Analyse Distributionnelle LNG 1400A PDF

Summary

This document presents an analysis of word distribution. It includes exercises and questions related to linguistics and phonetics, specifically concerning the French language. The document delves into topics such as phonetics, phonemes, minimal pairs, and the relationship between sounds and meanings in different languages.

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LNG 1400A ANALYSE DISTRIBUTIONNELLE Annonces (à venir) 2 Exercice : Grec Données : a. [ora] ‘heure’ [tinora] ‘l’heure’ b. [aniksi] ‘printemps’ [tinaniksi] ‘le printemps’ c. [bora] ‘orage’ [timbora] ‘l’orage’ d. [domata] ‘to...

LNG 1400A ANALYSE DISTRIBUTIONNELLE Annonces (à venir) 2 Exercice : Grec Données : a. [ora] ‘heure’ [tinora] ‘l’heure’ b. [aniksi] ‘printemps’ [tinaniksi] ‘le printemps’ c. [bora] ‘orage’ [timbora] ‘l’orage’ d. [domata] ‘tomate’ [tindomata] ‘la tomate’ e. [goma] ‘gomme’ [tiŋgoma] ‘la gomme’ 1. Quelles alternances voyez-vous dans l’article défini (l’équivalent de le, la, l’ en français) ? 2. Dans quel(s) contexte(s) chaque allomorphe de l’article se trouve-t-il ? Faites-en une généralisation. 3. Proposez la FSJ de l’article et décrivez le processus qui le transforme. (Nos principes de logique pourraient vous être utiles ici.) 3 Révision Lorsque nous avons discuté de la question de la plosive [t] par rapport à la battue [ɾ] dans des mots anglais comme write, nous avons utilisé diverses formes dérivées (comme writer, writing, writes, etc.) et nous avons fait une généralisation sur l’endroit où chacun des sons se trouvait. Nous avons ensuite tiré la conclusion que, puisque write ne doit avoir qu’une seule FSJ, il est plus logique que le /t/ soit sous-jacent et que le [ɾ] soit dérivé par un processus. Nous avons aussi brièvement parlé des battues dans des contextes simples (monomorphémiques), comme dans le mot meter. ◦ En l’absence d’allomorphes, pouvons-nous en dire quelque chose ? ◦ Notre illustration de la taille de l’inventaire et des permutations nous a appris qu'il est préférable de limiter le nombre de sons de base, mais pouvons-nous le faire ici ? 4 Possibilités Comment expliquer write(r), meter ? Solution 1 (rejeté) : /ɹaɪɾ, mijɾɚ/ /ɾ/ devient [t] en fin de mot… et devant /s/… et… Solution 2 : /ɹaɪt, mijɾɚ/ /t/ devient [ɾ] entre deux voyelles, mais /ɾ/ peut exister dans les FSJ en manque d’alternances Solution 3 : /ɹaɪt, mijtɚ/ /t/ devient [ɾ] entre deux voyelles et toute instance de [ɾ] provient de /t/ Question centrale : est-il mieux d’opter pour l’explication plus apparente (2) ou plus uniforme (3)? 5 Prévisibilité La deuxième possibilité /ɹaɪt, mijɾɚ/ peut être tentante, mais elle laisse beaucoup de questions sans réponse. Si /ɾ/ est autorisé comme « son de base » en anglais et peut être présent dans les formes lexicales, pourquoi semble-t-il y avoir une restriction quant à l’endroit où il se trouve (c’est-à-dire entre les voyelles), même dans les FSJ ? On pourrait s’attendre à ce qu’un « son de base », en raison de son importance, se retrouve dans une variété de contextes et, par conséquent, puisse servir à faire des distinctions lexicales. En d’autres termes, si la plosive et la battue sont toutes deux des « sons de base », on peut s’attendre à une certaine imprévisibilité entre les deux. Si je disais que je pense à un mot en français québécois, je vous en donne la majeure partie, plus deux options pour le son par lequel il commence, réussirez-vous à deviner l'image que j’ai en tête, ou aurez-vous une chance sur deux ? ◦ Prenons [_iʁwaʁ]. ◦ Si l’on choisit entre [t] et [ts], il n’y a pas de contestation possible. ◦ Mais entre [t] et [m], c’est une question de chance. La prévisibilité est la clé – ou plutôt l’absence de prévisibilité. 6 Conséquences En optant pour la troisième option /ɹaɪt, mijtɚ/, nous pouvons faire appel à un processus que nous avons déjà proposé pour writer (et ainsi de suite), ainsi qu’éliminer un son de l’inventaire des sons de base. En résumé, l’anglais n’a pas de battue au fond. Toute battue présente dans un corpus de transcriptions phonétiques proviendra nécessairement d’un /t/ sous-jacent. Il est évident que cela dépend de la langue. En espagnol, la battue est en fait aussi importante que le [t]. Prenons l’exemple de [peɾo] par rapport à [peto] (‘mais’ par rapport à ‘plastron’), où la distinction n’est pas prévisible. Le son se retrouve dans les mêmes contextes que [t] et peut servir à distinguer les mots. /ɾ/ doit donc figurer dans des FSJ de l’espagnol. Mais, d’un autre côté, prenez le [z] en espagnol que l’on ne trouve que devant d’autres fricatives voisées, comme dans [razɣo] ‘trait’. Contrairement à l’anglais et au français, nous pourrions affirmer que toutes les occurrences phonétiques de [z] proviennent de /s/ ! Chaque langue trace ses propres lignes quelque part. 7 Termes : Phonème Cette discussion illustre deux notions plus importantes, celles de phonème et de paires minimales. Le phonème est ce que nous avons appelé jusqu’à présent les « sons de base ». ◦ Un phonème est essentiellement un élément de construction sonore nécessaire et spécifique à une langue. ◦ Il s'agit d’une chose abstraite qui réside au niveau sous-jacent (seuls les phonèmes doivent être trouvés à ce niveau) et qui tend à jouir d’une distribution très libre à ce niveau. ◦ En d’autres termes, les contextes dans lesquels un phonème se trouve (c’est-à-dire dans les FSJ que vous proposez) devraient être divers et peu prévisibles. La langue devrait être en mesure de le combiner très librement (là encore, dans des formes sous-jacentes). Les variantes de surface (c’est-à-dire les prononciations) d’un phonème donné, en revanche, peuvent être très prévisibles. C’est le cas de [t] et [ts] venant de /t/ en français québécois – [ts] se produit devant les voyelles antérieures fermées et leurs homologues semi-vocaliques, alors que [t] se trouve ailleurs. Les prononciations d’un phonème (qu’elles y soient identiques ou non) sont appelées allophones. 8 Termes : Paire minimale Un moyen sûr de faire l’argument si un son doit avoir un statut phonémique ou non dans une langue donnée est de savoir s’il peut participer à des paires minimales avec un son similaire. (Cette notion de similarité sera quelque peu vague. En général, votre attention sera attirée sur certaines comparaisons pour faciliter cette tâche). Plus précisément, une paire minimale consiste en deux mots qui ont des significations différentes dans une langue et qui ne diffèrent que par les deux sons comparés. De plus, dans l’idéal, ces deux sons ne diffèrent que par un seul aspect de la prononciation (qui sera éventuellement défini en termes de traits distinctifs), mais ce ne sera pas toujours le cas. La paire [peɾo] et [peto] (et [pero], etc.) en espagnol prouve que ces sons proviennent de sources différentes. Ainsi, contrairement à l’anglais, [ɾ] et [t] ne peuvent être réduits à un seul phonème. 9 Avertissement Attention cependant – vous vous posez peut-être une question du type : « Qu’en est-il de [tsiʁwaʁ] et de [miʁwaʁ] en français québécois ? Ou une paire comme beating et beeping ([bijɾɪŋ] et [bijpɪŋ]) en anglais ? Ne s’agit-il pas de paires minimales ? » La réponse est si, mais la conclusion n’est pas que les sons exacts qui participent à ces paires minimales sont les phonèmes. Ce qu’une paire minimale nous montre, c’est que les deux sons ne peuvent pas être dérivés du même phonème. De l’autre face de la médaille, l’absence d’une paire minimale dans une langue, toujours entre deux candidats plausibles (sons similaires), signale très probablement que les deux doivent appartenir au même phonème. 10 Termes : Contraste Ce que les paires minimales attestent effectivement, ce sont des cas de contraste, un autre terme important. Le contraste est la capacité de deux sons à se retrouver dans le même type de contexte (par exemple, entre des voyelles, devant des voyelles fermées, en position initiale de mot, etc.). Ces contextes peuvent être aussi généraux ou aussi spécifiques que l’exige le problème posé. Lorsque deux sons ou classes de sons sont en contraste dans une langue, ils peuvent servir à établir des distinctions lexicales. Cependant, lorsqu’une paire donnée ne contraste pas systématiquement, nous appelons ce scénario distribution complémentaire – c’est-à-dire lorsque deux sons ou classes de sons ne sont jamais trouvés dans les mêmes contextes. Leur distribution est donc mutuellement exclusive. 11 Cas rencontrés dans ce cours 1: p. ex. la différence entre [ʁ, ʀ] en français 12 Exercice : Japonais Considérez les formes du classeur Excel japonais.xlsx. Les données viennent du wiktionnaire japonais. Les transcriptions ont été simplifiée un peu. NB: le lieu de [tɕ] est alvéo-palatal, très similaire au lieu de [ʃ]. [ɯ] est une voyelle postérieure non-arrondie fermée. ◦ Concentrez-vous sur les sons suivants: [t], [ts] et [tɕ]. (Les sons [s] et [ɕ] sont également présents, mais on n’y prêtera pas attention.) ◦ Traitez une liste des contextes précis dans lesquels chaque son se trouve, incluant « début de mot » (#). ◦ Voyez-vous des tendances ? Des restrictions ? Nous retournerons à une analyse de ces données à la fin de la présentation aujourd’hui. 13 Questions d’identité Lorsque les sons sont en distribution complémentaire sans qu’aucune alternance ne soit visible dans les données, déterminer quel allophone doit correspondre au phonème peut sembler une tâche impossible. Par exemple, si nous examinons les plosives voisées et non-voisées dans certaines formes de nyangumarda, une langue autochtone d’Australie, nous pouvons émettre l’hypothèse qu’elles sont en distribution complémentaire, les plosives voisées se trouvant entre les segments voisés et les plosives non-voisées se trouvant au début du mot : ◦ [puga] ‘pourri’ ◦ [kalgu] ‘s’occuper (de)’ ◦ [kada] ‘encore’ Ici, non seulement il n’y a pas d’alternance, mais les généralisations (telles que nous les avons formulées) sont d’une complexité à peu près équivalente. Nous pouvons faire appel à deux outils supplémentaires pour déterminer les phonèmes : la marque et la naturalité. 14 La marque La marque (ang. markedness) peut être considérée comme similaire à la complexité articulatoire, et ses valeurs ont souvent été motivées par l’étude des relations implicatives dans les langues du monde. Par exemple, en ce qui concerne les plosives voisées et non voisées, il existe des langues qui… ◦ ne comportent que des plosives non voisées, ◦ d’autres qui comportent à la fois des plosives voisées et non voisées, ◦ mais aucune langue qui ne comporte que des plosives voisées. On peut donc dire que les plosives voisées impliquent des plosives non voisées dans une langue, mais pas l’inverse. Par conséquent, les plosives voisées sont marquées par rapport aux non voisées. Notez qu’aucun son n’est marqué de manière isolée ; il l’est toujours par rapport à quelque chose d’autre. Ces relations sont souvent, mais pas toujours, binaires… 15 Rapports de marque (NB: ‘x < y’ = ‘x est moins marqué que y’) Plosives & fricatives sourdes < voisées Plosives orales < fricatives Fricatives < affriquées Voyelles orales < nasales Consonnes nasales, [l, r], semi-voyelles voisées < sourdes Articulation simple < articulation supplémentaire (p. ex. [p] < [pw]) …et beaucoup d’autres 16 Et alors? En général, lorsque deux sons ou classes de sons ayant une relation de marque entre eux sont dans une distribution complémentaire, la marque plaidera pour que le moins marqué soit le phonème. Par exemple, dans le cas du nyangumarda, la marque nous indiquerait que les plosives non voisées doivent être les phonèmes. Quand pouvons-nous (ou devrions-nous) utiliser les relations de marque ? Uniquement dans les cas de distribution complémentaire ! De nombreuses langues tolèrent des sons marqués pour une relation donnée, comme le français en ce qui concerne les plosives voisées. En général, lorsqu’une langue met en contraste deux sons, l’utilisation de la marque pour trouver ce que le phonème pourrait être peut conduire à l’erreur (et sera pénalisée). 17 Pourquoi? Par exemple, si nous prenons l’alternance dans le pluriel anglais ([z] dans le cas de ‘party’, ‘dog’, ‘ball’ mais [s] après ‘bath’, ‘cat’, etc.), l’application de la marque pour dire que le FSJ du pluriel doit être /s/ serait une erreur. Tout d’abord, il y a des preuves qu’il doit être /z/ – à savoir, nous n’avons pas d’assimilation du voisement entre les voyelles et les fricatives, mais nous pouvons avoir une assimilation du voisement entre deux consonnes. Qui plus est, l’anglais met en contraste [s] et [z] en position post-vocalique (p. ex. mace, maze). Deuxièmement, et c’est le plus important, on ne peut pas se contenter de regarder un petit coin d’une langue et affirmer qu’il y a une distribution complémentaire. La distribution opère au niveau de l’ensemble de la langue. Les [s] et les [z] ne sont pas distribués de manière complémentaire en anglais! 18 La naturalité La naturalité soutient que, pour une paire donnée de sons dans une distribution complémentaire, le phonème est plus susceptible de correspondre à l’allophone dans des contextes où le trait opposé (aspect de la prononciation) ne peut pas être plausiblement attribuée à son environnement (en termes de sons). En d’autres termes, l’allophone qui est le plus susceptible d’être dérivé/transformé, apparaîtra (probablement exclusivement) dans un contexte où le trait qui le distingue de l’autre allophone est partagée avec les sons de son environnement. Dans le cas de nyangumarda, nous avions des plosives voisées entre des segments voisés, et des sans-voix en position initiale du mot. ◦ La naturalité soutiendrait qu’il est plus probable que la plosive voisée obtienne son voisement à partir des segments voisés adjacents. ◦ En revanche, il serait difficile d’affirmer que les plosives non voisées obtiennent leur absence de voisement entre rien et un segment voisé… 19 Complexité de distribution Le dernier outil à notre disposition, que nous avons déjà quelque peu illustré mais qui ne s’applique pas vraiment à l’exemple du nyangumarda, est la complexité de la distribution. Dans le cas d’une distribution complémentaire, il arrive souvent que les contextes où l’un des allophones apparaît soient très faciles à généraliser – comme le contexte de [ɾ] en anglais ou de [ts] en français québécois – alors que l’autre allophone apparaîtra probablement dans une grande diversité de contextes, ou « ailleurs ». (Rappelez-vous où [t] apparaît dans chaque langue). Cet outil va argumenter que l’allophone avec une distribution plus facilement généralisée et plus restreinte sera l’allophone dérivé ou transformé, et que l’autre allophone (celui avec une grande diversité de contextes) correspondra au phonème. Attention : L’application correcte de cet outil n’est PAS de faire un simple comptage des contextes. Cela peut très bien être un artefact du corpus et/ou de votre façon de décrire les choses ! Il s’agit d’une question de généralisation par rapport à la diversité. 20 Nyangumarda (encore) Considérez le corpus élargi. Proposez le FSJ de chaque mot. a. [puga] ‘pourri’ b. [kalgu] ‘s’occuper (de)’ c. [kada] ‘encore’ d. [jurba] ‘frotter’ e. [mambu] ‘cheveux’ 21 Résumé : Analyse distributionnelle 1. Décrire en détail la distribution de chaque son : qu’est-ce qui le suit et/ou le précède ? Où voyez-vous des généralisations ? 2. Trouver les sons qui sont en contraste – élargir à des classes de sons 3. Si pertinent, trouver les sons qui sont en distribution complémentaire (& élargir encore) 4. Considérer les 3 critères (distribution, marque, naturalité) et utiliser ceux qui sont pertinents pour proposer les FSJ 22 Japonais (suite) Comme nous aurions vu, la distribution des sons [s], [t], [ɕ], [ts] et [tɕ] est la suivante : Son Devant [t] a, e, o [ts] ɯ [tɕ] i [t], [ts] et [tɕ] sont en distribution complémentaire. La complexité et la marque vont faire l’argument pour /t/. 23 Japonais (expansion) Si nous incluons [s] et [ɕ], la distribution est la suivante : Son Devant [s] a, e, o, ɯ [t] a, e, o [ɕ] i [ts] ɯ [tɕ] i Nous pouvons tirer quelques conclusions de cette distribution, en nous limitant à la plausibilité (par exemple, lier [s] et [ɕ] est plus plausible que de lier [s] et [tɕ] – l’histoire du japonais le confirme) : ◦ [s] et [ɕ] sont en distribution complémentaire. La complexité va faire l’argument pour /s/. ◦ [t], [ts] et [tɕ] sont en distribution complémentaire. La complexité et la marque vont faire l’argument pour /t/. 24 Retour au PNA Selon la plupart de la définition du PNA, on suppose que la FSJ est identique à sa forme phonétique en manque d’alternances. Cependant, nous avons proposé que toute instance de [ɾ] vienne de /t/ en anglais, peu importe la présence d’une alternance, dans l’esprit d’alléger l’inventaire de phonèmes. Ne ferions-nous pas face à une contradiction ? C’est là où la qualification à la fin de sa définition entre en jeu. Pour un morphème donné, lorsqu’il n’y a qu’une seule forme de surface dans tous les environnements, on suppose que la forme lexicale (FSJ) est identique à la séquence de phonèmes auxquels correspondent sa forme superficielle. 25 Réduction de complexité Pour déterminer quels sont les phonèmes admis dans les FSJ, on pourrait imaginer un postulat qui exige une réduction de complexité d’inventaire. Entre deux analyses valides d’un cas de distribution complémentaire, on opte pour celle qui propose moins de phonèmes. Par exemple, en anglais, proposer que [ɾ] < /t/ dans writer (présence d’alternances) mais [ɾ] < /ɾ/ dans meter (absence d’alternances) est moins optimal que [ɾ] < /t/ dans les deux cas, comme la seconde analyse peut tout faire avec 1 phonème au lieu de deux. 26 Flux de travail Face à un corpus donné, pour une paire de (classe de) sons… 1. Alternances ? a. Oui : RAA → MTP (grâce au PFLS) b. Non : Passez à 2 2. Contraste ? a. Oui : PNA b. Non (distribution complémentaire) : réduction de complexité* (grâce au PFLS) Déterminer la présence d’un contraste nécessite une analyse distributionnelle. *NB : Quelques principes pour mieux vous aider à déterminer la nature des FSJ dans cette instance sont fournis dans la prochaine présentation. 27

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