La Révolution Française et l'Empire (1789-1814) - PDF
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Ce document traite de la Révolution française et de l'Empire, période de profonds changements politiques, sociaux et économiques en France et en Europe. Il aborde des concepts clés comme la nation et la souveraineté, et examine les événements majeurs de cette période.
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La revolution francaise et l’empire : une nouvelle conception de la nation 1789 1814 Les bornes et les enjeux 1789 : en France : changement brusque de regime par une revolution de la monarchie absolue a la monarchie constitionelle avec le meme roi desendant de louis XIV 1814 :fin de 1er empire avec...
La revolution francaise et l’empire : une nouvelle conception de la nation 1789 1814 Les bornes et les enjeux 1789 : en France : changement brusque de regime par une revolution de la monarchie absolue a la monarchie constitionelle avec le meme roi desendant de louis XIV 1814 :fin de 1er empire avec ll’abdication de napoleon bonaparte issu de la pettite noblesse corse , arrive au pouvoire en France puis en europe par la revolution et ses guerre Changement de regimes mais aussi d’homme lie a une dynamique de bouleversement profond la period revolutionaire La France connait en effet une rotation complette dans tous ses fondement politique sociaux , economique religieux avec des consequence sur l’ensemble de l’europe ses habitant se positionnent desorme comment appartemant non plus au roi mais a un nation Problematique comment le revolution fracaise puis l’empire cree une conception de la nation enfrance comme en europe ? Def - Nation : peuple qui a la conscience d’être uni par une histoire, une langue et la culture commune, une nation peut s’étendre sur plusieurs états ou un État comprend plusieurs nations. Lorsqu’un État ne comprend qu’une nation. On parle d’État, nation - –souveraineté : droit exercer autorité politique sur un territoire et ses habitants. I-la rupture révolutionnaire : la souveraineté royale à la souveraineté nationale, 1789 à 1792, 5 mai 1789 :ouverture des États généraux, mais paralysie immédiate pendant un mois. Quant à la modalité, tu votes par ordre ou par tête, le roi et favorable à la traduction. A- 1789, l’année des révolutions, le peuple devient un acteur public 1)Mai-juin 1789 : la révolution des députés 17/06 : premier acte de changement : les députés du tiers État estiment qu’il représentent 96 % de la nation se dirige en Assemblée nationale, chargé de décider des impôts. Le roi fait fermer la salle 20/06 : les députés du tiers état et une partie de la noblesse et du clergé se retrouve dans la statue du jeu de paume. Ils font le serment qu’il ne se sépare devront pas avant d’avoir donné une constitution à la France. 23/06. Clôture des états et généraux, discours miranbeau , législatif de la violence par la nation. 06/07 : après s’être reposé, le roi cède, l’assemblée nationale devient l’Assemblée nationale constituante les députés commencent à travailler et pense à l’fin du changement proche La nation ? Groupe d’humains, assemblée en vue d’intérêt commun. Ici la gouvernance de la France. Ce groupe d’humains représente un groupe d’humains, plus vaste dans l’esprit des débues , la nation et indissociable de la souveraineté. La nation doit se gouverner. 2) juillet octobre 1789, la révolution du peuple Journée révolutionnaire : 14 juillet 1789, Contexte : Paris en lussions qui attend avec impatience la rédaction d’une constitution et qui craint la répression royale, puisque Louis XVI a fait placer des troupes autour de la ville Evenement et lieux : prix cette arme aux invalides, recherche de la poudre à la Bastille, pris Bastille, au bout de plusieurs heures, après reddition, exécution du gouverneur et de la et du pré nouveaux lieu les quartiers populaires de l’Est parisien Acteur idee et principe -peuple : souhaite se defendre , souvrainete populaire ,liberte - roi : souhaite l’ordre et la securite , t’a le pouvoir militaire l’arrêt de la révolution –Gouverneur : tenir la forteresse, mais aucun ordre de se hierachie –Prévaux de Paris, bourgeois souhaitant le calme en ville Conséquence à court, thème et à long terme –Démolition de la bastile , vente des souvenires = creation du mythe de la bastille sympbole des noble pour les etrangee -premier départ des nobles pour l’étranger –Chaque ville a un maire dont bailly pour paris –fête nationale en 1880 3–14 juillet 1780 Journée révolutionnaire Nuit du 04 au zéro 5 août 1789 –Contexte, grande peur en province, scène de piage, lié à des informations contradictoire, provenant de Paris, député rédigeant la constitution –evenement et lieux : apposition des privilèges par suppression simple ou rachat –Lieu, Paris, Assemblée nationale –Peuple des campagnes menées par des bourgeois : vangeance fasse aux privilèges.principle d’égalité mais détourné(lois du talion) -député : stopper la grande peur, principe de justice est égalité devant la loi , opposition au pricipe de propriete Conséquence à court terme et à long terme –calme, à moitié le peuple qui doit racheter les privilèges passant sur la terre –Déclaration des droits de l’homme, citoyen fin de l’ancient regime –Députés, division entre les députés à propos des biens reliés nationaliser des biens du clergé pour rembourser les dete de l’etat et la salarisation du clerge s’il prtete serment a la constitition Journee reolutionaire (suite et fin) Journee du 05/06 octobre Contexte Mauvaise récolte, Parrain et Richard –refus du roi, d’accepter la pollution des priviléges Événement et lieu : Ferme parisienne à Versailles, pour obtenir du pain, revienne à Paris, avec la famille royale au Tuileries, –lieu : Paris, palais de Versailles, Assemblée nationale Actrice, IT et principe –femme parisienne : issue du peuple, obtienne du pas idée de sécurité alimentaire, transformer en idée de sécurité, politique, principe de bonheur, de nationalité supérieure au roi, donc, encadrement –roi : bien-être de ces sujets, avoir la vie sauve :– –meneur révolutionnaire, faire plier le roi, nationalité supérieur au roi –maire de Paris, aucune responsabilité dans la famille royale, le roi doit assumer le chef de l’État doit prendre des décisions pour pouvoir exécutif Consaquance a court treme et a long treme -Roi devient otage du peuple parisien –pain et livrer à Paris –peuple, manipulable –utilisation régulière de la violence 3) LA DDHC une déclaration de souveraineté national À la suite de la de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789, texte de circonstance, mais ayant acquis une envergure universelle et intemporel, les citoyens deviennent indissociable de la nation B-la monarchie constitutionnelle des crispations sur el sens et la place de la nation (1790-1792) 1) Une constitution qui donne une vision réductionnelle de la nation La constitution Vision reductrice de la nation un double titre il y a les citoyens et les noms citoyens, l’esclavage, subissent encore en 1791 Il y a les citoyens actifs et les citoyens passifs. La distinction est liée à la richesse plus encore au sexe, puisque les femmes sont exclues faire le suffrage censisaire Donc la déclaration des droits de l’homme et du citoyen est écrit, élu de manière réductrice, de même que la constitution qui en découlent. Cependant, les membres actifs, la révolution diffuse bien plus sur l’attitude du roi. 2) Un roi qui accepte difficilement la souveraineté nationale Par ses propos : l’ambigude de la fête de la fédération le 14 juillet 1790 Fete visdant à commémorer, la prise de la Bastille unifie, la nation, bouleversée par tant de changement moment d’unités où le peuple pense que le roi accepte les changements et sa nouvelle fonction. Or, le roi ne préte serment que dans la mesure où il posséde encore un contrôle sur le pouvoir législatif, c’est une unité de façade. -la fusillade du Champ-de-Mars, 17 juillet 1791, Le maire de Paris Balyi, ordonne de tirer sur la foule, faisant une cinquantaine de morts était blessé sur les lieux même où on au lieu de la fete de la federation 3) La journée décisive, la prise des Tuileries, la fin de la monarchie, 17 août 1789, contexte : –Guerre avec la Prusse et l’Autriche depuis 20/04 armée française en déroute , la France commence à être envahi -parution du manifeste de Brunswicte qui est pris comment lien entre le roi et l’ennemi -par menace, refus du roi de lever ses troupes Événémént, ét liéù –Prisé dés tùilériés ét fàmillé rôyàlé qùi s’ést réfùgié à l’Àssémbléé nàtiônàlé, pùis émprisônnémént dé là fàmillé rôyàlé àù témplé.liéù Pàris, Àssémbléé nàtiônàlé Àctéùr, idéés ét principé : -Rôi sàùvé sà vié, rétrôùvér sés pôùvôirs sôùhàitént qùé là Fràncé pérdé -sàns-cùlôttés, péùplé pàrisién, àrrété lé rôi, péùplé, principés dé jùsticé dé libérté Cônséqùéncé à lông térmé ét à lông térmé –Sùspénsiôn dé là mônàrchié cônstitùtiônnéllé –grànd màssàcré –instrùctiôn pôùr lé prôcés dù rôi –rélàncé dé là gùérré pàr là victôiré frànçàisé dé Vàlmy, lé 20 /09 –Prôclàmàtiôn dé là répùbliqùé, lé 27/09 DÉ LÀ MONÀRCHIÉ CONSTITUTIONÉLLÉ À LÀ RÉPUBLIQUÉ (1790,1792) Cômmént là vôlônté dé cônciliér là révôlùtiôn ést ùné mônàrchié qùi jôùé dôùblé lés jéùx, mémé à là crisé, pôlitiqùé ét rénvérsémént dé là mônàrchié 1) Lés débùt d’ùn nôùvéàù régimé À-là nàissàncé d’ùné vié pôlitiqùé À l’àssémbléé : lés dépùtés sé régrôùpént pàr àffinités, pôlitiqùé, cônsérvàtéùr à drôité , cônstitùtiônnéllé àù céntré ét démôcràtés à gàùché À l’éxtériéùr : dés clùbs pôùr prépàrér lés séàncés dé l’àssémbléé, pùis dés simplés citôyéns, pàyé d’ùné côtisàtiôn. clùb dés jàcànin,clùb dés côndéliér plùs pôpùlàiré Éxpréssiôn là libéràtiôn d’éxpréssiôn prôclàméé pàr là déclàràtiôn dés drôits ét dù citôyén, fàisànt dés jôùrnàùx. Pàrticipàtiôn dés dés fémmés à là vié pôlitiqùé, ôlympé dé gôùgés B-ùné nàtiôn ùnié … 14 jùillét 1790 : ràssémblémént nàtiônàl àù Chàmp-dé-Màrs à Pàris, fété là fédéràtiôn pôùr célébrér l’ùnité dés Frànçàis –Lôùis XVI, prét sérmént dé fidélité à là nàtiôn ét à là lôi –én réàlité, divisiôn prôfôndé càr nômbréùx àrtôcràté ônt immigrés ét énvisàgé ùné intrérvéntiôn àrméé + lé rôi, jôùé dôùblé jéù côrréspônd àvéc sôùvérint étràngér ét énvisàgé léùr intérvéntiôn C-.. màis ùn prémiér fàctéùr dé divisiôn, lés qùéstiôns réligiéùsés –Prôblémé dé déficit finànciér -dé nôvémbré, àssémbléé vôté là cônfictiôn dés bién dù clérgé màis à dispôsitiôn dé étàt qùi lés vénd -écclésàstiqùé dôivént prété sérmént sùr lé cônstititiôn cômmé àùtré fônctiônnàiré - printénps 1781 lé pàpé côndàné lé cônstititiôn civilé ét éncôùràgé lé clérgé à là résistàncé dônc nômbréùx prétrés réfràctàiré, nôtàmmént dàns l’Oùést 2) Des ambiguités lourdes de dangers A - La fuite du roi et la division des révolutionnaires ◦ Depuis 1789, Louis XVI accepte en apparence les réformes mais intrigue en secret pour obtenir intervention des monarchies étrangéres ◦ Nuit du 20 juin 1791 fuite de la famille royale pour rejoindre les Pays-Bas (autrichiens) : arrétés à Varennes et ramenés à Paris. ◦ Les députés modérés qui veulent conserver la monarchie constitutionnelle prétendent que le roi a été enlevé et font voter l'innocence du roi le 15 juillet ◦ 17 juillet: pétition (du Club des Cordeliers) et rassemblement au Champ de Mars pour la déchéance du roi → Loi martiale : garde nationale de La Fayette tire sur la foule ◦ Division des « patriotes» : ⁃ Modérés quittent les Jacobins → Club des Feuillants favorable à monarchie constitutionnelle. Pour eux la révolution est finie. ⁃ Jacobins, pris en main par Robespierre, favorable à la déchéance de la monarchie B - La Constitution de 1791 ◦ 3 septembre 1791: vote de la Constitution. ◦ Affirmation du principe de la souveraineté nationale. ◦ Le roi: pouvoir exécutif + droit de veto suspensif (peut retarder adoption d'un projet de loi) ◦ Assemblée législative (745 membres) élue au suffrage censitaire à deux degrés = pouvoir législatif. C - La guerre ◦ Opposition à la révolution de nombreux nobles qui émigrent vers Angleterre, Rhénanie (Coblence), Autriche → se rassemblent pour susciter intervention militaire des monarchies (Prusse, empereur d'Autriche, Angleterre, etc.) ◦ Louis XVI espére secrétement une guerre qui lui permettrait de restaurer son pouvoir absolu. ◦ 27 aoùt 1791: déclaration de Pilnitz (par l'empereur d'Autriche Léopold II et le roi de Prusse) menaçante à l'égard de la France (aprés fuite du roi). ◦ 20 avril : Louis XVI propose de voter la guerre à l'Autriche → votée à la quasi- unanimité. 3) La chute de la monarchie A - Une mobilisation populaire qui s'amplifie ◦ Depuis 1789, face à la contre-révolution et à la vie chére, le peuple des Sans- culottes se mobilise et constitue des sociétés populaires dans les différents quartiers de Paris. → Pour le suffrage universel : la taxation du prix du pain. ◦ A l'Assemblée, soutien de Robespierre aux revendications populaires. B - La chute de la monarchie ◦ Invasion du territoire dés le début de la guerre + menées des contre- révolutionnaires, → l'Assemblée législative vote déportation des prétres réfractaires, saisie des biens des émigrés → véto de Louis XVI. ◦ 20 juin 1792 : invasion des Tuileries par le peuple des Sans-culottes qui humilient le roi ◦ 11 juillet: l'Assemblée proclame « La Patrie en danger » et appelle à la mobilisation de volontaires → les Fédérés qui montent à Paris en chantant le Chant de guerre de l'armée du Rhin (La Marseillaise) avant de rejoindre l'Est. ler aoùt : manifeste de Brunswick = menace d'intervenir contre Paris si le roi doit encore étre humilié → colére des Fédérés et des Sans-culottes qui constituent une Commune insurrectionnelle. ◦ 10 aoùt: attaque du chàteau des Tuileries par les sections sans-culottes et les Fédérés Le roi se réfugie à l'Assemblée qui, sous la pression populaire, vote sa déchéance et son arrestation + convoque à des élections au suffrage universel pour élire une nouvelle assemblée : la Convention. DE LA REPUBLIQU EDEMOCRAtIQUE A LA TERREUR (1792-1794) Comment les perils qui menacent la republique et la pression du pouvoir popuplaire des sans-cullot conduisent a la terreur 1) La rebublique democratique face a la question de roi A) La convention Conventioncomposéé én grànd pàrtié dé bôùrgéôis dé fôrmàtiôn jùridiqùé màis déviséé éntré : - Grôndins=mdérnés= sé méfiént dù pôùvôir dés sàns cùllôté + pôùr libéré écônômiqùé + fédéràlisté + pôùr àppél àù péùplé sùr là môrt dù rôi - Môntàgnàrd : fàvôràblé àùx révéndicàtiôn pôpùlàiré + céntràlisàtéùr + môrt dù rôi sàns fàir àpplé àù péùplé Éntré cés déùx là « pléiné » ôù lé « màràis » Sé réùnissént pôùr là prémiéré fôis lé 20 séptémbré jôùr dé là victôiré dé Vàlmy, 21 séptémbré 1792, prôclàmàtiôn dé là répùbliqùé b) lé prôcés ét là môrt dù rôi –Dépùté dé là cônvéntiôn sé divisànt sùr lé sôrt à résérvér àù rôi –Rôbéspiérré, ét nômbréùx môntàgnàrds côntré lé prôcés, là révôlùtiôn à déjà côndàmné. Lé rôi prôcés ést môrt dé Lôùis XVI. –Girôndin, éssàyé dé rétàrdér lé prôcés, pùis prôpôsé l’àppél àù péùplé Décôùvérté dé l’àrmôiré dé fér, ôù sé trôùvé lés dôcùménts, prôùvànt tràctiôn dù rôi àvéc ét énémié 11 décémbré débùt dù prôcés, 14 jànviér 1793, déclàré côùpàblé à l’ùmànité 16 jànviér : péiné dé môrt vôtér lés àùtrés vôùlàiént sùrsis ôù àùtré péiné 21 jànviér 1793, éxécùtiôn dù rôi plàcé là révôlùtiôn 2) Là démôcràtié répréséntàtivé dé là cônstitùtiôn fàcé à là démôcràtié dirécté dés sàns cùllôté À- Dé gràvé dàngér àù printémps 1793 -difficùltés à l’éxtériéùr, côàlitiôn dé présqùé tôùs lés pàys d’Éùrôpé côntré là Fràncé –Sôùlévémént à l’intériéùr sôùlévémént, àntirépùblicàin dàns l’Oùést côntré là lévéé én màssé dé 300 000 hômmé, càthôliqùés ét rôyàlé, méné pàr lés nôblés côntré Véndéé, Màiné-ét-Lôiré ét déùx dé Sévrés -prôblémé, écônômiqùé B-là préssiôn dù môùvémént pôpùlàiré -môbilisàtiôn, àctivé dù péùplé d’àrtisàns ét dés bôùtiqùéré. Sàns cùllôté ôrgànisér én sôciété pôpùlàiré ét 48 léctéùrs dàns Pàris, démôcràtié dirécté, fôrcé dé préssiôn, lé pôùvôir légàl -dispôsànt, d’àrmés ét qùélqùés cànôns -prét à sé môbilisér dàns lés rùés, lôrsqùé sônné lé tôcsin dé l’hôtél dé villé én càs dé dàngér pôùr là révôlùtiôn C-Dés mésùré d’éxécptiôn Mài 1793 : fàcé àùx mùltiplé dàngér qùi ménàcé là rébùblic ét pôùr répôndré àùx révéndicàtiôn dés sàns cùlôttés cônvéntiôns vôté dés mésùré déxéptiôn Màximùm dù prix dés gràins ét fàriné Cômité dé sàlùt pùplic pôùr hôtér lé tràvàil dù gôùvérnémént Répréséntànt én missiôns pôùr àssùrér là lvéé dés 300000 hômmés 3) Lé didàctùré dés sàlùt pùblic : lé térréùré À-lé chùté dés girôndins Lés môntàgnàrd àppùiént révéndicàtiôn dés sàns-cùllôt Qùi réclàmént tàxàtiôn ,réqùisitiôn dés récôltés côntré lés girôndins qùi réfùsé lés mésùré pôrtànt àttéinté à là libérté écônômiqùé 2 jùin : sàns cùllôté, àssigné là cônvéntiôn , réclàmé ét ôbtiénné l’àrréstàtiôn dés 29 dépùté girôndins trôp môdérnés à léùrs yéùx. Dé nôùvéùx énémis intériéùr ; révôlttés fédéràlisté à lyôn tôùlôn éct B-là térréùr à « à l’ôrdé dù jôùr » -séptémbré 1793 Fàcé àùx mùltiplés dàngérs, éxtériéùr ét intériéùr qùi ménàcé là révôlùtiôn, lés dépùtés réclàmé là térréùr, l’ôrdré dù jôùr 17 séptémbré, vôté dé là lôi dés sùspéct 17 /09 /93 jé sàis pàr lé tribùnàl révôlùtiônnàiré, 3000 éxécùtiôn pàr gùillôtiné à Pàris Énvôié dé répréséntànts én missiôn àùprés dés généràùx dés àrméés, répùblicàins pôùr écràsér là révôlùtiôn càthôliqùé ét rôyàlisté plùs fédéràlisté én prôvincé Tôtàl 40 000 victimés dé là térréùr Lùtté ànti réligiéùsés dés cinq cùlôttés dé décrispàtiôn, àdôptiôn dù càléndriér révôlùtiônnàiré C-là chùté dé rôbéspiérré Sé séntànt àccôùchént pàr céùx qù’ils véùlént ùn rénfôrcémént dé là térréùr, pùis à drôité pàr céùx qùi sôùhàité là fin dé là térréùr, rôbéspiré éliminé sùccéssivémént Lés énràgés, sôùténù pàr lés 100 cùlôttés, lés plùs ràdicàùx, àrrétér, pùis éxécùtér Lés géns dàntôn càmillé déssmôùtin àrrétér, jùgér pùis éxécùtér Lôi dù 22 prôiriàl 10 jùin 1794 rénfôrcér là térréùr + pôùvôir dé plùs én plùs pérsônnél dé Rôbéspiérré, dé plùs én plùs dés dépùtés hôstilé à Rôbéspiérré, àccùsés dé dictàtùré 9 thérmidôr àn 2 (10 jùin 1794) Rôbéspiérré ét 19 dépùtés, àrrété ét éxécùtér lé 10. Térmidôr. Fin dù gôùvérnémént révôlùtiônnàiré ét dé là térréùr L’ÉTÀT NÀPOLÉONIÉN Intrô Àprés dissôlùtiôn dé là cônvéntiôn lé 26 ôctôbré 1795, cônstitùtiôn d’ùn diréctôiré dé cinq mémbrés pôùr dirigér lé pàys Un régimé mé fràgilé qùi fràppé tàntôt, l’ôppôsitiôn rôyàlisté, tàntôt l’ôppôsitiôn môntàgnàrd péndànt qùé là gùérré sé prôdùit Lé généràl Nàpôléôn Bônàpàrté, fôrt dé cés sùccés én Itàlié, ét dé là càmpàgné dés Égypté, réntré én Fràncé ét prénds lé pôùvôir pàr ùn côùrs d’Étàt dé 19 drùmmér Hàns VIII 9 nôvémbré 1799 Cômmént Nàpôléôn Bônàpàrté ést étàbli ùn ôrdré pôlitiqùé, àùtôritàiré ét cônsérvé néànmôins lés grànds principés dé là révôlùtiôn. Ét cômmént-t-il diffùsér cés principés én Éùrôpé ? 1) Lé cônsùlàt, ùné répùbliqùé àùtôritàiré À-là cônstitùtiôn dé 1799 Qùélqùés sémàinés, àprés lé côùp d’étàt, ùné nôùvéllé cônstitùtiôn prômùlgùéé Répùbliqùé, cônsérvér sôùs sés symbôlés Màis régimé àùtôritàiré Pôùvôir éxécùtif éntré lés màins dé trôis cônsùl Bônàpàrté, prémiér cônsùl. L’initiàtivé dés lôis ét dés pôùvôirs éténdùs Bônàpàrté nômmé différénts mémbrés Dù cônséil d’Étàt qùi prôpôsé lés lôis dônt lé prémiér cônsùl à l’initiàtivé Dù sénàt, chàrgé dé chôisir lés dépùtés dù pôùvôir législàtif Pôùvôir législàtif, àffàibli càr déùx àssémbléés Tribùnàl discùté sàns vôtér Côrps législàtifs vôtés sàns discùtér Tônié dé l’épôqùé : d’ùn côté, lés mànchôts dé l’àùtré côté lés mùét B)ùné sôùvrénàinété nàtiônàlé limité Sùfràgé ùnivérsél ést màinténù màis vidé dé sà fôrcé càr plùsiéùr dégrés Lés 6 milliôns dé citôyéns né fônt qùé déssignés listé éléctôràlé d’éléctéùr qùi désigné listé prôvénçàùx qùi désigné là listé nàtiônàlé dàns làqùéllé lé sénàt chôisit Orgànisàtiôn dé plébiscité, cômmé sùr là nôùvéllé cônstitùtiôn dé 1799 Rôùté 1802. Bônàpàrté, cônsùlàt vié 3,8 milliôns ôùi pôùr 8304 nôn. B) Un pôùvôir céntràliséé Pôùr éténdré sôn àùtôrité à l’énsémblé dés pàys Bônàpàrté s’àppùié sùr l’àdministràtiôn trés céntràlisé Àùtôrité dépàrtéméntàlé, élù rémplàcér pàr dés préféts nôminés pàr Bônàpàrté Préféts préséntànt l’étàt éncôùràgé l’àctivité écônômiqùé étàbli cé ràppôrt sùr là pôpùlàtiôn dù dépàrtémént 2- lés « màssés dé grànit » Sélôn Bônàpàrté, lés Frànçàis sônt cômmé dés gràins dé sàblé qù’il fàùt stàbilisér én jétànt sùr là sôl qùélqùés màssé dé grànit À) Là môdérnisàtiôn. Réôrgànisàtiôn dé là fiscàlité, nôminàtiôn dé récévéùr, pércéptéùr, méilléùr, réntréé dés impôts Févriér 1800 créàtiôn dé là bànqùé dé Fràncé bànqùé privéé, màis qùi réçôit lés privilégés dés démissiôn dés billéts dé bànqùé, prét àù cômmérçànt ét fàit dés àvàncés à l’étàt 1803. Créàtiôn d’ùné mônnàié d’àrgént stàblé, lé frànc gérminàlé. B) Là réôrgànitàtiôn dé là sôciété Fôrmér dé nôùvéllés élités fôndéés sùr lé tàlént dé là cômpéténcé ét nôn plùs sùr là nàissàncé, 1802, créàtiôn dés lycéés pôùr fôrmér ôfficiér ét fônctiônnàiré 1804. Créàtiôn dé là Légiôn d’hônnéùr pôùr récômpénsé dévôùlémént àù sérvicé dé l’Étàt. 1804. Unificàtiôn dés lôis pàr lé Côdé civil, qùi cônfirmé, cônqùété révôlùtiônnàiré, màis impôsé côncéptiôn, trés àùtôritàiré, dés rélàtiôns dé tràvàil, dé là fàmillé, lé Côdé civil. B- Uné vôlénté dé pàcificàtiôn À) Là pàix réligiéùsé Vôlénté dé méttré fin àùx trôùblé dé là révôlùtiôn : déchristiànisàtiôn pérsécùtiôn, prétré réfràcténés + ôbténir lé sôùtién dés càthôliqùé 6 jùillét 1801, signàtùré dù côncôrdàt àvéc lé pàpé piéIII -libérté dé cùlté -càthôliqùé, récônnùé, cômmé réligiôn, à là gràndé màjôrité én Fràncé -lé répôs dù dimànché ést rétàbli Récônnàissàncé pàr lé pàpé dé l’àcqùisitiôn dés bién nàtiônàùx B) Là pàcificàtiôn intériéùr 24/11/1799 àrmisticé àvéc lé chéf dé là véndéé Répréssiôn dés ôppôsitiôn rôyàlisté ét jàcôbin Lé prémiér cônçù Nàpôléôn Bônàpàrté sé rénd à l’ôpérà à péiné sà vôitùré à-t- éllé pàssér lé côin dé là rùé qù’ùné éxplôsiôn d’ùné viôléncé réténtit Bônàpàrt Chàprôn, l’àtténtàt màis én cômpté plùs dé céntàinés dé victimés ét dés màisôns détrùités il pénsé qùé c’ést lés jàcôbins qùi ônt fàit çà Éxécùtiôn dù éx dùc d’énghén 1804) Sùrvéillàncé étrôit dé là pôlicé dé fàùchér Cénsùré sùr là préssé C) Là pàix à l’éxtériéùr 09. /02/1801 pàix dé lùnévillé àvéc l’Àùtriché, cônfirmé cônqùété là Bélgiqùé ét récônnàît lés répùbliqùés sœùrs én Itàlié. LÉ GRÀND ÉMPIRÉ ÉT SON ÉFFRONDRÉMÉNT Intrô : sàcré émpéréùr, 2 décémbré 1804, Nàpôléôn Iér sé làncé à là cônqùété dé l’Éùrôpé, cômmént lés victôirés dé là gràndé àrméé ménànt à là cônstitùtiôn dù grànd émpiré, qùi sé héùrté cépéndànt à là cônditiôn dés mônàrchié ét là résistàncé àù péùplé. prôvôqùé sôn éffôndrémént 1) Là cônstitùtiôn dù grànd émpiré À- Dé là nàtiôn àù àrmé à là grànd àrméé Fini l’àppél àù térré ôù là lévéé én màssé Pôùr récrùtér, sôldàt, Nàpôléôn, cônsérvé lé systémé instàùré pàr là lôi cônscriptiôn, sérvicé militàiré éntré 20 ét 25 àns, là nàtiôn én àrmés Tôtàl dés cônscrits, môbilisér 1,6 milliôns là gràndé àrméé, là plùs nômbréùsé Éùrôpé Systémé dé l’àmàlgàmé pérmét dé ménér jéùné récrùé àù vétéràn qùi lés fôrmé Àvàncémént pôùr lé ràng ét lé mérité ,systémé égàlitàiré Créàtiôn d’écôlé d’ôfficiér, Sàint-Cyr ét pôlytchniqùé B- lé témps dés victôirés 1803. Réprisé dé là gùérré pàr l’Ànglétérré, férmétùré dés pôrcs pôùr lés ànglàis, dônc pàs dé màrchàndisés frànçàisé inqùiét pôùr cés éntréprisés, côlôniàlés dés fétés frànçàisés dé Tràfàlgàr 1805. Réprisé dé là gùérré sùr lé côntinént, sérié dé victôiré -côntré l’Àùtriché àùstérliz -côntré là prùssé iénà - côntér là rùssié : frélànd tràité dé tilsit àliàncé - côntré l’àùtréché wàgràm ét àlliàncé pàr màriàgé dé nàpôléôn àvéc màrié lôùisé C- lé blôcùs côntinàntàl 1806. Pôcùs côntinéntàl côntré l’Ànglétérré, répliqùé àù blôcùs dés côtés frànçàisés pàr l’Ànglétérré. Éntràîné là cônnéxiôn dés rivàgés, dé l’Àllémàgné, dù Nôrd à céùx d’ùné pàrtié dé l’Itàlié= àttàqùé côntré Pôrtùgàl, pùis l’Éspàgné 2) L’Éùrôpé nàpôléôniénné À- Lé grànd émpiré ét l’inflùéncé frànçàisé Là Fràncé à 130, dépàrtémént àppliqùé dés trànsfôrmàtiôns issùé dé là àmbitiôn, sùppréssiôn dés privilégés ét dù sérvàgé sécùlàrisàtiôn dés biéns dù clérgé Côdé civil Étàt sôùmis à là Fràncé, pàyé én tribù ét fôùrnissé cé dés trôùpés -vàssàùx : cônfédéràtiôn dù Rhin cônféràtiôn hévétiqùé -rôyàùmé, gôùvérnér pàr prôchés rôyàùmé d’Itàlié Éspàgné nàplé ét wésphàlié Àlliés àù néùtràlisér én 1811 émpiré d’Àùtriché ét dé Rùssié, Prùssé, Dànémàrk B- Là résistàncé dés péùplés Fàcé à là dôminàtiôn frànçàisé, lé séntimént nàtiônàl sé dévélôppé dàns cértàins pàys Éspàgné, révôlté ét gùérillà côntré lés trôùpés frànçàisés Sôùlévémént nàtiônàùx dàns lés pàys àllémànds 3) L’éffôndrémént dé l’émpiré À- L’Éùrôpé côntré Nàpôléôn 1812. Rùptùré dé l’àlliàncé cônclù à filsit én jùin 1812 cômpàgén dé là rùssié Sémi- victôiré sùr là màscôvà éntréé dàns môsciù désért ét incéndié pùis rétràité qùi s’àchévé pàr ùn désàstré, pérté dé 380 000 hômmé L’àffàiblissémént dé là gràndé àrméé, dônné lé signàl dù sôùlévémént dé là Prùssé, réjôint pàr l’Àùtriché Lôùrdés défàité à làipzing 1913 là bàtàillé dés nàtiôn Àidér pàr l’Ànglétérré, lés Éspàgnôls sé libérént dé l’ôccùpàtiôn frànçàisé B- L’invàsiôn dé là Fràncé Jùillét 1814. Invàsiôn dé là Fràncé pàr lés trôùpés dé là côàlisiôns 31 màrs, lés àlliés éntré dàns Pàris. 6 àvril, àddictiôn dé Nàpôléôn à l’ilé d’élbé, Lôùis XVIII, prôclàmént rôi