Chimie Générale chapitre 1

<p>e = -1.602 x 10-19 Coulomb (D)</p> Signup and view all the answers

<p>La majorité des particules a étaient déviées (D)</p> Signup and view all the answers

<p>Diffusion des particules a (D)</p> Signup and view all the answers

<p>9.11 x 10-31 kg (D)</p> Signup and view all the answers

<p>L'étude du rayonnement cathodique (C)</p> Signup and view all the answers

<p>Une particule sur 8000 était déviée (D)</p> Signup and view all the answers

<p>La distribution des électrons (A)</p> Signup and view all the answers

<p>Probalité nulle (B)</p> Signup and view all the answers

<p>Diminue exponentiellement (A)</p> Signup and view all the answers

<p>Trois orientations (A)</p> Signup and view all the answers

<p>0 (D)</p> Signup and view all the answers

<p>Pour les petites valeurs de r (C)</p> Signup and view all the answers

<p>Formes plus complexes sans densité au noyau (A)</p> Signup and view all the answers

<p>2 mol/kg (C)</p> Signup and view all the answers

<p>Il ne tient pas compte de la couche de valence. (A)</p> Signup and view all the answers

<p>Série de Balmer (C)</p> Signup and view all the answers

<p>Molarité dépend de la température. (D)</p> Signup and view all the answers

<p>Il a trouvé une formule générale pour prédire les transitions d'hydrogène. (C)</p> Signup and view all the answers

<p>Constante de Rydberg (D)</p> Signup and view all the answers

<p>Il suppose des orbites circulaires pour les électrons. (B)</p> Signup and view all the answers

<p>$rac{1}{ ext{nm}} = R imes (n_1 - n_2)$ (A)</p> Signup and view all the answers

<p>La molalité se base sur la masse du solvant. (D)</p> Signup and view all the answers

<p>Spectre de raies (D)</p> Signup and view all the answers

<p>6 (C)</p> Signup and view all the answers

<p>1s2 2s2 2p5 (D)</p> Signup and view all the answers

<p>Principe d'Aufbau (A)</p> Signup and view all the answers

<p>-13.6 eV (D)</p> Signup and view all the answers

<p>En retirant des électrons (D)</p> Signup and view all the answers

<p>[Ne] (D)</p> Signup and view all the answers

<p>Oxygène (O) (B)</p> Signup and view all the answers

<p>18 (A)</p> Signup and view all the answers

<p>+1/2 (C)</p> Signup and view all the answers

<p>S²- (B)</p> Signup and view all the answers

Ce cours vise à familiariser les étudiants avec les concepts fondamentaux de la chimie. Ces connaissances leur permettront de mieux comprendre les phénomènes biologiques ainsi que les technologies qui façonnent notre monde.

Le cours de Chimie générale comprend 36 heures de cours théoriques, une séance de répétition et 7 séries d'exercices à réaliser en ligne, avec des séances de questions/réponses.

Le cours commence le mercredi 18 septembre et se termine le jeudi 7 novembre. Les cours se donnent dans l'Amphimax 350.

Les étudiants doivent réaliser les exercices de Chimie générale en ligne sur la plateforme « i-structures ».

Une séance de questions/réponses est organisée le jeudi 26 septembre, de 13h15 à 15h00, dans l'Amphimax 350.

Les assistants du cours sont Julie.e Schleicher, Jean de Montmollin et Mateusz Suchodol. Contactez-les en cas de besoin.

Des lectures complémentaires sont disponibles pour approfondir les concepts de Chimie générale et de Chimie des solutions.

Le professeur responsable du cours est le Prof. Rainer Beck, de l'EPFL-SB-ISIC.

Le cours de Chimie générale est destiné aux étudiants en médecine.

« Ma1ère » fait référence au premier niveau d'études à l'EPFL.

La chimie est l'étude de la composition, des propriétés et des transformations de la matière.

La chimie est essentielle pour comprendre le monde qui nous entoure et pour développer de nouvelles technologies.

La chimie est basée sur des connaissances mathématiques et des principes scientifiques.

Des connaissances de base en physique sont nécessaires pour comprendre les concepts de la chimie.

Les atomes et les molécules sont les unités fondamentales de la matière.

Une transformation chimique implique le changement de composition et de structure de la matière.

Une équation chimique représente symboliquement une réaction chimique.

La stœchiométrie est l'étude des quantités de substances impliquées dans les réactions chimiques.

J.J. Thomson a démontré que le faisceau cathodique est indépendant du métal utilisé, ce qui indique la présence d'une particule subatomique. Il a appelé cette particule l'électron.

Le modèle de Thomson décrit l'atome comme une sphère positive chargée avec des électrons négatifs répartis à l'intérieur, semblables à des raisins dans un pudding.

L'expérience de Rutherford a mis en évidence la présence d'un noyau positif au centre de l'atome, contrairement au modèle de Thomson.

L'expérience de Rutherford a montré que la majeure partie des particules alpha traversaient la feuille d'or sans déviation, permettant de conclure que l'atome était principalement constitué de vide.

L'expérience de Rutherford a montré que certaines particules alpha étaient déviées, parfois fortement, prouvant l'existence d'une zone de charge positive dans l'atome.

L'expérience de Rutherford a été cruciale pour la compréhension de la structure atomique, car elle a démontré que l'atome n'était pas un pudding aux pruneaux comme proposé par Thomson.

L'expérience de Rutherford a conduit à la découverte du noyau atomique, une zone concentrée de charge positive au centre de l'atome.

L'expérience de Rutherford a permis de développer un nouveau modèle atomique, avec un noyau central positif et des électrons périphériques négatifs.

La fonction d'onde Ψn,l,ml décrit la probabilité de trouver un électron dans un atome d'hydrogène. L'amplitude de probabilité est représentée par Ψ, tandis que la densité de probabilité est représentée par Ψ².

La fonction d'onde pour l'état fondamental de l'atome d'hydrogène est donnée par Ψ1,0,0. Elle n'est définie que par le nombre quantique n, car les autres nombres quantiques (l, ml) sont tous nuls.

Un orbital 1s est une représentation sphérique de la probabilité de trouver un électron autour du noyau. La densité de probabilité diminue à mesure que la distance au noyau augmente.

La distribution de probabilité radiale est une représentation graphique de la probabilité de trouver un électron à une certaine distance du noyau. Elle est donnée par 4πr²Ψ².

Tous les orbitales, y compris les orbitales s, ont une probabilité nulle de trouver l'électron au niveau du noyau.

Les orbitales atomiques sont classées en différents types: s, p, d, f, en fonction de leur forme. Les orbitales s ont une forme sphérique, les orbitales p ont une forme de haltère et les orbitales d ont des formes plus complexes.

Les orbitales p ont trois orientations différentes dans l'espace: px, py et pz. Elles sont toutes perpendiculaires entre elles.

Les orbitales d ont des formes plus complexes et n'ont aucune densité électronique au niveau du noyau.

La concentration d'une solution est la quantité de soluté présent dans un volume donné de solution. Elle est mesurée en moles par litre (mol/L) ou en molarité (M), et en mol/dm3. La concentration est indépendante de la température.

La molalité d'une solution est la quantité de soluté présent dans une masse donnée de solvant. Elle est mesurée en moles par kilogramme (mol/kg). La molalité est indépendante de la température.

Le modèle de Rutherford, bien qu'important, n'expliquait pas la variation des propriétés des éléments (métaux, non-métaux, gaz nobles) ni leur couche de valence. De plus, il ne pouvait pas justifier la discontinuité des spectres d'émission des atomes.

Un spectre d'émission continu contient des rayons électromagnétiques de toutes les longueurs d'onde. Un spectre discontinu, ou de raies, contient des rayons électromagnétiques d'un nombre restreint de longueurs d'onde caractéristiques de l'élément.

Les raies spectrales de l'hydrogène atomique sont des longueurs d'onde spécifiques de lumière émise par l'atome d'hydrogène lorsqu'il est excité. La série de Balmer correspond aux raies spectrales observées dans la partie visible du spectre électromagnétique.

La formule généralisée de Rydberg permet de prédire toutes les transitions d'énergie possibles de l'atome d'hydrogène, incluant les raies de la série de Balmer.

Le modèle de Bohr est un modèle quantique qui décrit les électrons d'un atome comme se déplaçant sur des orbitales quantifiées autour du noyau, expliquant la nature discontinue du spectre d'émission de l'hydrogène.

Selon le modèle de Bohr, le spectre d'émission de l'atome d'hydrogène est dû aux transitions des électrons entre les niveaux d'énergie discrets. La formule de Rydberg est valable car elle tient compte de ces transitions quantifiées.

Le modèle de Bohr réussit à expliquer le spectre d'émission d'hydrogène en utilisant la mécanique quantique, mais il ne peut pas expliquer le spectre d'atomes plus complexes.

Le modèle atomique de Bohr décrit l'atome d'hydrogène comme un noyau positif autour duquel un électron négatif tourne sur des orbites circulaires quantifiées.

L'état fondamental d'un atome correspond à l'état d'énergie le plus bas possible pour ses électrons.

Une orbitale atomique est une région de l'espace autour du noyau où la probabilité de trouver un électron est la plus élevée.

Le nombre quantique principal (n) décrit le niveau d'énergie de l'électron, valeurs possibles : 1, 2, 3...

Le nombre quantique azimutal (l) décrit la forme de l'orbitale, valeurs possibles : 0, 1, 2, ..., n-1. l=0 (s), l=1 (p), l=2 (d), l=3 (f).

Le nombre quantique magnétique (m) décrit l'orientation de l'orbitale dans l'espace, valeurs possibles : -l, -l+1, ..., 0, ..., l-1, l.

Le nombre quantique de spin (ms) décrit la rotation intrinsèque de l'électron, valeurs possibles : +1/2 ou -1/2.

Le principe d'exclusion de Pauli stipule qu'une orbitale ne peut accueillir au maximum que 2 électrons, avec des spins opposés.

La configuration électronique d'un atome décrit la manière dont les électrons sont répartis dans les différentes orbitales atomiques.

Les électrons de valence sont les électrons qui se trouvent sur la couche électronique la plus externe d'un atome.