Quiz d'entraînement général PDF

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EPHEC

G. Van Hoeke

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thermodynamique HVAC conditionnement d'air sciences de l'ingénieur

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Ce document contient un quiz d'entraînement général sur les caractéristiques de l'air. Il présente un ensemble de questions sur la température de rosée, la température humide et d'autres aspects liés aux propriétés de l'air humide, ainsi que le traitement de l'air. Le document semble être un document d'étude, probablement un document d'apprentissage ou un devoir d'une formation.

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FIN DE CE SYLLABUS F.1) QUIZZ D’ENTRAÎNEMENT GENERAL F.1.1) CHAPITRE 1 : CARACTERISTIQUES DE L’AIR Q1.1 – Qu’est-ce que la « température de rosée » de l’air humide ? A La température à partir de laquelle on observe la saturation en vapeurs d’eau de l’air humide suite à son...

FIN DE CE SYLLABUS F.1) QUIZZ D’ENTRAÎNEMENT GENERAL F.1.1) CHAPITRE 1 : CARACTERISTIQUES DE L’AIR Q1.1 – Qu’est-ce que la « température de rosée » de l’air humide ? A La température à partir de laquelle on observe la saturation en vapeurs d’eau de l’air humide suite à son refroidissement à pression constante pour un état de départ donné B La température à partir de laquelle on observe la saturation en vapeurs d’eau de l’air humide suite à son refroidissement à enthalpie constante pour un état de départ donné C La température à partir de laquelle on observe la saturation en vapeurs d’eau de l’air humide suite à son humidification par évaporation à pression constante pour un état de départ donné D La température à partir de laquelle on observe la saturation en vapeurs d’eau de l’air humide suite à son humidification par évaporation à enthalpie constante pour un état de départ donné E La température idéale pour la consommation d’un vin frais et fruité sous les climats tropicaux Q1.2 – Qu’est-ce que la « température humide » de l’air humide ? A La température à partir de laquelle on observe la saturation en vapeurs d’eau de l’air humide suite à son refroidissement à pression constante pour un état de départ donné B La température à partir de laquelle on observe la saturation en vapeurs d’eau de l’air humide suite à son refroidissement à enthalpie constante pour un état de départ donné C La température à partir de laquelle on observe la saturation en vapeurs d’eau de l’air humide suite à son humidification par évaporation à pression constante pour un état de départ donné D La température à partir de laquelle on observe la saturation en vapeurs d’eau de l’air humide suite à son humidification par évaporation à enthalpie constante pour un état de départ donné E La température idéale pour la consommation d’un vin frais et fruité sous les climats tropicaux Q1.3 – D’où viennent les gouttes d’eau qui perlent sur une cannette de soda bien fraîche ? A De l’augmentation en humidité absolue de l’air humide au contact des parois froides de la cannette B De l’augmentation en humidité relative de l’air humide au contact des parois froides de la cannette C De la diminution en humidité absolue de l’air humide au contact des parois froides de la cannette D De la diminution en humidité relative de l’air humide au contact des parois froides de la cannette E Du passage de soda à travers les parois froides de la cannette en dessous de la température humide Q1.4 – Pourquoi les professionnels HVAC assimilent-ils souvent « l’enthalpie » à la « chaleur » ? A Parce que c’est la définition thermodynamique stricte de l’enthalpie B Parce que ce sont des ignorants C Parce que les variations d’énergie interne sont souvent négligeables en regard des variations de pression et/ou de volume dans le domaine du traitement de l’air D Parce que les variations de pression et/ou de volume sont souvent négligeables en regard des variations d’énergie interne dans le domaine du traitement de l’air E Parce qu’ils assimilent la chaleur aux variations d’énergie interne latente Q1.5 – Si, dans un mélange d’air humide à 30°C, les vapeurs d’eau occupent une pression partielle de 2kPa, quelle est l’humidité relative ? A 47% B 57% C 67% D 77% E 87% E2144 : Introduction à l’HVAC © G. Van Hoeke 2024 Traitement de l’air & ventilation Page 187 sur 229 Q1.6 – Combien d’énergie calorifique faut-il approximativement pour faire s’évaporer 1kg d’eau à pression atmosphérique (à partir de l’état de liquide saturé) ? A 418 kJ B 418 kW C 2500 kJ D 2500 kW E Il faut connaître la masse volumique de l’eau pour répondre à cette question Q1.7 – Que vaut la pression totale de l’air humide si le mélange présente 100 kPa d’air sec et 3kPa de vapeurs d’eau ? A 100 000 Pa B 97 000 Pa C 103 000 Pa D 101 325 Pa E Il faut connaître la température de l’air humide pour répondre à cette question Q1.8 – Que vaut la masse volumique de l’air humide si on y trouve de l’air sec à 100 kPa et des vapeurs d’eau à 1kPa ? A 1,2 kg/m³ B 1,03 kg/m³ C 0,824 m³/kg D 1,00 m³/kg E Il faut connaître la température de l’air humide pour répondre à cette question Q1.9 – Dans le cadre des analyses environnementales portant sur le réchauffement climatique, on entend souvent dire qu’il sera impossible de survivre dans la zone équatoriale pour des raisons liées à l’état de l’air : pourquoi ? A Parce que l’air sera tellement chaud et saturé en humidité que le corps humain ne pourra plus y évacuer sa chaleur par transpiration B Parce que l’air sera trop sec que pour pouvoir être respiré sans risquer une aérophagie léthale C Parce que l’air y sera particulièrement trop chargé en particules fines D Parce que l’air y sera particulièrement trop chargé en CO E Parce que l’air sera tellement chaud et sec qu’il se gorgera de toute trace d’humidité présente dans le corps humain, l’amenant ainsi rapidement à se dessécher Q1.10 – Quelle combinaison d’informations ne permet pas de retrouver l’humidité absolue de l’air humide dans des conditions données ? A La masse de vapeurs d’eau et la masse d’air sec B La masse de vapeur d’eau et la masse d’air humide C La pression partielle des vapeurs d’eau et la pression partielle d’air sec D La pression partielle des vapeurs d’eau et la pression totale d’air humide E La pression partielle des vapeurs d’eau et la masse d’air sec Q1.11– Quelle information est fausse au sujet de l’humidité relative ? A Elle indique la saturation de teneur en vapeurs d’eau au sein de l’air humide B Elle dépend de la teneur en vapeurs d’eau et de la température de l’air humide C Elle peut s’exprimer comme le rapport entre la pression partielle des vapeurs d’eau et la pression de saturation de l’air à la température envisagée D Elle peut s’exprimer comme le rapport entre la masse des vapeurs d’eau et masse de saturation de l’air à la température envisagée E Elle peut s’exprimer comme le rapport entre la pression partielle des vapeurs d’eau et la pression de saturation de l’air à la température envisagée, pour autant que ce rapport soit multiplié par 0,622 E2144 : Introduction à l’HVAC © G. Van Hoeke 2024 Traitement de l’air & ventilation Page 188 sur 229 Q1.12 – Quelle affirmation est fausse ? A L’augmentation simple en température a tendance à faire chuter l’humidité relative de l’air humide B L’augmentation simple en température a tendance à faire monter le volume massique de l’air humide C L’augmentation simple en température a tendance à faire chuter la masse volumique de l’air humide D L’augmentation simple en température a tendance à faire monter l’enthalpie massique de l’air humide E L’augmentation simple en température a tendance à faire chuter l’humidité absolue de l’air humide Q1.13 – Quel est le lien entre l’enthalpie ℎ de l’air et la chaleur massique 𝑐 , de l’air sec ? A ℎ =𝑐 , ⋅𝑇 B ℎ = 𝑐 , /𝑇 C ℎ = 𝑇/𝑐 , D ℎ =𝑐 , +𝑇 E ℎ =𝑐 , −𝑇 Q1.14 – En moyenne, que vaut la chaleur massique à pression constante 𝑐 , de l’air sec entre -10°C et +50°C ? A 2,093 kJ / (kg⋅°C) B 4,1868 kJ / (kg⋅°C) C 1,854 kJ / (kg⋅°C) D 1,005 kJ / (kg⋅°C) E 0,002 kJ / (kg⋅°C) Q1.15 – Qu’est-ce que l’apport de chaleur latente ? A L’apport d’énergie calorifique sur une substance avec changement d’état et sans variation de température B L’apport d’énergie calorifique sur une substance avec variation de température et sans changement d’état C L’apport d’énergie calorifique sur une substance avec modification de sa structure chimique D L’apport d’énergie calorifique sur une substance avec modification de sa structure atomique E L’apport d’énergie calorifique sur une substance avec passage de l’état liquide à l’état de vapeur uniquement Q1.16 – Qu’est-ce qu’un psychromètre ? A Un instrument permettant de mesurer l’état de trouble psychologique d’un technicien HVAC B Un instrument permettant de déduire les caractéristiques de l’air sur base d’une mesure de température sèche et d’une mesure de température humide C Un instrument permettant de déduire l’humidité relative de l’air sur base d’une mesure de conductivité D Un instrument permettant de déduire la température de rosée de l’air sur base d’une mesure de tension superficielle E Un instrument permettant de reporter de projections d’angles sur le diagramme psychrométrique Q1.17 – Quel est le lien entre l’énergie interne 𝑢 et l’enthalpie ℎ de l’air ? A ℎ = 𝑢/ (𝑃 ⋅ 𝓋) B ℎ = 𝑢 ⋅ (𝑃 ⋅ 𝓋) C ℎ = 𝑢 − (𝑃 ⋅ 𝓋) D ℎ = 𝑢 + (𝑃 − 𝓋) E ℎ =𝑢+𝑃⋅𝓋 Q1.18 – Quelle évolution de paramètre sur l’air humide ambiant aura tendance à accélérer directement le taux d’évaporation d’une piscine ouverte ? A Une chute sur l’humidité relative combinée à une augmentation de la température B Une chute sur la température sèche à humidité absolue constante C Une augmentation sur la température de rosée à température constante D Une augmentation sur la température humide à température constante E Une augmentation de l’humidité relative combinée à une chute de la température E2144 : Introduction à l’HVAC © G. Van Hoeke 2024 Traitement de l’air & ventilation Page 189 sur 229 Q1.19 – Pourquoi retrouve-t-on des pots à condensats sur les postes de distribution d’air comprimé ? A Car l’augmentation en pression de l’air fait monter son humidité absolue à humidité relative constante B Car l’augmentation en pression de l’air fait monter son humidité absolue à température constante C Car l’augmentation en pression de l’air fait monter son humidité relative à humidité absolue constante D Car l’augmentation en pression de l’air fait monter son humidité relative à température constante E Car l’augmentation en pression de l’air fait chuter sa température et le rapproche ainsi du point de rosée Q1.20 – Quel paramètre a le moins d’influence sur la buée qui se forme sur la face intérieure de votre pare-brise dans votre voiture en hiver lorsque vous entrez dedans, fermez la porte et n’allumez pas encore le moteur ? A Les vapeurs d’eau que vous recrachez B Le CO que vous recrachez C La température extérieure de l’air D Votre taux de transpiration au moment où vous entrez dans la voiture E La température intérieure de l’air dans la voiture E2144 : Introduction à l’HVAC © G. Van Hoeke 2024 Traitement de l’air & ventilation Page 190 sur 229 F.1.2) CHAPITRE 2 : LE DIAGRAMME PSYCHROMETRIQUE Q2.1 – A quelle température de paroi froide y-a-t-il un risque de condensation pour de l’air humide à 20°C et 50%HR ? A 5.27°C B 9.27°C C 13.82°C D 17.82°C E 23.82°C Q2.2 – Quelle est l’enthalpie massique (= spécifique) de l’air humide à 35°C et 70% HR ? A 25.14 kJ/kgas B 50.78 kJ/kgas C 59.78 kJ/kgas D 90.78 kJ/kgas E 99.70 kJ/kgas Q2.3 – Quelle est l’humidité absolue (= spécifique) de l’air humide à 15°C et 20% HR ? A 20 ge / kgas B 2.10 ge / kgas C 20 kge / kgas D 21 kge / kgas E 20 % Q2.4 – Quelle est l’humidité relative de l’air humide si un psychromètre révèle une température sèche de 25°C et une température humide de 18°C ? A 10 % B 20 % C 30 % D 40 % E 50 % Q2.5 – Quel est le volume massique de l’air humide à 10°C et 40% HR ? A 0,8056 m³/kgas B 0,8056 kgas/m³ C 1,2413 m³/kgas D 1,2413 kgas/m³ E 1,2413 kgah/m³ Q2.6 – Quelle est la masse volumique de l’air humide à 10°C et 40% HR ? A 0,8056 m³/kgas B 0,8056 kgas/m³ C 1,2413 m³/kgas D 1,2413 kgas/m³ E 1,2413 kgah/m³ Q2.7 – Quelle est la température de rosée de l’air humide à 12°C et 80% HR ? A 12°C B 10,18°C C 8,66°C D Il faut, en plus, connaître la masse volumique de l’air pour répondre à cette question E Il faut, en plus, connaître l’enthalpie massique de l’air pour répondre à cette question E2144 : Introduction à l’HVAC © G. Van Hoeke 2024 Traitement de l’air & ventilation Page 191 sur 229 Q2.8 – Quelle est la température humide de l’air humide à 12°C et 80% HR ? A 12°C B 10,18°C C 8,66°C D Il faut, en plus, connaître la masse volumique de l’air pour répondre à cette question E Il faut, en plus, connaître l’enthalpie massique de l’air pour répondre à cette question Q2.9 – De l’air atmosphérique à 15°C et 60% HR arrive à saturation juste au-dessus de la surface d’un lac par évaporation superficielle de celui-ci. Quelle température est atteinte dans l’air saturé juste au-dessus de la surface de ce lac ? A 15°C B 10,85°C C 7,31°C D 5,10°C E 2,03°C Q2.10 – Que vaut la température sèche de l’air humide à 10g/kgas d’humidité absolue et 50 kJ/kgas d’enthalpie massique ? A 0°C B 10°C C 14,03°C D 17,81°C E 24,40°C Q2.11 – Que vaut l’humidité relative de l’air humide à 0,9 kg/m³ de volume massique et 15°C ? A 96% B 76% C 56% D 36% E L’air humide ne peut physiquement pas atteindre cette combinaison de valeurs Q2.12 – Que vaut l’humidité relative de l’air humide à 1,11 kg/m³ de masse volumique et 35°C ? A 96% B 76% C 56% D 36% E L’air humide ne peut physiquement pas atteindre cette combinaison de valeurs Q2.13 – Que vaut l’enthalpie spécifique (=massique) de l’air humide à 12°C et 80% HR ? A 99,70 kJ/kgas B 34,12 kJ/kgas C 25,46 kJ/kgas D 29,66 kJ/kgas E L’air humide ne peut physiquement pas atteindre cette combinaison de valeurs Q2.14 – Que vaut l’enthalpie spécifique (=massique) de l’air humide à 35°C et 70% HR ? A 99,70 kJ/kgas B 34,12 kJ/kgas C 25,46 kJ/kgas D 29,66 kJ/kgas E L’air humide ne peut physiquement pas atteindre cette combinaison de valeurs E2144 : Introduction à l’HVAC © G. Van Hoeke 2024 Traitement de l’air & ventilation Page 192 sur 229 Q2.15 – Que vaut l’humidité relative de l’air humide à un volume massique de 0,80 m³/kg et une enthalpie massique (=spécifique) de 20 kJ/kgas ? A 100% B 92% C 82% D 72% E L’air humide ne peut physiquement pas atteindre cette combinaison de valeurs Q2.16 – Que vaut l’humidité relative de l’air humide à un volume massique de 0,80 m³/kg et une enthalpie massique (=spécifique) de 40 kJ/kgas ? A 100% B 92% C 82% D 72% E L’air humide ne peut physiquement pas atteindre cette combinaison de valeurs Q2.17 – Que vaut la masse volumique de l’air humide à 20°C et 50% HR ? A 0,8397 kg/m³ B 0,8397 m³/kg C 1,19 kg/m³ D 1,19 m³/kg E L’air humide ne peut physiquement pas atteindre cette combinaison de valeurs Q2.18 – Que vaut la masse volumique de l’air humide à 20°C de température sèche et 9,27°C de température de rosée ? A 0,8397 kg/m³ B 0,8397 m³/kg C 1,19 kg/m³ D 1,19 m³/kg E L’air humide ne peut physiquement pas atteindre cette combinaison de valeurs Q2.19 – Que vaut la masse volumique de l’air humide à 20°C de température sèche et 13,82°C de température humide ? A 0,8397 kg/m³ B 0,8397 m³/kg C 1,19 kg/m³ D 1,19 m³/kg E L’air humide ne peut physiquement pas atteindre cette combinaison de valeurs Q2.20 – Que vaut la température de rosée de l’air humide si sa température sèche et sa température humide valent toutes les deux 17,85°C ? A 15,85°C B 16,85°C C 17,85°C D 18,85°C E L’air humide ne peut physiquement pas atteindre cette combinaison de valeurs E2144 : Introduction à l’HVAC © G. Van Hoeke 2024 Traitement de l’air & ventilation Page 193 sur 229 F.1.3) CHAPITRE 3 : IMPACT DE L’ETAT DE L’AIR SUR LE CONFORT Q3.1 – Dans un contexte de ventilation en milieu résidentiel, quel renouvellement d’air minimum prévoit la NBN D50- 001 pour les pièces sèches ? A 22 m³/h B 50 m³/h C 3.6 (m³/h) / m² D 3.6 (m³/h) / personne E 75 m³/h Q3.2 – Dans un contexte de ventilation en milieu résidentiel, quel renouvellement d’air minimum prévoit la NBN D50- 001 pour une salle de bain ? A 22 m³/h B 50 m³/h C 3.6 (m³/h) / m² D 3.6 (m³/h) / personne E 75 m³/h Q3.3 – Dans un contexte de ventilation en milieu résidentiel, quel renouvellement d’air minimum prévoit la NBN D50- 001 pour une cuisine ouverte ? A 22 m³/h B 50 m³/h C 3.6 (m³/h) / m² D 3.6 (m³/h) / personne E 75 m³/h Q3.4 – Quelle combinaison de température sèche et d’humidité relative appartient au dit « polygone de confort » ? A 10°C et 70% HR B 35°C et 80% HR C 30°C et 10% HR D 12°C et 100% HR E 22°C et 47% HR Q3.5 – Quelle vitesse résiduelle d’air risque d’induire un inconfort lié aux courants d’air chez les occupants d’un bureau paysager ? A 0.02 m/s B 0.05 m/s C 0.07 m/s D 0.09 m/s E Aucune de ces vitesses résiduelles Q3.6 – A quoi fait référence le classement « IDA » établi par la norme NBN EN 13 779 d’application en matière de ventilation en milieu non-résidentiel ? A A un niveau de qualité d'air intérieur, caractérisé par un gradient de pression et un taux de CO admissibles B A un niveau de qualité d'air intérieur, caractérisé par un taux de CO2 admissible et un taux de renouvellement d'air C A un niveau de qualité d'air intérieur, caractérisé par un taux de CO admissible et un taux de renouvellement d'air D A un niveau de qualité d'air intérieur, caractérisé par un gradient de pression et un taux de CO2 admissibles E A un niveau de qualité d'air intérieur, caractérisé par un gradient de pression admissible entre locaux E2144 : Introduction à l’HVAC © G. Van Hoeke 2024 Traitement de l’air & ventilation Page 194 sur 229 Q3.7 – A quoi fait référence le classement « PC » établi par la norme NBN EN 13 779 d’application en matière de ventilation en milieu non-résidentiel ? A A un niveau de qualité d'air intérieur, caractérisé par un gradient de pression et un taux de CO admissibles B A un niveau de qualité d'air intérieur, caractérisé par un taux de CO2 admissible et un taux de renouvellement d'air C A un niveau de qualité d'air intérieur, caractérisé par un taux de CO admissible et un taux de renouvellement d'air D A un niveau de qualité d'air intérieur, caractérisé par un gradient de pression et un taux de CO2 admissibles E A un niveau de qualité d'air intérieur, caractérisé par un gradient de pression admissible entre locaux et un taux de renouvellement d'air Q3.8 – Deux ventilateurs placés côte à côte présentent respectivement un niveau sonore de 47 dB et de 51 dB. Quel est le niveau sonore total résultant ? A 47 dB B 50 dB C 51 dB D 52.46 dB E 98 dB Q3.9 – En acoustique, qu’est-ce que « l’effet de masque » ? A Il s'agit d'un phénomène observé lors de l'addition de sources sonores : au-delà de 100W de différence entre les niveaux sonores des sources, la source la plus faible est quasiment inaudible. B Il s'agit d'un phénomène observé lors de l'addition de sources sonores : au-delà de 10W de différence entre les niveaux sonores des sources, la source la plus faible est quasiment inaudible. C Il s'agit d'un phénomène observé lors de l'addition de sources sonores : au-delà de 10dB de différence entre les niveaux sonores des sources, la source la plus faible est quasiment inaudible. D Il s'agit d'un phénomène observé lors de l'addition de sources sonores : au-delà de 10Pa de différence entre les niveaux sonores des sources, la source la plus faible est quasiment inaudible. E Il s'agit d'un phénomène observé lors de l'addition de sources sonores : au-delà de 100Pa de différence entre les niveaux sonores des sources, la source la plus faible est quasiment inaudible. Q3.10 – Quel est le principe de fonctionnement d’un silencieux actif ? A Il capte un son et émet une onde sonore identique en opposition de phase B Il possède un ventilateur qui annule le bruit émis par le ventilateur du GPGE ou de la CTA C Il possède une turbine qui annule le bruit émis par le ventilateur du GPGE ou de la CTA D Il possède des condensateurs dont la charge permet de compenser une onde sonore E Il crée des variations de pression dynamique dans l’écoulement d’air à l’aide d’un élément piézoélectrique Q3.11 – En acoustique, que sont les courbes NR ? A Des courbes illustrant les spectres d’atténuation et d’amplification de certaines fréquences acoustiques, propre à l’oreille humaine B Des courbes de spectres acoustiques définies selon l’Organisation Internationale de Normalisation (ISO), elles portent le nom de l’amplitude en dB du spectre à 1kHz. C Des courbes illustrant l’effet de masque obtenu entre deux sources sonores allant de 10dB à 95dB D Des courbes illustrant l’effet de masque obtenu entre deux sources sonores allant de 31.5Hz à 8000 Hz E Des courbes illustrant l’effet de masque obtenu entre deux sources sonores allant de 31.5W à 8000 W Q3.12 – En acoustique, que désigne la pondération A ? A Un spectre d’atténuation et d’amplification de certaines fréquences acoustiques, propre à l’oreille humaine B Un spectre d’atténuation et d’amplification de certaines fréquences acoustiques, propre aux tolérances formalisées en milieu résidentiel dans la NBN D 50-001 C Un spectre d’atténuation et d’amplification de certaines fréquences acoustiques, propre aux tolérances formalisées en milieu non-résidentiel dans la NBN EN 13 779 D Un spectre d’atténuation et d’amplification de certaines fréquences acoustiques, propre à la transmission du son à travers des gaines en acier galvanisés E Un spectre d’atténuation et d’amplification de certaines fréquences acoustiques, propre à l’émission du son par des ventilateurs EC E2144 : Introduction à l’HVAC © G. Van Hoeke 2024 Traitement de l’air & ventilation Page 195 sur 229 Q3.13 – Quel impact risquent d’avoir des parois froides dans une pièce sur le confort thermique des personnes ? A La température ressentie par les personnes risque d’être plus faible en raison de leur échange de chaleur par rayonnement vers les parois froides B La température ressentie par les personnes risque d’être plus élevée en raison de leur échange de chaleur par rayonnement vers les parois froides C La température ressentie par les personnes risque d’être plus élevée en raison de leur échange de chaleur par convection vers les parois froides D La température ressentie par les personnes risque d’être plus faible en raison de leur échange de chaleur par convection vers les parois froides E La température ressentie par les personnes risque d’être perturbée en raison de leur échange de chaleur par conduction vers les parois froides Q3.14 – Quel taux de CO 2 dans l’air ambiant peut être jugé « normal » par rapport au confort hygiénique des personnes ? A 100 ppm B 400 ppm C 1000 ppm D 10 000 ppm E 21% Q3.15 – Quel taux de renouvellement d’air par personne pourrait être conseillé dans une zone de classe IDA 3 ? A 20 m³/h B 25 m³/h C 40 m³/h D 50 m³/h E 60 m³/h Q3.16 – Quel taux de renouvellement d’air par personne pourrait être conseillé dans une zone de classe IDA 1 ? A 20 m³/h B 25 m³/h C 40 m³/h D 50 m³/h E 60 m³/h Q3.17 – En termes de fréquences, quelle est la gamme de son audibles par l’oreille humaine ? A 20 Hz à 20 000 Hz B 63 Hz à 4 000 Hz C 20 dB à 20 000 dB D 63 dB à 4 000 dB E Tous les sons sont audibles par l’oreille humaine Q3.18 – En termes de d’analyse centrées sur ses bandes d’octaves, quelle est la particularité d’un « bruit blanc » ? A Il présente un niveau de pression acoustique maximal sur l’octave de 500 Hz B Il présente un niveau de pression acoustique maximal sur l’octave de 4000 Hz C Il présente un niveau de pression acoustique régulièrement croissant avec la fréquence de l’octave D Il présente un niveau de pression acoustique régulièrement décroissant avec la fréquence de l’octave E Il présente un niveau de pression acoustique constant à toutes les octaves Q3.19 – En termes de d’analyse centrées sur ses bandes d’octaves, quelle est la particularité d’un « bruit rose » ? A Il présente un niveau de pression acoustique maximal sur l’octave de 500 Hz B Il présente un niveau de pression acoustique maximal sur l’octave de 4000 Hz C Il présente un niveau de pression acoustique régulièrement croissant avec la fréquence de l’octave D Il présente un niveau de pression acoustique régulièrement décroissant avec la fréquence de l’octave E Il présente un niveau de pression acoustique constant à toutes les octaves E2144 : Introduction à l’HVAC © G. Van Hoeke 2024 Traitement de l’air & ventilation Page 196 sur 229 Q3.20 – Le niveau de pression acoustique résultant de l’addition de deux sources sonores de puissance acoustique identique a pour effet de … A Multiplier par deux les décibels perçus B Multiplier par quatre les décibels perçus C Multiplier par huit les décibels perçus D Ajouter 3 décibels à la pression acoustique perçue E Ajouter 6 décibels à la pression acoustique perçue E2144 : Introduction à l’HVAC © G. Van Hoeke 2024 Traitement de l’air & ventilation Page 197 sur 229 F.1.4) CHAPITRE 4 : IMPACT DE L’ETAT DE L’AIR SUR LES PROCESS Q4.1 – Comment imposer une surpression ambiante (référence = pression atmosphérique) dans un local (un sas de pressurisation, par exemple) à l'aide de la ventilation ? A En jouant sur les débits volumiques pulsés et extraits jusqu'à ce que le nombre de moles d'air par m³ contenues dans ce local soit supérieur au nombre de moles d'air par m³ contenues dans les locaux à pression atmosphérique B En poursuivant une consigne en pression en gaine d'air pulsé supérieure à celle de l'air extrait dans ce local par rapport à la situation d'équilibre à pression atmosphérique C En poursuivant une consigne en débit volumique d'air pulsé supérieure à celle de l'air extrait dans ce local par rapport à la situation d'équilibre à pression atmosphérique D En poursuivant une consigne de puissance d'écoulement d'air pulsé supérieure à celle de l'air extrait dans ce local par rapport à la situation d'équilibre à pression atmosphérique E En évitant toute extraction d'air dans ce local et en maintenant un débit massique d'air pulsé dans des proportions permettant cette surpression par rapport à la pression atmosphérique Q4.2 – De quels composants physiques de traitement d’air avez-vous besoin au minimum pour gérer la qualité de l’air dans un container à champignons ? A D’une batterie chaude B D’une batterie chaude et d’une batterie froide C D’une batterie chaude, d’une batterie froide et d’un humidificateur D D’une batterie chaude, d’une batterie froide, d’un humidificateur vapeur et d’un humidificateur adiabatique E D’une batterie chaude, d’une batterie froide, d’un humidificateur et d’un traitement UV Q4.3 – Quelles conditions d’air humide imposeriez-vous dans une salle d’entreposage de sucre ? A 40°C et 80% HR B 40°C et 30% HR C 0°C et 85% HR D 27°C et 70% HR E 27°C et 30% HR Q4.4 – Quelles conditions d’air humide imposeriez-vous dans une salle de fermentation de pains ? A 40°C et 80%HR B 22°C et 50% HR C 0°C et 85% HR D 27°C et 70% HR E 27°C et 30% HR Q4.5 – Quelles conditions d’air humide imposeriez-vous dans une salle d’entreposage de champignons ? A 40°C et 80%HR B 22°C et 50% HR C 0°C et 85% HR D 27°C et 70% HR E 27°C et 30% HR Q4.6 – Quelles conditions d’air humide imposeriez-vous dans un musée ? A 40°C et 80%HR B 22°C et 50% HR C 0°C et 85% HR D 27°C et 70% HR E 27°C et 30% HR E2144 : Introduction à l’HVAC © G. Van Hoeke 2024 Traitement de l’air & ventilation Page 198 sur 229 Q4.7 – Quelles conditions d’air humide imposeriez-vous dans une bibliothèque ? A 40°C et 80%HR B 22°C et 50% HR C 0°C et 85% HR D 27°C et 70% HR E 27°C et 30% HR Q4.8 – En termes de qualité d’air dans un espace dédié à la croissance de champignons pour l’industrie alimentaire, que peut-on noter de spécifique ? A Un besoin constant en haute température B Un besoin en concentrations particulières de CO 2 et en humidité suivant les phases de croissance C Un besoin constant en humidification D Un besoin constant en séchage E Un besoin en température extrêmement variable suivant les phases de croissance Q4.9 – Quelle formule exprime correctement la variation du nombre de moles d’air Δ𝑛 dans une pièce en fonction du gradient de pression Δ𝑃 que l’on souhaite y faire régner par rapport à une pression de référence ? A 𝑅⋅𝑉 Δ𝑛 = Δ𝑃 ⋅ 𝑇 B 𝑅⋅𝑉 Δ𝑛 = Δ𝑃 + 𝑇 C 𝑅⋅𝑉 Δ𝑛 = Δ𝑃 − 𝑇 D Δ𝑃 ⋅ 𝑉 Δ𝑛 = 𝑅⋅𝑇 E 𝑅+𝑉 Δ𝑛 = Δ𝑃 − 𝑇 Q4.10 – Lors de la mise sous pression d’un local par rapport à ses locaux voisins, le débit de fuite par les inétanchéités entre ces locaux est fonction … A De la différence de pression entre ces locaux élevée au cube B De la différence de pression entre ces locaux élevée au carré C De la différence de pression entre ces locaux D De la racine carrée de la différence de pression entre ces locaux E De la racine cubique de la différence de pression entre ces locaux Q4.11 – Pour un gaz parfait, le volume molaire vaut systématiquement… A 22,41838 mol/L B 22,41838 L/mol C 22,41838 m³/mol D 22,41838 mol/m³ E 22,41838 mol Q4.12 – Quel risque considéré en priorité court-on si l’on impose une humidité relative de 15% dans une salle de maturation de bananes ? A Les bananes risquent de pourrir B Le processus de maturation risque d’être très peu efficace C Le confort hygiénique des personnes travaillant dans la salle est mis à mal D Le confort thermique des personnes travaillant dans la salle est mis à mal E La peinture risque de craqueler sur les murs de la salle E2144 : Introduction à l’HVAC © G. Van Hoeke 2024 Traitement de l’air & ventilation Page 199 sur 229 Q4.13 – Quel risque considéré en priorité court-on si l’on impose une humidité relative de 85% dans une salle de traitement du bois ? A Le bois risque de pourrir B Le processus d’usinage du bois risque d’être très peu efficace C Le confort hygiénique des personnes travaillant dans la salle est mis à mal D Le confort thermique des personnes travaillant dans la salle est mis à mal E La peinture risque de craqueler sur les murs de la salle Q4.14 – Quel risque considéré en priorité court-on si l’on impose une température ambiante de 30°C dans une usine de chocolaterie ? A Le chocolat risque d’être trop fondant à chaque étape du processus B Le chocolat risque de pourrir C Le confort hygiénique des personnes travaillant dans la salle est mis à mal D Le confort thermique des personnes travaillant dans la salle est mis à mal E La peinture risque de craqueler sur les murs de la salle Q4.15 – Quel risque considéré en priorité court-on si l’on impose une température ambiante de 30°C dans une salle d’entreposage de pommes ? A Les pommes risquent de pourrir B Les pommes risquent de ne pas arriver à maturité assez vite C Le confort hygiénique des personnes travaillant dans la salle est mis à mal D Le confort thermique des personnes travaillant dans la salle est mis à mal E La peinture risque de craqueler sur les murs de la salle Q4.16 – Quel risque considéré en priorité court-on si une fuite d’azote a lieu dans un laboratoire de telle sorte que le taux d’azote ambiant est mesuré à 90% ? A Il n’y a aucun risque majeur lié à cette fuite B Il y a risque d’asphyxie des personnes par manque d’oxygène C Il y a un risque accru de transformation d’azote en CO 2 D Il y a un risque accru de montée en pression et température avec impact sur la survie des personnes E Il y a un risque de montée léthale en humidité relative Q4.17 – Quel risque considéré en priorité court-on si une fuite d’azote a lieu dans un laboratoire de telle sorte que le taux d’azote ambiant est mesuré à 78% ? A Il n’y a aucun risque majeur lié à cette fuite B Il y a risque d’asphyxie des personnes par manque d’oxygène C Il y a un risque accru de transformation d’azote en CO 2 D Il y a un risque accru de montée en pression et température avec impact sur la survie des personnes E Il y a un risque de montée léthale en humidité relative Q4.18 – Dans le cadre des gaz parfait, que désigne la constante « R » ? A 22,418383 L/mol B 6,022 140 79 ⋅ 1023 entités élémentaires C 8,31441 J / (mol ⋅ °C) D 101 325 Pa E 273,15 K Q4.19 – Que désigne une « mole » d’air humide ? A Une quantité d’air humide pas dure B Une quantité d’air humide correspondant à 6,022 140 79 ⋅ 1023 entités élémentaires C Une quantité d’air humide correspondant à 22,41838 entités élémentaires D Une quantité d’air humide correspondant à 8,31441 entités élémentaires E Une quantité d’air humide présentant une masse molaire de 22,41383 m³/mol E2144 : Introduction à l’HVAC © G. Van Hoeke 2024 Traitement de l’air & ventilation Page 200 sur 229 Q4.20 – Dans le cadre d’une cascade de pressions entre locaux ventilés, que la paramètre a peu d’influence (

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