Summary

Ce document, résumé de séances sur la sociologie, détaille les concepts fondamentaux de la discipline. Il introduit l'étude des phénomènes sociaux et de la socialisation, ainsi que l'importance du contexte historique dans l'émergence de la sociologie. L'auteur explique également les méthodes d'analyse utilisées et des pensées de pères fondateurs de la discipline.

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Sociologie Acheter syllabus - résumé des séances BESPO 1160 Examen : QCM Info-extra 13 séance auditoire, 5 séances TP Def Sociologie : étude des phénomène sociaux, tt ce qui est provoqué par la vie en collectivité Existence—> on parcours des cercles de socialisation :(famille, l...

Sociologie Acheter syllabus - résumé des séances BESPO 1160 Examen : QCM Info-extra 13 séance auditoire, 5 séances TP Def Sociologie : étude des phénomène sociaux, tt ce qui est provoqué par la vie en collectivité Existence—> on parcours des cercles de socialisation :(famille, l’école, les groupes) Désigne le processus par lequel les relations a autrui forment l’individu. Ce sont les relations aux autre qui forment l’individu. Ex : Little Odessa lm 1995 Sociologue : de nature nous sommes liés aux autres, nous ne serions rien sans les autres. Rapport a autrui, nir par être dépassé par les events La S c’est l’étude de la socialisation et du dépassement qu’il en suit. Étude de la façon dont nous sommes socialisé et dont nous sommes de ce fait dépassé par les events. Dépassement de l’intérieur (premières pensées, stéréotypes), extérieur (institutions) Première contextualisation : La S est créer au 19°s, pour étudier les processus et mécanisme dépassement du dit individu. 1840 : première revendication du mot, inventé par August Comte socius = ce qui est partagé entre deux individu logie = connaissance, science —> connaissance basée sur des règles d’observation de la réalité empirique - Empirie : aller observer sur le terrain (société) ce qu’il en est (interview, rapports= données), de ce fait on peut en tirer une théorie Société moderne : 5 changements majeures - industrialisation - division du travail ( sectoralisation de la soc) - consommation de masse - urbanisation - individualisme (individu contre partie de l’état-nation, chaque citoyen a des droits, individu devient un idéal) - colonialisme (impensé des sociologues du départ) Sociologie né en même temps que l’anthropologie, partage des taches donc peut de penseurs qui ont pensés les deux, pas fait de lien entre les deux La S se créer en EU et au US, les yeux rivés sur une société moderne, blanche, européenne ou qui se pensait comme telle La naissance de la socio en tant que science remonte où les anciens philosophes on dit il faut devenir scienti que, prétention à la science = sociologie Société moderne en crise, les individus se retrouve sans tout le soutien du village, de la famille, de l’entraide éthnique. La plupart des individus sont en crise, ne savent plus le sens du monde, ils sont libérés des traditions, mais sont seuls dans le monde. fi fi fi Comment fonder une nouvelle organisation sociale, intégrer les gens ? Crainte de la foule, cmt la paci er Double promesse de paci cation de la population et d’expérimentation de nouvelles formes de vie en collectivité Si individu libre, qu’est ce que le collectif mais inversement somme nous bien sur de vivre dans une société qui oeuvre pour l’égalité ? C’est au moment même que né l’individualisme que né la sociologie= étudier tout ce qui dépasse l’individualisme Deuxième contextualisation : La S est née dans une société dotée s’un appareil statistique. Les conditions de production scienti que mené à grande échelle, à la nation étaient en n réunies. Appareil qui permet d’observer, compter sa population. La S n’aurait pas eu de projet a revendiqués sans la statistique. 1835 : Quetelet, « l’homme moyen » : est cette ction qui suppose la concentration en un homme de toutes les moyennes d’une population Ex : femme moyenne bruxelloise on des enfants a 30 et celles qui ne le sont pas en on plus tôt Cependant ction, car ça ne l’ai pas pour chaque femme mais ça l’est pour la majorité des femmes bruxelloise, pour un échantillon Quels sont les usages que l’on fait de l’Homme moyen ? - Quali er une tendance, un changement structurel (Veblen), les élites n’ayant plus les privilèges se rués vers la consommation pour montrer leur privilèges - Experience perso, processus historique et sociale (charles Wright Mills), la socio nous fais passer du personnel au collectif —> the sociological imagination ex : pb seul, peut aider de savoir que l’on est pas seule a vivre ça - Mesurer l’écart, objectiver la discrimination ( Amandine gay « ouvrir la voix ») explique importance des stats, car par de stats pas de moyen de prouver les inégalités 3 inégalités : - de classe - de genre - communauté racisés ou non racisés Part.1 : Des pères fondateurs et de leur pertinences aujourd’hui CHAPITRE 1 : La sociologie selon Emile Durkheim 1. Le corpus et le positivisme : Fondateur de la sociologie Corpus = livres publié de son vivant E. Durkheim expose les principes de la sociologie, il introduit le positivisme que l’on peut dé nir comme une idée que la sociologie peut être scienti que et objective ( idée contesté à l’époque ) La société peut être analysé de façon scienti que et objective en utilisant les memes données que ceux utilisés dans les sciences de la nature ; ils peuvent en n s’appuyer sur des mesures et des chi res —> statistiques de l’État La socio n’est donc plus obligée de s’en tenir aux propos des gens. Liste des livres publiées : 1893 De la division du travail social 1895 Les règles de la méthode sociologie ff fi fi fi fi fi fi fi fi fi fi fi 1897 Le suicide-> livre abordé dans ces notes 1912 Les formes élémentaires de la vie religieuse 1914 Qui a voulu la guerre ? 1915 "L'Allemagne au-dessus de tout" La mentalité Allemande et la guerre Nos actions dépendent de la société dans laquelle nous vivons-> État nation (République française) Notre comportement est façonné par le milieu social dont nous provenons —> à l'époque cette in uence ne se connaissait que grâce aux livres car elle n'avait pas encore été démontrée. Force sociale: force exercée sur les individus par le milieu social et la société; ce qui le contraint à agir comme le veux la société 2. Dévoiler les forces sociales Grâce au Suicide il a obtenu une chaire (cours ouvert pour tester cette matière -> cours hors curriculum en science sociale qui peut devenir un programme) Le Suicide est une démonstration des forces sociales qui vise à établir une réalité, Ce n'est pas une ré exion morale ou philosophique sur l'acte en tant que tel. Durkheim cite dans une lettre à Marcel Mauss (neveu) [...] mon Suicide allait dissiper les équivoques, déterminer une entente[...] Dans ce livre, il démontre que là où on pense être le plus intime (moment du suicide) il y a en réalité d'autres causes en jeu que notre état d'âme. Il part d'une constante (invariabilité statistique) que chaque Société (État nation) a son propre taux de suicide —> + de suicide en Angleterre qu'en Italie Les taux restent stables d'années en années mais plus le comportement est minoritaire plus il est rare de trouver une constante (s'il y a 3 personnes qui se jettent d'un pont en une année —> pas de constante car minoritaire) Pour en détecter la cause il va regarder ce qui di érencie entre les sociétés et ne change pas d'année en année. Plusieurs hypothèses : climats, race/hérédité, état de santé mental d'un pays, limitation (transmission du suicide dans une famille) -> réfute chacune des hypothèses et véri e la corrélation (si ces variables évoluent de la même façon dans le temps et l'espèce) - Durkheim n'est pas le 1* à analyser le taux de constance du suicide - Lorsqu'il réfute les hypothèses des autres il ne reste que les statistiques —> registre scienti que il administre la preuve. Il veut introduire la sociologie à l'université mais pour cela il faut que la socio ait sa propre matière. Il faut quelque chose de plus que la conscience individuelle —> conscience collective 3. Représentations collectives Idées, images, reçues du milieu,, sur le monde, le bien et le mal, le rapport à autrui. Variable du milieu religieux : l'appartenance à la confession juive, catholique. protestante Variable du milieu domestique: Statut civil, avoir des enfants, date du mariage (+ il est tôt - il y a de suicide) Variable du milieu politique : Il va en inventer une -> être présent à des moments ou des lieux de révolte populaire Corrélations détectées : Les catholiques se suicident moins que les juifs qui se suicident moins que les protestants être marié et avoir des enfants protège contre la tendance au suicide, plus d'enfante = plus de « protection » Le suicide régresse lors de révoltes ou de guerres. D'autant plus vrais dans les grandes villes et dans les quartiers révoltés. 3/10/24 Trois saisies : fl fi fl ff fi - Statistiques : - Oeuvres : - Entretiens : -Citation- Sociologue fais face a deux règne de réalité di érente : celui de la société ( fait social/code ) et de l’individu ( particulier/ manifestations ) Analogie de Durkheim : Société = corps individu= organe « La société est plus que la somme de ses individus » D. En tant que sociologue je m’intéresse au code et non pas aux manifestations des individus, Le fait social se sont des manière d’agir et de penser que l’on ne voit pas mais qui sont bien là. 1 ere règle : « Si une chose résiste c’est qu’elle existe même si nous ne la voyons pas » 2 eme règle : « Le fait social s’explique toujours par un autre fait social » On doit pas s’intéresser au psychique de l’individu mais au collectif Ex : - si je veux expliquer le sexisme, il va falloir l’expliquer par un phénomène : code religieux - l’anorexie est expliquer par la bourgeoisie ( code ) Le sens du sacré 1912 : dernier livre fondateur de la sociologie, Les formes élémentaires de la vie religieuse Livre qualitatif sans statistique, D s’intéresse à la vie religieuse, à son état le plus simple Essaye de capter les rituels, leur façon pratique religieuses Société la plus simple que l’on pensé : société aborigène —> Si je peux établir une constante dans cette soc et bah cette loi sera valable pour toute les soc, il en tire des généralités : - sentiment religieux ( nous ne somme pas seul au monde nous humains ) Les aborigène sentent qu’ils sont en société mais comme ils sont primitif ils n’ont pas cette ré exion, « notre sacré c’est notre société » Nous sommes dépassés par la société et nous voulons toutes un culte à ce dépassement. = culte religieux Nous sommes dépassé et nous voulons dévoué un culte, nous somme attachés à la société, il n’y a pas culte où il n’y a pas de société voué a un dépassement. Il faut généralisé, et s’intéresser au sentir La société a besoin de culte pour pouvoir intégrer. La société a besoin de nouveaux milieux et rites d’intégration : Rituels = fait de répéter un geste, une intonation de la voix, de posture, mouvements L’implication du corps et des e ects dans les rites de mémoire Caractères contraignants du fait social : tensions, intimidations, emprisonnement S’opposer au mythe : refuznik CHAPITRE 2 : La sociologie selon Max Weber (1864-1920) M-W : Deuxième fondateur de la sociologie. Di erent de D professionnellement, il a fait du droit , de l’histoire et de l’économie. Il faut une nouvelle discipline pour des raison politiques et intellectuelles. Il a une ré exion sur la société moderne , comment l’améliorer ? Il pense que l’état doit être assisté par des sociologue pour cette nouvelle société a venir. Il s’intéressais à la socio car il remarqué que quelque chose à échappé à l’analyse que l’on peut faire de la société moderne. fl fl ff ff ff Ce qui échappe : « la mentalité de l’époque » Lui va appeler ça la culture : il faut une discipline pour étudier la culture Weber n’envisage pas la société comme une force qui déterminerait les individus, pas idée d’une société qui façonne l’individu à son image. Ne pense pas non plus que la société est une réalité extérieur aux psychologies individuelles. Il n’y a pas d’inconscient collectif. —> On participe tous à une culture, on sait très bien ce que sont nos valeurs , très actif, les individus participe à une culture d’une façon actif. Pas 2 règnes : juste des individus qui interagissent, la société est une complexité terrible d’individus interagissent. La culture est un ensemble de propositions et d’injonctions qui font sens, piquer un groupe d’individus qui font sens pour un groupe d’individus. Point de départ : c’est tous ses individus qui interagissent entre eux et qui construisent du sens. Création d’un tissu d’interaction, qui est si complexe si imbibé de sens qu’il nous faut une nv discipline pour comprendre ce tissu d’interaction. L’ Activité sociale est le comportement qui s’oriente signi cativement d’après le comportement d’autrui. Il faut un minimum de sens et d’orientation. ( Ex : la foule peut passer de l’activité sociale à un comportement instinctif ) 4 critères : - Le comportement - Ce comportement doit faire sens pour l’agent ( doit être investit ) - Ce comportement soit le produit d’une orientation active ( j’ai ré échit à ce que je fait ) de l’agent - Cette orientation doit se faire en rapport au comportement d’autrui ( j’ai ré échit à qu’est ce que je vais faire en m’inspirant des autres ) 3 comportement qui ne réponde pas à ces 4 critères : - Comportement instinctif ( agir sans ré échir ) - Comportement ré exif ( ex : regarder à gauche et à droite avant de traverser ) - Acte techniques/ les savoirs incorporés ( ex : savoir utiliser un ordinateur, écrire ) On est la plupart du temps prit dans l’activité social ( ex : préparation d’un cours, date, métro, séance de parlement ). C’est l’orientation d’après le comportement d’autrui qui compte. Ex : La Bourse : spéculé, investir des actions Il a commencé a s’intéresser aux marchand eux meme, comment faisait t-il leur choix. La Bourse est la quintessence de l’activité social. En tant qu’économiste il s’est intéressé au crash boursier, tout ces moments ou le marché ne s’est pas auto réguler comme il le devrait. Le crash est causé par une paire aveugles des actionnaires qui continue de vendre leur actions car ils savent que sinon c’est la n de la bourse. irrationalité ou forme de rationalité que l’on a pas encore comprise ? Si l’on suit W, le crash est une activité sociale, les agents de la bourse se basent sur les autres, et non plus en pure homo economicus. Mais il deviennent hommes de culture, homme de l’occident, le pro t meme si il sait qu’en faisant ça il va se ruiner. Les agents sont engagés dans une cultures où les injonctions les font virer à la destruction. Cette tendance a foncer droit dans le mur serait alors culturel pour Weber. Ex : Yuval Noah Harari, L’homo sapiens a toujours tout détruit, mais il n’avait pas la capacité de détruire une planète, c’est la technologie. —> destruction Ex : thèse de la tragédie des communs : si vous donnez une prairie à des individus et qu’ils sont libre d’utiliser les forets, il va y avoir surexploitation car tout le monde veut aller jusqu’au bout. Nous ne pouvons jamais avoir des ressources qui serait à tout le monde, car tout le monde va surexploiter les terres. Donc 2 choix : - Propriété privé fi fl fl fi fl fl fi - Législation par l’état Ex : thèse de Hardin qui est réfuté Ça n’a aucun sens car pendant des siècles ça a marché, il faut aller étudier dans tout les cas où les ressources sont utilisés en commun, il faut une assemblée des communs. C’est typiquement occidental de ne pas s’arrêter puisque dans d’autre culture cela a marché. C’est la culture de l’occident qui doit que l’assemblée des communs a du mal à fonctionnait. Weber : croire au progrès n’est pas inculqués chez tout les êtres humains, il l’est dans la culture de l’occident. Plutôt que de traités les non occident comme des ignorants, il faut accepté que nous ne sommes pas les seuls détenteurs de la rationalité, ils sont rationnels mais d’une autre façon que nous. Il introduit qu’il y a une pluralité des rationalités. - Rationalité occidentale : - En nalité : je veux obtenir qlq chose, il me faut ses moyens pour y arriver - En valeur : peut m’importe les e ets je veux faire ça ( je prend un risque mais c’est trop important pour moi ) On peut dire que parce qu’il y a l’histoire, le droit derriere lui, qu’il a une vue plus large sur la société que D, il utilise ce baggage pour élargir le point sur la société moderne. Tout le monde est rationnel, il n’y a pas d’irrationalité dans la psychologie de Weber. « Tout a chacun ne cesse de rationalisé c’est à dire de donner un sens à la vie et de viser des objectifs en mobilisant des éléments de triage très di érents. » Ex : port des armes au US Art.2 de la constitution : « on ne peut pas enlever les armes au peuple pour se protéger» Importance de pouvoir se protéger, certains dise que cela viens de la culture de la plantation. Cette peur constitutive parce que on sait que tout ça n’est pas correcte, sens de l’injustice ; peur qui est consécutive de cette culture américaine. Selon weber pour comprendre il faut retourner dans l’histoire, c’est là que l’on trouve les traces de l’important et du non-important. Sociologie compréhensive : « comprendre veut dire atteindre un degré d’évidence, toute science de l’interprétation doit arriver à atteindre un degré d’interprétation. » 2 tradition : Weber vs Durkheim - Explication par compréhension ou interprétation : atteindre un degré d’évidence (W) - Explication par déduction avec capacité de prédiction : établir des lois, règles générales, invariances (D) La complexité et l’indétermination qu’implique l’activité sociales fait qu’il faut des nouveaux outils, d’analyse pour la comprendre. - Ideal type : simpli cations de la modélisation avec deux ou trois facteurs - A nité : si deux phénomène venaient ensemble avec des a nités ( comparé état d’israel avec celles des us : péché originel ) Le grand péché de la science est de relativiser ( le racisme n’est pas si grave etc..), comprendre ne veut pas dire relativiser. Question de l’objectivité, qu’est ce qu’on fait avec nos valeurs ? On ne peut pas imposer ses propres valeurs a la recherche, au moment où on aborde la recherche on met nos valeurs de coté pour essayer de comprendre l’autre. Quand on comprend de l’intérieur un comportement, ça nous permet de mieux nous positionner politiquement face au phénomène. Comprendre ne veut pas dire se mettre dans la peau de l’acteur, comprendre ne veut pas dire qu’il faut l’avoir vécu, seule chose qui faut comprendre c’est ce qui motive les autres, sens de l’importance. « L’explication compr hensive est celle qui rend compr hensible le sens vis par l’action c d le sens de l’importance qui joue pour cette action. » ffi fi fi é ff ff é ffi é à La sociologie compréhensive nous permet de nous interroger, ce qui nous semble irrationnels est non fondé. -Retracer la genèse des traits culturels- L’éthique protestante et l’esprit du capitalisme, Max Weber Il montre à quel point ce qui caractérise la société moderne, ce qui met en avant le désir de pro t ( réussite, carrière ) n’a rien d’évident. Pars d’une thèse connu a l’époque : thèse des a nités qui existe entre le protestantisme et le capitalisme. Les partis les plus protestant sont capitalistes, le capitalisme est née dans las partis protestante du monde. - Le royaume unis - États Unis Ce constat surprend car on ne comprenait pas comment ct possible que le capitalisme était en penlsyvanie et pas à Florence. Italie avait les richesse or la Pennsylvanie non, donc comment ça se fait que l’Italie soit resté dans une eco traditionnelle et que la Pennsylvanie est fait naitre une eco capitaliste. Capitalisme : appelé à l’époque l’économie moderne vs le traditionnel C’est une économie dans laquelle le capital est réinvestit dans l’entreprise pour la rendre plus performante. PK ? Parce que il ne su t pas de faire du pro t, mais faire plus de pro t que les autres. C’est le pro t relatif qui compte, parce que il y a concurrence amené par investissement des actionnaires. Il faut attirer les actionnaire avec le pro t. L’économie traditionnelle, c’est le pro t absolue qui compte. Ex : si la boite tourne c’est bon, pas besoin d’être la meilleure. Eco moderne , le capital est plus important que la marchandise, c’est le fait que l’on met quelque chose sur le marche qui fait du capital. Pour la plupart des contemporains, il y avait une théorie sur la chose : cette concomitance est liée à la supériorité de race , des anglo-saxon, c’est des hommes qui font la conquêtes… Ils choisissent l’eco la plus moderne mais aussi la religion la plus moderne. On a faire a des conquérants. Weber procède autrement, il va lire les traités de pensylanie, quelle était la mentalité. « Quand je lis ce qui se disait, je me rend compte qu’il y a une mentalité » : l’esprit capitaliste = mentalit qui vise, de mani re syst matique et rationnelle, par le biais d’un m tier, obtenir le gain l gitime qu’est le pro t. Qui con oit le pro t comme une n en soi et plus m me, comme une n qui s’impose l’homme, comme un devoir voire comme une vocation. Le gout de l’argent, ça à toujours existé, ce qui est neuf c’est cette éthique qui veut faire fructi er le capitale, c’est une obligation moral. Toute hommes dans les a aire doit faire avancer le monde, c’est la meilleur contribution du monde à faire. Se fonde sur l’idée qu’une eco capitaliste qui trouve bien est une bonne chose pour l’humanité. D’ou vient la capitalisme ? Il faut éliminer 2 thèses : - Thèse idéaliste : toute mentalité provient d’une idée forte : théoricien, on suit ce que dis un homme scienti que, qui à la connaissance - Thèse matérialiste : - Il faut des capacités techniques (calcul, compta, admi) - Richesse - Main d’oeuvre W : Si on va pour la thèse matérialiste, alors on aurait du avoir le capitaliste dans bien d’autre époque, lieu. Ex : la chine, elle avait toute les conditions matérielle pour que le capitalisme puisse à fi fi è fi ç é fi ffi fi fi ffi fi ff é ê fi à fi fi é é fi fi naitre. Elle était dix fois plus moderne et équipé que l’Europe. Cependant elle n’est pas devenue une éco capitaliste. Donc cette thèse ne tient pas la route. L’esprit capitaliste c’est si on a plus ou moins de richesse, ce qui va donner naissance au capitalisme c’est cette mentalité dans les régions protestante qui sont l’étincelle. Cela vient de la pratique du quotidien dans ces lieux protestants, il propose une thèse culturaliste. Ce qui ne se fait pas a Florence, c’est l’ascèse = discipline stricte, rigoureuse que l’on s’impose au quotidien a n d’atteindre la perfection. Ascèse toute particulière qui nait avec la reforme protestante au 16 eme s. On passe de l’ascèse monastique = pour être digne de Dieu il faut se mettre à l’écart du monde, à l’ascèse intra moderne = pour être digne de Dieu il faut s’engager dans le monde. C’est cette di erence qui va tout changer, c’est ce qui va donner naissance au capitalisme. -Devoir démontrer que c’est cette ascèse religieuse qui va créer cette esprit capitaliste- Martin Luther : Dogme accès sur la contemplation et l’union avec Dieu. Va essayer de rentrer en com directe avec Dieu sans intermédiaires (prêtes), sans les icônes (statues, tableaux ce qu’on trouve dans l’église). Il faut s’unir avec Dieu sans tout ces intermédiaires qui brouille les pistes sur ce que c’est d’être digne de Dieu. Sauf que si on enlève tout ça comment cette communauté va s’organiser? (W amène un procesuss de désenchantement = dire si on est attaché à une tradition avec une statue par ex, il faut le dégager ) - Martin ne veut plus du commerce avec Dieu, acheter des indulgences pour diminuer sa peine, remise à zero après la confession. Le chrétien d’avant la reforme était celui qui pouvait faire péché en péché (confession, indulgence) avec le devoir frôlant l’escroquerie de se racheter au près de l’église. Il n’est pas face à Dieu mais à l’église. Le nouveau chrétien est celui qui ne pourra plus se racheter, c’est celui qui revient au fondement du texte de la Bible, qui sera en communication directe avec Dieu en se demandant « suis-je digne de Dieu ». John Calvin : Qu’est ce que c’est d’être digne de Dieu : introduire dogme de la prédestination Dieu n’et pas la pour les hommes ( faut arrêter les prières ) ce sont eux qui sont la pour lui. Les mérites ou les fautes des hommes n’y change rien. On ne peut pas se dire méritant d’aller au paradis car on ré échit que à sois meme. Car on ne peut pas le savoir, on ne peut pas prédire car tout est déjà dis à l’avance. Dieu est un être que l’on ne peut pas comprendre, l’ordre du cosmos est déjà pris, c’est lui qui xe les destins de chacun même dans l’au delà. C’est une question qui revient à Dieu pas à nous. Les chrétiens ne doivent viser qu’une seule chose : la célébration de Dieu. Doctrine du calvinisme est dur car : place l’individu dans un état de solitude, toute sensibilité n’est pas prise en compte. On ne peut pas être sentimentale car cela perpétue que ce cosmos est la pour nous. Refus radicale de l’hypocrisie et de la vanité des anciens chrétiens, amène une vraie dignité à la foi. Qu’est ce que célèbre Dieu : c’est agir pour faire aboutir le cosmos pré ordonné Tout est deja réglé mais nous ne savons pas ce qui est attendu de nous. “Dieu veut que le chr tien ait une activit sociale, parce qu’il veut que l’organisation sociale de la vie soit conforme ses commandements et soit tablie de mani re r pondre cette n [conformit aux commandements].” C’est deja xé mais ce deja xé demande à ce qu’on s’y en engage. Appel de Dieu « homme lève toi et agit ». Les nouveaux chrétien sont au service du cosmos social. Comment s’engager dans le demande sans savoir ce qui est demandé ? W. Pour pouvoir réalise le cosmos pré ordonné il faut être à l’écoute et saisir les chances, opportunités qui nous sont donné. Au 16 eme s c’est un monde moral très di érent qui avait précédé. « Est ce que j’ai réalisé la volonté de Dieu sur terre ? » Les calvinisme qui suivent : c’est compliqué de vivre dans l’ignorance totale de ce salut é fi ff fl à é fi fi fi é é è à é ff à fi Les calvinisme savent qu’il faut accepté cette ignorance, qui est la preuve de la grandeur de Dieu. Mais trouve cela invivable et donc vont écrire des petits manuels pour comment vivre sa vie. Et de détecter les signes de savoir si vous êtes sur la bonne voies. Signes de l’élection : 4 - Etre a l’écoute des opportunités o erte par le cosmos - l’ Absence de doute - Le travail ininterrompu : la persévérance - La profession devient la vocation : le dévouement totale à la sphère professionnel Tout ces signes ensemble vont agir comme une machine de comment on va vivre sa vie au quotidien, machine qui est redoutable. Celui qui doute un peu trop n’est pas élu, celui qui emmarde n’est pas élu, celui qui confère son travail n’est pas élu, celui qui ne saisit pas les chances qu’on lui donne n’est peut être pas élu. Voila comment les connexions vont se faire entre ce quotidien pour célébrer Dieu et la naissance du capitalisme. Les calvinisme arrive à marier le dogme de la prédestination à une pratique d’élection. Ceux qui réussissent à célébrer Dieu et ceux qui ratent vont amené à la haine du pauvre car il n’a pas fais son devoir. Un nouveau sentiment nait, l’idée qu’il y a des élus et des déchus et que si on fait attention ça se voit. W : nous donne à questionner le méprit que l’on a pour ceux qui on rater. Fin du 19 eme s on est à une époque que l’on appelle : la criminalisation des pauvre. La bourgeoise va jusqu’a pensé que la pauvreté est un crime. Le pauvre on le met en prison. Peut être parce que le pauvre n’a pas réussi a faire son devoir celui de célébrer Dieu en réussissant dans les a aires. Ce qui reste de cette réforme c’est l’idée de la réussite. Dans son livre il essaye de comprendre par l’histoire en quoi les répercussions de cette reforme formate toujours la société d’aujourd’hui à cette idée de réussite. Pourquoi est ce que l’on tient tant à la réussite sociale ? D’où nous vient le méprit des perdants ? Course du temps : on vit pour sa carrière, il ne faut pas perdre de temps, il faut être actif. Il ne faut pas se reposer sur ses lauriers, il faut investir… Au nal il va proposer sous forme d’essaie, « est ce qu’au font on ne mériterait pas à reconsidérer le travail comme simplement un gagne pain et que le reste serait de la passion ». Le travail ne serait plus la où on prouve notre identité, là où on prouve qu’on a réussit. 26/10/24 CHAPITRE 3 : L’école de Chicago -l’immigration et le quartier- 70s on va s’intéresser à l’école de Chicago en Europe, car dans ces années émerge la question de l’immigration. La premier occurence du mot immigration 1768, avant la revolution fr c’est la que l’on va parler d’état nation. Les années 70s n des trentes glorieuses, crise, petrolière et on se rend compte au niveau des gov européen que ces étrangers que l’on trouve pour travailler ne rentre pas chez eux. Ils faut que on trouve une solution car on n’a plus besoin de cette main d’oeuvre de masse. Des restrictions se mette en place. Sociologues disent que c’est une tradition très présente. État nation : état dans lequel les individus sont censé appartenir dans leur majorité à une même nation. QST : Ces minorités sont-elles en décalage ? = point de vu de l’intérieur Cmt passer du point de vu minoritaire —> majoritaire fl fi ff fi ff L’école de Chicago nom attribué après coup a des sociologue. Le moment ou il projette cette notion, c’est en 1925 « the city » : la ville sera le laboratoire sociale des temps modernes. Les sociologues doivent étudier la ville. La metropole est le lieu où apparaissent les nouvelles tendances sociales qu’il faut analyser. Pour donner des nouveaux repères à l’hommes moderne. Il faut aller faire du terrain, voir les gens que l’on analyse. - Observation participante : je participe a une communauté et je l’étudie Hobo : migrants travailleur qui ont construit les routes au états-unis. Communauté qui a existé 100 ans. - Observation non-participante : rentre dans une bande mais ne participe pas, il essaye de se faire accepter pour pouvoir les analyser - Analyse documentaire : analyser la correspondance 7/11/24 Part.2 De la déconstruction et des théories développées dans l’avant guerre CHAPITRE 4 : La sociologie critique Ella a déconstrui les bases de légitimité des élites. Elle va étudier la hiérarchie sociale, les dominants et dominés. Et le fait que ça se maintienne dans le temps avec les inégalités sociales. Intro : extrait de la sociologie est un sport de combat Pierre bourdieux -Domination et marges d’action- 4 : elements : - Objectif de la sociologie - Objet de la sociologie - Utilité de la sociologie - Limite ou nature de la sociologie Elle est censé detecter des lois, bourdieux dis souvent « il faut toujours penser en statistique, tendance, quelle est la régularité ? ». il met l’accent sur l’intériorisation de code, de faire d’agir, notion d’inconscience de nos comportements. Pas de doute que Bourdieux se place dans l’heritage Durkheinien. La sociologie critique prend comme objet les inégalités sociales et plus encore l’invariance de ces inégalités. Il faut se demander comment ca se passe ? Les mécanismes de se maintien dans le temps des inégalité. « La reproduction sociale » : le fait que de génération en génération les inégalités se reproduisent et avoir du mal a s’en sortir. Le grand mécanisme que bourdieux a découvert c’est la transmission du capitale culturel. —> la sociologie prend comme objet critique la « Domination symbolique » qui passe par le capitale culturel. C’est dans les mots, référence que l’on connait, pour faire la di erence avec une domination economic, physique. Et surtout la conception que l’on a de l’autre, le pauvre eme étant moins actif etc… B : cette conception de l’autre c’est pas seulement le dominant qui le projette sur le domine, c’est le dominé lui même qui l’a interioriser. l’idée n’est pas neuve car Frans fanon avait sortie le livre peau noir, masque blanc, et parlé que l’émancipation passe par la libération intérieur car nous somme les premiers a trouvé que il y a une supériorité et nous en somme complice car nous pensons cette supériorité. Une telle prise de conscience si on le sait peut être changé. De tel analyse prise par bourdieux est que si on a une prise de conscience, cela va servir au dominés. ff La sociologie doit donner des prises pour mettre n a cette domination, B dit « il s’agit de démasquer les idéologies et plus encore mais de séduire la porté intéressé et manipulatrice de chaque discours qui provient de l’élite. » Il ya un parti pris qui doit servir a contrer la domination symbolique, la sociologie est une science. Cette exigence de bien séparé politique et science résulte du caractère engagé de cette sociologie. Puisque si la socio veut aider au changement et contesté la domination symbolique, elle se doit d’être rigoureusement scienti que. Pk ? Car c’est la seule garantie qu’elle a d’être écouté, d’avoir de la légitimité. Il y a un passage des taches, les sociologue démontre les mécanismes et les activistes qui disent : si c’est ainsi on veut du changement. On est dans la tradition durkheinienne : « D terminisme veut dire que les actions sont d termin es par des structures, lois et m canismes dont les acteurs ne sont pas toujours conscients. D terminisme implique qu’il y a une r alit objective qui est invisible et cach e, et qui pourtant d termine notre trajectoire et notre destin. » Comment être critique et resté objectif ? -Ré exivité et savoir savant- Le sociologue a intériorisé des valeurs et des préjugés, il fait partie de la société qu’il étudie. Il doit donc, pouvoir prendre distance, avoir de la ré exivité. Surtout de sa propre culture, milieu mais ca ne veut pas dire qu’il faut tout oublier mais plutôt l’objectivé, je dois en devenir conscient. B dit faut apprendre a transformer des problèmes existentiels en problème scienti que. Il faut faire sa propre socio analyse, creuser son inconscient. C’est a dire, analyser ses origines, les milieux que l’on a frequenter, la position sociale qui est la notre aujourd’hui. Re exivité = objectiver sa propre subjectivité B : On est toujours ethnocentrique, il fait un discours sur ça à Londres où il reçoit un prix. Si on objective sa subjectivité on peut l’utiliser. On est détenteur du savoir indigène, et le savoir scienti que ( ou il faut établir des theories ) Il faut aller dire qu’est ce qui gouverne ici avec les comportements des gens étudiés. -Violence, légitimité et inégalité- Le sens commun : livre « les héritiers » et « la distinction » écrit par Pierre Bourdieux Violence symbolique = appellation année 60-70-80 La société moderne est imprégné de violence symbolique. Les héritiers : Fin année 50 la république fr constate la perseverence de l’inégalité dans l’enseignement supérieur et ce malgré e fait que la république savait octroyer des bourses. On les exprimes en probabilités d’accès, l’inégalité extrême c’est que 1 ou 2 enfants issu de famille pauvre accéderont a l’enseignement supérieur contre 60% des enfants des classe moyenne, supérieur. —> forte sous-représentation de ces enfants de classe sous développé Bourdieux : nous pensons qu’il y a un rapport inégale a la culture, la culture savante, bourgeoise, la culture avec les bonnes référence. Dont la présence dans les hautes écoles amoindri les chances de certains étudiants de réussir. A l’université la réussîtes depend ennemi premier lieu de la connaissance de cette culture, des faits et references. La manière dont l’étudiant réussi a amené a faire valoir cette connaissance. Plus la culture a l’air d’être naturel, plus cette culture est amené de façon désinvolte sans être trop scolaire, plus elle sera apprécié. Année 60 : Bourdieux ajoute le déterminisme culturel a celui économique, pour comprendre ce déterminisme culturel il faut s’intéresser à la manière dont on l’amène. L’acculturation : étudiants devront faire face à un « sentiment d’irréalité », au point où ils vont sentir qu’ils ne vont pas y arriver si ils ne rentrent pas de plein pied dans cette culture.« pour fl é fl é fi é fi fl é é é fi fi é é é réussir il faut que l’on oublie notre propre culture ». = l’acculturation. puis ils vont avoir a faire a l’auto-exclusion. L’auto-exclusion : devoir abandonné leur etudes des que ça ne marche pas pour eux, on l’impression que l’uni n’est pas un lieu pour eux, à eux. Ils quittent eux meme l’institutions. Elle permet a l’université d’être complice sans l’avoir l’air. L’appareil scolaire est l’institution qui permet la soci t de perp tuer un id al m ritocratique, id al qui veut que chacun·e ait selon ses m rites, dans une r alit qui est, quant elle, non m ritocratique, profond ment in galitaire et injuste. ➱ La soci t ne pourrait pr tendre l’ galitarisme s’il n’y avait pas l’ cole... Lorsque l’école nie l’existence des inégalités et privilégie un rapport désinvolte et libre a la culture comme signe d’intelligence. L’école transforme, le privilege sociale en don du mérite individuelle. Petit a petit on arrive a un moment ou c’est inégalités seront traduit en « ceux qui on réussit l’on mérite car ils ont travaillé. Positionné l’école, l’institution charnière de l’égalité sociale est très français et pas universelle. Cette théorie est universelle pour autant qu’elle connaisse les inégalité sociale, car toutes société inégalitaire va s’e orcer de trouver des arguments qui viennent légitimer ces inégalités. Et toutes ces sociétés opèrent des violences non-symbolique car elle nie ces inégalités. La seule chose qui peut varier ce sont les institutions. - Rompre l’ambiance méritocratique : arrêté de dire que a l’université c’est selon ces mérites, ce ne sont pas les résultats qui importent mais la trajectoire des étudiants pour atteindre ses résultats. Ces diplôme devraient être equivalent. - Abandonner la pédagogie charismatique : pédagogie de la rationalité, vous apprenez un métier et il y a plus de charisme. Il faut quand même qui il y est une connection avec un peu de charisme. Les qcm ( tu connais ou tu connais pas ). 14/11/24 6 ans après le livre les héritiers, qui va devenir une trilogie, le dernier livre : on veut pousser un peu plus loin la re exion théorique. - Violence symbolique - Introduction notion habitus Violence symbolique, pas physique, matérielle, économique mais elle porte sur les signi cations, gestes, mots, perceptions. Signi cation —> hiérarchie, certaine personne jugé moins méritante que d’autre. Elle façonne le destin de classe entière, elle créer des trajectoire de classe, il est di cile de sortir de sa classe sociale. Def v.s : « tout pouvoir de violence symbolique, tout pouvoir parvient a imposer des signi cations et à les imposer comme légitimes en dissimulant les rapports de force qui sont au fondement de la force, ajoute sa force propre, proprement symbolique, à ces rapports de force. » Def sens stricte du terme : - tout ce qui parvient a imposer des signi cations de valeurs - on ne les conteste pas ( légitime, pense par la majorité) - et a le faire tout en dissimulant les rapport de force qui sont a l’origine d’imposer, on utilise ses di érence mais on oublie de dire que ça à tout avoir avec le milieu d’où il vient, l’école. Principe de cumul : la v.s vient se rajouter à une sou rance : la violence économique ( travail des parents ) é é ffi ff é ff fl é é fi é fi é à ff é é é é é é é é é à é à fi fi On peut dire que l’école parvient a imposer des signi cations méritocratique de façon légitime et a le faire tout en dissimulant les rapports de classe qui permet de faire la distinction entre un bon français et un mauvais français. —> lutte des classe existe encore après l’âpres-guerre, elle porte de la v. Eco et symbolique Il y a une dependance théorique entre les deux, pas de v. eco qui tienne si il n’y a pas de v.s L’un vient légitimer l’autre. Héritiers adopte une vue non mécanique du déterminisme, il faut plusieurs facteurs pour déclencher une réussite ou l’élimination. Un seul facteur tel que le revenue ne su t pas, ce qui le rend plus fragile. Meme si on a tous pour réussir ça peut quand meme ne pas marcher et inversement. Est ce que c’est encore du déterminisme ? - Statistique : sous ses conditions là, ta classe réussira ou sera éliminer mais toi peut être que tu passera à travers les mailles du lets - Sociologique : j’incorpore des valeurs qui me dispose à agir, valeur a vouloir x ou y B : Déterminisme passe par une incorporation des manières d’agir, penser, sentir Le milieu sociale ne peut mener a l’auto-exclusion que si il a était incorporé, le dominé contribue a sa propre exclusion si il a se sentiment d’incorporation. C’est grace a cette incorporation que ce déterminisme sociale échappe à son caractère automatique et mécanique. Citation…. ( voir slide ) Habitus : - formation qui agit meme après avoir quitté le milieu - Nous interiorison les principes d’un arbitraire culturel : ces valeurs et sentiment d’infériorité/ superiorité non aucun fondement hors des rapports de classe, arbitraire qui a des e ets : ex : une caissière paye same que un metier « plus haut » ca nous fait bizarre - Importance des pratiques : tout ca a de l’intérêt car cela, pousse des gens a agir de tel ou tel manier. Les valeurs que l’on incorpore ne reste pas juste dans nos têtes cela va carrément nous pousser dans une voie de vie. L’habitus informe et forme notre pratique. Def habitus : l’ensemble de dispositions prédisposantes, disposition inculqué a travers le milieu sociale mais qui dispose C’est l’habitus créer une brèche, il est possible de changer et retravailler les dispositions prédisposante Le privilege c’est ce qui est normalement dispo pour tout le monde mais qui est deja dans l’usage exclusif appartient deja à une classe. —> B intéresse par la force de l’ajustement ( D ), Transclasse : individus de façon improbable qui ont intégrer d’autre milieux que les leurs , milieux supérieurs, ascension sociale drastique 2 facteurs : - Tout ses individus ont connus une liaison durable avec une autre classe que la leur ( supérieure ), ce qui est décisif c’est l’amitié et l’amour, c’est le corps lui meme sui s’ouvre a autre chose - l’importance d’une émotion forte, la rage ( je vais vous montrer ), désir ( de repas le destin de ses parents ) Reproduction sociale : Livre : la distinction B va clore un long débat venant d’une question posé par Marx : Est ce qu’il faut s’intéresser à l’infrastructure pour s’intéresser a une société ou à la supra- structure ? Marx dit il faut pas s’intéresser a l’o re et la demande car trop abstrait, il faut aller mener des enquêtes dans les usines. fi ff fi ffi ff Gramsci : il faut s’emparer de la supra-structure, des medias, des discours, idéologies (hégémonie) Francfort : les discours de sens que l’on donne au chose, ça ne fait que oublier la lutte au mass ( appareil de divertissement, Hollywood ) B : espace sociale composé de 2 couches : une couche « espace géométrie » —> espace condition d’existence objective( matérielle) des personnes ( gros revue, peuvent aller en vacances ou non ), « L’espace style de vie » ( ce que j’aime, sport que je fais ) —> il y a une correspondance statistique entre les conditions objective de classe et le style de vie. Si on veut situer une classe il faut prendre en compte les di érents capitaux - Capitale économique : richesse et patrimoine - Capitale culturel : diplômes mais aussi la présence de parents cultivés, style de vie - Capitale social : relations, contactes, connexions que un milieu entretien avec un autre milieu B découvre une correspondance mais va démontrer a partir de celle-ci qu’il y aune lutte pour le maintien de ce privilege, non seulement dans l’espace objectif mais aussi au niveau du style de vie. Chaque classe tente de se maintenir mais aussi de graveller les echelons, et de maintenir l’écart. La distinction = tous les agents et groupes sociaux tenteront continuellement de maintenir l’ecart entre leur pratiques culturelles et celles des autres. Critique sociale du jugement de gout : le livre explique que a priori, semblait ne pas pouvoir s’expliquer, cad le gout, rapport a la culture… il le fait en recardant les gouts dans l’espace sociale cad dynamique de lutte entre classe sociale. Même si chaque personne veut assurer le maintien du patrimoine, ce qui sont en train de faire l’espace sociale c’est de fermer des portes au autres. —> la culture est au coeur des luttes des classes, elle est loin d’être innocente Film : match point -la théorie des champs- Monde qui a ses propres codes, propres elites , ex : monde professionelle = champs professionnels. Chaque champs est : - structuré par la lutte entre dominants et dominés - Tiraillé par forces contraire auto-heteronormie - Alliance possible entre elites Enquête 1997 : extrait « les nouveaux chiens de gardes » : critiquer leur complaisances vis a vis des autres elites 2 mécanismes en eux : - Il y a complaisance car ses medias ne sont pas indépendants - Démontre qu’il y a une forte socialisation Il n’y a pas de complot car la socialisation est bcp plus puissante. Petit a petit on a de la sympathie our l’autre Point aveugle, fait divers… ex : pedophilie devient culture de la pedophilie « on boit une bière comme on prend un garçon », journaliste font voir ces milieux comme des milieux de terreur, de violence. Dans les discours ca va charier de façon insidieuse ces classes sociales. Et ces medias ne sont pas capable der mette ces choses en question. 21/11/24 CHAPITRE 5 : l’Interactionisme symbolique ff Racines au usa, années 50 Il va s’intéresser à la norme et a tous ce qui vient de la norme et tout types d’exclusion qui en résulte. —> chansons West Side Story ; s’intéresser à la déviance juvénile Délinquants qui se moque des institutions, de la norme qui veut les ramener sur le droit chemin. Appareil de police, juridique, santé mentale, sciences sociale (sociologue), le travailleur sociale et l’appareil pénitancier. Nous savons très bien ce que nous savons et nous l’assumons. Idée de la déviance vis à vis de la langue et assumé et pratique de façon volubile et consciente, ils ont leur propres normes. Équivalent de Bourdieu : Go man et Becker -Prédecesseurs et contexte- Edwin Sutherland (1883-1950 ) : mentor de G et B Connu pour 2 livres : the professional thief and white collar crimes 1937 : the professional thief Il étudie le pickpocket est dit que c’est un métier car ils en vie. Il va suivre un voleur et lui poser des question sur ce metier, comment il a été former, qui est son mentor. Seule est le milieu professionnelle qui valorise et juge ce métier. Il le suit sans le juger ni sans le condamner, les comportement son étudier comme une carrière professionnelle. Il démontre que c’est un métier, une culture a part entière. Moeurs et codes qui lui sont propre, et meme la communauté du crime a ses propres moeurs et codes. En France c’est Jean Pene qui a travailler dessus, approfondissement d’un cas en particulier qui nous renseigne sur un cas en générale. Au usa c’est aussi Jack Katz, il va démonter que ce n’es pas la dépravation qui est décisive, mais l’accès a une communauté culturelle du crime, la place qu’on y trouve. 1949 : white collar crime Il va tenter d’étudier la criminalité pratiquer part les entreprise et plus particulièrement les multi- nationale. Exploitation non réglementaire de la main d’oeuvre, l’abus, tendances monopolistique ou encore s’engager dans dans la publicité mensongère. Il a analyser 70 entreprises parmi les 200 plus grandes entreprises des usa. Il regarde si de temps a autre ils ont des proccès, aller au tribunal et donc il en a trouver 70 et il les a analyser sur 40 ans. Il va analyser la norme, comment ses entreprises s’en sortent elle. Pendant 40 ans ces 70 entreprises passe tout les 3 ans au tribunal. Cela montre que ces pratiques font parti de la normalité pour ses entreprises. Du pov de ce qui commette ses crimes ça fait sens, le crime fait sens. —> E et drastique de ce double travail ; après cette analyse on ne peut plus dire que le crime, l’insécurité, la délinquance concerne que les classes populaire. Ça touche toute les classes, tout les milieux. —> Plus le criminelle est prestigieux moins il sera punis, il le démontre au juridique. Le criminelle n’est pas celui qui est pauvre ou mal dans sa peau, mais celui dont on accepte pas le crime ( le pauvre ). Le traitement réservé au criminelle n’a d’autre fondement que le rapport à la société avec le crime. Ex : féminicide A l’époque : « crime passionnelle », l’homme est pris de passion pour sa femme c’est pour cela qu’il la tué. Rapport de la société au crimes. Ex : crimes écologique 2 ème mentor des deux autres auteurs : Everett Hughes (1897-1983) ff ff ff Démontre le moralisme de la sociologie de l’époque, il est anti-moraliste. On s’interesse aux normes mais pas pour l’imposer, on s’y intéresse pour comprendre leur diversité. Année 30-40-50 : le Fonctionnalisme Grande air du fonctionnalisme, paradis complètement obsolete. Il est arrivé par l’exode des intellectuelles européen. Ils fuient la guerre. les européen débarque et trouve ça nulle, ils veulent des modèles plus formés, il faut généraliser la société en tant que telle et comment on s’intègre. Ils amenent la thématique de la cohesion et de l’integration. Né peu a peu le fonctionnalisme : chaque phénomène rempli une fonction dans la société, chaque comportement contribue au bon fonctionnement de la société. La société est un corps avec plusieurs organes, qui remplis un role utile pour le tout. Le coeur c’est l’art, les mains se sont les ouvriers. Fonction : tache/ role/ occupation & verbe « fonctionner » Émeutes —> déviance qui va briser cette machine qu’est la société La sociologue tente de savoir comment l’individu s’ajuste au role sociale qui lui revient. Def du fonctionnalisme : étude de l’action ent tant qu’elle vise a rencontrer la norme sociale. Regarder : revolutionary road -Le sens du moi- Livre : Asiles —> études sur la condition sociale des malades mentaux Il a contribué à la contre-culture et au mouvement de l’anti-psychiatrie Livre résultat d’une enquête de terrain, qui née en 54-55 à Chicago. Il se fait passé pour un in rmier. Cette immersion lui permet de faire 3 découvertes : —> La premiere est celle de la compétence généralisée du psychiatre, dénoncer l’idée que dans un asile on présuppose que le psychiatre doit pouvoir être sur tout les place de la vie de l’interne. Il doit pouvoir accès a TOUT les aspect de la vie du patient. Go man dit c’est super important sinon le psychanalyste ne pourra pas discréditer le patient, discréditer la façon dont lui meme se voit, raconte sa vie et fait sens de sa vie. Ce discredit va lui permettre de commencer sa thérapie. Le prix a payer et que le patient perd tout sens de soi, console a contrecarre les histoire que le patient fais de lui meme. 2 eme méthode c’est la littérature secondaire. Il va commencer a la lire, des observations de terrain fais par d’autre chercheurs. Il va s’intéresser a plus que l’asile mais aussi aux témoignages des prison, couvant, camps de guerre. Tout ces lieux ou on tente de renfermer la personnes. J’ai l’impression que ce qui se passe dans les asiles se passe aussi dans des institutions qui ne sont pas comparables. Toute ces instituions je vais les appeler les « total instutional » qui répondent a deux critères. 1) elle englobe la totalité des activités quotidiennes 2) isolent les internés du reste du monde, politique d’isolement ex : prison. Il veut échapper au cadrages normatif imposé par la psychanalyse. Il veut démontrer que quelque soit le cadrage normatif, il se passe quelque chose sociologiquement propres à ces institutions sociales. Il ne s’agit plus d’un cadrage médicale mais d’un cadrage sociale. Toute la vie sociale dans une institution total s’organise sous l’emprise de cette polarisation ( institutions et internes). —> La seconde découverte est celle de la technique de la morti cation : pas de possibilité de cuisiner sois meme, utilisation des noms de familles, de numéro, fouille régulière, architecture douche collective, ensemble des attentes Techniques de morti cation : procédures qui sont imposés a l’interné et qui n’ont que seul but d’a aiblir l’interner. De le déposséder de sa personnalité pour le rendre plus malléable. L’argument est de dire que les institution totales vont tenter de rendre plus malléable les internés. Création chez l’interné d’une anxiété existentielle = rompre le sens d’agir et le sens de l’e cacité de l’interné. Il est mis en di culté vis a vis des taches les plus simple du quotidien, il perd le sens de maitrise. G en parle à ses colleges qui ne sont pas totalement d’accord. fi ffi ff fi ffi ff fi 1 ère objection : les I-T o re aussi un système de recompense, privilèges pour tout interner qui se comporte bien. Ces recompense compense la morti cation car on est valorisé si on fait qlq chose de biens. G dit c’est vrai mais ca ne contre car pas cette anxiété existentielle, perdre le sens d’agir et toujours là. 2 ème objection : au fond ces techniques c’est horrible, il faut rééduquer le personnel. G vous vous trompe car le personnel sait ce qu’il fait mais il se sent obliger de le faire. Ils n’ont pas perdu leur morale. Mais plutôt le personnel est tenailler entre des registre d’institution opposé. D’une part il y a les principes d’humanités mais d’autre part il y a la rationalité de la gestion des grands groupes. Personnelle : rendre plus malléable est une réponse classique a la question de savoir comment reformer une foule et garder la main. 3ème objection : tu ne parle pas assez des rites d’integration, rites qui rapproche les deux univers. Qui le temps du rite lève les di erences. Ex : redaction d’un journal d’intérieur, sketch satyrique, les visites d’inspection, les compétitions sportives. Se sont des moments de rapprochement et lève la polarisation. G si ça se lève juste pour le rite mais que ça redevient après comme avant, il y a plutôt un re établissement de la polarisation. —> La troisième découverte est la ligne de partage, la di érence entre ses deux univers : toi tu es fou moi non. Il y a un déplacement possible entre les roles. ils doivent continuellement entretenir cette distinction car sinon c’est trop dur. Cette ligne de séparation est né de l’internement lui meme. Elle marque une di erence purement institutionnelle, purement dramaturgique. On et toujours l’autre en scene comme inférieur. Elle n’existe pas en dehors de ces institutions. c’est pourquoi il faut continuellement la répéter. Plus la mise en scene est extrème plus il y a de risque d’abus, de déshumanisation. Comme ci il fallait entretenir l’écart pour se justi er. 2 cas de déshumanisation : - L’a aire des tortures d’Abu Ghraib ( Irak, 2003) : caserne où des présumés membres de la résistance sont amené pour être interrogé. Mise en scene, photo reportage qui traite leur prisonnier comme des chiens (littéralement) et envoie ça à leur réseau entre eux. Soldat de NY va créer une fuite et le scandale sera mise au grand jour. L’armée des usa avait tout mis en place pour que il y est cette déshumanisation. Occident contre le non-occident. D’un pot sociologique, si vous créer des institutions pareil vous allez amené a la déshumanisation. - Creation du camp de détention à Guantanamo ( cuba,2002) —>,lutte contre le terrorisme. Ils sont amenés des présumés terrorismes. Les américains les kidnappés dans tout le monde. Il y a une dramaturgie de l’uniforme et de l’humiliation. Cette mise en scene à des e ets durables pour celui qui la subit et qui le fait subir. Ces « présumés terroristes » les ont brisés. Ils en sont sorti avec plus qu’une anxiété existentiels, elle va atteindre la construction de sois. 28/11/24 L’Interactionnisme symbolique à démontré « qu’on devient tel qu’on nous décrit » ( Alain Coulon ) Livre : Asiles I-T : maison de repos, plantation moderne, navire négrier Go man s’interèsse à la résistance dont font preuves les habitants des I-T —> la distance que prenne les internes vis a vis de l’identité qui leur ai imposé Les interné n’accepte pas si facilment cette id donne par l’institution. Il l’avait découvert lors de son immersion en tant qu’in rmier. Cette hôpital était traversé de micro geste à travers lesquelles les internes se défont de leur id institutionnelle, il appel ça la vie clandestine Actes de résistance : 4 catégories ff ff ff ff fi ff fi ff ff fi - L’attitude : comment l’interné a che son attitude, ça peut être de l’ironie, la erté, l’indi érence. Ces attitude montre que l’on obéis mais en n’y croyant pas - Posséder un objet : faire des couteaux à partir de métal de cuillère, avoir des objets personnels dérobés au regard du personnel caché dans une planque, moyen de créer du feu - Tactiques de contourné les règles : moyen de recevoir 2 dessert, avoir accès a des rendez vous qui normalement ne sont pas prévues, complicité avec le personnel pour avoir accès à qlq chose - Création artistique : poèmes, dessin, peinture —> cette distanciation doit être acte, performé, s’incarner dans un test ou un acte, ces a travers ces actions que se matérialise une autre id que celle imposé. Pour que ça marche il faut que ce geste soit vu. —> l’interné peut s’opposer à cette id tout en obéissant, je fais ce qui est attendu de moi sur la scene principale mais dans les coulisse je fais écouter une autre id. —> la vie clandestine n’est pas égale à la révolte, le fait de fuir la plantation ne fait pas parti de la vie clandestine. Par contre la vie clandestine prépare la possibilité d’une révolte, du marronage. C’est pourquoi les I-T essaye d’empêcher que cela puisse éclore car ils savent ce qui va être amené par la suite. Plus l’I-T met une ligne de partage plus on va essayer d’éradiquer cette vie clandestine. G dit que tout les institutions totales ou non possède des point faibles dans les marges, interstices où se developer la vie clandestine. l’individu n’est ps que le résultat de la société, des forces, milieu du groupes qui pèsent sur lui. On peut pas le réduire a la société, il a sa propre force qui l’aide à résister. Ces forces là sont contraire a ce que veut la société des individus. Il va pas le faire par pur plaisir mais pour sa liberté, c’est vitale, plus on lui impose qlq chose plus il va resister. Il faut tenter de rester digne de soi. -> étude du sens de soi avec les interactions avec autrui; enjeux de la préservation de soi. La vie clandestine vise la reconquête de cette autonomie. G dit : si il y a quelque chose qui peut contrer les techniques de morti cation c’est la vie clandestine. G dit au sociologue, nous devons partir de l’idée que les gens ne veulent pas accepter forcement le rôle qui leur est attribué. G pendant quelque pages il va critiquer la sociologie, « je reproche la sociologie de s’être trop intéresser à l’attachement du groupe sans se rendre compte qu’on raté une grande partie (…) ». Il faut que l’on puisse se regarder en face chaque soir dans un miroir, qu’est ce que je suis, est ce que je fais, fait sens ? Il reproche aux sociologues de réduire la personne a un statut, milieu alors que c’est la construction du sens de moi qui est importante. -Etiquettes et stigmates- 1963 : Outsiders, Howard S. Becker Il propose une reformulation radicale de la délinquance, ou de ce qu’on appelait alors la déviance. Il va interroger en quoi la société décide que ceci est une déviance, celle qui décide des normes. La question n’est plus alors morale, mais sociale au sens fort, c’est la société que l’on doit analyser. Comment est designer la ligne de partage entre la norme et la déviance. Anthropolgue découvert 2 chose que toutes les société trouve répréhensible : - L’inceste - L’assasinat D’autres sont considerer moins reprehensible en fonction des société : ff fi ffi fi - L’adultere - Prostituion - L’avortement - Alcool, drogue - Homosexualité Ce qui est décisif c’est l’étiquetage, des personnes qui sont étiquetté comme déviant. « (…)Le d viant est celui auquel cette tiquette a t appliqu e avec succ s et le comportement d viant est celui auquel la collectivit attache cette tiquette. » Les outsiders ne sont des marginaux non part ce qu’ils font, mais par le regard qu’à la société sur leur comportement. C’est la ligne de partage qui créer l’outsider. C’est la société qui créer la déviance. Il étudie de groupes considérés comme étant des déviants : - Groupe de jazz : vu comme des lieux de déviances, malfamé - Mileu de consommateur de drogue ( marijuana ) On peut voir ça comme des pratiques qui s’apprenne et qui ne sont pas si simple. C’est une pratique qui montre qu’il y a une id de l’intérieure, il va appeler ça la carrière morale = trajectoire parcouru mais qui est en techniques sociales. Morale car ca va changer la vision du monde et de soi. Au fond dans ces communautés deviant, la pratique déviante et toujours accompagné de considerations éthiques, cad il ( le deviant ) va tout le temps se poser la question de pk ce que je fais est ok. Il n’y a pas d’indi erence a la loi, il la connaisse très bien, les comu déviante savent très bien pk les autres les vois comme deviants. Ils vont donc élaborer une liste d’argument pour justi er le fait d’être déviant. Et ces à travers toutes ces re exion qu’une vision du monde apparaît. Idée d’une contre culture qui émerge dans la sociologie. “En bref, les individus apprennent participer une sous-culture organis e autour d’un activit d viante particuli re. » Théorie de l’ampli cation : Après avoir était désigné personnellement comme deviant, le deviant va vouloir justi e sa pratique mais il va passer a un stade supérieur. Il va réorganiser toute sa vie autour de cette nouvelle identité; il va réorganisé tout les aspects de sa vie autour de cette déviance. Ampli cation de l’étiquette, comme pour justi er ce moment de designation. Cela devient un moment de prise de position. 1963 : Stigmate Go man, s’intéresse a tous ceux dont un des attribuas conditionnes tout les interactions avec autrui = stigmate Les stigmatisés sont donc constamment renvoyé à cette unique attribut : handicape physique, tics, traits corporel (( nains, aveugle, di ormité physique ). Le racisme ça se n’est plus un stigmate, car celui ci est redouble par une structure sociale ( noir dans une école blanc dans une autre ), c’est de l’intériorisation culturel. Stigmatisation n’est pas égale avec inégalité. On est simplement sur la scene de l’interaction au quotidien, en face a face, où il n’y à pas d’institution qui dit lui est moins bien que lui. G dit, on retrouve l’oscillation, entre la communauté des paires et l’appartenance. Ils hésiteront eux même à accepté le stigmate opposé par la société. Retournement du stigmate = accepte de faire partie de cette communauté et en faire un vecteur de erté. Retourne lire outsider ( n du livre) é ff fi fi é é fi fi fi fi ff é fl é é é ff è é é é fi é à è à Ces lignes de séparation c’est assez aléatoire, oui mais elle tombe pas du ciel, il y a toujours des lobbys qui mènent l’excursion. Il ya tout ces entrepreneur de la moral qui font existé cette ligne de partage. Il y a 4 sous groupes : - les réformateurs : veulent une reforme, interdiction (voile). Hommes et femmes intransigeant sur ce qui est bon ou non. Ils se sentent investit d’une mission. Ils vont mener une croisade pour que les autres se comporte autrement. Lutte pour le bien des autres et utilise un argumentaire humaniste. - Les lobbys : peuvent avoir n interêt a ce que ça se passe. Ils voient quelles sont les réformes revendiqués et décide mettre leur argent dans tel ou tel reformes. - Les spécialistes : expert sciences humaines et sociales et aussi les juristes. Ils aident a reformuler la demande des réformateurs de tel façon à ce que ça peut intégrer l’appareil etathiques. - La police : ne sont pas convaincues mais eux doivent garder la ligne de partage. Doit faire en sorte qu’elle soit un minimum respecté. Ils ne se sentent pas investit d’une mission. Pragmatisme, avec une vision réaliste de la nature humaine. Ils se donnent une certaine attitude mais ils ont un point faible, une chose qu’ils défendent corps et ame —> le respect que on leur doit. Son travail ne consiste pas a faire respecter la loi, mais à faire respecter qui ils sont. 5/12/24 CHAPITRE 6 : La sociologie de la traduction ( Bruno Latour ) Est ce que la position des expert est justi ée ? Remettre en question la parole des experts, science dur. Critique de la sociologie qui est une nouvelle discipline. -redécouvrir les sciences- La socio de la traduction s’en prend a l’expertises des sciences scienti que, ce n’est pas tant pour les dénoncer mais plutôt pour se défaire d’une image éronée de la science. Image d’une science héroïque, science faite par des génies qui faudrait donc suivre. Science qui est alors incomprehensible pour le commun des mortels. Et qui est et doit rester indiscutable pour le reste de la société. Ces sociologue de la traduction à démocratiser les sciences dures. C’est a dire ouvrir la science au débat et à l’interrogation publique. Le public mais aussi les sociologues doivent s’intéresser au sciences dur, est ce que on est redevable a ces scienti que, et si c’est le cas est ce que on doit leur laisser carte blanche ? « La sociologie ne sert pas critiquer, d construire (seulement) mais red nir les sciences de telle fa on ce qu’elles puissent devenir sensibles aux r exions et aux interrogations publiques. » —> redé nir cette science, de tel façonner a ce que ce soit nécessaire pour un scienti que que le public s’intéresse à ce qu’il fait. Remise en question de la science moderne date de 1945, rupture de con ance entre le public et les laboratoires avec Hiroshima et l’utilisation de la bombe nucléaire. Optimisme du progrès jusqu’en 45, puis idée de qu’est ce que font les laboratoires ( qui créer des armes capable de détruire l’humanité). Au usa un scienti que va a la présidentielle pour dénoncer les mauvaises pratiques des laboratoires et devoir mettre une mise en place de restriction. ç fi à fi fi à à fi é é fl à fi fi é fi fi Début année 70 : enquête sur pourquoi les cadres africain on tant de mal à s’adapter à la vie industrielle moderne. Trouve que les cadres africain moins performant que les cadres européen. Anthropologues : Les cadres africain n’y peuvent rien car ils ont une philosophie di érente, ils ne sont pas dans la performance. Ils ont un esprit africain qui s’accorderait très mal au principe de rationalité européen. Fin de la décolonisation les experts ne croit plus à cet esprit africain et vont donc étudier ces cadres africain comme ils étudient les cadres européen. Est ce qu’il y a des conditions matérielle et sociales ? Des conditions qui ensemble créer un processus d’incompetence, qui rend incompétent : « la raison est étroitement dé nie et fabriqué dans des experiences très concretes d’apprivoisement des machines modernes » Ils réalisent que les cadres africain on du mal a apprivoiser ce que c’est une usine, et peuvent démontrer a chaque cas que ces gens sont jamais mis dans les condition pour devenir performant. Ex : rapport au plan envoyé au cadre dans les usines, les africain ne suivent pas ce plan car ils n’ont jamais était éduqué dans cette esprit d’usine donc ils ne savent pas faire car c’est abstrait pour eux. Petit a petit les anthropologue rêvent d’une science sociale symétrique : qui ferait plus de di entre socio et anthropo. Qui ne recourait plus a des principe d’explication qui n’accepterai pas pour eux meme. C’est utilisé des principes de cadrage de la meme façon en Europe ( soc moderne ) et dans le reste du monde ( soc traditionnelle ). La société moderne est celle basé sur la révolution scienti que( 16 ème siècle ). B. Lacourt va analyser un laboratoire comme une tribu africaine. Il va aller analyser le laboratoire prestigieux a Salk ( San Diego ). Il sort après un livre appelé « laboratory life ». Ces auteurs dans ce livre donne les résultats d’une immersion dans ce laboratoire. Il lit les articles qu’il ne comprends pas, il les interroges sur leur coutume, il parle d’eux comme ces informateurs. Il dit que si on accepte d’étudier la pratique scienti que avec du recul, on arrive a les comprendre d’une façon nouvelle. Les sciences = > le processus de mise en ordre d’un amas de donn es d sordonn es.... Susciter des nouveaux ordres, des nouvelles combinaisons de donn es; esquisser des nouveaux “patterns” ou motifs de convergence entre les signes que nous renvoie le reste du monde vivant... Ces données = signes que nous renvoie le reste du monde vivant ( les microbes ) —> pov anthropologue qui découvre ces données Dire qu’on a découvert un microbe c’est une façon assez abstraite de parler d’une découverte, un nouvelle être, un phénomène. Livre : on essaye de susciter une réaction Les sociologues opère 3 déplacement Trois d placements - Dudit Esprit rationnel une s rie d’op rations techniques - La subjectivit n’est plus un danger mais elle est requise ( dans les laboratoires ) - La routine, la m thode et la r p titions sont essentielles ( pour sucieter une réaction ) => Il faut rendre le fait, microbe robuste, le faire tenir face aux scepticisme... Plut t que de d couvir...La science fait exister, fait tenir, le reste du monde vivant. Nouvelle de nition : faire exister un phénomène de tel façon à que meme les sceptique vont devoir l’accepter, faire taire les autres. Certes le microbe existe mais encore faut t’il le faire exister. La science fait tenir le monde vivant ( tout ce qui n’est pas humain ), nous lui devons alors beaucoup. Réchau ement climatique, comment le faire exister ? Ça à était cruciale pendant 30 ans. ô é ff fi é é é à é é é é fi fi fi é é é é ff ff Le livre a remis en question les idées reçues mais également la di érence entre les faits et les valeurs. Qu’est ce que ca fait de cadrer les laboratoires : ouvre 3 pistes d’investigation : - Remettre dans le débat public tout ce que les laboratoires produisent - Inégalité de traitement des maladies ( endométriose ) - Meme quand on à tout les savoir peut on réellement faire un état des lieux ? ( la façon dont on cadre les choses va avoir des e ets ) -redé nir les modernes- Livre : Nous n’avons jamais été modernes ( Bruno Latour ) Redé nit les modernes ( les occidentaux ), on est modernes quand on se sent héritier des lumières. On est héritier des lumières et la Raison et le progrès c’est au coeur que veut faire notre société. Civilisation qui existe depuis le 17 ème siècle. Latour nous dit que ces modernes passent leur temps à créer des séparation, catégoriser, classé le monde en di erent secteurs. Ex : on nous montre une photo on sait a quel secteur, registre elle appartient Chez les modernes tout phénomène reçoit à une étiquette sectorielle qui en déterminera l’appréhension. Cas : les reste humains exposé dans les musées étaient considéré comme des objets scienti que. Tel étaient leur etiquette sectorielle et des lors tout autre considération pouvait être entendu mais était toujours vu comme complémentaire. Cas : guerres du golf 1993, guerres quali é de religion ( cash des civilisation L’islam vs les Lumières ), d’économiques ( guerre du pétrole ),mais aussi etiquette écologique ( paysages détruit ) Cas : la reproduction du vivant, étiquette que scienti que —> Parfois la catégorie choisie rend invisible les autres étiquette. Registres les plus important c’est le politique, scienti que, religieux. Comme ci ces registres était séparables. Les modernes sont ceux qui non seulement s parent et cat gorisent la r alit en des domaines di rents mais qui en plus, attribuent la gestion de ces domaines des institutions sp cialis es. -réenvisager la violence- Si c’est ça la civilisation moderne, qu’est ce que c’est chez les autres. Il dit faut savoir que la civilisation moderne est la premiere à avoir divisé les taches. Fait qui n’est pas sans violence. L’étiquette sectorielle c’est de ne pas accepter que chaque fait Fait sociale est un fait qui a une portée totale. Marcel Mauss a écrit un livre sur « le don », les traditions européennes ne connaissent pas la di erence entre les sociétés économique et religieuse. Dans la plupart des sociétés quand un don est fait il y a un contre don, il y a tout un ensemble de règles qui fait que ce n’est pas qu’une a aire économique, il y a de l’amour. C’est économique tout de meme mais c’est aussi honoré les dieux, donc c’est religieux. Il dit que dans ces société il est impossible de faire la part des choses. Dans les soc traditionnelles, c’est toujours un fait sociale totale ( pas un seul registre ). ff ff ff é fi fi fi ff ff fi é fi fi é à ff é é é é Karl Polányi : nous sommes cette civilisation très bizarre qui a decidé que l’économie est un secteur appart entière. Il pointe du doigt la bizarrerie de la civilisation moderne, idée du marché économique mondiale, combien il est bizarre de faire primer le marché économique sur le reste. Théorie du désancastrement de l’économie : l’économie passe avant tout et on ne peut pas faire autrement. Latour est le premier qui fait une critique générale de la catégorisation du monde. Il est le premier à l’avoir fait pour la science. Il quitte peu a peu les secteurs et va dire qu’il y a 3 règne moderne : la société, la nature et l’au delà. On est absolument convaincue que la société est di érente de la nature. Société : politique, gérer par les institutions et peuplé par les humains Nature : science, gérer et investigué par les scien

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