroïdies - Hormones thyroïdiennes (contiennent des iodes) : thyroxine (T4-sécrétée par les follicules thyroïdien), Triiodothyronine (T3- formée dans les tissus avec T4, liaison + facile et + active que T4) - Effets : accélération métabolisme basal, augmentation production de chaleur, régulation de la croissance et du développement des tissus, essentielles pour fonction de reproduction, stabilisation de la TA Goitre - Hypertrophie de la glande thyroïde avec hyperstimulation de la croissance des cellules thyroïdiennes (une carence en iode est facteur principal à apparition d’un goitre) *- fréquent au Canada à cause du sel de table* - Comment évaluer : vérification du volume des lobes thyroïdiens (si volume supérieur à dernière phalange du pouce= goitre soupçonnée), mesure des taux de TSH et T4, recherche anticorps antithyroïdiens - Traitement : hormones et chirurgie d’ablation Nodules thyroïdiens - 4 types : papillaire (+ fréquent, évolution lente et se propage d’abord aux ganglions du cou), folliculaire (surtout personnes âgées, dans ganglions du cou, + susceptible d’atteindre la circulation et aller aux poumons et os), médullaire (caractère héréditaire, dépistage génétique), anaplasique (forme la + avancée et la + rigoureuse et celle qui répond le – au tx) - Manifestations cliniques : *présence plusieurs nodules palpables et indolores*, possible masses cervicales fermes (métastases), possible envahissement structures avoisinantes (si atteinte trachée : hémoptysie et obstruction respi), enrouement, mal de gorge/difficulté à avaler, douleur devant du cou, toux qui ne disparait pas - Examens paracliniques : bilan sanguin (TSH, T3, T4, anticorps antithyroïdiens, calcitonine), écho, cytoponction (biopsie), scintigraphie iodée de la thyroïde (caractère chaud captent iode radioactifs et bénins ou froid des nodules ne Thyroïdite - Suivie généralement par une phase hypothyroïdienne (temporaire, mais peur être permanent) - Cause multiple : infx virale, bactérienne ou fongique (post-IVRS), auto-immune - Thyroïdite chronique auto-immune ou Hashimoto : évolution vers hypothyroïdie, infiltration lymphocytaire et formation des tissu fibreux dans glande, cause-la + fréquente des goitres - Thyroïdite silencieuse ou indolore : thyroïdite lymphocytaire, + fréquente, chez femme en PP (20-40 ans), pourrait être phase précoce de Hashimoto, se résorbe en 6-12 mois, peu symptomatique - Manifestations cliniques : douleur a/n de al thyroïde (irradiant vers la gorge, oreilles ou mâchoire), tachycardie, tremblements des mains, fièvre, sueurs, fatigue - Examens paracliniques : T3 et T4 élevé au début et diminue, TSH basse au début et monte (anticorps + dans Hashimoto) - Traitement : résolution en quelques semaines Hyperthyroïdie - Hyperréactivité de la glande avec augmentation de la synthèse et libération des hormones (homme + que femme), forme possible maladie de Graves-Basedow, goitre multinodulaire toxique, thyroïdite, apport excessif en iode, tumeurs hypophysaires, cancer - Grave-Basedow : affection auto-immune (augmentation de la taille de la thyroïde hyperthyroïdie), une infection ou stress peut interagir avec facteurs héréditaires, lien possible avec tabagisme, alternance de rémissions et d’exacerbation - Goitre nodulaire toxique : un ou des nodules qui sécrètent des hormones et agissent indépendamment de la stimulation de TSH, si hyperthyroïdie= toxiques, hommes et femmes + de 40 ans - Manifestations cliniques : adrénergiques (palpitations, tremblements, nervosité, diaphorèse, intolérance à la chaleur, HTA systolique), cataboliques (perte de poids, appétit, faiblesse musculaire proximale), oculaires (asynergie, rétraction palpébrale, fixité du regard, œdème palpébral, exophtalmie, diplopie, acuité visuelle, vision couleurs), cutanés (myxœdème prétibial aux endroits de pressions Graves, onycholyse), mixtes (dyspnée, asthénie), autres (oligoménorrhée, selles + fréquentes, irritabilité, labilité affective) Complications crise thyréotoxique : début brutal, *urgence vitale* (décès rare si traitement rapide), souvent secondaire à facteurs stressants chez personne avec dx déjà présent ou non (infection, trauma, intervention chirurgicale), attention si thyroïdectomie manipulation peut entrainer libération excessive provenant d’une glande hyperactive Manifestations cliniques : tachycardie, FA, insuffisance cardiaque, choc, hyperthermie ad 41 degrés, nervosité et agitation, convulsions, douleurs abdo, nausées, vomissements, diarrhée, délirium et coma Traitement : abaisser taux d’hormones circulantes et diminuer graviter manifestations, interventions visant à soutenir les fonctions vitales (maitrise détresse respi, abaisser fièvre, rétablir équilibre hydrique, élimination ou contrôles des facteurs précipitants) Examens paracliniques : bilan sanguin (réduction TSH et hausse T4), test de fixation iode radioactive et scintigraphie thyroïdienne (permet distinguer la maladie de Graves-Basedow) Thérapeutique : inhiber les effets indésirables et freiner leur sécrétion excessive, médicaments antithyroïdien, iode radioactif (pas de grossesse, réponse lente, tx antithyroïdien concomitant pour 3 mois, si hypothyroïdie hormonothérapie à vie, limiter exposition aux proches pour 7 jours), thyroïdectomie subtotale (goitre volumineux, néo, non-réponse au tx) Médicaments antithyroïdien inhibition synthèse thyroïdienne (propyl-thyracil, tapazole) : amélioration 1 à 2 semaines après début tx avec durée 6-15 mois Iode (régulier exogène) forte inhibition de la glande, diminution de la vascularisation aussi intéressante pré-chirurgie, complications possibles : inhibition des récepteurs beta-adrénergique (abaissement de la TA et tx des tremblements) Iode radioactive (iode-131) plus puissant que celui utiliser pour diagnostiquer, conséquence possible si dose élever (hypothyroïdie, si dose insuffisante récidive), contre-indication (femmes enceintes et qui allaitent, si homme attendre 3 mois avant la procréation) Hypothyroïdie - Causes primaires (destruction tissu thyroïdien, défaut de synthèse hormonale T3 et T4-TSH augmentée), causes secondaire (maladie hypophysaire accompagnée réduction TSH *peut être temporaire suite à thyroïdite) - Facteurs de risque : + de 60 ans, femmes, antécédents personnels ou familiaux hypothyroïdie ou autres maladie auto-immune (Db type 1, polyarthrite rhumatoïde, anémie pernicieuse), affections états associés qui nécessite vigilance (grossesse, Db, infertilité, dépression) - 98% des cas origine primaire : auto-immune (10x + chez femmes, entre 30-60 ans, aspect génétique, anticorps anti-TPO +), médicamenteuse (amiodarone, lithium, tamoxifène), post-op (thyroïdectomie), post- radiothérapie (ORL, post tx iode-131) - 2% des cas sont hypophysaires ou hypothalamique, on utilise T4 pour faire suivi au lieu TSH - Manifestations cliniques : fréquents (asthénie, gain de poids léger, intolérance au froid, - Examens paracliniques : si TSH + T4 normale hypothyroïdie subclinique, si TSH + T4 hypothyroïdie primaire, si TSH normale ou + T4 hypothyroïdie secondaire ou maladie sévère - Fréquence de mesure chez pt traité : q2mois pour ajuster tx et annuellement par la suite, la non-observance et interactions médicamenteuses influencent la sécrétion de TSH donc difficulté dans ajustement Tx, *suivi + rapproché lors de grossesse (besoins + élevés, risque altération du développement N du fœtus) * - Hypothyroïdie subclinique : progressions vers une hypothyroïdie clinique, conséquences (cholestérol élevé, risque IM + élevé et risque calcification de l’aorte + élevé), symptômes non spécifiques (fatigue, désordre de l’humeur, troubles cognitifs, infertilité, réponse inadéquate aux antidépresseurs), refaire TSH - Myxœdème : hypothyroïdie grave et prolongée peut évoluer comme ça, c’est une accumulation de mucopolysaccharides hydrophiles dans le derme (visage bouffi, œdème périorbital, les femmes peuvent se plaindre de ménorragie, cycle anovulatoire), *peut évoluer vers altération de conscience, convulsions, hypoventilation, hypothermie, bradycardie, hyponatrémie, hypoglycémie et coma* coma myxœdémateux - Traitement : restauration état euthyroïdien de manière sécuritaire et rapide, Synthroid est rx de choix (augmentation progressive toutes les 6-8 semaines, augmentation demande en o2 du myocarde associé à prise médication) surveillance clientèle à risque, surveiller fc, aviser pt de rapporter toute DRS, perte de poids, nervosité, insomnie et tremblements Cas clinique - Œdème a/n MI= signe hypothyroïdie primaire clinique (T4 anormal), traitement indiqué= synthroïd - Examens à faire= TSH, scintigraphie et cytoponction, suivi à faire= référence à un md spécialiste - TSH diminué, T4 normale= hyperthyroïdie subclinique - TSH diminué, T4 augmenté= référence en endocrinologie et chois=x tx selon la cause, iode radioactive, thyroïdectomie, antithyroïdien, À long terme tx= peut avoir évolution vers hypothyroïdie et tx avec synthroid - Accouchement il y a 2 mois= phase hyperthyroïdienne et nouveaux symptômes pourrait être hypothyroïdie Diabète - Def : maladie qui provient d’un désordre du métabolisme des glucides; caractérisé par une élévation anormale du glucose à la suite de déficit en insuline ou résistance à l’insuline par les cellules du corps *se développe sur plusieurs années, ce n’est pas une surprise* Valeurs cibles : avant repas 4-7 et 2h post- repas 5-10 4p : polyphagie, polyurie, polydipsie et perte de poids inexpliquée - Étiologie (phénomène complexe) : facteurs génétiques, auto-immuns, environnementaux Tous les glucocorticoïdes et antipsychotiques augmentent la glycémie (dépend de la quantité prise et l’intervalle), les anticancéreux et HTA peuvent aussi jouer sur développement du db) - Physiologie : pancréas est responsable de la production de 2 hormones insuline : favorise entrée du glucose dans les cellules, source d’énergie ou stockage du glucose en excès glucagon : convertit le glycogène en glucose (glycogénolyse), forme glucose avec acide lactique et molécules non-glucidiques *facteurs qui influencent leur sécrétion : insuline (ingestion de glucose), glucagon (le jeun, si je manque de glucose a/n sanguin, baisse dextro, repas riche en protéines, SNS) * *si on sécrète de l’insuline ou on a dextro bas, on ne sécrète pas de glucagon* - Dans condition normale, insuline est sécrété par un débit de bas avec une augmentation sous forme de bolus au repas - Glucagon-like peptide (GLP-1): hormone dite glucose dépendante- incrétine *sécrétée par : pancrés a/n intestin grêle pour augmenter la sécrétion d’insuline *en réponse à : l’ingestion d’un repas par les cellules de l’intestin grêle *récepteurs: a/n du pancréas qui fait en sorte qu’elle augmente la sécrétion d'insuline, du cerveau (hypotalamus) pour donner signal de satiété précoce et l’estomac pour ralentir la vidange gastrique *durée de vie : quelques minutes, après son passage a/n du pancréas, un enzyme (DPP4) le détruit à sa sortie S’il reste du glucose après ce processus, il est transformé en triglycéride dans les cellules adipeuses et le foie Types de diabètes - Type 1 : destruction auto-immune des cellules béta des îlots de Langerhans du pancréas, INSULINODÉPENDANT - Type 2 : résistance des cellules du corps à l’insuline, puis diminution production et sécrétion insuline par pancréas à long terme, INSULINORÉSISTANT - Dans les 2 cas : hyperglycémie post prandial, glucose ne peut entrer dans les cellules, entraîne état semblable au jeun, glycogénolyse, puis lipolyse et néoglucogénèse (élévation supplémentaire de la glycémie donc glycosurie - Facteurs de risque Db type 2 : + de 40 ans, db type 2 chez parent 1er degré, histoire DbG ou bb + de 8.8lbs, histoire anomalie glycémie à jeun ou intolérance glucose, facteurs de risque cardiovasculaire, appartenir à certains groupes ethniques, schizophrénie - Manifestations : Db type 1 *apparition soudaine des signes et symptômes*, polydipsie, polyurie, polyphagie, perte de poids involontaire, Db type 2 *apparition insidieuse et progressive et souvent non-spécifique*, fatigue, infections persistances, guérison ralentie plaies - Critères dx : selon association à partir de 40 ans, glycémie à jeun ou HbA1c q3ans si absence FDR, mais q6-12mois si FDR *mais à faire si indication clinique peu importe l’âge* - HbA1c : *ne pas utiliser si anémie, IR, chez enfants et femmes enceintes, on choisit le glucose à jeun*, ça reflète l’équilibre glycémique sur un long terme (50% reflète le dernier mois), mesurée au 3 mois initialement et q6mois lorsque cible atteint et maintenue Elle est associée à une réduction du risque de complications neuropathique et microvasculaire : en bas de 7% c’est macrovasculaire (AVC, embolie pulmonaire), en bas de 6,5% c’est microvasculaire (yeux, reins) et en bas de 6% il y a risque d’hypoglycémie dommageable à long terme - Glycémie à jeun plus grand que 7,0 et HbA1c plus grand que 6,5% *important d’avoir les 2 test + pour dx Db, si 1 des 2 est + on redemande* - Complications : hyperglycémie acidocétose diabétique, syndrome hyperglycémique hyperosmolaire et hypoglycémie impact cognitif et évolution possible vers perte de conscience, convulsions, coma et mort - Acidocétose diabétique (glycémie 13.9): *pk + fréquent chez Db type 1 : pcq fait suite à un manque absolu ou quasi-absolue de glucose qui produit lipolyse et occasionne de la cétogenèse *pk chez Db type 2 : avec une maladie grave (AVC, pnie massive) qui fait en sorte que le pancréas est incapable de répondre à une demande supplémentaire en insuline *pk haleine fruitée : exhale des corps cétoniques par la bouche et par les urines *autres que 3P quelles autres manifestations : souvent GI intense (nausées, vomissements, douleurs abdo), signes de déshydratation (tachycardie, pouls faibles, HTO), respiration Kusmaul (profonde) - Syndrome hyperglycémique (glycémie 33) : Chez Db type 2, sans production de corps cétoniques, hypovolémie car diurèse ++ qui mène à hypoTA avec anoxie des tissus qui augmente acide lactique, risque de thrombose et anurie dû à diminution de la perfusion rénale - Complications Db type 2 : MCAS, HTA, insuffisance artérielle, neuropathie, IRC, rétinopathie, dysfonction érectile, pied diabétique, infections, dépression Rétinopathie Db : épaississement et durcissement du réseau microvasculaire de la rétine, chez Db type 1 suivi à partir 5e année post-dx, mais Db type 2 c’est un suivi chaque 1-2 ans Neuropathie : atteinte du système nerveux (engourdissements, perte de sensibilité, sensation de brûlure), suivi dès le début et 5 ans post-dx pour type 1, on vérifie sensibilité avec monofilament (10g) et vibration d’un diapason (128g) *système vasculaire ce qu’on vérifie : pouls périphérique, si pas de pouls on monte + haut et on valide avec doppler, RC et ITB; on vérifie la température des MI et si manque de poils est un signe d’insuffisance artérielle *AAS pas utiliser chez Db, si pas ATCD AVC c’est plutôt rare *ECG et épreuve effort : ECG d’ambler et épreuve effort pour ceux qui veulent pratiquer du sport, mais qui ont peut-être une composante cardiaque Plaies du pied : ulcération sur les points de pression souvent indolore parce qu’ils ne sentent rien, mais peut détruire os et articulations (cause vasculaire ou neurologique) MCAS : valeur cible TA est 130/80 et moins, souvent un tx avec statines si + de 40 ans et + de 30 ans si atteint de Db depuis + de 15 ans - Examens cliniques : TA, poids, examen cardiovasculaire et évaluation complications annuellement idéalement, bilan sanguin au moins 1x/an (glucose, HbA1c q3mois, ions, créat et DFG, bilan lipidique, albumine, A/C urine), ECG q2ans si + de 40 ans et ECG effort PRN - Autosurveillance : si prise insuline, Rx qui crée hypo ou type 1 c’est au moins 1x/jour, sinon c’est on/off une fois de temps en temps - Traitements non pharmacologiques : Exercices physiques (diminution morbidité et mortalité) : maîtrise glycémie, réduction des besoins en antihyperglycémiants et insuline, permet une perte de poids modeste, mais soutenue (5-10% du poids initial) exercices aérobique : 3jours/sem. pour 150min, inactivité max 2 jours de suite (peut importe activité, mais essoufflement à la parole) et exercices de résistance : 2x/sem, mais idéalement 3x Thérapie nutritionnelle : pour réduire HbA1c de 1-2% (possibilité de renverser le Dx si on fait attention ++), conseil par nutritionniste Gestion du stress (élévation de cortisol qui augmente dextro) Cessation tabac Consommation alcool raisonnable : risque hypoglycémie rebond lors prise alcool sur un estomac vide, max 15cons/sem pour homme et 10 pour femme, mais max 3/jour pour homme et 2 pour femme *possibilité rémission Dx type 2? OUI - Traitement pharmacologique : pour normalisation dextro, on évite les hypoglycémies et dans type 2 on essaie d’éviter le + possible l’insuline Insuline : stocke glucose a/n du foie, tissu musculaire et adipeux, pour type 1 d’emblée, lors décompensation type 2 et pour DBG *pk SC : car elle est inactivée par les sucs gastriques et IV pour son action rapide, mais courte durée *Moment idéal pour administration : dépend du pt, peut être donner selon les besoins de celui- ci, mais important respecter le temps d’action *pk d’emblée chez type 1 : c’est auto-immun, donc compenser la production défectueuse ES : hypoglycémie (glucagon injectable pour contrer), prise de poids, lypodystrophie *but du tx : éviter complications à long terme (organes + touchés sont cœur et cerveau) Antidiabétiques oraux : *1er utilisé : metformine *classes qui agissent sur incrétines : GLP-1 et inhibiteur DPP-4 Lien avec prise de repas? L’action est glucose-dépendante, on agit sur la sécrétion d’insuline en présence de glucose seulement *vérification fct rénal chaque changements Rx ou dose Contre-indication : grossesse, allaitement, hypoglycémie, type 1, IR, risque acidocétose Db *pk manger dans les 30 mins post insuline : éviter hypo si aucun sucre ingérer *pk metformine un bon choix : ça n’abaisse pas la glycémie, car agit pas sur la sécrétion d’insuline *pk être prudent avec pt dysfonction hépatique ou rénale : dépendamment de la créat, certain rx à ajuster parce qu’éliminer par les reins et risque toxicité *pire hypoglycémiants pour prise de poids : insuline et sulfonylurée *pire hypoglycémiants pour hypoglycémie : sulfonylurée et insuline Cas clinique : - 56 ans, liraglutide (GLP-1), hospit pour pnie, pk ATB 1h avant : les GLP-1 retarde la vitesse de la vidange gastrique, donc absorption de celui-ci, idem pour contraceptif - Avec – d’appétit, il est inquiet risque hypo : pas de problème vu la sécrétion d’insuline seulement lors ingestion de glucose, idem pour DPP-4 - Pk Rx avec action relié aux incrétines entrainent perte de poids : car retarde vidange gastrique et provoque une satiété précoce, mais important de respecter ce sentiment sinon sx GI Obésité - Augmentation anormale de la proportion de cellules adipeuses dans le corps du à apport énergétique trop élevé ou dysfonctionnement hormonaux - 2 types : primaire (quantité trop grande de calories pour les besoins) et secondaire (anomalies congénitales ou chromosomiques par des problèmes métaboliques ou lésions du SNC) - Types obésité : gynoïde (graisse SC) et androïde (graisse viscérale, chute HDL, augmentation triglycérides) *limite mesure IMC : faible masse musculaire sous-évaluer *facteurs socioculturels augmentent risque obésité dû à des problèmes métaboliques (autochtones et asiatiques) Syndrome métabolique - Ensemble de facteurs qui augmentent la probabilité de développer des maladies cardiovasculaires et le Db - Critères (au moins 3 présents): tour de taille (H+ de 102cm et F+ de 88cm), triglycérides (= ou + de 1.7), HDL augmenté, TA augmenté (systolique + de 130 et diastolique + de 85), glycémie à jeun (= ou + de 5.6) *le tx pour une de ces conditions constitue un critère + *mesure tour de taille a/n crête iliaque au- dessus de la hanche et prendre mesure à la fin de l’expiration - Souvent associé à obésité abdo : syndrome ovaire polykystique, apnée du sommeil, baisse de la testostérone (andropause) - Étude Framingham pour calcul du risque cardiovasculaire Critère : sexe, âge, tabac, Db, HDL, cholestérol total, TAS traitée ou non *chez pt entre 30-59 ans on multilplie par 2 le résultat si ATCD familiaux 1er degré -55ans chez homme et -65ans chez femme - Traitements non pharmacologiques : CHANGEMENTS HABITUDES DE VIE - Traitements pharmacologiques : inhibiteur lipase intestinale (absorbe pas les graisses), analogue GLP-1, antagoniste de opiacés et antidépresseur (action cérébrale sur régulation appétit et pulsions alimentaires) Chirurgie bariatrique (classe 3 ou obésité morbide ou classe 2 avec comorbidités sévères) : limitation taille estomac ou diminution absorption nutriments *ce n’est pas une maladie, mais un syndrome à risque de développement MCV, maladie cérébraux vasc et Db *on peut en guérir? Oui en changeant mode de vie * si ajout sulfonylurée surveiller : hypoglycémie et prise de poids car force pancréas à sécréter iinsuline *si ajout inhibiteur SGLT2 avec assurances privées : effet protecteur a/n cardio-rénal, moins de risque hypoglycémie qu’avec sulfonylurée, + efficace que les autres classes, fait perdre poids et prise PO