AVC: Définition et Physiopathologie

<p>Thrombolyse et thrombectomie (D)</p> Signup and view all the answers

<p>Tabagisme (C)</p> Signup and view all the answers

<p>Difficultés de langage (C), Hémiplégie droite (D)</p> Signup and view all the answers

<p>4 heures 30 (C)</p> Signup and view all the answers

<p>Gérer les fonctions primitives (A)</p> Signup and view all the answers

<p>Les étiologies sont des causes spécifiques de l'AVC (B)</p> Signup and view all the answers

<p>Aphasie (C)</p> Signup and view all the answers

<p>Sa perméabilité peut compenser le manque d'afflux d'une artère. (D)</p> Signup and view all the answers

<p>Syndrome frontal (C)</p> Signup and view all the answers

<p>Perte de la vision d'un champ visuel du côté opposé à la lésion (D)</p> Signup and view all the answers

<p>20 points (D)</p> Signup and view all the answers

<p>Troubles du rythme cardiaque (D)</p> Signup and view all the answers

<p>Négligence d'un côté sans atteinte visuelle (A)</p> Signup and view all the answers

<p>18 à 20 (A)</p> Signup and view all the answers

<p>Bilan de l’épaule (A)</p> Signup and view all the answers

<p>L'évaluation de la douleur (A)</p> Signup and view all the answers

<p>Sensibilité profonde (A)</p> Signup and view all the answers

<p>Risque de luxation (A)</p> Signup and view all the answers

<p>Prévention de l'hypotension (D)</p> Signup and view all the answers

<p>Un pronostic mauvais (D)</p> Signup and view all the answers

<p>Un AVC montre des lésions à l'imagerie, un AIT ne montre rien. (D)</p> Signup and view all the answers

<p>Prévenir l'hémorragie (B)</p> Signup and view all the answers

<p>Il compense le déficit en utilisant d'autres voies (C)</p> Signup and view all the answers

<p>Artère cérébrale moyenne (B)</p> Signup and view all the answers

<p>Dans les 12 heures (B)</p> Signup and view all the answers

<p>AVC postérieur (D)</p> Signup and view all the answers

<p>Former le tronc basilaire (C)</p> Signup and view all the answers

<p>Prise en charge respiratoire (D)</p> Signup and view all the answers

<p>Documents HAS (C)</p> Signup and view all the answers

Un accident vasculaire cérébral est une perte brutale d'une fonction neurologique due à un infarctus ou une hémorragie dans une partie du cerveau, de la rétine ou de la moelle épinière.

Un AVC ischémique est causé par un caillot sanguin qui bloque une artère cérébrale.

Un AVC hémorragique est causé par la rupture d'un vaisseau sanguin dans le cerveau, ce qui provoque une fuite de sang.

Un AVC gauche est plus souvent associé à une hémiplégie droite, car le côté gauche du cerveau contrôle le côté droit du corps.

Le tabac et l'alcool sont des facteurs de risque modifiables pour les AVC.

La thrombolyse est un traitement d'urgence qui dissout le caillot sanguin dans un AVC ischémique.

La thrombectomie est une procédure qui utilise un cathéter pour retirer le caillot sanguin d'une artère cérébrale.

Le temps est crucial dans le traitement d'un AVC. Plus le traitement est donné rapidement, moins les conséquences seront graves.

Les artères postérieures irriguent des zones du cerveau responsables de fonctions vitales telles que la respiration, le rythme cardiaque, la température corporelle et le contrôle des mouvements automatiques.

Un AVC touchant les artères postérieures peut entraîner des conséquences graves telles que la perte de vision, la perte de contrôle respiratoire, des problèmes cardiaques et des dysfonctionnements du système nerveux autonome.

Le polygone de Willis est un réseau vasculaire qui assure une circulation sanguine alternative au cerveau. Si le polygone de Willis est intact, il peut compenser une obstruction dans une artère, minimisant ainsi les dommages causés par un AVC.

Un AVC touchant la partie antérieure du cerveau peut provoquer un syndrome frontal chez le patient.

Une atteinte des artères sylviennes ou moyennes, situées sur les côtés du cerveau, peut entraîner une paralysie d'un côté du corps et un trouble du langage (aphasie).

Un AVC postérieur peut provoquer un syndrome cérébelleux, des troubles du rythme cardiaque et des problèmes respiratoires.

L'hémianopsie latérale homonyme (HLH) est une perte de vision du champ visuel du côté opposé à l'AVC.

La négligence spatiale unilatérale (NSU) est un syndrome où le patient ignore une partie de son corps ou de son environnement, sans perte de vision.

Le traitement de l'AVC doit être administré dans les 6 heures suivant l'événement, idéalement le plus tôt possible. L'objectif est d'empêcher une hémorragie en tenant compte de l'état du patient, des traitements préexistants et de la date et de l'heure de l'accident.

Deux techniques de traitement pour l'AVC : la thrombectomie qui consiste à retirer le caillot sanguin directement, et la thrombolyse qui utilise des médicaments pour dissoudre le caillot.

Les unités neurovasculaires (UNV) sont des services spécialisés dans la prise en charge des patients atteints d'AVC. Ils offrent un accueil immédiat et une surveillance étroite pour les premières 48 heures.

Le polygone de Willis est un réseau de vaisseaux sanguins à la base du cerveau. Il fournit des voies alternatives de circulation sanguine si l'un des axes principaux est bloqué. Il est essentiel pour la sécurité du cerveau.

L'artère cérébrale antérieure (ACA) irrigue la partie interne de l'hémisphère cérébral tandis que l'artère cérébrale moyenne (ACM) irrigue la partie latérale.

Le tronc basilaire est formé par la réunion des deux artères vertébrales. Il irrigue le cervelet et le tronc cérébral. Il se divise ensuite en artères cérébrales postérieures (ACP) qui irriguent le lobe occipital et la partie ventrale du lobe temporal.

Un AVC touchant la partie postérieure du cerveau est considéré comme le plus grave. Il peut entraîner de graves séquelles neurologiques.

Les recommandations de l'HAS (Haute Autorité de Santé) sur le diagnostic et la prise en charge de l'AVC sont essentielles pour les professionnels de santé. Elles fournissent les dernières informations sur les meilleures pratiques.

La première chose à évaluer lors de l'arrivée d'un patient est son niveau de conscience. Cela permet de savoir si le patient est capable de répondre aux questions et ainsi de comprendre sa situation.

Le score de Glasgow mesure la sévérité d'un AVC en évaluant la conscience, le champ visuel, la motricité, le langage et la sensibilité du patient. Un score de 20 points indique une absence de déficit, tandis qu'un score de 18 à 20 points suggère un pronostic vital engagé.

Un bilan articulaire et musculaire est toujours réalisé après un AVC. Il permet d'identifier les muscles affectés et d'évaluer l'amplitude des mouvements.

Un AVC hémorragique nécessite une rééducation plus longue qu'un AVC ischémique en raison des dommages causés par le saignement dans le cerveau.

Un AIT (accident ischémique transitoire) ne laisse aucune trace visible sur l'imagerie malgré un déficit neurologique temporaire. Il est important de bien diagnostiquer un AIT car il peut annoncer un AVC.

Le bilan sensitif est crucial pour évaluer la localisation de l'AVC en fonction de l'artère touchée. Il permet de distinguer la sensibilité superficielle de la sensibilité profonde.

La mise au bord du lit d'un patient après un AVC est une prescription médicale car elle peut provoquer une hypotension. C'est un signe d'hypoperfusion et il est particulièrement important dans les AVC hémorragiques.

Le lever d'un patient après un AVC doit se faire progressivement et sur prescription médicale. Il ne faut jamais lever le dossier d'un patient sans autorisation.