Cours 2 - Impressions et Attributions PDF

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Summary

This document is a psychology course on impression formation and attribution. It covers topics such as the stages of impression formation, observation of others, attribution theories, attribution biases, and integration of information. It also includes the role of context in attribution and relevant studies.

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Deux type de psychologie sociale : 1. psychologique sociale sociologique (s'intéresse à l'influence sociale) 2. psychologie sociale psychologique (s'intéresse à l'intérieure de la personne) Jacinthe Emery (2024) CONTENU DU COURS  Étapes générales...

Deux type de psychologie sociale : 1. psychologique sociale sociologique (s'intéresse à l'influence sociale) 2. psychologie sociale psychologique (s'intéresse à l'intérieure de la personne) Jacinthe Emery (2024) CONTENU DU COURS  Étapes générales dans la formation d’impressions  Observation de l’autre  Attribution  Théories de l’attribution  Théories attributionnelles  Biais d’attribution  Intégration de l’information  Exactitude des impressions  Biais confirmatifs 2 1 ÉTAPES GÉNÉRALES DANS LA FORMATION D’IMPRESSIONS ***REVOIR LES TROIS CIRCONSTANCES** On a tendance à utilise pour interpréter les informations qui vont suivre (ex : vous rencontrer une personne et vous apprenez que cette 1. personne est persévérante et quelqu'un vous vous dit que cette 2. Si on a plus de temps on peut faire une analyse approfondis personne en question est agressif, vous allez interpréter cette 3. personne comme étant toujours persévérant puisque selon vous cette La formation d'impressions est un processus personne ne se laisse pas marché dessus) **IMPORTANT** continu...Mais la première impression est cruciale ! C'est un résumé ÉTAPES DANS LA FORMATION D’IMPRESSIONS Il y a tellement de dispositions qu'on ne peut pas s'en rappeler lorsqu'on voit la personne La personne qui se fait une L'individu ici se forme une impression (ex : tu vois une personne sociable, aimante, impression de quelqu'un d'autre Le contexte dans lequel il fait son studieuse...etc. c'est compliqué de se se nomme de deux façons : impression sur la personne rappeler de toutes ses disposition) alors lors 1. L'observateur Attribution - c'est le fait de se poser de l'étape de l'intégration on fais le tris pour 2. Le percevant des questions sur la personne (ex : se faire une image globale pourquoi elle a fait ça??) observé. L'intégration nous amène a faire un tout et de combiner tous les informations pour faire une L'observateur se nomme de image de la personne. deux façon - l'acteur qui fait l'action ou bien la cible Ces questions présent dans l'attribution amène à des dispositions Lors de l'étape apparence physique, comportement et contexte il existe deux Carré dans le schéma- possibilité soit un schéma plus long ou un processus cognitif schéma plus rapide (de apparence physique comportement et contexte vers Cercle dans les schéma : l'impression directement). Cette deuxième perception option fait référence au jugement rapide = résultats de ses analyses de la préjugés, donc plus de chances de faire de ses processus personne des erreurs dans les impression. image **À REVOIR** Dans certains cas, il existe des biais quand une générale Jugement rapide lorsque la personne a de la difficulté a modifier sa façon de personne se sert des penser elle utilise des biais confirmatifs et ces biais permet de réinterprété ses informations pour quelles concorde avec ses croyances (ex : un Survient lorsque quelqu'un a des déjà étudiant dors dans la biblio, et que j'ai du mal a préjugés existant, ne prends pas la peine croire que cette étudiant a étudier parce qu'il est de réfléchir (ex : une personne qui pense studieux cela ne correspond pas à mes croyances que tous les étudiants sont paresseux et du fait que je crois que tous les étudiants sont vois un étudiant sortir de la biblio avec paresseux donc on va réinterprété ça et je vais des lires, la personne ne va pas changer essayer de modifier et répété le fait que les sa perception sur les étudiants malgré étudiants sont paresseux et trouver une raison pour cette preuve) l'expliquer) 4 Pourquoi sommes nous aussi rapides à nous former une impression de l'autre??C'est notre survie qui en ai la raison et depuis toujours (même nos ancêtres les utiliser). Repérée immédiatement les dangers immédiatement. Notre cerveau c'est adapté pour identifier les dangers potentiel. De qui on doit se méfier et de qui on doit faire confiance...etc. RAPIDITÉ DE LA FORMATION D’UNE IMPRESSION Étude de Willis et Todorov (2006) Corrélations entre des participants ayant vu les photos avec un temps d’exposition limité et des participants n’ayant pas eu de limite de temps pour se former une impression. 1 groupe 2 groupe 3 groupe 4 groupe : Ils avaient temps illimité Traits jugés 0,1 sec. 0,5 sec. 1 sec. Honnête 0,73 0,66 0,74 Compétent 0,52 0,67 0,59 Sympathique 0,59 0,57 0,63 Agressif 0,52 0,56 0,59 Attirant 0,69 0,57 0,66 Toutes les corrélations sont positives Conclusion : ca ne prends vraiment pas beaucoup de temps pour en faire une impression, que ce soit un temps illimité ou très peu de temps on va en arrivé un peu prés à la même impression. 5 2 OBSERVATION DE L’AUTRE Formation des impressions à l'aide de trois informations : 1. Apparences physiques 2. Informations sur son comportements 3. Contexte L'apparence physique nous envoye des impressions très rapidement INFLUENCE DE L’APPARENCE PHYSIQUE  L’apparence physique d’une personne est habituellement le premier et parfois le seul indice pour se former une impression sur elle.  Nous avons des idées préconçues par rapport à certaines caractéristiques physiques.  La beauté physique, particulièrement un beau visage, amène une variété d’attentes positives (ce qui est beau est bon). Ex : les personnes qui portent des lunettes sont perçus  Aussi, la beauté physique de l’autre influence comme étant intelligent. Puisque les lunettes donnent cette impression et on joue beaucoup avec cette perception notre attitude envers cette personne. même dans les films (ex : les nerds ou personnes intelligentes dans les films portent toujours des lunettes) Ex : quand on va acheter des fruits et légumes dans une épicerie on a tendance à les choisir avec soin et prendre se qui sont les plus beaux, les moins amochés, pourtant à la fin du jour, c'est le même fruit qui a le même goût...etc. on a l'impression que plus s'est beau plus s'est satisfaisant 7 INFLUENCE DES COMPORTEMENTS ET DES EXPRESSIONS NON VERBALES On a déjà des mots qui nous viennent en tête pour exprimé ces expressions non verbales Les comportements et les expressions non verbales que nous observons chez l’autre nous fournissent des informations pour former notre impression. 8 **LIRE TEXTE NUMÉRO 6*** INFLUENCE DES COMPORTEMENTS ET DES EXPRESSIONS NON VERBALES Des informations à travers les expressions émotionnelles Plusieurs chercheurs s’entendent sur le fait qu’il existe six familles d’états émotionnels universels qui résultent de l’évolution de l’espèce humaine : la colère, la peur, le dégoût, la surprise, la joie et la tristesse. Les expressions émotionnelles nous donnent des indications sur par exemple qu'est-ce que la personne est en train de vivre...etc. Les émotions nuancés sont plus difficile a interprété 9 INFLUENCE DES COMPORTEMENTS ET DES EXPRESSIONS NON VERBALES Des informations à travers le regard Les yeux envoient des messages sur la qualité de l’interaction et de la relation.  Regard maintenu : perçu comme honnête, direct, amical, aimable ou intéressé.  Regard fuyant : perçu comme non amical, louche, évasif, indifférent ou timide.  Regard fixe et soutenu : peut être perçu comme colérique, hostile ou dominateur; ou peut être perçu comme amoureux ou très intéressé.  Regard vers le bas : perçu comme triste, honteux ou soumis. À NOTER QU'IL EXISTE DES EXCEPTION : Ces études on était fait dans un contexte Occidentales. Les yeux sont importants dans Dans certaines culture, telle que le Moyen-Orient, le l'interprétation de ce qui se passe regard vers le bas dans plusieurs pays ne veux pas dire que la personne concerné est triste ou honteux au contraire. Vers un âge très tôt, on (les adultes) enseigne aux enfants très tôt que lorsqu'une personnes d'autorité ou plus âgés que toi parle à toi tu doit baisser les yeux par respect. 10 INFLUENCE DES COMPORTEMENTS ET DES EXPRESSIONS NON VERBALES Des informations à travers les gestes, les mouvements et les postures 11 INFLUENCE DES COMPORTEMENTS ET DES EXPRESSIONS NON VERBALES Qu'est-ce que la personne fait Un bénévole qui aime rendre service aux personnes qui en a Des informations à travers les comportements comme action?? le plus de besoin Une personne qui mange mal 12 La façon de comment la personne nous touche nous donne des interprétation ex : quelqu'un te serre la main avec force cela veux montrer que la personne domine, si une autre personne de serre la main et que sa main tremble cela veux dire que c'est une personne stressé/timide..etc. INFLUENCE DES COMPORTEMENTS ET DES EXPRESSIONS NON VERBALES Des informations à travers le toucher 13 INFLUENCE DU CONTEXTE Quelqu'un qui gagne un combat de boxe 1. Le plus souvent le contexte nous aide à interprété ce que la personne vie 2. Parfois, le contexte nous induit en erreur (donc cela nous amène à avoir des fausses conclusions) Le contexte nous aide à comprendre ce que la personne vie 14 INFLUENCE DU CONTEXTE C'est un homme qui joue du violon dans le métro et il y a des gens qui passent, qui ignorent, qui s'arrête pour donner des sous, d'autres s'arrête pour regarder...etc. Les personnes ne donner pas trop d'importance à se violoniste. Pourtant, cet homme est un grand violoniste dans le monde. S'il jouait dans une grande scène les gens auraient eu différente réactions que s'il jouait dans un métro. https://www.youtube.com/watch?v=hnOPu0_YWhw Étude de Rosenhan (1973) est un étude qui illustre bien l'influence du contexte 15 3 ATTRIBUTION Les observations que l'observateur à accumuler, va les mémoriser et cela va lui servir à faire une analyse ou a porté un jugement rapide. CE QU’EST UNE ATTRIBUTON Attribution Attribution de l'observateur : attribution sur quelqu'un d'autre Inférence - c'est une hypothèse que vous poser Attribution de l'acteur : attribution sur nous même Jugement (inférence) porté sur une personne, une situation, un événement. Je vous déclare Interprétation personnelle de la réalité. COUPABLE ! Une attribution peut être faite… - pour les autres = attribution de l’observateur ou hétéro-attribution; - pour soi-même = attribution de l’acteur ou auto-attribution. (ex : pourquoi je n'ai pas beaucoup d'amis, pourquoi je ne suis pas intelligent...etc.) Des études on démontré qu'on est assez exact et assez bon lorsqu'on fait des attributions (donc peu d'erreur). 17 **LES DEUX PREMIER TYPES D'ATTRIBUTIONS SONT IMPORTANTS ET IL EST IMPIRTANT DE SAVOIR LES DIFFÉRENCIÉ)** 3 grands buts TYPES D’ATTRIBUTIONS  Attributions causales. C'est une question que se pose pour comprendre et expliquer une cause (ex : pourquoi j'ai échoué) ***À RETENIR : La question qu'on se pose c'est POURQUOI But : déterminer les causes d’un comportement, d’un événement, d’un succès ou d’un échec ou expliquer un manque de contrôle sur l’environnement.  Attributions dispositionnelles. But : déterminer les caractéristiques d’un individu à partir d’une action qu’il vient d’accomplir. On veux savoir qui est cette personne ou bien quelle genre de personne est-elle. On pose des questions sur la personne (ex : est-ce que c'est un conducteur prudent ou imprudent??)  Attributions de responsabilité. Beaucoup plus utilisé dans la psychologie légale... But : déterminer le niveau de responsabilité d’un individu par rapport à un acte qu’il a commis ou à un événement qui s’est produit. 18 Chercheurs qui se sont intéressé à ce qui vient avant TYPES DE THÉORIES Antécédents Attributions Conséquences croyances/observ ations/motivation Croyances vont influencé l'interprétation Comportements Observations Interprétation Émotions Motivation Attentes Après une interprétation cela peut affecter les émotions de la personnes, ses attentes, sa motivation...etc. Théories de l’attribution Théories attributionnelles - Théorie des inférences - Théorie de la motivation à correspondantes (Jones et Davis) l’accomplissement (Weiner) - Théorie de la covariation (Kelley) - Théorie de la résignation acquise - Approche pragmatique (Seligman) - Approche du traitement de l’information 19 **LIRE LES TEXTE 7 ET 8 POUR CETTE SECTION*** 4 THÉORIES DE L’ATTRIBUTION DE MANIÈRE GÉNÉRALE Pour expliquer les comportements des autres ou nos comportements (incluant les résultats, les événements, etc.), nous avons deux possibilités :  La cause est la personne (ses dispositions, sa personnalité, ses intentions, etc.). EX : Paul a échouer son examen final parce qu'il n'a pas réviser. Nous parlons alors d’une cause interne, dispositionnelle ou reliée à la personne. Attribution faite par… un observateur : « C’est sa faute ». … un acteur : « C’est ma faute ». La cause dans une situation peut être une autre personne ex : Paul a échoué son examen final parce que la veille son petit frère le dérangé  La cause est la situation (le contexte, les circonstances, le hasard, etc.). EX : Paul a échouer son examen final parce que l'examen était trop difficile. Nous parlons alors d’une cause externe, situationnelle ou reliée au contexte. Attribution faite par… un observateur : « Ce n’est pas sa faute; c’est la faute de… ». … un acteur : « Ce n’est pas ma faute; c’est la faute de… ». 21 Les théorie de l'attribution ils ont été développer par des chercheurs pour essayer de Ce n'est pas une théorie qui s'applique dans la vie de tous les jours. comprendre qu'est-ce qui se passe dans notre tête, comment on analyse?? Elle s'applique dans un contexte spécifique et il faut 3 critères : ***DEMANDER À LA PROF UN 1. Il faut qu'on voit la personne une seule fois (sur qui on va faire une EXMEPLE POUR ILLUSTRER CETTE impression - on ne connais pas cette personne) DÉFINITION** 2. Seulement dans des attribution dispositionnelle (diapo 18) 3. Attribution par un observateur (on ne peut pas la faire pour nous ***NE COMPRENDS PAS LA DIAPO AU COMPLET*** même) THÉORIE DES INFÉRENCES CORRESPONDANTES (Jones et Davis, 1965) Exemple : quelqu'un pousse votre amie 3 ÉTAPES DANS L'ANAYLSE : Effet 1 1. Observation 2. Analyse Choix 3. Attribution Effet 2 Dispositions Intention Action Effet 3 Attentes Effet n Deux questions à se poser : Choix : Le choix est-ce que l'acteur avec le Ex : mon ami est tombé, choix de son comportement?? Est-ce qu'il il s'est blessé, a mal à la Dès qu'on répond oui à la première était obligé ou pas?? tête...etc. question et non à la seconde cela veux La deuxième question porte sur les dire que c'est une cause interne. À attentes : est-ce que cela corresponds aux l'Inverse si on répond non à la première attentes et aux normes sociales?? question et oui à la seconde cela veux dire que c'est une cause externe. Exemple choix - est-ce que la personne elle avait le choix ou elle était obligé de pousser mon amie?? La pas de choix personne elle l'a décidé et ce comportement, selon les obligé externe attentes, ne correspond pas aux normes sociaux. = attentes On ne peut donc pas utiliser cette théorie 22 Oui et non = la discision vient d'elle-même Donc attribution internes Non, oui - elle a été obligé Non, non - elle a été obligé Oui, oui - elle a été obligé Donc attributions externe EFFETS DISTINCTIFS Effet distinctif Conséquence qui découle uniquement de l’action que la personne a choisi de faire en comparaison aux autres actions que la personne aurait pu faire. Exemple quelqu'un se demande si je Ne pas étudier n'est pas un vais dans un discothèque, aller au restaurant ou aller au cinéma Exemple : une sortie un jeudi soir effet distinctifs puisqu'il apparait dans les trois choix Discothèque Restaurant Cinéma Ne pas étudier Ne pas étudier Ne pas étudier Écouter de la musique Manger un bon repas Être diverti et ému ****Plus il y a d'effets distinctifs, plus ca va être Rencontrer des amis Rencontrer des amis difficile de faire une attribution. L'effet distinctif nous permet de comprendre qui est la personne devant nous?? Mais ça arriver parfois, lorsqu'il y a plusieurs Rencontrer des effet distinctif, que cela nous amène pas tous dans la même impression.**** personnes célibataires EN VERT - les effets distinctif - appartient uniquement à un groupe qui n'apparait pas dans les autres 23 EXERCICE SUR LA THÉORIE DES INFÉRENCES CORRESPONDANTES Giroflée vient de terminer le Cégep. Supposons que Giroflée choisisse de Trois choix de carrière s’offrent à elle... devenir conceptozatrice technique. Quelle impression cela vous donne-t-il à Conceptozatrice technique : propos de sa personnalité? Offre un très bon salaire. Permet de diriger une équipe. a) Elle aime le luxe et le confort matériel. En contact avec le public. b) Elle aime jouer le rôle de leader. Imagidéatrice spécialisée : c) Elle aime parler aux gens. Offre un très bon salaire. d) Elle aime les voyages. En contact avec le public. e) Elle est généreuse et idéaliste. Permet de voyager. Badibulgatrice qualifiée : En contact avec le public. Permet de venir en aide aux démunis. 24 ***TEXTE NUMRÉO 7, TABLEU DE LA PAGE 23, IL AURA 3 QUESTIONS À MARQUER ICI*** THÉORIE DES INFÉRENCES CORRESPONDANTES (Jones et Davis, 1965) Effet 1 Choix Effet 2 Dispositions Intention Action Effet 3 Attentes Effet n En comparant les effets qui se sont Les effets produit avec les effets qui aurait pu se distinctifs font produire cela va crée des effets distinctifs Effets parties de l'étape d'analyse distinctifs Ex : la personne aurait pu passer à côté, passer à côté, la personne aurait pu s'excuser et aider mon ami à se relever..etc. 25 La théorie de la covariation à 3 critères : 1. Il faut avoir plusieurs informations sur la personnes qu'on observe 2. C'est une attribution causale (don on se demande pourquoi l'évènement se produit comme ça??) 3. Attribution peut se faire par l'observateur et par l'auteur (mais l'auteur c'est plus rare) S'applique dans un autre types de contexte THÉORIE DE LA COVARIATION (Kelley, 1967) Ex : on va voir un concert avec deux amis et Trois dimensions d’informations un de mes amis, Mathieu, se met a hurlé et à sauter alors je vais tenter de comprendre pourquoi il agis ainsi??  Consensus. mon ami est-il le seul à agir comme ça?? les autres sont comment?? Ex : Mathieu est-ce qu'il est le seul dans la foule a hurlé ou il y a d'autres personnes qui agissent comme lui?? Le comportement de la personne observée est comparé au comportement des ***Si la personne est la seule à faire le comportement on dit que le consensus est faible ou minoritaire autres personnes. ***Si tous le monde ou la majorité fais le même comportement on dit que le consensus est élevé entité dans la situation = se demander par rapport à quoi le comportement est fait, pourquoi Mathieu est tant excité par le spectacle,  Distinction. l'entité est le spectacle est-ce qu'il est toujours comme ça dans les autres évènements?? en classe?? dans d'autres concerts?? L'entité on l'a trouve toujours dans la question de base : qlq à Pour comprendre l'entité il faut comprendre par rapport à quoi le comportement est fait échouer l'examen de français, l'entité c'est l'examen de français Ex : pourquoi Mathieu est tant excité par le spectacle - donc l'entité est le spectacle Le comportement que la personne observée adopte par l'entité rapport à l’entité est peut être une personne, un évènement...etc. comparé au comportement qu’elle adopte par rapport à d’autres entités. ***Si la personne agis de la même façon avec toutes les entité différentes, on va dire que la distinction est faible (ex : Mathieu agis  Constance. comme ça dans tous les concerts, spectacles...etc.) ****Si la personne agis seulement comme ça avec cette entité on va dire que la distinction est élevé (le comportement est seulement dans le temps avec cette entité et rien d'autres) Le comportement de la personne observée à ce moment précis est comparé au comportement qu’elle adopte à d’autres moments semblables (même entité). La constance s'est dans le temps Distinction - on compare différente entité Ex : est-ce que Mathieu à chaque fois qu'il regarde un concert de Blackpink est toujours pareil Constance - on compare à la même entité ***Si ça arrive souvent la constance est élevé ***Si ça n'arrive pas beaucoup la constance est faible 26 **S'il nous manque des informations pour examiner l'une ou l'autre des trois dimensions, nous comblons les vides par des inférence** ***Si on comble le vide par des informations imaginaires, il y a de plus grandes chances de faire des erreurs*** **À VERIFIER AVEC LA PROF** THÉORIE DE LA COVARIATION (Kelley, 1967) Pourquoi la personne a fait-elle chose?? Attribution  À la personne. - Si le consensus est faible. si la personne est la seule à faire ça cela veux dire que la cause vient d'elle (de la personne d'elle-même) - Autrement dit, la personne est la seule à faire ce comportement.  À l’entité. - Si la distinction est élevée. - Autrement dit, la personne a un comportement particulier avec cette entité.  Aux circonstances. - Si la constance est faible. - Autrement dit, la personne a un comportement différent maintenant avec cette entité.  À plus d’un de ces facteurs. 27 **À VERIFIER AVEC LA PROF** ***TABLEU PAGE 25 (TEXTE 7) ET PAGE 30 (TEXTE 8)*** EXEMPLE AVEC LES DIFFÉRENTES POSSIBILITÉS « Pourquoi Martin s’endort-il au cours de maths? » Consensus Consensus élevé Consensus faible Beaucoup d’étudiants s’endorment à ce cours Personne ne s’endort à ce cours Distinction Distinction élevée Distinction faible Distinction élevée Distinction faible Martin ne s’endort à aucun autre Martin s’endort à plusieurs autres Martin ne s’endort à aucun autre Martin s’endort à plusieurs autres cours cours cours cours Constance Constance Constance Constance Constance Constance Constance Constance Constance élevée faible élevée faible élevée faible élevée faible Martin s’endort Martin ne Martin s’endort Martin ne Martin s’endort Martin ne Martin s’endort Martin ne à presque s’endort à presque s’endort à presque s’endort à presque s’endort chaque cours presque jamais chaque cours presque jamais chaque cours presque jamais chaque cours presque jamais de maths au cours de de maths au cours de de maths au cours de de maths au cours de maths maths maths maths Attribution Attribution à Attribution à Attribution Attribution aux Attribution à la Attribution à la Attribution à la Attribution à la l’entité l’entité et aux ambiguë circonstances personne et à personne, à personne personne et aux circonstances l’entité l’entité et aux circonstances circonstances Conclusion Le cours est Le cours traite On ne peut rien Il fait très chaud Martin est Le cours est Martin souffre La panne du possible soporifique une matière conclure ce jour-là paresseux et le compliqué et la de narcolepsie système complexe et il cours est plutôt panne du d’aération a tôt fait très chaud ardu système d’aéra- fait d’assoupir dans la salle de tion ne fait rien Martin qui était cours ce jour-là pour arranger déjà peu motivé les choses 28 EXERCICE SUR LA THÉORIE DE LA COVARIATION Vous êtes au restaurant en train de manger en compagnie de votre bien-aimé(e). À l’autre bout du restaurant, un client engueule un des serveurs. Vous vous demandez pourquoi le client engueule ce serveur. Quand l'entité est une personne on doit retourner souvent à la question de base Qui est l’acteur observé? Le client Quelle est l’entité? Le serveur Le consensus est élevé donc il est Le serveur se fait engueuler aussi Consensus impossible de faire une attribution parce que la cause ne vient pas de se client. par les autres clients. Élevé Attribution Le client n’engueule aucun autre Distinction À l'entité serveur. Élevée Le client engueule ce serveur à Constance chaque fois qu’il le rencontre. Élevée Interprétation possible? Le serveur est incompétent, le serveur est désagréable, le serveur est nouveau dans le métier L'interprétions doit tenir compte de l'entité (donc le serveur) 29 On utilise des raccourcis mentaux qui est une stratégie qui nous permet de poser un jugement rapide qui est très efficace APPROCHE PRAGMATIQUE Approche pragmatique Cette approche stipule que, le plus souvent, nous raisonnons en utilisant des raccourcis mentaux. Ceux-ci sont des stratégies cognitives qui nous permettent de porter des jugements plus rapidement et avec moins d’efforts cognitifs. Il existe plusieurs raccourcis mentaux Ex : sortir dehors, demandé au voisins, voir les Théorie de l’économie cognitive nouvelles de ce soir Mais on ce concentre sur certains informations qui pourrait validé notre attribution au lieu de (Hansen, 1980, 1985) prendre toute les informations possible Il arrive un évènement et on prend **PRÉSENT APRÈS L'ATTRIBUTION** une attribution qu'on pense qui pourrai être possible au lieux de Recherche d’indices prendre plusieurs attribution. confirmatifs Identification d’une Événement cause plausible **TOUJOURS AVANT L'ATTRIBUTION** Ex : je suis dans le salon est j'entends un bruit je Présence d’un lien regarde par la fenêtres et je vois un accident, je me dit que la cause de cet accident c'est parce que le de cause à effet conducteur n'a pas fait son arrêt Nous aide à nous donner une idée de cause possible  Cependant, l’utilisation de raccourcis mentaux augmente le risque d’erreurs. Pas le choix de le faire puisqu'on a pas beaucoup de temps pour faire une analyse détaillé On se réfère aux informations déjà présent 30 Un jugement rapide = aucune stratégie, aucune analyse APPROCHE DU TRAITEMENT DE L’INFORMATION Approche du traitement de l’information Cette approche stipule que nos attributions sont affectées par notre façon de mémoriser et de traiter les informations. Elle s’intéresse, entre autres, aux processus de l’attention, l’acquisition, l’emmagasinage, la récupération, la catégorisation, etc. … Cette approche sera présentée plus en détail dans le cours sur les « cognitions sociales ». 31 5 THÉORIES ATTRIBUTIONNELLES Les chercheurs qui se sont intéressé ce qui se passe après les attribution Ex ; un jeune garçon a échoué pour la première fois, son examen de math, malgré avoir étudié plusieurs heures. Cause externe - incontrôlable et instable **À VOIR AVEC LA PROF** THÉORIE DE LA MOTIVATION À L’ACCOMPLISSEMENT (Weiner, 1985) Événement 3 dimensions Important de se mettre sur le point de la personne que la personne à vécu Lieu de causalité Dimensions Attribution Contrôle Il va faire un attribution (ex : pourquoi j'ai échoué causales mon examen) Stabilité Conséquences cognitives et Lieu de causalité : Interne - la cause c'est moi affectives Externe - la cause vient de l'extérieur (pas moi) Contrôle : Contrôlable - je peux contrôlé la situation Incontrôlable - je ne peux pas contrôlé la situation Motivation Stabilité : résultante Stable - c'est toujours comme ça Instable - c'est la première fois 33 **À VOIR AVEC LA PROF** THÉORIE DE LA MOTIVATION À L’ACCOMPLISSEMENT (Weiner, 1985) Conséquences cognitives On se base sur la dimension de stabilité Ex : une personne qui réussi toujours ses examens, aura des attentes positives pour ces prochains examens, parce qu'elle sait qu'elle va les réussir est-ce que ça m'arrive souvent, régulièrement?? Succès Cause stable Attentes positives ↑ de la motivation Échec Cause stable Attentes négatives ↓ de la motivation Ex : une personne qui échoue toujours ses examens, aura des attentes négatifs pour ces prochains examens, parce qu'elle sait qu'elle va les échouer Conséquences affectives On se base sur les dimensions de lieu de causalité et de contrôle Est-ce que la personne perçoit qu'elle aurait pu contrôler quelque chose Cause interne Fierté et ↑ de Succès (contrôlable ou non) sentiment de fierté puisque c'est valorisant l’estime de soi ↑ de la motivation Cause interne et c'est de ma faute et je sais que j'aurais Échec pu faire mieux Culpabilité ↑ de la motivation ex : j'ai échoué parce que je n'ai pas bien étudié contrôlable Cause interne et Honte et ↓ de ↓ de la motivation incontrôlable l’estime de soi c'est de ma faute et je ne peux rien y faire 34 plus tendance à avoir une motivation positive, le sentiment de culpabilité aide à créée une motivation positive parce que la personne sait qu'elle peut contrôler la situation et qu'elle en est capable Deuxième théorie attributionnelle THÉORIE DE LA RÉSIGNATION ACQUISE (Seligman, 1967) Étude de Seligman et Maier (1967) Trois groupes de chiens : Groupe 1 : chocs évitables (contrôlables) Groupe 2 : chocs inévitables (incontrôlables) Groupe 3 : pas de chocs (groupe contrôle) Phase 1 Phase 2 Dans cette Dans cette phase il phase il avait les avait le groupe 1 et 3 groupes groupe 2 Les chiens étaient attaché et recevaient des chocs, mais on avait appris aux chiens du groupe 1 comment agir et s'enfuir, les chiens dans le première groupe voyaient la lumière et savaient qu'un choc allait s'en venir donc ils s'en sortaient. Tandis que les chiens du groupes 2 on les avaient pas appris comment s'en sortir et éviter le choc. 35 Après 64 jours, dans la cage il y a un planché et peut être électrifié mais seulement la moitié et 1 et 3 se sont mis à sauter pour être de l'autre coté du mur Quand la lumière s'allumait les chiens comprenaient que le Les chiens du groupe 2 ils ont appris a se resigner, chocs électrique aller s'en venir ils ont rapidement appris qu'il même lorsque dans la phase 2 il avaient la possibilité faut être de l'autre coté pour ne pas reçoive les chocs électrique de s'enfuir, il ne fessaient pas d'efforts pour se sauver. Tandis que les chiens du groupe 2 restaient sur place, ils ne cherchaient pas à faire d'effort pour s'en sortir. THÉORIE DE LA RÉSIGNATION ACQUISE (Seligman, 1967) Résignation acquise On apprends se résigner ***DÉFINITION IMPORTANTE*** État psychologique qui résulte de la venue fréquente d’événements désagréables perçus comme incontrôlables par la personne qui les vit, et menant à des états émotionnels, cognitifs et motivationnels déficitaires.  On l’appelle aussi résignation apprise, impuissance acquise ou apprise, incapacité acquise ou apprise.  Conséquences observables : auto-attributions négatives, tristesse, passivité, apathie, inhibition, etc. apathie - ne ressent plus de l'émotion La personne résignant au niveau émotionnel la personne va moins exprimer ces émotions avec le temps, elle ressent un vide (ex : violences conjugales la personne se laisse faire et ressent le vide c'est un mécanisme de protection) Au niveau motivationnels - la personne se laisse faire, elle n'a plus d'énergie 36 Il existe des variations d'une personne à une autre (ex : une personne peut être dépressif pour x temps et par la suite devenir plus optimiste si sa vie va mieux) **À VOIR AVEC LA PROF** APPLICATION DE LA THÉORIE DE LA RÉSIGNATION ACQUISE AU PHÉNOMÈNE DE LA DÉPRESSION Étude de Hull et Mendolia (1991) Les personnes qui sont plus optimiste ont plus tendance à dire que c'est interne, stable et global Global - on généralisé a toute sorte Style attributionnel de situation (ex : je réussi bien en Style attributionnel tant qu'athlètes sportif mais je d’événements positifs réussi aussi à l'école, à mon d’événements positifs travail...etc. Interne Stable Global Externe Instable Spécifique Corrélation Corrélation Ex : ce n'est pas de ma faute Personne négative Personne positive optimiste avec la pessimiste avec la dépression dépression Style attributionnel Style attributionnel d’événements négatifs Plus je réfléchis comme ça d’événements négatifs moins j'ai de chance d'être en dépression À un impact sur nos symptômes dépressions Externe Instable Spécifique Spécifique - c'est seulement dans cette situation (ex : je Interne Stable Global réussi bien seulement en tant Externe - Ce n'est pas de ma faute qu'athlète sportif) 37 6 BIAIS D’ATTRIBUTION BIAIS D’ATTRIBUTION Biais d’attribution Façon de réfléchir qui manque de la cohérente Augmente le risque d'erreur Tendance à émettre des attributions qui semblent rompre avec la logique ou avec les principes théoriques usuels.  Lorsque l’attribution est faite par l’observateur : erreur d'attribution fondamentale - Erreur d’attribution fondamentale. - Biais de responsabilité injustifiée. biais de complaisance  Lorsque l’attribution est faite par l’acteur : - Biais de complaisance. - Autohandicap. **Quand on utilise un biais d'attribution ça augmente le risque d'erreur mais pas nécessairement 39 ERREUR D’ATTRIBUTION FONDAMENTALE Erreur d’attribution fondamentale qu'on fait seulement en tant qu'observateur Tendance à exagérer l’importance des facteurs dispositionnels (internes) et à sous- estimer l’influence des facteurs situationnels (externes) dans l’explication du comportement d’autrui. **Quand on utilise un biais d'attribution ça augmente le risque d'erreur mais pas nécessairement** On juge la personne pour ce qu'elle est et non selon le contexte  Ce biais peut se produire même si les causes externes sont évidentes. Pas d'efforts pour s'interroger  Explications : sur le contexte, donc augmente le risque d'erreur Peut être que cette étudiante elle prends des médicaments qui crée Quelle - Effet de saillance. de la somnolence paresseuse! Elle doit encore - Jugement rapide. avoir fait la fête L'effet de saillance - on a tendance à se concentrer sur qu'on voit le plus hier soir! L'effet de saillance - Quand on observe quelqu'un faire une action notre attention est toujours attiré par la personne et non le contexte (ex : je marches et je vois quelqu'un tombé de son vélo, ma première réaction c'est d'aller voir/se concentrer sur la personne et non le contexte) 40 Jugement rapide - quand on saute une conclusion sans avoir eu le temps de réfléchir C'est plus facile de faire des attributions dispositionnelle que de faire des attributions situationnelles En d'autres mots, c'est plus facile de faire des attribution interne que des attribution externe Attribution dispositionnelle - la cause c'est la personne c'est sa faute C'est plus facile lorsqu'on dit que la cause c'est la personne elle-même donc on se concentre sur cette personne seulement (interne) au lieux de se concerter sur le contexte et blâmer ce contexte et autres causes possibles donc se concerter sur l'externe n'est pas une Attribution situationnelles - le contexte possibilité dans le jugement rapide Les personnes se sont fait influencé par le contexte et le texte parce qu'ils ont oublier le contexte **À VOIR AVEC LA PROF** ERREUR D’ATTRIBUTION FONDAMENTALE Étude de Jones et Harris (1967) 1 groupe pour Castro - pro Castro l'auteur avait choisis cette position. 2 groupe pour Castro - l'auteur n'avait pas choisis, mais il devait écrire un texte pour Castro 3 groupe anti Castro - anti Castro l'auteur avait choisis cette postions Dans cette recherche, les chercheur son formé 4 groupes de participants, tous 4 groupe anti Castro - l'auteur n'avait pas choisis, mais il devait écrire un texte anti Castro les participant devait lire un texte qui parle du régime politique de Fidel Castro. Ces deux groupes avait soit un texte pour le régime de Castro, l'autre groupe avit un 41 **À VOIR AVEC LA PROF** LES RÉSULATS ET LA CONCLUSION******** Ignorer le contexte (celui que l'auteur étaient obligé Texte et que l' eux se sont vraiment fier à ce qu'il avait dans le texte d'écrire le texte) Les gens se sont fait influencé par le contenu du texte ERREUR D’ATTRIBUTION FONDAMENTALE Effet de saillance Ce n'est pas censé être une information importante mais une information marquante puisqu'on la remarque plus puisqu'elle tient toute notre concentration. Une information saillante est une information qui est marquante, qui attire et retient l’attention. Cette information suscite davantage des émotions et elle est plus facilement retenue. La saillance d’une information peut dépendre de certains aspects, notamment : - le contexte, dans laquelle on se trouve - le point de vue du percevant. comment les personnes sont placée?? placées par rapport à la scène?? Ce qui est le plus remarquable a plus de chances d’être utilisé pour faire l’attribution. C’est ce que nous appelons l’effet de saillance. 42 ERREUR D’ATTRIBUTION FONDAMENTALE Différence de point de vue : étude de Taylor et Fiske (1975) Quand on voit quelqu'un de face cela attire notre 1 et 2 disait que attention notamment grâces au expressions faciales, 1 2 c'était B qui était le on peut mieux voir ses émotions exprimées...etc. plus imposant Et cela a changer l'attribution des participants A 5 6 5 et 6 disait que c'était équivalent B 3 4 3 et 4 disait que c'était A 43 BIAIS DE RESPONSABILITÉ INJUSTIFIÉE Biais de responsabilité injustifiée Un observateur juge une autre personne Tendance à porter le blâme à la victime plutôt qu’à la cause réelle.  Ce biais se produit davantage si les conséquences sont graves. Ex : votre ami retourne chez lui mais il décide de pendre un autre chemin et se fait  Explications : attaquer et voler on va avoir la tendance à blâmer la victime d'avoir pris ce nouveau chemin au lieu de blâmer le criminel Rejeter la faute sur la personne/victime nous permet de nous assurer - Assurance quant à l’impossibilité Biais rétrospectif ***Le biais rétrospectif ce n'est pas un biaisai d'attribution c'est un phénomène qui explique le biais d'attribution*** que ça nous arrive. - Surcharge émotive qui nuit à la Fausse impression qu’on connaissait déjà réflexion. cause de forte émotion qu'on vie sur le coup on réfléchis moins à une information nouvelle. Ceci nous amène, - Croyance en un monde juste. entre autres, à surestimer le fait qu’un - Biais rétrospectif.parce que cette personne le mérité Ex : si cette agression s'est produit c'est événement passé aurait pu être anticipé. Ex : pourquoi tu es passé dans cette ruelle, c'est très dangereux 44 c'était sur que ça allait t'arriver On a tendance à utiliser souvent le biais de complaisance puisque c'est un mécanisme qui nous permet de nous protéger comme ça on se blâmer pas constamment (et cela évite notre estime de soi d'être affecter) BIAIS DE COMPLAISANCE Biais de complaisance Ex : J'ai toujours des bonnes notes, je suis tellement intelligente (interne), j'ai raté l'examen à cause du C’est pas de ma degré de difficulté qu'à choisis le prof (externe) faute. C’est lui qui Tendance à attribuer nos succès et bons a commencé! comportements à des facteurs dispositionnels (internes) et nos échecs et mauvais comporte- ments à des facteurs situationnels (externes).  Explications : Les deux premières explications sont les plus populaires - Pour protéger notre estime de soi. celle qu'on retrouve le plus souvent - Pour faire bonne impression aux autres. - Influence de nos attentes.arrivent lorsque quand quelqu'un échoue lorsque ce dernier pensait Biais égocentrique On retient plus ce qu'on fait réussir - Influence du biais égocentrique jumelé Biais qui amène un individu à exa- à une perception positive de soi (liés à gérer dans ses souvenirs la part qu’il la mémoire). seulement On ne veux pas pensée aux mauvais coups, les positives Les souvenirs positives reviennent plus facilement que les souvenirs négatifs puisqu'on tente de les oublier a pris dans des activités collectives. 45 Influence de nos attentes - quand on s'attend à réussir : Biais égocentrique + perception positive de soi : Ex : un jeune garçon fait du vélo pour la première et ne tombe pas quand il m'arrive des choisies à moi je retiennent plus c'est donc une réussite. les choses positive que j'ai fais que les choses Réussite (interne) - Je savais que j'allais réussir, je suis tellement négatifs intelligent. Ex : un jeune garçon fait du vélo pour la première et tombe c'est Je retiens mieux les choses positives donc un échec. que moi j'ai fais, contrairement aux Échoue (externe) - Ne correspond pas à ce qu'il pensait, donc la choses positives que les autres on fait cause est externe puisque cela ne vient pas de moi BIAIS DE COMPLAISANCE Études de Bergquist (2019) Le chercheur a demandé à des personnes de différents pays de répondre à une série de questions sur des comportements bons pour l’environnement (ex : utiliser des moyens de transport durables ou actifs, réduire sa consommation d’objets en plastique). Ensuite, les participants devaient donner leur avis sur la fréquence de ces comportements chez leurs amis, puis chez leurs concitoyens. Résultats : De manière générale, les participants se perçoivent comme étant plus respectueux de l’environnement que les autres. Ils ont des convictions exagérées quant à leur propre contribution à l’atténuation des changements climatiques. Cette perception est observée chez : - 86% des participants en Inde, - 72% des participants au Royaume-Uni, - 64% des participants aux États-Unis, - 51% des participants en Suède. 46 AUTOHANDICAP Autohandicap ***IL EST IMPORTANT DE RETENIR QUE L'EXCUSE VIENS TOUJOURS AVANT*** L'excuse on le donne avant qu'on performe et si ce n'est pas le cas dans ce cas la ce n'est pas un auto handicap Création d’une excuse toute prête en cas d’échec ou pour se valoriser davantage après un succès. L'excuse peut être soit une vrai excuse ou un mensonge cela peut être un des deux. Mais on averti toujours les autres que pour x raison il est possible que j'échoue. Ex : j'ai un examen final et je dis à mes amies que si je coule l'examen c'est parce  Deux types d’autohandicap : que je n'avais pas des notes de cours complètes et lors de mon échec je rappelle mes amies mon excuse "Je vous l'avez dit les filles que j'allais échouer mon examens à cause de mes notes de cours incomplètes". Et dans le cas contraire si j'ai réussie mon examen final je vais comme même ressortir cette excuse "hey les filles j'ai passé mon examen final même si mes notes de cours étaient incomplètes''. Cette excuse est toujours présente même dans une situation d'échec ou de réussite. - Revendiqué : revendiquer la présence d’obstacle avant de s’engager dans une La personne va dire verbalement son excuse de manière volontaire et consciente pour tâche. La personne le dit/le mentionne donc dans ce cas le geste est volontaire ainsi elle va le dire avant pour se valorisé si elle réussie, ou expliquer son échec. Avertir d'avance verbalement - Comportemental : mettre de l’avant des obstacles à sa propre réussite avant de Se manifeste seulement au niveau des comportements - quelqu'un qui à un comportement pour unique but de faire participer à une tâche. un comportement négatifs/nuisible pour échoué. Les personne qui commente ces comportements peuvent les commettre volontairement ou involontairement. Des personnes autodestructeur puisqu'ils appliquent des comportement autodestructeur  Explications : Explications qui explique le auto handicap - Pour protéger notre estime de soi. Mainternir une bonne estime de soi - Pour faire bonne impression aux autres. 47 DIFFÉRENCE ACTEUR-OBSERVATEUR Il s'agit d'un biais de complecence parce que... 1. C'est un acteur et non un observateur qui s'explique 2. Une erreur et qu'on met la faute sur quelque chose d'externe c'est un biais de complecence  Selon la porte-parole de l’arrondissement Plateau- Acteur Mont-Royal (acteur) : Porte parole - parle au nom de donc cette personnes parlait au nom des colles bleus Ici il s'agit d'un biais complecence « Ils ont évalué que c’était trop dangereux pour eux de grimper dans l’arbre. Ils ont plutôt utilisé une nacelle élévatrice, mais ça fait plus de dégâts ».  Selon un Montréalais qui habite en face du parc Erreur d'attribution fondamentale (observateur) : 1. C'est un observateur et non un acteur 2. Il a toute de suite mis la faute sur les colles Ici il s'agit d'un biais d'erreur d'attribution fondamentale bleus au lieu de ternir compte du contexte externe « C’est du travail de sans-dessein. Ils ne me feront pas croire qu’ils ne pouvaient pas faire plus attention ». 48 **TEXTE #9 PORTE SUR L'ERREUR FONDAMENTALE** ***RÉSUMÉ DU TEXTE 9*** LES AUTEURS PARLENT SUR LES DIFFÉRENCES Culture individualiste ou des culture collectives CULTURELLES INDIVUELLE ET COLLECTIVES Individualiste - culture développement de la personne ***À VERFIER LE DEFIITION DE CULTURE INDIVIUALISTE*** Collectives - valeurs fondamentales tourne autour du groupe, les liens , les relations...etc. important d'avoir des liens et de les préservent parce on est plus forts en groupe ***IMPORTANT** On trouve plus de biais d'attribution de type d'erreur fondamentales dans les cultures individualiste de manière générale DIFFÉRENCE ACTEUR-OBSERVATEUR Les deux sont se produisent à cause de l'effet de sacience  L’observateur a tendance à expliquer le comportement de l’autre par des raisons dispositionnelles.  L’acteur a tendance à expliquer son propre comportement par des raisons situationnelles. Dans la vie de tous les jours on ne se regarde pas, on remarque seulement l'extérieur, et on porte une attention sur les choses qui nous provoquent On ne vois pas comment on réagis quand on est en colère par exemple. Étude de Hansen, Kimble et Biers (2001) Mis en contexte : participants placé 2 par 2 et devait rester ensemble pendant 5 minutes, il avait un vrai participant (aussi appeler participant naïf) et un participant complique (travail avec le chercheur) et ne se connaisse pas.  Explications : - Différence de perspective. - Quantité d’informations disponibles. J'ai beaucoup plus d'informations sur moi-même (en tant qu'acteur) que sur l'autre Donc quand je me juge j'ai beaucoup plus de possibilité de nuancés 49 Les résultat ou on a demande au participant naïf d'évaluer le Conclusion pour l'acteur : Conclusion pour l'observateur : trait d'amabilité avec la personne qu'il était et s'auto évalué En tant qu'acteur on tient plus en compte du En tant qu'observateur on se fit de ce qu'on a contexte quand on s'évalue nous même. observe sur l'autre pour porter un jugement sur lui Les participants naïfs devaient évalué le participant complice dans le contexte observateur Et les même participants naïfs devaient s'évaluer eux-mêmes dans le contexte acteur 7 INTÉGRATION DE L’INFORMATION 3 théories 3 mécanisme d'intégrations différentes En d'autres mots, les chercheurs disent que notre cerveau est équiper pour faire rapidement du sens sur ce qu'on observe ou sur ce qu'on entend. APPROCHE GESTALTIQUE Théorie de la gestalt Théorie de la perception Selon cette théorie, les processus de la perception et de la représentation mentale traitent spontanément les phénomènes comme des ensembles structurés et non comme une simple addition ou juxtaposition d’éléments. Principe de base : Le tout est plus grand que la somme de ses parties. On ne pense pas les choses séparer on fait un résumé d'un tout. Ex : je vais au musée et je vois une peinture ma première réponse automatique serait de dire "oh le beau paysage" (donc résumé d'un tout) et non de décrire la couleur utilisé pour le ciel ou de décrire quel type de ligne l'artiste à utiliser pour dessiner la maison. On ne vas pas dire "quel beau ciel azur, et ces lignes horizontale sont charmantes pour mettre en valeur la maison". 51 APPROCHE GESTALTIQUE Études de Asch (1946) – Étude 1 Groupe A Groupe B Groupe C Groupe D Groupe E Intelligent Intelligent Intelligent Intelligent Intelligent Habile Habile Habile Habile Habile Travaillant Travaillant Travaillant Travaillant Travaillant Listes de traits reçues Chaleureux Froid Poli Insensible -------- par les participants Déterminé Déterminé Déterminé Déterminé Déterminé Pratique Pratique Pratique Pratique Pratique Prudent Prudent Prudent Prudent Prudent Pour chacun des traits - Généreux 91 8 56 58 55 suivants, pourcentage - Futé 65 25 30 50 49 de participants qui ont - Heureux 90 34 75 65 71 indiqué que le trait - Bon vivant 94 17 87 56 69 caractérise la personne - Fiable 94 99 95 100 96 décrite sur leur liste - Important 88 99 94 96 88 52 Des fois il y a certains traits qui influence notre perception globale APPROCHE GESTALTIQUE Études de Asch (1946) – Étude 2 La seule différence avec le groupe A et B c'est qu'ils ont la même liste de traits mais de manière inversé Groupe A Groupe B Traits positives Intelligent Envieux Traits négatifs Travaillant Entêté Listes de traits reçues Impulsif Critique Perception négative pour le groupe B par les participants Critique Impulsif Entêté Travaillant Traits négatifs Envieux Intelligent Trait positive Pour chacun des traits suivants, pourcentage de participants qui ont - Heureux 32 5 indiqué que le trait - Sens de l’humour 52 21 caractérise la personne décrite sur leur liste 53 APPROCHE GESTALTIQUE Études de Asch (1946) – Conclusions générales Interaction - une dispositions influence notre manière de d'interpréter les autres dispositions  Il y a une interaction entre les traits observés. (études 1 et 2)  Certaines caractéristiques de la cible ont un plus grand impact que d’autres dans le processus de formation d’impression. Un effet de centralité est observé. (étude 1)  L’ordre de présentation des caractéristiques influence notre perception globale. Un effet de primauté est observé. (étude 2) Effet de centralité Effet de primauté ***Importance est le mot clé dans l'effet de centralité Les informations auxquelles nous Les premières informations reçues accordons plus d’importance sont mieux retenues et elles influencent davantage le sens donné influencent le sens donné aux aux autres informations reçues. informations obtenues par la suite. 54 L'approche associationniste est différente, puisque selon les chercheur, ici il y a une évaluation de chacune des caractéristiques APPROCHE ASSOCIATIONNISTE Exemple tiré de la revue Protégez-vous 55 ***DIFFÉRENCE IMPORTANTE ENTRE LES DEUX APPROCHES*** L'approche gestalt - malgré les différentes cara

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