Glandes Sudoripares PDF
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Université de La Réunion
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Summary
Ce document décrit les glandes sudoripares, leurs types (apocrines et eccrines), leur rôle dans la thermorégulation et la composition de la sueur. Il explique également les facteurs influençant la sudation.
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En pratique chez la femme en activité génitale, la séborrhée et l’acné sont influencées par la contraception hormonale ◆ progestatif contraceptif : effet androgènique donc stimulant ◆ Oestroprogestatif : depend de la nature du progestatif. III. Glandes sudoripares Glandes sudorales...
En pratique chez la femme en activité génitale, la séborrhée et l’acné sont influencées par la contraception hormonale ◆ progestatif contraceptif : effet androgènique donc stimulant ◆ Oestroprogestatif : depend de la nature du progestatif. III. Glandes sudoripares Glandes sudorales apocrines : aires axillaires, region génitale, pubis, fesse. —> produit de sécrétion est opaque, gras, alcalin sécrété sur un mode apocrine par élimination du pôle apical des cellules mais les parties basales et moyennes restent en place pour la régénération. Glandes sudorales eccrines : sur toute la surface de la peau ( paume et plante ++ ) —> production de sueur ( liquide aqueux incolore et salé ) dont le role est thermorégulationco. Indépendante du follicule pilosébacé. Glandes sudorales eccrines : Les + nombreuses( 3 à 5 millions ) répartis sur toute la peau sauf le lit unguéale, les lèvres et les organes géniteurs x externes. Glandes tubuleuses, pelotonnées dans le derme réticulaire ou à la fonction dermo-hypodermique. Constituent la sueur primitive ( reflet de la composition du plasma ( isotonique )) puis évolue par des mécanismes de resorption dans le tube excréteur vers une sueur hypotonique. Constituent la sueur definitive = salée, acide ( pH4,5-5,5 chez l’homme et 5,8-6,5 chez la femme ), densité variable composée d’ions ( Na, K, Cl, HCO3 ) et de composants organiques ( lactate, pyruvate, urée, acides aminés, glucose ). L’excretion de la sueur peut être causée par des stimulus thermiques, émotionnels, intellectuels, gustatifs, digestifs ainsi que l’hypercapnie et l’hypoglycémie. En pratique la modification des electrolytes sudoraux se voient dans : la mucovicidose / maladie de Cushing et d’Addison / cause iatrogène avec glucocorticoides, aldostérone ou hormone antidiurétique. Le liquide est plutôt hypo-osmotique : perte d’eau > NaCl —> sensation de soif. La perspiration insensible ( transpiration au repos à 18°C ) est d’environs 200mL/j et condition extreme >3L/h. On peut avoir maladie associé a ces glandes sudorales eccrines : l’hyperhidrose