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Viviane Seigneur De la prévention de l'échec Introduction : Dualité epistémologique : certains risque très controversés (car tangibles) mais font en réalité peu de mort/accident VS des risques peu perçus malgré réalité -\> MAM est autant perçu comme risque que risque ds les chiffres Etude sur al...

Viviane Seigneur De la prévention de l'échec Introduction : Dualité epistémologique : certains risque très controversés (car tangibles) mais font en réalité peu de mort/accident VS des risques peu perçus malgré réalité -\> MAM est autant perçu comme risque que risque ds les chiffres Etude sur alpinisme, des prises de risques materialisées au plan social et qui font aussi accidents. Aussi etude sur risque terroriste... Risque, perceptions, comment on s'en prémuni... D'abord risque en haute montagne puis décodage conceptuel puis socio du risque puis application au cas des pilotes de ligne et de la gestion de la fatigue. Première partie : Leçons de terrain. De la prévention du mal aigu des montagnes (MAM) au dopage des alpinistes I. Définition du mal aigu des montagnes Sommets à quasi 7000 m en Amérique, andes. Quand on monte en altitude, la pression est de plus en plus basse donc plus de mal à capter air exterieur, il faut respirer plus. On appelle cette situation l'hypoxie (capter mal oxygène en altitude). Des mécanismes de défense/adaptation se mettent alors en place ds l'organisme : hypoxie alvéolaire (poumons en hyperactivité avec respiration forte et rapide) + hypoxie cérébrale (car deuxième organe consommateur d'oxygène, se sentir ralenti, bizarre, hallucinations, oedem et difficulté à réguler les flux). Une image contenant texte, habits, Visage humain, casque Description générée automatiquement ![Une image contenant texte, capture d'écran, Police Description générée automatiquement](media/image2.png) Une image contenant texte, capture d'écran, Police Description générée automatiquement Le corps s'adapte donc : accomodation avec respiration plus rapide pour compenser le manque d'oxygène + au bout de quelques jours acclimatation avec globules rouges qui sont de plus en plus nbreux pr compenser manque oxygène. Entre accomosation et acclimatation, il peut y avoir une inadaptation avec le Mal Aiguë des Montagnes (MAM) : hallucinations, oedem cérébral ou pulmonaire voir mort. -\> un risque qualitatif et quantitatif, le MAM est qqc de tangible. ![Une image contenant texte, Visage humain Description générée automatiquement](media/image4.png) Fréquence de ces risques : Une image contenant texte, capture d'écran, Police Description générée automatiquement-\< sur son terrain (Concagua dans les Andes, 7000m MAM pr tout le monde) ![Une image contenant texte, capture d'écran, Police Description générée automatiquement](media/image6.png)-\< Besoin d'un certain tps pour symptômes (maux de tête etc), le MAM évolue ensuite pdn 3-4 jours (accentuation des symptômes), évolue et gène plus la nuit que la journée notamment pour les oedem. Dès arrivée au camps de base de la concagua, des soucis arrivent à la population étudiée. Score de Hackett pr aider alpinistes à s'évaluer pour le MAM : Une image contenant texte, capture d'écran, Police Description générée automatiquement-\> en fonction de gravité, il faut agir. ![Une image contenant texte, capture d'écran, Police Description générée automatiquement](media/image8.png) Variabilité individuelle fait que c'est assez imprévisible. (quasi) ts le monde est concerné à partir de 4500 m. Evaluation possible de la dangerosité. Peut ê mortel. Prevention du MAM fait donc des recommandations curatives et préventives : Une image contenant texte, capture d'écran, Police Description générée automatiquement Diamox : fait circuler sang Coricostéroïde : produit dopant Caisson de recompression : simule pression altitude 0, permet a son organisme de récupérer oxygène. Analyse très physiologique du Mal aiguë des montagne : médicalisation de la prévention et du curatif. II\) Présentation du terrain : l'aconcagua ![Une image contenant neige, nature, montagne, Chaîne de montagnes Description générée automatiquement](media/image10.png)-\> Le terrain : prevention du MAM sur le toit de l'Amérique, Argentine Une image contenant texte, carte, atlas Description générée automatiquement Points rouges et gris sont campements. Voie normale (facile) / voie sud (plus technique) / voie vert foncé (intermédiaire) Cet espace découpe les pratiques : on peut déterminer 3 espaces Garder à l'esprit cartographie et espaces ds nos terrains : y compris dans sciences dures, perceptions sociales des lieux vont mener à perceptions différentes, par exemple en cartographie il y a de la symbolique, de l'anthropologie culturelle sur les cartes. ![Une image contenant capture d'écran, texte, plein air, nature Description générée automatiquement](media/image12.png) Plaza des mulas : camps de base de la voie normale, gros village, centaines de personnes dans des tentes. Tentes bleues sont tentes commerciales (snacks, epiceries). Des guides etc sur ces routes. Face Nord est : avec itinéraire de la voie normale, sommet relativement aplatis. Une image contenant neige, capture d'écran, nature, Sommet Description générée automatiquement Plaza Argentina : bcp moins de personnes, bcp moins de personnes, slm une tente commerciale. Glacier des polonais : plus incliné, neige, demande donc technique (mais pas non plus voie la plus dure) ![Une image contenant plein air, faire de la randonnée, capture d'écran, texte Description générée automatiquement](media/image14.png) Face sur : très difficile et technique, demande d'être pro, des dangers (éboulement,...) concerne très peu de personnes. - 3 ambiances très différentes, trois espaces diff. Ces différences peuvent mener à jugements de valeurs négatifs... III\) Les dispositifs de prévention Une image contenant texte, capture d'écran, plein air Description générée automatiquement Aconcagua, comme voie normale est accessible, peut petre bon endroit pour démarrer alpinisme, cependant cela peut mener à prise de risque par méconnaissance. Le gouv mise donc sur l'information pour prévenir des dangers du MAM. Également besoin d'un permis d'ascension (payant) pour aller dans cette zone, les autorités utilisent cete demande de permis pour donner brochures sur ces éléments : dangers du MAM, recommandations, on prévient que des gardes-parc se trouvent dans les camps et qu'on peut leur parler des symptômes du MAM. ![Une image contenant texte, capture d'écran, Police Description générée automatiquement](media/image16.png)Une image contenant texte, habits, Visage humain, homme Description générée automatiquement ![Une image contenant texte, capture d'écran, mammifère, faire de la randonnée Description générée automatiquement](media/image18.png)-\> Dans la culture des alpinistes, l'altitude est dangereuse, ils savent qu'acclimatation est à prendre en compte. Une image contenant texte, capture d'écran, Police, diagramme Description générée automatiquement Yoyo : on progresse plus haut mais retour ensuite en bas pour une exposition moins longue a altitude (ex portage de ses affaires au camps suivant puis retour au camps de base). Ces trois modèles dominent culture des alpinistes ds monde. Mode d'action est une réponse technique mais les alpinistes recherchent également un « style d'ascension ». ![Une image contenant texte, habits, personne, faire de la randonnée Description générée automatiquement](media/image20.png)Mathis Zubringen, Suisse, premier à monter concagua. Alpiniste doit arriver à cette époque à contourner obstacles pour arriver au sommet, pas question technique car elle est très rudimentaire, idée est de faire grosse expedition avec des mules pour porter affaires... Voie normale de la concagua est heritière de cette histoire là, on peut y venir lourdement equipé et on prend le tps qu'on veut, là pour s'installer un moment. Ce mode d'action est donc très marqué sur voir normal, ce n'est pas slm un itinéraire mais aussi un état d'esprit. Une image contenant texte, capture d'écran, neige, skier Description générée automatiquementAnnées 50, ttes les montagnes du monde ont été franchies, on commence à s'interresser aux faces plus difficiles avec de la neige et glace (« face nord » en Europe), fin de la génération des voies normales. Les polonais viennent avec vêtements plus techniques, besoin de technique d'encordement, utilisation de bâtons de ski, sac a dos... -\> technicisation en // de recherche de difficulté. On commence à faire des voies « directes » et on essaye de donner esthétique aux ascensions : avoir itinéraire élégant c'est avoir un itinéraire direct, capacités techniques pour affronter difficulté. Préclassicisme ds alpinisme mondial. Signification de l'acsension plus exigeante. ![Une image contenant texte, capture d'écran, skier, plein air Description générée automatiquement](media/image22.png)Années 60/70, on a fait quasi ttes les face nords, on a gravit ts les sommets. Sentiment que c'est fini : comment renouveler le paradigme ? Puisque frontières phys ont été franchies, il faut dépasser limites humaines. Reynold Meisner est alors premier alpiniste à faire Everest sans oxygène : il sait que certains alpinistes des années 30 ont reussi a aller à 8000 m mais les physiologistes lui disent que c'est zone de mort. Cependant il y va pour se dépasser soi mm. Il fait également des exploits en escalade rocheuse : classement jusqu'à 6 des diffucultées en escalade (6 = photo noir et blanc), il invente donc le 7A, ajd on peut même aller dans le 9 en escalade. Epoque ou on entre ds société du depassement. Ce qui se passe ds face sur incarne cette phase. Face à la fois rocheuse et glacières, techniques d'escalade libre et d'escalade artificielle (échelle accrochée), utilisation de piolets aux pieds et mains dans la glace. Recourir à ses ressources perso pour donner plus value à l'ascension. Capacités techniques, capacité d'autonomie de l'individu valorisés. Qualifications des voies par des noms de lieux. - Etat d'esprit : derrière ascension et itinéraire, une culture, une idéologie, une esthétique. Acclimatation va être plus ou moins cohérente avec le style d'ascention /sous-culture d'alpinisme on se trouve. - Prise en compte des dangers (MAM) mais cette prise en compte est finalement en lien avec style - Le style valorise des camps, des itinéraires, des usages : sur voir normal, des pratiques plus collectives / sur voir des fr pratique individuelle valorisée Une image contenant texte, capture d'écran, carte Description générée automatiquement Questions des noms de voies et nationalité : contsstruit post 2GM, avec des expéditions organisées pour gloire de différentes nations. Américains du nord vont svn sur sommet des polonais : pour collectif, 400m par 400m avec étapes, style modéré, prudence et méthodologie. Face sud avc exigences forte et ressources personnelles vont svn avec « style alpin » : minimum de ressource (materiel, nourriture...), de faible moyens, mobilisation de ses ressources propres. Cela favorise la rapidité donc yoyo, on fait sommet d'acclimatation avant pour aller le plus vite possible dans la voie. On est dans des espace-temps et chacun ne gère pas cela de la mm manière. Utilisation des camps et leurs nom sont en fonction de ces styles : par ex à plaza canada peu de chance de trouver fr. Les stratégie des uns et des autres coexistent sans forcement être comprise par les uns et autres. Par ex sur voie normale, fr sera tenter de faire camps de base-sommet sans passer par camps intermédiaires : il rationnalisera avec fait que ce n'est pas la peine e dormir si haut, les camps sont sales, sans point d'eau (arguments objectifs). Qd les français se trouvent sur camps des polonais, majorité des français s'arrêtent au même camps, le but étant de démarrer leur voie en étant dans l'esthétique la plus ascensionnelle possible. Tt ce qui est très institutionnalisé est très naturel : les réponses sur des sujets techniques peivent sembler très naturalisées alors qu'elle sont en fait très liées à la culture/style. -\> marquage culturel du territoire et du temps -\> il faut un sens/du symbolique dans ce qu'on fait -\> les choses s'instituent et prennent sens collectif à force de répétition de la même action par divers acteurs. -\> des cultures d'ascension diff dans lesquelles la gestion du mal des montagne s'intègre plus ou moins bien : style américain est plus facile pour gérer car fonctionne par pallier -\> pourtant il y a plus de morts sur la voie normale (car + de monde ? car plus de tps d'exposition au MAM ? car moins de compétences chez les gens qui vont à voie normale ?) : raison est d'abord statistique car plus de monde sur voie normale, également selon culture, on prend plus ou moins de risque sur cette voie (les fr qui vont direct au sommet). Ex de risques socialement amplifiés : crash d'avion vs crash voiture, risque coma éthylique personne âgées \> jeunes,... Le « hors champs » : des non-lieux, des choses qui n'existe pas/sont minimisées. ![Une image contenant texte, capture d'écran, Police, nombre Description générée automatiquement](media/image24.png) Prédictibilité du MAM n'est pas prévisible par la science. Cependant, pour les canadien prévisibilité est possible : quasi aucun meurt. Les « bonnes pratiques » profanes sont parfois très bien, parfois meilleures que le médical (ex des arrêts de l'alcool sans intervention médicale). Qd coréens ressentent premiers symptômes du MAM, ils les considèrent comme une défaillance, faire demi tout ou suspendre l'ascension c'est être à mal son honneur et perdre la face. Pour un Canadien, si symptôme, s'abstenir de monter est preuve du savoir-faire, si cela ne signifie pas et je dois redescendre, cela montre le savoir faire demi-tour. Genre joue également là dedans, les filles meurt moins. - Signification donnée à manière de prévenir le MAM change donc selon la culture. (De plus ici ces résultats culturels sont prouvés par du quantitatif) IV\) Evaluation de la prévention et observations Biais et limites des analyses Une image contenant texte, Police, capture d'écran Description générée automatiquement-\> stéréotype fait consensus (les gens ne sont pas assez informés) cependant selon pratiques liées à culture des réinterprétations différentes. Ex pour les paquets de cigarette « fumer tue » mais les gens fument qd mm. Risque éthique (les médecins et ce qu'ils connaissent du MAM) et risque emique (pratiques, risque perçus). -\< pb d'interprétation de qui meurt à l'Aconcagua et pq : si symptôme, importance et réponse qu'on leur apporte dépend des cultures. La manière informative de prévenir le risque ne cible donc pas les enjeux. -\> c'est donc un pb symbolique : il faudrait plutôt valoriser que monter coute que coute n'est pas une plus-value d'héroïsme, que savoir faire demi-tour est un savoir faire... + comment intervenir sur la symbolique des personnes + valoriser le prendre soin de son corps en montagne etc pour ce qui est destiné aux coréens. Également question des valeurs fondamentales/ valeurs sacrées : ttes les valeurs ou on dit « plutôt crever » : ce sont des choix couteux, ils reflètent souvent des valeurs sacrées (ex il ne faut pas faire demi-tour, plutôt crevé). Qui sommes nous pour juger les valeurs sacrées d'autrui/des autres cultures ? ![Une image contenant texte, capture d'écran, Police Description générée automatiquement](media/image26.png) Incertitudes médicales et test de saturation d'hémoglobine ne permettent pas de prévoir. Les gens qui font ce test au camp de base se « rassurent » mais le test ne sera pas prédictif. On tente de réduire une incertitude non réductible. Les Canadiens réussissent mieux car attention à leur santé au jour le jour et pas tentative de prévision. Pb du score de Hacket est de se classer mais variabilité symptôme ds le tps. Ne pas monter trop haut et trop vite dans les recommandations n'est pas interpréter pareil ds un style alpin vs style à l'américaine. Qd du physiologique, on va rapidement demander aux médecins de répondre mais dcp moins de prise en compte du social. Pr faire consensus/convaincre etc il semblera plus légitime de faire graphique, de donner des chiffres comme le font la science bio-medical. Place du médicament, y compris dans le préventif : ça n'évite pas le MAM, ça le retarde, risque est que les gens se sentent immunisés alors qu'ils ne le snt pas. Une image contenant texte, capture d'écran, Police, nombre Description générée automatiquement Paradoxe de ce type de medicalisation : certains prenennt des produits pour finir de grimper le sommet (ils prenennt donc leurs corticostéroïde cependant il faut encore redescendre après) : les produits sont a disposition donc utilisés. Place du dopage est dimension importante. Epilogue : dopage au mont blanc : On retrouve ds ces analyses des cortico stéoride, du diamox... -\> injonction paradoxale : les médecins dénoncent eux-même l'utilisation de ce qu'ils prescrivent à ces personnes en prévention. On ne peut pas attendre que patient se positionne correctement si injonctions aussi paradoxales. ![Une image contenant texte, capture d'écran, document, lettre Description générée automatiquement](media/image28.png) Deuxième partie : Décodage conceptuel du terrain I. Risque et perception, conceptions théoriques A. Les risques comme construction sociale Faire changer pratiques avec dimensions symbolique est tâche complexe. S'habituer à des formes de réponses plus inachevées mais plus réalistes vis-à-vis de situations complexes. Etre attentif à nos croyances : ce n'est pas pcq réponse partielle qu'elle n'est pas valable ou qu'elle est moins efficace qu'une réponse univoque (ex des test de saturation d'hémoglobine qui donne une réponse sérieuse, chiffrée et médicale : des malentendus vis-à-vis de la technologie et de son utilité, les gens prêtent à la technologie des propriétés qu'elle n'a pas forcément). Pdn lgtps (jusqu'aux 90') question des risques d'abord par sc de l'ingénieur, il est vu comme quantifiable, non remis en question (tempête, éboulement), vision très « science dure » de question des risques. Début des 90 : émergence de recherches disparates en sociologie du risque, svn de manière empirique, recherche-action. Société du risque d'Ulrich Beck : - vit ds société ou de plus en plus de risque mais de moins en moins de danger (logiques assurantielles, il faut calculer ts les risques pour pouvoir les gérer, on met des statistiques sur des incertitudes) - On cherche désormais à anticiper ce qui pourrait se passer, évacuer un certain nbr d'incertitude en les transformant en risque : cela explique qu'on a jamais autant parlé de risque mm si vie jamais autant securisée Marie Douglas et Wildavski) Risque et culture : - Des travaux moins connus, pas de validation statistique - Dans cette approche, développement des approches symboliques des controverses - Risque = éventualité que qqc arrive, potentialité du danger -\> réalité du risque est donc tjrs discutable : est ce fréquent ou non ? -\> ds les théories risque et culture on réfléchi bcp aux controverses autour - Douglas W notion de pur et impur, notamment avec risque nucléaire sur territoire américain : Controverses se construisent diff selon contxt particuliers (cultures locales) Travaux de Beck et Douglas s'accordent sur fait que le risque est avant tt une construction sciale. Question pur impur en haute montagne : impensé de la contamination des eaux avec les matières fécales des alpinistes car montagne = pure. Années 2000 : conclusion que la socio/anthropo du risque se penchera fatalement sur une construction sociale (de qqc d'hypothétique). B. Les travaux constructivistes dualistes Risque est à la fois qqc de probable mais aussi de construit (hypothétique). Certains pensent que risque n'existe que dans le langage et dans l'imaginaire, pourtant il y a vrm des contaminations d'eau. -\> risque comme avant tt une représentation Pour le mal aigue des montagne -\> est-ce lui qui tue ou l'heroisme ? Pour d'autres le risque est une construction sociale mais aussi un fait avéré (ex : Paul Slovic et la psychologie du risque). Epistémologie : étude des conditions de production de la science. Dualité épistémologique du risque : On est entre réalité objective et construction sociale. La connaissance sur le risque passe par la prise en compte de cet ADN particulier du risque. Questions de construction du risque, notamment comment il est construit (en labo, en plein air...) dis choses de notre perceptions de choses + impact de l'amplification sociale et du hors champs ds notre perception du risque (des amplifications vs des risques dont on ne parle pas). Slovic montre que familiarité avec risque nous fait percevoir plus ou moins : ex cuisine est un lieu bcp plus favorable à homicide statistiquement que homicide dans rue par inconnu. II. Existence sociale du risque, de la théorie au terrain A. Expliquer le social, les enjeux Anthony Giddens : années 80-90 : - Travaux empiriques ds but de conseiller le politique, expliquer enjeux du social à travers terrain qui font sens pour donner réponses - Théorie de la structuration : ensemble des pratiques sciales accomplies et ordonnées ds l'espace et le tps - Permet de ne plus slm travailler sur les sciétés globales (comme Ulrick Beck fesait) mais aussi de sortir de l'individualisme méthodologique (travail sur interraction entre les acteurs) - Dans cet approche, on regarde des actions routinières s'établir ds un esp tps donné pour analyser les institutions. - Se demander quel espace tps de la cible de travail 10 remarques fondamentales sur cette approche : - Ts les ê humains snt des agents compétents en société (on a ts une connaissance remarquable des conditions, des conséquences de ce qui se passe ds nos vies quot, des tenants et aboutissants de société) - Les compétences de ces acteurs humains est tjrs limitée (bcp de chose se font implicitement, de manière naturalisée donc pas tjrs conscient + certains nbr de conditions nous mène à faire telle ou telle action + conséquences parfois inattendues des actions) - Etude de la vie quot est ce qu'il estime être l'observation de ce qu'il y a de plus institutionnalisé : les institutions les plus fortes snt celles qui se reproduisent de manière naturalisée, sans y réfléchir... (ex mettre des chaussures pour sortir dehors...) -\> c'est cela qui fait que risques familiers perçus comme moins dangereux que risques en dehors de nos familiarités, question d'acceptabilité des risques routiniers (ex ça parait normal de pouvoir avoir accident de voiture). - Routine est forme prédominante qui classifie risque : ce qui est routinier est accepté (svn euphémisation de ces risques), ce qui ne l'est pas fait peur (svn amplification de ces risques) - Contxt de l'interaction : interraction est moment précis de la reproduction sociale, on sait comment fonctionne société (dire bonjour, au revoir très institutionnalisé, on se pose pas de question dessus). En ce sens, ces interactions sont le moment où on pourra voir qu'elles sont les règles du jeu social, comment on peut montrer notre asymétrie, qu'est ce qui doit ê mis en avant selon la contextualité de l'interraction. On pourra déterminer les choses les plus prévisibles : réciprocité à mettre en scène ds le bonjour-au revoir. - Chaque contexte d'interraction montrera symétrie de statut (ex tutoiement) ou asymétrie de statut (vouvoiement). Ces interactions prenennt donc des formes qui nous mènes à voir des institutions, des identitées sociales, ces types d'interraction, lorsqu'elles sont régularisées permettent de retracer les institutions à partir d'interractions routinières. - Question de la contrainte : 3 aspects de la contrainte : - Contrainte materielle - Le pouvoir de contrainte (capacité de sanction) - Contrainte structurelle (limite l'éventail des options possibles, borne notre espace mental entre ce qui peut exister/n'existe pas : ex en montagne possible d'avoir le MAM ds esp mental mais svn pas l'intoxication au salmonel (matière fecale)). - Principes structurels : des routines, une connaissance du social avec ses limites et ses constriantes, importance de ces principes pr différentiées les sociétés. Ex modèle d'une société très individualiste en face sud, modèle plus communautaire sur voie normale... -\> donne traits généraux de société a laquelle on appartient - Question du pouvoir : pr guiddens c'est le chainon qui raccroche notre action au structurel. Ex pour canadiens pouvoir de contrôle sur leur st au fur et a mesure de leur action : entre l'action et la structure de la société (aspect culturel). - Aucun mécanisme d'orga ou de reproduction sociale que les chercheurs travaillent et que les acteurs ne connaitraient pas. Eux mm incorporent ts ces mécanismes sociaux. B. Théorie du social et éclairages sur le risque III. Rationalisation du risque / rationalité et risque A. Raison et rationalité Rationalité : schéma de pensé qui consiste à raisonner pour atteindre un objectif, compte tenu des moyens disponibles. -\> donc mobilisation de moyens cohérents pour but recherché, se rapproche de science de l'ingénieur pour construire un pont par ex. Cependant, côté relativiste : Des actions peuvent être rationnelle non pas slm pour un but mais aussi par rapport à des valeurs/une valeur. Ds éthique protestante, Weber montre que rationalité vise un but pratique mais aussi sa valeur. A. Théorie du choix rationnel de la rationalité axiologique et de la rationalité ordinaire 2 theories ecnomiques : Theorie du choix rationnel chez les économistes (Simon): les indiv feraient balance avantage/inconvégnients pour opter pour ceci ou cela. -\> on ne tient pas compte des preferences, valeurs des indiv Théorie rationalité limitée (précède Simon) : on fonde nos choix sur info a disposition Weber : rationalité axiologique : - Elle poursuit un but - Ds le mm tps, elle poursuit une valeur Boudon, 2012 : théorie de la rationalité ordinaire : - Valeur instrumentale/ efficacité pratique - Valeur normative/ efficacité symbolique IV. Rationalité médicale et forme de prévention Jean Pierre Dozon, travail sur les modèles de prévention (voir bibliographie) : montre comment ds esp tps divers modèles de prévention semblent aller de soi alors que non. Multiplicité des modèles de prévention : - Messages (nuit gravement à la st...) - idée d'adhésion : si on éclaire les gens sur aspects néfastes sur santé, les gens vont mesurer le risque, faire des arbitrages et limiter exposition à ce risque. - Idée que les personnes peuvent changer - Des endroits ou certaines pratiques sont interdites (fumer)/ obligatoires (être vacciné) - Certaines contraintes se substituent donc parfois au consentement (des formes d'exclusion par ex pour personnes atteintes du VIH qui ne peuvent pas aller sur territoire américain) -\> pratiques coercitives - Des pratiques « sacrificielles » (tuer ts les bovins quand vache folle aux UK) - Arbitrage entre diff stratégie quand SIDA - Une profusion de message selon des formes de rationalité diverses, certaines vont avoir des formes religieuses, d'autres seront contraignantes, d'autres travaillent sur consentement... Dozon aborde idée de mettre des formes « moderne » et des formes « traditionnelles » : - Toutes les pratiques peuvent être concomitantes : on peut avoir un rite de protection contre un risque d'echec par ex (traditionnel) + un entrainement précis et objectivé sur ce qui permet d'ê le plus performant pr prévenir l'échec (moderne/rationnel) - Ces modèles n'ont donc pas de temporalité, ils existent en mm tps, pas une plus achevé que les autres A. Le modèle magico-religieux, formes modernes et traditionnelles 1. Essais de typologie 4 modèles, chacuns avec des attendus cognitifs et implications pratiques différentes : - Magico-religieux : modèle souche de la manière dont les grp humains ont commencé à voir l'avenir : lorsque sédentarisation et agriculture, on s'inquète des prochaines saisons de récolte... et on espère avenir le plus protégé des aléas, on fait donc des rites propriatoires (pour rendre propice les conditions). Le test d'hémoglobine peut relever de cela car malgré non-preuve scientifique, on va se projeter ds un avenir meilleur si on l'a fait et qu'il permet de rassurer. C'est le dispositif de référence et non l'etape 1 d'un développement, c'est cellule souche de notre manière de nous projeter ds notre avenir. Il nous alène à élaborer des actions (pratiques propriatoire, divinatoires). Par conséquent ds modèle magico religieux ancêtres, génis, esprits, vont être des références. On retrouve également des conceptions plus profanes et parfois une certaine médicalisation qui nous rassure sur notre avenir (sportif par ex avec ascension aconcagua). Malgré technologie et avancée on a des choses très proches de divination des pratiques de protection : concomittance voir parfois coconstruction. Ajd se voient dans les phobies, dans les rites propriatoires (TOC de verification par exemple fermer sa porte). Devenu donc très profane et très individualisé comme schème ajd. -\> rites de protection et de divination qui peuvent ê religieux ou profanes + un modèle à la fois traditionnel et moderne + des figures faisant autorité (prètre, gourous...). - Contrainte profane : - a partir du moyen age avec regroupements humains plus importants et premières épidémies. A cette époque, 1^er^ regroupements en ville, construction d'Etats, gestion des épidémies devient une affaire d'Etat donc le souverain est responsable des mises à l'écart (contrainte profane car réponse avant tt politique plus que religieuse) des personnes contaminées. Mise en place jusqu'au XVIIè de pratiques de mise à l'écart, d'enfermement (isolement des lepreux sur iles par ex), des quarantaines : construction de pratiques sanitaires mise en place par chef d'Etat, pas de consentement des personnes. - Au XVIIIès, pratiques et politiques hygiénistes sont mises en place, pouv plus important de la médecine. W sur alcoolisme, syphilis, dev des sanatorium pour mettre à l'ecart personnes contaminées, asile psychiatriques aussi pr mettre à écart. Avec industrialisation et exde rural vers les villes on invente également la police des famille (alcoolisme, questions sanitaires de base). Construction progressive d'un modèle de contrôle, qui s'appuis également sur de nvx savoirs (doctrine hygiéniste, sociologie...). - Emerge avec épidémie Moyen Age, chef d'Etat fait autorité, pratique de segregation/mise à l'ecart/quarantaine - Pastorien : au XIXè, modèle « moderne » étroitement lié à nvl disciplines sc et performances inédites. A cette époque, véritable revolution des savoirs sur contagion et infection : on connait désormais existence des bactéries et des virus. Naissance immunologie et vaccinologie. De nvx objets créés à ce moment : épidémie n'est plus une sanction divine pr mauvaise conduite syphilis n'est pas pcq petite verte mais car exposition à certains germes... Coté scientifique cherche cause des maladies. Coté politique, IIIè république et principe d'égalité entre les citoyens, ma vaccinologie sert cet imaginaire politique : si on est ts vacciné, on sera ts égalitairement protégés contre les maladies. Egalement sert la colonisation : on va diffuser notre modernité et progrès pour protger des maladies tropicales... Idéal d'éradication (mais en réalité mis à part la variole, ts les virus existent encore). Ce n'est pas pcq elles sont modernes que croyances ne sont plus des croyances : ici sciences médicales deviennent expertes de la situation, base sur des idéaux (croyances en eradication et égalité face aux virus) - Contractuel : modèle dominant ds nos sciétés actuelles. Intègre l'Etat et d'autres acteurs institutionnels (assureurs, associations, sciences biomedicaales...). Un contrat entre cet ensemble de personne et les populations sensées s'accorder pr améliorer la st publique : fondé sur un hypothétique consensus. Citoyens ont un « droit à la st » et les pouv pub s'en font garant, d'un autre coté un « devoir de santé » sorte d'injonction à faire attention (aux facteurs de risques pour maladies graves, faire des bilans st réguliers et depistages cancers). Attention forte à notre état corporel : le patient devient « **Patient sentinelle** » qui surveille sa propre santé, il doit préserver au mieux son capital santé. - Ex : premières cause de trouble du sommeil est anxiété de ne pas bien dormir, généralement les gens qui font attention aux facters de risque pr leur sommeil sont ceux qui respectent et suivent le plus les injonctions « pour bien dormir » (aérer, pas d'écran...) -\> cependant, plus on fait ça, plus on intègre que si on ne le fait pas, on va mal dormir. -\> de plus mythe du sommeil de 8h alors que ce sont des cycles : on court derrière qqc qui n'arrivera pas (comme mythe de l'éradication) -\< apprendre à accepter son sommeil. - Normativité et injonctions « bon sommeil », « bonne alimentation », « cycle menstruel de 28 jours »... : des conventions/représentation qui n'ont pas forcément d'idéologie - Pouvoir de la biomédecine ds le contractuel : Foucault médicalisation VS normalisation : double contrainte d'un patient sentinelle (// médecins prescripteurs qui denonce que les patient prennent médicaments de leur trousse d'expedition) + modes de prise en charge de l'obésité : liée à des produits transformés mais question est finalement individualisée en une question de volonté -\> des caractérisation de santé deviennent des caractérisations morales. Normalisation et arbitrage normatif lorsque la personne sort de la norme. - Paradoxe : ce modèle dit qu'il n'impose rien, idée de consentement eclairé, cependant bcp d'injonctions à être dans la norme ce qui donne des comportements de contrôle et va svn avec aussi de l'anxiété : ex orthophagie. Pratiques de dépistages peut mener à des résistances si jugées trop invasives par les concernés : par ex pour l'amiosythèse (trisomie chez fœtus) 1/3 des personnes ne vont pas chercher le résultats, ils veulent qd mm un enfant. -\< effets pervers, modèle n'est pas si protecteur - Normalisation, Imposition de norme : quand manger, dormir, jeuner,... - 4 modèles palpables ds hist de la prev, peuvent se combiner Ds modèle contractuel, le biomed fait recommandations pour le MAM mais les connaissances sont connaissances de labo qui sont finalement peut pertinentes pour les gens : elles sont partielles, des éléments très incertains (on ne sais pas qui peut dev un MAM ou non à l'avance), les canadiens ont savoir-faire et pratiques mais elles ne sont pas partagées ds la prev. -\< pour le MAM le modèle contractuel est dominant En fonction de ce qu'on légitime on met en balance ce que doit prôner la prévention, il y a idéologie derrière, elle n'est pas neutre (ex pendant le covid fermer les écoles car estimer virus plus grave). Efficacité pratique + symbolique sont avérés dans les choix qui sont pris. On peut donc analyser les idéologies derrière la prévention. Ex du bien ê au W : on est sommé à prendre soin de nous mais quand tt va mal il faut faire yoga/dev perso -\> un glissement de responsabilité de l'employeur vers l'employé, il est sommé de prendre sa propre santé en main. Question du burn out peut aussi bien être prise d'un pdv perso (comment se faire entendre...) mais également sur le plan de l'organisation : si des burn out regulier un pb collectif. Certaines orga prod plus de burn out que d'autres. Entrecroismeent entre points indiv et colectifs. Ce qui peut nous sembler neutre ne l'est donc pas vrm. Weber et boudon sur rationalité : voir ce que signifient ces différentes rationnalités dans les controverses. 2. De subtiles négociations 3. Un dispositif de référence 4. Ambivalences Troisième partie : Théories du risque et enjeux de la prévention I. Dimensions sociales de la prévention Berger et Luckmann : ont travaillés sur théories générales du sociales, permettent d'aborder le risque, travail sur question de socialisation et ds socialisation integration d'apprentisages sur la prise de risque... -\> bcp de points communs avec A. Guiddens : tous observent la vie quotidienne **Construction sociale de la réalité** (1966) : monde ds lequel nous vivons est un produit de l'activité humaine. Ds le mm tps, on a tendance à le percevoir comme un monde de choses extérieures à nous même, comme allant de soi. Travail sur le monde de la vie quotidienne pour comprendre comment est construite la réalité. \+ faire rapprochement entre théorie de construction sociale et risque A. La réalité de la vie quotidienne Berger et Luckmann se penchent dc sur la vie quotidienne : indiv ds sa vie quot : - Ne doute pas de sa réalité - Sa réalité est perçue comme sensée - Inter-subjectif : on est d'accord sur la réalité et du sens donné a cette chose (ex être tous en classe). Cette connaissance du monde est mise en schémas de pensée/ en **typifications** qui permettent de prévoir un certain type de comportement : par ex on typifie le fait d'être en classe donc pas le moment d'ê au tel,... **on codifie le moment de manière typique, ce qui permet de rendre notre quotidien prévisible** : permet d'anticiper son propre comportement et celui d'autrui. Il fjuaut donc comrprendre ces typifications : par ex typifications des canadiens qui les protègent en haute montagne. Typiffications fonctionnent dialectiquement : en interraction, les deux personnes ont des typifications propres (svn a peu près les mêmes) ce qui permet l'interraction : on typifie les personnes et les situations pour savoir comment agir. Typification mène à **institutionnalisation** car les sciétés cherchent la stabilité. Typification dialectiques sont la matière première de la construction sociale de la réalité. Par ex les données de genre snt bien vues comme des typifications ajd, on sait que nous ne sommes pas par essence mais que choses résultent des typifications (cheveux longs pr les f,...). Puissance du quotidien et de la familiarité : changement social svn très très lent (même si on s'est ts posé question sur les gender studies, on reste a adopter typifications familières). -\> du « hors champ », montre puissance des socialisations primaires **Activité humaine marquée par routinisation, elle tend à se spécialisé dans des systèmes de rôles typifiés** (roles familiaux, systèmes de justice...). **Berger et Luckmann pointe que typification réciproque d'actions habituelles, c'est le processus d'institutionnalisation.** Ex : institution de l'université par typification de nous de la prof et de la prof des étudiants en face d'elle et les actions que cela doit produire. **Monde social est objectivé, extériorisé et doté d'un sens par le langage.** Pour Berger et Luckmann, nommer les choses, c'est déjà légitimer leur existence. Ex : chez inuit, 20 mots pour nommer la neige (caractère fonctionnel, besoin de nommer neige différentes) / des tribus (sud chinois je crois) sans mots pour designer « bonheur » -\> voir le symbolique, l'espace mental de ce qui est pensé/impensable. C'est aussi le langage qui fournit une explication générale du monde. Legitimation à travers le langage dès très tot (incorporéé pdn socialisation primaire). On intègre ce qui est attendu de nous, on fait extension des règles familiales (socialisation première) dans le monde exterieur. On fait alors avec contact monde ext des mises à jour sur ce qui est attendu de nous, sur nos manières de communiquer.... -\< mise à jours sont fuides et tjrs interractive (interraction permettent parfaire connaissance du monde). Réalité n'est donc pas objective ni subjective, elle se construit en cours de route, notamment par l'interraction. Au niveau du risque, pour les garçon ils snt construit différemment et typfiés comme plus initiatiques que pour les femmes (sports à risque...). Activités de f sont donc moins catégorisées comme a risque alors que parfois si (equitation). A Aconcagua : on parle bcp du MAM, typifié comme risque. Cependant, nos conceptions de la haute montagne portant sur le pur, froid, non humain, les contaminations aux matières fécales sont impensables (pourtant il y en a dans toutes ces montagnes touristiques -- everest, mont blanc), c'est vrm un impensé donc peu typifié. Ex aéroports et typifications selon les cultures : selon les pays, les personnes adoptent plus ou moins de proxemie dans les queues par ex, ces situations ont tjrs qqc de très typique. Une image contenant texte, capture d'écran, Police, blanc Description générée automatiquement-\> typification est ds l'interraction directe mais elles sont aussi en nous pour ttes les situations. ![Une image contenant texte, Police, capture d'écran, blanc Description générée automatiquement](media/image30.png)-\> important car peut ê moteur de changement social : c'est pcq on fait au fur et a mesure sur tps long les choses légèrement différemment qu'elles évoluent. Ex : lien en psycho evolutionniste entre conditions de vie favorables et niveau d'altruisme : plus on est précaire plus niv d'altruisme est bas. // animaux (pas compris rapporhcement) Ds le langage, pleins de mots ds disctionnaires sont integré par les académiciens car ce sont des mots de plus en plus utilisés ds société. Ces mots font donc du sens et cela se présente. du manière spontanée. -\> normalisation (on dit mtn les choses de tel ou tel façon). Ecriture inclusive soulève donc des enjeux évidents (question du tt masculin et des typifications, représentations ds le langage). Aussi des lexisques spé ds les diff grp sciaux (pro, jeunes...). Une image contenant texte, capture d'écran, Police, algèbre Description générée automatiquement ![Une image contenant texte, Police, capture d'écran, blanc Description générée automatiquement](media/image32.png) B. L'interaction sociale dans la vie quotidienne C. Le langage et la connaissance dans la vie quotidienne II. Dimensions culturelles de la prévention Marie Douglas : statut épistémologique du risque est ambivalent. Sur cette question, M Douglas se penche sur différentes polémiques (implantation nucléaire,...) et implications de ces débats. Analyse culturelle répond a pq on tente de se protéger de tel ou tel manière face à un risque (ex pdn le covid le fat de vouloir fermer les frontière car « entre-nous » = protection, rester chez soi comme qqc ue les indivs douvent gérer VS qqc que les décideurs doivent diriger...). Derrières ces argumentaires sur les formes de protection, on retrouver l'ordre social : par ex pdn covid, les défenseurs de l'école primaire ouverte estimaient que pr l'ordre social, continuité scolaire était une obligation pour éviter les decrochages scolaires et augmentation des inégalités, plus que protéger les gens de la contamination. Selon Marie Douglas, culture est une justification pr l'action : ex lutte pr enfants a l'école pdn covid est lutte pr principes républicains fondamentaux -\< s'inscrit dans un contexte donné (par ex pas de sens en Inde). **Culture est fabrication de l'ordre social, elle justifie l'action**. Dans cette approche d'anthropologie, on sélectionne des **croyances et des valeurs** et c'est la dessus qu'on pourra justifier de la validité de nos actions. Cela explique que justifications idéologiques/symboliques pour valiser des choses qui sont parfois peu valides pratiquement. (aspect pratique et symbolique ds guiddens, ds douglas travail surtt sur aspect symbolique, elle montre que parfois efficacité symbolique fait passer efficacité pratique à la trappe). Ex : campagnes de vaccination ont efficacité symbolique forte, avec ideal d'égalité. Cependant idéal d'éradication ne peut pas être atteint et pas efficacité pratique totale. **Culture selon Douglas = collection publiquement partagée de principes et de valeurs utilisés à chaque moment pour justifier les conduites** A aconcagua : pouvoir et def de la réalité avant tt imposé par les pouv pub + des sous cultures (selon les origines) dominées par une culture plus générale + des stratifications entre différentes cultures 2 formulations complémentaires pr retracer analyse culturelle : - 1978 : Cultural Biasis, les biais culturels - 1986 : How institutions Think / 1992 : comment pensent les institutions (ouvrage de référence), montre comment vie autonome de l'institution. Travaux d'Emile Durkheim, Le Suicide : - Expliquer suicide de manière sociale, ce n'est plus un fait individuel mais un fait social ds cet ouvrage - Un évènement mystérieux, insaisissable - Socio durkheimienne comme base pour Marie Douglas - Dans une société qui s'industrialise, perte de repères et isolement - Durkheim prend deux repères : - L'integration (car une question pour les personnes qui arrivent ds les villes, perte de solidarité, isolement, logement précaire...) -\> integration forte -faible - Les règles/régulations (avec les changements, bcp de changeemnts, complexe de voir où sont les règles et quelles forces elles-ont)-\> régulation fortes/faibles, regle sont assignation à des rôles, manière de se comporter... +-----------------------------------+-----------------------------------+ | Règles ++ | Règles --- | | | | | Intégration ++ | Intégration ++ | | | | | - Suicide Fataliste : ex | - Suicide Altruiste : ex membre | | suicide des paysannes | d'une famille vieux, | | chinoises avec les pesticides | impression qu'inutilité, que | | qui les tuent déjà a petit | poids pr tt le monde/ un | | feu car contrainte de ces | malade de dépression depuis | | règles et intégration forte | des années | | dans ce rang scial et | | | assujettissement à un destin | | +===================================+===================================+ | Règles ++ | Règles -- | | | | | Intégration --- | Intégration -- | | | | | - Suicide Egoïste : ex | - Suicide Anomique : anomie, | | sentiment que règles du jeu | pas de règle, pas de liens, a | | permettent d'élaborer | époque de durkeim les | | scenario mais que rien de | paysants qui arrivent ds | | concret, on est électron | faubourg des villes sont ds | | libre mais pas de projet donc | flous total, perte de repère | | « à quoi bon ? » | villageois... | +-----------------------------------+-----------------------------------+ - Eclairer suicide avec le social et non slm l'indiv est très pertinent. Solidarités organiques : liens familiaux, durect Solidarités mécaniques : caisse assurance maladie, collective, mais pas de liens entre les gens. Marie Douglas montre comment configurations nous mènent à voir les choses d'une certaine manière. Elle fait travaux en s'inspirant de Durkheim. Modèle Grid/Group (réseaux et individuation / groupe et incorporation nature des regroupement sciaux) : +-----------------------------------+-----------------------------------+ | Subordination sociale : | Hiérarchique communautaire : (ex | | | village astérix) | | - Rôles assignés par les | | | institutions | - Frontières entre extérieur du | | | grp et intérieur | | - Absence d'autonomie | | | | - Rôles et statuts différentiés | | - Assujétion à la | et interdépendants | | société/sciale | | | | - Prédominance du groupe sur | | - Modèle magico religieux | l'invidu | | (car dépendance au | | | magique -\> ex se faire | - Modèle contrainte | | test hemoglobine) | profane + magico religieu | +===================================+===================================+ | Individualiste : | Egalitaire : | | | | | - Mise en concurrence | \- Frontières externes | | | | | - Choix maximaux pr nous mm | \- Roles ambiguës et sujets à | | | négociation | | - Mobilité sociale forte | | | | \> modèle pastorien + magico | | - Modèle contractuel de | religieu | | prévention (Dozon) + | | | magico-religieux | | +-----------------------------------+-----------------------------------+ Première ligne : rôles assignés Deuxième ligne : rôle construit/choisit par la personne Douglas, une fois ces contxt modélisé, cherche à voir visions du monde squi sont plus ou moins compatibles à accueillr certains eléménets. Migrants RMNA sont en situ de subordination sociale, de plus perte totale d'autonomie alors qu'ils ont conquis la leur pdn leur voyage. On peut changer de case selon ce qu'on fait dans notre quotidien, des rôles qu'on prend (dans la famille, à l'école, ds les activités perso... But de ces travaux est de pouvoir travailler sur les contextes (et pas sur les pdv des indivs). Cette approche contextuelle est intéressante car permet de dépasser les simples perspectives des uns et des autres, permet à la fois de prod savoir sur société globales (sans être trop large) et d'éviter l'individualisme méthodologique en travaillant sur les contxt. On se situe tjrs dans des espaces temps définits et à définir pour le chercheur. Comment discours de prévention sont produits en fonction des contextes : - Discours sur covid et très conseillé de porter un masque / il faudrait dormir 8h par jours sinon mauvaise santé : contexte individualiste, c'est l'indiv qui doit se prendre en charge dans un choix (effectivement choix très contraint) -\> **modèle contractuel - culture individualiste** - **Modèle pastorien -- modèle égalitaire** : notre accès à st et aux moyens d'ê en meilleur st vient s'integrer de manière simple et cohérente avec ce modèle - **Modèle contrainte profane -- Hiérarchique communautaire (car importance du grp prime) voire subordination sociale suivant comment pratiquée** - **Modèle magico-religieux -- subordination sociale + aussi ds ts les autres modèles** **Analyse culturelle et sociale des risque** et appréhension sociale des risques s'organise selon un **contexte donné**. Analyse les **préoccupations sociales**. Forme de sélection culturelle des risques : mm risque peut prendre dimension individuelle ou collective (ex burn out). On appelle cette **sélection culturelle des risques, le biais culturel** (filtre une certaine manière de voir les choses en fonction des contextes, a identifier certains risque plutôt que d'autre, à donner certaines réponses plutôt que d'autre par ex voir le danger à l'ext du grp). Selon ces biais risque peut-être euphémisé ou amplifié. Une image contenant texte, capture d'écran, Police, algèbre Description générée automatiquement ![Une image contenant texte, Police, capture d'écran, blanc Description générée automatiquement](media/image34.png) \+ voir les quizz pr reviser Une image contenant texte, capture d'écran, Police Description générée automatiquement-\> contxte = nature des grp a peu près Contrainte liées au covid, imposée de manière autoritaire : obligation donc perte d'autonomie on peut dire subordination sociale (mais on peut aussi ê ds hiérarchique communautaire/contrainte profane avec importance du grp) Fermeture frontière : hiérarchique communautaire Responsabilisation comme en suede : individualisme Tt le monde a mm droit et mm devoirs, pas de raison que certains payent plus que les autres : nature du grp égalitaire ![Une image contenant texte, Police, capture d'écran, blanc Description générée automatiquement](media/image36.png)+ def de la culture Douglas III. Limites de la médicalisation de la prévention Statut epistémologique du risque n'est pas integré en tant que tel dans la prévention médicale. Existence mm du risque, son amplification et euphémisation n'est dc pas intégré. Modèle contractuel est mode d'action privilégié ds nos sciétés contemporaines. Cependant ces modèles ne vont pas de soit, sont produit de construction, ne sont pas neutres. Ils ont des effets pervers etc mm si ils semblent « naturels ». Qui fait autorité sur ce modèle contractuel ? De plus il est confortablement à sens unique comme modèle. Derrière les instances biomédicales on peut aussi questionner les connaissances et leurs légitimités. L'essentiel sont produites en labo, pas sur terrain ou de manière artisanale sans données chiffrées (études de cas) par ex à l'Aconcagua. Rationalité médicale accompagne des enjeux culturels, sociaux. Rationalité medicale est donc aussi une vision du monde. Modèle contractuel mène donc à un paquet de paradoxe et le rôle de patient sentinelle, qui doit se conformer à comportements recommandés et éviter les risques peut générer pression, sentiment que risque n'est pas évitable, des résistances. Effets pervers de la médicalisation et pratique du dopage : les acteurs peuvent rapidement médicaliser leur incertitude (ex pdn exam se faire prescrire médicaments pr domir, prendre médicaments du MAM pour finir la montée...). Des recommandations de preventions nous amènent à introduire le médicament en haute montagne, très médicalisé, on met a dispo des grimpeurs des produits dopants, qu'ils utilisent donc car invités à les prendre par les prescriptions des médecins. Dopage est ajd devenu insideux, c'est tt ce qui compense le risque d'échec (echec sexuel avec viagra, prendre des complements alimentaires, des somnifères ou de la ritaline pour des examens,...). La medicalisation c'est aussi montrer qu'il n'existerais qu'une medecine alors qu'on pourrait parler des medicalisation. Analyse de Patrick Laure : les conduites dopantes : une prévention de l'échec ? - Def des pratiques dopantes : pleins d'exemple diff de prise de médicaments pour pleins d'effets différents comme éviter de trembler pour musiciens, avoir plus deffets physiques... Contexte d'incertitude, la personne veut alors se conformer à la représenattion qu'elle se fait de ce qu'on a ttend d'elle à ce moment là. - Prevention de l'échec : comment medicalisation devient qqc sur lequel on s'appui por prévenir l'échec . Série d'outils utilisés pour prévenir l'échec/ le risque, on cherche a améliorer performance/prévenir l'échec mais pas à améliorer sa santé. - But de ces prevention de l'échec : pour parvenir au succès ou éviter l'échec ? Plus la personne accorde de la valeur à la tache, plus elle a de propension à s'invesitr pr parvenir à son résultat. Soulève question de la confiance en nous-mm, jusqu'où on doute de soi/on est confiant ? -\> c'est par anticipation qu'on va être en difficulté qu'on prend des produits. - On essaye à la fois d'éviter les échecs mais aussi on peut chercher à le préparer avec le recours à certains produits : ex boisson aphrodisiaque avec du vin permet a la fois de pouvoir ê performant mais aussi de donner au produit responsabilité de la « contreperformance » (j'étais bourré). Forme de déresponsabilisation, la cause du problème est exterieur, c'est le produit. -\< des stratégies d'auto sabotages (ex boire trop café avant oral puis pas de concentration). - On depasse donc bien ici les questions de santé et on se dirige vers l'extrème validation de nos résultats, dans une société de culte de la performance. - Prise d'anxiolytiques dans un environnement qui ne change pas et pas de travail pour s'adapter non plus, arrêt des anxio est alors un pb et le traitement dure donc très lgtps. Prise des cortico stéroyde pour finir d'arriver en haut de la montagne et sécuriser sa réussite. - Un pb qu'on retrouve surtout en occident : présence du médical partt dans la vie quotidienne (même ici avec le dopage sans avis médical derrière), on retrouve cela aussi en corée, Japon... - Erenberg, le culte de la performance, sciétés post industrielles comme terreaux - Place du medicament ds la vie quotidienne + réappropriations de savoirs bio-médicaux : ex pour les culturiste un emanière d'utiliser les stéroïdes et de se nourrir..., médicalisation à la kétamine chez les stars, compléments alimentaire pour bcp bcp de gens -\> banalisation de l'assistance chimique à la vie quotidienne, tendance à se doper/vouloir améliorer nos performance de manière très récurente Une image contenant texte, capture d'écran, Police Description générée automatiquement Ex en corée : chirurgie esthétique pour s'adapter au marché du travail et moins d'échec au recrutement. Pression sociale : manière dont on se représente ce que les autres attendent de nous (elle a été onstruite en interraction avec les autres puis on le traduit en nous même sur nous mm). Un glissement : de la prévention de maladies à la prévention de l'échec (sans mm avis méd) ![Une image contenant texte, Police, capture d'écran, blanc Description générée automatiquement](media/image38.png) Une image contenant texte, capture d'écran, Police, blanc Description générée automatiquement Quatrième partie : Applications des théories du risque à la gestion de la fatigue chez les commandants de bord Fatigue est objet d'étude assez flou. ![Une image contenant texte, capture d'écran, Police Description générée automatiquement](media/image40.png) 1è def larousse : conséquence d'un effort fournis -\> donc le moment de se reposer 2è larousse : effort prolongé, amène à un etat physiologique, se trad par difficulté à maintenir cet effort -\> pas neutre, glissement de la société apparait, on arrive pas à maintenir la performance 3è de ds dico med americain : du normal/anormal, avant tt un manque d'energie et de motivation, pas une conséquence de qqc, peut avoir raisons normales/anormales. \> quels sont implicites et attentions derrières ces def ? QUSTION DE LA FATIGUE EST OBJET POLYMORPHE / EST-CE UNE CONS2QUENCE OU L4ORIGINE DE QQC ? QU4EST CE QUI EST NORMAL/anormal... Une image contenant texte, capture d'écran, habits Description générée automatiquement Etude de Airbus (2018) pour comprendre comment pilotes de ligne perçoivent leur fatigue, se donne manière d'agir de gérer cette fatigue ds leur routine pro en fonction de leur culture et de la legislation en fonction des pays qui prend plus ou moins en compte l'existence de la fatigue. ![Une image contenant texte, capture d'écran, Police, nombre Description générée automatiquement](media/image42.png) Chez airbus, idée que gestion de la fatigue est plus individuelle que collective + enjeux de comment faire pr qu'humai puissent piloter appareils qui volent pdn aussi lgtps... Def des tps de service et de repos pdn le vol : s'effectue avec critères utilisés ds reglementations aeronautiques qui arbitrent les durées de vol et les tps de service. I\) Comparaisons internationales Aspect règlementaire : bien qu'activité soit relativement similaire (décoller puis atterrir avec passager et avion), des réglementations très variables ds le monde et qui tiennent compte de manière variable de la fatigue. Certains intègrent directement fatigue ds la législation (tailand, RU, singapour) : fatigue du pilote doit être codifiée car importante. Dans d'autres pays, c'est un hors champ, un impensé : les questions de décalages horaires, de gestion de planning ne se présentent mm pas ds les législations. -\> des questions qui existent ou non sur le plan social selon les pays Enquête : 4000 questionnaires aux commandants de bord avec diff nationalités, 413 questionnaires retournés, objectif est d'exprimer les causes de fatigue, comment elle se manifeste et les stratégies developpées pour la gérer. Une image contenant texte, capture d'écran, Police, nombre Description générée automatiquement Résultats : - on trouve que des nationalités / blocs transnationaux ont certaines tendance - ds certains cas d'autant moins de signes de fatigue que stratégies sont mises en place (moyen orient, asie, américain du sud) - cercle vicieux : d'autant plus de signes de fatigue qu'aucune stratégie n'est mise en place (américains du nord, européens sauf uk, européens expat au Moyen orient). ![Une image contenant texte, capture d'écran, Police Description générée automatiquement](media/image44.png) Conclusions : - bien que l'activité sont identique, des règlementations différentes ds le monde - pays asiatiques intègrent bcp savoirs scientifiques physiologiques sur la fatigue dans leur reglementation - gestion de la fatigue en fonction de nationalité mais aussi de continents - Une construction socio-culturelle de la fatigue et de la manière dont elle doit être gére :chez les une elle doit être prioritaire, chez les autres, c'est un non-sujet. Une image contenant texte, capture d'écran, Police Description générée automatiquement Des modes de gestion culturelle de la fatigue, il serait difficile de faire une campagne transnationale dessus car certains la voit comme un non élément... Existence sociale de la fatigue varie en fonction des contextes culturels et reflete généralement la legislation, les plus fatigués sont ceux qui gèrent le moins la fatigue donc ceux pour qui c'est un impensé et ce n'est pas régulé. Également, la légitimité de la gestion du repos varie en fonction de la nationalité. Ligne de partage entre occidentaux et orientaux : - Occidentaux travaillent pour gérer leur temps libre : lors de l'escale il faut visiter etc et se reposer après - En extrême orient, on se doit de se reposer pr gérer son travail, c'est la priorité pdn l'escale. II\) Analyses institutionnelles, sociales et culturelles ![Une image contenant texte, avion, capture d'écran, plein air Description générée automatiquement](media/image46.png)-\< maintenir une performance au dela de la fatigue qu'on pense pas possible sans le dopage ? Une image contenant texte, capture d'écran Description générée automatiquement Conso des stupéfiants régulièrement testée chez personnels qui travaillent dans avion pour éviter les trafics. ![Une image contenant texte, capture d'écran, Police Description générée automatiquement](media/image48.png) -\> fatigue est un pur hors champ en fr, impensé social et donc aussi institutionnel. Une image contenant texte, capture d'écran, Police, nombre Description générée automatiquement On retrouve notamment des stimulants à l'origine utilisés dans la narcolepsie (ceux qui s'endorment d'un coup). 1^ère^ guerre du golfe, pilotes de chasse et durée de vol très importantes, prise d'antineuroleptiques pr que les pilotes puissent voler plus de 20h. En fr ce sera utilisé pend guerre du golfe, au Tchad, en Bosnie avec des bilans sur les effets des produits. Cette molécule est commercialisée aux usa, notamment ds des but de performance en vente libre et sur internet. Ajd, les français et les américains, qui sont comme vu précédemment les plus fatigués car fatigue hors champs, emploient un certain nbr de ces pratiques de dopage pour compenser. Ces prod étaient très contrôlés pour les militaires, cependant, chez les pilotes de ligne la substance n'est pas depistée et donc laissée à libre choix (et bcp de pilotes militaires devenus pilotes de ligne et gardent leurs habitudes). ![Une image contenant texte, capture d'écran, Visage humain Description générée automatiquement](media/image50.png) Quand fatigue n'a pas d'existence sociale, le dopage n'est pas non plus identifié car aussi hors champ. Performance et accès au médicament seraient aussi facilitation au dopage. Une image contenant texte, capture d'écran, Police, document Description générée automatiquement Voir comment questions comme la fatigue s'intègrent dans social, comment cela mène à des institutionnalisations, a trouver moyens de gestion/de compensation en fonction. Conclusion générale : place de la médicalisation dans les politiques de prévention Pour examen : mettre un maximum d'auteur + mots clefs et expliquer concept et donner des exemples, une question de synthèse du cours de PP Watel ou de Seigneur -\> qu'une h donc gratter max de point en disant ce qu'on sait sur la question PAR EXEMPLE : Elle parle du magico-religieux, il faut donc citer dozon et expliciter. Elle parle de typification, parler de Berger et Luckmann et expliciter. Notion d'esoace temps : (revoir auteur) : peut être par ex lié à une culture particulière dans un quartier (quartier chinois) donc pas mm normes,... Lectures de reference (Douglas,...) Ex sujet : Risque est il une construction sociale ? Quel modèle de prevention a aconcagua ? - Présenter aconcagua - Les enjeux - Concepts de dozon pour analyse des modèles de la prev la prev : notamment modèle contractuel + voir si d'autres modèles (magico religieux notamment) Qu'est ce que la rationalité : dire deux trois auteurs qui en on parlé puis dev un peu -\< en gros répondre par synthèse de nos connaissances du cours (+ on peut ajouter des concpts perso d'autres cours éventuellement si ça se justifie) S'entrainer aux quizz Mots clefs, auteurs, concepts sont important pour gagner point

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