Notes de cours - Sports PDF

Notes de cours – Sports Cours 1 INTRODUCTION  Que signifie pour vous le thème sport  Lien avec le loisir  Lien avec la formation de récréologue Activité motrice, institution, règles, compétition, vie active, pratiques encadrées Vs AP, social (élément clé), seul ou en équipe, dép...

Notes de cours – Sports Cours 1 INTRODUCTION  Que signifie pour vous le thème sport  Lien avec le loisir  Lien avec la formation de récréologue Activité motrice, institution, règles, compétition, vie active, pratiques encadrées Vs AP, social (élément clé), seul ou en équipe, dépassement de soi, plusieurs niveaux de pratiques, il est vu comme une composante du loisir, … URLS : https://reseau-urls.quebec/ DIAPO 2 Partons de l'étymologie de ce terme pour se rendre aux enjeux conceptuels actuels - Desport - Disport - Desporter Être en mouvement avec une notion de la joie et du jeu au Moyen-Âge. Besoin fondamentale de bouger chaque jour, dans son quotidien pour ses bienfaits. Le terme même du sport est apparu à la suite de l’ère de l’industrialisation sous le thème de la compétition. Contrairement au loisir qui est plus récréative ou d’initiation. Activité physique et sportive est di érente en soi que le sport. Il n’y a pas de définition définitive choisit par tous dans la littérature scientifique (aucun consensus). Le concept protéiforme (change selon l’angle de recherche). Dans certains milieux, ils ont une définition fermée et unique (ex : santé ou anthropologique : relié aux sciences humaines). Il est important de garder une ouverture et en avoir conscience. Le sport est basé sur la compétition et sur les règles. Le sport vient avec ses règles, normes et codes. Pour que la compétition est lieu les règles doivent être communes. Les Fédérations promues les règles et les normes pour que tous s’y adaptent.  Exemple : le tennis est normé. Il y a des types de balles précis et types de terrains acceptés ou non. La Fédération va s’assurer que tout est normé. RÈGLE – COMPÉTITION Le sport est normé et institutionnalisé. 1. Normé et institutionnalisé 2. Auto-régulé, donc pas codifié. (activité physique/activité)  Le sport 1 s’a irme par les fédérations, le sport professionnel ainsi que la di usion médiatique. Mais, il influence le 2 aussi. Le sport moderne : il est né de la révolution industrielle. Ensuite, par la société capitaliste et néolibérale. Le sport porte les valeurs de compétition et ce type de société.  Exemple : dopage et violence Encore dans les valeurs du sport : l’individualisme. La société met de l’avant (nourrit) le développement de soi : être le meilleur, prendre soins de notre corps, … Hédonisme  Augustin, 2011 Angle de sciences humaines et sociales SPORT AU SENS STRICT 1. Motricité : bouger, beaucoup, moins, précis, technique, activé son corps, agilité et habilité, …  Exemple : faire de la voile ou de la boxe. Le matériel et les techniques sont nettement di érentes. La sécurité et l’encadrement aussi. 2. Institution : encadrer la pratique par les règles,  Exemple : un Club, un gestionnaire de plateaux sportifs, adhérer à un club d’escalade.  Si on joue au soccer , dans notre cours entre amis à un BBQ, ce n’est pas du sport au sens strict c’est du ludo-sport 3. Compétition : petite ou de grand niveau 4. Règles: encadrement  A) Il existe des fédérations internationales qui instaurent des règles qui découlent dans les paliers inférieurs (national, provincial) B) Équipements normés exigés : on ne pratique pas le tennis dans un champ de maïs ou dans un stationnement du Walmart. Elle fluctue selon le palier. Il est important de connaître les normes. C) Économie de marché LUDO-SPORT  Pratiques libres, Ludo sport = activité sportives, pratiques libres.  Motricité, mais ne doit pas avoir les 4 critères.  Réguler par des normes, mais surtout local. Surtout les municipalités. Exemple : course à pied, canoë pour voir des paysages, … OBJETS DE SPORTS Nous devons avoir du matériel pour pratiquer du sport. Et cette consommation est essentielle. Cette notion nous renvoie au corps et de l’image de soi. Capitalisme, consommation d’objets est un écran de fumé,…  Exemple : courir un 5km, mais être équipé pour un marathon et le mettre sur les réseaux sociaux. Contre-mouvement de course : minimalisme. DIAPO 3 – philosophie Repartons un instant de la "mère de toutes les sciences" Que peut-elle nous enseigner dans le cadre de ce préambule ? La philosophie s’intéresse au sport tardivement soit vers 1960. Elle s’intéresse à l’éthique sportif et ses principes. Compétition = faire face à l’adversaire. (adversaire : direct ou indirect, on peut le voir ou non) L’opposition. PRINCIPES : 1. Respect 2. Intégrité 3. Équité Le sport est pratiqué par le corps, physique. Nous voulons a iner notre corps pour devenir le meilleur dans sa discipline. Le corps est l’outil de la performance et devient le reflet du corps sain que les regards des autres posent sur nous. Nous pouvons atteindre le corps idéal selon la société. L’âge (maturité physique et mentale) a un impact sur notre corps ce qui impact le sport. La gestion de la violence. Dans les temps anciens, il y a beaucoup de violence voire la mort lors de pratique de sport (gladiateur). Aujourd’hui, la violence est moins présente, mais encore très présente. DIAPO 4 – corps et compétition A) Corps : corps et esprit, universalité. Esprit sain dans un corps sain (Spinoza). Le corps et le mentale sont lié. Universalité : une capacité à modeler notre corps pour un sport précis. Sport = type d’usage du corps, cela va avoir une incidence sur le choix du sport et de son modelage. Le sport discrimine des types de corps (facteurs discriminants) (exemple : basketball). Cette discrimination se fait sentir plus on monte dans les échelons du sport. Et le modelage doit suivre, on doit adapter notre corps sinon le sport compétitif nous refusera sous non- conformité corporelle (on ne sera pas assez bon) B) Compétition : Agôn et mutualité Âgon : Roger Caillois. Le sport dans la logique moderne permet de rejoindre une volonté même de l’être humain par la compétition. Dans les traits mentaux de l’êtres humains, nous voulons se comparer aux autres, savoir qui est le plus fort. Le sport moderne mets des balises, des normes pour structurer le principes de compétition en créant le principe d’équité. Exemple : diviser l’âge, les sexes, les poids, … (variables). C’est une conception sociale, nous avons décidé de faire ces divisons (création humaine)  Exemple : la course automobile. Mutualité : sans adversaire, il n’y a pas de compétition. L’adversaire est centrale. Notion de respect mutuelle et des règles. On veut seulement que la technique divise les 2 compétiteurs. Interactions entre les 2. Disciplines incontournables Discipline qu’on va aborder dans le cours… 1. Sociologie Centrale en sciences humaines et sociales. Les 1ers sociologues sur le sport apparaissent dans les années 60. On décode les sociétés et individus par le sport (individu, groupe, communautaire), on essaye de les comprendre par le sport. C’est la société des loisir (utopique) : place du sport et activités sportives dans une société. Comment le sport s’intègre dans le loisir. Les valeurs dans les sports et la société, leur importance. Développement de haut niveau (pro) va impacter le sport de masse : comment il est fait et comment il est médiatisé. Les di érentes approches : a) Approche fonctionnaliste : aspects utilitaires du sport, épanouissement personnelle, socialisation par le sport, santé physique et mentale, éducationnelle, vecteur d’intégration de personne avec un handicap, nouveau arrivant, … Problématique : juste voir les côtés positifs, aucun élément négatif – approche angélique b) Approche compréhensive : mettre de l’avant les sous-cultures sportives, les variantes et les sports ne sont pas vu de la même manière selon le pays. Comment on voit le sport et comment on met de l’avant le spectacle sportif. Nuancer que le sport n’est pas pareil partout dans le monde. c) Approche néomarxiste : mise en avant de l’aliénation par le sport. Le sport moderne s’est émanciper que par la phase industrielle et s’intègre aujourd’hui dans la société capitaliste. Le sport nourrit le capitaliste et le capitaliste nourrit le sport. Les mots et les problématiques vécues dans le sport peuvent être seulement régler en s’attaquant aux problèmes de notre société. d) Approche interprétative : _____, comprendre comment le sport à évoluer dans De sport à violant, peu normer à des sports ou la violence est encadrer. Sport est un vecteur pour contrôler la violence et normer pour savoir ce qui est socialement accepter ou non. e) Approche postmoderne : mieux comprendre comment les médias sociaux peuvent influencer le sport. Quel que soit la forme du sport est présent et se développe avec la présence des médias et des réseaux sociaux.  f) Théorie du reflet : le sport miroir de la société. Deux théories : 1. Théorie de la reproduction : le sport va mettre de l’avant certaine valeur universelle (équité, …), ceci est un discours de façade, car certains pays sont plus riches ou plus pauvre, masculin et féminin (manque de commanditaire) donc inégalité partout 2. Théorie de la résistance : étant donné que le sport est super médiatisé, on peut dénoncer des phénomènes politiques : comme dénoncer les violences faites aux populations noires. Dénoncer dérive ambiante politique ou social, le sport véhicule de ses agissements. 2. Géographie **sport = objet spatial 1970, on commence à e ectuer des recherches reliées en géo et loisir. Le sport n’est pas un objet Aspatiale. ASPATIAL : objet sportif peut être vu, détacher d’un endroit sport, l’endroit et les lieux sont lié au sport pratiqué. La géographie est fondamentalement un objet spatial, donc toute notion relié èa l’aménagement, des flux de mouvements de populations et hiérarchie urbaine vont avoir un impact sur la pratique sportif. On parle de déplacements, temps, moyens de déplacements, types d’aménagement de l’espace, types d’équipement (piscine intérieur, centre d’escalade) … Ex : pratiquer le tennis à des heures spécifiques, pratiquer l’escalade en plein air. Plus la ville est grande, plus elle voudra accueillir des grands jeux, méga événements (jeux olympiques, …) pour le prestige. Plus la ville est grande plus les infrastructures seront grandiose (grande piscine olympique, …) Plus la ville est petite, les villes vont accueillir des jeux moins de grandes envergures comme les jeux du qc à trois rivières. Plus la ville est petite, moins les moyens de construire de grande infrastructure sportive seront grande (piscine extérieure, petite taille, …) 3. Histoire Voir le cours du prochain cours complet sur l’histoire, c’est tout. Comprendre comment le sport moderne s’est développer et distinguer les di érences phases (politique, social, économique et un peu culturel). Ces phases sont analyser par les 3 premières phases. AUTEURS CLÉS Coubertin: renforce les valeurs et qualités des plus jeunes, des valeurs républicaines, équité, respect des règles. Comment le sport renforce la jeunesse? Aussi, il définit le terme jeu : faire éclore des __ physiques. Angle du sport comme vecteur d’éducation. Approche fonctionnaliste. P.34 et 35 du livre. Vigarello : historien au départ, il a travaillé sur l’évolution du sport moderne et des ses dérives (dopage, violence, corruption et excès).Il suit les travaux de Coubertin (angélique), mais les dérives extrêmes du sport (20e et 21 siècles). Le sport peut créer des joueurs, des entraineurs ou même des états à tricher. Aussi, quel corps est mis de l,avant dans notre société. Marx : approche néomarxiste, alimente l’analyse du sport : 1. Comme phénomène : rattaché au marché et occidental 2. Sport moderne : produit de l’industrialisation capitaliste. Consommation des objets = sport est son miroir, toujours avoir des nouveaux besoins 3. Athlète de haut niveau = forme d’aliénation des forces corporatives : athlète de haut niveau a un seul modèle de réussite et on s’y attache. Si on veut performer à l’international, on doit s’y adapter. Les compétitions sportives internationales sont des enjeux politiques. Exemple : les maillots sportifs ont des compagnies ou des drapeaux de pays. L’athlète devient un article jetable; il n’est plus bon, il est remplacé. La question d’après carrière se pose, que deviennent-ils? Ex : Russie – dopage extrême ses athlètes pour montrer sa puissance politique Brohm : il dénonce la société capitaliste qui veut se développer sans arrêt. Il dénonce le fait que les ressources de la terre à des limites de ressources. Critique du sport. Remettre en question ce qui est convenu, mais ils ne sont plus acceptables. Élias : approche interprétative (sociologique des interprétations), auteur central de cette approche. Il essaye de comprendre comment le sport à fait le ra inement des normes sociales au fil des décennies. Elle permet de comprendre la violence dans le sport. Exemple : combat de gladiateurs, combat de deux chevaliers jusqu’à la mort. Finalité = la mort. Images et ambitions sportives attendues par les promoteurs et spectateurs. Plus la société se développent et nos attentes ont évolué. La violence est aujourd’hui canalisée. Pour le bien-être des joueurs, la violence doit être encadrer. Mettre des règles, normer l’équipement (casque, …) Pour les fédérations sportives vont minimiser les risques dans la pratique sportive pour attirer les nouveaux participants. Bourdieu : 1. Champ : sphère de la vie personnelle pour que l’individu deviennent autonme 2. Habitus : Habitudes de vie que l’individu va adopter selon ce que les parents (autres entourage ) vont transmettre 3. Capital. – grâce à ses 3 paliers, il veut comprendre comment les individus sont influencer par notre environnement (famille, amie, travail,..). Le sport en fait partie. - Polliocho (p42, 43) : réflexion calquée sur Bourdieu avec les inégalités sportives. Famille et inégalité vécus lors de nos études va teinter notre pratique sportive Augustin (géographe) et Bale (géographe britannique) : aménagement, flux, mouvement, hiérarchie urbaine, catégoriser des villes qui ont plus de facilités et de moyens d’accueillir,… DÉFINTIONS DU SPORTS La gestion du sport au Québec est gouvernementale, en palier. Compétence provinciale. Décision provincial et diction aux régions et villes. Déf technique : encadrement, a irmation de compétences physiques et technique. Contrairement è notre éducation Appuyé par le fédéral. Ministère de plus communautaire, distance avec notre vision nouvelle. l’éducation et de l’enseignement supérieur – la direction qui est la direction de l’activité physique et du loisir. En France par exemple, c’est l’état centrale qui gère. Réflexion générale « Cette réflexion, de nature principalement sociologique, pose explicitement la question de la finalité du jeu et de fait du sport. On pratique généralement une activité sportive dans une sphère temporelle, sociale et physique explicite non pas déconnectée des autres sphères de notre vie, mais partiellement ou temporairement coupée de certaines réalités plus codifiées ou o icielles. Il ne faut pas ici comprendre le sport comme quelque chose de futile, voire puéril, mais plutôt comme une source de connexion ou de reconnexion vis- à-vis d’éléments centraux de notre être. » (Roult, Auger, Lavigne, 2019 : 2). Sport et gestion du sport – Sphère de pratique sportive Ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur, 2019 Concept des sphères dans la pratique sportive (Québec)  Définition du concept de "sphère" 1. Représente des bulles de pratiques interconnectées et poreuses. 2. Chaque sphère alimente l'autre et favorise un parcours fluide pour l'individu.  Étapes du parcours sportif dans les sphères 1. Découverte :  Introduction au sport, prendre contact avec le sport, pas de compétition.  Éveil d’un intérêt (étincelle) chez des individus qui ne connaissent pas encore l’activité.  Expérientielle  Adapté les règles pour procurer du plaisir aux joueurs  Les animateurs animent le jeu, pas d’entraineur 2. Initiation :  Première pratique structurée et adaptée (règles simplifiées). Conditions réelles  Permet d’expérimenter et de prendre plaisir à l’activité. Les règles sont adaptées et plus faciles pour que les individus commencent à apprécier et expérimenter afin de continuer la pratique  À la fin, l’individu a une base pour pratiquer le sport  Enseignement de base, entraineur de base souvent des bénévoles Comme le programme MAG au hockey  3. Récréation :  Pratique pour le plaisir, en solo ou en groupe.  Compétition présente ou pas  Intervention des récréologues pour maintenir l’intérêt. Objectif : encourager une pratique régulière et durable. Mettre des plateaux de pratiques o icielles, normes o icielles  Les objectifs sont le plaisir, l’expérience et de renouveler l’activité sur le moyen et long terme.  Elle se développe dans les communautés (club, regroupement communautaire et municipalité)  Entraineur, animateur ou autonome.  La majorité des individus au Québec s’y trouvent 4. Compétition locale à internationale :  Local (provincial) : participation à des compétitions structurées dans la province.  International : haut niveau de compétition (normes strictes et encadrement rigoureux).  Retombées économiques importantes grâce aux événements sportifs internationaux.  Notion de performance  Entraineur professionnelle, formation précise, avec des ambitions claires Promouvoir l’amour et la pratique du sport à long terme. Récérologue au niveau de la récréation - Assurer l’accessibilité :  Mise à disposition des infrastructures sportives (plateaux sportifs).  Fourniture des équipements nécessaires.  Développer des compétences et renforcer la participation communautaire au sport.  Toutes les sphères se communiquent, se nourries une de l’autre. Le sport et ses valeurs universelles *en ordre d’importance - Le ministère se base sur les valeurs. - Esprit sportif : respect et observation des règles en vigueur, respecter adversaires et o iciers en poste, respect des autres. Aussi, souci de l’équité. Maintien de sa dignité (image qu’on projette de nous dans l’équipe et à l’externe) - Mode de vie sain et actif : activité physique devrait faire parti de notre quotidien pour améliorer notre santé - Réussite éducative : développement social, développement habilité social, permet de contrer le décrochage scolaire et renforcer la persévérance COURS 2 Le sport comme activité fédératrice (Parlebas, 2008) - E et rassembleur - Cadre autour du sport – structure - règlements, institutions, sanctions - Uniformisation des pratiques - Événements sportifs Formes de reconnaissances des fédérations Le sport est devenu, par la mondialisation, un grand village, on va donner une identité, a irmation de tous les pratiquants qui veulent pratiquer des normes et des codes qui seront connu par le plus grand nombre. Les normes vont parler à di érents individus au travers le monde. Des sports plus nichés reliés à des sous-cultures – regroupements culturels. Exemple : la crosse, culturellement encré dans la communauté autochtone. Non développer à l’échelle mondiale. Influencer par les choix culturels d’un pays. Typification du sport, simplification du sport : simplifier les règles pour que cela soit plus adaptable selon les pays. Un acteur définit les règles (fédérations internationales), créer, simplifier et faire connaître les règles = rôle des fédérations. Di érences entre 2 colonnes. Jeux traditionnels : avant industrialisation, jeu dans les villages, règles implicites selon la communauté locales. Exemple : le maire décide les règles. Malléable. Sports modernes : aujourd’hui. Structure formelle et spécifique décidé par les fédérations pour faciliter la comparaison et la compétition. On codifie les sports, création des normes, pour que les normes soient équitables afin de se comparer et créer une compétition juste et équitable. Exemple : avant, temps de jeu et terrain pas défini. Aujourd’hui, le terrain est défini et mesuré. Au cœur, du capitalisme, norme, structure pour améliorer la production et la productivité. Le sport se base la dessus. Roger Calilln : jeu est ludique au départ. Selon la société, les composantes peuvent être basé plus sur un élément qu’un autre : - Âgon : compétition, il y a un adversaire. Alea : chance, hasard, éléments qu’on ne peut pas prévoir dans le jeu, aléatoire - Mimicerie : simulaire, on invite un univers qui n’existe pas. Univers récréatif. Ex : marco polo, il n’existe pas - Ilinx : vertige, on veut vivre des émotions, des sensations qui sont propres au jeu donc à l’activité sportive. Ex : saut en parachute, saut en gymnastique sur trampoline Ces 4 éléments sont présents dans le sports traditionnelles et modernes. La compétition est l’élément principal du sport moderne. La racine reste le jeu. Modèle qui montre comment certains sports sont devenus mondial et d’autres non. Les critères : 1. i : environnements de pratique : incertains OU stable 2. p :Interactions avec des partenaires ou coéquipiers Ex : seul ou en équipe, binôme 3. a : contre ou face aux adversaires, interactions directes ou indirects Suivi de la création des 8 classes (pas à l’examen) a) : ni partenaire, ni milieu incertain, ni partenaire. Milieu contrôlé. Ex : gymnastique b) P : partenaire, contrôle de l’environnement, pas d’adversaire direct. Ex : patinage en double c) PA : terrain normé, incertitude milieu de pratique. Ex : football, soccer, basketball d) A: sport a ronté face à l’adversaire, dans un milieu standardisé. ex : judo e) I : milieu de pratique incertaine, absence de partenaire et adversaire EX : surf f) IP: milieu de pratique incertaine, coopération partenaire et adversaire pour survivre. Ex : alpinisme en cordé g) IPA : milieu de pratique incertaine, interaction avec partenaire, adversaire présent. Ex : cyclisme sur route et la voile en équipage h) IA : milieu de pratique incertaine, sport di usé, a rontement avec adversaire, partenaire ou pas. Ex : ski de fond, cyclocross. Le PA à des influences sur la médiatisation. L’environnement incertain est plus di icile à être médiatiser. Filmer, suivre un individu et se projeter. Plus que c’est aléatoire pour filmer et di user. Sauf, le cyclisme. Globalisation et sport Cette globalisation du sport a amené di érents enjeux politiques et culturels. 4 grandes phases qui globalisent la mondialisation du sport. Auteur clé : guliianodi (qqc comme ça) Phase reliée à des enjeux politiques et culturels Il y a des pays qui ont plus d’incidence sur la mondialisation du sport. Les A et les PA sont créer dans les pays en Europe et se sont a irmé dans les colonies. Arts martiaux et combat : pays asiatiques comme le Japon et la Corée du Sud. La culture - Film de Bruce Lee LES PHASES 1. Phase 1 - 1870 à l’année 1920 : industrialisation du monde occidentale. Création des sports nationale. A irmation des pays par le biais de certains sports. Apparition de fédérations sportives international : FIFA et Jeux Olympiques, donc apparition des grands événements sportifs. Teinté par le début des idéaux capitaliste. 2. Phase 2 - Milieu des années 1920 – fin des années 1960 : Aspects politiques teintent l’évolution du sport. Mouvement fasciste qui promouvait leur programme grâce aux sports, le communisme aussi. Occidental : modèle capitalise où le sport joue un rôle clé. Le mouvement colonialisme, valeurs du monde occidental qui est forcé ou imposé aux colonies. Phénomène du boycott : non adhérer au tournoi ou à l’Olympique, car on n’adhère pas aux valeurs du pays qui présente les Jeux ou tournoi. 3. Phase 3 – 1960 à 2000 : Fin de la Guerre Froide : le capitalisme, néolibéral prend la place après le communisme. Logique marchande liée à des forces corporatives (pub, commandite), cela exige aux sports à se codifier et normer. Les fédérations prennent de plus en plus de place. Consommation et développement mis de l’avant. Reflet des inégalités, essayer des équilibrés. Notion de respect, droit de genre. A irmation dans les médias et de leurs influences. Di user et commandité par les médias. À partir de 1984, les JO deviennent plus sérieux, les amateurs ne sont plus les bienvenus. Les JO  sont amateurs et deviennent des professionnels. Air de changement 1984, Los Angeles. 4. Phase 4 – 2000 à aujourd’hui : exacerbation des années précédentes. Capitalisme, médias, rôle de la consommation, instantanéité, le direct, … Nouvelle présence : 1. Les sports alternatifs : création de variantes dans le sport. Ex : planche à neige : au début marginal, non fédérer. Puis, la fédération de ski, vont s’y intéresser et aujourd’hui au JO. Même chose pour le skateboard, mode de transport aussi, ajd JO. 2. Enjeux de sécurité : pour les athlètes et spectateurs. Ex : JO, les villes qui host doit penser à la sécurité et cela est un critère central. Un contexte géopolitique et mondialisé bien exprimé par Roche (2020 – pp. 60-61). « Par son inscription résolue dans le monde industriel et commercial de l’économie capitaliste, la culture sportive a développé une véritable multinationale du spectacle ; celle-ci vend le produit sportif et l’installe avec un succès retentissant dans le champ de la communication de masse, ce qui va, en retour, influencer ses propres contenus » (Parlebas, 2008 : 23) Globalisation du sport - enjeux économiques dans un société capitaliste - Enjeux culturels - Enjeux politiques et géopolitiques (promotion de valeurs dans un pays) Les stratégies de diplomatie sportive de la Chine, du Qata et de la Russie. Pays dictatoriaux : on utilise le sport pour promouvoir les valeurs et idéaux pour montrer leur puissance à l’international. Il utilise le Soft Power : utilisation de pouvoir discrète comme le sport. Créer des vedettes de sport international pour promouvoir le pays. Comme organiser des grands événements sportifs comme les JO de Pékin (démontrer la puissance). Ou ils vont engager des ambassadeurs sportifs. Le tableau des médailles créer une compétition (géopolitique) SPORT GÉOPOLITIQUE ET DIPLOMATE SPORTIVE DANS UN MONDE GLOBALISÉ Enjeux géopolitiques : - Individuel : emprise des règles néolibérale. Plus il y a une forme de dérégulation. Régime politique et économique qui mette en place des règles et normes - National : régime politique : démocratie (prendre le pouls des citoyen, concertation) vs autoritaire (aucune consultation, on ne se préoccupe pas de la population, juste les autorités décident) - International : lié aux régimes du gvt. Et la recherche de pouvoir et de visibilité à l’international, perception de l’international. Tourisme de prestige. Investissement qu’on n’aurait pas eu si on n’avait pas host les JO aussi - Enjeux culturels : impérialisme culturel et la créativité et hybridité culturelle Impérialisme culturelle : valeurs qu’un pays ou plusieurs pays vont se positionner par les médias et autres. Ex : USA, impérialisme culturelle, produits culturels de masse (cinéma, presse, …), mais aussi aux sports. Mettre de l’avant certains sports et athlètes pour que les citoyens adoptent leur valeur et leur mode de vie. Compétition, marchandise du sport, … Nuance de cet impérialisme : certains pays ou territoires en prenant cet impérialisme et le modeler comme on veut. Ex : Royaume-Uni, les pays colonisés par : ils vont prendre les racines mais les modifiés. Donc : USA création du football dérivé du rugby. Et Australie qui crée le football Australien. Ex 2 : espagnol les corridas : pays sud-américain : création du rodéo, variante de la corrida espagnole. On reconnait les valeurs culturels et sociales du pays. Des dates clés pour montrer que les médias sont au cœur de l’évolution du sport - 1er média qui a de l’influence dans le monde du sport : presse écrite. Elle di use des informations de matière di érente 1820. Pas de direct, di éré. - 2e média radio en 1900 : grande incidence car c’est en direct. PASSAGE FORT. Très créatif pour faire vivre les émotions des parties. - 3e média télévision, 2e moitié du 20e siècle. Image wow. Explosion de la place des médias dans le sport. En direct et mettre en image. Chaines tv doivent avoir des droits pour di user. Le passage de la di usion régulière au spectacle sportif (engouement potentiel de game serré). Grille horaire de TV, modifications des règles pour l’intégrer mieux à la TV. Volonté des chaines de tv : rendre le spectacle wow modifie les règles du sport. Ex : 24 secondes pour le botté ou des pauses entre les rounds sont assez longues pour les publicités. Plus le sport est incertain, plus les règles sont impossibles à changer. Plus c’est di icile d’être médiatisé. Sauf, le sport extrême qui peut être fait en mini clip ou en documentaire qui va chercher un public niché. - 5e réseaux sociaux : équivalant ou plus fort que la TV aujourd’hui. IA = 1ère phase ajd. + téléphone intelligent. - 4e mais pas en ordre, le cinéma : pas de direct, mais véhicule des valeurs et des idéaux du sport comme le film de SpaceJam. Médium, canal de communication central, complémentaire réseaux sociaux et tv. Elle transmet l’impérialisme occidentale (valeurs américaines). IMPÉRIALISME : mettre de l’avant les valeurs de la société. Le sport doit être consommer en direct pour vivre toutes les émotions possibles. Expérience complète. https://www-cairn-info.biblioproxy.uqtr.ca/marketing-international-du-sport-- 9782807339095-page-65.htm 1891-1949 : 1ère phase de médiatisation du sport P66 à 68 Presse écrite, radio et un peu le cinéma 1950-1995 : SportiVisation (p68-p72) TV, la télévision joue un rôle central dans le sport de haut-niveau De di usion régulière à chaine spécialisée. Surtout le sport professionnel. 1995-2025 : transmédiatisation du sport (p73-p78) internet, réseaux sociaux et téléphone intelligent Les nouveaux médias apportent la nouvelle théorie de la convergence de Jenkins : les spectateurs qui étaient dans l’univers sportif étaient passifs, qui voulaient consommer ou pas, ils avaient peu d’incidences. Ils ne décidaient pas comment et pourquoi ils voulaient le voir. Avec les nouveaux médias, elle devient active. L’intelligence collective émerge. On va collectivement créer du contenu et interagir et cela bouleverse l’écosystème médiatique. Participation collective = cocréation médiatique. Ex : commenter sur X durant le Superbowl. Cela a une incidence sur la transmission du sport. On le voit sur le schéma 1 en cercle. = co-construction et coévolution du message médiatique. On vient à se demander les droits des médias et de di usion qu’on les gens. On se questionne sur l’avenir des médias. Les canaux traditionnels sont amenés à disparaitre. La guerre des médias pour avoir la part du gâteau est présente. LE SYSTÈME OLYMPIQUE https://www-cairn-info.biblioproxy.uqtr.ca/les-jeux-du-monde--9782200631550-page-61.htm figure 2.1 au centre le coité international olympique : droit de vie ou de mort sur certains sports. Si le sport est au JO, le sport est garanti de vie. Au contraire, si le sport n’y est pas, le sport va avoir plus de di iculté à survivre du aux subventions. Les fédérations sont a iliées ou non au JO. Si oui, le sport va avoir ça place au JO. Les JO donnent de l’argent aux fédérations (bcp). Le comité international olympique (CIO) est une marque de commerce. Si on veut être partenaire avec eux, il faut payer. Ex : coca-cola (international) paye, canadian Tire (National, frontière canadienne). Comment les JO va sa marque? Les athlètes et les JO : en premier les JO, ils font leur argent lors des événements, les billets et la march. Le CIO contrôle que les meilleurs athlètes soient présents seulement. Chaque pays fait des compétitions sportives pour déterminer les meilleurs. JO : 7 ans en avance pour décider la ville haute, la ville doit avoir 5 milliards (hiver) et 10 milliards à 20 milliards pour l’été. La ville doit répondre à plusieurs critères comme $ pour que le CIO dit oui. 2 semaines à chaque 4 ans, hiver et été. Ce sont des méga événements planétaires. Comités nationaux olympiques : rôle clé – créer, constituer les délégations d’athlètes (les meilleures). Commandité par les CIO pour garantir les plus beaux événements sportifs. Acteurs temporaires : villes hôtes et comité d’organisations des jeux olympiques. Les médias sont le nerf de la guerre du financement des JO. C’est là que les ressources apparaissent. Les JO vend les droits aux di useurs comme les chaines de TV. Les JO veulent avoir leurs propres chaines de TV éventuellement. Sponspors du programme TOP : entrer majeurs de $ comme coca cola et Canadian tire. Organisation des Nations Unie (ONU) : développement du sport dans les pays défavorisées ou pays en guerre. Place des femmes, développement des jeunes pour redorer l’image de marque – charité Agence mondiale antidopage qui se situe à Montréal, cordonner et superviser la lutte contre le dopage dans le monde du sport. 1999 Les JO veulent des commanditaires qui ont les mêmes valeurs – respect de l’adversaire, … redorer l’image. Rien de parfait – exemple Russie. Tribunal arbitral du Sport : née au milieu des années 80, se situe en Suisse, point à l’international, si y’a des litiges entre fédérations, ou athlètes et fédé. Leur rôle est de médiatiser et trancher pour prendre des décisions. Les intérêts politiques nuances les décisions (mid correct) HIÉRARCHIE UNILATÉRALE CIO dicte les normes et les règles Fédérations internationales – sports Fédérations nationales sélectionnent, forment et encadrent en respectant les normes Fédérations provinciales – sports en pratique Associations régionales / clubs / participants 2 acteurs du monde du sport viennent mêler les cartes, poids économiques et financiers qui peuvent se passer du système si haut et des acteurs 1. Ligues sportifs fermées (NBA’ NHL’ NFL) 2. FIFA Les ligues sportives sont nées dans le système Nord-Américaine, capitalisme : meilleure équipe en haut du classement et les pires en bas. Les pires ligues sont tous dans la ligue quand même si on perd. Le capitalisme est devant tout. Mais le communisme y est présent, car le cercle est fermée et partagée. Personne n’entre dans la ligue si les acteurs ne veulent pas. Ex; Nordique La FIFA est aussi puissante que le CIO. Marque de commerce et athlètes aussi puissant que les JO. Ils peuvent faire leur a aire sans demander au JO. Un moment donné, les grandes vedettes du soccer, n’allaient pas au JO, aucune méga-star. Les JO ont pensé retirer le soccer au JO. Au niveau géo- politique, la FIFA peut chanbouler l’écosystème des JO. Fédérations sportives québécoises – Règles de reconnaissance, prérogatives responsabilités Au Québec, les fédérations doivent l’éducation aux citoyens. En mars 2026, le programme va émerger pour modifier les réglementations des fédérations. Donc, à suivre. Mais pour l’instant, la fédération doit : 1. Reconnaissance : reconnu (les règles ne sont pas à l’examen) A) Constitution d’au moins 2 ans (minimum) B) Enregistrer et respecter les lois des OBNL (fédé = OBNL) C) Utilité publique : on veut le bien de tous pour tous les sports (découverte, initiation, récréation et compétition)  D) Vie associative (CA, procédures, politiques et employés) E) Responsabilité par rapport aux services aux sports : la fédé doit mettre en place des actions et des programmes pour les 4 sphères (initiation, récréation, compétition, …) F) Représentativité : le sport met de l’avant doit avoir une incidence et représentation partout au Québec. 2. Responsabilités : A) Encourager la participation citoyenne – avoir des actions ou programmes régionales et locales pour faire vivre le sport au niveau le plus micro B) Vielle à l’adaptation – respect dans tous les clubs (sexuelles, identité, handicap) C) Vie démocratique de l’organisme – doit avoir des liens et une représentation sur les fédé canadienne D) Structures d’encadrement – siège de X sport, on doit regrouper tous les sports – formation et accréditation commun – structure claire E) Promouvoir l’esprit sportif sain et éthique F) Favoriser la concertation – échange entre palier – espaces disponibles pour discuter G) Di usion d’informations – chaque fédé doit avoir des canaux ciblés – informer les participants – conférence – webinaire pour les acteurs H) Promouvoir le bénévolat – ponctuel et administratif (CA) I) Agir dans les 4 sphères des pratiques sportives Impacts : - Au cœur des programmes de subventions - Deviennent membres de la corporation de sports de Qc – Sports Québec – rôle de lobbying COURS 3 – L’HISTOIRE DU SPORT Les origines du sport moderne peuvent être relevées en Angleterre au 18ème siècle Apparition du sport moderne - Inhérent à la nature humaine - Modernisation de jeux traditionnels - Révolution industrielle E ets de l’industrialisation et de la colonisation - Berceau du sport moderne est l’Angleterre et le Royaume-Uni C’est dû à la colonisation, temps libre, accessibilité du sport, ludification de la société Culte de la quantification : performance élevée partout, tout le temps, - amène la comparaison dans le sport Paternalisme industrielle : municipalité ou ville qui se construit autour d’une industrie, comme en Abitibi. Les employés vivent autour de l’industrie. On veut utiliser le sport devient un rôle d’éducation, croyance en la performance. Plus un individu est performant plus il va avoir un bon impact sur sa société Chrétienté musculaire : former les jeunes pour qu’ils soient performant partout Il faut se souvenir que : - Les foyers émetteurs : pays qui sont au cœur de la di usion et création du sport moderne (Europe surtout le Royaume-Uni). Avec le temps, les USA, puis le Canada et le Japon (arts martiaux) - Les foyers récepteurs : couleurs grisés, liés aux échanges commerciaux et aux territoires colonisés. Impérialisme et colonisation : thématiques importantes. Il y  avait des sports quand même, mais les disciplines ne se sont pas médiatisé et répandu. - Le sport et les entreprises coloniales : les pays d’Europe qui colonisent (Espagne, Portugal, royaume uni, France, …) ils conquêtes des pays colonisés. Les européens vont habités dans les pays colonisés. En apportant leurs sports modernes. L’émergence de la pratique locale apparait dans les colonies. A irmation d’un force économique et culturel en implanter les sports entre autres. Acquisition de territoire et imposition de la culture. Les colonies, quelques siècles plus tard, souhaitent avoir leur indépendance et devenir di érent. Avoir leur propre identité culturelle. USA et Australie sont une preuve. Leurs sports nationaux ressemblent aux sports des pays européens, avec les racines des sports, mais ils ont une volonté de se distinguer pour créer leur propre culture. Donc, il crée des nouevaux sports. Les pays européens leur donnent de la liberté de créer leur propre sport. Sport de pacification. - Sports et échanges commerciaux : profits, globalisation des échanges économiques, échanges culturels et sportifs, sports qui s’étend. Ex : philippines : basketball, un sport qui devient national, mais on n’aurait pas pensé. Aussi, la corrida qui s’a irme en Espagne et au Portugal. LA FLÈCHE 1. Passe-temps plus ou moins organisés; le criquet est pratiqué par les aristocrates, car ils ont du temps libre. Le sport commence par des passes temps des riches, avec des peu de compétition 2. Vient ensuite les pratiques sportives régies par des règles et émergent la compétition 3. Sports modernes créer par la période industrielle, a irmé par le capitalisme et la chute du communisme 4. Di usion planétaire et nouveaux sports, des pays s’a irment avec un sport national (caractéristiques physiques qui favorisent la pratique d’un sport). DANS LES CONTEXTES CANADIEN ET QUÉBÉCOIS - Il est essentiel au départ de comprendre que le jeu était au cœur des cultures autochtones de l’époque - Magie, jeu et religion : le cas des iroquois et des hurons - Spectateurs.rices et gageures autour de ces jeux ancestraux - Le cas de Lacrosse, canot, raquette, course à cheval, la chasse, relation avec la nature, pêche, Ludification On énonce le loisir de manière occidental, mais entre les nations, la ludification et le jeu était présente. Entre personne, groupe et nation. Ils apportent la vision holistique de l’activité physique : on vit le loisir dans plusieurs facettes de la vie, le phénomène est un tout face à l’ensemble, ce n’est pas juste un loisir, c’est un tout. Tout est spirituelle : le centre est la mère terre, nature, … Il faut respecter les autres, les règles, ce qui nous fait vivre : la nature. L’héritage des premières nations leur ont permis de survivre dans des conditions di iciles. La raquette pour se promener l’hiver, le canot pour se déplacer sur l’eau. Des techniques de survies sont un héritage des 1ères nations. Magie, jeu et religion : le cas des iroquois et des hurons. Ils sont au cœur de la pratique sportive. Les règles et normes sont peu ou pas codifiés. La compétition est là mais n’est pas la priorité. Ce qui règne est l’équité sportif et qui performe le mieux dans le sens du talent et technique. Les rythmes spirituels tournent autour du sport. Sacrifice et autres. Notion de pari : on ne pari pas de l’argent. On gagait pour le respect à l,autre, montrer l’importance du jeu, pari équitable et attratif. Le but de gagner ou être au-dessus de l,autre n’est pas le but. Lacrosse : phénomène important, passage au jeux olympiques. Jusqu’au milieu du 19e siècle, les 1eres nations sont les seules à jouer. Néanmoins, les colons voulant contrôler ceux-ci vont s’intéresser aux sports. Ils le règlementent. Compétition émerge. Pratiquer ici, mais peu ailleurs dans le monde. Beaucoup de femmes le pratiquent +. Plan anthropologique : grâce à ce sport on comprend le ethnoludisme autochtones. Comprendre le sport est au cœur de la culturel : régler des conflits, mettre de l’avant des communautés. Et de créolisation : colonisation et sport moderne (pratique ludique au sport moderne) Globalement, on retrouve dans ces cultures ludiques autochtones des « jeux de chance », des « jeux d’adresse » et des divertissements mineurs où les notions d’a rontement, de paris, de fair-play et de spiritualité sont centrales. « Leur approche sportive est significativement di érente du reste du continent nord- américain. Outre l’approche ludique, les Amérindiens ont une vision très holistique ; ils pensent que, parallèlement à la compétition, le sport revêt un aspect spirituel, un bien-être mental et une implication émotionnelle permettant d’obtenir un corps sain, de préserver ou de retrouver l’harmonie. La pratique sportive implique cependant un engagement total » (Delsahut, 2018 : 324). Voir les documents complémentaires déposé dans le cours 3 1647 - Le premier cheval débarque au Canada par la Compagnie des habitants située à Québec, ce qui permet d’initier la création d’une race de chevaux canadiens. Cet élevage est primordial pour la tenue des courses de chevaux, premières manifestations du phénomène sportif au pays. 1868 - Fondation du club de crosse le Champlain de Québec. Cet organisme est le premier club canadien-français de crosse et de sport. - Fondation d’une équipe de football canadien à Montréal sous le nom de Montreal Football Club. Dès 1870, des rencontres interprovinciales, mettant aux prises des clubs de Québec, Montréal, Ottawa et Toronto, sont organisées. L’équipe se joignit à l’Union interprovinciale de football-rugby, mais les insuccès accumulés sur plusieurs années les menèrent à la faillite. L’équipe fut remplacée par les Alouettes de Montréal en 1946. - Apparition du vélo à Québec par Edouard Gingras, fabriquant de voitures, qui construit le premier vélocipède sur le modèle des frères Hanlon de France. Mais le vélo, qui coûte au moins 100 $, n’est pas à la portée de toutes les bourses. Déplacement partout au qc wowowowo 1884 - Fondation du premier club de canoë au Québec. Formé à Montréal, le Club des canotiers regroupe 22 membres et les dirigeants de cet organisme sont essentiellement anglophones. - Formation de l’équipe de hockey senior Amateur Athletic Association de Montréal. Garder en tête : l’héritage britannique est présent et fort. 1886 - Formation, à Montréal, de l’Amateur Hockey Association of Canada (AHAC), première ligue senior d’importance qui mènera éventuellement à la formation de la Ligue Nationale de hockey, en 1917. Quatre équipes de Montréal en font partie : le Victoria, le club de l’Université McGill, le AAA et le Crystal. UMG est au cœur de la création du sport. - Tenue à Montréal de la première convention des clubs de vélocipède du Canada, sous l’autorité de la Canadian Wheelmen’s Association, fondée à Toronto en 1882. 1903 : publication d’un nouveau journal de sport de nouvelles sportives (presse écrite). - Publication d’un nouveau journal sportif Le Sport. Ce périodique se veut un journal de nouvelles sportives complété par des illustrations et des portraits d’athlètes destinés aux collectionneurs. 1904 : 3e jeux olympiques de l’ère moderne. Un athlète québécois reçoit une médaille d’or¸ 1909; - Fondation de l’équipe les Canadiens de Montréal qui forme sans contredit l’équipe de hockey la plus prestigieuse de l’histoire de ce sport. Les Canadiens ont remporté 24 coupes Stanley, ce qui représente un record absolu du sport professionnel nord-américain. - Présentation des IIIe Jeux olympiques d’été à Saint-Louis. Étienne Desmarteau de Montréal obtient la médaille d’or au lancer du poids (56 lbs) et établit deux records du monde : de hauteur (15 pieds 9 pouces) et de distance (36 pieds et 6 ½ pouces). Il est le premier québécois à gagner une médaille d’or aux Jeux olympiques. 1911 - Publication du premier numéro de la revue Canada Sport à Montréal. Ce périodique bilingue est consacré à tous les sports pratiqués au Canada et vient combler, selon les auteurs, un besoin urgent d’actualité sportive tant chez les francophones que chez les anglophones. 1930 - Inauguration du Colisée de Québec. Il faut attendre 1942 pour y voir la première partie de hockey pour ensuite être complètement détruit par le feu le 15 mars 1942. La bâtisse reconstruite, d’une capacité de 10 000 spectateurs, est inaugurée le 8 décembre 1949 à l’occasion d’un match de hockey entre les As de Québec et les Citadelles de Québec. 1937 - L’Association des sports d’hiver aménage un tremplin au Mont Murphy (Mont-St- Castin) et donne un trophée pour des concours de saut à ski, de slalom et de descente. - Un championnat provincial de ski est présenté à Trois-Rivières sous l’égide de la Canadian Amateur Ski Association. Lors des épreuves de ski de fond et de saut à ski, des athlètes du Québec et de l’Ontario y participent. - Les premières régates de Valleyfield ont lieu. Cette compétition fait o ice de championnat provincial des régates. Environ 30 000 personnes assistent à l’ensemble des compétitions, considérées par certains comme étant les plus grandes et les meilleures du Canada. Dernières phases de la slide : Le gvt. Provincial ou fédéral, après les 2 guerres, comprennent qu’ils peuvent être un agent de développement de la société – donc, ils encadrent le sport et l’activité physique et d’en faire la promotion pour aider les citoyens. 1943 - Adoption de la Loi fédérale sur l’aptitude physique nationale. Cette loi donne naissance au Conseil national qui dispose, pour chaque année budgétaire, d’un montant de 250 000 $. Cette loi marque les débuts de l’engagement du gouvernement fédéral dans le sport. Elle fût abrogée en 1955. (début de l’engagement fédérale) 1947 : - Publication d’un code pour éviter les accidents de ski par la Ligue de la sécurité de la province de Québec. Les accidents se multiplient à un rythme inquiétant en raison des personnes qui recherchent une trop grande vitesse, alors que leurs habilités techniques ne sont pas su isantes. Peu ou pas de formation pour aider les gens avec des spécialistes pour aider tout le monde. (provincial) 1955 - Déroulement de l’un des événements les plus marquants de l’histoire du sport québécois : l’émeute Maurice-Richard. Le sport est fort, rend dans la politique. Point du sport dans l’univers politique, social et économique. 1960-1975 : 30 glorieuses, regain économique qui en suivit les 2 guerres mondiales. Économie relancer. Au travers de l’état providence (le gvt relance l’économie et est partout, ici au travers de programmes sportifs) Durant l’apogée de l’État-providence canadien, entre le début des années 1960 et le milieu des années 1970, l’État multiplie ses interventions. Au niveau fédéral, on assiste à l’adoption de la Loi sur la santé et le sport amateur et au lancement de programmes de soutien financier et technique au milieu sportif national. Tout comme au fédéral, les années 1960 à 1980 sont des années d’expansion des outils d’intervention de l’État québécois, sous la forme, entre autres, d’un soutien financier croissant aux associations de sport et de loisir provinciales. Jean Harvey et Lucie Thibault – La culture du sport au Québec Au fédéral, on s’inspire des USA et au Royaume-Uni, et on calque les logiques. Au Québec on regarde plus le modèle français. 1961; - Adoption de la Loi fédérale favorisant la santé et la pratique du sport amateur (Loi C- 131). Un budget annuel de 5 millions est prévu afin d’améliorer la santé des Canadiens et d’augmenter le nombre et la performance des athlètes qui nous représentent lors de grands jeux internationaux. 1964 - Création d’un Service des loisirs et des sports par le ministère de l’Éducation du Québec. - Refonte de la Loi québécoise des cités et des villes. Désormais, les municipalités ont le mandat d’agir comme premier corps public de référence dans l’organisation du loisir et du sport. 1967 : - Présentation à Québec des premiers Jeux du Canada à l’occasion du centenaire du Canada. Les Jeux se sont déroulés à nouveau au Québec, dans la région de Chicoutimi - Saguenay Lac Saint-Jean, en 1983. 1968 - Fondation du Haut-Commissariat à la Jeunesse, aux Loisirs et aux Sports (HCJLS). - Fondation, par des éducateurs physiques, de la Fédération du sport scolaire du Québec (FSSQ). 1975 à 1993 : retrait de $ et des programmes. On demande l’autofinancement aux fédérations sportives. Pu de rentabilité donc on veut qu’ils se prennent en main. Libération du sport, les plus visible, les plus fort, ont le plus d’argent du fédéral prôner durant cette période. Pour s’autofinancer, il faut se fier aux sports de compétitions pour aller chercher des athlètes de haut niveau pour avoir des commanditaires. Nationaliste québécois : indépendance québécoise pour renforcer l’identité québécois par le sport entre autres. 1993 à aujourd’hui : distinction du sport de masse (découverte, récréation, initiation) VS le sport de compétition (performance, athlète, régional, provincial, international). Di érence marquée entre les deux mais se nourrissent. Retrait financier de l’état. Mais, ils créent des programmes spécifiques pour le sport et les activités physiques. Les acteurs clé; sport canada et Québec = sport, loisir et activité physique. Centralisation : une organisation en place qui donne l’argent et les gens/ fédé appliques. Les provinces ont le pouvoir et la responsabilité. Vision dichotomique : sport libéral et globalisé ou le sport de compétition est central, a irmation géopolitique, course aux médailles. Argents reçus selon les médailles. Espérance de vie moins grande que nos parents : sédentarité, obésité, … Plus la population est en santé, moins y’a de monde dans les hôpitaux = $$ économie Faire bouger les jeunes jusqu’aux ainées. LE SPORT CEST POUR LA VIE a irmation depuis les années 90. Québec en forme; ado et enfant avant servait à ço Remis en question comme sport national? Mais emblématique en tout cas. Hockey vient de l’écosse, c,était sur gazon (britannique) Lac et rivières gelé desfois ressemvble au hockey 1937 : a irmation et premiers jeux. L’Université de MCGill sont les premiers à jouer et créer une ligue. La Gazette est le premier journal est le premier a di usé, et parler des règles Contexte anglophone et britannique Le hockey bouscule la cross Lord stanley : gouverneur général de la canada donne la première fois un trophée (coupe) Sport qui se di use à l’échelle nationale dans les pays nordique et se di use grâce à la ligue professionnelle. L’aura du hockey est créée grâce à une ligue nationale. Toutefois un sport questionné et remis en question à cause :  - Le climat : accessibilité des coûts/frais des aménagements et équipements pour le pratiquer. C’est cher et les changements climatiques (on joue moins dehors). Grande limite en accessibilité. Freine l’expansion et la pratique. - Cette histoire contemporaine nous expose un sport de plus en plus complexe dans lequel l’éthique en sport est centrale - Impacts de la motion de l’Assemblée nationale de 2018 sur le système sportif québécois ÉTHIQUE AU SPORT = éthique appliquée Cerné le problème et mettre en place des actions pour le régler. Une éthique proche du terrain. - Scandale : violences à caractère sexuelle - Respect de l,adversaire - Discrimination – certaines populations marginalisées - Tricherie et dopage - Racisme - Comportements déviants des entraineurs - Violence envers les arbitres (les o iciels), téléspectateurs. Les deux - Le fair play Deux dates à retenir : 2006 : acteurs du sports fédérés qui se penchent sur les actions violentes dans le sport. Il faut agir et sensibiliser les sportifs et les acteurs autour. 2018 : l’assemblée nationale du Québec crée une loi pour contrer tous les types de violences dans le sport. Sensibiliser et sanctionner dans le système sportif. Organiser et légiférer. Pourquoi 2018 : les scandales éclatent et la violence augmente, Hooliganisme appelé les ultras (qui sont ultraviolent): créer du danger dans des centres sportifs, danger, regroupement de supporteur de droites, europe de l’ouest Au Québec et au Canada, ce sont des violences moins grandes, mais présentes, entre spectateurs dans les estrades, les joueurs, … Agressions psychologiques, physiques, émotionnelles, sexuelles, … tous types de violences sont interdites et punies au besoin. Ces types de violences apparaissent dans toutes les sphères des pratiques (moins découverte) Ex : un jeune qui pratique un sport études au secondaire. L’implication est plus importante. Le sacrifice de la famille est là. Ses études et son implication sportif sont égales. S’il vit des violences, il peut quitter le sport de manière amer (jamais refaire de sport) et même l’école peut-être. https://www.education.gouv.qc.ca/organismes-de-loisir-et-de-sport/securite-integrite-et- ethique lien pertinent Sport’aide : ligne d’écoute pour toutes personnes vivantes de la violence de le milieux sportifs Sport bien-être : plateforme mis en place par le gvt pour des guides et outils, pour mieux gérer le sport, éthique et BIEN ÊTRE, environnement saine et adéquat. Les deux politiques : protection de l’intégrité (mécaniques de gestion des plaintes) Vérification des antécédents judiciaires : côtoyer des jeunes, vérifier et filtrer les gens (administrateur, bénévole, employé, …). Les organisations locaux et organismes n’ont pas l’$ ou les moyens d’appliqué cette politique. Ajustement à faire Sensibilisation et formation : les fédérations sont obliger de sensibiliser et former les personnes qui gravitent dans le sport. Les formations sont identiques d’une fédération a une autre, elle sont basé sur un modèle du ministère C’est à 3R. CENTRAL LOI : sécurité et sensibilisation COURS 4 Le système sportif fédéré canadien - Sélection athlètes olympiques - Sport universitaire pancanadien - Équipe canada – national - Financement gouvernemental – infrastructures - Entrainement Sport qui a un impact sur l’ensemble du pays Le sport, un enjeu central de l’unité canadienne Une histoire sportive teintée par di érents mouvements, et des actions s’intégrant dans des sphères de pratique sportive spécifiques. Américain = financement Britannique= encadrement 1.Initiation récréation VS 2.compétition 1. Santé, vie active, création de programmes nombreux 2. Haut niveau et très au niveau pour renforcer la fierté collective canadienne. #wow échelle fédéral, moins provincial 2015 : unité canadienne Quelques données à connaître Il faut toutefois garder en tête que le sport, l’éducation et la santé demeurent des compétences provinciales. Ceci conduit à des relations spécifiques entre les paliers fédéraux, provinciaux et locaux. - 5 et 6 millions par fédérations ou club sportifs canadiens - 60 fédérations canadiennes de sports et plus - Entre 200 et 300 milions de $ CAN pour soutenir les programmes par fédérations - Ils soutiennent l’initiation et la compétition - Hockey et soccer = #1 pratiqué au canada - Le local (mrc, club locaux, …) dépend des provinciaux mais pas fédéraux - Le palier fédérale choisit les athlètes et les compétition. - Mais les sports reliés à la récréation (initiation, découverte) gérer par le provoncial. Le fédéral suit, peut commenter mais peu.  Un peu plus du quart des répondants (26 %) ont fait du sport au cours des 12 derniers mois. La plupart d’entre eux étaient des joueurs (85 %). Le soccer (19 %), le hockey sur glace (15 %) et le basketball (15 %) étaient les trois sports les plus pratiqués au cours de l’année écoulée. La plupart des répondants pratiquent leur sport au moins une fois par semaine (80 %). Moins de la moitié des répondants qui avaient fait du sport au cours des 12 derniers mois (46 %) ont mentionné que leurs sports étaient principalement pratiqués dans un environnement structuré ou organisé (p. ex. installations privées, club sportif, activités sportives communautaires). Près de la moitié des répondants qui avaient fait du sport au cours des 12 derniers mois (49 %) se sont entraînés et ont participé à des compétitions sportives, principalement au niveau local ou communautaire (80 %), tandis que 31% avaient un entraîneur pour leurs sports. Environ deux tiers des répondants estiment que le sport et l’activité physique sont sécuritaires (65 %) ou équitables, respectueux et éthiques (62 %), et plus de la moitié les trouvent disponibles (57 %), accueillants et inclusifs (54 %). Par ailleurs, 42% les trouvent pratiques ou accessibles, et 35% les trouvent abordables. Les raisons les plus fréquentes de vouloir être actif au cours des six prochains mois sont la perte de poids ou le maintien d’un poids santé (26 %), le maintien des capacités fonctionnelles avec l’âge (22 %), en particulier chez les plus de 55 ans (41 %), et le maintien de la forme et le développement de la force musculaire (19 %). Le manque de temps libre est le principal obstacle à la participation à l’activité physique ou au sport (22 %), suivi des problèmes de santé et des limitations physiques (18 %) et du manque de motivation ou de volonté (13 %). SPORT CANADA « Sport Canada o re un leadership et du financement pour maintenir un système sportif national robuste qui permet aux Canadiens de passer des premières expériences sportives à l'excellence dans le sport de haut niveau. » (Sport Canada, 2025) Il est rattaché à patrimoine Canada (IMPORTANT) – donc cela ne prend pas en compte la santé. Dans l’organigramme il ne peut pas agir sous toutes les facettes du sports puisqu’il est lié à patrimoine Canada. La situation particulière est que le gouvernement fédéral supporte le sport via les subventions mais c’est gérer par le provincial. Site important : https://sirc.ca/fr/sport-canadien-101/ - La définition est importante Comment le sport est-il fiancé au Canada? Le sport au Canada est financé par une combinaison d’aide gouvernementale, de parrainage d’entreprise, de frais de participation et d’autres sources. Voici une ventilation simplifiée :  Financement gouvernemental : Le ministère du Patrimoine canadien finance les programmes sportifs nationaux et les athlètes. Le Programme d’aide aux athlètes o re un soutien financier direct aux meilleurs athlètes, tandis que le programme À nous le podium cible les sports à fort potentiel de médailles. Les gouvernements provinciaux et municipaux investissent également dans les installations et les programmes sportifs locaux. En savoir plus.  Le parrainage d’entreprise (commanditaires) : Des sociétés telles que RBC, Bell et Tim Hortons parrainent des athlètes, des équipes et des événements majeurs, contribuant ainsi au soutien financier du sport de haut niveau. Problématique : intérêt mercantille puisqu’ils choisissent des sports qui ressemblent à leur public cible. L’investissement est moins neutre que ceux du gvt.  Organisations à but non lucratif : Des fondations comme KidSport, MLSE et Bon départ o rent une aide financière pour aider les enfants de familles à faible revenu à faire du sport. D’autres organisations soutiennent le développement des athlètes et les programmes communautaires.  Cotisations et frais de participation : Au niveau local, les sports sont souvent financés par les cotisations des participant.e.s, qui couvrent les coûts de l’entraînement, de l’équipement et des installations.  Revenus d’événements : Les grandes manifestations sportives, comme les Jeux du Canada, génèrent des revenus grâce à la vente de billets, au parrainage et aux droits médiatiques. Ces événements peuvent également permettre de financer de nouvelles infrastructures sportives. Ce système à multiples facettes contribue à soutenir le sport à tous les niveaux, des programmes communautaires aux compétitions internationales d’élite. Comment le sport est-il organisé au Canada? Niveau national  Sport Canada : Gère les politiques et le financement du sport au niveau national.  Organismes nationaux de sport (ONS) : Régissent les sports individuels (par exemple, Hockey Canada).  Organisations multisports (OMS) : Voici quelques exemples : o Cercle sportif autochtone (CSA) : Se concentre sur le sport autochtone. o CCES et CRDSC : Supervisent l’éthique, la lutte contre le dopage et la résolution des di érends. o Association canadienne des entraîneurs (ACE) : Gère la formation des entraîneurs. o Centre de documentation pour le sport (SIRC) : Fournit des informations sur le sport. o Le sport c’est pour la vie : Favorise le développement à long terme de l’athlète. Événements multisports  Comité olympique canadien (COC) : Gère la participation aux Jeux olympiques, ainsi qu’aux Jeux panaméricains et aux Jeux olympiques de la jeunesse.  Comité paralympique canadien (CPC) : Gère la participation aux Jeux paralympiques et aux Jeux panaméricains.  Jeux du Canada, Jeux olympiques spéciaux, Jeux autochtones de l’Amérique du Nord (JAAN). Sport de haut niveau  À nous le podium : Établir des priorités et déterminer des stratégies d’investissement pour les organismes nationaux de sport.  RISOPC : Réseau de sept centres d’entraînement de haute performance soutenant l’entraînement, la science du sport, les services médicaux et le développement des athlètes. Le paysage sportif canadien Page importante : https://sirc.ca/fr/sport-canadien-101/le-paysage-sportif-canadien/ Le paysage sportif canadien fonctionne aux niveaux national, provincial/territorial et communautaire. Bien que chaque organisme ait un mandat et des activités qui lui sont propres, tous les organismes de sport au Canada sont guidés par la Politique canadienne du sport, qui promeut la pratique du sport pour tous au Canada. Organismes nationaux de sport Les organismes nationaux de sport (ONS) sont les instances dirigeantes nationales d’un sport donné au Canada. En plus de régir la pratique du sport au Canada, les ONS sont chargés de gérer les programmes nationaux de haut niveau, de sanctionner les compétitions de niveau national, d’assurer le développement professionnel des entraîneurs et des officiels de leur sport et de rechercher des occasions d’accueillir des compétitions internationales au Canada. Organismes nationaux de services multisports Les organismes de services multisports (OSM) dirigent ou coordonnent la prestation de services spécifiques à la communauté sportive nationale, y compris des services liés à la promotion de la participation sportive, à l’entraînement, au sport dans les établissements postsecondaires, à la participation des groupes mal desservis, et plus encore. Le SIRC est l’un des OSM nationaux. Réseau de l'Institut canadien du sport olympique et paralympique Le réseau des instituts canadiens du sport olympique et paralympique (COPSIN) est un réseau collaboratif de sept centres d’entraînement de haute performance à travers le Canada, conçu pour fournir aux athlètes d’élite les ressources, les installations et l’expertise nécessaires pour exceller sur la scène mondiale. Ils offrent un soutien complet comprenant l’entraînement, les sciences du sport, les services médicaux et les programmes de développement des athlètes. Les politiques : - Les politiques commencent en 2002. Le dopage 1983. Poliitique pour les personnes ayant un handicap 2006. Principaux programmes : - Le programme d’acceuil, soutien aux fédérations canadiennes et multisport. - Soutien au sport national. - Programme d’aide aux athlètes et de récompenses Les di érentes échelles : - Géopolitique : fierté collective, financement des équipes canadiennes, utiliser le sport pour a irmer l’identité canadienne dans le pays et à l’international, avoir des médailles - Politique/sociopolitique : fierté national, cohésion sociale, côtoyer et créer des liens. Multiculturalisme canadien. - Géographique : développement de communautés au travers de programmes. Faire des compétitions sportives dans des municipalités plus petites, pour améliorer les infrastructures de la ville. - Santé : promouvoir les saines habitudes de vie. Promotion de la santé par le sport et les activités physiques - Éducative : utiliser le sport comme valeur éducative et bienfaits pour le jeunes. Persévérance scolaire Équité, Diversité et Inclusion dans le sport (EDI) « Pour faire progresser l’EDI dans le sport, Sport Canada soutient la recherche, collabore avec les intervenants et o re des possibilités de financement destiné à promouvoir l’équité, à accroître la diversité et à améliorer l’inclusion » (Sport Canada, 2025) Des actions surtout centrées vers les femmes, les populations autochtones, les personnes en situation de handicap, les individus racisés et les minorités de genre. Les femmes : - 2018; sport canada finance un groupe de travail sur l’égalité dans les sports : réfléchir à l’équité des genres, prodiguer des conseils, pour renforcer la participation des femmes et des filles dans le sport - Octobre 2022 : volonté d’agir sur une volonté de l’équité des genres dans le sport. 25,3 miliards dans le sport. On veut augmenter la quantité de femmes athlètes, arbitraires, entraineuse et de dirigeante. Augmenter les femmes dans les activités sportives (libres ou organisées). Augmenter les données sur ceci pour voir si ça fonctionne. Augmenter les activités des groupes minoritaires (linguistiques, …). - Politique et filles actives : émerge suite à 2022 - Et autres. Les autochtones : - 2002 : volonté fédérale et avec les provinces : dans les communautés. - 2005 : naissance de la politique de la participation autochtone, politique encore en vigueur. Renforcer les 4 sphères de participation sportive dans la pratique sportive et spirituelle (holistique) - 2005 à fin 2010 : y’a rien qui se passe de nouveau - Fin 2010 : scandale de maltraitance sur les enfants dans les passionnants. Ségrégation et discrimination dans des communautés et dans les MRC. - Commission de conciliation : reconnaitre l’apport des 1ères nations dans le sport. Bougie d’allumage, on se rend compte de plusieurs choses et cela fait naître plusieurs réflexions - 2019 : investissement de 10 millions de $, pour investir dans le sport comme agent social et communautaire dans les communautés. Acteur clé = sport - CSA (cercle sport autochtone) : subventions et donne accès Minorité de genre - Organisme sur le bien-être dans le sport - Secritariat générale contre la lutte contre le rascisme  - Changer les mentalités. - Retenir : face à une volonté avouée avec des subventions mid dans le rendre le plus inclusif possible - Scandale de hockey Canada : système étatique, choses cachées, … gros bout de chemin à faire vers la sensibilisation et à la structure même. On voit le sport comme masculin. Pas cool pour les minorités. UNE NOUVELLE POLITIQUE CANADIENNE DU SPORT À VENIR Ne pas penser le sport comme un jeu directement relié à la compétition – si on fait cela, bcp de gens vont abandonner. Cela va amener de la marginalisation, sédentarisation et décrochage. On va agir sur le sport et les activités physique si on veut qu’il soit dans le quotidien des individus, les o res de ceux-ci doivent être présents : - Zones - Espaces de plaisir - Expérience - Épanouissement - Si compétition, on veut environnements sains et inclusifs. Seulement 0,0001% deviennent des professionnels dans les sports = les municipalités doivent o rir des plateaux sportifs. Le plus de sport possible pour rejoindre les gens (près d’eux). Mise à la disposition de salle sportive, accommodé les employés pour leurs heures de travail, des douches pour les employés, … Littératie physique : pratiquer le sport de manière saine tout le long de notre vie. B MOL : ¤ on mise beaucoup sur les environnements sains dans la compétition. ¤ On finance les meilleurs (athlètes) ¤ Au bout de la ligne y’a des gagnants et des perdants. ¤ Pression sur les sportifs ¤ Compétition mal saine ¤ Biaiser – éléphant dans la pièce ¤ Conditions et zones, climats négatifs car c’est au cœur même de la compétition ¤ Les meilleures s’enrichissent, les pauvres meurent Le futur du sport au Canada passe notamment par … Les organismes nationaux de sport, les organismes nationaux de services multisports et les centres et instituts canadiens de sport. Plusieurs sont à connaître https://www.canada.ca/fr/patrimoine-canadien/services/organismes-sportifs/nationaux- services-multisports.html à connaître : USPORT, participat’action, conseil du jeux du canada(relève, élite, événement phare, délégation à l’échelle provincial, … Dans ce contexte, quelques éléments sur le rôle et les actions des fédérations canadiennes de sport à savoir. COURS 5 LE SYSTÈME SPORTIF FÉDÉRÉ QUÉBÉCOIS Quelques dates clés : 2017 : politique Québec on bouge Année 60-70 On voit les subventions et les fédérations, programmes émergés. - 1976 : jeux d’été olympique de Montréal. De là, nait des passions Création de plateaux sportifs pour le sport de masse au Québec. La population les utilise après. - 1979 : dépôt du livre Blanc sur l’activité physique, le sport et le loisir. - 1984 : politique québécoise développement de l’expérience sportive - 1987 : la politique du sport au Québec. On pose les jalons, le sport doit s’intégrer aux sphères de la vie (quotidien) - 1997 : nouveau jalon de l’organisation dans le sport : cadre d’intervention gouvernemental en matière de loisir et de sport au Québec (sécurité dans le sport en exemple) - 2000 : plan d’action émane du ministère en matière de loisir et de sport, activité physique. Contrer l’obésité - 2017 : politique de l’activité physique, sport et loisir : Québec on bouge. - UNE GRANDE DIVERSITÉ D’ORGANISATION Le sport est organisé et o ert de manière hiérarchie, syr chaque échelon, on a beaucoup d’acteurs. Des gens et des groupes. Le système sportif québécois est énorme, enjeu de gouvernance, enjeu de structure, le récréologue est au cœur de la gestion. Un acteur – ministère = acteur clé en terme du provoncial RESPONSABILITIÉS ET RÔLES DE CHACUN LE PALIER PROVINCIAL, UN ACTEUR CENTRAL. - Bleu : gérer par le ministre de la culture - En orange : gérer par le ministre responsable. Isabelle Charest  Trois directions en orange = rôle clé : 1. Sport, loisir, activité physique et plein air 2. Infrastructure, équipement et gestion financière 3. Sécurité dans loisir et sport 1. Reconnaissance des fédérations québécoises, soutient à l,activité physique, initiation et découverte, évalue ce qui vient du ministère, soutient technique de formation. O re et gère le soutien financier dans le sport du québec. Pas ou peu de recherche 2. Rôle de comptable, vérifier $, lien direct avec le conseil du trésor pour les activités physiques et plein air. Programme pour les organisations d’événements pour donner des subventions. 3. S,attarde à la question de la sécurité des joueurs, mais toutes les gens autour, basé à trois-rivières. Élaboration de guide des fédérations (casque, risque, …) recherches universitaires. Fais des conférence (webinair). QUELLE VISION DU SPORT? Les 3 sphères s’alimentent. Vise 4 éléments : 1. Bénéfices individuels Plus on intègre tôt dans la vie des gens le sport, plus il le garde toute la vie. En leur apportant des bienfaits physiques, mentales, … Tout en enlevant de la pression sur le système de santé, car plus les gens sont en santé moins ils vont dans les hôpitaux. Les valeurs positives du sports 2. Bénéfices collectifs Encrer dans le social. Système de santé, argent mis ailleurs. Environnement plus sain socialement, baisse de la délinquance, baisse de consommation … saine habitude de vie. Motivation de les garder à l’école pour certains jeunes. Le sport appartient à tout le monde, tout le monde doit s’impliquer. Les petits gestes comptent. Ex : pas d’arbitre, pas de match. (être poli partout, en tout temps). 3. Di érences individuelles pour développer le talent sportif Comment détecté les individus meilleurs (futurs athlètes), mais ce n’est pas sain de… les maintenir dans le système sportif. Comprendre que ce n’est pas tous au JO. Encadrer l’après carrière. 4. Langage commun du sport/ de l’activité physique / loisir /plein air Ne pas travailler en silo. Collaboration entre organisation. Partager les savoirs. Balises pour l’examen de mi-session du 17 février 2025 de 8h30 à 10h00 en classe L’examen sera constitué de 4 questions à développement. Vous devrez en choisir 2 puis répondre à chacune (1 à 2 pages pour chaque question). Les notes ne sont pas permises. La matière à réviser est celle dispensée depuis le début de la session incluant les lectures obligatoires. Exemple de question : Pourquoi il est important selon vous pour un ou une récréologue de connaître la structure et l’organisation du sport fédéré au Canada ? Veuillez appuyer vos propos par deux exemples concrets. Réponse : outillé par des principes comme EDI. Ou encore si on travaille dans l’un des piliers fédéraux. On donne des comptes à qui selon notre échelon. Je communique avec qui et comment. Réflexion transversale : comment une thématique se reflète sur un.e récréologue ? On peut prendre les divers exemples. Orthographes non évaluées. Mais la structure oui. 1h30 Questions jusqu’à vendredi 16h. Pas de questions précises sur une politique. CADRE LÉGISLATIF DU SPORT AU QUÉBEC - Loi sur le ministère de l’éducation du Québec. Promotion des valeurs du sport, - Loi sur développement durable - Au Québec, on bouge - Avis sur l’éthique en loisir et sport - Loi sur la sécurité dans les sports Fonctionnement sain et inclusif, adapté dans le sport  - Document de référence du développement du talent sportif Balisé comment repéré et aidé les potentiels dans le sport compétitif dans les sphères de haut niveau. Dans ce contexte, plusieurs programmes reliés notamment au sport, à l’activité physique et au mode de vie physiquement actif à connaître … Certains programmes détaillés : - Pour le développement du sport et activité physique – cadre libre - Reconnaissance des fédérations - Soutient aux inititations de la sécurité - Aides financières aux projets structurants le sport, le loisir et l’activité physique, bouger au travail (douche) -