Introduction à la psychologie : Le cerveau et le dualisme

Regroupement de neurones permettant des tâches complexes.

Capacité du cerveau à fonctionner même après des lésions.

Le cerveau fonctionne lentement mais avec une grande capacité d'adaptation.

Structure sous-corticale régulant les fonctions automatiques essentielles.

Partie du cerveau impliquée dans l'équilibre et la coordination musculaire.

Régule la faim, la soif et d'autres fonctions homéostasiques.

Couche externe du cerveau responsable du raisonnement et du langage.

Différentes zones du cortex ayant des fonctions spécifiques.

Stratégies inconscientes pour gérer des désirs et émotions inacceptables.

Transfert d'une émotion ou désir d'une source à une situation moins menaçante.

Transformation de pulsions inacceptables en actions socialement valorisées.

Attribution à autrui de ses propres pensées ou émotions inacceptables.

Colère déplacée sur un objet inoffensif au lieu de la source réelle.

Canaliser des pulsions en activités comme l'art ou le sport.

Réduit l'anxiété, mais peut causer des comportements irrationnels.

Permet d'éviter de reconnaître ses propres défauts en les projetant.

Interactions entre le ça, le moi et le surmoi influençant nos pensées et comportements de manière inconsciente.

Partie primitive et inconsciente de la psyché, régie par le principe de plaisir, contenant des pulsions instinctives.

Partie de la psyché qui équilibre les exigences du ça, du surmoi et de la réalité, satisfaisant le ça de manière acceptable.

Partie de la psyché représentant les normes et valeurs intériorisées, agissant comme une conscience morale.

Premier stade de développement (0-1 an), où la bouche est la zone érogène et l'enfant explore par la succion.

Un manque d'expérience orale adéquate peut conduire à des comportements comme la surconsommation ou le tabagisme à l'âge adulte.

Deuxième stade de développement (1-3 ans), lié à l'apprentissage de la propreté et au contrôle des pulsions.

Peut mener à des comportements obsessionnels ou désordonnés selon le degré de contrôle exercé pendant ce stade.

Structure nerveuse permettant la transmission des signaux sur de grandes distances.

Partie du cortex responsable de la commande des mouvements.

Couche isolante qui entoure l'axone, composée de tissu adipeux.

Zone du cortex impliquée dans la perception sensorielle et les réflexes.

Neurones qui captent les informations de l'environnement, comme la chaleur ou la douleur.

Imagerie par résonance magnétique utilisée pour étudier l'activité cérébrale.

Neurones qui transmettent les signaux du cerveau aux muscles, permettant le mouvement.

Neurones qui connectent différents neurones sans interaction directe avec l'environnement.

Trouble de la coordination des mouvements pour des actions complexes sans paralysie.

Espace entre la terminaison axonale d'un neurone et la dendrite d'un autre.

Difficulté à reconnaître des objets ou des visages malgré la perception intacte.

Trouble du langage, souvent causé par des lésions cérébrales.

Substances chimiques libérées par un neurone pour influencer d'autres neurones.

Substances qui diminuent l'activité neuronale en bloquant les récepteurs.

Différence fonctionnelle entre les hémisphères droit et gauche du cerveau.

Capacités d'apprentissage et de perception partiellement présentes à la naissance.

Différentes espèces possèdent des méthodes d'apprentissage spécifiques.

Concepts scientifiques qui ne peuvent pas être vus directement, comme les gènes.

Idées ou images mentales aidant à expliquer les comportements complexes.

Apprentissage qui se produit sans récompense immédiate, comme dans les expériences de Tolman avec les rats.

Refutation du béhaviorisme de Skinner sur la base de la vague notion de renforcement.

Le béhaviorisme explique bien l'apprentissage simple mais néglige la complexité mentale humaine.

Processus d'apprentissage basé sur les associations entre comportements et résultats.