Introduction à la Motivation en Psychologie

La motivation d'un individu est fondée sur l'existence de trois besoins psychologiques fondamentaux : le besoin d'autonomie, le besoin de compétence et le besoin d'appartenance sociale.

False (B)

<p>La motivation intrinsèque est liée à un plaisir interne, tandis que la motivation extrinsèque est liée à un objectif extérieur. (C)</p> Signup and view all the answers

<p>La régulation identifiée est un type de motivation extrinsèque où l'individu réalise une activité parce qu'elle est conforme à ses valeurs et objectifs personnels. Il s'agit d'une forme de motivation relativement autonome.</p> Signup and view all the answers

<p>Pré-contemplation = La personne n'a pas l'intention de changer son comportement et nie le problème. Contemplation = La personne prend conscience du problème mais tarde à prendre des décisions concrètes. Préparation = La personne a l'intention de prendre des mesures dans un avenir proche, elle se prépare au changement. Action = La personne prend des mesures concrètes pour modifier son comportement. Maintien = La personne maintient ses changements et a l'intention de les préserver à long terme.</p> Signup and view all the answers

<p>Les deux types de buts sont les buts de maîtrise et les buts de performance.</p> Signup and view all the answers

<p>Les buts de performance peuvent mener à une aversion pour l'activité si l'individu échoue. (B)</p> Signup and view all the answers

<p>True (A)</p> Signup and view all the answers

<p>L'étude de Vallerand et al. (1996) a révélé que les étudiants qui étaient engagés dans une tâche de recherche de mots cachés, dans un contexte de coopération, passaient plus de temps à effectuer la tâche et persistaient davantage que ceux qui étaient engagés dans un contexte de compétition. Ceci suggère que les buts de maîtrise, associés à l'amélioration personnelle, mènent à un plus grand engagement et à une plus grande persistance dans l'effort.</p> Signup and view all the answers

La motivation est un concept utilisé pour décrire les causes internes et/ou externes du comportement. Elle influence le déclenchement, la direction, l'intensité et la persistance de nos actions.

La motivation primaire est innée et liée à la survie, tandis que la motivation secondaire est apprise et liée à des besoins sociaux et culturels.

La théorie de l'autodétermination (Deci et Ryan) met l'accent sur l'autonomie, la compétence et l'appartenance sociale comme besoins fondamentaux, influençant la motivation.

Le besoin d'autonomie signifie se sentir à l'origine de ses actions, avoir le sentiment de contrôle et de choix.

Le besoin de compétence se traduit par le sentiment d'efficacité dans les activités entreprises. Il procure une satisfaction qui renforce la motivation à poursuivre ces activités.

Le besoin d'appartenance sociale correspond au désir de se sentir lié à des personnes importantes. Il implique un sentiment d'être compris, accepté et respecté.

La motivation intrinsèque est le plaisir que procure l'activité elle-même. Elle est liée à la satisfaction des trois besoins fondamentaux: autonomie, compétence et appartenance sociale.

La motivation extrinsèque est le désir de réaliser une activité pour atteindre un objectif extérieur à l'activité elle-même.

La motivation extrinsèque par régulation externe est motivée par la pression sociale et l'obligation.

La motivation extrinsèque par régulation introjectée est motivée par la culpabilité et la pression interne.

La motivation extrinsèque par régulation identifiée est motivée par l'identification à l'objectif et la volonté d'accomplir quelque chose pour soi-même.

L'amotivation correspond à l'absence de motivation. La personne ne se rencontre aucune raison pour agir ou persévérer dans une activité.

La motivation intrinsèque et la motivation extrinsèque par régulation identifiée sont généralement plus durables et efficaces que les autres types de motivation.

Le locus de causalité perçu est le sentiment de contrôle que l'on a sur les causes de ses actions.

La théorie de l'évaluation cognitive (Deci et Ryan) explique comment les perceptions de compétence et le défi optimal influencent la motivation intrinsèque.

Les différents types de motivation peuvent coexister. La motivation intrinsèque peut être renforcée ou affaiblie par la présence de motivations extrinsèques.

Les conclusions de l'étude de Williams et al. (1996) montrent que la motivation autodéterminée est essentielle pour le changement durable dans les comportements.

Le modèle de Prochaska et Di Clemente (1982) décrit les étapes du changement comportemental en 5 stades.

Le stade de pré-contemplation correspond à la négation du problème et à l'absence d'intention de changement.

Le stade de contemplation correspond à la prise de conscience du problème et à l'intention de changer.

Le stade de préparation correspond à une volonté de changer et une décision d'agir pour modifier le comportement.

Le stade d'action correspond à la mise en place de changements concrets dans le comportement.

Le stade de maintien correspond à la volonté de maintenir les changements comportementaux à long terme.

L'entretien motivationnel est une technique qui vise à aider les personnes à progresser dans les stades du changement.

Les buts de maîtrise sont centrés sur l'amélioration personnelle, l'apprentissage et le développement de compétences.

Les buts de performance sont centrés sur la comparaison sociale et la démonstration de compétences aux autres.

Les buts de performance-approche visent à démontrer la compétence aux autres en réussite.

Les buts de performance-évitement visent à éviter de montrer son incompétence en évitant l'échec.

Les buts de maîtrise-approche visent à améliorer ses compétences personnellement dans un domaine.

Les buts de maîtrise-évitement visent à éviter les erreurs et la régression dans ses compétences.

Les buts de performance peuvent entrainer une aversion pour l'activité si l'objectif est difficilement atteignable ou si l'échec est perçu comme un manque de capacité.

Les buts de maîtrise sont plus adaptables aux changements et offrent une meilleure résistance aux échecs.

L'étude de Vallerand et al. (1996)montre que la coopération encourage plus la persévérance que la compétition.