Développement Moteur de l'Enfant

Cellules gliales qui supportent et nourrissent les neurones, digèrent et éliminent les déchets.

Cellules gliales qui forment la première ligne de défense contre les envahisseurs.

Cellules gliales qui créent la gaine de myéline pour accélérer la conduction nerveuse.

Dépolarisation brève et réversible qui se propage le long de l'axone, grâce à des canaux ioniques sensibles au voltage.

Canaux qui permettent le passage des ions (Na+, K+) à travers la membrane plasmique en fonction du potentiel de membrane.

Processus qui recouvre l'axone d'une gaine de myéline pour accélérer la transmission des signaux nerveux.

Espaces entre les sections myélinisées de l'axone dans lesquels le potentiel d'action « saute » pour accélérer la transmission.

Molécules chimiques qui transmettent les signaux entre les neurones.

Neurotransmetteurs qui réduisent l'activité électrique des neurones.

Neurotransmetteurs qui augmentent l'activité électrique des neurones.

Partie supérieure du corps ou de l'organe.

Direction antérieure.

Partie inférieure du corps ou de l'organe.

Direction postérieure.

Les quatre régions principales du cortex cérébral, chacun avec des fonctions spécifiques.

Plis présents dans le cerveau pour augmenter la surface du cortex.

Sillons qui divisent les lobes du cerveau.

Cavités remplies de liquide céphalo-rachidien, assurant l'amortissement des chocs.

Partie du système nerveux central composée principalement de corps cellulaires de neurones.

Partie du système nerveux central composée principalement d'axones myélinisés.

Les résultats obtenus chez les adultes en lien avec la condition physique et l'apprentissage ne sont pas directement applicables aux enfants, car le cerveau n'est pas complètement développé avant l'âge de 22-25 ans.

Une meilleure condition physique chez l'enfant est corrélée à de meilleurs résultats scolaires, en mathématiques, lecture, et attention aux tâches cognitives, mais ce lien n'est pas direct.

L'évaluation de l'activité physique chez les enfants est souvent basée sur des questionnaires remplis par les parents, ce qui soulève des limites (période d'observation courte, biais possibles, etc).

L'impact du nombre d'heures de cours d'éducation physique sur les résultats académiques est mitigé. Certaines études suggèrent des effets positifs, voire négatifs pour certaines matières, et même une augmentation des performances avec plus de 4 heures d'éducation physique par semaine.

Les études sur le lien entre l'activité physique et les résultats scolaires chez les enfants présentent des limites liées à la durée de l'activité mesurée (souvent une semaine), l'utilisation de questionnaires susceptibles de biais (sur ou sous-évaluation, oubli, mensonge), et le fait que les résultats scolaires ne reflètent pas parfaitement les capacités cognitives.

Technique d'enregistrement des champs magnétiques produits par l'activité électrique du cerveau.

Mesure les réponses cérébrales aux stimuli visuels, auditifs et aux changements soudains (MMN).

Étapes nécessaires à tout geste, même inconscient, incluant la saisie de l'information, la décision et l'exécution.

Recueil des données sensorielles sur l'environnement.

Choix de la réponse motrice appropriée.

Mise en œuvre du mouvement.

Interrelation des processus de perception, de cognition et d'action pour produire un mouvement.

Atteinte de la planification et gestion des priorités des gestes entre 12 et 17 ans.

Développement de la détection et de l'estimation du mouvement entre 1 et 5 ans.

Développement de la perception de détails entre 5 et 7 ans.

Amélioration de la perception des formes subtiles entre 7 et 15 ans.

Développement du dialogue interne apparait vers 7 à 9 ans, avant c'est une représentation imagée.

Utilisation de l'imagerie mentale pour entraîner et répéter des gestes entre 10 ans.

L'image visuelle facilite la discrimination tactile.

Coordination volontaire des mouvements vers un but.

Trouble permanent d'acquisition de gestes complexes, affectant la planification et l'automatisation.

Partie du cerveau apparue avec les premiers mammifères, responsable de la mémorisation des comportements agréables ou désagréables et des émotions. Comprend l'hippocampe, l'amygdale et l'hypothalamus.

Partie du cerveau ayant pris de l'importance chez les primates, culminant chez l'humain avec les hémisphères cérébraux. Responsable du langage, de la pensée abstraite, de l'imagination et de la conscience.

Contrôle le côté gauche du corps. Responsable de la synthèse, de l'analyse visuo-spatiale, de certaines compétences mathématiques et musicales.

Contrôle le côté droit du corps. Concerné par l'information verbale et la mémoire verbale ; fonction analytique.

Lésions cérébrales causées par un traumatisme crânien, souvent subies lors d'activités sportives ou d'accidents. Elles se manifestent par divers symptômes, allant de légers désagréments à des problèmes à long terme.

Siège de la personnalité, de la motricité, des fonctions exécutives (planification, apprentissage, etc.), de la mémoire à court terme.

Partie du lobe frontal impliqué dans la planification et l’organisation du mouvement, ainsi que la production du langage.

Symptômes apparaissant juste après la commotion, comme des lumières clignotantes, une vision double, des nausées, ou une perte de conscience (dans 5-10% des cas)

Responsable des sens du goût, du toucher, de la douleur et de la température. Intègre aussi les informations visuelles, auditives et spatiales. Implique la compréhension du langage et l'interprétation des informations sensorielles.

Symptômes apparaissant dans les semaines ou mois suivant la commotion, comme des maux de tête, des problèmes de concentration, une fatigue accrue, ou une irritabilité.

Impliqué dans l'encodage de l'information en mémoire, la compréhension langagière, la perception des sons, des visages et l'attention sélective.

Ensemble de symptômes physiques, cognitifs et affectifs persistants après une commotion, pouvant durer des années, et impactant significativement la qualité de vie.

Centre de la vision, traitant la lumière, l'orientation, le mouvement et les couleurs.

Problèmes de santé supplémentaires qui peuvent survenir en même temps que le syndrome post-commotionnel, comme la dépression ou les maux de tête fréquents.

Région incluant l'olfaction, l'apprentissage, la mémoire et les émotions.

Diminution des capacités cognitives comme la mémoire, la concentration ou le temps de réaction suite à la commotion.

Impliqué dans la planification, le contrôle et l’exécution des mouvements volontaires, divisé en 3 parties.

Processus visant à identifier les commotions cérébrales. Il comprend l'analyse de symptômes (signes immédiats et retardés), la surveillance et le retrait de l'activité sportive si besoin.

Représentation cartographique du cortex moteur, où la taille des zones reflète la complexité des mouvements.

Ensemble de structures cérébrales (noyau caudé, putamen, globus pallidus, etc.) coordonnant les mouvements.

Structure impliquée dans l'ajustement fin des mouvements, la coordination, l'équilibre et l'attention.

Difficultés à planifier, exécuter des séquences de gestes, anticiper les résultats d'une action, synchroniser des actions multiples, et adapter un programme moteur en cours d'exécution.

Difficultés majeures dans la reproduction graphique (formes, lettres, chiffres), l'assemblage (reproduire des modèles en 2D/3D).

Habituellement un bon potentiel intellectuel, mais un risque d'isolement par maladresse, difficultés à évaluer les distances personnelles, faible estime de soi, comportement immature et jugement social.

Maladresse dans les jeux moteurs, équilibre instable, manque de coordination oculomotrice, difficultés bilatérales alternées, lenteur d'exécution et difficultés d'orientation.

Confusion dans la préférence manuelle, faible habileté de manipulation raffinée, prise instable des outils, faible coordination graphique et lenteur d'exécution.

Augmentation de l'insuline, de la perfusion sanguine, de la minéralisation et de la densité osseuse.

Diminution du diabète de type 2, des accidents cardio-vasculaires et de l'ostéoporose.

Augmentation de la vascularisation, des neurotransmetteurs et du facteur neurotrophique dérivé du cerveau.

Augmentation de l'irrigation du cerveau, de facteurs de croissance, de neurotransmetteurs, de la synaptogenèse.

Amélioration des fonctions exécutives et du contrôle mental par un exercice cardiorespiratoire aérobie pendant au moins un mois, 30 minutes par séances, à un effort entre 50-60% VO2max .

Troubles de l'apprentissage et de l'adaptation de nouveaux jeux moteurs impliquant une faible capacité à suivre le rythme de ses pairs.

Sentiment d'incompétence et de manque de valeur personnelle, souvent lié aux difficultés motrices.