Leucorrhées et infections vaginales

<p>Brûlures en fin de miction (A)</p> Signup and view all the answers

<p>La couleur et l'odeur (B)</p> Signup and view all the answers

<p>Vulvo-vaginite à trichomonas vaginalis (B)</p> Signup and view all the answers

<p>Examen cytobactériologique (A)</p> Signup and view all the answers

<p>L'existence d'une obstétricienne (D)</p> Signup and view all the answers

<p>Une sécrétion vaginale, potentiellement odorante et de couleur variable. (A)</p> Signup and view all the answers

<p>Elle est inodore et ne cause aucun trouble fonctionnel. (B)</p> Signup and view all the answers

<p>De la glaire cervicale et de la desquamation vaginale. (C)</p> Signup and view all the answers

<p>Ils produisent de l'acide lactique pour maintenir un pH acide. (B)</p> Signup and view all the answers

<p>Entre le 8e et le 13e jour du cycle. (D)</p> Signup and view all the answers

<p>Elle peut être blanche, purulente ou verte. (C)</p> Signup and view all the answers

<p>Elle aide à bloquer les infections en produisant de l'acide lactique. (A)</p> Signup and view all the answers

<p>Entre 1 ml et 4 ml. (B)</p> Signup and view all the answers

<p>PCR sur les urines fraîches du matin (D)</p> Signup and view all the answers

<p>Leucorrhées purulentes malodorantes (C)</p> Signup and view all the answers

<p>Liées à un corps étranger ou un défaut d’hygiène (A)</p> Signup and view all the answers

<p>Élévation des niveaux hormonaux (C)</p> Signup and view all the answers

<p>Prurit et dyspareunie (C)</p> Signup and view all the answers

<p>Cancer utérin (C)</p> Signup and view all the answers

<p>Leucorrhées grumeleuses (D)</p> Signup and view all the answers

<p>Leucorrhée semblable à de l'eau (B)</p> Signup and view all the answers

<p>Déplissement de la vulve (A)</p> Signup and view all the answers

<p>Inférieur à 4 (D)</p> Signup and view all the answers

<p>Après une antibiothérapie (A), En cas de grossesse (B)</p> Signup and view all the answers

<p>Escherichia coli (A), Gardnerella vaginalis (D)</p> Signup and view all the answers

<p>Leucorrhées mucopurulentes (D)</p> Signup and view all the answers

<p>Leucorrhées nauséabondes (B), Écoulement de pus (D)</p> Signup and view all the answers

<p>Consommation élevée de sucre (C)</p> Signup and view all the answers

<p>Elles sont grisâtres et malodorantes. (C)</p> Signup and view all the answers

Sécrétion vaginale plus ou moins abondante, blanche ou colorée, avec ou sans odeur, fluide ou épaisse.

Leucorrhée normale, sans symptômes d'infection, liée aux hormones et aux processus physiologiques du corps.

Sécrétion produite par les cellules de l'endocol, transparente et filante, plus abondante et fluide avant l'ovulation.

Cellules de la paroi vaginale qui se détachent naturellement.

Bactéries présentes naturellement dans le vagin, produisant de l'acide lactique qui protège contre les infections.

Leucorrhée anormale, signe d'une infection ou d'un problème gynécologique.

Leucorrhée pathologique avec une couleur blanche épaisse ou caséeuse, signant souvent une infection fongique.

Leucorrhée pathologique avec un aspect clair ou jaunâtre, pouvant indiquer une infection bactérienne.

Certaines habitudes d'hygiène intime, telles que l'utilisation de savons non adaptés ou l'excès de lavage, peuvent modifier l'équilibre de la flore vaginale et augmenter le risque d'infections gynécologiques.

La grossesse et la ménopause modifient les taux d'hormones, ce qui peut favoriser le développement de certaines infections.

Le diabète et le sida affaiblissent le système immunitaire, augmentant la sensibilité aux infections.

Certains traitements médicamenteux, comme les antibiotiques et les corticoïdes, peuvent modifier la flore vaginale et augmenter le risque d'infections.

Une leucorrhée abondante, même sans symptômes, peut être normale. Mais si elle s'accompagne de démangeaisons, de brûlures ou de douleurs lors des rapports sexuels, il faut consulter un médecin.

Des leucorrhées modérées peuvent être associées à des symptômes gênants, comme des démangeaisons ou des brûlures. Il ne faut pas négliger ces symptômes, même si la leucorrhée n'est pas abondante.

La présence d'un corps étranger dans le vagin peut causer une inflammation et une infection, et doit être retirée. Elle peut être due à un oubli de tampon, un DIU mal placé, etc.

L'inspection de la vulve permet de repérer des signes d'inflammation, comme un oedème ou une rougeur, ainsi que des lésions de grattage causées par des démangeaisons.

Une infection vaginale causée par la levure Candida albicans. Les symptômes comprennent des leucorrhées blanchâtres, grumeleuses, inodores, une dyspareunie et une dysurie.

Infection vaginale causée par des bactéries opportunistes, souvent associée à des changements hormonaux ou à des conditions préexistantes. Les symptômes comprennent des irritations, des leucorrhées jaunâtres et parfois un prurit.

Infection vaginale causée par Gardnerella vaginalis, caractérisée par un vagin malodorant et des leucorrhées grisâtres, abondantes et parfois spumeuses.

Infections vaginale causée par le gonocoque, caractérisée par des leucorrhées jaunâtres abondantes, nauséabondes, avec des signes urinaires associés et un écoulement de pus des glandes de Skène.

Infections cervicales causées par Chlamydia et mycoplasme. Les symptômes comprennent souvent une cervicite mucopurulente et un ectropion hypertrophique. Les leucorrhées sont rares.

Leucorrhées verdâtres, abondantes, fluides, bulleuses et malodorantes. La vulve est rouge avec un piqueté hémorragique, le col est inflammatoire, rouge framboisé et siège d'un piqueté hémorragique.

Des leucorrhées jaunâtres, accompagnées parfois d'un prurit. Les leucorrhées sont mucopurulentes au spéculum.

Des leucorrhées grisâtres abondantes, malodorantes et parfois spumeuses, augmentant en période périovulatoire et en phase prémenstruelle.

Une infection de l'utérus pouvant causer des pertes vaginales purulentes et malodorantes, souvent après des interventions comme une hystéroscopie ou un accouchement.

Une infection sexuellement transmissible à l'origine de pertes vaginales sans odeur, pouvant être détectée par un prélèvement cervical ou par PCR sur les urines.

Un examen gynécologique qui permet de repérer une inflammation utérine et une sensibilité au toucher.

Des pertes vaginales chez les jeunes filles, souvent dues à un corps étranger ou à un manque d'hygiène.

L'examen gynécologique qui permet de palper l'utérus et de détecter un corps étranger.

Des pertes vaginales physiologiques, plus abondantes pendant la grossesse.

Des pertes vaginales souvent causées par une infection fongique, plus fréquente pendant la grossesse.

Des pertes vaginales dues à une inflammation chronique du vagin, souvent liée à une carence en oestrogènes.