CM Culture Générale Séance 1 PDF

Summary

Ce document présente un cours sur la science politique, explorant l'histoire de la pensée politique depuis l'Antiquité grecque jusqu'à l'État moderne. Il introduit les concepts clés comme la démocratie, l'oligarchie, la monarchie, et l'équilibre des pouvoirs. Il examine les contributions de penseurs importants tels que Platon, Aristote, et Machiavel.

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19/09/24 CM : Culture Générale Séance1 : la science politique Introduction : En réalité la pensée politique ( science) est apparue à la période antique dans le monde grecque. Environ entre le 6/5 siècle av JC ; L’homme va se rendre compte qu’il vit dans une co...

19/09/24 CM : Culture Générale Séance1 : la science politique Introduction : En réalité la pensée politique ( science) est apparue à la période antique dans le monde grecque. Environ entre le 6/5 siècle av JC ; L’homme va se rendre compte qu’il vit dans une communauté et que il convient d’organiser cette vie en communauté. Période antique c la création de la pensée politique , c l’empire romain qui va à son tour contribué au dev de la pensée politique pour lui donner un aspect juridique. Effondrement de l’empire romain env 4s après JC , après on a un effacement complet de cette notion de politique pendant une période très longue eu durant cette période longue apparait le christianisme donc une approche spirituelle commence à apparaitre. La notion hierocratie qui est pouvoir du sacré c le sacré qui va organiser la vie des individus. Par la suite après le moyen Age on a progressivement l’idée de nation qui apparaît avec le concept de l’Etat, et la on rentre dans une approche moderne des sciences politiques avec un Etat souverain. I : les prémices de la réflexion politique : La naissance de la réflexion politique crée en Grèce au 6s avant JC , un notion important la Cité lieu ou endroit ou était organiser le pouvoir. Grace à la cité on a la création d’un civilisation et c’est ainsi que né la démocratie. A : La naissance de la démocratie Né à Athènes , à cetter période du 5 s av JC au sein de la cité et on a le 1 er modèle de regime politique créer à ce moment là. Péricles c lui qui a définit la démocratie autour de 3 principes : - L’égalité devant la loi - Une égale participation de tous aux affaires publiques - Une liberté d’opinion Des cette période la on a une forme de pouvoir la démocratie basée sur l’égalité. La Démocratie va regrouper des citoyens , c’est derniers étant considéré comme égalitaire. A cette période seul une infime partie de la pop était qualifié de citoyen ( les femmes , étranger… ) La réflexion politique émerge un auteur Herodote qualifié de père de l’histoire, dans ses travaux va identifier 3 régimes politiques possible : - La démocratie (démos = peuple / cratos = pouvoir ) - L’oligarchie ( pouv détenue par quelques une ) - La monarchie ( pouv relève d’un seul B : La réflexion philosophique incarné par Platon : Platon 5av JC ; acteur important dans la création de la démocratie dans le sens ou platon va travailler sur ce qu’il appelle la « cité idéale » Cité idéale afin que les individus formant une société ne peuvent se suffire à eux même, pour que ces derniers puissent cohabiter il faut organiser la vie en société. Selon lui chaque individu joue un rôle séparé en fonction de la place qu’il occupe mais dans l’intérêt du tout ( dans l’intérêt de l’ensemble de la société ) Selon lui pour que cela fonction ( obtenir la cité idéale ) il faut un système unifier et hiérarchiser , seul moyen d’assurer la stabilité et la continuité de la cité. Pour cela il prône 2 principes essentiels : - La communauté des biens et des femmes - L’éducation Ces 2 piliers selon lui permettent à la cité de vivre. Selon sa vision , le régime politique le plus approprié consiste en une aristocratie sophocratique c’est le gouvernement des sages ( une élite va assuré le pouvoir ) On est dans une société quasi totalitaire qui va regrouper 3 aspects : - Empêcher les divisions de la société ( régime unifier ) - Eduquer et rééduquer tout les individus - Identifier et dégager les meilleures d’entres eux On est dans le cadre d’une société anti-individualiste avec ce régime. L’idée étant la suivante :L’homme doit se fondre dans l’ordre social pour faire épanouir cette cité idéale. Donc platon considère ce régime politique comme le plus adapté Selon Platon la démocratie est critiquable car elle permet seulement d’éclairé le peuple. Il va aussi critiquer la monarchie qu’il assimile à la tyrannie. Selon lui l’aristocratie conduit à la corruption. Il considère que les 3 régimes aucun ne le satisfait pas. C : L’apport d’Aristote Va analyser le pouvoir au travers de la notion de constitution. Aristote définit le C comme « une organisation des pouvoirs dans la cité qui fixe leur mode de répartition et la nature du pouvoir souverain et de la vie propre à chaque communauté » Des cette période Aristote avait défini l’organisation du pouvoir. Il va plus loin en analysant le pouv , selon lui les constitutions peuvent être classée en fonction du nombre de gouvernant et des objectifs poursuivis. Selon lui la C n’est pas objet juridique il existe autant de C que de régime. Aristote va pouvoir analyser 3 types de C - Selon que le pouv appartient à un seul ( monarchie ) , à quelques uns ( oligarchie ) ou à tous (démocratie ) Ces 3 C recherchent à un même but ultime la satisfaction de l’intérêt général. Mais selon Aristote chacun des ces régimes peut connaitre une forme dérivée voir corrompu des lors qu’elle ne sert que l’intérêt de ce qui gouverne. En théorie chacun des régimes recherche la satisfaction de l’intérêt général cependant en pratique on peut dévier de ce but théorique pour aller vers des régimes qui servent que ceux qui gouvernent. Par conséquent on peut avoir une monarchie qui dévie en tyrannie , une oligarchie qui dévie en et la démocratie peu dévier dans une sorte démagogie , selon Aristote la démagogie de la démocratie est constable à partir du moment ou l’intérêt général ne sert que les plus pauvres. Au bout de son raisonnement Aristote va se poser la question de savoir quel est le meilleur régime politique la plus approprié et selon lui ce qui importe c’est pas la C mais c’est l’application effective de cette constitution autrement dit tout dépend de l’application de la C sur quel peuple/période la C doit s’appliquer autrement dit Aristote ne considère pas un régime plus important mais il va relier l’application effective de la C au cas d’espèce. De manière générale cependant Aristote est favorable à un gouvernement dit modérer qui ne va pas privilégié les plus riches mais qui en même temps ne va pas exclure les plus pauvres. L’objectif de ce gouv modérer est un gouv qui dure le plus longtemps possible parce que accepter par le plus grand nombre. Selon lui , c’est ce régime qu’il retient comme meilleur gouvernement. Aristote a réfléchi sur la notion de pouvoir et il dénombre 3 fonctions distinctes : - Délibérer ( prendre une décision ) sur les affaires communes - Régler tout ce qui y’a pour objet des magistrature ( régler ce qui est relatif au pouvoir exécutif ) - Rendre la justice On voit donc today l’apport significatif voir même fondamental sur ce qu’on appelle le phénomène politique autrement dit Aristote est le 1er auteur qui à dépassé l’approche moral , l’approche religieuse pour incarner une pensée politique, il base sa réflexion sur ces premières expériences de la démocratie athénienne pour analyser le régime politique. II : L’apport de Rome et du Christianisme Un auteur polybe , il va dev un principe de l’équilibre des pouv , 3 pouvoir : - Les consules - Le Senat - Le peuple Cela donne une stabilité du régime politique Ciceron lui va dev la théorie du juste milieu , avc un concept d’autorité dans la diection des affaires publiques. Une autorité basée sur une autorité moral et la vertu On a un empire romain qui se met en place synonyme de dignité impériale avc un pouvoir qui repose sur le droit autrement dit le pouv de l’empereur s’exprime/se matérialise par la loi , expression non de sa volonté mais de la justice. Cette empire romain va duré sur de nombreuses années et ce qu’il faut retenir tient au fait qu’il définir le pouvoir comme une entité distinct de la personne même qui en est titulaire autrement dit il ya une continuité du pouv de la personne qui l’occupe. Cela est possible grâce à l’apprît de la loi qui va continuer à s’appliquer alors même que les personnes qui vont l’incarne B : Le Christianisme L’origine le christianisme est apolitique et considéré comme étant révolutionnaire en effet le christianisme remet en question toutes les formes politiques passés. A ce moment la ce met en place une origine divine du pouvoir tout pouvoir étant d’’origine divine doit être respecté en tant que tel. On a une approche dans lequel le pouvoir vient de dieu mais sa matérialisation terrestre est l’affaire des hommes et donc l’église constitue une autorité morale tendant à transposé dans la cité terrestre les valeurs divines. Donc cette approche de pouv divin va perduré jusqu’à la fin du Moyen Age et progressivement des interrogations sur cette toute puissance de l’église. St Thomas D’aquin sera le 1 er à remettre en question la puissance de l’église , il dev la réflexion suivante « certes l’église doit prôner des valeurs suprêmes qui organiseront la vie en société mais sans diriger directement celle-ci » Il va donc sépare le volet spirituel et le volet intemporel. Grace à ses travaux la on a un détenteur du pouvoir qui est investi de Dieu et légitimé en tant que tel et on a cette notion de pouvoir légitime qui est introduite. Le pouvoir légitime à été assentit ( consentement des individus à ce que ce pouvoir s’exerce sur eux mêmes ). Il s’est transformé vers un pouv politique. III : La formation de l’Etat moderne A : L’apparition de la nation La nation détient un caractère territoriale c’est grâce à l’approche religieuse connue au christianisme et notamment le positionnement des évêchés que le caractère territoriale. Le territoire est le point de départ du concept de la nation, autre point de départ c’est l’appartenance d’un individu à une communauté collective. C’est au travers de la notion de martyre qu’est apparu ce sentiment d’appartenance et cette nation va se dev aux 14/15siècle notamment avc la guerre de 100 ans opposant la France et Angleterre. La nation à deux dénominateur communs : le territoire et la patrie Nation détient un caractère abstrait , elle incarne des droits/valeurs communs On va rapprocher le concept de nation au concept d’état. La nation va se matérialiser dans un état perçu comme incarnation de la nation. Au travers le concept de la nation on réinstaure le principe de la permanence du pouvoir avec un état permanent autrement dit une institution qui préexiste au détenteur du pouvoir et qui lui survit. Un roi qui est sacré son pouv qui lui a été confié par Dieu mais un pouvoir qui va être personnifié et on assiste à une sacralisation de l’Etat. A ce moment on a un monarque qui va assurer la gestion du temporel donc l’organisation de la vie en société et en parallèle on a l’église et le pape qui eux vont régner sur le domaine spirituel et ce n’est qu’après cette étape lié à l’incarnation de la nation et ce lien avc l’Etat qu’on arrive à un Etat souverain. B : L’Etat souverain Un Etat qui à le pouvoir de décidé. 15 s notion d’etat souverain en lien avec l’autorité royal qui est très forte on a une permanence de l’etat ( lever l’impot , faire guerre , rendre la jusite ) Progressivement en lien avec cete permanence de l’Etat on va voir apparaitre des indices de ce qu’est un Etat moderne 1. 1 : Machiavel : admire la république romaine ,selon lui l’Etat doit être débarrassé de toute considération morale. Il rejette toutes discussions sur les valeurs et sur les moyens avec la citation « la fin justifie les moyens ». Selon lui , la démonstration est la suivante pour gouverner les hommes , on a besoin d’un Etat ; Donc il faut que cet Etat soir le plus fort possible. Donc il va non pas rechercher le caractère divin mais il va rechercher la crainte des individus vis-à-vis de l’Etat. Il propose l’élimination par la force , par la ruse de tout ceux qui peut s’opposer à son initiative. L’objectif est certain , affermir le pouvoir de l’Etat cad de le rendre plus fort , et en assurer sa grandeur. Selon lui , cette grandeur de l’Etat permet d’en assurer sa permanence. Il exalte l’Etat , il considère l’Etat comme défenseur de l’ordre et de sa grandeur et il va introduire ce que l’on appelle le monopole de la contrainte légitime est une valeur fondamentale s’agissant de la souveraineté. Machiavel introduit le concept de monopole de la contrainte légitime ( contrainte , contrainte légitime… ) 2. Bodin est celui qui a le plus contribué à la conception de la souveraineté de l’Etat. En effet selon sa théorie l’Etat ne peut qu’exister que s’il est souverain cad si un Etat ne détient pas de pouvoir il n’existe pas. Souveraineté :un pouvoir à l’intérieur de son territoire , Un Etat qui ne reconnait aucun pouvoir supérieure ou équivalent. Cette souveraineté de l’Etat est par principe indivisible et absolue et aussi perpétuelle. La souveraineté est la puissance de donner et de casser la loi , c donc par le pouvoir de faire la loi et de l’imposer sans leur consentement à l’ensemble des sujets que la souveraineté s’exprime. Bodin apparait comme un précurseur de l’absolutisme royale. Le roi étant l’incarnation de ce pouvoir. Bodin à dev le concept juridique de la société , il va initier la conception dépersonnalisé de l’Etat avec la mise en place d’une organisation rationnelle du pouvoir. 3. Hobbes , va bc plus loin que Bodin a travers son ouvrage le Léviathan. Avc Hobbes on a l’intégration absolue voir totalitaire. Il va partir du postulat suivant l’homme vivant est en état de nature , il est dépourvu de toute sociabilité « Lh’ommz est un loup pour l’homme » et l’homme a besoin d’une société organiser pour vivre avec ses semblables. Il va dev le concept de souveraineté absolue avc une volonté commune incarné par un souverain absolu signifiant qu’il dispose d’un pouvoir illimité. On a un etat qui nait de la volonté des hommes cette état au vue de sa puissance va transcender les hommes et selon lui l’hommes n’est rien face à l’Etat et selon lui la forme de l’Etat n’importe peu, ce qui est important c’est la force du pouvoir de l’Etat et il faut que ce dernier puisse concerner tout les aspects de la vie humaine. On a une conception totalitaire de l’Etat. Cette conception totalitaire est justifié pour satisfaire le bonheur des individus , selon Hobbes les individus ont voulus/ressentis le besoin d’instaure l’Etat ; ils ont renoncer à leur individualisme et don l’Etat agit dans l’intérêt de tous et participe à la recherche du bonheur de chacun. 26/09/24 Séance 2 : La démocratie et la citoyenneté Partie 1 : La démocratie C’est un concept politique que l’on peut aborder sous un angle. Régime politique qui vz incarner un idéal lié à une plus grande participation des citoyens. Au sein de la cité que ce système politique à été créer , à l’époque la cité « c’est une approche géographique politique religieuse et économique se définissant comme une org politique d’un territoire déterminé qui va distinguer le centre urbain de sa périphérie » Forme de gouvernent qui va accorder une large participation au citoyen, au départ ce peuple ne constituait qu’une minorité du peuple qui participait au régime politique , on peut relever aujourd’hui que cette notion de démocratie fait l’objet de nombreuses critiques qui tentent de remettre en cause sa légitimée et sa crédibilité. I La définition terminologique de la notion de démocratie. Cela désigne le gouv de tous , ce gouvernement s’oppose à l’aristocratie ou la monocratie ( gouvernement d’un seul ). Cela correspond à la def d’usage qu’on connait aujourd’hui , c’est donc le pouv du peuple cad concrètement l’ensemble des citoyens statuant majoritairement. Le but est de mettre en place une autorité appelait à régir la vie collective et reposant sur l’ensemble des individus composant la collectivité. Il existe 2 formes de démocratie : - La démocratie direct dans laquelle ce sont les citoyens qui vont exerce de manière direct effective et continu le pouv politique. - La démocratie indirect dite représentative dans laquelle le rôle du peuple est restreint , il se borne à élire des représentants. Dans la genèse la démocratie était direct puis progressivement elle s’est transformé pour un mettre en place un système représentatif. C’est pour des raisons pratiques que le régime indirect a été en place de régir la vie en société. Thucydide « notre constitution est appelé démocratie parce que le pouvoir est entre les mains non d’une minorité mais du plus grand nombre » Les travaux de Rousseau , ouvrage célèbre du contrat social ( 1762) , il va dev 3 élemetns : - Que le peuple exerce le pouvoir lui-même ( démocratie direct ) - Que cette démocratie est la volonté général ( décision unanime collective par la délibération ) - Admet que pour des grands ensembles on puisse recourir à la représentation du peuple ( mandat impératif avc un droit de révocation des élus ) Montesquieu « lroque que dans la république le peuple en corps à la souveraine puissance c,’est une démocratie , lorsque la souverzaine puissante est entre les mains du peuple cela s’appelle une aristocratie » Aujourd’hui l’ensembke des régimes démocratiques se traduisent par un régime de représentation avec la volonté d’afficher le peuple comme élément central. A. La genèse de la Démocratie 5e sielce avc JC à Athènes , mise en place de la démocratie direct , les citoyens participent à l’assemblé du peuple et peuvent y prendre la parole , ils décident ensemble des affaires les plus général de la cité. La notion d’égalité entre chaque citoyen La notion de liberté d’expression égal devant l’assemblé Ce régime a duré pendant prés de 2siècle , et au fil du temps on a retrouvé certaine traduction de cette démocratie direct , notamment chez les peuples germaniques masi aussi au sein des royautés mérovingiennes et carolingiennes entre 500/1000 , on avait le peuple qui participait aux affaires publiques notamment au travers du malus qui était le tribunal de droit commun du système judiciaire mérovingien. Les hommes libres étaient réunis par le roi ou un représentant du roi , pour rendre la justice en lien avec la coutume. Dans le même temps , des assemblés populaires se mettent en place et à partir du XIsiecle , le mouvement communal se développe en France , en Suiise , Italie et on a une sorte de pacte au travers d’un charte communant avec des habitants qui vont prêter serments et en contrepartie ils obtiennent certaines libertés et une autonomie politique. B. Le rapprochement entre démocratie et la notion de représentation On peut situer ce rapprochement au Moyen Age , avec ce qu’on appelait les assemblés populaires qui vont se dév en europe. Il s’agit d’assemble représentatie , élue par le peuple et convoquer par le roi. Au 14s les états généraux appairaissent avc une réprésentation des 3 ordres ( noblesse , clergé et le tiers état ). Une prise de conscience a lieux selon laquelle le peuple pour peser dans la vie politique , va penser qu’il peut être bon d’envisager des représentants du peuple pour parle en leur nom. C’est véritablement au moment de la révo francaise que la souveraineté nationale apparait et que la démocratie réprésentative est adopté. Sieyes qui a conceptualisé cette notion de souveraineté et cette théorie de la souveraineté national a été remise l’art 6 de la DDHC » tout personne a le droit de prendre part à la direction des affaires publiques de son pays , soit directement soit par l’intermédiaire de représentants choisi » Des citoyens donne mandat à quelque uns par le vote pour exerce le pouvoir en leur nom et place.Dans ce la cas les citoyens n’exercent plus le po et par conséquent seul les représentants des citoyens participent au processus de décision. Aucune responsabilités n’est exercés directement par les citoyens. S’agissant de la théorie de Sieyes : -1er aspect , la souveraineté ne peut appartenir au roi , selon lui la nation peut prétendre à être souveraine et cette nation et nécessaire au gouvernent de l’état. Il considéré que le pouv doit être confier à certains citoyens désignaient par leurs pères. 2ème aspect , selon la représentation ne peut porter sur un pouvoir total , en effet le pouvoir doit etre identifier , il convient de délimiter la plénitude des pouvoirs exercer et selon lui les représentants ne peuvent d’agir que dans un pouvoir nécessaire au maintient du bon ordre. Par la suitr après la rev française , on va citer un nombre de régime politique. La 1er république instaure une démocratie direct participative fondé sur le suffrage universel masculin. 1793 constitution , elle met en place la souveraineté du peuple « chaque section du souverain assemblé doit jouir du droit d’exprimer sa volonté avec une entière liberté ». Plusieurs régimes politique vont se succéder avc le Directoire qui va mettre en place une démocratie représentative censitaire. On a un abandon définitif de la démocratie direct pour 3 raisons : - La démocratie ne peut s’exercer si les citoyens ne sont pas éloigner les uns des autres et qui ne soit pas trop nombreux. - Le constat d’une mise en place d’un régime instable et ingouvernable. - La question de la capité des citoyens à participer directement au gouvernement ( capacité physique , temps , intellectuelle ) Pour toute ces raisons la démocratie direct est apparu comme un idéal car irréalisable. II. L’approche moderne de la démocratie C’est la démocratie représentative, dans les pays démocratiques on retrouve cette représentions et au travers de cette représentation plusieurs raisons explique ce choix - Impossibilité de mettre en œuvre la démocratie direct - Benjamin Constant : évoque que si les citoyens désignent des représentants pour gérer les affaires publiques et bien cela permet aux individus d’être libre pour leur occupation privé , il dit que le système représentatif est une procuration donné à un certain nombre passe la masse du peuple, qui veut que ces intérêts soir défendus et qui néanmoins n’a pas le temps de les défendre lui-même. - La représentation permet aussi à ce que des groupes d’intérêts ne viennent pas menacer le droit des minorités. - Cetter représentation contribue à la formation de la volonté général et sur le plan institutionnel , il appartient au Parlement d’être l’illustration même de la notion de souveraineté. Deux éléments constitutif sont à prendre en compte : - un la question de la représentation des citoyens et - deux la question de la participation. Et c’est au travers de ces deux critères cumulatif qu’on pourra apprécier ou non la notion de démocratie représentative. Un éléments à retenir , le sociolgue Bernard Manin s’est posé la question pertiente qui est la suivante ; est ce qu’ine démocratie participative est-elle démocratique ? Il a définit 4 critères prédéterminent : - il faut élection des gouvernants à échéance régulière afin de rendre compte aux électeurs - La nécessité d’avoir une indépendance des gouvernants par rapport à leurs électeurs - Une liberté d’opinion pour les citoyens - La nécessité d’avoir une sorte discussion dans la prise de décision. Si on a 4 éléments est bien on peut affirmer que le régime représentatif est démocratique. Partie 2 : La citoyenneté Elle connait une construction historique avec des traductions pratiques qui ont différé à traves le temps. Ce qui est sur c’est que la citoyenneté définit l’insertion de l’individu dans la société. D’un pov juridique , elle correspond au lien entre un individu et la communauté politique. On a une approche multiples de cette notion , elle trouve son fondement dans l’histoire mais elle détient une approche multiple de part sa nature en effet on peut parle d’un citoyenneté juridique , citoyenneté politique , citoyenneté sociologique/philosophique ( fondé sur des valeurs et avc des droits et devoir lies à la personne humaine ) et progressivement on est passé d’une citoyenneté purement politique à une citoyenneté social. La citoynneté évolue en même temps que le cadre politique dans laquelle elle existe. Elle constitue un ensemble de droit et devoir permettant de participer à la vie social de l’état. 1 :Une double approche historique de l’antiquité à la période révolutionnaire A : les prémices du concept de citoyenneté Citoyenneté vient du latin civitas et on appelle cela à cette époque le droit cité , ce sont des individus qui peuvent participer à la vie de la cité. A ce moment la , un citoyen va se définir selon son appartenance à la cité et ce qui va se matérialiser réside dans le droit de participer directement/indirectement à l’exercice du pouvoir politique. 1° : L’exemple athénien Une démocratie qui est né à la période antique grecque en lien avec la démocrate. Le terme grec polytéia qui corresponns à la communauté des citoyens et les règles constitutives de cette communauté. On va retrouver la polis qui va organiser la communauté des citoyens en Constitutuion. On peut dire que ce sont les grecs inventent le politique avec le principe d’un Etat de droit et notamment les valeurs de liberté et d’égalité qui sont le fondement de la pensée démocratique moderne. A Athènes au 5s avant JC seul les citoyens participent à la vie politique qui est considéré notamment par Aristote , c’est la seule digne de L’Homme. Aristote va plus loin s’agissant de cette activité et va définir la cité comme un ensemble donné de citoyen dans lequel chaque citoyen se définit par la participation à une fonction judiciaire et à une magistrature. Aristote considère que le citoyen a des droits : - Il peut participer à une act éco en possédant des terres - Il peut participer à l’exercice des droit civiques, - Il a également des devoirs : le fait de réaliser le service militaire de 2ans , contribuer aux dépenses publiques , participer activement ai goouverneem de la cité. Les citoyens vont se retrouver sur l’agora dans lequel les citoynes vont se retrouver et chacun pourra prendre la parole et donc des milliers de citoyens se retrouvent et décidnent ensemble aux affaires les plus générales de la cité. Cette décision se fait a la majorité simple. On a des taches du gouv répartis entre grans nombre de personnes , on a une notion de tirage au sor qui s’effectue entre les citoynes qui seront missioner au sein du gouvernement. On a des citoynes qui sont libres et égaux devant la loi dans une société démocratique. Socrate avait été condamné à mort et avit refuse de fuir car il apparatenait à la cité. 2° L’exemple romain Dans la rome républicaine , on a une citoyenneté qui est plus d’ordre juridique tout d’abord nous avons une société qui n’est pas démocratique mais oligarchique. A cette période la , par contre nous avons une citoyennneté qui s’étend. En effet , la qualité de citoyen est reconnu à un nombre toujours plus important de personnes. A ce moment la , Rome va chercher à ce qu’il y ait une extension des citoyens , mais avec un rôle beaucoup moins d’actif et d’autre part on va avoir un exercice de la citoyenneté qui est réduit au respect de la loi et non plus à une participation active à la vie de la communauté. Le citoyenneté romaine , se définit par le droit. Le citoyen va disposer de droit public comme le droit de vote, d’être élu et de droit civil comme le droit de posséder ou de faire un testament. Avec cette conception qui est réduit , cela va permettre à l’empire romain de faire grossir le nombre de citoyens. On va voit le droit de la cité qui comporte 6 libertés : - Le droit de vote - Être éligible aux magistratures - Servir dans une légion - Faire appel après une sentence d’un magistrat - Posséder acquérir ou transmettre par testament - Contracter un mariage Le citoyen romain doit respecter un certains nombres de devoirs : - Être digne notamment s’agissant de la vertu civique ( maitrise de soi , l’esprit de sacrifice…) - Il doit répondre à un triptyque : vertus( accomplissement d’un service militaire de 10ans ) piétas ( payer l’impôt ) et fides ( l’évergétisme = c’est le fait de faire profiter sa richesse personnel à la communauté ) On va avoir d’un coté une aristocratique politique qui va dominer la communauté et qui va tendre à être héréditaire et de l’autre le plèbe par le voie des tribuns qui va élever une contestation face à l’aristocratie. Assez rapidement cette république romaine va laisser place à l’empire romain avec une citoyenneté qui va de moins en moins s’exercer. 3° Le constat d’une remise en question de la notion de citoyenneté. Durant la période impériale la citoyenneté s’étend mais cela à pour conséquence de faire perdre de sa substance le concept même , en réalité la situation est la suivante , on a tj des individus qualifier de citoyens mais pas forcement des citoyen en tant qu’homme libre jouissant de droit au sein de la cité. Au contraire l’individu citoyen est difficilement identifiable aussi sein d’une masse d’individu et on ne va garder que le statut civil du citoyen. Les citoyens deviennent spectateurs de la vie publique et seule une minoirté aristocratique/oligarchique va exercer de manière effective un rôle politique. Les citoyens perdent tout rôle politiqie au détriment des aristocrates et des oligarques. Avec la chute de l’empire romain , la citoyenneté disparait. On passe du civitas à l’impérium qui est la domination du groupe par un chef et la citoyenneté disparait. Par la suite avec le système féodal et la propensension du christianisme , le citoyen disparait et devient un sujet. On part pour un millénaire durant la citoyenneté va s’éclipser , pour revenir de manière progressive à la période révolutionnaire. B : La période révolutionnaire : les fondements de la notion de citoyenneté La citoyennneté revient dans le débat avec la conception révolutionnaire s’inspirent des idées des lumières avec 2 auteurs : - Rousseau , le contrat social - Montesquieu , l’esprit des lois Travaux qui vont permettre de faire émerger des contres pouvoir à l’absolutisme avec l’affirmation de la volonté général. Cela prépare la notion de citoyen dans une acceptation moderne , cette citoyenneté s’effectuera dans le cadre des états nations avec l’avènement de la DDHC. La DDHC 1789 ne distingue le citoyen de l’homme en revanche la C° du 24 juin 1793 énonce « que le peuple souverain est l’universalité des citoyens français » Au travers de ces deux textes on va incorporer à l’idée de citoyenneté la notion de pacte social. Avec Rousseau avc le contrat social « chacun de nous met en commun sa personne et toute sa puissance sous la suprême direction de la volonté général et nous recevons encore chaque membre comme partie indivisible du tout » L’idée directrice on remet au centre du débat l’individu au sein de la société. C. La conception moderne Deux grandes idées qui constituent une rupture avc l’antiquité - La notion de représentation avec la possibilité aux citoyens de déléguer le pouvoir à des représentants. D’une part des institutions nationales avec les parlementaires. Au niveau local avec les élections départementales , régionales. - Le droit de chaque citoyen à exercer concrètement ses droits , c’est une énumération de droit et de liberté fondamentale qui sont consentis à chaque citoyen. On a une extension de la notion de citoyenneté avec une augmentation des attributions laisser aux citoyens. La citoyenneté est déterminé par la nationalité , la C° de 1958 indique que seul sont électeurs les nationaux français des deux sexes jouissant de leurs droit civils et politiques. En réalité de la citoyenneté instaure l’idée du semblable avec 3 aspects : - L’isonomia ( égalité devant la loi ) - L’isegoria ( l’égal participation aux affaires ) - L’isocratia ( l’égal participation aux pouvoirs ) La citoyenneté moderne revêt de multiples aspects en plus d’un statut juridique en plus d’une approche social il y’a aussi une dimension civique qui doit être appréhender afin de qualifier le citoyen. 10/3/24 Séance 3 : L’autoritarisme Au sens à large , c la capacité à se faire obéir donc logiquement on ne va rapprocher régime politique. On parle de celui qui va être autoritaire et celui qui va subir l’autorité. Rapprochement enter notion d’autorité et la notion de système politique. Dans la relation gouvernant/gouverné des régimes politiques vont être plus/moins intensifs dans cette approche d’autorité. Il ya des société dans lequel des régimes politiques vont s’appliquer et à l’inverse , il y’a un certain nombre de régime politique qui présente qu’une autorité relative. En ce sens , un certain nombre de gouverné bénéficie d’un attitude de liberté laissé par celles et ceux qui gouvernent. C’est une pensée politique qui affirme la prééminence absolue des gouvernants sur les gouvernés. De plus il convient de relever que cette prééminence ne saurait être légitiment remise en cause en raison d’un supériorité intrinsèque. Ces 2 éléments sont la base d’un régime autorité en effet la seule prééminence du pouvoir sur le reste de la pop ne suffit pas. A aucun moment il est possible de remettre en cause cette supériorité des gouvernements. L’autorité est intangible et transcendantes et on est dans une approche suprême du système d’organisation politique. Système inégalitaire entre les gouvernants et les gouvernés. Aucune critique ne peut être émise à l’égard du pouvoir et ce système sans un cadre de contrainte imposé. Une approche dogmatique aux idées , actes ainsi qu’aux détenteurs de l’autorité. Les régimes autoritaires ont pour caractéristiques de n’n’envisager aucune remise en cause. Ils ont pour aspects fondamental : - Une société inégalitaire - Une coercitive ( pouv qui utlise la force publique I. Les fondements Guy Hemet définit le concept d’autoritarisme comme un régime de pouv d’état concentré dans les mains d’individu/groupes qui se préoccupe avant toute chose de soustraire le sort politique au aléa d’un jeu concurrentiel qui ne contrôlerait pas de bout en bout. On voit que le système autoritaire régit tout le domaine lié à la désignation et l’exercice du mode de pouvoir. Cela repose de manière permanente sur la force plus que sur la persuasion. Selon lui le mode de recrutement est basé sur la cooptation à la diff de la concu électorale. L’objectif est de viser à légitimé le système politique tout en s’assurant de l’apati des masses. On voit donc que ce système politique détient ses propres caractéristiques et que la volonté est de concentré tout les pouvoir au main d’une/plusieurs personne sans qu’une quelconque remise en cause ne soit possible. - Paul valéry « si l’état est fort , il nous écrase , si l’état est faible nous périssons » paradoxe entre d’un cote un régime politique tellement puissant que ce dernier oppresse la population. A l’inverse si nous avons un régime politique qui est trop faible , trop absent cela ne va pas forcement dire que la pop s’y retrouvera => conséquence de désorganiser la société. Tout est une question d’équilibre en effet le propre de l’état est de réguler la vie en société et donc tout déséquilibre peut entrainer des disfonctionnement voire même des dérives. Il existe différents types de régimes autoritaires , ils sont autant de niveau d’intensité du caractère autoritaire. 3 éléments caractérise l’autoritarisme : - L’absence de concurrence véritable pour la sélection des dirigeants , c’est la cooptation le mode de sélection retenu , la plus part du temps la prise de pouvoir se fait par un coup d’état , d’une révolution , guerre. Il y’a une sorte d’auto-sélectionne s’effectue. Une fois au commande les dirigeants des régimes autoritaire s’efforcent de se maintenir en place le plus longtemps possible. Des l’arrivé au pouvoir on neutralise toute possibilité d’alternance et il est important de relever que un certains nombre de régimes autoritaire présente les caractéristiques d’un régime démocratique. Les régimes autoritaires mettent en place un système d’élection mais ces élections sont réalisés sans aucunes menaces pour les dirigeants en place. - Le contrôle des institutions politiques , un/plusieurs gouvernants puissent rester en place il faut absolument contrôle les institutions politiques , donc les systèmes politiques autoritaires sont associés à des actes de meurtres , tortures, disparation des potentiels opposants. On assiste donc à ce qu’on l’appelle à un verrouillage institutionnel permettant d’empêcher toute remise en cause de le présence au pouvoir , pour empêcher cette remise en cause de multiples instruments répressifs existent on a deux formes de coercition principales : une répression violente prenant la forme de violation de l’intégrité physique. Interdiction de toutes actions collectives. Une suspension des droits civiques ou bien la suppression des instances parlementaire. Que l’on soit dans le cas de répression violentes ou bien de mesures restrictives il s’agit de moyen visant à réduire les menaces politiques qu’elles émanes des concurrents ou des groupes d’oppositions. - Le constat d’un dépolitisation : d’un pouvoir intrinsèque l’autoritarisme supprime le fait politique , par contre il n’a pas d’impact sur l’autonomie de la société. On assiste à une suppression du pluralisme politique mais on va concéder un pluralisme social et écologique. Les régimes autoritaires ne projettent pas d’effacer tout clivage entre politique et le social et de fusionner l’état et la société on a un appareil d’état qui lui pour le coup est totalement verrouillé, on a en parallèle la société ou les individus qui vivent ensemble. En pratique les gouvernants contrôle le système politique , les institutions mais ils peuvent tolérer l’existence de sphère social relativement libre en matière économique , religieuse , scientifique ou artistique. On a un pluralisme sociale , qui se met en place et une répression qui va s’opérer, tout en surveillant étroitement les adversaires déclarés. Ces régimes autoritaire classiqies ne présentent pas une idéologie structuré , ce n’est pas des régimes politiques qui se projettent dans l’avenir. On a pas une idéologie d’ensemble avec une idéologie qui va garde la vie de l’ensemble des citoyens. II. Les différents exemples de régimes autoritaires. La question est la suivante « est ce que si on est pas dans un régime démocratique on est dans un régime totalitaire ? Non , Face aux nombres d’exemples il n’existe pas de classification. Il existe des critères qui différencie les régimes. Un critère important est le mode d’accès au pouvoir , en effet la manière dont les dirigeants autoritaires ont été nommés donne des indices sur la teneur du régime autoritaire. Cela nous donne des indices sur le mode d’installation. Cela ne nous donne pas d’indice sur la manière d’exercer le pouvoir. Une classification des régimes autoritaires fondé sur le type de relation établie entre les dirigeants et les sociétés pour asseoir le pourvoir. On va rechercher qui gouverne et comment il gouverne , ov rechercher ce qu’on appelle la nature de la coalition au pouvoir permettant de distinguer les régimes militaires , les régimes de partis unique ou bien les dictatures personnel. 3 différents exemples existent : - La tyrannie - Le despotisme - La dictature A. La tyrannie Selon Platon le tyran est un esclave de ses passions et de ses caprices absurdes qui va imposer un règne sans limites de la servitude. Selon lui la tyrannie correspond au commandement d’un seul homme imposant une servitude généralisé. Par la suite est plus respectif il va considérer la tyrannie comme une déviation du régime monarchique en procédant à une usurpation du pouvoir conduisant le tyran à gouverner pour son seul intérêt en méprisant les lois et les coutumes. Un tel pouvoir ne peut reposer sur la contrainte. On peut avoir des exemples de tyrannie qui prennent racine sur la démagogie. On va seulement se limiter à une approche idéologique. Selon Platon et Aristote , la démocratie est une forte de tyrannie. Par la suite au Moyen-Age le terme de tyrannie dévie pour qualifier un mauvais gouvernement. Aujourd’hui c’est une notion plus rare qui ne désigne plus un régime/règne arbitraire. Dorénavant les usurpations du pouvoir ou d’obtention par la force du pouvoir sont plus dénommés des dictatures qui est un concept plus moderne mais assez flous. B. Le despotisme A l’instar de la tyrannie , le despotisme est régime qui traite des sujets en esclaves. Le despotisme une déviation des monarchies barbares plus particulières en Asie et le despotisme met en œuvre un pouvoir absolu dans lequel des êtres par nature esclaves vont se soumettre. On considère le despotisme comme une forme politique normal pour des êtres inaptes à la liberté. Despotisme dev par Montesquieu , il incarne la notion de démesure. Le despotisme constitue l’inverse d’un état de droit et d’un équilibre des pouvoirs. On va avoir un arbitraire dicté par le dirigeant sans qu’aucune limite ne lui soit imposé. Alexis de Tocqueville , comparé/rapproché le régime démocratique de ses notions des régimes autoritaires , il parle d’un despotisme législatif et d’une tyrannie de la majorité (notion antinomique ) Despotisme législatif =Parlement omni présent dans son domaine d’intervention mais qui vas s’impliquer dans des domaines totalement différents. La tyrannie de la majorité avec là un jeu démocratique avec un pluralisme politique. Deplus Tocqueville va plus loin en mentionnant le risque de toute société , le risque vers un basculement vers une société atomisé dans laquelle sera contester un immense « pouvoir tutélaire , prévoyant et doux » incarné par une nouvelle vision du despotisme qui peut basculer progressivement vers la toute puissance de le l’état totalitaire. C : La dictature Vient du latin dictatura ( ceux qui parle ) , elle a été créer au moment de la république romaine , c’est une institution/concept romain qui désignait le fait de conférer pour une période limité tout les pouvoirs à un seul dirigeants dans des situations d’urgences. La notion de dictature a évolué , le sens moderne est apparue avec la révolution française, expéricen de Robespierre et la Terreur. On a aujourd’hui une dictature qui est un régime de concentration des pouvoirs au main d’un homme , d’une assemblée ou d’un parti qu’il exerce alors sans limite , soit que la limite n’existe soit que le dirigeant ne la respecte pas et qui palie sa faible légitimité par l’exercice abusif de la force. Donc on peut citer comme ex les dictatures personnels se singularisant par un appropriation personnelle d’un individu qui va concentrer toutes les ressources du pouvoir politique et va avoir pour volonté de pérenniser son emprise 4 aspect de la dictature : - L’illégitimité du pouvoir ( citoyens ne se reconnaissent pas durablement dans se pouvoir ) - La concentration des pouvoirs ( non respect d’une séparation des pouvoirs et plus encore l’absence de réel de contrepouvoir ) - Exercice arbitraire du pouvoir ( à pour conséquence une atteinte grâce aux libertés et aux droits des citoyens ) - Une utilisation démesurée de la violence III. La dualité entre régime totalitaire et autoritaire A. Les points communs - Interdiction de tout expression publique du désaccord - Une interdiction de toute activité politique organisé - Un contrôle de la vie politique avec refus de la compétition électorale - Un contrôle total de l’appareil d’Etat , du sommet de l’état jusqu’à la base il faut assurer la pérennité. Pour les sociétés moyennement développés on a le clientélisme fondé sur la réciprocité des services rendus. On a institutionnaliser un parti unique permettant d’assurer la sélection des cadres fidèles et l’encadrement extérieure des masses par la violence physique ( la répression ) et par la violence symbolique avec la propagande On va dicter la ligne électorale par le recours à divers procéder , propagande , fausse info dans le but de légitimer. B. Les différences A la différecen du régime autoritaire , le régime totalitaire souhaite modifier en profondeur l’ensemble de la société. 3 aspects de cette modification : - La recherche d’une légitimité idéologique du projet politique , en effet le totalitarisme implique la construction d’un discours pseudo scientifique qui devient une vérité officielle et qui doit régir l’ensemble de la société ( Ratzel et la notion d’espace vital… ) - L’atomisation des individus , dans le cas du totalitarisme est bien on souhaite éliminer les particularismes socio culturels en imposant une fusion entre la société et l’état. Mettre de cote l’individu ( origine , bien être ) pour faire émerger exclusivement l’état qui n’est pas la somme des individus qui la compose mais l’image du dirigeant. Donc le totalitarisme va dev une politique de liquidation des groupes identitaires aussi bien que physique que symbolique. - Mobilisation idéologique , en effet on a avec le totalitarisme nous avons une mobilisation permanente des masses ( de la pop ) qui doit impérativement intérioriser le discours du pouvoir. Hannag Arendt « l’autorité ne repose pas sur la violence et l’arbitraire , elle présuppose que ceux qui commande et ceux qui obéissent admettent tous la liberté du commandement , ceux qui commande ont le droit de commander et leur commandement est fondé sur qls chose » En revanche il faut que cette autorité soir délimiter , l’usage de cette autorité soir encadrer avc notamment des mécanismes de contrôle et de contre pouvoir à la différence des régimes autoritaires ou il n’y aps d’encadrement de l’usage de l’auotorité. Séance 4 : Le nationalisme Double approche - Une approche iniital au 18ème siecle dans certaines sociétés - Approche global des le 20ème sielce c’est devenu un phénomène mondial C’est implications idéologique ony évolués à travers le temps et on aborde pas le nationalisme de la même manière dans le monde. I. La définition du nationalisme A. la création du nationalisme Née au moment de la période de rev française , lié au concept de nation qui lui lié au concept de liberté. Au départs le nationalisme à été pensé comme une expression de la liberté qui serait bâtit face à l’autorité de l’état ( on passe d’un individu sujet => individu citoyen ). Le nationalisme apparait comme anti-autoritaire , sur la première moitié du 19ème siècle on considère le nationalisme comme une doctrine romantique face au régime autoritaire. A sa création il est lié à la liberté et la démocratie et vient en opposition à la xénophobie. Il est considère comme populaire et unificateur , instrument de paix et de rapprochement. Le nationalisme revêt les aspects d’une conception actuel qu’est le patriotisme. B : idéologie nationaliste La nation occupe une place prépondérante , tout individu doit se soumettre à la nation et dans le même temps toute politique sera définit selon les intérêts de la nation. Le nationalisme s’oppose à l’individualisme et aussi à l’internationalisme. Auteur : Ernest Renan définit le concept de nation Selon lui , une nation est une âme , un principe spirituel , fondé sur la possession en commun d’un riche lègue de souvenir et la nation affirme la volonté de vivre ensemble. Une nation spiritualiste lié à l’esprit , la nation concept volontariste , elle rassemble ceux qui semble appartenir à cette communauté ; 3 exemples : approche restrictives de la nation - Approche allemande qui considère la nation comme une communauté de langue - Approche islamique qui considère la nation comme une communauté de religion - Pour les nazis , la nation est une communauté de race Le dénominateurs commun à ces approches est le fait que la nation repose sur une civilisation commune Malraux « ce qui fait la force d’une nation c’est la communauté des rêves » Les caractéristiques du nationalisme , on peut avoir diff aspcts qui émergent , si on regarde au sein du tiers monde , il est qualifié de révolutionnaire dans le sens ou il est l’argument à la lutte anticolonialiste , peut aussi être réactionnaire dans ce cas , ce qui est certain c’est que progressivement , il devient par nature autoritaire. En effet des lors qu’un individu se sacrifie à un concept abstrait qu’il le dépasse et auquel il est subordonné et bien on a inévitablement une approche autoritaire du nationalisme. De cette approche autoritaire on peut basculer dans une dérive qualifiée totalitaire , en effet le nazisme trouve racine dans le nationalisme et sans tomber dans cette extrémité qu’est le nazisme, le nationalisme peut induire un sentiment de racisme par ce qu’on appelle une exaltation d’un groupe restreint qui peut facilement être tenté de se définir selon des critères raciaux. On peut tomber dans une dérive selon laquelle on constate une fierté excessive d’appartenir à cette communauté et un refus de la différence et une volonté d’exclusion de tout ceux qui n’appartienne pas à la communauté. On peut rapproche le sentiment mystique du nationalisme à un autre sentiment lié au chef , les deux sont intimement liés très souvent un lien d’un côté on a une nation très puissante et un parallèle vers chef ( personnification du pouvoir ) qui illustre le principe du culte , de la force et de l’autorité. Pour assurer la grandeur de la nation on va s’appuyer sur une personne (chef ). Son idéolige comporte une vision autoritaire , elle n’induit pas automatiquement la mise en place d’un régime autoritaire mais comporte une vision autoritaire , des rapports entre l’Homme et la société. II. Le nationalisme en France Deux approche + cas particulier - Approche traditionaliste du nationalisme - Approche monarchiste - Et un cas particulier ( le gaullisme ) A. Le nationalisme traditionaliste : Maurice Barres Selon lui , 2 principe : - Principes de revanche - Principe de xénophobie La nation pour lui c’est la terre et les morts et il est dans une approche passéiste , selon laquelle une nation trouve sa force lorsqu’elle fait un retour aux traditions. Selon lui la France doit mobiliser toute son énergie pour retrouver puissance et venger sa défaite.IL faut protéger la France des étrangers. Il va rapprocher ses ambitions d’une organisation politique , il faut mettre en place un régime autoritaire doter d’une armée exemplaire. Politiquement il prône une république autoritaire et qui soit antiparlementaire ( source de désordre ) et prône le plébiscite. Pour respecter cette vision autoritaire l’armée joue un rôle clé à la fois en tant que organisation hiérarchique qui est une exemplarité et aussi une armée qui va permettre de faire respecter se sentiment d’autorité. Barres va réfuter toute idéologie contraire. B. Le nationalisme monarchiste Charles Morras , influencer l’extrême droite jusqu’en 1940. Selon lui , part d’una analyse scientifique de l’histoire et va établir le constat qui est le suivant , seule la monarchie peut bâtir la grandeur de la France. La volonté de la nation incarné par un roi , le roi n’ayant pas d’intérêt propre et bien , il va exprimer les intérêts de la nation. Selon lui aucun danger de despotisme , le monarque un seul obj la volonté de la nation. Donc il prône le retour à la monarchie mais qui soir nationaliste 4 critères de cette monarchie : - Une monarchie héréditaire veut revenir aux lois naturelles , fondé sur l’hérédité et la primauté de la famille - Une monarchie antiparlementaire , le parlement est le malheur de la France , celles et ceux qui sont titulaires d’un mandat n’agissent pas dans l’intérêts des citoyens mais se sentent tout puissant et ils agissent en fonction de leur seul intérêt. - Une monarchie autoritaire , le roi doit gouverner seul et directement , il ne doit pas avoir d’autre représentant du peuple. - Une approche décentralisé , le roi incarne la nation toute entière grâce à son autorité il peut tout à fait décentralisé sans risque pour l’unité nationale. Morras à exercé une influence très forte jusqu’à la second guerre mondial , il considére la victoire allemande comme une divine surprise , et hormis dans les milieux de la collaboration ,il a perdu toute crédibilité. C. Le gaullisme Courant de pensé politique dev par De Gaule , dominé par deux thématiques que sont : - Le nationalisme - La restauration de l’état Cette approche de la nation , une image la grandeur de la France. Cette grandeur de la France s’illustre, par un combat. L’appel du 18juin 1940 , 3 éléments de cet appel : - Lutter contre l’ennemi et libérer la France - La France retrouve une indépendance national en déterminant sa propre politique - La réunion des deux premières conditions permettra à la France de retrouver sa grandeur et son rôle dans le monde. Cette restauration de l’autorité française passe par une politique extérieure nationaliste. Des 1958 , une politique étrangère très active avec une coopération avec d’autres territoires ( colonies africaines ) , un développement de l’arme nucléaire et tout refus d’un pouvoir supranational. Deuxième approche du gaullisme , la restauration de l’état , un pouvoir fort et un état fort , il considère le régime parlementaire comme étant faible en tout cas , il cible le parlementarisme comme étant la raison du désastre de la IVrep. Le régime parlementaire conduit à un régime des partis synonyme de division et d’impuissance , si nous avons un parlement faible il faut un exécutif fort , un pouvoir politique fort qui détient les moyens de gouverner et donc on s’accroche à la notion de la nation , un homme va incarner la nation grâce a deux processus que sont le référendum et l’élection suffrage direct , on créer un lien direct entre le peuple et un homme capable d’incarner la nation. Pour De Gaule pas place au querelle partisane , il doit y avoir un rassemblement derrière le chef de l’etat au nom des intérêts nationaux. Nous avons donc un régime politique qui est fondé sur la confiance du peuple. Un pouvoir personnel , solitaire qui est assumé , qui recherche une efficacité parfois au prix de principe démocratique, c’est un pouvoir basé sur une légitimité charismatique mais attention ce régime autoritaire ne bascule pas vers un régime dictatorial. Il y’a une double vision du gaullisme :L’autorité de l’etat par l’intermédiaire de l’image d’un pouvoir autoritaire incarné par un individu providentiel mais cette autorité n’est possible que si il jouit de la confiance de la nation. III. Le rapprochement avec la notion de patriotisme On a une mutation vers le sens moderne avc l’apport de JJ Rousseau qui est le premier à émettre l’idée que ‘l’unité du peuple passe le contrat social, avant l’apport de Rousseau , on considère le peuple comme une multitude , une addition d’individu et par le contrat social , par ce contrat l’individu s’inscrit dans une collectivité unifié par les valeurs même du contrat. On a une souveraineté populaire qui se met en place , cette dernière connait des limites et la premières limité l’immatérialité du peuple. On va tenter une demonstation théorique en substituant la souveraineté populaire à la souv national. L’auteur Sieyes va dev cette transformation théorique , en effet l’etat repose sur le peuple mais par l’intermédiaire de la nation on va pouvoir matérialisé l’unité du corp social et politique. Ce principe est repris dans la DDHC de 1789, le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la nation. Ici , on va avoir une approche juridique de la nation. En effet , elle désigne tout ceux qui souscrivent au contrat social et que l’on peut identifier par le fait qu’ils bénéficient des droits énoncés par celui-ci et donc à cetté période la , on est au sorti des monarchies européennes et pendant prés d’un siècle ente la théorie de Rousseau , la nation sera entendue comme un instrument d’émancipation de libération par rapport au monarque , à la noblesse et au privilège. Le concept de nation culturelle developpé par Johan Herder qui va dev une conception objective de la nation , pour lui elle est d’abord une communauté d’homme de sang , partageant une même culture plutôt qu’une idée abstraite. La théorie des états nations , est une forme historique particulière. Premièrement des états regroupent plusieurs nations. L’etat nation est un type d’etat dont la majeure partie de la population relève d’une seule et même une nation. Dans ce cas l’état nation désigne une autorité politique qui revendique avec succès le monopole de la formation de l’identité nationale. La distinction entre l’état gendarme et l’état providence : Gosta Esping-Andersen a dev le risqué des individus cad selon lui les individus ont toujours été confronté à des risques qu’il a fallut assurer. 3 institutions peuvent assurer face à ses risques : - La famille ( principe de réciprocité ) et bien elle permet de jouer un rôle d’assureur social - Le marché économique en s 'appuyant sur un distribution fondé par l’échange - L’Etat qui peut organiser une redistribution 4 fonctions essentielles de l’etat régalien : - Assurer la sécurité extérieure par la diplomatie et l’armée - Assurer intérieure par la police - Assurer la justice au moyen des règles de droit - Faciliter les échanges en émettant une monnaie au moyen d’un BC Cette forme d’etat est à mettre en corrélation avec une forme de libéralisme. Ce libéralisme éco est assé réducteur , le postulat est le suivant , la société est essentiellement composé de producteurs. En parallèle on a des individus pauvres qui sont jugés comme étant responsable de leur situation en raison de leur imprévoyance ou de leur paresse. On considère que la sphère privée suffit à venir en aide au plus démunis. Le libéralisme économique envisage le travail comme une liberté , l’idée est que chacun avait la liberté d’accepter/ récuser le travail et l’état avait pour fonction de garantir cette liberté. On a une vision simpliste/naive d’une société régulé par l’influence du marché économique et malheureusement , ce principe ne peut être considéré que théorique dans la mesure ou le phénomène de pauvreté est apparu durable et donc , par conséquent apparait , le concept d’état providence qui est un état qui s’oppose à l’état régalien et l’état s’est construit selon 3 séquences : - Un état répond aux limites de l’état régalien en intervenant dans 2 types domaines , des politiques social voir même embryonnaire et dans le domaine du commerce - Un etat providence qui s’affirme par une intervention beaucoup plus marqué dans tous les domaines ( ex : un interventionnisme économique donc un etat qui s’imbriquer dans le domaine éco… )une implication social.L’iinstauration des systèmes sociaux , - La question sociale devient majeure dans les sociétés Rosanvallon sociologue qui a travaillé sur la crise de l’état providence et qui défend cette approche de crise de l’état providence , 3 arguments : - Crise de solvabilité - Crise d’efficacité - Crise de légitimité A travers ces 3 crises on a une véritable remise en cause de l’etat providence Séance 5 : Le fascisme 24/10/24 Ref à Mussolini en Italie , de régime politique a découlé un certains nombres de doctrines et d’autre régimes politiques. 3 éléments : - Le fondemetn du fascisme - Les manifestations ultérieure - Une expression nuancée I. Les caractères généraux de l’idéoligie fasciste A. Le rapport entre fascisme et totalitarisme Le totalitarisme est une idéologie qui nie toute autonomie à l’individu et la société , s’emploi à les supprimer autoritairement au profit d’une vision moniste du pouvoir et du monde. Le totalitarisme est une nouvelle forme de pouvoir , fondé sur le principe de la Terreur. Similitude entre le fascisme et le totalitarisme , il faut nuancé les conditions et se méfier des utilisations. B. Les spécificités de l’idéologie fasciste 6 critères : - La dénonciation des principes démocratiques , le fascisme se présente avant tout comme un rejet absolu des valeurs démocratiques et de la philosophie des lumières. Selon les fascistes la démocratie est un régime faible et décadent et la notion de libéralisme et des droits de l’homme apparaissent comme des principes fallacieux. Le fascisme apparait en contradiction avc le pluralisme politiques ,avec la compétition électorale. La seules solution est le passage à une révolution fasciste qui permettra d’imposer la force - Le culte de l’action et de la force : le postulat suivant qui est celui de l’action , on met de coté toute réflexionn , il n’existe pas de doctrine fasciste , très peu/aucune œuvre marquante. L’édicitonn de slogan dans une propagande ( ex : Mussolini en 1919 « notre doctrine c’est le fait » et Hitler en 1933 « ce qui importe ce n’est pas un programme politique c’est la volonté humaine » ) appel à l’action notamment violente dans laquelle la nation va se forger. D’un pov circonstance historique à la naissance du fascisme , un épanouissement lié à la guerre doublé à un militarisme affirmé ( L’Italie et l’Allemagne et dans les cas le fascisme trouve racine dans l’humiliation national et la défaite militaire).On a revanche avec l’identification d’un camp ennemi et un pouvoir en place qui apparait comme responsable de la défaite et de l’humiliation. On a un nationalisme exacerbé du vaincu et on a le culte de la force qui va s’instaurer afin de régénérer la nation. Le fascisme se retrouve lorsqu’il y’a une défaire militaire , état attaqué. Idéal de puissance et une volonté de domination qui va s’instaurer. - L’exaltation de l’état : Mussolini « tour dans l’état,rien en dehors de l’état rien contre l’état » On a l’idée d’un pouv total de l’etat , l’etat est tout l’individu est rien , les individus sont soumis à l’état et cette dépendance vis-à-vis de l’état s’étend dans leur vie. L’état est considéré comme un être vivant doté d’un corps d’une ame , seul détenteur de la notion de moral ( état mystique) , fortement centralisé. Le fascisme n’autorise aucune séparation de pouvoir , on ne peut pas démembrer l’état , il n’existe que de manière unique. Le rôle de l’etat et la place de l’état qui efface toute autre initiative et qui ne laisse aucune place à une autre entité. Les dirigeants vont employer la force. - La place mystique du chef : L’état est abstrait , l’incarnaiton de l’état passe par la mise en place d’un chef , le chef est mis en avant avec une approche quasi biologique , Alfed Rosembreg « le peuple est au chef ce que l’inconcience est à la conscience » et selon Hitler « le chef est le raisonneur de l’ame collective » Le peuple doit respecter 3 éléments ; croire , obéir et combattre ; le régime fascisme est à l’opposé des autres régimes politiques. Le fascisme dénonce une approche institutionnelle de l’état , il se limité à une approche mystique L’inégalité et l’anti-individualisme ; la conception fasciste est fortement inégalitaire et hiérarchisé , selon Hitler « l’histoire du monde est faire par les minorités » la démocratie égalitaire n’a pas de sens , il apparait donc que le suffrage universel est une sorte de leur , le régime parlementaire entraine une irresponsabilité et l’approche fasciste est assez binaire , d’un coté les forts qui dominent et les faibles qui obéissent. Dans cette approche inégalitaire l’individualisme est à proscrire car qui dit individualisme dit libre arbitre et cela n’est pas envisageable , en effet dans une société hiérarchisé est mis en place ne laissant aucune place à une quelconque liberté pour l’individu. Cette élite est une sorte de classe social qui détient une fonction de regroupemetn au travers de la mise en place d’un parti unique. Chaque membre obéit aux ordres de son chef. - Une haine du socialisme marxiste ; Mussolini a commencé sa carrière comme socialiste et Hitler définie son parti comme socialiste. Cependant le fascisme est anti socialiste ici on a le rejet du socialisme et la condamnation d’une approche marxiste , le marxisme c’est la lutte des classes , l’égalitarisme , le dépérissement de l’état ces principes sont antinomique de la doctrines fasciste. On a une dualité entre le fascisme et le socialisme. II. Les incarnations italiennes et allemandes. Séance 6 : le libéralisme Le terme de libéralisme est apparue en 1918 et on peut désigner Benjamin Constant comme étant le père fondateur du libéralisme. La DDHC de 1789 est de nature libérale mais on est dans une sorte de préfiguration. Le libéralisme fait ref à deux doctrines : - Une économique - Une politique Le point commun de ces deux courants de pensé repose sur la primauté de l’homme au sein de la société. Dans une approche économique , libéralisme permet de consacrer le droit de la propritété et que l’initiative privée , ne doit pas être interféré par la puissance publique et que la concession faite est ce qu’on l’appelle la régulation des marchès économiques. D’un pov du libéralisme politique , le principe est le suivant : les libértés individuelles doivent être consacréés à un tel point qu’elle soit garantit contre tout empiètement possible.Le libéralisme politique équivaut à la consécration de liberté individuelles auxquelles on ne peut porter atteinte. L’homme est au centre de la société , et dans les 2 cas nous avons un appareil étatique qui se limité à ses fonctions etentiels. Donc le libéralisme induit une limitation du pouv organiser , l’état exerce des prérogatives dans un cadre ou l’individu est considéré comme un autonome doté de liberté individuelle et notamment celui de la libre expression de ses choix de ses volontés. Dans un état dit libérale on laisse les lois naturels montré leur plénitude et on considère que chaque individu s’exprimer mettant à profit leur potentialité afin de faire dégager une notion d’intérêt général. I. La genèse du libéralisme politique Afiin d’aborde cette genèse , il convint de citer un certains nombres d’auteurs : A. L’influence de John Locke Sa théoire est la suivante : l’homme doit être prit comme à l’état de nature , il considère l’état de nature comme la situation des hommes avant la formation de la société. John Locke part de l’individu comme être humain , il le considèré comme un être raisonnable ayant pour quête , le bonheur qui constitue son but suprême. Selon lui les hommes sont libres et égaux et il va très vite considéré la propriété comme un droit naturel sans nécessité de l’établir ou le reconnaitre. Très rapidement Locke va se render compte que ce postulat de départ est largement perfectible malgré la raison de chaque individu , il se rend vite compte qu’une notion d’arbitre est nécessaire et que il faut régir l’addition de ses individus. Il va adamettre qu’une société doit se créée avec des lois, juges et avec la mise d’une politique et ses différents éléments devant servir à l’organisation de la vie en société afin de garantir la sureté le bien être , et la prospértié des individus. L’idée est d’éviter de basculer d’un etat nature vers un etat de guerre , donc il faut organiser la société. Deuxièle approche c’est un libéralisme politique basé sur la mise en place d’un pouvoir politique. Ce pouvoir polirique est fondée par un pacte par lequel les individus renoncent à une pleine autonomie au bénéfice de la société. On a la notion de pacte social permettant d’organiser les rapports sociaux. Il faut préciser que ce pouvoir politique ne détient un caractère illimité (sinon on tombe dans un régime autoritaire) et que ce pouv politique ne détient qu’un rôle d’organisation de la vie en société. « Le pouvoir de la société ne peut s’étendre au-delà du bien commun » On a un individu qui renonce à une liberté individuelle pour le transmettre à la société. 3émé aspects dév par Locke : il faur que ce pouvoir politique soit organisé Locke considér que si le pouv politique n’est pas organisé , on peut tomber dans une approche absolue du pouvoir. Et donc dans un caractére illimité du pouvoir permettant le constat de certains abus. Par cela , il faur que ce soit un caractère limité dans le fond et un pouv qui sur la forme est hiérarchique et un pouvoir structuré. Pour que ce pouvoir soit limité , il faut le diviser , à la différence d’etat autoritaire , il faur que le pouvoir ne soit pas laisser aux mains d’un seul ou de quelques-uns. Diviset le pouvoir en deux catégories : Pouvoir législatif ( pouvoir suprême ) dans la mesure ou c’est cette organe qui va établir , les règles régissant la société. Selon Locke le pouvoir législatif : « une âme qui donne forme , vie et unité à l’Etat » - Pouvoir exécutif : important car où il assure la permanence du pouvoir et il est chargé de la mise en œuvre des règles définit par le pouvoir législatif, malgré l’importance de ce pouvoir Il rajout un 3eme pouv , le judiciaire. malgré l’importance de ces pouvoirs qu’ils sont nécessaire , il ne faut pas qu’il soit qualifier de pouvoir absolue. Au travers de différents éléments , il va considéré un gouvernement plus propice que les autres , la monarchie limitée est le meilleure régime , elle permet à la fois la présence d’un personnage unique doté de prérogatives importantes détenant le pouv exécutif et en parallèle, un pouv législatif qui sera chargé de représenter les intérêts du peuple à travers le Parlement. Il précise aussi qu’il convient de séparer le temporel du spirituel , de dissocier approche religieuse de l’approche politique. Les travaux de Locke auront une influence considérable , l’un des modèles qui est le plus inspiré de sa doctrine est la monarchie limité anglaise ( Le Bill of right 1689 ) , il a même inspiré la constitution américaine de 1787. C’est le point de départ de l’idéoligie libérale qui prône à la fois une notion d’individualisme tout en considérant l’individu comme parti de la société. B. Montesquieu L’ouvrage datant de 1748 « de l’esprit des lois » Considéré comme le fondateur des sciences sociales , travailler sur des notiosn tels que la diversité , le nationalisme mais 2 élemetns sont à relever : - La théorie du gouvernement , selon lui il existe 3 types de gouvernements , républicain , monarchique et despotique et pour chacun de ses gouvernements il va distinguer la nature( fait être ) et de l’autre son principe ( fait agir ) Le gouvernement républicain est celui au sein duquel , le peuple détient la puissance souveraine ça c’est le principe du gouvernement républicain et il décliner ce modèle selon 2 approches d’un coté ou le peuple ( citoyens ) va gouverner et de l’autre ou que une parti du peuple va être associer , on a une république démocratie ( la souveraineté appartient au peuple et elle détient pour principe ce qu’on appelle la vertu , la vertu d’un pov civique correspond à faire primer l’intérêt générale sur les intérêts particuliers ) d’un coté et une république aristocratique de l’autre ( basé sur un certains nombre de personne et ici ce n’est pas la vertu mais le principe de modération qui permettre de gommer les inégalités ) Le gouvernement monarchique , lui est définit par le pouvoir d’un seul homme , qui gouverne dans le respect des lois fondamentales qu’il considère comme fixe et établit , son principe réside dans la notion d’honneur chacun est attaché au respect de sa personne et de sa condition , dans ce cas on a une double objectif : la réalisation du bien commun et la poursuite des intérêts particuliers. Le gouvernement despotique fondé sur le pouvoir d’un seul mais qui gouverne selon son bon plaisri. A la diff du gouvernement monarchique qui respectait un cadre légal , le gouvernement despotique répond à la volonté de celui qui dirige , aucun limite à l’autorité du despote aucun arret est possible , nul personne ne peut interférer le pouvoir et l’autorité. On a donc un régime basé sur la crainté qu’il inspire à ces sujets. - La notion de séparation des pouvoirs : elle a été initié par la DDHC de 1789 qui consacre en son art 16 : « toutes sociétés dans laqulle la garantie des droits n’est pas assuré ni la sépartation des pouvoirs déterminés n’a point de constitution »…voir cour léa Montesquieu va travailler sur l’éloboration politique ; il va distinguer d’un coté à faire que que l’on veut de l’autre faire ce que les lois permettent. Selon lui la liberté politique ne consiste point à faire ce que l’on veut mais le droit de faire tout ce que la loi permet. Cette liberté politique est le point de départ de tout état de droit contemporain. La liberté constitue le leitmotiv principal , c’est le bien le plus précieux selon lui , sans liberté nous n’avons ni prospérité , ni bonheur , par contre cette liberté n’est pas inée , elle doit se conquérir , ce n’est pas un acquis mais représente une sorte de lutte permanente. On a donc un fonctionnement des institutions qui importe plus que la forme du gouvernement , on va avantager le fonctionnement des institutions qui importe plus que la forme du gouvernement. La recheche d’un gouvernement modéré : Quelque soit la forme du gouvernement , il va prôner pour l’apologie d’un gouvernement modéré. Pour cela , il développe la théorie du juste milieux et il va prôner une monarchie aristocratie vertueuse et modère. On à selon Montesquieu un modèle idéal dès lors que différents pouvoirs ne sont pas concentrès. L’idée est tant de garantir un équilibre des puissances avec des contres poids , il prône pour une séparation des pouvoirs politiques qui doivent s’accompagner d’un équilibre assuré par des contres-pouvoirs. Il va considérer les corps intermédiaires comme permettant d’assurer cet équilibre. C’est l’auteur qui a le plus marqué la philosophie politique libérale et encore plus que Locke , il va orienter toute la vision des idée politiques à partir 19émé. II. La philosophie des Lumières Le siècle des lumières prennent la voix ouverte par Locke et Montesquieu , cette période est marquée par un profond renouveau de la pensé politique , bouillonne une richesse intellectuelle cherchant le triomphe de la rasion et du progrès => La philosophie des lumières Même s’il existe une diversité des théories deux points commun malgré tout : -la contestation de l’absolutisme monarchique - La nécessité de pronfonds mutations politiques 3 auteurs : Voltaire , Diderot , Rousseau A. Voltaire : En plus de son eouvre considérable d’écrit , Voltaire est une philosphe engagé , il va proposer un certain nombre de réforme concrète et immédiatement applicable que l’on peut résumer selon deux axes : - Le respect de la liberté individuelle - Le respect des droits de l’Homme Voltaire est opposé au principe d’égalité selon lui la propriété est un principe essentiel et ill faut que les classes sociales soient hiérarchisées afin d’assurer la richesse d’une nation et de garantir réellement la liberté Donc Voltaire est issu de la bourgeoisie dite éclairée , cad certes des classes sociales existent , ces classes sociales vont induire de faite des inégalités mais ces inégalité ne sont pas figées. Voltaire développe l’expression de société en mouvement permettant d’avoir des classes sociales non établis. En revanche Voltaire n’est pas très regardant s’agissant de certains type de pouvoir qui peuvent basculer les archétypes d’un despotismes éclairé. B. Diderot Marqué l’histoire politique notamment par son implication dans l’encyclopédie qui rassemble savants , philosophes. Diderot se démarque dans sa vision du libéralisme dans la meusre où , il va considérer l’économie comme priment sur la politique , en effet selon lui l’essentiel pour l’état est d’assurer la liberté économique et en matière politique la liberté réside dans la sureté à la diff des auteurs passés qui considére la liberté comme la propriété. Diderot s’inscrit dans la lignéee du courant utilatariste selon lequel le progrès technique est le fait générateurdu bonheur de l’humanité. Selon lui , les systèmes politiques doivent être en rupture avec l’absolutisme et il va condamner le despotisme et l’intolérance , le but de diderot est d’instaurer la liberté d’entreprendre. La vision de Diderot n’est révolutionnaire , selon lui le meilleure gouvernement est celui qui dure le plus long et le plus tranquillement C. Rousseau Œuvre marquante : du contrat social en 1762 et axé son étude sur la question de l’organisation social et de sa légitiité et par rapport à la liberté originel de l’homme. Se pose la question de savoir comment faire en sorte que l’hommes préserve sa liberté au sein de la société. Comme Hobbes/Locke, Rousseau va partit de l’individu à l’état de nature , autrement dit d’un individu pré éxistant à la constitution d’une société mais contrairement aux deux premiers auteurs. Pour lui l’homme est naturellement bon et vit en harmonie avc tout ce qui l’entoure, il connait pas la violence , ni la propriété il est donc libre est heureux , mais rapidement en lien avec le dev des techniques , apparait la propriété individuelle. Des lors l’inégalité s’installe et une hiérarchie s’instaure qui va conduire à la domination et à la servitude. De fait la violence et la guerre en découlent , donc un retour en arrière vers un état de nature est impossible. Donc il fait créer une nouvelle forme de société , une société plus juste et apparati à ce moment là , la notion du contrat social. Le contrat social est l’idée centrale de rousseauc c la base de la formation de la société , c’est ce contrat qui va déterminer le pasage de l’état de nature à l’état social. Cette notion de contrat social n’apparait pas avec rousseau. Le contrat est qualifié de social , il appartiat plus générale et absolue , il va unir chaque individu à la communauté « Rousseau : chaque associé s’unit à tous et ne s’unit à personne en particulier » C’est au travers de ce contrat social que la volonté général est consacré et cette volonté générale est garante de l’égalité et de la liberté , cette volonté générale n’est pas une somme des intérêts particuliers mais bien une réelle fusion des intérêts particuliers. Ce qui explique que par la nature du contrat chacun n’obeit qu’à lui-même et reste aussi libre qu’auparvant. La théorie dev par lui est celle qui est la plus brillante dans la démonstration dans la notion de libéralisme. Le contrat social va relié la notion de souveraineté : - Souveraineté est indivisible - Elle est inaliénable car émise par chacun , - la souveraineté ne peut être représenté ni scindé , elle apparait donc incompatible avec la séparation des pouvoirs - la souveraineté est absolue « Le souverain par cela seul qui l’est et toujours ce qu’il doit être » Le pouvoir au travers de l’action du souverain doit instaurer et protégre la liberté de chacun à travers la liberté de tous. Selon lui le gouvernement ne joue qu’un rôle secondaire dans la mesure ou le souverain est constitué par le peuple qui peut établir les lois. Donc dans l’absolue nous avons un gouvernement au service du peuple qui va se contenter d’appliquer les lois , il ne constitue pas un pouvoir mais seulement un simple exécutant. Pour lui le citoyen n’est pas doté de notion tel que de la vertu ou du civisme , ne sont pas innés et il faut donc formé les citoyens et cela passe don pat l’éducation. Séance 7 : Les droits de l’homme : l’émergence de nouvelles pensées politiques La DDHC est l’acte emblème de la révolution , elle a été adopté en 16 aout 1789. On parle de droit naturels et prescriptibles , en outre sont aussi consacrés différentes libertés , qui permettent de matérialiser le principe de liberté mais aussi de la garantit. 2 elments : - elle énumère un catalogue de droit et de liberté fondamental - elle revêt un caractère fondamental voir suprême qui assure une garantit de ces droits et libertés. I : Les différentes catégories des droits de l’homme Les droits de l’homme ne sont pas arrivés instantanément , on a assisté une progressivité dans la consécration de ces droits ce qui veut dire que , les droits de l’homme fondé au travers de la DDHC mais depuis , un certains nombre d’ajouts ont été effectués , ce qui veut dire que les droits de l’homme s’inscrivent dans un cheminement , parcours dans le temps. Pour illustré cette progressivité , sera utiliser le terme de génération en effet on va catégoriser les droits en génération et aujourd’hui on dénombre 3 générations de droit : A. Les droits de premières génération : Sont ceux qui ont été consacrés au départ , se sont des droits contenue dans la DDHC. Ils sont dénommés droit civil et politique. lea On retrouve bien évidemment les droits naturels et prescriptible , ils ont été pensés au nom de l’espèce humaine , pris de manière intégrale. La notion de liberté , d’égalité , la propriété , la sureté et la résistance à l’oppression. Au travers de ces droits sera aussi consacré , la reconnaissance du principe de légalité. On va conférer une portée juridique à ses principes. Cette porté juridique se traduira par le DDHC.I ls ont été intégrés au préambule de la première constitution de la France datant du 3sept 1791 B : Les droit de deuxième génération : Ces droits regroupe l’aspect économique et sociaux. On a deuxième mouvement qui début avec la constitution de 1848 qui s’accompagen de la nécessité de renforcer l’idée de liberté mais ce renforcement ne peut que passer d’une intervention de l’état qui apparait comme une nécessité pout l 'épanouissement de la liberté individuelle. On a l’amorce d’une d’une reconnaissance d’un droit au travail qui débouchera sur le préambule de la constitution de 1946. Il convient de relver que l’état va changer de posture , en effet il va passer d’un état modeste à un un état beaucoup plus présent sur une multitudes de domaine , en effet s’impliquer dans le domaine économique , social , politique. Etat modeste => etat inteventionniste , l’état au centre de toute les attentes. L’état doit agir pour permettere l’exercice des devoirs et liberté. Nous avons un état qui s’effacer au profit de l’individu. Dorénavant nous avons un état qui intervient au profit des libertés. Droit de deuxième génération : droit au travail , à l’instruction , droit d’asile , égalité entre homme femme. C : Les droits de troisième génération Ils apparaissent comme étant la conséquence de certaine évolution techniques et l’ existence de nouvelles possibilité d’atteintesau droits et libertés du à cette évolution au travers de deux aspects : - une logique individuelle , l’individu en tant que telle par exemple le refus de manipulation génétique de clonage , ou bien la violation de secret personnelle par vois informatique ou vidéo surveillance. Deuxième aspect , d’une conception collective avec des bénéficiaires de droit pris dans une démarche communautaire , on peu citer le droit à un environnement sain , le droit à la paix , tout les principes lié au réchauffement climatique, sont aujourd’huii édicte au rang de princiê et de droit fondamentaux ce qui n’était pas envisageable. Le bémole à ses droits collectiv , il relève d’avantage d’une vision prospective de la société internationale. Il existe des droits 3 génération de solidarité , ils se situent au même rang que les autres sans pour autant bénéficier d’une réelle protection juridique. Pour exister les libertés publique doivent être consacrés par la règle de droit et en l’absence de cadre juridique déterminé par la puissance publique , l’exercice de prérogative personnelle demeurent éminemment fragile et aléatoire à la merci de remise en cause potentielle permanente. Deux conditions cumulatives doivent être respectés : - L’affirmation de prérogatives de la personne - La mise en place d’un statut juridique qui en conditionne l’exercice II : l’émergence de nouvelles pensées politiques : 3 exemple de pensé politique A : l’écologie politique : Auteur : Bertran Jouvenel , donné une conférence de l’éco politique à Tokyo en 1957 , il évoque une prise conscience écologique , un esprit de responsabilité en vue d’éviter la destruction des conditions de la vie humaine. Pionnier de l’écologie politique. Le courant de pensé qui est l’écologie , milieu du 20ème siècle , un balbutiement vers la fin des années 40 et une affirmation de ce courant de pensé vers la fin des années 60. A ce moment la apparaissent les premier effet de la société de consommation , en lien avec la sensibilisation à l’environnement et une certaine prise de conscience écologique. Hanna Arendt qui à pas mal travaillé sur les dérives de la société industrielle et à ce moment là l’écologie politique va commencer à se théoriser et cette théorie va permettre d’instituer une approche culturelle qui va se formaliser à une écologie appliqué à l’espèce humaine. Cette écologique politique va constituer un mouvement social pour transformer la société. Etre intégrer la notion de génération future. Va être intégre aussi l’idée d’une société en mutation en lien avc la société industrielle et l’avénement de la société de consommation. On a une vision morale « Le monde contient bien assez pour les besoins de chacun mais pas assez pour la cupidité de tous » Ghandi. Par la suite ces questions écologiques vont être saisis par des préoccupations internationales débouchant sur le sommet de la terre qui est un programme des nations unis pour l’environnement sur l’adoption de 26 principes et un vaste plan de lutte contre la polltion. Forcer de constater que cette conscience écologique évoque un certain nombre de problématique auxquels une certaine incapacité à les résoudre sont à relever. On constate l’incapacité des dirigeants à résoudre ces questions environnementales. Cette écologie politique débouche sur une dénonciation de l’incapacité du productivisme et de l’indistrialisme à réaliser leur promesse d’épanouissement de la condition humaine en le réduisant à un enrichissement matériel croissant. « il ne s’agit plus de comprendre le monde mais de le transformer » Marx On a une mutltiplicitér d’approches écologies qui partagent malgré tout le même constat , selon lequel il y’a une urgence des problèmes auxquelles l’humanité est confrontée. Donc la nécessité de prendre en compte l’écologie dans le domaine politique donc des mouvements politiques s’approprient cette cause écologique mais ce caractérise par leurs divergences , à l’heure actuel il est constaté une incapacité à proposer un politique global susceptible de fournir une alternative crédible au système en place et à l’idéologie libérale. Le caractère protéiforme de cette écologie politique qui reste tiraillé entre différentes approches contradictoire , d’inspiration libéral pour certain , d’autre plus libertaire mais aussi social d’un coté mais autoritaire de l’autre. En tout état de cause à ce jour il apparait particulièrement difficile de définir une doctrine politique global de l’écologie politique. Le féminisme : Le moment de la renaissance , quelques écrits vont contribués les relations des sexes et la place de la femme dans la société , par la suite fin 18ème siècel , on les première revendications pouvant être considéré comme féministes avec olympe de Gouges , ecrit en 1791 , la DDFC , il attendre la fin du 19ème siécle pout voir le féminisme comme approche contemporaine. Ces premières luttes sociael se sont illustrés en matière d’éducation , exemple en 1891 avec la fédération française des sociétés féministes autre domaine la politique notamment la consécration du droit de vote des femmes et en 1984 pour que ce droit soit reconnu en France. A partir de la deuxième moitié du 20ème siècle , les luttes féministes vont s’étendre et s’élargirent , le féminisme des lors va s’exprimer à l’encontre d’une identité sociale fondé sur le genre et le rejet de la société patriarcale. Simone de Beauvoir qui en 1949 a rédigé un ouvrage nommé le deuxième sexe. On a une sorte d’oppression de l’Homme sur la femme , on a une femme qui est exclue du champ politique confronté à une inégalité dans le travail qui est cantonnée aux tâches domestiques et une femme qui est dépossédé de la libre disposition de son corps. En lien avec ses constats un certain nombre de solution juridique sont constatés , le droit de vote , l’accès au travail , l’égalité juridique ou bien la reconnaissance de la contraception. Dans les années 2000 qui sera axé sur le problème des violences faites aux femmes en particulier les agressions sexistes ou sexuelles ( mouvement meToo en 2007 puis relancé 10 ans plus tard ) et on a au travers de cette 3ème période , une concentration sur le droit au respect des femmes et de leur corps , on va dépasser la seule approche égalitaire pour tendre vers une affirmation plus importante et à ce moment là un certain nombre de frein sont constatés qui peuvent être résumé selon deux exemples : - Les politiques réactionnaires autrement dit une approche qualifier d’archaïque de la société - Et la notion d’intégrisme religieux qui peut porte atteinte à cette action féministe Aujourd’hui la notion de féminisme occupe une place central dans le débat publique , il n’apparait unr théorie politique établit permettant de renouvelé la pensée politique et d’en fournir un nouveau model d’organisation social , on donc une certaine ambiguïté de la notion de féminisme pris en tant que théorie politique. C : Le populisme La notion de populsime connait actuellement un dev rapide et pour certain il va même jusqu’à révolutionné la politique dans un siècle à venir , qui est pour certain le siècle de populisme « Pierre Rosanvallon » Cependant même s’il est utilisé , il est rarement défini et c’est un terme qui est autant utiliser et dénoncer. Il n’est pas issu d’une œuvre fondatrice , aucun auteur ne peut s’approprier la paternité de ce terme et en tant qu’idéologie il n’a pas été formaliser. - Le populisme s’est développé au sein de société ou la précarité , le chômage et l’exclusion , ont frappé une parti croissante de la population - Le populsime s’est dev des lors qu’une augmentation des inégalités au point de menacer les classes moyennes comme menacer par une certaine paupérisation. - Le populisme se développe aussi dans un contexte lié à l’immigration perçu come une remise en cause des identités culturelles et une source d’insécurité. On a le constat d’une sorte d’exploitation démagogique de ses potentiels dangers qui permet d’attirer les populations en colère et qui se retrouver dans un ressentiment commun à l’égard d’un système dans lequel elle ne se reconnaisse plus et où elle s’estime méprisé. S’ajoute à cela , une réapparition de courant nationaliste qui peuvent prendre 2 formes : - La crainte de voir les identités nationales se diluer dans une Europe technocratique et déshumaniser ( ex : le brexit ) - La tentation de repliement xénophobe A cela s’ajoute une nette perte de confiance dans la institution démocratique , une dilution des valeurs fondatrice du pacte social mais aussi un ressentiment des laisser pour compte de la mondialisation. On peut parler du concept de la tentation d’une fuite et donc on va rechercher des exutoires ( solutions ) dans des propositions politique se présentant en rupture avec le système actuel , on a avoir un principe de dégagisme qui va émerger contestant les pouvoirs en place et prétendre à une mutation politique majeur. Le contenu du populisme : - Il prétend émané du peuple et envisage de lui restitué parole et pouvoir confisqués par les élites par conséquent d’un pov juridique dans l’absolue le populisme rejette la démocratie représentative et les corps intermédiaires. Pour les populistes , la souveraineté du peuple doit s’exprimer par la démocratie direct et s’incarner par un chef. Il tient sa légitimité du suffrage universel son élection et perçu comme un plébiscite qui lui accroit un blanc-seing pour gouverner, dans ce cadre là le chef ne se contente pas de représenter le peuple mais il va l’incarner ( homme peuple). Toutes contestations de ces actes et dénoncer comme une remise en cause de la volonté du peuple donc on voit l’approche réductrice de la démocratie , en effet que on va manipuler les peurs , les simplications outrancières et on utiliser la propagande. On a donc un populisme qui relève plus d’un style politique qu’a une réelle idéologie. - Le populisme se développe comme un décalage trop important entre demande populaire et l’offre politique , lorsque les gouvernants se révèlent incapables de répondre aux attentes de la société et que les frustrations des gouvernés devient trop forte. Cependant , il ne parvient pas à donner naissance à une réflexion global structuré , on a un certain nombre d’exemple : les gilets jaunes… - Le populisme peut mener à dérives pouvant mener vers une menace de la démocratie , vers dénaturation de la démocratie jusqu’à arriver à un terme parlant mais assez cavalier de la démocrature avec une fusion du terme de démocratie et dictature , une démocratie d’apparence masquant les manipulations et les dérives autoritaires d’un pouvoir refusant toute idée de compromis et toute recherche du consensus pour lui préférer l’ exacerbation des antagonismes via la diabolisation des adversaires.

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