Théories de l'Infocom PDF

Summary

Ce document résume les théories de l'infocom en se concentrant sur les travaux de linguistes clés comme Saussure, Hjelmslev et Chomsky. Il détaille les concepts fondamentaux de la linguistique moderne, notamment la distinction entre la langue et la parole, le rôle des signes et la notion de structure. Le document souligne les différentes approches de la langue, synchronique et diachronique.

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THEORIES DE L’INFOCOM Lire les 60 premières pages du livre de Saussure Le paradigme structure-linguistique : vers une théorie de la sémiologie 5 idées majeures donc 5 paradigmes L...

THEORIES DE L’INFOCOM Lire les 60 premières pages du livre de Saussure Le paradigme structure-linguistique : vers une théorie de la sémiologie 5 idées majeures donc 5 paradigmes Le langage est le fondement de toute l’humanité I - Paradigme linguistique : au fondement, la langue. Source majeure de la linguistique au XXe si cle-> Ferdinand de Saussure avec son cours de linguistique g n rale de 1916. (On a aucun texte de Saussure que des notes de ses élèves et garce à ces notes rassemblées on a écrit un livre ) I - tymologie de la linguistique : au fondement, l'analyse du langage. ▪ 1 – Ferdinand de Saussure :le fondateur de la linguistique moderne. Les trois cours de linguistique que Ferdinand de Saussure (1857 -1913) a donn entre 1906 et 1911 l'universit de Gen ve sont les fondements de la linguistique contemporaine (publi post- mortem). Pour le linguiste suisse, la langue est une « institution sociale » ( l’usage de la langue nous inscrit dans ce qu’on adhère , d’où on vient et ce qu’on veut devenir ) Tandis que la parole est une performance individuelle situ socialement et temporellement. ( la parole est la capacité de quelqu’un à atteindre un objectif, chacun a des compétences plus ou moins grandes ) La linguistique est la science du langage et la s miologie englobe la linguistique et ses modes sociaux. L’ l ment premier mis en valeur par la linguistique saussurienne est le signe d compos en signi ant perceptible et en signi intelligible. Signi é ce qu’on voit dans la tête signi ant ce qu’on dit Pour communiquer il faut un referment commun Le signe entretien n cessairement un rapport la chose (le r f rent). Il renvoie l’ tude de ce rapport aux SHS (philosophie, psychologie, sociologie, etc) La langue est d nie comme une forme, càd comme un syst me de rapports di rentiels et oppositifs entre des l ments fondamentaux. Saussure a distingué deux types d'opérations fondamentales dans le langage : l'op ration paradigmatique : choix entre plusieurs termes quivalents dans une m me classe ( choix des mots ) l'op ration syntagmatique : choix au sein d'un groupe de mots de son organisation syntaxique. ( choix du placement des mots dans une phrase) (on assembles des mots selon certaines règles dites associatives ou syntagmatiques, ce syntagme permet d'associer des éléments entre eux et de faire émerger un sens plus grand) On peut avoir deux approches d’analyse de la langue, soit une approche synchronique ( la langue à un moment donné) pour analyser la structure soit une approche diachronique ( la langue avec toute son histoire ) pour analyser les transformations du syst me. Signi é et le signi ant sont lié par le référant. é é é é é fi fi fi à é é é fi é fi é é é è è fi é fi è à é é é é è é é é ff é é ê é é Toute la linguistique du XXe si cle post- saussurienne va interroger les syst mes de rapports : le rapport langue/parole, le rapport synchronie/diachronie, le rapport signi ant/signi , le rapport signe/paradigme, le rapport paradigme/syntagme. ▪ 2 – Louis T Hjelmslev, l’h ritier de Saussure. Pour lui il manque un truc: la distinction entre la forme et et la substance La linguistique est une forme pur indépendamment et de sa substance Garce aux cordes vocales on peut créer des sons di érents et former de la matière la langue n’as pas de sons.La matière n’est que le support Le langage est une forme c’est ça qui fait la traduction.n’importe quelle matière peut Servir à une forme Pour lui, la langue n'est pas seulement une association entre des sons et des idées, mais un système plus complexe où tout est lié par des fonctions ( relations) entre les éléments. Hjelmslev divise la langue en deux niveaux : 1. La substance du contenu : C’est ce que l’on veut exprimer, l’idée ou le concept (comme « chien » par exemple). 2. La substance de l’expression : C’est la manière dont on exprime cette idée (comme le mot « chien » lui-même). Selon lui, ces deux niveaux (ce qu’on exprime et comment on l’exprime) sont associés de manière arbitraire, ce qui signi e qu’il n’y a pas de lien direct ou naturel entre eux. Ce sont juste des conventions que nous utilisons. L’idée clé d'Hjelmslev est que cette fonction sémiotique (le lien entre signi ant et signi é) donne une forme aux deux substances : Elle structure à la fois le contenu (l’idée) et l’expression (le mot). Par exemple, la manière dont on pense à un « chien » dans une culture et la manière dont on le nomme sont deux aspects de la langue, et ils sont connectés, mais pas de manière naturelle ou évidente. L' cole de Copenhague est repr sent e par Louis T Hjelmslev (Prol gom nes une th orie du langage, 1943). C'est cole va pousser l'analyse de la langue comme une structure th orique pure et logique. Il est l'un des pionniers du structuralisme et le fondateur de la gloss matique é é é è fi é é ff é é é fi è è fi à fi é é fi Il reprend la th orie du signe dans une approche syst mique qui d nit la langue comme un ensemble de mise en relation (fonction) entre des l ments fondamentaux. Il complexi e alors le mod le de saussure. Ainsi, la fonction s miotique donne une forme tant la substance de contenu (id es) qu’ la substance de contenant (le mat riel signi ant). Ainsi la structure du signi ant est aussi structure du signi. Le deux substances tant associ d’une mani re arbitraire. ▪ 3 – Noam Chomsky, la formalisation ultime In invente un concept fondamental. Il existe une hiérarchie de règle l’élément 1 de la pensée c’est le binarisme ( ça existe ça n’existe pas ) Le cerveau humain est un système hiérarchique de symbole binaire Noam Chomsky, fonde la grammaire g n rative qui tente d' tudier la comp tence linguistique sur la base de tr s peu de r gles et d’ l ments. Les enfants ont une comp tence inn e et g n rative de la grammaire l mentaire commune tous les langages humains. A partir de cette comp tence universelle, il apprendra les r gles situ s d’une langue comme parole sp ci que et accumulera un “dictionnaire” Il existe donc une hi rarchie de grammaires formelles en cat gories de pouvoir d’expression croissant. Une langue est un d veloppement complexe de la comp tence grammaticale universelle. ▪ 4 – Roman Jackobson, Le retour de l’ nonc. Fondateur des sciences de la communication Il nous a fait hérité du sema de la communication. Il va appeler le signi ant le code linguistique Signi é = message Roman Jakobson (Ecole de Prague) que la linguistique structurale moderne va se d velopper en Europe. Il est le parrain du structuralisme en France par Claude Levi Strauss qu’il in uencera fortement. Il va faire le pont entre la th orie formelle de la langue et le proc s d’ nonciation tel qu’il s’ex cute dans la parole. Il va en plus faire la connexion entre le paradigme structuro-linguistique et le paradigme syst mique. Le langage est une structure constitu e de six l ments et de six fonctions [Jakobson, 1930] : "les facteurs constitutifs de tout proc s linguistique, de tout acte de communication verbale" é é fi é fi fi è é é é é é è fi è é é é é é é é é è é é é é fi é é é è é é é é à é fi é è é é è é é fi é é é fi é é fl é é à à ▪ 4 – Austin & Searle,La fonction pragmatique du langage. Dans son œuvre la plus connue en France How to do Things with Words (1962) John Austin veut d passer l'analyse des nonc s constatifs en montrant que tous les nonc s sont des actes. Une nonciation est performative en ce qu'elle « fait » elle-m me quelque chose. Il y a donc plus dans l' nonciation d'une expression que la description d'un fait. L’analyse de l’ nonc comme acte se fait 3 niveaux : -l’acte locutoire (produire du sens); (dire quelque chose de manière compréhensible) -l’acte illocutoire (l’ nonc comme acte); (ce que l’on cherche à accomplir par le fait de prononcer ces mots) (ex: "Je vous déclare mari et femme", l'énoncé ne se contente pas de décrire un fait, il réalise l'acte de marier deux personnes.) -l'acte perlocutoire (Les e ets attendus). (ce que l'on espère accomplir ou provoquer chez l’autre en disant quelque chose. Ces e ets peuvent être émotionnels ou comportementaux.) Resumé -> signi ant signi e référent ( rapport à l’expérience ) John Searle tente de faire la somme des th ories sur les actes de langage. Searle fonde alors une typologie des actes pragmatiques ( Searle a créé une classi cation pour montrer les di érents types d'actions que nous accomplissons en parlant) : les assertifs (dire une v rit pour informer, décrit un état de fait); -> te convaincre que le réel que j’ai construit est la vérité les directifs (demander ou ordonner, Le locuteur tente d’in uencer l’interlocuteur); les promissifs (engager l’avenir, menacer, promettre ); -> je pense que la réalité de demain ça sera ça ( demain je pense il pleuvra pas ça serait super qu’on fasse ça les expressifs (Etat du locuteur, Le locuteur exprime un sentiment ou une attitude); -> vise à te signi er dans quel état je suis , ce que je ressens de notre relation, à ce que je pense que tu est intimement ( ex : t’es en train de me baratiner là) les d claratifs (modi er un tat,Le locuteur accomplit une action qui change la réalité (marier, baptiser). -> je crée le réel ( bon on fait comme ça ) 5 – L’ cole fran aise de l’ nonciation Andr Martinet El ment de linguistique g n rale, 1960 Linguistique synchronique, 1965 Emile Benveniste Probl mes de linguistique g n rale, 1966 Algirdas Greimas S mantique structurale (1966), Du sens (1970) Du sens II (1983). II - Rapport langage et soci t : le paradigme structuraliste. ▪ 1 - Mikha l Bakhtine l’origine de la linguistique sociale é é é fi é é è é é é ï é fi ç é é fi é é é fi à é ff é é é é é é é é é ff à é fl ê fi é é ff R agissant contre la linguistique saussurienne et sa d nition abstraite et monolithique du syst me de la langue, Mikha l Bakhtine (1895 - 1975) lui oppose d s 1929, dans son ouvrage Marxisme et philosophie du langage, une conception du langage qui prend les contextes sociaux particuliers. La langue n’existe pas mais elle existe quand même -> la paradigme stucturaliste , nous sommes une structure, nous sommes à la fois du commun mais ce commun n’est pas tiers à nous, il y a qq chose de commun mais qui n’existe pas en dehors de nous tous. Quand l’individu parle une grande partie e ce qu’il dit ne t’appartiens pas-> tu parles comme , il y a en toi un locuteur qui te deoadsse-> tu parles comme un arabe., comme une femme. Tu partages ton énonciation avec des instances collectives que tu personnalises que tu adaptes à une situTION Mis une grande partie de la communication tu l’hérites d’une instance collective-> j’; ai un rapport au réel comme, je m’ainterre à comme. Bakhtine -> il y a un sujet commun au 5 énonciation. Cette instance globale vous en héritez chacun de nous à une personnalisation de cette instance mais globalement on est l’incarnation de cette instance. Il admet que la langue a une certaine autonomie, comme syst me technique, mais il insiste sur le fait qu'elle ne peut tre tudi e que dans des r seaux de relations sociales, inscrits dans des syst mes politiques, conomiques et id ologiques structur s par des rapports de pouvoir. La th orie pure et formelle est une abstraction n cessaire mais pas su sante. Les langues r elles sont fabriqu s dans un contexte sociale qui en d termine une grande partie les r gles. Chaque langue est socialement situ e (socio- linguistique) ▪ 2 - Claude Levi Strauss : Le p re du structuralisme Claude L vi Strauss (Anthropologie structurale 1958, Mythologiques 1971) va tudier les ph nom nes sociaux comme pratiques signi antes structur es par des codes. Il est la recherche d’une th orie g n rale de la culture dans l’h ritage de Saussure et Jackobson « Les soci t s humaines comme les individus se bornent choisir certaines combinaisons dans un r pertoire id al qu’il serait possible de reconstituer. » Levistrauss étudie bcp de tribus-> des peuples qui n’ont aucune chance d’avoir communiqué ensemble sont identiques -> même politiques, même pratiques soiales, même récit. Garce à la 2gM il rencontre Jacobson. Il va alors s’interreser aux règles relationnelles. Perroquet ou dragon ce sont les volants -> ce sont les memes histoires. Operation paradigmatique ( lien vertical) syntagmatique ( lien horizontal ) Il y a des structures profondes qui rassembles des communautés ou les opposent. Certains peuples ennemis ont la même façon de penser, les même recits et au contraire certaines tribus qui se ressemblent ont une vision du monde di érent. On enlève le détail et on garde le structurelle garce à la comparaison -> qu’est ce qy’il y a de commun ou de di érents dans le récit. La th se Structuraliste : La r alit sociale est un construit symbolique. Il existe donc une logique structurale entre la r alit sociale, ses mythes et son rapport la vie. On peut expliquer la diversit des faits de soci t par la combinatoire d'un nombre limit d’ l ments combin s selon des r gles logiques peu nombreuses. levi strauss-> jobson lui explique la linguistique. Un linguiste s’interrese à ce qu’on fait pour raconter-> maitre de la langue et lá énonciation-> signi ant L’anthropologue ce qui l’intéresse ceste ce qu’on raconte pour faire société-> signi é Double mouvement : dans l’histoire qu’on se raconte il ya une structure narrative. Strauss va voir les mythes: la représentation du monde des peuples reculés. Il va s’intéresser à des paramètres le monde profane et sacré et il y a des relations entre ces 2c mondes. Des milliers de peuples ont les memes paramètres : la reproduction, le sacré et le travail. Avec ces 3 paramètres on règle les con its. Et avec supérieur inférieur égal et pas egal et relié on é é é é é è è é è è é é é é é ff é ê é é é é é é é é é é ï é è é è fl é fi é é ff é é é é é fi fi à é é à è è ffi é è fi à é é règle tous les recits du monde. Un récit va être structuré par des paramètres qui ont des relations avec les uns les autres. Dans un récit il faut y voir quels caractéristiques sont engagés La structure ne se r duit pas au syst me. Pour qu’on puisse parler de structure, il faut qu’entre les l ments et les relations de plusieurs ensembles apparaissent des rapports invariants, tels qu’on puisse passer d’une classe une autre au moyen d’une transformation Le concept de transformation qu’il empreinte au botaniste Thompson induit un nombre de con gurations stables limit. Cette combinatoire est universelle car elle est ancr dans les capacit cognitive de l’homme qui appr hende la r alit avec un langage universel. L vi Strauss l’ tudie dans la parent , les savoirs sauvages, les mythes et l’art. C’est d’abord dans le syst me de parent (qui g re la reproduction de l’esp ce) qu’il va montrer que l’ l ment du syst me sociale (l’individu) est enchass dans un syst me de r gles relationnelles limit s et binaire (obligation/intediction) qui lui donnent une identit (mari- femme, oncle-neveu, etc) dont la vari t est tr s restreinte. Son approche de la pens e sauvage comme mode de classi cation imm diate du monde ( ne pas confondre avec une quelconque pens e des “sauvages”) c t des rares moment de pens e rationnelle ob it elle aussi une structure symbolique faite de r gles primitives et d’ l ments en nombre limit s.L’ tude des mythologies, dans la lign e de Propp, qui reste l’oeuvre majeur de Levi-Strauss montre comment l’aide de structures limit es, on peut expliquer l’usage des mythes en soci t comme op ration de d passement des con its. ▪ 3 - Roland Barthes : le post-structuralisme au d de notre quotidien Dans Mythologie (1957), El ments de s miologies (1965) et le Syst me de la mode(1967), Roland Barthes fait une parenth se d’une d cennies dans sa carri re de critique litt raire pour fonder une m thode de d construction des id ologies gr ce aux techniques s miologiques. Si Levi-Strauss a fait une th orie du langage symbolique, Barthe a voulu tudier la parole mythologique un signe historique ayant des conditions d'emploi qu'il faut chaque fois d construire. Le mythe est une “interpretation” sociale qui s'ajoute toute substance s miologique premi re (signe). Un syst me de mythe est une id ologie au service d’une classe sociale (ici la “bourgeoisie”) pour assurer l’ordre social qu’elle domine (inverse id ologie r volutionnaire) : la doxa. Le signe est d not quand la relation Signi ant/Signi est premi re. Mais ce signe d not est connot quand il entretient une relation avec un signi second (id olog me chez Kristeva) latent dans une relation socialement construite. La connotation se cache dans le signe pour appara tre au d tour d’une association indiscutable comme naturelle. En reprenant l’h ritage linguistique et anthropologique, le post-structuralisme s’engage dans une critique virulente de la soci t contemporaine capitaliste tant sur son fondement rationaliste (Foucauld) et que consum riste (Baudrillard) Va écrire un livre sur la mythologie française. On a les même pb du car ne étant laid même rapport des bien et Nene pb des rapports sexuels. Selon lui Le marketing et la com et la consommunication c’est la nouvelle religion des population laïc. Baudriard -> religion des société de contemporaine : la consommation. Notre société est géré par rapport à notre rapport aux objets. Ils vont reprendre la thèse de Levi Strauss et montré que ça marche totalement dans les société occidentales. Star pe assimilé à un prophete -> vit dans un monde paradisiaque , pouvoir, est adulé 3- greimas, un pillier de la sémiotique é é é é é fi é é é é é é é é é é é fi è é à é é é é ô è è é fl è è é é é é é é à é é é è è é é é é fi é â à é è é fi é fi fi é é à é è é è é è é é é é é é è é è é à é é é é é è é à è é à é é é é é é î è Greimas refugié lituanien antifasciste arrive à paris en 1944 pour étudier à la sorbonne. Il travaille la lexicologie du discours de mode, in uençant son élève Roland Barthes. Par la suite il abandonne cette approche pour developper la semantique structurale. En 1962 il a un poste à l’unie de poitiers. En 1965 il devient directeur d’etudes à l’école pratique des hautes études et fonde la revue langages avec Barthes en 1966. Il participe également à la création de l’association internationale de sémiotique avec Roman Jakobson. Fondation de l’ecole semiotique de paris sous le parrainage de Levi Strauss , greimas crée le grp de recherche sémiolinguiste GRSL. Ce grp réunit des intellectuels tels que barthes, Kristeva, genette. Il consolide sa théorie avec des ouvrages comme Semantique structurale en 1966. Le concept de sème en sémiotique Def sème Sème = + petite unité de signi cation résultant de la décomposition d’un semene. Chaque semene est obtenu par l’association de sèmes préalables en une gure relationnelle. Cela théorise un arbre de semis remontant à un ensemble primitif restreint. Un semene a 2 virtualités : sa décomposition en semis constructifs et sa réduction paradigmatique en un classée. Il n’est jamais utilisé dans son extension maximalisais toujours pour une sélection de semis activés par le contexte. Ainsi la signi cation d’un signi és hors contexte di ère de sa signi cation contextuelle. La théorie semantique distingue le noyau semanytique des semis contextuels. Le noyau semantique a une fonction sémiologique minimale, souvent référentielle , commune à toutes les occurrences. Les semis contextuels sont sélectionnés selon le contexte et portent la signi cation pragmatique du seme. 3 - La fonction universelle de sens Formation des classèmes par traits communs. Les sémèmes partageant des traits distinctifs communs peuvent être classés sous un ou plusieurs classèmes. Un classème est un ensemble de semes unis par une construction paradigmatique, rendant les sémèmes substituables. Cette classi cation permet une interprétation à un niveau supérieur. Opérations dans l'algorithme sémantique Greimas développe trois opérations fondamentales de sens : La di érenciation identi e les sèmes présents dans un terme et absents dans un autre. A - B = d(an.xn) La substitution se produit lorsque des termes partagent des sèmes communs, permettant leur classi cation. A = B о L'association combine les di érenciations pour faire émerger un sens tiers. A + B = La fonction (proposition) en sémantique Elle se compose de trois unités fondamentales : la fonction (groupe verbal), l'actant (sujet) et l'objet. Deux fonctions majeures apparaissent : la fonction quali catrice (Q) de l'objet et de l'actant, et la fonction processuelle (P) qui les relie. - La fonction dynamique de transformation : le récit Des propositions aux structures narratives Greimas intègre les fonctions propositionnelles dans une architecture de grandes fonctions narratives. Depuis Propp, les fonctions peuvent être abstraites en codes a priori, formant des structures idéologiques si elles sont récurrentes. fi ff fi ff fi fi fi ff fl fi fi fi fi fi Les actants comme catégories sémantiques L'actant est la première catégorie sémique au niveau de l'énoncé. II résulte d'une attribution fonctionnelle de leur faire et de leur être, c'est-à-dire de leurs qualités. Les actants peuvent être réduits en classes partageant des compléments et des fonctions communes. Fonctions narratives et modalisantes Les fonctions narratives incluent l'épreuve de l'être et du faire, comme dynamiques de second niveau. Les fonctions modalisantes comprennent les épreuves du vouloir, du devoir, du savoir et du pouvoir. Ces fonctions peuvent se combiner (par exemple, vouloir faire, devoir être). Les récits c’est réparer dans les symboliques du positif et du négatif. III) La (dé) construction du sujet par l’idéologie Résumé : La pensée humaine est pensé sur une pensée sauvage. Des entités sont reliés logiquement à d’autres entités. En observant on catégorise le monde on crée alors le monde. Cette pensée sauvage on la fabrique de façon balisienne -> avec un exemple on se fait une théorie. On fabrique aux grès de nos expériences des connaissances ( chat mange souris parce qu’on la vue 10000 fois ). La pensée sauvage est naturelle chez les humains. La fabrication de notre connaissance n’est pas scienti que est se fait par nos expériences. La pensé. Sauvage est fi pensée sur la connotation , on a des grilles profondes qui se cache derrière l’apparence du sens qui est devant nous. Je vis un expérience-> elle m’apporte des info -> je vais chercher des sèmes pour catégoriser l’info ( je ne connais pas un animal mais il a des gri es donc c’est pê un félin ) -> je vais calquer à mon expérience ( vu que c’est pe un félin il va surement manger la souris ( alors qu'on en a aucun preuve ) -> je vais attribuer alors des aprioris. Une idéologie s’apprend par l’expérience et l’in uence , qq va me donner des grilles de lectures -> j’ai l’expérience et je vais te montrer comment marche le monde-> et donc je vois le monde par rapport à ce qu’il m’a dit. Greimas nous a montrer que tt ça montre les récits du monde. Il va nous apporter la logique de récits, de ctions dans laquelle l’idéologie se déploie. Mai 68-> tous les intellectuels sont marxistes, on s’interroge sur le pouvoir, comment je pourrais être plus libre , qu’est ce qui fait que je suis dominé par les institutions. 2 auteurs vont jouer un rôle : Louis althusser et Michel Foucault -> va prendre de la distance avec le marxiste. Il y a aussi un grp de chercheurs qui vont vouloir rompre avec le marxisme Année 80-90 -> ce sont les acteurs de la sociologie de la controverse -> 1 - Louis Althusser : la critique révolutionnaire Il va rappeler que si une société tiens debout c'est grâce aux instance qu’il appelle appareil, pour réguler la société. Ce sont des instances de reproduction. Et parmis elle, il y a les instances de reproduction physique -> la police. L’autre instance est l’appareil idéologique d’état -> ils vont transmettre la grille idéologique pour comprendre le monde ( ex Disney est un appareil idéologique d’état -> a une responsabilité sur l’idéologie qu’il transmet) louis comme c’est un marxiste ils appelle ça comme ça car pour lui seul l’état a la mission de transmettre les idéologies. aujourd’hui c’est faux c’est le commerce qui le fait ex Net ix, Amazon. Mais pdt très longtemps l’état avait le monopole de la transmission idéologique ( ex l’état dictait la religion ). La supériorité idéologique c’est son économie. Contrôler des gens qui ne sont pas d’accord ça coute très cher. Alors que programmer des gens idéologiquement pour les contrôler c’est très économique. Il n’existe pas de société sans appareil idéologique car sinon il y aurait des révolutions et con its tout le temps, car nos façons de voir le monde serait trop di érentes. Louis va écrire une phrase incroyable : « L'id ologie est une repr sentation(1) du rapport imaginaire des fi fl fl é é ff fl ff individus(2) ( des grilles de lecture de l’individu) leurs conditions r elles d'existence(3). ». j’interprète le monde en permanence par mon idéologie. Une société c’est un bouillonnent de rapport de force idéologique avec des dominants et des domines et ce rapport est tjrs mis en cause souvent par les dominés. la critique r volutionnaire Pour Louis Althusser l’ordre social se maintien par un dispositif social de reproduction des conditions de productions. A c t du syst me de distribution des biens ( conomie) et des comp tences (savoir), la soci t maintient l’ordre gr ce la domination id ologique par les A.I.E. (Gramsci). « c'est dans les formes et sous les formes de l'assujettissement id ologique qu'est assur la reproduction de la quali cation de la force de travail » Mais qu'est-ce que l'id ologie ? « L'id ologie est une repr sentation(1) du rapport imaginaire des individus(2) leurs conditions r elles d'existence(3). » Mais la grande force d’Althusser est d’appeler connecter l’analyse id ologique derri re les expression du quotidien l’analyse sociologique des rapports de production. L'id ologie une dimension pragmatique. Elle est actes mat riels, ins r s dans des pratiques mat rielles, r gl s par des rituels mat riels d nis par des appareils id ologiques mat riels. ▪ 2 - Michel Foucault : La société va instrumentaliser certains savoirs pour reproduire l’ordre social. Il ya une utilisation idéologique du savoir. La savoir n’est pas idéologique mais on peut l’utiliser à des ns idéologiques. Regarder non pas le savoir mais regarder à quoi il sert - Foucault. Il av dire la position idéologique va s’immiscer dans le savoir c ce qu’il va appeler l’ordre du discours. Cet ordre va s’organiser à tous les niveaux. Foucauld va reprendre louis -> utiliser tels outils appartenir à tel grp c’est idéologique. Le savoir n’échappe pas à son rôle idéologique. La v rit comme construit sociale. Pour Michel Foucault la soci t est constitu e d’ordres de discours charg s de dire la v rit , savoirs qui rendent di cilement discutable des repr sentations du monde. Ces savoirs sont produit selon des r gles socialement tablies qu’il appelle une pist m. D s structures qui tablissent la distribution des objets du savoir, l’ laboration de concepts et des th ories mais aussi des sujets l gitimes de la v rit. Cet pist m est situ historiquement et engag dans des rapports de pouvoir au service de l’ordre sociale. Michel Foucault montre l’imbrication entre organisation sociale et ordre de la v rit. Production de la connaissance(1), Technologies d’information et de communication(2) et rapports de pouvoir(3) forme une structure relationnelles qui tablissent les changes entre sujets nonciatifs et objets du savoir. Paradigmatique et syntagmatique. Tout ça rentre dan une dynamique -> Greimas. 3 Une rupture américaine avec le marxiste La sociologie pragmatique des controverses émerge dans les années 1990 en France, rompant avec l'hégémonie marxiste et proposant une nouvelle approche des sciences sociales (Latour, Callons, Boltanski,Chateaureynaud). 1. Rupture avec le marxisme dans les années 1980 : Une serie de chercheurs social-démocrates marquent une rupture avec la prédominance marxiste en éliminant les références à la « pensée post-68 ». 2. In uence de la sociologie américaine : La sociologie pragmatique puise dans l'interactionnisme symbolique et l'ethnométhodologie, s'inspirant des travaux de é é é ô é é é é é é fl é é é à à é é é è é â é ffi é fi à é é é é è é é é é é é fi à é é à é é é é é é é é é é é é é é é é é fi é è é é é é é è é é Go man et Gar nkel en opposition avec l'héritage de Bourdieu, qui s'oriente vers l'altermondialisme au début des années 1990. 3. Figures clés et institutions in uentes: des auteurs comme Luc Boltanski ( théorie de la justi cation) , Michel Callon ( théorie de l’acteur réseau) et Francis Chateauraynaud ! forment une sphère intellectuelle in uente autour d'institutions parisiennes telles que l'EHESS et l'École des Mines, se focalisant sur l'analyse des controverses à une échelle méso-sociale. La sociologie pragmatique explore comment les acteurs sociaux construisent la réalité à travers des processus de catégorisation et de justi cation, mettant l'accent sur la dynamique du consensus et du dissensus. 1 Concepts centraux pour comprendre l'action sociale : Les notions d'accord, de quali cation, de grandeur, de mondes communs, de régimes d'action et d'épreuve sont essentielles pour analyser comment les acteurs négocient et justi ent leurs actions dans des contextes spéci ques. 2 Rôle des actants dans la construction du sens commun: En adoptant le terme "actant", la sociologie pragmatique reconnaît que non seulement les personnes, mais aussi les objets et entités juridiques participent activement à la création du sens partagé, re étant une vision élargie des interactions sociales. 3 Distinction entre compétence et performance: En réintroduisant la distinction chomskyenne, cette approche souligne que la capacité des acteurs à agir (compétence) et la réalisation e ective de ces actions (performance) sont in uencées par des facteurs cognitifs et contextuels, y compris les ressources et les outils disponibles. Dans ce con it , épreuve perpertuelle de constructions cela réalités il ya une dynamique de hasard et d’evenemnets. Il ya un temps ou`tu peux renverser les dominants. À l’inverse les dominants peuvent t’eteindre c’est l’evenementialité cé st pas parceque tue s un dominant où un dominé que la bataille est plié. l’evenemnt unique de la bataille -> la performance, peut changer ce que la compétence avait prédit.la performance peut changer l’issu des batailles. Ex revolution fr. 2e idee majeure. Dans une société donne il y a une pluralité d’ideologie. Ils repèrent 6 ou 7 grandes idéologies. Il ya des disputes entre les di érents façon de voir le monde et même dans les même fanons de voir le monde. Pour justi er sa Jacob de voir le monde on va manifester son idéologie Copier coller cours fl ff fi fi fl fi fi fl ff fl fi fl fi ff fi Le paradigme Interactionniste : au fondement des jeux de r les Introduction : la communication comme fabrication du sujet L' cole de Chicago est la source du paradigme interactionniste. « La

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