Histoire Française - PDF
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Ce document traite de l'histoire de la France, en se concentrant sur la période révolutionnaire et l'Empire napoléonien. Il explique comment ces événements ont eu un impact sur la littérature française, notamment sur l'émergence du romantisme et du réalisme.
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HISTOIRE FRANÇAISE - dans l’histoire française il y a une fracture→les années révolutionnaires 1789-99 - au début du 19eme siecle =epoque napoléonienne - empire napoléonienne 1799-1815 - demi-siècle très ric...
HISTOIRE FRANÇAISE - dans l’histoire française il y a une fracture→les années révolutionnaires 1789-99 - au début du 19eme siecle =epoque napoléonienne - empire napoléonienne 1799-1815 - demi-siècle très riche en bouleversement - ANCIEN RÉGIME désigne le système politique d'avant la révolution de 1789 - tout ce qui précède on appelle ancien régime - NAPOLÉON a restauré un régime totalitaire - ses adversaires disait qu'il était un régime despotique - napoléon est le produit de la révolution - il n’est pas un roi moment révolutionnaire et moment empire napoléonienne = demi-siècle →si dice che napoleone ha tradito la rivoluzione e ha instaurato l'impero (nel 1797 repubblica cisalpina —> napoleone prende il potere e istituisce una monarchia) - tutta l’europa era contro questa repubblica - periodo estremamente difficile per la francia - continuo succedersi di fazioni (giacobini, girondini) che cercavano di far andare avanti il paese - francia=modello di libertà per tutto il mondo però instabile al proprio interno - con napoleone si afferma una fazione in grado di dare stabilità alla francia - ha progressivamente preso tutto il potere e ha garantito alla francia(nel momento in cui si proclamò re) la stabilità interna, pace, ordine e prestigio all’estero - nel proclamare questo impero ha dissolto questa idea di libertà → potere centralizzato, controllo totale(è totalitario) ma questo potere non era paragonabile all’ancien regime perché napoleone ha espresso valori più tradizionali - non era un nobile, era un signor nessuno —>il suo impero è comunque espressione della classe della borghesia - questo rovesciamento non tradisce la rivoluzione, semplicemente dà alla borghesia nuovi strumenti per esprimersi - crea una nuova classe di amministratori, ingegneri, che non sono più figli dell’aristocrazia antica, ma erano borghesi –>crea nuova classe dirigente borghese - cambia mentalità politica, poco importava che ci fosse un sistema totalitario -tornano i borboni e riprendono il potere per restaurare l’ancien régime, ma non ci si riesce→rivoluzione che ridà alla borghesia potere che aveva conquistato con napoleone —>tous ces changements produit fracture historique (période révolutionnaire, prise de la bastille) → comporte un changement radicale dans la littérature, marqué(à partir des années 1820) par l’affirmation du ROMANTISME(existe déjà en angleterre) article “romanticismo e realismo” - 2 mouvements en générale considère en opposition(réalisme = réaction contre romantisme) - en france romantisme 1820(‘30 apogee) →suivi par le roman RÉALISTE(deviendra naturaliste) —>mais le 2 mouvements naissent au même moment (précisément le romantisme un peu plus tôt) - [chez balzac il y a la présence des éléments romantiques(personnages) et un style, des aspects, réalistes] - réalisme et romantisme sont 2 manières de réagir à une même idée → ils ont le même but : cette idée de littérature contre laquelle ils réagissent serait la littérature classique, l'idée classique de littérature( âge classique=17eme et 18eme siecle, apres la renaissance) = coïncide avec l’ancien régime (absolutisme) →proprio quella contro cui ha reagito tutta la fase rivoluzionaria - réagissent à cette conception de la littérature - Gli autori classici per i francesi sono corneille.. - la littérature classique est rhétorique=système des règles, lois, considérer la littérature comme quelque chose de réglé —>le romantisme réagit à ces règles - théatre, poésie..= formes pour réagir - préface de CROMWELL, 1827= drame historique de victor hugo - dans la préface → figure de manifeste du romantisme - dans la préface hugo conteste tous les aspects, c’est une critique détaillé de tous les aspects de la littérature classique précédent, dei secoli precedenti - hugo sente queste regole come dei vincoli - reagisce al carattere convenzionale - le RÉALISME utilise d’autre moyens pour réagir —> littérature classique : idées que les différents genres sont séparés, chaque genre à son propre objet - tragédie - toujours d’abord la présentation de personnages(prince, roi..) - réactions qui peuvent être violent - finales funestes (toujours des morts) - langage haut, épuré, forbito - exemple EDIPO - tragico sinonimo di alto(non per forza deve morire qualcuno, ma il tono deve essere necessariamente alto) - comédie - histoires plus banales, quotidiens - finales heureuses - storie indegne di essere trattate a livello tragico - exemple MOLIÈRE - comico sinonimo di basso(è necessaria l’idea che sia basso, non per forza fa ridere) —>questa divisione è messa in discussione : la vie est quelque chose qui embrasse tout, une représentation fidèle de la vie présente tous les aspects bas et hauts - pour joindre tous ces niveaux →ROMAN = genre qui embrasse tous les sujets -exemple : MADAME BOVARY = sujet comique(basso, non fa ridere ma sempre giocato sull’ironia, sono tutti stupidi) ma la storia è tragica(lei muore davvero) - tutto fuso nella stessa opera - ce mélange était inconcevable en classique - flaubert dice che i diversi aspetti si possono mescolare ma utilizzando il genere giusto→mais il transgresse la loi principale classique - hugo d’altra parte fonde nel romanzo l’epico, l’epopea - romanticismo e realismo sono contemporanei ma reagiscono in maniera differente ai contraintes —>17-18ème siècle changement de la manière de penser la littérature - discours réglé, discours conventionnelle >> représenter la vie dans sa totalité → le RÉALISME présente les aspects plus désagréable, rude → le ROMANTISME présente les aspects plus idéalisés - hugo e flaubert scrivono entrambi un racconto su una prostituta, ma in maniera diversa(flaubert visione cruda, hugo visione idealizzata) - la differenza tra i movimenti può essere considerata una differenza di punto di vista ma non di obiettivo —>differenza tra 700-800 : andiamo a leggere due tipi di romanzi diversi scritti con logiche diverse, presentare testi che non sono scritti con lo stesso criterio BOILEAU(1636-1711) - BOILEAU da giovane era un tipo velenoso, cinico, scriveva EPIGRAMMI(battuta breve maligna e crudele su una persona in particolare) offensivi ma secondo la tradizione greca, lui era cattivissimo(tanti nemici) ma scriveva nella forma più conforme alle regole - dopo essere diventato conosciuto si calma diventando legislatore del Parnasse - 1660: moment où le roi considéré mineur → LUIGI XIV aveva ereditato il trono a soli 5 anni, non potendo governare ci sono i REGENTES, intanto che lui raggiunga la maggiore età→ il commence à régner plus tard - littérature française protégé par ce jeune roi→PHASE LA PLUS HEUREUSE, RICHE 1660-80 —>cette phase représente l'âge classique(avec l’expression “âge classique” on entend une longue période, mais en réalité les années 60-80 sono il fulcro) (ex. molière..) - BOILEAU est un des représentant de l'âge classique >LA POÉTIQUE, 1674 - texte célèbre - ha elaborato e stabilito i principi del classicismo(comment ecrire, comment juger un texte..), lui non è l’inventore, lui sintetizza tutto e riassume - il lui donne une forme de petit poème, en vers - texte scolaire que le monde apprenne par coeur (surtout au 17eme siecle)→generazioni di studenti l’hanno imparato a memoria perché testo breve, sintetico e facile da imparare(era un’usanza imparare a memoria i poemi) - tous les principes fixés en ALEXANDRIN(12 versi) - ce texte a survécu au 17eme siècle, est arrivé au 19eme siècle, il est encore lu et apprécié, il est encore un modèle, du point de vue historique est très important - la poétique était une véritable législation AVANT, Boileau avait était ÉCRIVAIN DE SATIRES - même quando il était écrivant de satires il avait déjà une idée de la poésie qui était classique,modèle d'écriture classique ou rhétorique → construit sur règles, lois, tirée du modèle des ANCIENS, grecs et latins - il lisait les anciens DANS les texte=assez rare - grandi autori di satire latine: juvenal, orazio, persio, marziale→ils lui donne l’exemple >TESTO: SATIRE VI pag. 4 - présentation satirique de paris →exemple d'écriture qui suppose séparation de genres et styles→il écrit une satire=genre codifié, genre de poésie, mineur par rapport au poesie epique(des objets différents : épique parle des héros, histoires terribles.. ; forcément la satire a des sujets plus bas) - sottotitolo: LES EMBARRAS DE PARIS=gli inconvenienti, gli aspetti negativi di parigi→présentation des aspects négative, une description des lieux de paris sous une lumière négative - règles satiriques (non è un codice scritto, c’est nous en lisant différents textes, qui devons en tirer les règles, comprendre) - genre mineur → non è un giudizio sulle opere, è il genere che comporta temi più mondani, personaggi più modesti, linguaggio e stile mediocri(medio, mediano, diversa da quella di tutti i giorni) - non vuol dire che prendeva il genere della satira sottogamba, ma è il genere adottato che è basso, non vuol dire che è cosa da poco - sujets plus familiers - anche i generi più bassi(come la satira) assumevano forme regolari, codificate - genre qui permettrait une certaine liberté mais toujours réglé→non è lui che decide di scrivere in maniera familiare, è che il genere lo impone - il a toujours devant ses yeux un modèle → il s’agit d’IMITER (au 17éme siècle il y a le principe d’imitation) - pas imitation réaliste, mais il s'agissait de l’imitation des anciens, pas l’imitation directe → imitation à travers des modèles - suivre, adopter un modèle que nous a déjà donné une représentation parfaite de la nature - il classicismo imita autori antichi perché ci offrono nelle loro opere una rappresentazione perfetta della natura/realtà = imitare antichi significa imitare la realtà - non è plagio, è una emulazione→ sono dei modelli, facciamo come loro - questi autori hanno colto la natura di tutto, dell’uomo, delle passioni, è inutile che noi cerchiamo soluzioni diverse, ci hanno già spianato la strada, noi dovremmo continuare questo modello ≠ pour nous c’est l’originalité des poètes qu'aujourd’hui conte -les auteurs réalistes refusent la poesia dell’io(la poesia lirica parla dell’io, il soggetto, lo scrittore prende la parola e parla) —>mais l’auteur réaliste toujours recherché la réalité, les aspects, la réalité extérieure -l’auteur classique n’est pas intéressé à la réalité particulière, individuelle→il parle de quelque chose d’UNIVERSELLE -quando gli scrittori romantici scrivono, parlano di sé stessi, romanzi dell’io, mettono in evidenza l’esperienza dell'individuo -gli autori realisti fanno più o meno la stessa cosa(MADAME BOVARY), ma l’autore realista vuole descrivere quell’ambiente, quella casa, i vestiti ecc perché è il personaggio particolare, individuale che deve essere colto →ORIGINALITÀ = quanto più uno scrittore coglieva particolari di allora, era più originale e quindi più bravo ≠ les auteurs classiques visent l’universelle, une nature universelle(Molière écrit de L’AVARE→AVARICE comme une idée générale) →à partir de cette idée on peut imiter l’auteur classique qui l’avaient déjà mis en scène → si imitano i classici ma si può variare all’infinito, ovviamente conformandoli al proprio gusto e stile >>DAL TESTO: - parle de la ville - il part de l'expérience personnelle, mais en réalité en écrivant ce texte il reprend des textes qui existait déjà comme juvénal (vv.31) - c’est l’habitant de paris qui parle, il commence décrivant son réveille[ovunque io vada bisogna fendere la folla di un popolo di seccatori(les importuns→gente che ci infastidisce, non nel senso che ci vuole seccare intenzionalmente, ma la loro presenza ci infastidisce) che formicola incessantemente] - uno mi urta con un’asse da cui vengo tutto stropicciato - con passo lugubre e lento va verso la chiesa - non vuole dare un'immagine realistica, non vuole proprio dare un'immagine, vuole trasmettere un’idea - l’attitude satirique comporte toujours une attitude moraliste, il dénonce, il montre les aspects - dans l’image de la rue il y a une idée “d’entasser” tirée souvent de juvénal parce qu’il parle de carrosse mais noi non vediamo le carrozze, che tipo di carrozze sono(se in stile con le molle, in stile luigi 14, o i carri dei romani….) - è un generico modo per dire che provoca un danno alla carrozza, ma noi non vediamo l’immagine, è solo l’IDEA, non ce lo sta descrivendo - lascia tutto al lettore(evidentemente il lettore di boileau sapeva esattamente di cosa stava parlando, viveva nella parigi di boileau) - non sta descrivendo la realtà particolare, sta parlando di un’idea generale di una città e i tutti possibili inconvenienti MONTESQUIEU (1689-1755) - auteur célèbre - un des grands auteurs du siècle des lumières - DE L’ESPRIT DES LOIS - opera del 48 - si interessa alle leggi (il était président de parlements→vedi dopo) - parla di tutto(storia, politica, economia..) - testo di filosofia politica ma lui lo scrive in una maniera estremamente colloquiale, tanti capitoletti su ironia, altri sono brevissimi, tutto eterogeneo, in una prosa elegantissima (non come i trattati filosofici) SIÈCLE DES LUMIÈRES - gli illuministi= leS LumièreS (pluriel)→ on entend en générale les valeurs, la philosophie en générale - conosciuti come les Philosophes (plurale) → la philosophie des Lumières - à l'époque c'étaient les Encyclopédistes →entreprise éditoriale - fortement critiqué par l’autorité - aventure de l'Encyclopédie symbole des luttes des Lumières - l'ENCYCLOPÉDIE n’est pas un ouvrage littéraire, c’est un dictionnaire resonné des sciences, des métiers, des arts - c’est un ouvrage de tout sorts de spécialistes(il y a des techniciens, théologiens..), toutes les sciences sont représentés - on identifie cet ouvrage collectif, emblématique de l’esprit des lumières - les philosophes, les encyclopédistes composaient une parti philosophique, une parti encyclopédique → c'est parce que nombreux représentants de ce parti ont collaboré à l'Encyclopédie que l'on parle également de parti encyclopédique - groupe considéré assez homogène qui partageait certains idéaux, idées→insister contre les représentants de l’autorité dans tous les domains —>esprit des lumières, esprit encyclopédique = esprit CRITIQUE : le mot désigne toutes les activités de ces auteurs considérés individuellement, ou encore de plusieurs auteurs considérés comme un parti encyclopédique, qui peuvent se désigner, se qualifier des critiques - la philosophie de 17eme siècles des lumières est CRITIQUE - un auteur qui n’est pas un véritable philosophe, grand auteur de 18eme siècle qui a inauguré l'époque glorieuse de la philosophie→IMMANUEL KANT, son philosophie c’est le CRITICISME, est critique - 1780-90 kant a fait 3 ouvrages - la filosofia illuminista si identifica come spirito critico - on retrouve cet esprit partout, par toutes les ouvrages qu’on considère significatives de la philosophie des lumières sont critiques - une critique présuppose un objet à critiquer → c'était LE PRINCIPE D'AUTORITÉ - l'encyclopédie était inspiré par les défenseurs de l’autorité, par ce qui représentait l’autorité - AUTORITÉ C’EST LA TRADITION - la tradition c’est d'abord le domaine religieux, la religion était le grand sujet →dans l'âge classique, au 17eme-18eme siècle, le grand sujet de toutes réflexions sera la religion - on parle aussi de la politique parce qu'elle est toujours liée à la religion - la critique au 17éme siècle signifiait INSTITUT MONARCHIQUE (il n’y avait pas des républiques, des démocraties, en Europe à l'époque) - était déjà en décadence au 17eme siecle - tous les grand nations européennes à l'époque étaient monarchies - aussi l’angleterre était une monarchie constitutionnelle mais l’angleterre ne se considère pas européenne(la 2 guerre mondiale nous l’a montré)→son histoire ne fait partie de l’histoire européenne - son histoire suit des étapes, une chronologie différente - la glorious revolution è a fine 600 → grande frattura di Cromwell risale a anni 80 del 600 —>ils avaient déjà fait leur révolution, il avait déjà coupé la loi de roi —>inglesi avevano già ripensato alla monarchia(français arrivent à la même conclusion un siècle plus tard) - les françaises connaissaient la monarchie absolue de LOUIS XIV et de ses descendants - la philosophie des lumières ce n’est pas une théorie, une philosophie systématique, chaque philosophe c’est à sa manière, mais l'élément commun qu'on retrouve chez tous c’est la critique—>cet esprit critique concernait toutes les matières, tous les sujets - la critique est dans tous les domaines(religieuse, politique, juridique, morale…) mais ce sont toujours les principes d'autorité qui mettent en discussion(idée qu’il y a une autorité traditionnelle qui a la force d'établir ce qui est juste ou pas) - les plus jeunes générations des philosophes(diderot, rousseau...) critiquent les fondements même de la monarchie - les philosophes les plus anciens(montesquieu) à la fin de 17ème contester la monarchie absolue, mais acceptent les principes monarchiques - dans le domaine religieuse, les philosophes n'étaient pas athées, mais ils contestaient l'autorité du clergé(autorité temporelle) - per gli illuministi il problema era che la gerarchia ecclesiastica obbediva a re straniero(papa)→secondo loro invece devono essere funzionari dello stato in cui vivono - stesso problema sollevato da luigi XIV: re cristianissimo però lui voleva avere un controllo totale delle informazioni—>capiva che avere in casa una gerarchia potentissima che obbediva a uno straniero era qualcosa di pericoloso(vescovi francesi obbedivano al papa non al re) - certi filosofi criticano ciò in maniera violenta(voltaire)→ sono anticlericali(non montesquieu) - dava fastidio il fatto che questi individui potessero rivendicare l’autorità - de quelle autorité il s’agit? c’est l’autorité de la TRADITION - en revanche, on parle de l’autorité de la RAISON=c’est la cohérence logique, le bon sens(au 17ème siècle raison et bon sens encore synonyms) - le mystère de la religion et de la trinité va contre le bon sens—>c’est cette autorité qui est mise en discussion par tous les philosophes=le fait que la tradition fonde/fonderait l’autorité - en revanche, la raison obéit à critères de cohérence, de logique→la raison est l’esprit de la science - s’il y a des vérités de l’eglise, de la religion, qui vont al di là della ragione, il faut en DOUTER - il y a des auteurs(diderot..) qui poussent la critique de plus à fond sur les principes de matérialisme, athéisme.. - c’est la même critique de voltaire - ils acceptent l'idée de dieu ma rifiutavano idea dei preti - i più giovani nati nel 700(nati nel 13, alcuni più avanti) spingono la critica fino ai fondamenti stessi della metafisica che ha una teologia cristiana(più disponibili ad accettare idea di un dio che è stato tradito dai suoi preti ma in un contesto in cui non ci sia dio, perchè sono materialisti, l’universo si è creato da solo, la materia è eterna, mentre i cattolici credono che l’universo sia stato creato da un signore che si chiama Dio; se cominciamo a mettere in discussione che l’universo sia stato creato a quel punto dobbiamo anche escludere che esista dio) - questi giovani negano l’autorità e le verità stabilite da queste autorità(che abbiano ragione o torto non ha importanza, ma ciò che deve interessare che l’enciclopedia ha contribuito a metà secolo a diffondere questo pensiero) —>les défenseur de l’autorité ont réagi, condamné pour empêcher cette entreprise → strumento principale est la CENSURE - contestare autorità intesa come tradizione solo perché sono antiche(individui che si rifanno alla tradizione → per es. i re sono re perché figli di re…) —>non è un criterio di merito - sono verità perché state stabilite tanto tempo fa e i preti si tramandano questa eredità, e noi dobbiamo credergli, ma non garantisce la verità(un uomo può essersi sbagliato a stabilire questa eredità e noi comunque stiamo continuando quella tradizione) - si comincia a mettere in discussione che bibbia fosse stata ispirata da dio(per molto tempo si prendeva quello che c’era scritto così com’era, come verità incontestabile)→già nel 600 nasce la FILOLOGIA CRITICA : si scopre che la bibbia non è stata dettata da Dio ma è stata messa insieme da uomini nel corso delle generazioni; la filologia critica mette in evidenza che la bibbia è un testo scritto da uomini nella storia - esprit des lumières=critica del giudizio, des préjugés:jugements sans les soumettre au tribunal de la RAISON, au critères de la raison, on les accepte seulement parce qu’ils sont traditionnels, sont des vérités traditionnels, sans avoir jugé concrètement si ce sont vrais ou faux, on les accepte simplement - le sujet de polémique s'était est les PRÉJUGÉS=les vérités traditionnels sont prejugés - sont des jugements humaine comme s’ils étaient éternellement vrais - les vérité acceptés comme incontestables se sont révélés(après avoir appliqué la critique..) comme préjugés —>la critique sert pour connaître, juger le monde, pour agir dans le monde→connaître les choses à partir des choses même, pas à partir des préjugés = GRANDE TEMA del RAZIONALISMO SEICENTESCO(Cartesio)→per conoscere qualsiasi cosa facciamo tabula rasa, quello che è evidente e corrisponde a criteri di chiarezza e descrizione, quello che non è evidente lasciamo perdere - tutto questo viene fatto con fine pratico→ le but final de la philosophie des lumières n’est pas une théorie systématique, abstraite → c'était une philosophie PRATIQUE, avec le but de CHANGER le choses, le système politique, rationaliser le système politique, la religion(religion est connu comme nécessaire mais il fallait un religion raisonnable - philosophie pratique qui agit dans le monde et qui modifie, qui améliore, qui veut réformer les choses de manière raisonnable, conforme à la raison(réformer l'économie, la morale, la vie sociale, la politique…) - ils soulignent que la morale n’a rien à voir avec religion, mais se fonde sur le coeur, expériences sensible du coeur humaine, ce qui est agréable au coeur - morale pas fondé sur valeurs métaphysiques - on parle de MORALE SENSITIVE(fondata sui sensi), è fondata sulla base di quello che è nocivo per l’uomo - sgozzare individui solo perché credono in un dio diverso non è morale → è nocivo e fondato sul niente, la religione non deve entrare come valore morale, nessuno è legittimato a uccidere in nome di dio perché non lo conosce - siamo all’origine del processo di SECOLARIZZAZIONE (si riforma la morale..) -pour NOUS la PHILOSOPHIE est une matière, sujet, un secteur du savoir spécifique —>MA nel 700 ce n'était pas un sujet, c'était une ATTITUDE, la filosofia non era un argomento specifico, un ambito, ma era un ATTEGGIAMENTO con cui qualunque soggetto(religioso, politico, economia, morale..) poteva essere studiato - era un metodo, l’attitudine con cui si studiava [—>poi nell’800 coi tedeschi(con kant), hanno creato FACOLTÀ DI FILOSOFIA=posto dove si studiava filosofia] - anche la medicina era un argomento che si poteva affrontare filosoficamente, non in maniera dogmatica, tradizionale, non fondata sui pregiudizi della tradizione - filosofia era un pò tutto, oggetto dello studio di un filosofo doveva essere tutto, si occupava di molte cose(oggi si occupano di una cosa specifica), il filosofo doveva interessarsi filosoficamente(cioè con metodo CRITICO) di tutto, interessarsi di tutto ma in maniera metodologicamente critica(non dogmatica, non sistematica) - tutto faceva parte di quella filosofia pratica -c’est dans cet esprit des lumières, cet esprit philosophique, que nous lirons: LETTRES PERSANES, 1721 - un des premiers textes de Montesquieu(il a déjà une certain âge, 31 anni) - il avait déjà était président des parlements(parlements=à l'époque en france étaient des tribunals, chambres de justice, tribunali che trattavano soltanto cause di cassazione, che non parlavano della giustizia ordinaria) - carica importante, magistrato - charge hérité de son oncle→il y avait cet usage que certaines charges donnait droit à un titre nobiliaire→ donc Montesquieu était un baron de la NOBLESSE DE ROBE* = titre qui avait hérité de son oncle - essere magistrato significava avere diritto a un titolo nobiliare→non era nobile di nascita, ma qualcuno degli zii di Montesquieu aveva comprato questa carica di giudice→l’acquisto di questa carica dava diritto a un titolo nobiliare basso = NOBILTÀ DI TOGA*(disprezzata dalla nobiltà di sangue e di spada perché li consideravano PARVENU=uno che è diventato, arricchito, che ha fatto carriera, si è rifatto) - à la mort de son oncle il avait hérité cet charge - acheter les charges(devenir magistrat, juge, général, colonel.. en achetant) c'était une grave injustice →critiqué par les philosophes, CRITICA ILLUMINISTICA - c’è una ragione storica per questo: Luigi XIV aveva bisogno di soldi e ha cominciato a vendere cariche(vendeva soprattutto quelle cariche irrilevanti, meno importanti)→ questo rischiava una VÉNALITÉ DE CHARGES=cariche comprabili, acquistabili —>ingiustizia palese che andava contro il buon senso —>c’è voluto napoleone per cambiare questa cosa (COLONEL CHABERT→ uno di quei militari napoleonici che hanno fatto carriera) - montesquieu critica questo sistema ma era un sistema in vigore e lui ne beneficiava, e soprattutto lui era uno di quelli che aveva pienamente diritto a fare il giudice perché aveva studiato(una volta diventato famoso lascia questa carica) - quelli che fanno carriera sono i figli dei ricchi che ereditano e che possono acquistare cariche→francia sull’orlo crollo finanziario nell’89 perché sono governati da incompetenti, i funzionari sono gente che compra cariche - la quintessenza del motore era lo snobismo - pregiudizio nobiliare=se nascevi nobile i padri lasciavano comunque un reggimento →contro questo sistema di forme insensate che si muove lo spirito illuminista - petit roman épistolaire - genre mineur(selon les critères classiques)→romanzi, prose romanesque equivalenti delle nostre soap opere televisive, non sono serie, di nessun valore - forma letteraria che tutti leggevano, magari si appassionavano però erano cose oscene, nessuno confessava di leggerli o scriverli - Montesquieu fait paraître ce petit roman ANONYME qui porte sur un sujet exotique, un peu scabreux(personnes qui quittent la perse pour voyager en europe) - texte divisé en 2 parties →2 ambientazioni - EUROPE→3 personnes(Usbek, redit, Rica) - lettres de 3 personnes qui voyagent en pays européens différents, et ils échangent leurs opinions - non ci sono intrighi, non ci sono altri personaggi al di fuori di questi 3 - voyageurs qui écrivent des lettres sur des sujets particuliers(personnage qui va dans un café et il décrit le café, autre lettre d’un personnage qui va au théâtre et décrit le théâtre ecc) - chaque lettre est un petit aspect de la vie parisienne, on décrit rapidement ces aspects, ils décrivent ses expériences, puis la question est mise à côte et on passe à un autre sujet, à une autre lettre - lettere EUROPEE =micro-saggi su temi diversi→finito un tema si passa ad un altro - HAREM que Usbek a quitté, intrigo di donne(scabroso) - intrigue galante→il faut savoir si les plusieurs femmes sont fidèles, elles sont coquettes, histoire des femmes et des harems - lettere PERSIANE = intrigo che si sviluppa(su queste donne civettuole, alla fine si scopre che le mogli erano innocenti, non hanno fatto nulla erano solo rinchiuse dentro all'harem, e invece è il marito che ha tradito davvero e si suicida) - montesquieu montre son esprit critique à travers masque et fiction - persiani sono un dispositivo letterario per permettere a montesquieu di parlare di una realtà nota a tutti ma di descrivere in una maniera diversa(con gli occhi di un persiano) - se cache derrière un masque(fatto da molti autori che lo precedono) pour faire passer une critique sur les aspects de la réalité, ce sont de critiques que Montesquieu avance de manière ridicule, ironique - chez Montesquieu devient instrument pour faire passer la critique, il ne critique pas ouvertement [montesquieu était un homme très modeste, équilibré, timide(≠ voltaire hystérique, agressive)] ESTRATTO MONTESQUIEU su LETTERE PERSIANE - il = les gens (la gente è maschile in francese) - LETTRES DE PARIS À LA PERSE - côté oriental tout a partir du roman → les correspondants de ces lettres sont les femmes d' Usbek, des prêtres, des amis - intrigue romanesque - ces lettres concernent la fidelité de les femme de Usbek, des querelles entre les femmes - LETTRES DE VENISE À PARIS - 3 voyageurs s’echangent leur impressions - côté occidentale → lettres ou montesquieu fait parler/parle derrière ces voyageurs et ils parlent de sujets philosophiques - montesquieu adopte le point de vue des personnes(=pov de montesquieu) - romanesque→ exige que les personnes parlent en premier personne? - persiani protagonisti dell’opera→sono trapiantati bruscamente in europa(soprattutto in francia, a parigi) = altro universo → persiani come dire MARZIANI - Montesquieu dice che nelle prime lettere che faceva finta di scrivere doveva badare a mostrare la genesi e progredire il formarsi delle loro idee - il explique sa méthode de travaille, comment il avait construit le texte, la perspective, le point de vue de son travail ( → pov de 3 voyageurs de la perse) —> Montesquieu devait réaliser la VRAISEMBLANCE:montrer dans les premières lettres l’esprit de ces gens surpris, étonnés de ce qu’ils rencontrent; si trattava di fingere le opinioni di queste persone, le impressioni che avevano avuto davanti ogni cosa che gli era apparsa straordinaria - i loro primi pensieri nelle lettere che scrivono agli amici in persia, dovevano essere strani, bizzarri - dans les premières lettres montesquieu veut montrer la singularité de certains opinions, mais ces personnes arrivent dans un autre pays et ils sont naïves, sont ignorants(ils ignorent, ils ne savent pas), elles réalisent naïvement, mais ils ne sont pas des imbéciles(non sguardo di uno scemo che si stupisce per ogni cosa, ogni momento)→équilibrer la surprise et l’intelligence, c’est le regard de ces personnes qui nous intéresse - tipo di stranezza compatibile con l’intelligenza→persiani sono intelligenti, sono persone colte ma nel loro paese, qui invece in francia sono come marziani - sono persone intelligenti che portano giudizi bizzarri perché sono ignoranti nel nuovo paese, vengono da un altro pianeta, questo stupore nasce dall’ignoranza - si pongono questioni che sono sempre strane per noi perché noi occidentali le diamo per scontato, ma le questioni che sollevano non sono sciocche, hanno una finezza di sguardo, pongono questioni reali, pongono domande intelligenti su aspetti ovvi che i parigini non vedono perché distratti→queste domande intelligenti costringono il lettore a pensare —>VUOLE GIUSTIFICARE LA FINZIONE, vuole giustificarsi contro i critici che avevano capito che non era un testo solo galante ma anche inclusivo, criticato duramente da gerarchie che difendevano quelle autorità, quei principi - utilizza il personale(parla di sé stesso) - quando i persiani si stupiscono dinanzi alla religione cristiana e chiamano il papa come “mago potentissimo”(un altro mago potentissimo per loro qui viene chiamato re) perché, per esempio, trasformava il pane e il vino → al prete non piaceva che venissero chiamati giochi di prestigio - montesquieu stava facendo il furbo, sapeva benissimo che stava toccando i principi della religione - queste battute di spirito((traits=letteralmente significa freccia, dardo) si trovano sempre legate con l’opinione e il sentimento di sorpresa e stupore dei persiani - montesquieu fa finta di aver semplicemente attribuito ai persiani delle espressioni di stupore, chiamano il papa “mago” semplicemente perché non hanno parola per definire il papa, quindi usano il nome più vicino a loro - sono dichiarazioni ironiche, dette “con la lingua nella guancia” = dette senza crederci - il lettore che conosceva montesquieu capiva perfettamente che queste giustificazioni non vanno prese sul serio, e che montesquieu sta giocando il ruolo di scrittore ingenuo - questo stupore dei persiani si presta a essere interpretato come una critica (lui lo nega ma comunque lo dice) - se i persiani si stupiscono della costruzione delle case è giusto che si stupiscano anche della religione - i nostri dogmi strani, questa stranezza, è sempre contraddistinta dalla perfetta ignoranza dei legami che esistono tra questi dogmi e nostre altre verità → noi abbiamo un sistema di verità, e anche i nostri misteri che sembravano singolari, privi di sensi, sono in realtà legati a tutte quelle altre verità che costituiscono la nostra società, il nostro sistema - ai persiani appaiono come “stranezze” a causa della loro ignoranza del sistema complessivo della nostra verità - esempi di IRONIA→ dice una cosa che non deve essere presa alla lettera, è un parlare allusivo, è il lettore che deve capire che montesquieu non sta parlando sul serio - la maschera dei persiani serviva a montesquieu per far passare cose che non potevano essere dette apertamente - queste lettere sono presentate, il y a une introduction fictive(falsa) che fa parte della finzione romanzesca : dans cette introduction l'auteur affirme que les personnages ne sont pas de fiction, gli argomenti delle lettere non dipendono da una trama, da un dessin, o da un piano già formato, sono lettere che si succedono casualmente, l’argomento delle lettere non è legato a una trama→siccome la forma delle lettere è disgiuntiva, non legata a un intrigo in senso stretto, noi troviamo della filosofia critica, morale, unita al romanzo - c’est montesquieu qui nous révèle qu’il a joint de la philosophie, de la politique, de la morale au roman - la forme des lettres c’est la forme discontinu - chaque lettre represente un texte en entier, un petit essai, chaque lettre raconte un petite anecdote, un detaille - romanzo = scrittura continua ≠ romanzo epistolare = discontinua → ogni lettera costituisce una unità che può essere letta separatamente - montesquieu parla di “legare il tutto con una catena segreta”, ignota, sconosciuta, che il pubblico non ha trovato - la critique moderne s’est interrogé longuement sur cette chien secrète→il y a différents interprétations sur cette chien qui relie tous les éléments = roman qui en apparence est discontinu mais qui en réalité est lié, unitaire - chaque critique a sa réponse → la chose qui unit tous c’est l’ATTITUDE → écrivain qui écrit pour nous montrer une réalité morale et sociale de son temps = “PREMIER ROMAN PHILOSOPHIQUE ” → in realtà è Voltaire che scrive romans philosophiques (princesse de babylone…), questa espressione è propria di Voltaire, questo genere è associato a lui, MA il testo di Voltaire rappresentativo di questo genere è uscito nel 1759 →pour voltaire c'était montrer sous une lumière différente les problèmes —> écriture philosophique = on utilise la PROSE qui est à la fois claire, mais aussi amusante, légère - PROSE = forme inférieur selon les critères classiques:la prose n’est pas une forme élevé d’expression, est considéré trop simple, facile(per la generazione di voltaire) - voltaire a été le plus grand écrivain en prose(la prose de voltaire était un modèle à son époque)→il parlait de VILE PROSE=”la prosa costa solo la fatica di dettarla” - lui scriveva la prosa come noi parliamo, i suoi libri in prosa li dettava - prose conversée, è il parlato messo per iscritto, la prose c'était simplement parlé, dicté - cette forme pouvait dire tout, n’avait pas de limite, pouvait toucher n’importe quel sujet → c’est la même chose que la philosophie qui peut se poser sur n’importe quel sujet→ la prose est la forme naturelle pour exprimer ce regard critique que la philosophie pose ( → de cette manière montesquieu peut joindre la politique, la morale..), c’est une forme OUVERTE, n’a pas de contraintes, de limites, on peut toujours ajouter quelque chose - verso = forma chiusa, limitata ≠ prosa = forma aperta, può sempre espandersi →romanzo epistolare =posso sempre aggiungere una lettera in più perché non c’è un nesso tra una lettera e l’altra, ognuna tratta un argomento a sé - prose = liberté extrême, adeguata al discours philosophique qui ne se donne pas de limite (il n’y a pas de sujet interdit à la discussion=critique : toute question peut être sujet —> voltaire parla di quello che gli pare) TRAITE ≠ ESSAI —>à cet époque : pas de traités, mais essais - differenza : - trattato: forma propria della filosofia tradizionale, è più sistematico(sistema è qualcosa di chiuso, si comincia dalle premesse, poi ci sono le conseguenze e poi le conclusioni, tout est lié, ce qui vient après est une conséquence de ce qu’on a dit avant), veut donner des certitudes, réponses claires, précises a un problème - MAIS l'écriture philosophique est ANTI-SYSTÉMATIQUE —> au 17ème siècle on trouve scrittura saggistica : discontinu, anti-systématique, breve, non parte da premesse, non ci sono conclusioni, semplicemente tratta degli aspetti; “ESSAI” signifie “TENTATIVE, HYPOTHESE” - FRANCIS BACON → grande scrittore di saggi in inghilterra - scrive “Essais” → prove, indagini aperte - l'écriture de MONTAIGNE est un questionnement continuelle - l’essai parte toujours par la question “che cosa so di questo argomento?” -dopo le Lettere persiane, il secondo brano di successo di VOLTAIRE fu: Lettres philosophiques(ou Lettres anglaises) - grande successo - touchent différents sujets particuliers de l’angleterre du temps, parler des sujets contemporains, de la réalité ANGLAISE → critique implicite de la réalité FRANÇAISE - l’elogio di qualcosa che non c’è nel tuo paese diventa automaticamente una critica sul tuo paese → en elogeant l’angleterre il critiquait le système français - c'était un éloge de l'académie de science pas encore présente en france - voltaire fait l'éloge aussi de comédiens traités comme personnages illustres, et ils étaient interrés, il y avait des vrais funerals ( ≠ in francia venivano gettati nelle fosse comuni ed erano criticati→il était évident que le texte implicitement devenait une critique) [voltaire célèbre auteur de tragédies à l'époque] - texte discontinu, disorganici, pas d’unité → cela fait la richesse du texte, il embrassait tous les sujets - ce qui compte c’est l’attitude critique→l’écriture philosophique parle de tous les sujets dans un but critique, met en évidence les problèmes, en utilisant L’IRONIE(figure marquant chez Voltaire) [anche les lettres persanes segnate da questa ironia → se fonde sur un décalage entre la lettre et le sens caché] >TEXTE dans les LETTRES PERSANES où on peut voir comment l’IRONIE marche chez montesquieu pag. 6 - il persiano non conosce la parola papa e lo chiama mago→parola più vicina alla sua cultura(per noi ha connotazione negativa) - décalage sémantique → dans ce passage de culture il y a une perte de valeur:la parola mago in persiano ha un significato che non è lo stesso per noi(=impostore) = AMBIGUITE’ SEMANTIQUE - PROBLEMA DELLA TRINITÀ → il persiano riduce la verità a un problema matematico(tutti sanno che 3 non è 1 e 1 non è 3) → il persiano ignora tutte le nostre verità e non capisce, allora usa la matematica - montesquieu vuole mostrare l’assurdità della religione → l’assurdo è qualcosa che contraddice l’evidenza - montesquieu fa finta di non capire che la trinità e la provvidenza sono un’altra faccenda → vuole colpire la religione nei suoi caratteri fondamentali e mostrare l’assurdo, attraverso l’evidenza - ironie caché, implicite →dans montesquieu se fonde sur l’ANTIPHRASE:renverser le sens, dire les choses et entendre le contraire - ironie de montesquieu se fonde sur le DÉCALAGE SÉMANTIQUE qui permet à montesquieu de ne pas dire le propre, substituer le propre avec un mot, une périphrase connoté négative, associé à quelque chose de négative - l’effet d’ironie force le lecteur occidentale à réfléchir - ce type de texte amusante, le petit roman exotique existait déjà, pour cette raison ce n’est pas le premier roman, MAIS c’est le premier roman en France où philosophie, critique, morale se mélangent, et surtout où le lecteur est forcé à réfléchir, comprendre sur quoi se fonde cette vérité, autorité (papa= figure qui fait croire des choses absurdes, la religion se fonde sur l’absurdité, il papa ci fa dei trucchi proprio come un mago, absurdité de cette autorité) - non ha detto “il papa è un impostore” →in questo modo avrebbe immediatamente ricevuto la censura, sarebbe stato reato → invece ha espresso la sua critica in maniera diversa, implicita, lui qui sta scherzando - in 3 righe dice tutto ciò - l’ironie devient le moyen à travers lequelle passe la critique philosophique des lumières, à travers un moyen amusant, pas sérieux mais qui force tous les lecteurs à comprendre, à réfléchir - derrière le ris il y a la réflexion → c’est la force historique des lumières, ils s’expriment à travers de formes populaires pour se faire comprendre et avoir un effet sur le lecteur - il lettore è invitato a capire perché i persiani si stupiscono e a rimettere in discussione i propri pregiudizi >un passage très célèbre qui nous montre les équivoques que cette ignorance des voyageurs persanes a produit c’est la LETTRE XXVIII de Rica à un correspondant inconnu —>Rica(un des 3 voyageurs) cherche à expliquer ce qui se passe au théâtre - le théâtre était la grand passion européenne au 17ème siècle, il pouvait être sérieux ou amusant, on va au théâtre pour rire - théâtre n’existait presque pas au 16ème siècle - nel 1500 in francia(comincia in italia), il medioevo ignorait le théatre - il punto forte du spectacle → mystère médiévale, très religieux - il y avait la FARCE(ce n'était pas de théâtre, saltimbanque..) - Le genre du spectacle est contesté par l’église encore au 17eme siècle → nascita di un nuovo teatro - spectacle relativement nouveau et il était condamné, les comédiens étaient excommuniés → grosso modo perché si diceva che il teatro era rappresentazione, imitazione della natura, si imitavano delle deformazioni di quello che dio aveva creato→TEATRO=MENZOGNA perché fa finta di essere qualcos'altro - condanna di tipo morale per gli attori→vivevano in condizioni di promiscuità, spesso viaggiavano in carrozzoni, erano equiparati a zingari, vagabondi, nobili - encore au 18ème siècle il y a des bâtiments consacré au spectacle, malgré cela il restait une profonde méfiance envers l’eglise - entre 17éme et 18éme le théâtre était la grande passion→au 18eme siècle il ya les grands auteurs français(corneille, molière, racine) - les personnes ignorent et ignorait le théâtre typiquement occidentale - esistevano altre forme di spettacoli “scenique” ma non c’era un teatro come il nostro→IGNORANCE CULTURELLE → incontro con una cultura completamente differente (una cultura che conosce e una che non conosce il teatro) —>la lettre nous montre que Montesquieu exploite cette ignorance pour produire des effets essentiellement comiques à l'égard de l'autorité - c’est l’occasion pour créer une situation ridicule mais au même temps c’est une occasion pour faire réfléchir le lecteur sur certaines habitudes - pour le lecteur français le théâtre c'était un spectacle qui allait de soi, c’etait evident que pour le lecteur français de 17/18ème siècle aller à une comédie c'était une habitude tout à fait normale, quotidienne - nel 600 e 700 si diceva “aller à la comédie” - il teatro più famoso di Parigi si chiama la Comédie Française = teatro nato dalla fusione della compagnia di molière con la compagnia dei grands comédiens(erano gli autori tragici) —> ha fuso le due comédies - la COMÉDIE non è una commedia che fa ridere, è il TEATRO →aller à la comédie=aller au théâtre >>TESTO: LETTRE XXVIII. Rica à - “Je vis hier une chose assez singulière…” →le mot c’est toujours le même:“singulier” =strana, bizarra - opposizione tra una cosa che accade tutti i giorni a Parigi, quindi una cosa comune per i parigini, ma allo stesso momento è strana per il persiano - lui crede che lo spettacolo siano gli spettatori (tutto il popolo, tout le monde) - lui non ha mai visto il teatro, il persiano va a teatro e guarda il teatro nella sua complessità → pensa che gli spettatori stiano recitando - “loges” → lui li chiama “petits réduits”, in cui uomini e donne recitano insieme delle scene mute(le scene mute sono per lui più o meno come quelle persiane in cui ci sono attori che fanno degli sketch muti) - da una parte vediamo un’amante afflitta che esprime il suo dolore, un’altra più animata si mangia con gli occhi il proprio amante che ricambia lo sguardo perché ricambia il sentimento → tutte queste passioni sono dipinte sui loro volti, l’espressione è molto più viva grazie al fatto che siano muti - “en bas” =dice “en bas” perché lui non sa come chiamare la platea - in basso, nella platea, c’è “une troupe” (termine che utilizza tuttora per indicare la compagnia teatrale), lui pensa che questo pubblico meno ricco che sta in platea sia una troupe di altre persone che stanno in piedi e che ride di quelli che sono in alto - “ âge peu avancé [...] il passent par des endroits qu’eux seuls connaissent..” → in questo paragrafo sta parlando del tizio disoccupato, che si intrattiene facendo visita alle dame e andando a teatro - quello che sta mettendo in scena, sono spettatori (che lui crede giovani perché si danno un gran da fare) che vanno a teatro semplicemente per intrattenersi con gli amici, intrattenere le loro relazioni sociali - il teatro era una sorta di propaggine del loro salotto → si andava a teatro per scambiare informazioni, chiacchiere, era normale fare rumore = luogo di socialità - sono i giovani alla moda che cambiavano teatro per vedere altra gente, altre dame - da una parte ci sono i giovani zerbinotti che corrono e d’altra parte i vecchi → ci sono anche altri che non sono giovani ma che sono altrettanto indiavolati, sono dei vecchi cicisbei (“on en voit meme qui, par un prodige qu’on n’aurait osé espérer de leurs béquilles, marchent et vont comme les autres” ) - sta descrivendo il movimento di certi vecchi che si credono ancora giovani e vanno a fare visita alle dame, a corteggiarle come i giovani - Nei loges (luogo per ricchi) le dame ricevevano i loro spasimanti - Il persiano è stupito da ciò, basta conoscere una persona e il francese ha il diritto di abbracciarne (soffocarne) un altro - questo posto particulière sono i camerini, les CUISSES (dove gli attori si ritirano per lavarsi ecc) - qui arriva il pubblico che saluta gli attori, gli attori che salutano il pubblico→sono tutti molto calorosi, sembra che il luogo ispiri l’affetto - per il persiano è TUTTO teatro - chiama queste donne “princesses” perché recitavano la parte di principesse nello spettacolo→chiama le donne nel pubblico ATTRICI e le attrici vere PRINCESSES, vere principesse - lui pensa che queste dame non siano crudeli, salvo in quelle 2/3 ore del giorno(sono le ore dello spettacolo), del resto sono trattabili —> sta dicendo che le attrici sono ragazze che hanno tante storie, sono delle sempliciotte - queste principesse che sembrano tanto intrattabili in realtà sono trattabili - questa è la fama che avevano le attrici → il teatro era il limite della prostituzione, il limite tra l’attrice e la prostituta era molto labile, se le donne trovavano qualcuno che le proteggeva facevano di tutto - dire di “essere una ballerina dell'opéra” non era una bella cosa perché si capiva cosa potessero offrire (non erano dive)→PREGIUDIZI - ”trattabili”=se quello che offri è cospicuo hanno storie con chiunque - si passava molto facilmente dall’arte al farsi mantenere - questo non lo dice montesquieu, lo fa dire al persiano in maniera innocente → attraverso il persiano Montesquieu fa una CRITICA SOCIALE : queste principesse, che per 2-3 ore si comportano come regine, per il resto del tempo si comportano da donne facili - La differenza tra operá e théatre sta nel fatto che in uno si parla e nell’altro si canta - Rica ha fatto una spiegazione a questo suo amico ignoto persiano, in cui evidentemente non ha capito nulla di cosa sia il teatro ma per il lettore francese questa spiegazione ha un valore CRITICO→ il ne parle meme pas de ce qu’il se passe sur la scène : le spectacle est l'ensemble, est le publique, ces dames - quello che succede sulla scena lo interessa solo per quanto riguarda il cambiamento delle principesse - il n’a pas compris la différence entre scène et publique - l’effet provoqué sur le lecteur c’est démontrer que les personnes allaient au théâtre, pas pour voir une spectacle artistique, mais pour faire de la conversation, pour se montrer, étaler les vêtements, l'élégance → CRITIQUE de Montesquieu =le théâtre était le lieu ou gens allaient pour se regarder, pour converser, pour faire de la vie social, pas pour apprécier un oeuvre d’art - il racconto ingenuo di Rica serve per dire che a Parigi nessuno va a teatro per vedere lo spettacolo, lo spettacolo è il PUBBLICO e gli artisti sono in realtà delle ragazze alla buona→Rica si è sbagliato ma nel suo errore ha colto la verità - ma non lo dice apertamente, non fa una critica aperta al teatro, sarebbe stato considerato moralista → invece lo dice in maniera divertente:costringe lettore a fare un continuo passaggio tra ciò che il persiano capisce, quello che vede e quella che è la realtà parigina - ha però dimenticato degli elementi : a teatro sul palcoscenico c'erano delle poltrone dove sedeva il pubblico, per vedere meglio lo spettacolo, e facevano commenti ad alta voce, interloquivano con gli attori - L’INGENUITÀ DI RICA SERVE A DENUNCIARE UN FATTO OVVIO - a teatro in quel periodo succedeva di tutto ma la rappresentazione scenica non era importante→ dominava questa orgia, la principessa(che è una ragazza facile), le dame che flirtano, i vecchi cicisbei che arrancano.. - METTE IN SCENA DEI TIPI che dominavano la scena parigina, i tipi tipici francesi di cui i parigini non si accorgevano neanche perché conoscevano perfettamente - quello che attraeva l’attenzione di uno straniero era tutto il contorno e non lo spettacolo - nella LETTERA XXIII Usbek dice la vita parigina “c’est un grand spectacle”→quando vai a teatro lo spettacolo è l’insieme, non la pièce rappresentata - è un errore comprensibile dato che nella sua cultura non ci sono pièce teatrali, per questo a lui il teatro sembra essere questo gioco collettivo→ le publique JOUE - orchestra=platea - montesquieu vuole dire ai suoi lettori che il comportamento che hanno a teatro non è proprio giusto —>ce manière de décrire la réalité d’un théâtre parisien se fonde sur un mécanisme qui a un nom précis, c’est une technique qu’un théoricien russe du 20ème siècle VIKTOR CHKLOVSKI a appelé STRANIAMENTO, étrangement, éloignement=manière pour rendre étrange, singulier ce qui est familier, manière d'éloigner l’objet - l'exemple de ce théoricien est tirée d’une nouvelle de Tolstoj dove i comportamenti dell’uomo sono visti attraverso lo sguardo di un cavallo(in Montesquieu troviamo lo sguardo del persiano, mentre per Tolstoj è lo sguardo del cavallo) → modo per "éloigner" l'objet - ce mécanisme suscite, stimule chez le spectateur/lecteur une sorte de CRITIQUE→ci soffermiamo a guardare una cosa che, di solito, non guardiamo - c’est stimuler un philosophe la réflexion sur une expérience banale → réfléchir sur le comportement du spectateur dans la comédie - cita anche BRECHT, anche lui parla di straniamento -TESTO: Jean Starobinski, Montesquieu, Paris, Éditions du Seuil, 1989 pag. 10 - texte écrit par un spécialiste de montesquieu - testo critico di Montesquieu - il a créé cette petite page, un sorte de synthèse pour répondre à la question:“pourquoi montesquieu et ses lettres persanes ont été très important, pour l’histoire de la littérature, des lumières” - la grande rivelazione che le lettere persiane portavano ai lettori nel 1721 è la UNIVERSELLE FACTICITÉ = tutto è prodotto, fatto, da una storia, gli uomini sono diventati quello che sono perché le loro abitudini, il loro clima, la loro cultura li hanno fatti, tutto è stato fatto e divenuto nel tempo nella storia - per noi questo è ovvio, ma per i razionalisti del 700 non è così : perché per loro la ragione resta sempre uguale, identica (Boileau poteva copiare Juvenal perché la descrizione di parigi e quella di roma era conforme alla ragione, a un senso, cambiano i dettagli, gli accidenti, ma la natura della grande città non cambia) → il razionalismo ritiene che la ragione sia sempre uguale dappertutto (se una persona ragiona andrà d’accordo con tutti coloro che ragionano —> ottimismo dei razionalisti) - montesquieu ha introdotto in questo razionalismo una nota di RELATIVISMO→ se cambiamo punto di vista le cose cambiano, ciò che è abitudine per noi è stranezza per qualcun altro, uno sguardo diverso vede le cose diversamente - questo sguardo è determinato da una storia diversa, uno sviluppo diverso - anche l’immagine che noi possiamo avere del mondo(che è lo stesso per tutti) sarà diversa, guardiamo diversamente - gli uomini sono fatti dalla universale fatticità, per questo il persiano non capisce parigi perché ha degli altri paradigmi, altre abitudini, culture → lo sguardo è diverso perché l’universale fatticitá fa si che questo sguardo arrivi da una realtà diversa - Il razionalismo pensa che le verità storiche non sono verità di fatto, si constatano così accidentalmente; le verità di ragione sono le verità di dio, sono eterne, universali - invece è il contrario, è la FATTICITÀ che è universale, non c’è nulla in questo mondo che non sia il risultato dello sviluppo della storia - francia combattuta tra queste due contrapposizioni (questa fatticità, questo relativismo e questo razionalismo) - non conta la risposta che i persiani trovano ma conta che portano i francesi a domandarsi sul perché di ogni cosa, sul perché le cose siano per loro in un certo modo, tutto ha un perché, tutto può essere sottoposto a un’interrogazione →bisogna dare delle motivazioni - il solo fatto di chiedere consapevolmente il perché di una cosa → vuol dire presupporre che quella cosa ha delle cause che possono essere diverse da quelle che noi crediamo, da quelle che sembrano=INTERROGARSI SULLA SUA STORIA - la domanda “perché” è la domanda del filosofo che vuole per quale motivo le cose sono quello che sono e non in un altro modo - montesquieu per la prima volta dietro la masque dei persiani si è sentito libero di chiedere la ragione di ogni cosa, dal teatro al papa, di ogni cosa si deve chiedere perché ed esigere una risposta - quello che conta è che montesquieu fa apertamente domande sulle nostre usanze, su ciò che per noi è normale, ovvio → NOVITÀ L’importanza della libertà del pensiero diventa la libertà di parola → è la libertà di esprimere e condividere il proprio pensiero(sono legate queste libertà) —> liberté de presse FONTANELLE - alla fine del 17^ secolo, aveva già l’abitudine di scrivere testi facili, amusantes → erano dialoghi de mors (piccolo sub-genere) : i protagonisti erano persone illustri dell’antichità o dei tempi recenti; erano dei divertissements - Fontanelle immaginava dei dialoghi con questi personaggi - È un gioco che si basa sull’effetto sorpresa dell’anacronismo - Fontanelle era del genere della filosofia degli illuministi: ragione che deve prevalere su tutto il resto - Usava molto spesso l’ironia → stile che è proprio de l'esprit de lumières, il quale si esprime attraverso essa (frasi ironiche ecc) - Abbiamo visto l’ironia di Montesquieu e delle sue lettere, anche Voltaire la usa molto, ma anche Fontanelle è conosciuto per la sua ironia, leggera, prudente VOLTAIRE - Il grande ironista del 18 secolo - Si indirizzava al pubblico delle persone acculturate (persone con interessi letterari e culturali), non ai savants >TESTO PAG 14 : DE L’HORRIBLE DANGER DE LA LECTURE, 1765 - Mupthi è un mussulmano, sacerdote del santo impero ottomano—> Voltaire mette in scena un’autorità suprema del mondo mussulmano e gli fa dire delle cose (non è il papa, né il re di Francia, ma è una persona straniera —> fiction letteraria —> si tratta di una MASCHERA) - Si inizia con una benedizione in nome della stupidità → “a voi tutti do la mia benedizione e vi auguro di essere totalmente idioti” - è chiaro che un gran sacerdote non dia questo tipo di benedizione ai fedeli, non augura mai ai suoi seguaci di essere un gregge di idioti - Già da questa prima introduzione abbiamo un segno/ une marque, che ci fa capire che questo signore dirà delle cose in un contesto assurdo e che non dobbiamo prenderle sul serio - In un piccolo stato chiamato France/Rome → l’impero ottomano considera la Francia un piccolo stato rispetto all’impero ottomano → Voltaire amava sottolineare la piccolezza della Francia, mostrare che non fosse al centro del mondo - per questo sacerdote la lettura e la stampa sono invenzioni infernali e condannabili - Voltaire scrive questo trattato utilizzando il linguaggio della parte avversa : sono i preti che dicono che trovare i rimedi per la peste sarebbe una cosa cattiva contro l’ordine della provvidenza → Voltaire non parla questo linguaggio, è un illuminista, assume il linguaggio dell’altro - Lui usa le parole di un altro, che è il suo avversario, non per dargli valore di verità, ma confidando che gli ascoltatori capiscano che intende screditare e mostrare l’assurdità del discorso - Già dall’inizio ci ha fatto capire che quel sacerdote non deve essere preso sul serio - Il sacerdote dice che l’uomo debba sguazzare nell’ ignoranza, MA per Voltaire è il contrario → è l’ignoranza che deve essere ridotta per un illuminista -“l’ironia non vuole essere creduta, ma vuole essere compresa”(Voltaire) - nell’ironia non c’è una semantica, l’ironia è legata al contesto, a una pragmatica - la stessa frase può essere intesa come ironica, possiamo intendere l’intenzione ironica in un certo contesto ma non in un altro→è il contesto che permette di intendere l’ironia - non ha significato quindi non si riesce a fissare → l’ironia non significa qualcosa, è un modo di far intendere qualcosa - modo per intendere il segno di ironia(scritta)→ per essere sicuri che sia una frase ironica viene introdotto un segno all’inizio della frase che segnala che la frase è ironica ≠ nel parlato di tutti i giorni non c’è bisogno di pre-annunciarlo, ma è accompagnata da gesti, segni fisici, + il contesto - rovesciamento antifrastico - bisogna che ci sia una condivisione di contesti e una condivisione di valori→questo strumento retorico ed è stato per gli illuministi non veramente retorico, ma FILOSOFICO → perché ironia crea una complicità col pubblico - nel 700 a forza di abituare il pubblico all’ironia si è creata una complicità, o perlomeno il DUBBIO(insinuare il dubbio) - si crea un pubblico sensibile all’ironia, che condivide o perlomeno capisce gli argomenti di Voltaire - l'ironia presuppone una condivisione, che sia capita, compresa(non creduta) - rischio dell’ironista = essere preso alla lettera(contrappasso) → per questo ironia è pericolosa da usare perché non la può usare uno al potere, perché verrà tendenzialmente creduto (sarcasmo è un’ironia senza allusività, talmente evidente che non è più ironia) - ironia fatta dal basso verso l’alto è pericolosa, fatta dall’inferiore rivolta al superiore→ diventa ambigua - c’è un margine di INCERTEZZA( se l’incertezza non c’è non è più ironia, può diventare sarcasmo), margine di COMPLICITÀ (per questo è idiota mettere il segno preannunciatorio a inizio frase, perché l’ironia deve essere gustata, l’ironia la capiamo tra di noi, è sempre una comunicazione ELITARIA, per questo se la segnalo l’ironia si dissolve, deve essere qualcosa che resta capito senza dirselo) - non è corretto dire “l’ironia è dire una cosa e intendere il contrario” perché si confonde con la menzogna → ironia è dire qualcosa PRETENDENDO di non dirlo, e PRETENDE che l’interlocutore capisca, colga questa intenzione(mentre il bugiardo non vuole essere scoperto, vuole essere creduto) - “l’ironia come tropo di pensiero” [Cicerone] (tropo = figura che si fonda su uno spostamento, slittamento→ essa sparisce mutando la parola, ma non sono le parole che fanno l’ironia, è il pensiero ) - l’ironia è un tropo di pensiero ma l’essenziale è che rimanga il tropo - l’essenziale è l’idea, a prescindere dalle parole usate l’ironia resta ironica purché io salvi il rovesciamento - quella di pensiero rimane, qualunque sia la specie di parola che uno usa - io uso un linguaggio che il pubblico riconosce, l’ironista deve fare di tutto per farsi capire ma non esplicitamente - fondamentale l’ironia nell’affermazione del pensiero illuminista→ hanno trasmesso attraverso l’ironia delle idee che non erano né futili, né sciocche - serve anche a semplificare le cose - il pubblico era a favore degli illuministi non dei censori - l’ironia ha contribuito a far circolare un certo atteggiamento→aiutare il pubblico ad assumere un atteggiamento di tolleranza [ VOLTAIRE non era per l’educazione, era un borghese, non era democratico(come i giovani della generazione successiva, Diderot..), ma sarebbe stato favorevole a un dispotismo illuminato, voltaire non voleva l’eguaglianza (lui diceva che i contadini dovevano essere pagati equamente ma senza insegnargli a leggere perché loro dovevano lavorare, dovevano essere trattati bene ma non educati, la lettura non gli serve ≠ d’altra parte diceva che la lettura era cosa buona per l’alta società) - la sua concezione della società non era egualitaria → atteggiamento paternalista - idea volteriana : dio esiste perché il mondo esiste e quindi presuppone un suo creatore, il mondo è regolato perché ci sono leggi di natura e ci deve essere qualcuno che le abbia regolate queste leggi (ma queste cose riguardavano solo pochi → lui si rivolgeva a un ristretto numero di persone, perlopiù appartenenti al governo→lui ha sempre frequentato le corti, stava vicino a questa gente ≠ Rousseau) - quando voltaire diceva che l’idea della letteratura fosse qualcosa di positivo e lo faceva ironicamente, lo faceva rivolgendosi a persone del suo pensiero, che potevano contestualizzare ciò che diceva e potevano capire che voltaire pensava il contrario ] EPISTOLA DEL PAPA, 1766 - il papa è CLEMENTE XIII - scritta un anno dopo il testo di voltaire(Mupthi) - voltaire aveva detto “sottise et benediction” (salute e apostolica benedizione)→voltaire riprende lo stesso linguaggio usato nell’epistola del papa perché aveva nell’orecchio questo linguaggio → voltaire l’aveva usato per fare ironia sui loro discorsi riguardo il pericolo della lettura e dei libri - il papa scrive di voler fermare la diffusione della lettura, altrimenti avrebbe portato gli uomini a convertirsi alla menzogna → “pestifero contagio dei libri” - “l’orribile pericolo della lettura”(Voltaire) → qui tradotto con “l’insolente licenziosità dei libri” - tono del 66 → sembra che il papa stia facendo il verso a voltaire, ma non è così, questo era il linguaggio dell’epoca - inoltre non è possibile che il papa faccia il verso a voltaire perché nessuno poteva dire a voltaire di aver preso in giro i preti nel suo testo, perché lui parla di preti di un'altra religione ( → è una copertura = in realtà nel suo testo voltaire sta prendendo in giro i propri) - voltaire parla del problema dell’intolleranza della nostra religione nei confronti delle altre religioni - sta prendendo un’altra religione ma in realtà il bersaglio è la nostra - voltaire imita il linguaggio di questa epistola, per questo sembra che anche questa lettera sia ironica, ma qui chi scrive è il PAPA, questo era il linguaggio che usavano, il linguaggio di Clemente non è ironico (ma se non si sa l’autore del testo non posso capire che è ironico) - il senso letterale è identico nei due testi ma è l’intenzione che cambia : voltaire usa le stesse parole ma se conosco voltaire posso attribuirgli un senso ironico, e se so che l'altro è il papa gli attribuisco un significato letterale → ma DEVO sapere chi l’ha scritto, devo avere questa informazione supplementare per distinguere il significato dei testi (in realtà non è vero perché voltaire ha introdotto dei segnali grossolani→ci dice che mupthi aveva mandato sottise e benediction a tutti) - il pubblico sapeva riconoscere nel testo di voltaire questo linguaggio→il pubblico comincia a capire che le parole di clemente sono delle stupidaggini → comincia a capirlo a condizione che si cominciasse a divulgare una certa mentalità a trasmettere sempre di più un certo spirito, attraverso uno spirito philosophique(il papa parla di “scrittori che seducono il pubblico con una gradevolezza, con la carezzevole fioritura di discorso”=ironico, divertente) - importanza, concretezza di questa critica di voltaire, erano cose reali, presenti, negli stessi anni in cui voltaire scrive il papa parlava in quella maniera lì, però non è una caricatura, è una messa in scena ironica (dove c’è la caricatura non c’è ironia, ironia è ambigua per definizione, ma la caricatura no, nella caricatura è chiaro che stai deformando, la caricatura carica→ voltaire invece non deforma niente) >TEXTE TIRÉ DE CANDIDE OU L’OPTIMISME, 1759 (Voltaire) CHAPITRE XXII Ce qui arrive en france à Candide et à Martin pag. 10 - nous permet de faire une comparaison entre montesquieu et voltaire - ce chapitre est littéralement SATIRE(pas figure propre d’un genre) - l’ironie n’est pas forcément la mobilisation du rire, peut être sérieuse, l’ironia non fa ridere, l’ironia di voltaire semplicemente rovescia una posizione, un giudizio - [esiste anche un’ironia tragica, associata a Sofocle] - satire des l'habitudes des personnages parisien - c’est le chapitre le plus long de Candide(généralement ils sont courts) où la narration de récit s’enlise → voltaire a voulu introduire ce chapitre parce qu’il voulait exprimer une opinion sur paris - en 1759 il est déjà en EXIL presque 20 ans → il parle de paris mais de LOIN : il se trouve en exil à la frontière suisse, dans un petite village à côté de Genève, ma al di là della frontiera francese - voltaire era un cortigiano di Luigi XV, era storiografo ufficiale di francia→finisce in esilio parce qu’il quitte la cour de Louis, pour aller à la cour de Frédéric II (donc Voltaire a quitté sa court pour aller chez un rivale) - mais voltaire se brouille avec frédérique et il va quitter la cour mais il ne peut pas rentrer en france, à paris, à versailles → il doit s'installer ailleurs→il s’installe à la limite, à la frontière, de manière que, s’il y a quelque problème avec louis, il peut s'enfuir en suisse - EXIL qui était garant de liberté mais au même temps il souffrait, éloigné du centre de la vie de paris → son rapport avec la ville était difficile, il la détestait mais aussi il l’aimait, il disait que paris, la france, était la plus belle, la plus riche de tout le monde, le centre de l’europe - pour toute sa vie il avait exprimé des idées ambivalents à l'égard de paris - L'attitude de Voltaire était dur - les cathédrales de paris n'étaient pas appréciées au 17eme siecle, paris n'était pas “les cathédrales” (come lo è oggi) → à l'époque c'était les invalides, certaines rues liées à la place de louis… - ancora a metà del secolo parigi era una città medievale [metà 800 : parigi sarà sventrata, vennero costruiti i grandi boulevards, le case parigine a 5 piani, tetti grigi, tipici parigini… → sono del 2^ impero] - il n’y avait pas encore des rues qui arrivaient au centre de paris - voltaire voyait les défauts, les caractères non-fonctionnelle, les critères qui n'avait rien de rationnel→ il critiquait la manière d’organiser la ville - critique sur l’urbanisme, sur l’administration de la vie(già dagli anni 40) - critique POLITIQUE, dans le sens propre du term = tout ce qui concerne l’administration de la ville (il s'intéresse énormément à cet aspect là) - il pensait à paris d’un point de vue politique - c'était plutôt une critique MORAL : les comportements des gens, critique des mœures de parisiens, les habitudes, les costumes —>d’un côté il y a une CRITIQUE MORAL, de l’autre une CRITIQUE POLITIQUE - même un petit roman qui a un intrigue est, peut être considéré comme une écriture discontinu, une narration sans détruire l’ordre —>le roman philosophique en générale était un genre considéré mineur - l’oeuvre classique est défini unitaire et sans parties = oeuvre organique→corpo in cui tutte le parti si riconducono a una unità(come anche il corpo umano, non è composto di pezzi) - pour le classicisme la valeur principale de l'oeuvre est son caractère unitaire - le roman n’est pas un oeuvre unitaire, il est construit par une série de segments d'épisodes, d’aventures, de digressions → un corps non-organique est composé par des parties différentes, c’est une assemblage des parties autonomes hétérogènes - roman→ genre qui embrasse tous les genres, n’importe quel sujet(il peut avoir épisodes comiques à côté des épisodes tragiques), on peut changer dès style (les classiques = homogénéité de style → ils considéraient le roman comme un genre mineur, IMPARFAIT, selon eux la perfection d’un genre était son unité) - genre utilisé pour dire choses différentes(=texte de montesquieu) - in un roman puoi sempre aggiungere qualcosa, non c’è problema - voltaire dans chaque chapitre raconte un épisode→il utilisait ses textes pour exprimer une opinion(à propos de la réalité sociale, situation politique européenne) - ce n’est pas de son intérêt qu’il a ajouté un chapitre(il a ajouté le XXII), parce que le roman le tolère, chaque épisode est une digression (comme les lettres persanes sont chacun un petit essai) - i roman non hanno quell’unità classica, ammettono aggiunte → nel 61 a voltaire è venuto in mente di mostrarci la sua opinione su Parigi, sui costumi della gente.. - non l’aveva fatto nel 59, gli viene in mente di farlo nel 61 - lo scopo è di esprimere l’opinion de l’auteur → utilise la fiction narrative pour dire ce qu’il pense sur certains aspects de mœures - ce chapitre, au contraire des autres chapitres, est MONOGRAPHIQUE MONTESQUIEU ne parle jamais de la ville réelle, il parle des moeurs, des habitants, Paris en tant que ville réelle est absente - parla di “nouvellistes” che stavano in questi giardinetti = individui che facevano circolare delle notizie(false perché ciascuno le traeva da fonti orali), raccontavano novelle, ognuno diceva opinioni.. - non descrive i novellisti, parla della moda che c’era a Parigi di questi novellisti - montesquieu racconta dei dettagli e parla di luoghi fisici e di personaggi, mais ce qu’il l'intéresse ce n’est pas la description des lieux (per esempio c’erano dei caffè a Parigi ma lui non descrive il caffè in sé, in quanto luogo, ma descrive l’abitudine del caffè) —>montesquieu est intéressé davantage aux modes, aux habitudes —>DE MÊME, VOLTAIRE ne parle pas de lieux, ni dans ces chapitres ni d’ailleurs - il parle de paris mais il ne parle pas de la ville réelle, il fait des remarques concernant des mœures - ce n’est pas le regard de quelqu'un qui décrit la ville mais de quelqu'un qui connaît les parisiens - il ne décrit pas la ville ni les personnages qu’on rencontre (par exemple il décrit une fille qui devient laide : la seule chose qu’il dit à propos d’elle c’est qu’elle était jolie au début, mais après elle est devenu laide → pas intéressé à l'aspect extérieure) - Ce n'est jamais une question d’individus, on ne présente jamais ces personnages par un nom et prénom, ce sont simplement un savant, un nouvelliste… → il décrit toujours des TYPES en generale = personnes qui représentent une classe générale d’individus, un genere di parigi - ils sont bidimensionnelles, types tout à fait vagues, tout reste très vague→il s’agit de parler des habitudes de parisiens = TIPI CHE INCARNANO LE ABITUDINI PARIGINE [LE COLONEL CHABERT descrive la realtà parigina (i vestiti, i luoghi..), o meglio dire inserisce il proprio racconto nella descrizione della realtà(per es. descrizione di uno studio di notaio, e la maniera in cui sono vestiti i personaggi ] [la seule chose qu’on dit à propos de MANON LESCAUT c’est qu’elle est jolie] >>DAL TESTO CANDIDE OU L’OPTIMISME, CHAPITRE XXII: - aussi satirique → Voltaire comincia il capitolo parlando di “MOUTON (= lama) avec la laine rouge” - decide di parlare di moutons perché fa ridere, è grottesco (chiama il lama “mouton” perché assomiglia a una pecora) - Candide si fermò a Bordeaux soltanto quanto bastava per vendere qualche ciottolo del Dorado - DORADO → pays tellement riche, on emporte ces diamants, pierres pour les revendre en europe - i lama fanno questo viaggio e alla fine ne rimane uno solo ? - Accademia della scienza di Bordeaux organizzava concorsi, mettevano a bando un tema e tutti potevano dare le proprie opinioni a riguardo → il laisse les moutons comme objet d'étude, personne ne l’avait jamais vus - la lana del montone era rossa, si cerca di capire il motivo del perché fosse rossa→rappresentazione satirica delle scienze(nonostante voltaire stesso avesse partecipato a questi incontri) - voltaire expliquait sa morale utilitaire → un savant du Nord avait établi que la laine on le pouvait calculer→ voltaire se moque de ce méthode, de cette manière de montrer à un mathématicien une question de morale - voltaire se moque de l’adversaire, pour montrer l'absurdité de ce méthode→pour voltaire était l’occasion pour exprimer des opinions de manière ridicule contre ses adversaires, mais sur n’importe quel sujet; il profite de l’occasion pour ridiculiser l’adversaire - la scrittura filosofica proprio perché non ha un argomento può trattare di tutto:voltaire va contro a questo scienziato con cui aveva avuto una lite e qui ne approfitta per tornare sull'argomento→questo episodio non ha nessun valore narrativo - romanzo filosofico è una scrittura in prosa che parla di qualsiasi argomento di interesse in quel momento all’autore ed è un modo per trasmettere al lettore le proprie idee(in questo caso polemiche) - lui scrive come se stesse conversando → l'écriture en prose pour ces philosophes c’est plus une conversation(non esiste all’epoca la parola letteratura, si parlava solo di poesia, e il romanzo in prosa era un genere minore perché per Voltaire non richiedeva uno sforzo per essere scritto ≠ la poesia costava fatica) - écriture philosophique = écriture spirituelle - on écrit à propos des sujets tout à fait sérieux et on écrit en prose justement parce que le monde pouvait dire, pour communiquer à un public beaucoup plus large → pubblico che comprendeva anche le donne, leggevano anche se magari non capivano - per scrivere la poesia come la praticavano nel 700 bisognava studiare il latino.. → non ci sono poetesse nel 600, ma nel 700 le donne cominciano a scrivere perché si scrive in prosa —>scrittura filosofica è anche uno strumento nuovo - 2 protagonisti di questo capitolo: - CANDIDE = giovane piuttosto ingenuo e buono di cuore - MARTIN = filosofo pessimista - ha un nome, è un personaggio bidimensionale(personaggi che non hanno dimensione psicologica) - il suo ruolo è quello di fare da contraltare a CANDIDE, il suo ruolo è il PESSIMISTA - le moraliste c’est celui qui critique les mœures → voltaire n’est pas intéressé à décrire une situation romanesque, MAIS une situation morale - SATIRE : tous les riches ont des amis, mais avec la pauvreté les amis disparaissent, non si trova più nessuno → voltaire présente ce message de manière ridicule - une narration sans décrire les personnages, c’est une manière en apparence facile, mais c’est toujours une opposition d’actions très rapides, sans s'arrêter sur une description réaliste - noi non vediamo la scenetta, è semplicemente una successione(≠Flaubert)→voltaire mostra l’essenziale, mostra il giudizio morale - écriture qui veut répondre à l’amusement - è tutto implicito, non è ironia in senso proprio→il lettore deve sforzarsi per cogliere il messaggio= il PIACERE DELLA LETTURA è SFORZARSI - ce chapitre est important parce qu’il est utile pour montrer une attitude que dans ce chapitre voltaire partage avec ses contemporains - il y a plusieur textes voltairienne où voltaire parle, où parle un philosophe=un homme soucieux de l'intérêt public, qui parle de paris, de questions administratifs, esthétiques mais toujours des réflexions qui visent la manière de réformer paris, l’administration de paris(toutes les formes publiques, pour améliorer la vie des parisiens, toutes ces choses matérielles) - dans ce chapitre le point de vue, la perspective c’est de quelqu'un qui ne veut pas décrire la ville mais qui veut parler de la ville en tant que moraliste - les philosophes sont moralistes dans son sens étymologique = le moraliste s'intéresse aux mœures contemporains, de son siècle, è colui che descrive gli usi comuni, i costumi - figure qui existe déjà dans les siècles précédents - activité moraliste = quelqu'un qui observe, critique et éventuellement réforme ces moeurs - pour des philosophes, des moralistes on peut utiliser des termes comme ENGAGÉS dans le sens moderne → à l'époque était un aphorisme par rapport au 17eme siecle, mais dans la réalité voltaire était un philosophe engagé = il prend des responsabilités, des jugements, il observe les habitudes pour les critiquer essentiellement - le ton du roman, de ce chapitre, est MORALISTE - le point de vue de voltaire c’est de souligner ce caractère satirique : a côté du jugement de Candide il y a toujours le jugement de Martin jugement toujours pessimiste→manière pour montrer certains habitudes, pour les critiquer avec la voix de martin, ce n’est paes la voix de voltaire et même pas laquelle de martin en réalité = dans la fiction voltaire utilise ce DOUBLE VOIX - comme le ton engagé chez montesquieu, dans le modèle de martin reste le SATIRE DE BOILEAU : elle est aussi critique, la satire peut être un jugement moral sur un conte de moqueur; boileau utilise un figure rhétorique, l’hyperbole=vise à exagérer les choses, il exagère une description et la transforme, charge les choses, est excessive, le titre sert à souligner comment la vie à paris est incommode, fa ridere per il tono esagerato(come fantozzi, se dicesse qualcosa senza iperbole non farebbe più ridere), l’iperbole rende ridicolo - autre aspect qui révèle l’attitude stylistique : voltaire parle de