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CONCEPTS DE BASES Philippe Valois CONCEPTS DE BASES ➤ Apprentissage ➤ Changement, par augmentation ou diminution ➤ Principalement d’ordre quantitatif ➤ On ne désapprens pas, on apprend une nouvelle facon de faire ou faire moins de chose mais on ne va pas consid...

CONCEPTS DE BASES Philippe Valois CONCEPTS DE BASES ➤ Apprentissage ➤ Changement, par augmentation ou diminution ➤ Principalement d’ordre quantitatif ➤ On ne désapprens pas, on apprend une nouvelle facon de faire ou faire moins de chose mais on ne va pas considerer que cest un desaprentissage. Droite : graphique d’accélération qui est ut en enseignment de precision. Semi- Logarythmique. Axe les x est arithmétique : progression constante du nombre de jour. Axe y logarythmique : 001 01 1 1 10 100 Permet de montrer visuellement sil y a progression ou non et sil y a acceleration de lapprentissage. Apprentissage est vraiment Quantitatif CONCEPTS DE BASES ➤ Acquisition ➤ Apparition d’un comportement nouveau. Aussi vu comme une première phase d’un nouvel apprentissage. ➤ Principalement d’ordre qualitatif ➤ Exemple : plus grand diviseur commun On acquiert des nouvelles connaissances, comportements. Et on apprends a performer mieux. Qualitatif car il y a un avant et apres. Avant la personne ne savait pas et apres elle a acquis. Algorythme pour comment proceder pour appouver le plus grand diviseur commun entre 2 nombres CONCEPTS DE BASES 1 ➤ Exemple : plus 1,25 grand diviseur commun ➤ R = 65 – 52 = 13 ➤ Étape 1 ➤ Étape 3 (bis) ➤ A = 247 3 2 ➤ A -> 52 ➤ B = 65 ➤ B -> 13 ➤ Étape 2 ➤ Étape 2 (ter) ➤ 247 / 65 = 3,8 ➤ 52 / 13 = 4 ➤ R = 247 – 65 ➤ R = 52 – 13 x 3 = 52 x4=0 ➤ Étape 3 ➤ Étape 4 = 13 ➤ A -> 65 ➤ Pas besoin de ➤ B -> 52 l’apprendre ➤ Étape 2 (bis) ➤ 65 / 52 = pour le cours 4 CONCEPTS DE BASES ➤ Éducation ➤ Système politique et philosophique de l’apprentissage Education : comment on apprend? Qu’est ce qui doit être appris? D’abord pol puisque les gouv sen melent. La phil s’en melent aussi : a savoir ce qui va fav lapprentissage. ➤ Pédagogie ➤ Étude de la manière d’enseigner, de favoriser l’apprentissage Pedagogie : comment on enseigne? Comment lenseignant peut favoriser lapprentissage chez lapprenant quil soit eleve ou etudiant? Plusieurs manieres denseigner lie phil ou système pol CONCEPTS DE BASES ➤ Évolution ➤ Phylogenèse : histoire génétique et évolutive d’une espèce. ➤ Ontogenèse : histoire développementale d’un individu. Important sur comment on concoit ce quil est possible dapprendre pour l’individu. On ne pourra jamais voler avec des ailes car on n’en a pas. Pigeon ne pourra pas attraper un balon car pas de mains. Pour parler apprentissage il faut savoir les limites physiologiques des organismes a letude Tout organisme va se dev ds un environnement particulier qui va l’influencer Env familiale a un effet sur le dev de l’enfant. Chaq org provient dune espece et de son dev. Chose qui sont appris et dautres qui vont etre necessaire detre apprise. Enfant tsa ne developpe pas par eux meme le langage. Il faut des techniques pour les aider, fav emergence du langage. 30-40h de thérapie par semaine, contact 1 a 1. Dans le developpement, apprentissage est necessaire ( ex apprendre a lire). Langage se dev tres naturellement par observation, il y a des questions physiologique, fonctionnel =aide a entrer en contact avec les autres. Psy du dev on sintéresse aux moyennes = dev moyen ou lenfant devrait etre Psy apprentissage on sinteresse au 1/1 CONCEPTS DE BASES ➤ Sélectionnisme (évolution) Environnement selectionne certain trait ( bio : trait associé a la genetique) selection naturelle 3 étapes importantes ➤ Variation : première étape du processus. Mutation génétique et expression génétique influencée par l’environnement (épigénétique). mutation gen. Variation ds lexpression meme du dev gen, lie a lenvironnement, epigenetique. env peut venir bloquer expression de certain gènes. ➤ Sélection : survie des plus adaptés ou mort des moins adaptés. Dépends de l’environnement, ce n’est pas nécessairement le plus fort, le plus rapide ou le plus intelligent. les moins adaptés qui meurent et le top qui survivent. Ex : saumon on perdu leur taille car passe plus rapidement ds des filets. ➤ Rétention : transmission des caractères des parents à la progéniture. : transmission gen. Avoir des enfants permet cette transmission genetique. ➤ Sélectionnisme (apprentissage) Faire un parallele en apprentissage ➤ Variation : variation des comportements dans le temps et dans l’espace. Variation ds ce que lon fait, agis, actions que lon pose. Plus on vieilli moins il y a de variation. Une fois de temps en temps on va prendre un autre chemin. Lenvironnement ( tout ce qui est en dehors du corps ex lunette, vetement maison) va venir modifier certain comportement surtout csq appetitive ( selection) ➤ Sélection : les comportements adaptés obtiennent des conséquences appétitives ➤ Rétention : les comportements qui ont obtenu des conséquences appétitives ont plus de chance d’être reproduite dans le futur. on risque de reproduire comportement appetitif, moins reproduire si csq negative CONCEPTS DE BASES ➤ Les variables ➤ En psychologie, toutes les caractéristiques des humains qui peuvent différer d’un individu à un autre (variation interindividuelle), voir dans le temps chez un même individu (variation intra-individuelle), est une variable. ➤ Variable indépendante (VI) ➤ Celle qui a un effet sur une autre variable. ➤ En apprentissage, la majorité des VI sont externe à l’individu ( mais pas toujours, on regarde surtout celles qui sont le plus externes ); elles proviennent de son environnement. ➤ Variable dépendante (VD) ➤ Celle qui subit l’effet d’une autre variable. ➤ Il s’agit nécessairement de comportements qui montrent l’apprentissage (comment la personne agit) ➤ Relation fonctionnelle ( entre les 2 soit vi et vd) ➤ Lien entre une variable indépendante et une variable dépendante ( quelle quantité de changement nec sur une vi va entrainer le changement voulu sur une variable dep, comment reduire sx compulsion, on va regarder les relations fonctionnelles de cause a effet et que l’on peut mathematiser) ➤ Lien mathématique entre les stimuli et les comportements CONCEPTS DE BASES ➤ Comportements ➤ Toute action d’un organisme qui peut être observée. ( observé par qui? Distinction entre comportement manifeste et couvert) ➤ Manifeste (ouvert) c. couvert ➤ Manifeste : comportement qui est observable (et généralement mesurable) par autrui (avec nos yeux). Cela peut nécessiter un appareil pour la mesure. ➤ Ex. manger une pomme, dormir durant un cours, l’activité cérébrale à l’aide d’un électroencéphalogramme ➤ Couvert : comportement qui n’est observable que par soi-même. ( obs seulement par ind qui le produit) qqun externe ne peut pas observé directement. Différent des choses cachées que l’on fait dans notre chambre seule que potentiellement qqun pourrait observé vs penser a un éléphant rose que nous seul pouvons observé. ➤ Ex. penser à un éléphant rose. ➤ Topographie de réponse Un ind ne fait jamais 2 fois la même chose => topographie de la réponse/comportement ➤ Forme particulière de la réponse. ➤ Il existe plusieurs moyens pour mesurer la topographie particulière des comportements. ➤ Analyse molaire c. moléculaire 2 chercheurs vont sinteresser au meme comportement mais ne vont pas le regarder de la meme manière => ca peut amener des différences, ce qui explique analyse molaire vs moléculaire ➤ Molaire : plus global; les comportements sont regroupés ensemble dans un répertoire, les intervalles d’observations sont allongés, etc. Molaire : Créativité, comportement generaux ➤ Moléculaire : plus particulière, précise; les comportements sont subdivisés ou séparés en séquences distinctes, les intervalles d’observations sont réduits, etc. Moléculaire : Tsa reponse tache particuliere et obs sec par sec ce quil font ➤ Répertoires comportementaux ➤ Ensemble de comportements émis et potentiels se regroupant sous un même nom. Repertoire gen : tout ce que ind peut potentiellement emettre. Repertoir Particulier : creativité, un repertoire capture qd on a des idées prendre le temps de les noter  Lecture ; si on sinteresse au nombre de textes lu, cest MOLAIRE CONTRE MOLÉCULAIRE molaire. Moléculaire si on sinteresse au nbr de page lues etc etc. Monte : le plus molaire. Descendre : moléculaire Plus molaire Nb de textes lus Nb de pages lues Nb de paragraphes lus Nb de phrases lues Nb de mots lus Nb de phonèmes lus Nb de lettres épelées Plus moléculaire CONCEPTS DE BASES ➤ Stimulus/stimuli ➤ Indices ou signaux qui peuvent être perçus par un individu. Peuvent être très simple ou très complexe. (plein de stimuli autour de nous. Nos vêtements on peut sentir le poids, dans la classe on peut entendre la ventilation) ➤ Ils peuvent différer quant à leur topographie, leur durée, leur intensité, leur modalité, etc. ➤ Ex. un son de 10 MHz et un son de 15 MHz. C’est différent. 2 son de 15Mhz sont différent si lun est presenté longuement et lautre courtement. ➤ Stimulus appétitif et stimulus aversif (dépend de l’individu, il ne faut jamais présumer que l’organisme aime ou n’aime pas qqchose, il faut lui demander) ➤ Appétitif : présent un intérêt pour un individu. ➤ Aversif : a un effet répulsif pour l’individu. ➤ Réponse ➤ Comportement d’un organisme lié à la présentation d’un stimulus. (comportement emis en fonction dun stimulu) ➤ Une réponse peut devenir un stimulus pour un autre individu ou pour soi-même ➤ Exemple pour autrui : devant sa présentation, le prof indique qu’un concept à l’écran sera à l’examen. Les étudiant.e.s notent que le concept est important pour l’examen. ➤ Exemple pour soi : Une personne énonce « j’ai été chanceux à date, je touche du bois », puis elle cogne faiblement et rapidement sur un meuble en bois. CONCEPTS DE BASES ➤ Opération d’appui ➤ Processus qui peut modifier le degré d’appétibilité ou d’aversion d’un stimulus, voir l’inverse complètement. ( tente de modifier qqchose chez ind à quel point qqchose peut être appétitif ou aversif, voir inverser) ➤ La déprivation : privation prolongée de l’accès à un stimulus entraîne une augmentation de son appétibilité ou une diminution de son aversion. ➤ En recherche, les animaux sont maintenus à 70% de leur poids libre lors des périodes d’expérimentation. Quand ils sont dans la boite de skinner ils ont faim. La nourriture devient très appétitive. ➤ La satiété : présence prolongée ou consommation prolongée (voir excessive) d’un stimulus, entraînant une diminution de son appétibilité ou une augmentation de son aversion. ( ex : directeur thèse, patiente qui prends 2-3 serviettes et les amène dans sa chambre, on la laisser combler son besoin et après son désir pour les serviettes à diminuer) ➤ Ces processus ne fonctionnent pas toujours. (manger bonbon a excès, boire à l’excès)  On va la chercher la contiguité et la CONCEPTS DE BASE contingence ➤ Contiguïté temporelle ➤ Proximité dans le temps de deux stimuli (ou plus). ( un arrive avant lautre ou en meme temps) ➤ Plus la contiguïté temporelle est élevée, plus l’apprentissage est facilité. ➤ Contiguïté spatiale ➤ Proximité dans l’espace de deux stimuli (ou plus). ( proche physiquement mais pas de temporelle ) ➤ Moins efficace que la contiguïté temporelle, elle facilite quand même l’apprentissage. ➤ Contingence (une cause l’autre, un est toujours présent avant l’autre) ➤ Il s’agit d’une relation fonctionnelle entre deux évènements, c’est-à-dire que l’un cause l’autre.  Cercle puis bonhomme sourire CONTIGUÏTÉ TEMPORELLE  4 items se regroupent et bougent ensemble. On va avoir tend a les associer ens CONTIGUÏTÉ SPATIALE CONCEPTS DE BASES ➤ Associationnisme (associer des choses ens, tenter de predire ce qu’il va arriver) ➤ Apprentissage associatif ( associer 2 stimuli ens ou un stimili et une réponse, cest des associations, association entre des choses) (cond classique : association entre 2 stimulis. Cond operant association entre un stimuli et une réponse) ➤ Entre deux stimuli (S-S) ➤ Entre un stimulus et une réponse (S-R) ➤ Apprentissage non associatif ( apprentissages qui vont survenir juste par la présentation d’un stimuli ) ➤ Habituation ( présentation du même stimulis à répétition, surtout si très perceptible on fini par ne pas y réagir, ex vivre près d’une autoroute) ➤ Diminution de la force de la réponse après plusieurs présentations du stimulus ➤ Sensibilisation ( stimulu qui est peu perceptible qui a force de presentation va devenir tres perceptible. Ex : la goute deau dans l’evier) ➤ Augmentation de la force de la réponse après plusieurs présentations du stimulus ➤ Empreinte ( acquisition en fonction dun stimulis particulier ex ; empreinte filiale oissilon qui apprennent qui est leur mere en criant) ➤ Un seul stimulus présenté au bon moment est suffisant pour acquérir un comportement ou un répertoire comportemental ➤ Facilitation sociale ( présence congénère peut modifier les comportements des ind ca peut augmenter les reponses mais ca peut aussi les diminuer, ex : cours de yoga gens ont tend a performer plus par la simple présence de congere, pers se sentent obs) ➤ Présence d’un congénère augmente les réponses CONCEPTS DE BASES ➤ Paramètre d’analyse (Comment on mesure les comportements, plusieurs facons de procédé) ➤ Comment mesurer les comportements ➤ Taux de réponse (fréquence) ( qd on obs un org en continue, comportement emis, on obs la frequence de ces comportements, ex : nbr de fois que le rat appui sur le levier). Oui il y a une période d’observation mais on ne fait pas de calcul mathématique (examen), on fait juste dénombrer le nombre de fois que la chose arrive. ➤ Nombre d’apparitions d’un comportement dans une période d’observation ➤ Ex. Durant une observation en classe, une analyste a observé que l’enfant s’est levé 34 fois de sa chaise. ➤ Débit (on doit faire un calcul pour comparer combien de fois par heures, fréquence diviser par 60 minutes), 1 fois par jours, 2 fois par jour je ne le mettrai pas en minute. ➤ Nombre d’apparitions d’un comportement selon une unité de temps généralement brève ➤ Ex. Nb/minute ➤ Ex.2 L’observation en classe a durée 60 minutes, l’enfant s’est levé 0,57 fois par minute ➤ Probabilité d’apparition ( quand on connait l’ensemble des comportement dun ind ds une contrainte/situation particuliere on peut parler de prob dapparition du comportement, porche du debit mais exprimé en pourcentage) on regarde la fréquence et on le divise sur l’ens des comportements emis ou ensemble des observations. Sur les 10 période observations de 15 minutes, les 1000 compt emis, 50% du temps l’enfant derangeait dautres enfants ➤ Comparaison entre l’apparition d’un comportement et les contraintes environnementales présentes ➤ Nécessite de connaître l’ensemble des comportements d’un individu sur une longue période d’observation CONCEPTS DE BASES ➤ Paramètre d’analyse ➤ Intensité ( labo plus, quantité dun comportement soit amplitude =qtité de salivation, geste ample ou en force=qtité énergie émise, force exercé sur un levier ) ➤ Quantification pour un comportement en amplitude ou en force ➤ Amplitude ➤ Quantité d’une chose (ex. salive, réponse électrodermale, pression sanguine) ➤ Force ➤ Quantité d’énergie émise (ex. force exercée sur un levier) ➤ Durée ( surtour quand cest continue et long. Combien de temps il fait sa crise de bacon ds le magasin) ➤ Longueur de temps d’un comportement ➤ Vitesse ➤ Déplacement/temps CONCEPTS DE BASES ➤ Paramètre d’analyse ➤ Temps de réaction / latence ( combien de temps ça prends avant de réagir-que la pers reagisse, temps entre le stimulus et la réponse) ➤ Temps entre un stimulus et une réponse. ➤ Ratio d’exactitude/nombre d’erreurs ( très utilisé en éducation, voir progression de lapprentisssage surtout si lié avec vitesse) ➤ Réfère à la notion de comportements appropriés ou de bonnes réponses ➤ Nombre de « bonnes réponses » ou de « mauvaises réponses » sur nombre de réponses totales ➤ Topographie ( dans les entrainements particuliers que l’on veut favoriser l’émergence de certains comportements) ➤ La manière d’exécuter un comportement ➤ Ex. S’habiller, écriture la lettre A, ouvrir une boîte marquée « ne pas utiliser une lame », etc.  LES MÉTHODES D’ENREGISTREMENT Méthode utilisé pour prendre paramètres, thérapie obs et mesure ce qui se passe, les changements, est ce que ca va mieux, comment ca va mieux  LES MÉTHODES D’ENREGISTREMENT ➤ Il existe différentes méthodes d’enregistrement des comportements, selon le protocole de recherche, le paramètre choisi et le type de comportement. ➤ Enregistreur cumulatif ( 1er inventé pour mesurer la fréquence des comportements, rouleau de papier qui défile et un trium qui est posé dessus. ➤ Si pigeon appuis sur disque trium monte un peu, chaque fois qu’on le voit augmenté c’est que un comportement est émis, ➤ ligne droite, pas de comportement émis, ➤ barre ajoutée quand cond opérant : comportement suivi de l’obtention d’un renforçateur) ➤ Méthode classique où chaque présentation du comportement est cumulée sur un graphique en fonction du passage du temps. ➤ Une barre oblique est présentée lorsque le comportement est suivi d’un renforçateur. https://people.bu.edu/fabio/newpage2.htm LES MÉTHODES D’ENREGISTREMENT ➤ La grille d’observation ➤ Descriptions exhaustives et mutuellement exclusives des comportements pouvant être observés chez un individu dans une situation données. ➤ Elle permet à plusieurs observateurs de partager les mêmes critères pour l’observation d’une situation. ➤ Un accord interjuge doit être effectué afin d’établir la fiabilité des résultats obtenus. Utilisé en salle de classe. Noter observation. Liste exhautive. ici observer les enseignants ds une classe. 8 cat de comportements. Codification. Si enseignant ne fait rien on va rien noter mais des quelle est en contact avec l’enfant on va noter le code. On ne peut pas attribuer 2 codes pour le meme comportement. LES MÉTHODES D’ENREGISTREMENT ➤ L’accord interjuge s’obtient selon différents critères (s’assurer qu’ils rapportent la même chose) ➤ Méthode 1 : le pourcentage d’accord ➤ Nombre d’accord sur (divisé) le nombre total d’observations. ➤ Minimum de 80% (sinon pb de fiabilité), mais préférable en haut de 90%. ➤ Son principal avantage est qu’il est rapide à calculer. ➤ Par contre Ne tiens pas compte du hasard. ➤ Méthode 2 : Kappa de Cohen ➤ Pourcentage d’accord en lien avec (ajout) la probabilité d’obtenir les résultats par la chance. Corrige le genre d’erreur du au hasard. Donc plus difficile a obtenir mais plus fiable. ➤ Il a tendance à être plus conservateur (plus faible que le pourcentage d’accord). ➤ Méthode 3 : corrélation intraclasse ➤ À privilégier lorsqu’il y plus de deux observateurs. LES MÉTHODES D’ENREGISTREMENT Méthode 1 : le pourcentage d’accord A B C D E Totaux A 9 0 1 0 0 10 B 0 23 0 0 2 25 C 0 1 17 1 1 20 D 1 0 2 21 1 25 E 0 1 0 3 16 20 Totaux 10 25 20 25 20 100 𝑆𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑎𝑐𝑐𝑜𝑟𝑑𝑠 𝑃𝑜𝑢𝑟𝑐𝑒𝑛𝑡𝑎𝑔𝑒 𝑎𝑐𝑐𝑜𝑟𝑑= 𝑆𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑎𝑐𝑐𝑜𝑟𝑑𝑠+ 𝑠𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑑 é 𝑠𝑎𝑐𝑐𝑜𝑟𝑑𝑠 84 84 𝑃𝑜𝑢𝑟𝑐𝑒𝑛𝑡𝑎𝑔𝑒 𝑎𝑐𝑐𝑜𝑟𝑑= = =84 % 84 +16 100 LES MÉTHODES D’ENREGISTREMENT Méthode 2 : Kappa de Cohen, accord plus sévère A B C D E Totaux A 9 0 1 0 0 10 B 0 23 0 0 2 25 C 0 1 17 1 1 20 D 1 0 2 21 1 25 E 0 1 0 3 16 20 Totaux 10 25 20 25 20 100 𝑃𝑟𝑜𝑏𝑎𝑏𝑖𝑙𝑖𝑡 é 𝑑𝑒𝑠 𝑜𝑏𝑠𝑒𝑟𝑣𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠−𝑝𝑟𝑜𝑏𝑎𝑏𝑖𝑙𝑖𝑡 é𝑐h𝑎𝑛𝑐𝑒 𝜅= 1 −𝑝𝑟𝑜𝑏𝑎𝑏𝑖𝑙𝑖𝑡 é 𝑐h𝑎𝑛𝑐𝑒 0,840 − 0,215 0,625 𝜅= = =0,796 1 − 0,215 0,785 MÉTHODES D’ENREGISTREMENT ➤ Enregistrement par intervalle ( ds la grille d’observation, moment obs et un moment ou on note et on arrête donc d’observé pour noter) ➤ Lorsque le comportement observé est complexe et difficile à compter, il est préférable de noter sa présence ou son absence durant un intervalle prédéfini. ➤ Une grille d’observation est généralement nécessaire ➤ Les observateurs séparent la période totale d’observation en intervalles de plus courtes durées et notent la présence ou l’absence du comportement ciblé durant cette période. ➤ La durée des intervalles dépend de la durée normale du comportement et du niveau de précision (molaire ou moléculaire) souhaité par les observateurs. ➤ L’observation peut se faire en présence ou par un enregistrement vidéo. MÉTHODES D’ENREGISTREMENT ➤ Enregistrement par échantillon de temps ( qd pas possible observer en continu ) ➤ Lorsqu’il n’est pas possible de faire de l’observation en continu, il est possible de faire un échantillonnage des périodes d’observation. ➤ Par exemple lorsqu’il n’est pas possible d’effectuer un enregistrement vidéo. ➤ Ou lorsque la fréquence attendue du comportement est relativement faible. ➤ Il y a deux intervalles qui s’alternent durant l’observation, soit une période d’observation et une période de notation. ➤ Ces intervalles peuvent être très courts (ex. 5 secondes d’observation, puis 5 secondes de notation) ou plus longs (ex. 10 minutes d’observation suivie de 20 minutes de notation). LES MÉTHODES DE RECHERCHE LES MÉTHODES DE RECHERCHE ➤ Observation naturaliste ➤ Observation des comportements dans le milieu naturel du sujet. ( classe, maison, magasin, milieu hébergement) ➤ L’objectif est de connaître les actions naturelles de l’individu observé. ( qu’est ce qui se passe, déclenche des colères) ➤ Il s’agit surtout d’une recherche descriptive ➤ L’étude de cas ➤ Les observations sont soit faites en milieu naturel, soit elles sont faites dans un cadre structuré avec tests. ➤ L’objectif est de présenter un cas typique ou un cas particulier en lien avec un trouble ou une situation. Ex : cas unique ou cas typique ds une situation avec un pb ➤ La portée de ce type d’étude est limitée LES MÉTHODES DE RECHERCHE ➤ Les études expérimentales à sujet unique ➤ Ces études, qui peuvent porter sur plus d’un individu parfois, servent à évaluer l’efficacité d’un traitement pour l’individu observé. On obs ind separément et non de manière groupé. Ici on fait un avant et apres mais un adulte a la fois vs autre recherche ou on regarde les moyennes des sx depresse du groupe experimentale et controle ➤ Ces méthodes sont au cœur des thérapies basées sur la psychologie de l’apprentissage. ➤ Elles ont en commun de nécessité une évaluation appelée niveau de base ou période de référence afin de voir les effets sur les comportements observés LES MÉTHODES DE RECHERCHE ➤ L’étude à comparaison simple (AB) ➤ Méthode la plus simple. A = niveau de base. B ou c après la thérapie ➤ Après l’évaluation du niveau de base, le traitement est introduit et plusieurs observations sont effectuées. ➤ Les deux périodes sont comparées pour voir s’il y a une différence dans l’observation des comportements. ➤ Cette méthode ne permet pas de vérifier l’effet véritable du traitement puisqu’il pourrait y avoir une explication alternative. ➤ Cependant, elle est recommandée lorsqu’il n’est pas possible de retirer le traitement, pour des raisons éthiques ou pour des raisons pratiques. Pas ethique de retirer l’intervention une fois qu’elle est mise en place. On va la conserver  Vert niveau de base stable ÉTUDES À COMPARAISON SIMPLE Étude à comparaison simple (AB) 30 25 20 15 10 5 0 1 2 3 4 5 6 7 Niveau de base Traitement LES MÉTHODES DE RECHERCHE ➤ L’étude à renversement(ABAB) ( on favorise étude à renversement vs ab) ➤ Après l’évaluation du niveau de base, le traitement est introduit, puis retiré et réintroduit. ( possible de retirer le traitement ce qui permet de voir diminution/augmentation ) ➤ Le retrait du traitement et sa réintroduction permettent d’évaluer le lien causal avec le comportement ciblé. ➤ Principalement deux possibilités lorsque le traitement semble fonctionner : ➤ La fréquence des comportements revient à un niveau similaire au premier niveau de base. Le traitement semble alors avoir un lien causal. ➤ La fréquence des comportements ne change pas entre les périodes de traitements et le second niveau de base. Il n’est pas possible d’être certain que le traitement est réellement  ÉTUDE À RENVERSEMENT (ABAB) AVEC EFFETS DU TRAITEMENT Étude à renversement (ABAB) 30 Niveau de 27 28 27 base 25 25 26 25 traitement 23 24 24 24 23 puis niveau 22 22 21 de base 20 19 traitement 17 on voit 15 16 16 15 diminution 14 13 13 a chaque 12 11 12 11 fois 10 10 therapie, je suis sur que 5 c’est ma therapie qui fonctionnne 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 Niveau de base Traitement ÉTUDE À RENVERSEMENT (ABAB) SANS EFFETS CLAIRS DU TRAITEMENT Étude à renversement (ABAB) 30 25 Dans ce cas on ne 20 peut pas etre sur 15 que cest la thérapie qui a un 10 effet. 5 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 Niveau de base Traitement LES MÉTHODES DE RECHERCHE ➤ L’étude à renversement à deux traitements (ABCAC) ➤ Lorsqu’un premier traitement ne semble pas efficace après observation, il est possible d’introduire un traitement différent et utiliser la méthode de renversement en retirant cette deuxième intervention avant de la réintégrer. ➤ On veut observer des changements. Retire nouveau traitement pour voir les changements  ÉTUDE À RENVERSEMENT COMBINANT DEUX TRAITEMENTS Bleu niveau Étude à renversement combinant deux traitements de base, 1er 35 traitemnt pas efficace, 30 jarret de le 28 28 29 donner 2eme 27 26 26 27 26 26 27 25 25 25 25 25 traitement 23 24 24 24 23 jobserve un 22 22 changement, 20 je le cesse, retour au 15 13 13 niveau de 11 12 11 12 11 11 12 11 base, je 10 10 10 9 10 redonne 2eme 5 traitement 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 Niveau de base Traitement 1 Traitement 2 LES MÉTHODES DE RECHERCHE ➤ L’étude à niveaux/lignes de base multiples ➤ Méthode privilégiée lorsqu’il y a plusieurs sujets, situations ou comportements. ➤ La durée du niveau de base pour chaque élément est différente, mais l’observation débute en même temps. ➤ Après un certain nombre d’observations (généralement entre 5 et 7), le traitement est commencé pour le premier élément. ➤ Après le double du nombre d’observations du premier, le traitement est commencé pour le deuxième élément. ➤ Après le triple du nombre d’observations du premier, le traitement est commencé pour le troisième élément. Ainsi de suite. ➤ Si les modifications pour chaque élément sont observées en lien avec le début du traitement, il est alors possible d’affirmer qu’il y a une relation fonctionnelle entre le traitement et les comportements observés. ÉTUDE À NIVEAUX DE BASE MULTIPLES https://www.researchgate.net/ figure/Exemple-dun-graphique- pour-un-devis-a-niveaux-de- base-multiples-dans-trois- contextes_fig1_273132961