Préparation pour le TECFÉE 2012 PDF

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Université du Québec à Trois-Rivières

2012

Roxanne Dumais

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French vocabulary French phrases TECFÉE preparation French language learning

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This document provides French vocabulary and expressions. It's a helpful resource for TECFÉE preparation, specifically focusing on words and definitions in preparation for the French writing certification test.

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lOMoARcPSD|47806189 Bible-du-Tecfee-1 - bible du tecfée Français écrit II (Université du Québec à Trois-Rivières) Scanne pour ouvrir sur Studocu Studocu n'est pas sponsorisé ou supporté par une université ou un lycée Téléchargé par Gabriel Trembl...

lOMoARcPSD|47806189 Bible-du-Tecfee-1 - bible du tecfée Français écrit II (Université du Québec à Trois-Rivières) Scanne pour ouvrir sur Studocu Studocu n'est pas sponsorisé ou supporté par une université ou un lycée Téléchargé par Gabriel Tremblay ([email protected]) lOMoARcPSD|47806189 PRÉPARATION POUR LE TECFÉE (TEST DE CERTIFICATION EN FRANÇAIS ÉCRIT POUR L’ENSEIGNEMENT) MOTS & DÉFINITIONS Agglomérer : Unir en un tout compact Ourdir : Organiser en secret, machiner, combiner Chimère : Illusion, imagination vaine Engoncé : Qui rentre le visage dans le corps Allégation : Affirmations Dubitatif : Exprime le doute Prépondérant : Qui  l’emporte  en  autorité,  en  influence,  en  importance Paradoxe : Opinion  qui  va  à  l’encontre  de  l’opinion communément admise. Évoquer : Éveiller, souvenir, remémoré Invoquer : Prier,  conjurer,  réclamer  de  l’aide Bancal : Manque  de  rigueur,  d’équilibre,  de  fondement Congruent : Qui  convient,  s’applique  bien.   Béret : Coiffure de laine souple, sans bord, ronde et plate. Vénéneuse : Qui  contient  un  poison  dont  l’ingestion  empoisonne  (plante) vs. Venimeuse : Qui a du venin ; un serpent. Retors, retorse : Qui a été retordu, tordu en plusieurs tours *au bec retors (plein de ruse, malin, habileté tortueuse) Baliverne : Propos futile et creux (histoires, sornettes) Digression : Dév. oral ou écrit qui  s’écarte  du  sujet Tacite : Non exprimé, sous-entendu entre plusieurs personnes, implicite. Coercitif : Pouvoir  de  contraindre  quelqu’un  à  se  soumettre  à  la  loi, qui exerce une contrainte Indulgent : Qui excuse, pardonne facilement, tolérant Exubérant : État de ce qui est très abondant (profusion), avec vivacité, enthousiasme. Entacher : Marquer  d’une  tache morale (image), salir moralement Embrigader : Réunir en brigade, recruter Élocution : Manière dont on exprime les sons en parlant,  exprimer  sa  pensée  oralement,  façon  d’articuler Indigent : Qui manque les choses les plus nécessaires à la vie (pauvre, misérable, malheureux) Harassé: accablé de fatigue, épuiser, exténué, à bout de force Dissident : Opposé, désaccord, être en désaccord. *propos dissidents Contusion : Lésion produite par un choc (bleu), sana déchirure de la peau, ecchymose Aparté : Mot  ou  parole  que  l’acteur  dit  à  part  soi  (seul  le  spectateur  entend), entretien particulier (ou tout bas) Acabit : Manière  d’être (de même nature, de même genre) Abhorrer : Avoir en horreur, détester au plus haut point Balade : Marche, promenade Ballade : Écouter une musique douce Éclectique : Ne se consacre pas à une seule chose, Qui ne se limite pas à un seul objet. * variés Darne : Tranche de poisson. Stator : Partie  fixe  d’un  moteur Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM) Téléchargé par Gabriel Tremblay ([email protected]) lOMoARcPSD|47806189 Morose : Humeur maussade, triste Acolyte : Serviteur,  servant,  compagnon…  complice  qu’une  personne  traine toujours à sa suite. Idiome : Langue parlée,  moyen  d’expression, propre à une communauté. Polémique : Une attitude critique qui vise une discussion vive, querelle. (controverse) Infime : Rang plus bas, minuscule ou très petit *une infime majorité Hypocondrie : Maladie dépressive,  tendance  à  ne  penser  qu’à ses maladies (imaginaires) Allitération : Répétitions des mêmes consonnes dans des mots voisins Panacée : Remède qui guérit toutes les maladies Élocution : Manière  d’exprimer  sa  pensée  oralement.  Façon  d’articuler. (faire une élocution en classe) Fauteur de troubles : Fomenteur, agitateur. Confortable : Présente et procure du confort, bienêtre,  bourgeois…   Autodidacte : Qui  s’instruit  lui-même, sans maitre. Disparité/disparate : Absence  d’accord,  d’harmonie  entre  les  éléments  (disparité  d’âge,  entre  couleurs,  caractères,  créé   un déséquilibre) Métamorphoser : Changer  complètement  quelqu’un  ou  quelque  chose.   Probant : Qui  prouve  sérieusement,  argument  probant,  concluent,  convaincant,  éloquent…  (une  pièce  probante) Prototype : Modèle premier, premier type. Sigle : Initiale  servant  d’abréviation.   Téméraire : Aventureux, imprudent, audacieux. Ultérieur : Arrivera dans le futur, date ultérieure. Permuter : Changer, échanger, intervertir (déplacer deux choses) Séquelles : Traces, conséquences, répercussions. Apparier : Assortir par pair, par couple, *chaussettes, chevaux, oiseaux. Éloquence : Facilité  à  bien  s’exprimer,  don  de  la  parole.   Impunément : Sans être puni, tuer impunément, sans risque. Nervation : Qui  constitue  les  nervures  d’une  feuille.   Grammage : Mesure  du  poids  d’une  feuille Convers : Une personne qui se consacre aux travaux manuels dans un monastère. Starets : Sage,  pèlerin  de  l’ancienne  Russie.   Éroder : Dégrader lentement. Précurseur : Celui qui innove, qui ouvre la voie. Dithyrambique : Très  élogieux,  parfois  à  l’excès.   Immunité : Privilège  des  diplomates  auxquels  seules  les  lois  de  leur  pays  d’origine  s’appliquent.   Impavide : Qui ne manifeste aucune crainte, aucune peur. Éphéméride : Livre énumérant les évènements importants  survenus  le  même  jour  de  l’année  à  différentes  époques.   Acerbe : aigre, âpre. Sémantique : Étude du sens des mots. Obséquieux : qui exagère les marques de politesse par servilité ou par hypocrisie. Jauger : Évaluer  les  capacités  d’une  personne.   Esclandre : Scandale, éclat. Flegme : Art de cacher parfaitement ses sentiments. Frontispice : Grand  titre  d’un  ouvrage  imprimé  placé  sur  la  première  page.   Galimatias : Langage obscur, charabia Borborygmes : gargouillis Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM) Téléchargé par Gabriel Tremblay ([email protected]) lOMoARcPSD|47806189 Paronyme : Mots presque homonymes qui peuvent être confondus. Parturiente : Femme qui accouche. Logorrhée : Flux de paroles inutiles. Calleux : À la peau dure, épaisse. Embargo : Mesure  de  contrainte  tendant  à  empêcher  la  libre  circulation  d’un  objet.   Vétilles : Bagatelle, chose de peu de conséquences. Impondérable : Se  dit  de  ce  qu’il  est  impossible  de  prévoir;  dont  l’importance  peut  difficilement  être  évaluée   Goinfre : personne qui mange avec excès et salement Hédonisme : doctrine qui prend pour principe de la moral  la  recherche  du  plaisir,  satisfaction  et  l’évitement  de  la   souffrance (maximum de satisfaction avec le moindre effort) Égérie : Conseillère  inspiratrice  d’un  homme  politique,  d’un  artiste,  d’un  créateur   Policé : dont  les  mœurs  sont  adoucies  par  la civilisation Viduité : État de veuve, de veuf EXPRESSIONS & SIGNIFICATIONS Être aux abois : Situation désespérée Pierre  d’achoppement : Obstacle à la réussite Défrayer la chronique : Faire parler de soi en mal Rendre la monnaie de sa pièce : Se venger Les dés sont pipés : Il y a de la tricherie Secret de polichinelle : Faux secret vite connu de tous Avoir  le  compas  dans  l’œil : Juger des distances avec justesse Image  d’Épinal : Représentation simpliste et excessivement optimiste de la réalité Faire des gorges chaudes : Insulter, se moquer de quelque chose,  s’en  régaler,  plaisanteries  malveillantes.   Rouler la mécanique : Faire son prétentieux Donner carte blanche : Donner ou avoir plein pouvoir ou toute liberté pour entreprendre quelque chose. Chercher de midi à 14h : chercher des difficultés là où il y en a pas De but en blanc : Brusquement, directement, sans préparation, sans être prévenue En catimini : En cachette, discrètement Loi du charbonnier : Croire de façon naïve comme un homme simple Mettre la charrue avant les  bœufs : Faire les choses dans le désordre, commencer par la fin.  (faire  d’abord  ce  qui  devait   être fait ensuite, après) Faire la pluie et le beau temps : Tous les pouvoirs, être très influent. Mettre les points sur les i et les barres sur les t : Expliquer clairement, brutalement ses intentions. Il y a du pain sur la planche : Beaucoup de tâches devant soi Guerre lasse : en renonçant à résister, à combattre…  céder,  accepter Mentir comme un arracheur de dents : Mentir effrontément Cueillir des lauriers : Remporter plusieurs victoires, succès. Avoir voix au chapitre : Être écouté, influence Avoir le vent en poupe : Avoir de la chance Avoir la foi du charbonnier : Naïve Vers  d’oreille : Chanson qui reste en tête Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM) Téléchargé par Gabriel Tremblay ([email protected]) lOMoARcPSD|47806189 Sans tambour ni trompette : Partir, déloger discrètement, sans bruit,  sans  attirer  l’attention.   Tenir le cap : Ne pas  changer  de  stratégies  ni  d’objectifs   Marcher  sur  des  œufs : Toucher  le  sol  avec  précaution,  d’un  air  mal  assuré,  agir  avec  prudence.   Prendre le taureau par les cornes : Prendre de front les difficultés. Casser  du  sucre  sur  le  dos  de  quelqu’un : En médire, taper, critiquer. Balayer devant sa porte : Voir et régler ses propres erreurs avant de critiquer les autres. Ne pas faire de quartier : Être impitoyable (cruel, méchant) Épater le bourgeois : Choquer, scandaliser, en faisant impression. (troublant, saisissant) Mordre à la grappe : Être dupe. (naïf) À gogo : De façon abondante, à profusion. Estomac dans les talons : Avoir très faim. Avoir les pieds palmés : Paresseux, trainé. Être de glace : Être indifférent (insensible). Avoir des atomes crochus : Avoir des ressemblances mutuelles qui permettent la bonne entente. Tomber de nues : Être spontanément surpris par rapport à quelque chose. Tirer les marrons du feu : Se  donner  de  la  peine  pour  le  seul  profit  d’autrui. Faire des ronds de jambes : Faire beaucoup  de  manières  afin  de  plaire  à  quelqu’un.   Qui trop embrasse mal étreint : Qui  entreprend  trop  de  chose  à  la  fois  n’en  réussit  aucune.   Se tirer la pipe : L’agacer.   L’or  véritable  ne  craint  pas  le  feu  : Un homme de valeur sait résister à toutes les épreuves, y compris la critique. Il  n’y  a  pas  de  fumée  sans  feu  : À l’origine  des  rumeurs,  il  y  a  toujours  quelque  chose  de  vrai.   Veiller au grain : Être prudent. Faire mouche : Atteindre précisément son but. Tenir  la  draguée  haute  à  quelqu’un  : Abuser d’une  situation  avantageuse.   Tomber de charybde à Scylla : Échappé à un danger que pour se frotter à un autre encore plus grave. Prendre des vessies pour des lanternes : Se tromper lourdement dans ses appréciations Trouver chaussure à son pied : Trouver ce qui convient, ce dont on a besoin. Tête de turc : Bouc-émissaire Tirer au flanc : Paresser, ne pas vouloir travailler. Tiré par les cheveux : Peu logique, difficile à croire. Le  mieux  est  l’ennemi  du  bien  : On court le risque de gâter ce qui est bien en voulant obtenir mieux. Des clous! : Rien du tout! (coûte rien du tout) Tourner en eau de boudin : Échouer. Avoir quelque chose dans le sang : Avoir un goût très prononcé (faire partie de moi) Blanchir sous les harnais : Acquérir  de  l’expérience  (exercer  longtemps  le  même  métier)   Quand les poules auront des dents : Jamais De fil en aiguille : En  passant  d’une  chose  à  l’autre,  qui  lui  fait  suite   Enfourcher son dada : Revenir à son sujet de conversation favori. + Expressions idiomatiques  (p.71  dans  le  cahier  d’exercices du TECFÉE) Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM) Téléchargé par Gabriel Tremblay ([email protected]) lOMoARcPSD|47806189 FAIRE ATTENTION! ERREURS FRÉQUENTES! - Mord-il, vend-il ? (pas de T si le verbe se fini par - Habiletés t/d) - Accroc - Quelque vingt dollars (environ = adv.) - Fascicule facicule - Des sarraus (un sarrau) - Assortiment - Artichaut - Des baux (un bail) - Hasard (PAS DE Z) - De surcroit - Des pneus - Remords (toujours un s) - Inclus (toujours S) - Mettre  l’accent  (l’emphase) - Maintien (un maintien, mais je maintiens) - Circonstanciel - Infarctus Infractus - Des poux (un pou) - Des verrous (un verrou) - Souci (sans S) - Un délai (sans S) - Suscite - Pallier cette lacune / un palier (étage) - Bouchée / pelletée / jetée - Ces poissons rouges là / ces poissons-là - Le  chœur  chante  plus  fort (adv) (seulement  relier  d’un  trait  d’union  en  présence   - tous les autobus (toutes les autobus) d’un  nom) - des gens haut placés (adv) - Avoir la FOI en dieu (et FOIE = viande) - Seuls Martine et Alex - Sur-le-champ, vis-à-vis - Les élèves brillant par leur absence - Ancre (bateau) Encre (crayon) - Qualité qualitée - Barbarisme : cadran Æ réveil / transfert Æ - S’occuper  s’occupper - Il convainc mutation / brin de scie Æ bran - Il feint - Langage language - Il rit (au présent) /  qu’il  rie (au subj.) SUFFIXES (voir aussi p.121, 122 et 123 du cahier théorique du TECFÉE) *ceux en gras étaient au TECFÉE - Ite : Inflammation (cellulite, bronchite) - Drome : Champ de course - Logie : Étude, science de, théorie (technologie, - Cratie (bureaucratie) :  influence  abusive  d’une   philologie, zoologie, cardiologie, psychologie, administration géologie) - Mancie (nécromancie) : science occulte - Logue (allergologue) : science de - Manie (mythomanie) : tendance à la fabulation - Ail : Instrument (éventail) - Lophie (philolophie) : belles lettres et études - Aille : Collection historiques des textes - Aison : Action de - Cide : Tuer (homicide) - Iste : Profession - Cosme : Monde - Itude : Qualité - Crate : Pouvoir, force (aristocrate) - Aire : Qui a rapport à - Gamie : Mariage - Âtre : Approximatif - Oïde : Qui a la forme de - Algie : Douleur (nostalgie) - Gène : Homogène - Céphale : Tête - Ée : bouchée, pelletée (quantité) - Cole : Relatif à la culture (agricole) - Èdre : face Æ tétraèdre, octaèdre Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM) Téléchargé par Gabriel Tremblay ([email protected]) lOMoARcPSD|47806189 - Ère : conifère - A (dans atonie) : diminution de la tonicité, de - Pèdre (dans quadrupède) : qui a 4 pattes l’élasticité,  d’un  organe  contractile - Cole (dans viticole) : culture du vin/vigne - Sophie (dans philosophie) : connaissance par la - Graphie (dans calligraphie) : art de bien former raison les caractères - Asse (dans blondasse) : blond vilain PRÉFIXES (voir aussi p.119 et 120 du cahier théorique du TECFÉE) *ceux en gras étaient au TECFÉE - Dys : Perte, diminution, difficulté - Vice : À la place de - Géo : Terre - Hypo : en dessous de (hypoglycémie) - Agro : Champ - Dis : dissymétrie, discrédit (séparation) - Alter : Autre - Géo (géologie) : terre - Archéo : Ancien - Patho (phatologie) : maladie - Anthropo :  Relatif  à  l’humain - Poly (polygone) : figure plane formée de - Cosmo : Monde plusieurs côtés - Circon : Autour - Neuro (neurologie) : médecine du système - Démo : Peuple nerveux - Épi : Sur - In (odore) : sans odeur - Hémi : Demi - Audio (audiologie) : audition - Hémo : Sang - Ir (irréaliste) : utopie - Hippo : Cheval - Hippo (hippomobile) : tirer par des chevaux - Méta : Qui englobe - Api (apiculture) : élevage abeilles - Mis(o) : Qui hait - Astro (astrologie) : célestes et terrestres - Néo : Nouveau - Mésa (mésaventure) : mal tourné - Pisci : Poisson - Erie (boulangerie) :  lieu  de… - Rétro : En arrière - Aire (révolutionnaire) : qui concerne - Syn : Avec (synthèse) - Théo (théocratie) : Dieu Autres préfixes et suffixes - Ée dans assiettée : Quantité de, contenir. - Logie dans psychologie : science de. - Démo dans démocratie : Peuple. - Fique dans antisudorifique. Produire. - Scopie dans gastroscopie : Voir, vision. - Gamie dans polygamie : Mariage. - Ptère dans coléoptère : Aile. - Oïde dans humanoïde : Qui a la forme de. - Grade dans rétrograde : qui marche, qui va vers. - Allo dans allopathie : autre - Ana  dans  anachronisme  :  à  l’inverse.   - A dans arythmie : Souffrance, irrégularité - Épi dans épiderme : sur. - Duc dans oléoduc : Conduire transport - Ecto dans ectoplasme : en dehors. - Fuge  :  résiste  à  l’eau   - Psycho : étude de la pensée Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM) Téléchargé par Gabriel Tremblay ([email protected]) lOMoARcPSD|47806189 MOTS QUI PRENNENT TOUJOURS UN « s » Ténèbres Torticolis Précis Brebis Volontiers Chaos Concours Certes Remords Corps Permis Pouls Cours (d'eau ou leçon) Puits Intrus Lilas Prémices Inclus Secours Poids Cliquetis Talus Héros Pala Velours Harnais MOTS QUI NE PRENNENT PAS DE « s » Un abri Délai Exclu Un souci Champ Fourmi Désarroi Soutien Essai Parmi Tissu MOTS DIFFICILES (voir aussi p. 63, chapitre  4  du  livre  d’exercice  du  TECFÉE) Acuité Évènement Cortège Alcôve Il décèle Excédent Ammoniaque Langage À  l’arrivée Ankylosé Sceptique Présentoir Aphone Scythe Résonance Apothéose Ultrason Attristé Guignol Autosuggestion Terroir Âpreté Je croîs (grandir) Absorption Archaïque Laïc Illogique Ascenseur Exigüité Marionnette Cacophonie Ambigüité Familier Câpre Exigüe Garant Choléra Contigüe Eczéma (ou exéma) Coïncidence Solennité Entonnoir Guetter Substantiel Discerner Gageüre Aromatique Emmitoufler Exhiber Raffiné Hublot Exhorter Tort Tintamarre Hécatombe Exhausser un mur Colonel Hérésie Bâiller Colonne Cédille Absolument Étymologie Cygne Probité Essor économique Parasol Apparemment Concurrence Montée, jetée, portée Carrefour Faculté de défendre Balai, il balaie Taureau Loquace Exaucer un souhait Acoustique Obscur (-ure) Nombrable, innombrable Blessure Exact, inexact Tympan Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM) Téléchargé par Gabriel Tremblay ([email protected]) lOMoARcPSD|47806189 ANGLICISMES & IMPROPRIÉTÉS (suivant la Æ se trouve la bonne façon) - Traffic Æ Trafic - Coutellerie Æ au service de couverts - Suite à Æ à la suite de - Raisons monétaires Æ financières - Feedback Æ rétroaction - Cages pour la pêche Æ casiers - Construire une prolongation de quelques - Siège sur Æ siège au mètres Æ prolongement - À pied levé Æ au pied levé - Misère Æ difficulté - Logé un appel Æ faire un appel - Mesures drastiques Æ draconiennes - Recouvrir sa liberté Æ retrouver - Demandent des questions Æ posent - Trois dépendants à la maison Æ personnes à - Mettre  l’emphase  Æ l’accent charge - Avoir des contacts Æ relations - Dépendant de Æ en fonction de - Réouvrira Æ rouvrira - À  l’endos  Æ au dos, au verso - Serré tes jouets Æ rangé - Biaisé (pas bon dans le sens de faux ami) - Passé date Æ périmé - Pamphlet Æ dépliant, brochure, prospectus - Brocheuse Æ agrafeuse - Veuillez  agréer  (pas  je  vous  prie  d’agréer)   - Déconnecté la télévision Æ débranché - Tomber en amour Æ tomber amoureux - Qualifications Æ compétences - Cartes  d’affaires  ÆCartes professionnelles - Prolongement pour remise de travaux Æ prolongation - Éligible = anglicisme (en français on dit un - Lettre de référence Æ recommandation candidat éligible ou un étudiant admissible) - Pour éteindre la lumière : intercepteur Æ - Dire un discours Æ prononcer un discours interrupteur - Les prochains deux jours Æ les deux prochains - Cueillette de données Æ collecte jours - Air climatisée Æ conditionnée - Équipe sont sur un même pied (same foot) - Cours privés Æ particuliers - Connection Æ connexion - Batterie Æ pile - Conjecture économique Æ conjoncture - En ordre Æ en règle *passeport LES GENRES FÉMININ Une aberration Une canneberge Une enveloppe Une armoire Une asperge Une hélice Une apostrophe Une auto Une horloge Une équivoque Une heure Une oasis Une étagère Une affaire Une once Une acné Toutes les années Une orbite Une échelle Une autoroute Une orthographe Une moustiquaire Une échappatoire Une oreille Une acoustique Une entente Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM) Téléchargé par Gabriel Tremblay ([email protected]) lOMoARcPSD|47806189 MASCULIN Un cyprès (conifère) Un autobus Un accident Un orteil Un sandwich Un en-tête Un pétale Un orchestre Un entracte Du bel asphalte Un éclair Un hôpital Un cantaloup Un ulcère Un incendie Un avion Un ascenseur Un oreille Un escalier Un horaire Un intervalle Un exemple DIVERS Vengeur Æ vengeresse / enchanteur Æ enchanteresse / coi Æ coite / favoriÆ favorite Hébreu, des hébreux, des hébraïques / feu, des feus (défunt) 5 adjs. masculins : un bel homme, un nouvel ami, un vieil homme, un fol amour, un mol ingrédient. VERBES Formation des temps composés Pour  former  le  … AUXILIAIRE AUX. CONJ. : être ou avoir Passé composé Indicatif présent ai-as-avons / suis-es-sommes Plus-que-parfait Imparfait avais-avions-aviez / était- étions-étiez Passé antérieur Passé simple eus-eut-eurent / fus-fut- furent Futur antérieur Futur simple aurai-aurons / serai-serons Subj. Passé Subjonctif présent aie-ait-ayons / sois-soyons- soyez Conditionnel passé Conditionnel présent aurait-aurions-auriez / serions-seriez-serais Impératif passé Impératif présent (même  forme  qu’au   subjonctif présent : aie- ayons-soyez…) Participe passé composé Participe présent ayant-étant x Classe des verbes : Verbes attributifs : besoin  d’un  élément  qui  caractérise  le  sujet o ÊTRE, PARAITRE, PASSE POUR, RESTER, SEMBLER, DEVENIR, DEMEURER Verbes trans. directs : sans préposition o REGARDER  QUELQUE  CHOSE,  ÉCOUTER  QUELQU’UN,  MANGER  QUELQUE CHOSE, RAPPELER. Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM) Téléchargé par Gabriel Tremblay ([email protected]) lOMoARcPSD|47806189 Verbes trans. indirects : avec préposition o PARLER  DE  QUELQUE  CHOSE,  NUIRE  À  QUELQU’UN,  SE  SOUVENIR  DE  QUELQUE  CHOSE,  ETC.   Verbes trans. à deux compléments : CD + CI ou CI+CI o DONNER  QUELQUE  CHOSE  À  QUELQU’UN  (CD+CI),  PARLER  DE  QUELQUE  CHOSE  À  QUELQU’UN  (CI+CI) Verbes intransitifs : Verbes qui expriment une action limitée au sujet. o SANGLOTER, BÊLER, DORMIR, ETC. Verbes impersonnels : verbes dont le sujet est le pronom impersonnel IL. (verbes météorologiques) o FALLOIR, NEIGER, PLEUVOIR,  S’AGIR, IL Y A, ** Verbes qui permettent la forme impersonnel : ARRIVER, COURIR, VENIR, SORTIR, ÉMANER, RÉGNER, SE PASSER, ENTRER. Il est venu beaucoup  d’enfants  à  ta  fête.  Il  s’ajoutera quelques étudiants au groupe. x Les compléments : o COMPLÉMENT DIRECT (CD) = Le,  la,  les,  l’  cela,  en  ou  en…  un.   o COMPLÉMENT INDIRECT (CI) = lui, leur, en, y x Choix  de  l’auxiliaire : o AVOIR : majorité des verbes non pronominaux, verbe transitifs et intransitifs (la plupart), verbes TJRS impersonnels. o ÊTRE : verbe  pronominaux,  certains  verbes  intransitifs  (naitre,  mourir,  devenir  =  changement  d’état,  sortir,   arriver, partir, rester, aller, venir, entrer et tomber = mouvement terminé), phrases de forme impersonnelle (il est entré trois garçons) et de formes passives. x Ordre des pronoms personnels : Lorsque pronominalisés = CI + CD. (sauf si en présence de deux pronoms compléments à la 3e personne = CD +CI) Jean donne ce livre à Paul. Æ Jean le lui donne. (CD+CI) Des histoires, il nous en a racontées. Quelques erreurs courantes : *On  s’en  attendait.  Æ On  s’y  attendait.  (y  =  nom  inanimé) *J’y  parle  souvent  à  Jean.  Æ Je lui parle souvent à Jean. (nom animé = lui) *Cela va lui empêcher de visiter New York. Æ Cela  va  l’empêcher  de  visiter  New  York.   Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM) Téléchargé par Gabriel Tremblay ([email protected]) lOMoARcPSD|47806189 Bonnes façons : Elle a expliqué la solution de ce problème à Marie. Elle la lui a expliquée. Je vais offrir ce cadeau à Béatrice. Je vais le lui offrir. J’ai  donné  ce  magnifique  livre  aux  élèves.  Je  le  leur  ai  donné.   x ATTENTION! Complément du verbe passif : *La client a-t-elle été répondu par un de nos vendeurs. (verbe trans. indirect donc il ne permet pas la forme passive, ce sont seulement les verbes qui demandent un CD qui peuvent devenir à la forme passive) *Un employé a été téléphoné par le patron. (Le patron a téléphoné un employé) Un de nos vendeurs a-t-il répondu à la cliente? La souris est mangée par le chat. (le chat mange la souris) Le gazon est recouvert de ces feuilles mortes. (ces feuilles mortes recouvrent le gazon) x Emploi obligatoire du subjonctif : Pour  vérifier  s’il  faut  absolument  l’utiliser,  faire  le  test  avec  le  verbe  SAVOIR  qui  change  au  subjonctif.   Ex : Il faut que tu vois un médecin. Æ il  faut  que  tu  saches…  (donc  =  voies,  au  subj.  présent) RÈGLES  AVEC  L’ACCORD  DES  VERBES x Participe passé SANS auxiliaire : considéré  comme  adjectif,  s’accorde  donc  avec  le  nom.   Fatiguée, Naholi ira se coucher très tôt. Cette bâtisse construite au 18ème siècle…  Les  murs  blanchis…   ATTENTION :  certains  P.P  seuls  restent  INV  lorsqu’ils  sont  DEVANT  un  GN,  car  ils  sont  considérés  comme  des  ADV  OU   PREP selon le cas. Î Attendu, entendu, excepté, passé, supposé, vu, y compris, non compris, ci-joint, ci-inclus, etc. o Excepté Henriette et Marie, tous étaient là. (prep) o Marie et Henriette exceptées, tous étaient là. (adj.) o Vous trouverez ci-joint copie de mon bulletin. (adv.) o Ci –joint les lettres. o Les lettres ci-jointes. __________________________________________________________________________________________________ x Participe passé avec auxiliaire ÊTRE ou autre verbe attributif : s’accorde  avec  sujet.   Elles sont sorties très tard hier. __________________________________________________________________________________________________ Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM) Téléchargé par Gabriel Tremblay ([email protected]) lOMoARcPSD|47806189 x Participe passé avec aux. AVOIR : s’accord  avec  son  CD  si  ce  dernier  est  placé  devant  le  verbe.  Sinon,  reste   INVARIABLE. Les CD possibles : que,  le,  la,  l’,  les,  me,  te,  se,  nous,  vous, pronoms interrogatifs laquelle, lequel, lesquelles, lesquels et déterminants quel, quelle, quels, quelles, combien de, que de, et du pronom en. o Il    y  a  trois  possibilités  pour  qu’il  y  ait  un  accord  avec  CD (AVOIR) Si on retrouve être : a été essuyé (accorde avec être) 1. Dans les interrogatives ou exclamatives avec : QUEL, QUELLE, QUELLES, QUELS, LEQUEL, LESQUELS, LAQUELLE, LESQUELLES, QUE DE, COMBIEN DE où le CD est placé en tête de phrase. Ex : Quelles grammaires avez-vous consultées? Laquelle avez-vous  lue?  Que  de  pommes  j’ai  mangées!  Combien  de  livre  as-tu achetés? 2. Dans les phrases où le CD est un pronom personnel, placé devant le P.P : LE,  LA,  LES,  L’,  ME,  M’,  TE,  NOUS,   VOUS,  T’.  ex : Il nous a vus. Je range les grammaires dès que je les ai consultées. 3. Dans les relatives où le pronom relatif est le CD (QUE ou  QU’) Ex :  Les  grammaires  que  j’ai  achetées  sont  bien   présentées. 4. Pour les pronoms réfléchis (pronominaux) : il faut analyser plus loin car ça peut être un CD, un CI ou un sans fonction. o Les  fleurs  que  j’ai  achetées  sont  très  jolies.  (cd=  que  =  antécédent de fleurs) Cette  lettre,  je  l’ai  gardée.  (cd=  l’  =  antécédent  de  lettre)   o Si  le  CD  est  un  pronom  dont  l’antécédent  est  une  P  = pronom neutre, donc accord à la 3e personne du sing. Elle  est  aussi  belle  que  je  l’avais  imaginé.  (j’avais  imaginé  quelque  chose,  j’avais  imaginé  qu’elle  était  belle) o Lorsque le pronom EN précède le P.P = peut  parfois  être  un  CD  et  l’usage  permet  de  le  laisser  INV.   Il a cueilli des fraises et il en a mangées/mangé. (2 possibilités) ATTENTION : Par contre, si le pronom en remplace  qu’une  partie  du  CD,  le  P.P  reste  INV : Il a cueilli des fraises, et il en mangé une tonne. (de fraises = sous-entendu, cd = après, donc INV.) J’ai  vu  plusieurs  belles  cravates;  j’en  ai  acheté  trois.   Des  livres,  j’en  ai  lu  un  grand  nombre.   ATTENTION : Le complément de mesure à ne  pas  confondre  avec  des  CD.  Les  P.P  avec  avoir  ne  s’accordent  jamais  avec   des compléments de mesure. Verbes qui prennent souvent un compl. de mesure : couter, peser, valoir, mesurer, marcher, courir, vivre, dormir, régner, durer, etc. Souvent, repérable par poids, durée, distance, prix, etc. Les deux-cents dollars que  ce  vélo  m’a couté étaient bien investis. Les années qu’elle  a vécu ont été bien remplies. Les cinquante kilomètres que Jean a couru l’ont  épuisé.   MAIS Æ Les efforts que  ce  travail  m’a  coutés étaient soutenus. Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM) Téléchargé par Gabriel Tremblay ([email protected]) lOMoARcPSD|47806189 L’aventure qu’elle  a  vécue est extraordinaire. Les oranges que Marie a pesées étaient énormes. Les dangers que Michel a courus l’ont  rendu  plus  brave.   Ne pas oublier que le P.P des verbes impersonnels reste INVARIABLE. (Te souviens-tu de la tempête qu’il  y  a  eu?) __________________________________________________________________________________________________ x Accord du P.P. des verbes pronominaux : NE  S’ACCORD  PAS  TJRS AVEC LE SUJET MÊME SI TJRS AVEC ÊTRE. On doit déterminer si le verbe est transitif direct ou indirect et donc présence  d’un  CD  ou  non.   Étape 1 : Y-a-t’il  un  CD  ? LORSQU’IL  Y  A  PRÉSENCE  D’UN  CD,  NE PAS TENIR COMPTE DU PRONOM RÉFLÉCHI CAR LE CD DÉCIDE DE TOUT! Si   oui,   c’est   le   CD   qui   décide   de   l’accord. (on doit mettre le verbe avec avoir pour faire le test) S’IL   Y   A   UN   CD   ON   ACCORDE  COMME  AVEC  AVOIR.  Si  pas  de  CD,  on  n’est  pas  dans  un  verbe  transitif  direct,  il  faut  donc  pousser  l’analyse.   Exemple :  si  on  prend  le  verbe  laver.  Habituellement  on  lave  quelqu’un  ou  quelque  chose.  (transitif  direct)  Le  verbe   devrait donc avoir un CD à trouver : Elles se sont lavé les cheveux. (CD = les cheveux, après le verbe = invariable) Elles se les sont lavés. (CD = les, placé devant le verbe = accorde au M.P. signifiant les cheveux) Elles se sont lavées. (CD = se, il est placé avant le verbe = accord avec se, qui représente « elles ») Étape 2 : Le pronom réfléchi est-il un complément indirect ? Il reste à vérifier si le pronom réfléchi (me, te, se, nous, vous) est un CI. Si le pronom réfléchi est un CI, le P.P reste invariable. Il  s’agira  d’un  de  ces  verbes  transitifs  indirects : plaire à, déplaire à, mentir à, nuire à, ressembler à, sourire à, succéder à, suffire à, en vouloir à, téléphoner à, parler à, écrire à, répondre à. MAIS si  le  pronom  réfléchi  n’est  pas  un  CI,  il  est  alors  SANS  FONCTION  logique,  le  P.P  s’accorde  donc  avec  le  sujet   (contexte très fréquent). Exemples : Elle se sont nui. (se =  CI  nuire  à  quelqu’un  =  invariable)   Il  s’en  sont  voulu.  (se  =  CI  en  vouloir  à  quelqu’un  =  invariable)   Les  rois  et  les  reines  se  sont  succédé.  (se  =  CI  succéder  à  quelqu’un  =  invariable)   Ils  se  sont  parlé.  (se  =  CI  parler  à  quelqu’un  =  invariable)   Ils se sont évanouis. (se = sans fonction logique : évanouir à eux ? impossible = accord avec le sujet) Ils se sont enfuis. (se = sans fonction logique : enfuir à eux ? impossible = accord avec le sujet) Ils  se  sont  méfiés  d’elle.  (se = sans fonction : méfiés à eux? Impossible = accord avec le sujet) On  ne  pas  peut  ni  évanouir,  ni  méfier,  ni  enfuir  QUELQU’UN.  (pas de CD) Il y a SIX exceptions : PLAIRE, COMPLAIRE, SE DÉPLAIRE, SE RIRE =  TJRS  INVARIABLE  PEU  IMPORTE  L’ANALYSE.   S’ÉCRIER ET  S’EXCLAMER = TJRS ACCORD AVEC LE SUJET. __________________________________________________________________________________________________ x PP  avoir  suivi  d’un  verbe  à  l’infinitif : S’accorde  si  l’action  est  faite  par  le  sujet  du  verbe.     Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM) Téléchargé par Gabriel Tremblay ([email protected]) lOMoARcPSD|47806189 Exemples : Les  diamants  que  j’ai  vus tomber (ce sont les diamants qui tombent). Les  diamants  que  j’ai  vu tailler (Les diamants ne se taillent pas eux-mêmes) FAIRE ET LAISSER : Fait = invariable  lorsque  suivi  d’un  verbe  à  l’infinitif.   Laisser = avec nlle orthographe  peut  rester  inv.  si  suivi  d’un  V  à  l’infinitif.   Les  vases  que  j’ai  fait  tomber  étaient  gros.   Les  vases  que  j’ai  laissé  tomber  étaient  magnifiques.   LORSQU’UN  PRONOM  A  POUR  ANTÉCÉDENT  UNE  PHRASE  =  NEUTRE.  (masc.  sing) : Comme les météorologues l’ont annoncé, il fera beau demain. Æ l’  =  il  fera  beau  demain  (le  cd  L’  est  donc  neutre,  donc   accord au masc. singulier) ON / NOUS : ne pas mélanger les deux ensemble *Mes amis et moi sommes allés au cinéma et on a mangé de la poutine. Mes amis et moi sommes allés au cinéma et nous avons mangé de la poutine. Utilisation du ON : déterminants SON, SA, SES et pronoms SE, SOI, SOI-MÊME. Utilisation du NOUS : déterminants NOTRE, NOS et pronoms NOUS ET NOUS-MÊMES. *On  ne  s’est  pas  rendu  compte de notre erreur. Æ Nous ne nous sommes pas rendu compte de nos erreurs. *Nous  n’avons  pas  eu  le  temps  de  se  laver.  Æ Nous  n’avons  pas  eu  le  temps  de  nous  laver.   *On  l’aurait  fait  nous-mêmes. Æ Nous  l’aurions  fait  nous-mêmes. *Dans la vie, on ne peut compter que sur nous-mêmes. Æ Dans la vie on ne peut compter que sur soi-même. TYPES ET FORMES DE PHRASES x Phrase emphatique : Phrase qui met en évidence un groupe de mots. o La mise en évidence se fait par le détachement avec virgules et en le reprenant par un pronom; o ou en encadrant  le  groupe  de  mots  par  C’EST  …  QUI,  CE  SONT  …  QUI,  C’EST  …  QUE,  CE  SONT… QUE (on ne met pas de virgules dans ce cas) J’en  ai vu passer, des surdoués dans les classes. Ton frère, il range ses affaires. Ses affaires, ton frère les range. C’est  ton frère qui range ses affaires Ce sont ses affaires que ton frère range. Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM) Téléchargé par Gabriel Tremblay ([email protected]) lOMoARcPSD|47806189 x Phrase impérative : Pour les verbes se terminant par E, on enlève le S de la 2e personne du sing. et pour le verbe aller (regardes devient regarde), mais on les garde avec les pronoms Y et EN pour la liaison Æ Donnes-en, Trouves- en. Les pronoms compléments EN et Y sont placés après les autres pronoms. EN termine toujours la phrase. ÆTu donnes des conseils à Jean. Donne-lui-en ÆAccordes-y-en (y doit précéder en) Impérative de forme positive : pronoms  lié  au  verbe  par  traits  d’union  sauf  lors  d’un  apostrophe ÆRends-les-moi / Donne-lui-en Ordre des pronoms : Verbe  ou  auxiliaire      +      Le,  la  ,  les  l’        +        moi,  toi,  t’,  m’,  lui,  nous,  vous,  leur           + y + en Impérative négative : (ou déclarative) ÆElle me les a rendus (déclarative) / Ne lui en donne pas. (imp. négative) Ordre des pronoms : Sujet + Me,  te,  se,  nous,  vous,  s’,  m’  t’     +        le,  la,  les,  l’      +        lui,  leur        +       y + en + verbe ou auxiliaire Exemples : (avec LE, LA, LES) Æ Tu me donnes le crayon. / Tu me le donnes. / Donne-le-moi. / Ne me le donne pas. (avec EN, Y) Æ Tu  me  donnes  du  pain.  /  Tu  m’en  donnes.  /  Donne-m’en.  /  Ne  m’en  donne  pas.   PAS  DE  TRAIT  D’UNION  À  LA  FORME  NÉGATIVE.   Emploi des formes élidées L’,  M’  T’  devant  EN  et    pour  éviter  LUI  Y.  Æ l’y,  m’y,  t’y Comme  il  y  a  un  casier  libre  et  que  ton  sac  est  lourd,  tu  l’y  déposes.  Dépose-l’y. Ce matin, tu vas au centre-ville.  Tu  t’y  rends  à  pied.  Rends-t’y  à  pied. Pour les  traits  d’union, savoir si le mot qui suit le verbe est un pronom ou un déterminant. Si pronom on met un trait d’union,  sinon,  on  en  met  pas.   ÆDonne-moi le crayon. Æ Fais le bien. (dét) ÆDonne-le-moi. Æ Fais-le bien. (pronom) Si  le  pronom  est  complément  du  verbe  à  l’infinitif  qui  le  suit,  on  ne  met  pas  de  trait  d’union. ÆTu oses le faire. / Ose le faire. (Ose faire quelque chose Æ le = CD du verbe faire) ÆTu le laisses faire. / Laisse-le  faire.  (laisse  quelqu’un  faire…  Æ le = CD du verbe laisser) Phrase négative : on ne peut jamais jumeler PAS et un autre marqueur de négation. Personne, nulle part, rien, aucun, aucune = négation seulement ET ne  …  que = restriction (ne pas les utiliser ensemble) Ils n’ont eu besoin que de  deux  jours…  /  Ils  ont  eu  besoin  de  seulement deux  jours… Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM) Téléchargé par Gabriel Tremblay ([email protected]) lOMoARcPSD|47806189 x Phrases complexes : juxtaposition,  coordination,  subordination,  l’insertion. o JUXTAPOSITION , ; : Je  suis  venu,  j’ai  vu,  j’ai  vaincu.   J’ai  révisé  la  syntaxe  ;  je  suis  prêt  pour  l’examen. Il est tard : allons nous coucher. o COORDINATION mais- ou-est- car- ni-or- donc- cependant- d’abord- ensuite- premièrement -non seulement- mais tantôt- tantôt, etc. Je ne suis pas sorti, car j’étais  malade.   J’ai  tenté  de  te  rejoindre,  mais tu étais absent. D’abord j’ai  fait  mes  travaux,  ensuite je suis allée au cirque. ** Il ne mange ni champignon ni brocoli. Denis est heureux, et Paul est triste. o SURBORDINATION ƒ Subordonnée relative : combiner deux phrases ayant un élément en commun Phrase enchâssante Æ La tempête a  surpris  l’équipage.   Phrase à enchasser Æ La tempête s’est  levée  en  peu  de  temps.   Phrase complexe : La tempête [qui s’est  levée  en  peu  de  temps] a  surpris  l’équipage.   ** La sub. relative doit toujours être immédiatement à la suite de son antécédent. *Les bonbons sont sucrés [que  j’ai  achetés  pour  les  enfants.]Æ Les  bonbons  [que  j’ai  achetés  pour  les   enfants] sont sucrés. Le choix du pronom relatif se fait en fonction  du  genre,  nombre  et  de  la  fonction  de  l’élément  à  remplacer  dans  la   phrase enchâssé : ƒ Qui = SUJET : Phrase enchâssante Æ La tempête a  surpris  l’équipage.   Phrase à enchâsser Æ La tempête s’est levée en peu de temps. (SUJET) Phrase complexe : La tempête [qui s’est  levée  en  peu  de  temps]  a  surpris  l’équipage.   Æ Élément commun des 2 phrases = tempête. ÆDans la phrase à enchâsse, tempête est le sujet. ÆDans  la  phrase  complexe,  on  remplace  tempête  par  le  pronom  relatif  qui  puisqu’il  est  le  sujet  du verbe endommager. Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM) Téléchargé par Gabriel Tremblay ([email protected]) lOMoARcPSD|47806189 ƒ QUE = CD : Phrase enchâssante Æ La tempête a  surpris  l’équipage.   Phrase à enchâsser Æ Nous avons essuyé cette tempête. (CD du verbe essayer) Phrase complexe : La tempête [que nous  avons  essuyée]  a  surpris  l’équipage.   ƒ Complément introduit par de = DONT : Phrase enchâssante Æ La tempête a  surpris  l’équipage.   Phrase à enchâsser Æ L’annonce  de  la  tempête a été ignorée. (TEMPÊTE INTRODUIT PAR PREP DE) Phrase complexe : La tempête [dont l’annonce  a  été  ignorée]  a  surpris  l’équipage.   ƒ Subordonnée relative explicative : fournit une explication NON RESTRICTIVE Æ donc elle est toujours détachée par des virgules, car elle est FACULTATIVE. Exemples : Les lions, qui sont des félins, sont des prédateurs. (tous les lions sont des prédateurs) Pedro  Almodovar,  dont  j’aime  les  films,  est  un  réalisateur  espagnol.  (nom propre = unique) ƒ Subordonnée relative déterminative : restreint  ou  détermine  le  sens  du  nom  qu’elle  complète.    Jamais   détachée  du  nom  par  des  virgules  puisqu’elle  ajoute  une  info  nécessaire au nom. Le  chat  qu’Isabelle  a  trouvé  hier  dort  devant  le  foyer.  (pas  n’importe  quel  chat) Les étudiants qui travaillent sérieusement réussissent. (signifie que ce sont uniquement ceux qui travaillent) ƒ Subordonnée complétive : En QUE : que, à ce, de ce que Æ Je veux que tu trouves un emploi à la hauteur de tes attentes. Elle peut occuper plusieurs fonctions grammaticales : -Fonction sujet =[ Que tu rentres pour diner] me surprendrait énormément. (quelque chose) -Fonction CD = Les enfants croient [que le père Noël vit au pôle Nord]. (quelque chose) -Fonction CI = Je me souviens [que cette rencontre a eu lieu la semaine dernière.] (de quelque chose) -Fonction  complément  du  nom  =  La  crainte  [qu’il  échoue  à  son  examen]  n’est  pas  justifiée.  (de quelque chose) -Fonction  complément  de  l’adjectif  =  Je  suis  heureuse  [qu’il  demeure  à  mes  côtés.]  (de  quelque  chose) Subordonnée complétive interrogative indirecte : Je me demande quelque chose. Viendras-tu à ma fête? Æ Je me demande [si tu viendras à ma fête.] Je ne sais pas quelque chose. Qui viendra pour ma fête? Æ Je ne sais pas [qui viendra pour ma fête.] Je me demande quelque chose. À quelle vedette a-t-il parlé? Æ Je me demande [à quelle vedette il a parlé.] J’ignore  quelque  chose.  Quand  reviendra-t-il? Æ J’ignore  [quand  il  reviendra.] Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM) Téléchargé par Gabriel Tremblay ([email protected]) lOMoARcPSD|47806189 Subordonnée circonstancielle (temps, but, manière, comparaison, cause, hypothèse, justification, concession, opposition, conséquence) Æ Pierre allait à la piscine [pendant que Paul faisait la sieste.] Subordonnée participiale : verbe  est  un  participe  présent  ou  un  participe  passé,  le  sujet  n’est  pas  toujours  exprimé.   (sous-entendu) Paul[, arrivé de justesse,] a eu beaucoup de chance. (complément du nom) J’aime  les  chiens  [ayant  le  poil  court.]  (complé.  nom) Les enfants [étant  partis  à  l’école,]  la  maison  était  vide.  (compl.  de  phrase)   * Marchant dans la campagne, les étoiles éclairaient Véronique. (les étoiles ne marchent pas) Marchant dans la campagne, Véronique était éclairée par les étoiles. DE QUOI = SEULEMENT POUR LES INTERROGATIVES. o INSERTION Phrase incise : apparait dans le discours direct pour indiquer qui est la personne qui parle, celle-ci est encadrée de virgules, son sujet et son verbe sont tjrs inversés. « Je pense que Natacha est prête », dit le commissaire. Phrase incidente : marque de présence du locuteur; marque son avis, point de vue (commentaire). On encadre de virgules. Il pleut, on le sait, il  n’est  pas  nécessaire  de  le  rappeler.   Il est, je crois, un peu sourd. Il était, vous ne me croirez pas, déshabillé. PONCTUATION Point (.) : à  la  fin  d’une  abréviation  Æ Hier,  j’ai  rencontré  M.  Jacques  Dumont.   Mais  si  la  dernière  lettre  du  mot  est  conservée  on  ne  met  pas  de  point.  Pas  de  point  à  la  fin  d’une  unité  de  mesure.   ÆMme Tremblay, Dr Allard, 3h30, 4 km. Point  d’exclamation (!) : phrase  exclamative  +  à  la  suite  d’une  interjection  et  de  certaines  expressions toujours exclamatives. Æ Quelles jolies roses! Eh bien! Aïe! Quelle histoire! Hé! Ouf! Allo! Ah! Ah bon! Tant mieux! … : énumération inachevée, phrase laissé en suspens. Æ Nous  aurons  besoin  de  lait,  de  beurre,  de  café...  /  J’imagine  ce   que  tu  veux  dire…  **JAMAIS  DE  …  APRÈS  ETC.   Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM) Téléchargé par Gabriel Tremblay ([email protected]) lOMoARcPSD|47806189 « » les chevrons : Pour encadrer une citation directe ou un discours rapporté, pour encadrer une expression reprise textuellement. ** Si la citation commence par une majuscule et a une ponctuation finale,  on  le  garde  à  l’intérieur.   ÆConfucius a dit : « Lorsque les mots perdent leur sens, les gens perdent leur liberté. » / « Comment vas-tu? » lui a-t-il demandé.  /  Il  m’a  dit  que  j’étais  son  «petit  canard en sucre ». () : pour  détacher  une  précision  concernant  l’élément  précédent.  Æ J’irai  à  l’université  mardi  (et  non  lundi).  /  Mardi  (et   non  lundi),  j’irai  au  cinéma.   - : Même usage que les parenthèses. Æ J’irai  à  l’université  le  mardi  – et non lundi. / Mardi – et non lundi-,  j’irai  à   l’université.   La virgule (,) : - Pour détacher un compl. de phrase déplacé en début de phrase, entre le sujet et prédicat ou entre le verbe et ses compléments. Æ Lorsqu’il  pleut, je…  /  Lucie,  lorsqu’il  pleut, ne  sort  pas.  /  Lucie  n’aime  pas,  lorsqu’il  pleut, faire du vélo. *Si  le  complé.  de  phrase  est  déplacé  au  début  d’un  subordonnée,  il  faut  l’encadrer  Æ Je sais que,  lorsqu’il   pleut, Lucie  n’aime  pas  faire  du  vélo.    *****  S’il  se  trouve  en  fin  de  phrase  sub.,  il  n’a  pas  besoin  de  virgules  Æ Ceux qui  n’aiment  pas  rouler  à  vélo  lorsqu’il  pleut sont peureux. - Pour  détacher  un  commentaire  de  l’auteur : Je sais, malheureusement, que je devrai partir. - Pour détacher un marqueur de relation : Donc, il faudrait / Je crois que,  d’abord, il  faudrait…   On ne met pas de virgules si le marqueur suit un verbe conjugué Æ Je  devrai  donc… - Pour séparer les éléments énumérés et devant car et mais : Je bois, je mange, mais je  n’ai  pas  faim.  /  J’ai  rencontré Jean, Luc, Simon et Rémi. Généralement pas de virgules entre les deux derniers éléments si il y a ET et OU. Æ Je mange du chocolat, des bonbons ou des chips. - Ni : pas de virgules si seulement deux éléments. Æ Cela me fait ni chaud ni froid. Mais 3 ni et plus = virgules. Æ Je ne mange ni chocolat, ni bonbons, ni chips. / Je ne mange pas de chocolat, ni de bonbons, ni de tarte. - Virgule devant ET, OU et NI dans 3 contextes : coordination  dont  les  sujets  sont  différent,  s’il  y  a  coordination  à   l’intérieur  de  l’un  des  éléments  coordonnés,  pour  indiquer  qu’un  complément  n’est  pas  commun  aux  phrases  ou  aux   groupes coordonnés. Æ Mathieu achètera le vin, et Joëlle apportera du pain. / Mathieu achètera le vin ou la bière, et  il  s’arrêtera  ensuite  à  la  boulangerie.  /  Mathieu  a  apporté  du lait, du beurre, du fromage, et une surprise pour Joëlle. (seule la surprise est pour Joëlle) - Détacher un élément mis en apostrophe : Je pense sérieusement, M. Dumais, que vous êtes dupe. - Marquer  l’absence  d’un  verbe : Je vais à Québec; toi, à Vancouver. - Détacher un élément en évidence et reprise par un pronom : Moi,  je  suis  allée…  /  De  la  pizza,  j’en  ai  mangé.  /  Ils   sont beaux, tes souliers. - Détacher une incise : « Je crois, dit-il,  que  tu  t’es  trompé. » Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM) Téléchargé par Gabriel Tremblay ([email protected]) lOMoARcPSD|47806189 Si  l’incise  est  à  la  fin  d’une  citation  qui  se  termine  par  un  simple  point,  le  point  est  enlevé  devant  le  guillemet   fermant  et  est  remplacé  par  une  virgule  devant  l’incise  Æ « Je  crois  que  tu  t’es  trompé », dit-il. Pas de virgule si la citation se termine  par  un  signe  de  ponctuation  !  ?  …  (autre  que  le  point).  Æ « Que tu es gentille! » dit-il. « Je  ne  t’oublierai  jamais… »  m’a-t-il dit. « M’oublieras-tu? » lui demandai-je. - Pour détacher, dans un GN, un complément du nom à la valeur non restrictive (une info pas nécessaire à la compréhension) Æ Ma  sœur,  Joëlle,  est  venue  me  rendre  visite.  (j’ai  une  seule  sœur  Æ nom  =  info  suppl)  /  Ma  sœur  Joëlle  est  venue   me  voir.  (j’ai  plusieurs  sœurs,  mais  c’est  ma  sœur  Joël  qui  est  venue  me  voir…  essentiel  pour  savoir  quelle  sœur) L’eau,  qui  gèle  à  0C,  est  essentielle  à  la  vie.  /  L’eau  qui  est dans ma piscine est chlorée. Le point-virgule (;) : - Juxtaposer 2 phrases logiquement liées : Je vais à Québec; toi, à Vancouver. - Énumérer des éléments contenant déjà des virgules : Je pratique plusieurs sports : la voile, qui est un sport gracieux ;  le  vélo,  qui  est  un  sport  d’endurance  ;  et  le  ski,  qui  renforce  la  musculature.   - Pour séparer une énumération verticale : Je pratique : -la voile; -le ski; -le surf. Le deux-points : -Introduire une énumération qui explicite un mot déjà mentionné devant le deux points : Je pratique plusieurs sports : la voile, le vélo et le surf.    **si  l’énumération  ne  termine  pas  la  phrase,  il  est  mieux   d’utiliser  les  ()  Æ Je pratique pluseirs sports (le vélo, le surf et le ski) tous les jours de la semaine. **Pas  de  deux  points  devant  des  mots  qui  introduisent  déjà  l’énumération  (tel  que,  comme,  etc.) **Pas de deux points entre verbe et son CD même si énumérationÆ Je pratique le surf, le vélo et le ski -Pour introduire une citation rapportée directement Æ Il  m’a  dit : « Je te veux. » ** Pas de deux points si la citation est intégrée directement dans la phrase Æ Il  m’a  demandé  quel  était  mon  dessert   préféré.  Il  m’a  dit  que  j’étais  son  « petit canard en sucre ». -Pour juxtaposer 2 phrases dont la seconde exprime la cause ou apporte une explication : (les deux points remplacent les mots CAR, PARCE QUE) Æ Je suis arrivée en retarde ce matin : le métro était en panne. -Pour juxtaposer 2 phrases dont la seconde exprime un rapport de conséquence (ALORS, DONC) Æ Le métro était en panne ce matin : je suis arrivée en retard. Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM) Téléchargé par Gabriel Tremblay ([email protected]) lOMoARcPSD|47806189 PLURIEL Un coup de main Des  troubles  d’apprentissage Des patins à roues alignées (le nom désigne une réalité comptable et qui est multiple) Un groupe de touristes Non comptable : persil, peau, farine, beurre, neige, eau, honnêteté, etc. Mots auxquels faire attention au pluriel : des prix, des nez, des avals, des bals, des chacals, des étals, des récitals, des régals, des rorquals, des drapeaux, des joyaux, des boyaux, des noyaux, des sarraus, des landaus, des pneus, des bleus, des émeus, des portails, des baux (bail), des coraux (corail), des soupiraux (soupirail), des fous, des bayous, des clous, des verrous, des filous, des voyous, des bijoux, cailloux, choux (chou), genoux, hiboux, joujoux, poux (pou) Aucun et aucune = au  pluriel  uniquement  en  présence  d’un  nom  qui  n’a  pas  de  singulier   Mots tjrs au PLURIEL : Aucunes vacances, alentours, épousailles, NULLES funérailles,  mœurs,  ténèbres,  condoléances,   fiançailles, gens, obsèques, pénates (divinité romaine qui garde le foyer et le garde-manger), entrailles, frais, honoraires, félicitations, archives, fonds, les environs, représailles, NULS pourparlers, agissements. Verbe et noms collectifs : Monde, famille, équipe, classe, etc. = tjrs accorder au singulier puisque le nom lui-même  l’est.   Tout le monde est venu à la fête. Plusieurs nous tendront la main. Aucun de ses collègues n’est  venu.   Personne  d’autre  que  nous ne connaissait la réponse. Beaucoup de phoques nagent. Plus  d’un  étudiant est arrivé en retard. Moins de deux ans ont passé depuis son retour. Nom collectif + complément : dépend du sens de la phrase et ce que veut dire le locuteur. (groupe, meute, ensemble, foule, tas, multitude, amas, peuple, une poignée, la majorité, etc.) Un  troupeau  d’éléphants  se  promenait.  Un  troupeau  d’éléphants se promenaient. Un tas de fleurs poussaient. *** exception car un tas ne peut pousser, ce sont les fleurs. Une  foule  d’admirateurs  s’est  accrue.  (***foule qui grandit et non les admirateurs) Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM) Téléchargé par Gabriel Tremblay ([email protected]) lOMoARcPSD|47806189 La plupart = pronom pluriel qui peut avoir un complément ou non. Seul : La plupart viendront à la fête. (3e pers. pluriel) Avec compl. = La plupart de amies sont venues. (accorde avec compl.) La  plupart  de  l’eau  douce  d’Amérique  du  Nord  est  contenue  dans  les  Grands  Lacs.  (accorde avec compl.) GN renferme une coordination ou une juxtaposition de GN : Un  jour,  le  sapin  ou  l’épinette  pousseront dans le jardin. Ni Paul, ni Pierre, ni Sarah n’ont  téléphoné au cinéma. Parfois au singulier si on exprime une substitution (ou) : Une librairie ou un bureau de poste sera construit ici. ADJ. avec un nom pluriel commandant un accord distributif : des communautés francophone et anglophone, les gouvernements provincial et fédéral, les premier et deuxième chapitres, les forêts boréale et tropicale, etc. ÉCRITURE DES NOMBRES ET DES FACRTIONS Vingt et cent Æ S’accorde  seulement en nombre lorsqu’ils  terminent le nombre. Invariable également  lorsqu’il  est   question  d’ordre  ou  de  rang et lorsque synonyme de vingtième ou centième. (ex. la page trois-cent ou l’année  mille- neuf-cent) Vingt livres. La page quatre-vingt. (inv = quatre-vingtième) Quatre-vingts livres. Deux-cents étudiants. Quatre-vingt-deux livres. Deux-cent-un  bœufs. Million, milliard, dizaine, centaine, millier sont variables. J’ai  des  millions  de  dollars.  /  quatre-millions-huit-cent-mille habitants MilleÆ Invariable SAUF  s’il  s’agit  de  la  mesure. (ex.  j’ai  parcouru  10  milles  à  pied) Fractions Æ Aucun trait  d’union  entre  le  chiffre  du  numérateur  et  celui  du  dénominateur.  Accord  du  dénominateur  si  le   numérateur est supérieur à 1. (330/5 = trois-cent-trente cinquièmes, 1/5 = un cinquième, 3/135 = trois cent-trente- cinquièmes) COULEURS Les couleurs simples s’accordent en  genre  et  en  nombre  avec  le  nom  qu’il  qualifie  (rose, mauve, pourpre, écarlate, fauve, jaune, rouge, bleu, vert, orangé, argenté, verdoyant, gris, blond, rouquin, rosé, brun blanc, noir, etc.) Des fleurs gorge-de-pigeon. Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM) Téléchargé par Gabriel Tremblay ([email protected]) lOMoARcPSD|47806189 ExceptionsÆ Les couleurs qui proviennent de noms sont toujours INVARIABLES. Or, chocolat, orange, marine, framboise, cerise, citron, caramel, lavande, turquoise, bronze, indigo, grenat, fuchsia, marron, aubergine, prune, pêche etc. Les couleurs composées sont INVARIABLES en tout temps. Exemple : bleu-vert (trait  d’union  si  ce  sont  deux  couleurs  simples) Vert pâle, rouge cerise, brun chocolat, bleu marine (JAMAIS MARIN), bleu verdâtre, noir de jais, vert olive, poivre et sel etc. PLÉONASMES (RÉPÉTITIONS INUTILES) Ainsi par exemple Commémorer un anniversaire Tous sont unanimes Prévoir  à  l’avance (fêter ou célébrer = oui) Monter en haut Ajouter en plus Institution privée (institution = tjrs Voire même Descendre en bas privée) Où y Avoir un avenir devant soi Comparer ensemble Panacée universelle (remède à Donc, par conséquent Redemander à nouveau toutes les maladies = universelle But final Comparer entre eux en soi) Environ quelque Répétition redondante Petite maisonnette Car, en effet Depuis les deux derniers mois Pléonasme fautif Enfin, pour finir Rouvrir à nouveau Première priorité Comme, par exemple Je crois, selon moi Rafales de vent Hasard imprévu Toujours encore Monopole exclusif Certains  pléonasmes  sont  acceptés  pour  intentionnellement  marquer  de  l’insistance : Je  l’ai  vu de mes propres yeux. / Je l’ai  entendu  de  mes  oreilles. / Moi, je crois que cette histoire est fausse. (emphatique) MAJUSCULES Internet : i ou I (au choix) Prénoms et noms de personne : Charlotte Ouellet Continent, pays, ville, province, village, État : Amérique,  l’Inde,  l’Ohio,  Rimouski,  l’Antarctique   Noms de lieux géographiques : mont Royal, rivière Morency, Quartier latin Noms de rues, boulevards, avenues, rangs, point cardinal qui accompagne : boul. Saint-Laurent, la rue Mont-Royal Est Signes du zodiaque : Bélier, Balancer, Vierge, Sagittaire Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM) Téléchargé par Gabriel Tremblay ([email protected]) lOMoARcPSD|47806189 Noms de fêtes religieuses et congés fériés : Noël, Pâques, fête du Travail, Saint-Jean-Baptiste Noms  d’une  population : les Européens, les Québécois ***attention aux adjectifs : parc montréalais, cours de français Noms des organismes, de regroupements, de fédération, etc. (maj. au premier mot sauf quand il y a un nom propre) Centre  d’aide,  Club  de  vacances  Henri-Julien, restaurant Chez Robert, fromage oka, Révolution tranquille, Faculté des sciences  de  l’éducation, Bibliothèque nationale ministère sans majuscule : ministère de la Famille et des Ainés, ministère des Ressources naturelles et de la Faune, ministère  de  l’Immigration  du  Canada HOMOPHONES ÆDEMI-SEMI-MI : Invariables  +  suivis  d’un  trait  d’union  si  placés devant un nom ou un adj. mi-décembre, au mi-temps, des demi-mesures, des armes semi-automatiques Variables EN GENRE SEULEMENT après un nom : trois heures et demie, quatre mois et demi. L’expression  à  demi  n’est  pas  suivie  d’un  trait  d’union quand elle signifie à moitié. (fenêtres à demi fermées) À demi voilée. À demi-mot (exception pour  le  trait  d’union) __________________________________________________________________________________________________ ÆNU INV.  et  suivi  d’un  trait  d’union  devant  un nom (nu-tête, nu-pieds) Variable en GENRE et NOMBRE après un nom (tête nue, pieds nus) __________________________________________________________________________________________________ ÆPOSSIBLE Invariable  si  accompagné  d’un  superlatif (le plus de, le moins de, les plus, les moins, les pires, les meilleurs) Ex : le moins de questions possible, les meilleurs soins possible, etc. Variable  s’il  est  accompagné  d’un  superlatif,  mais  séparé  de  celui-ci par un GPREP formé de DES+NOM ; possible s’accordera  donc  avec  le  nom : les meilleurs des soins possibles, le pire des résultats possibles. Var. en genre et nombre sans superlatif : tous les soins possibles, les questions possibles, plusieurs solutions possibles. __________________________________________________________________________________________________ ÆDES PLUS, DES MOINS, DES MIEUX Var.  en  genre  et  nombre  s’il  est  le  complément  d’un  nom  ou  d’un  pronom  dont  le  référent  est  précis : adj. est pluriel et prend le genre du nom : voici un livre des plus intéressants, une personne des moins informées. Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM) Téléchargé par Gabriel Tremblay ([email protected]) lOMoARcPSD|47806189 INVARIABLE dans les autres cas : (ADJ. PAS DANS UN GN) il est des plus agréable, faire entrer des inconnus chez soi est toujours des plus risqué, lui répondre rapidement est des plus important. __________________________________________________________________________________________________ ÆQUELQUE (S), QUEL (S) QUE, QUELLE (S) QUE QUELQUE : peut être un DÉT. ou ADV. QUEL QUE : ADJ. accompagné de la conjonction que. Lorsqu’il  est  DET : quelque  s’accorde  avec  le  nom  qu’il  détermine : quelques souvenirs. (dans le sens de plusieurs au pluriel  de  d’un  quelconque  au  singulier) x Dans quelque temps (= dans un certain temps) x Le  chat  s’est  caché  sous  quelque  (un)  fauteuil  (quelconque, DÉT singulier) x Le chat s’est  caché  sous  quelques  coussins  (plusieurs  coussins,  DÉT  pluriel) Lorsque QUELQUE est ADV : il est tjrs INVARIABLE et se trouve souvent devant un dét. numéral : x Quelque deux-cents personnes (environ = quelque est ADV.) ÆIl est possible de le trouver devant un adj., un P.P, ou un ADV. suivi de la conjonction que  et  d’un  verbe  au  subjonctif…   Quelque sera alors remplaçable par SI OU AUSSI. (= adv.) x Quelque  prudent  qu’il  soit  (si  prudent  =  adv.) x Quelques efforts  qu’ils  fassent… (Dét. Littéraire ici, car on ne peut remplacer par «Si») QUEL  QUE  est  l’adj.  QUEL  accompagné de la conjonction que : IL EST TJRS DEVANT UN VERBE AU SUBJCONTIF. Il s’accorde  en  genre  et  nombre  avec  le  sujet  du  verbe.   x Quelles que soient  vos  qualités,  …  (peu importe) __________________________________________________________________________________________________ Homophones tout(es), tous, tout(s) : ÆLorsque TOUT EST DET varie en genre et nombre (GN). *remplacer par un autre DET pour le savoir. (complexe) Tous les étudiants. Toutes les réponses. Toute la tarte. Tout le temps. (simple)  Tout  étudiant,  toute  personne…   ÆTOUT comme pronom : varie en genre et nombre Cette soirée a plu à tous et à toutes. Tout a un prix de nos jours. Les écrivains se sont rassemblés. Tous on  lu… ÆTOUT comme nom : signifie  la  totalité.  (nom  masculin  et  variable  qu’en  nombre) Tenter le tout pour le tout. Ils ont réuni des touts complets. Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM) Téléchargé par Gabriel Tremblay ([email protected]) lOMoARcPSD|47806189 ÆLorsque TOUT EST UN ADVERBE il  ne  varie  généralement  pas.  Pour  être  certaine  que  c’est  un  adverbe on remplace par PARFAITEMENT OU COMPLÉTEMENT. (Signifie très, entièrement, tout à fait) Jeans est tout rouge. Les enfants sont tout contents. Par contre, le TOUT adverbe peut varier EN  GENRE  ET  NOMBRE  en  présence  d’un  adjectif  féminin qui commence par une consonne ou un H aspiré (qui bloque la liaison). Elle est toute rouge. Marie est toute honteuse. Les filles sont toutes contentes. Elles ont des raquettes toutes décousues. Autres adj. féminins dont le H est aspiré : haineuse, haletante, handicapée, harcelée, hasardeuse, hérissée, hideuse, honteuse… Ne  s’accord  pas  s’il  est  devant  une  voyelle  ou  un  H  muet.   Jeanne est tout éblouie. Les filles sont tout heureuses. Elles sont tout honorables. H muet : habituée, héroïque, hésitante, heureuse, honnête, honorable, horrible, hospitalière, etc. __________________________________________________________________________________________________ ÆMÊME (S) Adjectif = variable ; les mêmes tâches, ce sont les mêmes termes, il  est  l’intégrité  et  la  sagesse  mêmes Adverbe = INV. : même  les  intimes  ne  comprenaient  pas,  elles  sont  même  reconnues  mondialement,  aujourd’hui  même Pronom = variable : Ce sont les mêmes que les miens, se renseigner eux-mêmes. DANS LES LOCUTIONS : À MÊME, DE MÊME, QUAND MÊME, TOUT DE MÊME = même tjrs invariable car adverbe. PLURIEL DES NOMS COMPOSÉS o INVARIABLE : verbe + verbe : des laissez-passer, ouï-dire; verbe +pronom : des rendez-vous; pronom + verbe : des on-dit; pronom (s) + verbe + pronom :  des  qu’en-dira-t-on x Nom = variable dans : Verbe + nom; des presse-citrons, des remonte-pentes, des garde-robes, des garde-mangers, garde-fous, taille-crayons, chasse-neiges, tourne-disques, aide-mémoires, chauffe-eaux; Prep + nom; des sans-cœurs,  des  avant-premières, des après-midis, avant-scènes; Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM) Téléchargé par Gabriel Tremblay ([email protected]) lOMoARcPSD|47806189 x Deux noms dont le 2e est le complément du premier = premier mots tjrs variable Nom + prep + nom ; des arcs-en-ciel, des chefs-d’œuvre,  des  hôtels  de  ville,  pots-de-vin, pommes de terre; Nom + nom (prep sous-entendu); des timbres-poste (timbres de la poste), années-lumière. x LES DEUX MOTS SONT VARIABLES : Adj. + nom ; des francs-tireurs; Nom + adj. ; des coffres-forts; Nom+nom (deux noms dont le 2e n’est  pas  complément  du  1er = apposition) ; des oiseaux-mouches, des choux-fleurs, paquets-cadeaux, clairs-obscurs, biscuits sucrés-salés. Les  noms  soudés  prennent  la  marque  du  pluriel  seulement  à  la  fin  (des  potpourris),  à  l’exception  des  mots : Monsieur, messieurs Gentilhomme, gentilshommes Madame, mesdames Mademoiselle, mesdemoiselles Bonhomme, bonshommes Pluriels particuliers : Les yeux noisette Accessoires bleu turquoise Les portes-fenêtres Chevaux de course Traverser la rue à pied sec Travaux menés de main de maitre Remise de diplômes Plus  d’un  artiste  parviendrait Vote à main levée Bâtons de ski Vos  secteurs  d’activité Dictée des Amériques sans fautes Des plages de galets Un mur de briques Saisit à pleines mains Des reflets vert doré Confiture de fraises Des hommes de main Une  majorité  d’élèves  s’entend Raconte les grandes amours Prêté main-forte Il devait 1.5 million de dollar Un  autre  ordre  d’idées Les tête-à-tête Devant les tout-petits Moins de deux ans se sont écoulés Plusieurs antennes radio On leur livrait La  bande  d’artistes se rassemble Des poignées de main Murs de la charpente sont en Ses cartes de visite À  pied  d’œuvre brique J’ai  une  estime  et  une  amitié  pour   Femme  d’affaires Ses cheveux noir de jais vous toute particulière Produits qui sentent BON Les Anglo-Canadiens (premier Des coups de pied Des appareils photo élément en O = tjrs inv) Une  minorité  d’élèves ratent Saute à pieds joints Ils  ont  été  à  même  d’effectuer… Les offres de service Des produits antirouille Ce sont vraiment les années Un agent de voyages Cassettes vidéo records Jus  d’orange Tous les lundis soir Des arrière-boutiques Se présenter sans faute Des haut-parleurs Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM) Téléchargé par Gabriel Tremblay ([email protected]) lOMoARcPSD|47806189 Des maisons témoins Recettes miracles Mardis matin Éditions pirates Amuse-gueules Des cafés-crème Les photos couleur Avant-gardistes Ci-joint les formulaire Les pages-écrans Portraits types PLURIEL DES NOMS PROPRES ÆNoms propres de lieux géographiques (peuvent prendre pluriel) :  la  Corée,  les  deux  Corées,  l’Amérique,  les  Amériques ÆNoms propres de personnes généralement pas : les Laplante, les Bougon. Peuvent  être  au  pluriel  ou  non  lorsqu’ils  ont  le  sens  d’un  objet  ou  d’un  personnage  type : Les deux Klimts sont magnifiques/  J’admire  les  Riopelles  que  tu  as  achetés  récemment.   ADJECTIFS VERBAUX ET PARTICIPES PRÉSENTS ADJ. VERBAUX = ACCORDE EN GENRE ET NOMBRE (peut être remplacé par un autre adj.) Ces jeunes sont provocants. (remplacer par drôles = adj. verbal) *Ces jeunes sont qui provoquent. Ces bureaux sont communicants. (grands) P. PRÉSENTS = INVARIABLE et se termine par –ANT  (peut  remplacer  par  QUI  +  verbe  conjugué  à  l’infinitif) Ces jeunes, provoquant sans cesse leur professeur, sont très futés. (Ces  jeunes  qui  provoquent  sans  cesse…  =  part.  présent) La chambre communiquant avec  la  mienne  est  très  sale.  (qui  communique…) Pour  savoir  comment  s’écrit  le  mot, on  détermine  s’il  s’agit  d’un  ADJ.  VERBAL  OU  UN  P.  PRÉSENT.   Ensuite, on regarde  l’orthographe  du  verbe  à  l’infinitif  duquel  il  provient  si  c’est  un  participe  présent.   Provoquer Æ provoquant (+ant) Converger Æ convergeant (+ant) S’il  s’agit  d’un  adj.  verbal : regarder le nom correspondant. Excellence Æ excellent Adhérence Æ adhérent Vacances Æ vacant P.PRÉSENT VS. ADJ. VERBAUX : Convainquant Æ convaincant Vaquant Æ vacant Influant Æ influent Suffoquant Æ suffocant Coïncidant Æ coïncident Différant Æ différent Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM) Téléchargé par Gabriel Tremblay ([email protected]) lOMoARcPSD|47806189 Équivalant Æ équivalent Négligeant Æ négligent Excédant Æ excédant Précédant Æ précédent Convergeant Æ convergent Manquant Æ manquant Naviguant Æ navigant Divergeant Æ divergent Coïncidant Æ coïncident Fatiguant Æ fatigant Exigeant Æ exigeant * Excellant Æ excellent Intriguant Æ intrigant * Violant Æ violent PRÉPOSITIONS (voir page 83 livre théorique) -Se rappeler quelque chose -Se souvenir de quelque chose Formes fautives : *Je me rappelle de ce film. Æ Je me rappelle ce film. *Je me souviens ce film Æ de ce film. *Je téléphone mes parents tous les jours. Æ à mes parents tous les jours. *Je suis tombée en amour. Æ tombée amoureuse. * Je dois payer pour mes achats. Æ payer mes achats. MAIS…   Il  s’est rappelé de payer ses comptes. Il demande à partir. Bien sûr, je me rappelle de toi. Ne jamais mettre de préposition devant CHAQUE ET TOUS lorsqu’ils  marquent  la  périodicité.  (heure, jour, semaine, mois, année, etc.) *À tous les jours, Æ tous les jours. *à chaque jeudi soir Æ chaque jeudi soir. Choix de préposition : à, de, avec, en et pour Toujours vérifier le contexte pour voir si le choix de la PREP est bon. ÆEN : lieu, manière, matière, moyen. Je suis allée en Afrique ; Les enfants sont en colère ; table  en  bois  ;  je  vais  à  l’école  en  métro.   ÆÀ : appartenance, attribution, lieu. Le  crayon  que  j’ai  emprunté  à  mon  collègue  ;  j’ai  acheté  un  toutou  à  ma  petite  sœur  ;  je  vais  souvent  à  Montréal.   Exemple avec le verbe parler : Mon ami parle le chinois. Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM) Téléchargé par Gabriel Tremblay ([email protected]) lOMoARcPSD|47806189 Je parle avec / à mon père. Je ne parle jamais de fantômes. Tu parles en français. ÆÀ TRAVERS ET AU TRAVERS DE : Le fantôme passe à travers la porte / passe au travers de la porte. Mais  en  travers  de  =  d’un  côté  à  l’autre. Æ Il y a un arbre en travers du sentier pédestre. ne jamais écrire à travers DE (mauvais usage) ÆFACE À (SOUVENT ABUSIF) : IL  EST  PRÉFÉRABLE  D’UTILISER  PAR RAPPORT À, POUR, QUANT À, RELATIVEMENT À, SUR OU VIS-À-VIS. Je me pose beaucoup de questions face à…  (quant  à) Le balcon de mon appartement est situé face à un parc. (bon usage) ÆEN  RAPPORT  AVEC  (relation  avec  quelqu’un) : Cet homme est en rapport avec ma  sœur  aînée.   Mais…  Tu  es  très  grand  par rapport à moi. ÆPROCHE DE = FAMILIER. PRÈS DE = SOUTENUE. Autres erreurs fréquentes : *C’est  le  vélo  à mon frère Æ de mon frère *Suite à votre  demande…  Æ À la suite de votre demande… *Porter des mitaines à four Æ mitaines de four *Le nouveau-né est sous observation. Æ en obersvation. *Mon frère travaille à la compagnie…  Æ pour la compagnie *Je me fie sur toi. Æ Je me fie à toi. *Il y aura huit à neufs convives pour souper. Æ Il y aura huit *Marcher sur la rue. Æ dans la rue ou neuf… *est tenu responsable pour les erreurs de son frère. Æ des *J’ai  diné  avec une pizza. Æ d’une pizza. erreurs de son frère. *Je serai avec vous dans un moment. Æ Je serai à vous…   *jouer sur la cour d’école  Æ dans la  cour… *Fachée après mon copain. Æ contre mon copain. *Ma  sœur  est  toujours  sur le téléphone. Æ au téléphone. *Les enfants sont furieux envers leurs parents. Æ contre *Sur  l’ordi  Æ à  l’ordi leurs parents. *sur le feu rouge Æ au feu rouge *difficultés au niveau des participes passés. Æ pour ce qui *À tous les mois Æ tous les mois est des participes passés. *Train entre dans la gare Æ en gare *De nos jours, on voyage peu en mer. Æ par mer. *de  d’autres  Æ d’autres *Mon père voyage souvent par affaires. Æ pour affaires. *L’anniversaire  à  ma  cousine  Æ de ma cousine *Ce meuble mesure trois mètres par cinq mètres. Æ trois mètres sur cinq mètres. Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM) Téléchargé par Gabriel Tremblay ([email protected]) lOMoARcPSD|47806189 ÆUtilisation  d’un  véhicule : À si on est sur le véhicule et EN si on est dedans. Je  me  rends  à  l’école  à  vélo  ou  en  voiture.   Préposition devant les noms géographiques : PREP  placée  devant  le  lieu  où  l’on  est  ou  le  lieu  où  l’on  va : lié au genre du nom, au nombre de ce nom et sa première lettre. (aussi pour les régions et pays). ÆLes noms qui finissent par E sont tous féminins, excepté Mexique, Mozambique, Cambodge. Exemples : Pays (à, aux, au, en) Æ Aller  à  Cuba,  J’irai  aux  États-Unis,  Je  possède  un  chalet  aux  Bermudes,  J’habite  au  Canada,  Je   demeure  au  Honduras,  J’habite  en  France/en Afghanistan/ à ou en Haïti. Région (dans, en) Æ J’habite  dans  les  Rocheuses,  dans  le  Sud,  en  Mauricie,  en  Aveyron. Continents (en) Æ en Afrique. Villes (à) Æ à Montréal, à Vancouver. Devant  le  lieu  d’où  l’on  vient : différent. Pays et régions (de,  d’,  du,  des)  Æ reviennent de France, Je viens de Hongrie,  d’Anjou,  d’Espagne,  d’Haïti,  du  Japon,  du   Honduras,  des  Caraïbes,  … Continents (d’)  Æ vient  d’Asie.   Villes (de,  d’)  Æ Tu  viens  de  Québec,  d’Alma.   Coordination des GPREP : Mais, ou, est, car,  ni,  or…   Choix de répéter ou non la PREP si celle-ci est pareil dans chacun des GPREP : Æ Il a marché sur le trottoir et la pelouse. (préférable) / Il a marché sur le trottoir et sur la pelouse. (moins accepté) Généralement, on doit répéter les PREP à, de et en devant chacun des groupes : ÆJe suis allée au cinéma et à la  piscine.  /  J’ai  demandé  à ma meilleure amie et à mon conjoint. Permis de ne pas répéter la PREP si les éléments coordonnés désignent une idée/groupe unique : ÆJ’ai  téléphoné  à  mon  oncle et parrain. (oncle et parrain = même individu) J’ai  téléphoné  à  mon  oncle  et  à  mon  parrain.  (deux  individus  distincts)   Dans  les  PREP  formées  de  plusieurs  mots,  seul  l’élément  à ou de doit être répété : Æ J’y  suis  parvenu  grâce à mon père et à ma mère. Document de révision TECFÉE 2012 – fait par Roxanne Dumais (EPEP/UQAM) Téléchargé par Gabriel Tremblay ([email protected])

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