Lectures pour la séance 6 PDF
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Université Paris-Dauphine
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These lecture notes detail the story of an indigenous person, highlighting the themes of exploitation, colonial impacts, and the violence inflicted on indigenous communities. It particularly focuses on historical events and the effects on the indigenous population.
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Lectures pour la séance 6 : La mort d'un indien : Accroche : apparition de l'automobile dans les villes besoin de caoutchouc Prix du caoutchouc très élevé : énormément de profit pour les banques, les directeurs, les employés qui exploitent les indiens. = donc bcp de corruptions pour continuer à...
Lectures pour la séance 6 : La mort d'un indien : Accroche : apparition de l'automobile dans les villes besoin de caoutchouc Prix du caoutchouc très élevé : énormément de profit pour les banques, les directeurs, les employés qui exploitent les indiens. = donc bcp de corruptions pour continuer à exploiter les indigènes Caoutchouc : or noir Destruction des forets Douleur des indiens, envie de mourir a cause de la violence Violence extrême (on frappe son entrejambe) et il meurt En gros il prend l'exemple d'un indien qui s'est fait exploité Enfance : Petit habitait dans une maison construite par sa miff dans la foret Père était le tuchaua (jsp c'est quoi mais une sorte de chef je pense) Mere qui fait la cueillette avec les autres femmes On mange bien Quand son père va mourir il va aussi être tuchaua Il dit que pour devenir un homme il doit apprendre à souffrir : se perce le nez et des fourmis le pique Fête de la virilité : danse, chante, fait du tambour Une fois qu'il est un homme : Il lui faut une femme Il choisit une femme d'une autre tribu Il donne des cadeaux au père et au chef de la tribu, et du petit bois a la mère de sa future femme Quand il est marié il devient gros et paresseux et ne connais plus la fin car sa femme fait tout (premier degré c'est ça) Les blancs arrivent : Visitent les maisons Sont très grands Les Indiens sont nus et les blancs sont habillés Les indiens ont peut des blancs mais les blancs donnent des cadeaux « nous sommes amis » Les blancs invitent les indiens chez leur « grand maitre » le grand maitre possède toute la foret et les rivières Il demande aux indiens du jebe (c'est la sève de l'arbre de crois) en echange des cadeaux Fatigue dans la recherche du jebe Ils veulet se reposer mais les blancs les empechent car le grand maitre les attend Les frappes pour aller plus vite Deux indiens s'enfuient mais sont rattrapés : les blancs les tuent. Certains disent qu'il faut se rebeller mais les autres ont peur Quand ils arrivent chez le grand maitre de nombreux cadeaux Il veut une lampe à petrole Grande fete : tout le monde est ivre Le chef sort et tout le monde l'acclame (El Boliviano) Il dit que les hommes qui ont apporté quelque chose peuvent aller aux femmes L'indien pose la question sur « les femmes » à un mec à coté En gros il y a 6 femmes dans une maison pour 200 hommes C'est les plus jeunes et les plus jolies Les mec lui dit que les indiens sont des bêtes (donc le perso principal) et que si il ne ramène pas assz de jebe on lui enlèvera aussi sa femme Le lendemain les blancs demande au chef de rassembler tout le monde pour les compter Mais ils ont fait fuir les femmes et les enfants dans la foret Donc quand les blancs s'en rendent compte ils fouettent le chef (le père de l'indien) L'indien (perso principal) craque parce qu'il ne supporte pas de voir son père comme ça Le travail forcé coommence : Normalement cérémonie lors de la aissance d'un enfant Mais quand premier fils de l'indien pas de cérémonie Les blancs fouettent la femme après la naissance Quand pas assez de jebe : fouet Plus le temps de chasser et pecher : faim Certains essayent de cacher leurs familles : décapités Les blancs les font partir du village avec la jebe sur le dos : certains meurent sur le chemin « ils nous traient comme des animaux » Peur de la violence : les indiens se volent le jebe entre eux pour pas se faire fouetter Plus de tribu Les indiens abattent les arbres car espèrent que quand il y aura plus d'arbres les blancs partiront Il revoit sa sœur qui est devenu une femme des blancs Elle lui demande de la tuer mais il ne peut pas Il s'est promis de recolter assez de jebe pour avoir un fusil et tuer tous les blancs Quand plus de jebe : ils ont voulu fuir Mais rattrapés par les blancs Tuent le père de l'indien Le mettent dans le cepo enchainé (le cepo c'est un piège, un trou) : en gros ils sont prisonniers Bcp de maladies, de morts Il se fait un ami Teofilo : apprend la langue des blancs Les « jefe » (donc les maitres ) travaillent pour de plus grands maitres Les hommes noirs sont payés pour battre les indiens Les blancs disnet que les indiens ne peuvent pas etre payés Teofilo dit que 30 000 indiens sont morts juste dans leurs régions Mais teofilo attrape la variole Puis l'indien aussi attrape la variole Ils le jettent dans la rivière mais il n'ets pas mort Donc il guérit Il retrouve sa famille ! Mais parfois des blancs passent à coté d'eux donc doivent etre silencieux : tuent les chiens pour pas faire de bruit Les indiens décident de partir loin Donc notre perso principal va la nuit pour essayer de trouver le chemin Mais quand il revient tous les indiens qui etaient avec lui sont morts Il décide de prendre une machette et de tous aller les tuer (après je crois qu'il est lui-même tué) On a le pov d'un homme noir qui était la lors de la « correria » (je pense que c'est le massacre genre) Il doit se souler pour oublier : bat sa femme On a un autre pov d'un autre noir : il pleure et veut retourner dans les Barbades Pov el boliviano : Malade de la syphilis Il est ivre Ses huits filles sont autour de lui mais elles le degoute Donc il les tue Pov administrateur de la chorrera (endroit ou il y avait les idiens de ce livre je crois) : Se fait rappeler a l'ordre car pas assez de caoutchouc cette année Alors que il y a 10 ans il faisait 35 000 livre de caoutchouc et cette année c'était 90 000 livres = toujours plus de demande de caoutchouc Donc il boit et demande aux filles de venir danser Pov Senor Pabléo, directeur en chef d'iquitos (capitale de l'amazonie un truc comme ça) : Reçoit focntionnaires du gouv Car scandale sur la manières dont les indiens sont traités dans un article = doit corrompre Pov redacteur Saldana Rocca : Ecrit un autre article sur la violence par la Peruvian Amazon Company Extrait d'un de ses anciens articles : Parle de la violence, du meurtre de jeunes enfants Donc se remet à écrire : Explique que il y a eu à peu près 40 000 personnes tuées pour même pas quatre millle tonne de caoutchouc Pov de Don Julio (créateur de la Peruvian Amazon Company (PAC)) : Dans l'opéra de Manaos (opéra construit sur le modèle de l'Opera de Paris) On y voit une société tout nouvelle, riche. Don Julio est la, il passe un très bon moment avec sa maitresse qui va performer : les gens lui sourit, le complimente Mais quelqu'un vient le voir : sa maitresse a attraper la fièvre jaune ! Donc doit aller voir un médecin très vite Pov premier président de la PAC : Lui aussi est malade mais a biarritz POV verificateur des comptes de la PAC : Sent le bourbier arriver, sent un scandale arriver a cause du redacteur (celui d'avant la) A l'impression d'avoir été pris dans un reseau très dangereux Pense au suicide Les actionnaires commencent à se dire que quelque chose cloche avec la compagnie Conclusion : On a en dernier un homme riche qui est affilié un tout petit peu avec la Compagnie mais qui ne sait pas du tout comment ça se passe : il passe une très bonne soirée avec ses amis L'auteur dit que pendant ce temps-là, un indien meurt et les automobiles continuent de passer par la fenêtre. Jacques Brasseul : L'afrique centrale Traite atlantique dure plus longtemps en Afrique Centrale car au début Royal Navy s'interessait que a l'afrique de l'Ouest. Prise de captifs continue jusqu'au début du 19^e^ siècle pour le bresil ou cuba. Or du Mexique contre des captifs. Dans les années 1960 : 30 000 captifs par an qui partent du congo Prod d'autres produits remplace progressivement la traite (mais tjrs esclavage just en interne) Un de ces produits : caoutchouc Collécté par les Tchokwés (angola, congo) Pop de l'Etat indépendant du congo (a l'epoque sous le roi de la begique) est mis au travail de façon effroyable. Esclavage et terreurs, tueries. 100 tonnes en 1890, 6000 tonnes en 1901. Visiteur anglais parle d'une « société secrète d'assassins » JB murphy dit que chaque village doit extraitre caoutchouc Grande violence