Prise de Décision et jugement

Mécanisme cognitif qui évalue la probabilité d'un évènement en fonction de la facilité avec laquelle on peut l'imaginer ou se le rappeler.

Processus rapide qui utilise les émotions pour évaluer la valeur d'une chose, décision ou idée.

Dommages à la zone du cortex préfrontal médian ventral, liés à des changements de personnalité ou d'émotion.

Problèmes liés aux émotions et aux interactions sociales, tels que des émotions inappropriées ou des comportements inadéquats ; impatience.

Partie du cerveau impliquée dans l'anticipation d'évènements futurs et les réactions émotionnelles qui en découlent, et la prise de décision.

EVR a des problèmes à prendre de bonnes décisions, malgré un bon quotient intellectuel (QI).

Tests pour vérifier si EVR a un problème à comprendre les conventions sociales et morales (ex : conséquences d'actions, moyens et fins).

EVR montre peu d'émotions en réaction à des images émotionnelles.

Signaux émotionnels qui influencent nos choix en anticipant les conséquences.

Réponse physique à une situation (stimuli) qui excite les émotions.

Processus automatique, rapide et intuitif du raisonnement. Il utilise des heuristiques pour faire des décisions.

Processus analytique, lent, rationnel et conscient du raisonnement. Il implique une réflexion approfondie.

Raccourcis mentaux qui permettent de faire des approximations rapides dans la prise de décision, surtout face à des problèmes complexes.

L'évaluation d'une technologie est influencée par l'émotion. Plus le risque perçu est élevé, moins les bénéfices sont perçus comme importants.

Un effet montrant que la préférence pour un choix est plus élevée lorsque l'on a moins de temps pour réfléchir, car l'émotion prend le dessus.

Zone cérébrale impliquée dans la prise de décision, comprenant des sous-divisions avec des rôles spécifiques.

Théorie suggérant que nos émotions influencent nos décisions en anticipant les conséquences de nos choix.

Signal émotionnel qui prévient des conséquences potentielles d'une action, favorisant ainsi la prise de décision.

Le cortex préfrontal ventro-médian (CPF-vm) active les marqueurs somatiques en réponse à des déclencheurs émotionnels.

C'est la réaction physique à un événement qui provoque des émotions, incluant des changements physiologiques.

Étude démontrant que les patients avec des lésions du CPF-vm montrent une faible réaction électrodermale à des stimuli émotionnels, suggérant un dysfonctionnement des marqueurs somatiques.

Les marqueurs somatiques sont essentiels pour la prise de décision dans des situations complexes impliquant des évaluations subjectives et l'anticipation des conséquences futures.

Tâche de laboratoire simulant des situations de prise de risque pour évaluer la capacité à prendre des décisions optimales en fonction des conséquences potentielles.

Les personnes avec des lésions du CPF-vm présentent des difficultés à prendre des décisions dans des situations impliquant des évaluations subjectives et l'anticipation des conséquences futures.

La tâche IGT permet d'étudier le rôle des émotions dans la prise de décision, mais il est difficile de déterminer si les émotions causent la décision ou si elles surviennent après.

Choisir entre une récompense immédiate et une récompense plus importante mais retardée dans le temps.

Tendance à accorder moins de valeur aux récompenses futures par rapport aux récompenses immédiates.

Le CPF-vm est une région du cerveau impliquée dans l'activation des états affectifs en anticipant les conséquences futures des actions.

Le CPF-vm, l'amygdale et l'insula fonctionnent ensemble pour traiter les émotions lors de l'anticipation d'évènements futurs.

Le processus par lequel les récompenses futures perdent de leur valeur perçue, conduisant à des choix impulsifs.

Tendance générale à privilégier des gratifications immédiates au détriment des conséquences futures.

L'addiction peut être liée à un dysfonctionnement du CPF-vm, empêchant l'activation des états affectifs liés aux conséquences négatives futures.

Une plus grande dépréciation des récompenses différées rend les individus plus susceptibles de développer une dépendance.

Une tâche permettant d'évaluer la capacité de prise de décision en présentant des choix à risque et à faible risque, mesurant les réponses émotionnelles via l'activité électrodermale.

Difficulté à prendre des décisions rationnelles en raison de problèmes dans le traitement des récompenses et des émotions.

Altération du processus qui associe les sensations physiques (marqueurs somatiques) aux émotions et aux conséquences anticipées des actions.

Activité excessive de la zone du cerveau responsable du traitement des émotions, notamment de la peur et de l'anxiété.

Activité réduite du cortex préfrontal médian ventral, impliqué dans la planification, l'inhibition des impulsions et le contrôle des émotions.

Technique incitant les individus à se projeter mentalement dans le futur afin d'évaluer les conséquences de leurs actions et de réduire la dévalorisation des récompenses à venir.

Approches thérapeutiques pour l'addiction, combinant des médicaments ciblant les systèmes cérébraux impliqués et des thérapies comportementales pour modifier les comportements et la gestion des émotions.