Psycho du travail digitalisé - 4.3 Activité 4.0 et santé au travail : vers une approche anthropocentrée et inclusive (l’activité 5.0)

Selon le texte, quel est un paradoxe de l'Activité 4.0 concernant les technologies au travail ?

Quel est l'élément central pour qu'il y ait du « bien-être » au travail, selon le texte?

Selon le texte, sur quoi repose le « bien-faire » de l'activité médiatisée?

Comment les TIC (Technologies de l'Information et de la Communication) peuvent-elles affecter négativement la qualité du travail?

Parmi les propositions suivantes, laquelle n'est PAS citée comme une caractéristique du travail dématérialisé susceptible de causer un débordement ou une intensification du travail?

Comment l'individu peut-il se sentir affecté par le déploiement des technologies dans le cadre de l'activité 4.0?

Si l'on transpose le concept de l'activité 4.0 vers une approche anthropocentrée et inclusive, on parle alors de l'activité 5.0. Quel est l'objectif principal de cette transition?

Quel aspect du travail est susceptible d'être affecté si les technologies ne sont pas implémentées avec précaution, conduisant à une 'fissure' des piliers du 'bien-faire'?

Comment l'évolution constante des technologies dans le cadre de l'activité 4.0 peut-elle impacter les compétences des travailleurs, potentiellement de manière négative?

Supposons qu'une entreprise implémente un système de surveillance continue des employés utilisant l'IA pour optimiser la productivité. Comment cette pratique pourrait-elle paradoxalement affecter le « bien-faire » et le « bien-être » des employés à long terme, même si la productivité augmente initialement?

Comment les systèmes de travail modernes peuvent-ils impacter négativement les employés?

Quel est l'impact potentiel des technologies sur les relations interpersonnelles au travail?

Comment le travail hybride et les technologies frontières affectent-ils la frontière entre la vie privée et la vie professionnelle?

Quel risque majeur est associé à la prescription du travail collectif par les technologies numériques?

Comment le management à distance peut-il influencer la dynamique des équipes de travail?

Comment l'intrusion du travail dans l'espace privé peut-elle affecter l'équilibre de vie d'un individu?

Quelle est la conséquence de la réduction des temps sociaux informels au travail due aux technologies?

Parmi les propositions suivantes, laquelle illustre le mieux une approche anthropocentrée de l'activité 5.0 en matière de santé au travail?

Comment les entreprises peuvent-elles atténuer les effets négatifs de la porosité entre vie privée et vie professionnelle, induite par le travail hybride?

Selon les principes de l'activité 5.0, quelle stratégie serait la plus efficace pour contrer la désagrégation des collectifs de travail due à la prédominance des technologies numériques, tout en maximisant l'efficience et la productivité ?

Comment la fragmentation de l'activité peut-elle être perçue de manière positive?

Quel est l'objectif principal d'une démarche anthropocentrée dans la conception de projets de transformations digitales?

Quelle est la distinction entre les technologies « performatives » et les technologies « incarnées »?

Comment l'introduction de robots de construction sur les chantiers pourrait-elle impacter le secteur d'activité?

Quels sont les avantages potentiels des formes hybrides et distancielles de travail?

Quelle condition est essentielle pour que les technologies contribuent à créer un autre rapport à soi et au travail?

Comment les technologies peuvent-elles agir comme des opérateurs de santé au travail?

Quel est le principal objectif de l'activité 5.0 en matière de technologies?

Supposons qu'une entreprise implémente une nouvelle technologie qui augmente considérablement la productivité, mais entraîne également une augmentation du stress et une diminution de la satisfaction des employés. Selon les principes de l'activité 5.0, comment cette situation devrait-elle être abordée?

Une entreprise manufacturière souhaite intégrer des systèmes d'IA pour optimiser ses chaînes de production. Cependant, les opérateurs humains craignent une perte d'autonomie et de contrôle sur leurs tâches, ce qui génère une résistance face aux nouvelles installations. Parmi les stratégies suivantes, laquelle pourrait être considérée comme la plus contraire à une approche anthropocentrée et inclusive visant à minimiser cette résistance?

Quels sont les deux aspects du travail qui peuvent être affectés positivement ou négativement par les technologies de l'activité 4.0?

Parmi les éléments suivants, lequel est considéré comme un pilier essentiel du 'bien-faire' dans le contexte de l'activité médiatisée, mais qui peut être fragilisé par les technologies?

Comment l'apprentissage régulier de nouveaux dispositifs technologiques peut-il affecter négativement l'activité professionnelle dans le contexte de l'activité 4.0?

Si une entreprise met en place un système d'IA qui rend le travail plus efficace, mais dépossède les employés d'une partie de leurs responsabilités et prérogatives, quel risque principal cela représente-t-il pour le 'bien-faire' au travail?

Dans quelle mesure les technologies peuvent-elles potentiellement 'fissurer' le 'bien-faire' au travail, en impactant négativement la qualité du travail réalisé?

Dans quel contexte la fragmentation de l'activité peut-elle être perçue comme positive?

Comment une transition technique bien menée peut-elle influencer les compétences des employés?

Quel est l'un des avantages potentiels de l'introduction de robots de construction sur les chantiers?

Qu'est-ce qui est essentiel pour que les technologies contribuent à un nouveau rapport à soi et au travail?

Quelle est la distinction fondamentale entre les technologies 'performatives' et les technologies 'incarnées'?

Dans le contexte de l'activité 5.0, quel est l'objectif principal des technologies en matière de santé au travail?

Comment les technologies peuvent-elles agir en tant qu'opérateurs de santé au travail?

Quel est le principal objectif d'une démarche anthropocentrée dans la conception des projets de transformations digitales?

Comment une entreprise peut-elle s'assurer que les nouvelles technologies deviennent des instruments au service des métiers plutôt que des sources de stress et de désengagement?

Dans le contexte de l'évolution vers l'activité 5.0, comment une entreprise pourrait-elle compromettre inintentionnellement l'adoption de technologies incarnées par ses employés, même si ces technologies sont initialement conçues pour améliorer leur bien-être et leur efficacité?

L'activité 4.0 peut paradoxalement à la fois renforcer et affaiblir le professionnel dans son travail.

Le bien-être au travail est indépendant de la qualité du travail effectué.

Les Technologies de l'Information et de la Communication (TIC) n'ont aucun impact sur la qualité du travail.

L'activité 5.0 met l'accent sur une approche purement techniciste, en ignorant les aspects humains et sociaux du travail.

Selon une étude approfondie, l'introduction exclusive de dispositifs de réalité virtuelle (RV) dans les environnements de travail augmente uniformément la satisfaction des employés de 92 %, permettant une réduction conséquente des congés de maladie liés au stress.

La fragmentation dans l'activité est toujours vécue négativement.

La transition technique bien menée offre rarement de nouvelles opportunités de compétences.

L'introduction de robots sur les chantiers peut potentiellement rendre ce secteur d'activité plus attractif.

Les formes hybrides et distancielles de travail sont rarement appréciées en raison du manque de régulation.

Une démarche anthropocentrée et inclusive est cruciale pour que les transformations digitales soient bénéfiques.

Les technologies 'performatives' visent principalement à satisfaire les besoins des salariés.

Les technologies 'incarnées' sont conçues pour avoir du sens pour les salariés et valoriser leur activité.

Les technologies ne peuvent jamais agir comme des opérateurs de santé au travail.

L'activité 6.0 est un concept plus récent qui remplace complètement l'activité 5.0 en mettant l'accent sur l'automatisation avancée et l'intelligence artificielle.

Le concept de sérendipité fait référence à la capacité d'une entreprise à anticiper précisément les tendances futures du marché grâce à des algorithmes prédictifs sophistiqués.

L'activité 4.0 peut à la fois renforcer et affaiblir le professionnel.

Le 'bien-être' au travail est indépendant du 'bien-faire' du travail.

Dans l'activité 5.0, l'épanouissement professionnel n'est pas lié à la reconnaissance des valeurs personnelles.

Le travail à flux tendu et l'immédiateté sont des caractéristiques du travail dématérialisé pouvant mener à l'intensification du travail.

L'activité 4.0 favorise toujours l'enrichissement des ressources psychosociales, renforçant ainsi le collectif de travail et le développement des compétences.

La multiplication, la sophistication et l’homogénéité des outils à employer, caractéristiques du travail dématérialisé, favorisent la diminution des interruptions et l'augmentation de la concentration des employés.

Les systèmes de planification et d'évaluation du travail visent principalement à augmenter le temps de réflexion et d'élaboration des employés.

Les technologies peuvent améliorer la qualité de vie au travail en renforçant les relations interpersonnelles et la dimension collective.

Le développement du travail hybride et l'utilisation de technologies frontière contribuent à renforcer la séparation entre la vie privée et la vie professionnelle.

L'utilisation accrue des technologies numériques dans le travail a systématiquement des répercussions négatives, sans aucun avantage potentiel.

Dans le contexte de l'activité 5.0, la prescription du travail collectif est une stratégie optimale pour soutenir et accompagner les collectifs de travail existants.

La fragmentation de l'activité est toujours vécue négativement par les employés.

La transition technique bien menée peut limiter l'accès à de nouvelles compétences.

L'introduction de robots de construction rend les métiers du BTP plus attractifs.

Les formes hybrides et distancielles de travail sont toujours mal perçues par les salariés.

Une conception anthropocentrée exclut les utilisateurs lors de la phase de conception.

Les technologies 'incarnées' visent prioritairement à satisfaire les besoins de l'organisation.

L'objectif principal de l'activité 5.0 est de concevoir des technologies responsables au service des métiers.

La sérendipité fait référence à la découverte intentionnelle de solutions à des problèmes bien définis au travail.

Les technologies performatives sont plus axées sur le développement des compétences des employés que sur la transformation de l'organisation.

L'intégration réussie des technologies dans le cadre de l'activité 5.0 garantit automatiquement l'amélioration de la santé au travail, indépendamment de la conception du projet.