PSY CLIN ET PSCYCHOPATHO 2 PDF
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Susana Tereno
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This document details psychopathology, child development, attachment theory and related topics. It covers different approaches, models, and examples related to various aspects of child development. The document also briefly discusses the importance of the normal development in identifying psychopathology.
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SUSANA TERENO Cc1 PSY CLIN ET PSCYCHOPATHO 2 CLINIQUE ET PSYCHOPATHOLOGIE DVP DE L’ENFANT Qu’est-ce que la psychopathologie? La psychopathologie est un domaine de la psychologie qui traite des dys- fonctionnement mentaux et des souffrances psychi...
SUSANA TERENO Cc1 PSY CLIN ET PSCYCHOPATHO 2 CLINIQUE ET PSYCHOPATHOLOGIE DVP DE L’ENFANT Qu’est-ce que la psychopathologie? La psychopathologie est un domaine de la psychologie qui traite des dys- fonctionnement mentaux et des souffrances psychiques. Son objectif est de décrire des syndromes distincts avc la symptomatologie spécifique, l’étiologie (qu’est ce qui a provoqué le trouble ?) et la prévalence (la fréquence du trouble ds une population type), mais aussi de décrire des thérapeutiques et des interventions spécifiques : basé sur la recherche. La trajectoire développementale des enfants présentant ces syndromes Quelle est la différence [e] psychose et névrose? - Psychose : production de qqch qui n’existe pas : inconnu, neurologiques - Névrose : on amplifie, modifie le réel Qu’est ce que l’approche intégrative? C’est une psychologie qui intègre des fonctions humaines avc un modèle bio-psycho- social et des modèles théoriques qui permettent d’expliquer ces fonctions Évaluer les fonctions humaines est un atout majeur ds le choix des projets thérapeutiques adapté. Approche intégrative et psychopathologique La démarche intégrative est dû à un changement de paradigme scientifique en mettant la personne au premier plan et non un modèle théorique globale, unique, explicatif) Le choix de l’approche intégrative varie de la cognition, l’émotion, vie sociale tout en incluant la motricité et sensorialité. De plus, l’intelligence, le genre et le milieu socio-économique sont à prendre en compte. Cette psychologie est une « boite à outils » théorique et compréhensive => TB du cpt alimentaire Intérêt du normal pr le pathologique Pr la psychopathologie de l’enfant, la référence est le dvp normal pr identifier la psycho-pathologie, il y a une nécessité de connaître le dvp mais aussi le fonctionnement du normal et pathologique Avt 3 ans, la régulation émotionnelle dépend de l’adulte, la compétence d’auto-régulation s’obtient à partir de 3 ans Quelle importance à la psychopathologie du dvp? La psychopatho du dvp intègre 4 types de conduites humaines avc comme conduite ordinaire - intensité et fréquence inhabituelles pr l’âge de l’enfant qui ne correspondent pas à son âge, l’enfant réalise des conduites non ordinaires, inhabituelles et bizarres qui finissent / amener de la souffrance, du malaise et de l’inadaptation. SUSANA TERENO Cc1 PSY CLIN ET PSCYCHOPATHO 2 La psychopathologie du dvp selon Bowlby : facteur de résilience vs facteurs de risque Selon Bowlby, dans la psychopathologie du développement, il existe 2 facteurs : le facteur de résilience (résister et surmonter les chocs) vs le facteur de risque. Comment objectiver l’approche intégrative en psychopathologie - le choix des modèles théoriques sert à comprendre la psychopathologie et guident le bilan et le projet psychothérapeutique. En fonction des tb de l’enfant et du fonctionnemt de son envt Plusieurs modèles théoriques Il existe di érents types de modèles théoriques : dvp, attachement, psychodynamique, systèmique, relationel et attachement, modes de régulation (tempérament), cognitif/cptal le clinicien aura tendance à favoriser l’une des approches tout en privilégiant l’association de 2 (ou plus) modèles théoriques Exemples : - psychodynamique et constitutionnel - Problèmes de relation chez un bébé de très petite taille et hyper-réactif - systémique et dvptal - Famille dominée / la grand-mère avc une diminution pondérale qui donne une anorexie nerveuse restrictives EXEMPLE: TROUBLE ANGOISSE DE SÉPARATION Ttrouble affectant l’aptitude de l’enfant à se séparer de ses figures d’attachement - Modèles de la psychologie du développement - Développement de l’attachement : « angoisse de séparation » - Modèle systémique : angoisse « renforcée » - Développement : processus de séparation-individuation - Déficit d’intégrat° de processus émotionnels et cognitifs - Déterminé/maintenu (plusieurs facteurs) : - Entourage (social) - Tempérament (physiologique) - Evènements de vie Exemple d’approche intégrative : les thérapies attachements informées Systèmes de classification 0 à 3 ans et DSM-V 5 axes de diagnostic de 0 à 3 ans :  ff SUSANA TERENO Cc1 PSY CLIN ET PSCYCHOPATHO 2 - Axe 1 : diagnostic primaire - Axe 2 : classification du tb le de la relat° - Axe 3 : troubles ou condit° de la santé physique, neurologique, dvptale et mentale - Axe 4 : stress psychosocial - Axe 5 : niveau de fonctionnement du dvp émotionnel => Profil diagnostique du bébé et du jeune enfant - Certains comportements mal-adaptatifs sont plus ds une catégorie de l'axe 1. Le diagnostic primaire doit refléter les traits les plus saillants du trouble. 1. Si stress, évènement traumatique : Etat de stress post traumatique 2. Troubles avec base constitutionnelle ou maturationnelle : Trouble de la régulation 3. Si problèmes légers liés a un évènement précis : Trouble de l’ajustement 4. Pas de vulnérabilité, pas de défaut de maturation, pas de stress : Trouble de l'humeur et de l’affect 5. Si carence, maltraitance : Trouble de l’attachement 6. Troubles alimentaires, du sommeil. : neurologie, relationnel Si la difficulté concerne la relation : Axe 2 5 axes de diagnostic qui ont pr objectifs de planifier le traitement, d’évaluer son impact et de prédire son résultat. - Axe 1 : troubles cliniques - Axe 2 : troubles de la personnalité, retard mental - Axe 3 : affections médicales générales - Axe 4 : problèmes psycho-sociaux et d'environnement - Problèmes avec le groupe de support principal, liés à l'environnement social ou d'éducation - Axe 5 : évaluation globale du fonctionnement 16/09/2024 - CM 3 Théorie de l’attachement : une métathéorie intégrative - lettre au British medical Journal à propos de l’évacuation des jeunes enfants (1939) - Exp de séparation précoces d’avc leur mère Théorie de l’attachement L’attachement est considéré comme une composante essentielle du dvp social et affectif ds les 1e années de vie. Les différences individuelles ds la qualité des relations d’attachement sont considérées comme indicateurs précoces impt pr la santé mentale des individus. L’attachement est l’un des premiers stades du développement. Attachement et vulnérabilités psychosociale La psychopathologie développementale (Bosma & Kunnen, 2001) étudie les facteurs de vulnérabilités, de risque et de protection via des parcours de façon harmonieuse ou inadaptée afin de comprendre la santé mentale. L'hypothèse du risque cumulatif (Rutter, 1979; Samero , 2000) : Plus le nbre de facteurs est élevé, plus il a un impact sur les résultats développementaux de l’enfant prévalence des troubles cliniques L’attachement est un lien affectif durable d’un enfant envers un adulte qui en prend soin qui se manifeste / divers cpt ds les moments de peur ou de détresse afin de maintenir la proximité ou le contact avec l’adulte et ainsi d’obtenir du réconfort. Bolwby (1969) Les enfants développent des relations d’attachement avc une figure d’attachement FA primaire puis avc une hiérarchie de figures d’attachement secondaires. En situation de stress extrême, l’enfant aura une préférence envers une figure d’attachement primaire avc une plus grande proximité avc cette personne. ff SUSANA TERENO Cc1 PSY CLIN ET PSCYCHOPATHO 2 Une fois établi ce type de relation avc la principale gure à tendance à rester stable et la redirection de la relation d’attachement devient plus di cile. Selon Ainsworth et al (1978), la sécurité de l’attachement est un état de confiance quant à la disponibilité et prévisibilité de la figure d’attachement, ce qui caractérise la figure d’attachement sécure. Formation de l’attachement [e] 0 et 12 mois Phase I (0 à 3 mois) - Orientation et signaux avc une discrimination limitée des gures (8 à 12 semaines) : Le bébé n’est pas capable de di érencier les personnes mais il aura tendance à s’orienter préférentiellement vers les humains, promotion de la proximité et le maintient du contact avc l’adulte avc une intégrité progressive Phase II - orientation et signaux dirigé vers 1 ou +sieurs discriminé en (12 et 24 semaines) + réponses centrée sur FA Le début n’est pas clair, la di érenciation des cpt est progressive et se termine aux alentours dès 6 mois selon les circonstances. Phase III (6 à 36 mois) - maintien de la proximité avc la gure discriminée / la locomotion et d’autres signaux : Avc des avancements signi catifs au niv des ≠ dvp moteurs, cognitif et socio-émotionnel, on observe l’exploration de l’envt + intense qui implique 1 risque pr la sécurité du bébé. structurat° du syst d’attachement, qui vise à protéger l’enfant Phase IV (après 36 mois) - abandon de la position égocentrique Formation d’1 relation réciproque corrigée quant au but il y a une capacité progressive quant à la capacité d’accepter des séparations + prolongés de la gure d’attachement qui se caractérise / 1 + grande capacité à tolérer leur distance. l’altération des conditions activent le système d’attachement Les différents types d’attachement Ce que l’enfant pense Pourquoi Prévalence Attachement secure Je sais que je peux Con ance dans la 60% de la pop générale exprimer mes émotions disponibilité de la FA se 48% pour ceux en négatives elle me régule très vite lors de la situations de répondra. Elle m’aime réponse. Equilibre vulnérabilité même si je suis en proximité/exploration di cultés. Je peux explorer si j’ai besoin elle sera là Attachement insécure- Mieux vaut ne pas A vécu du rejet alors que 15% enfant de la pop évitant montrer mes émotions souhait de réconfort générale sinon elle ne répondra Nie ses besoins 17% pour ceux en pas donc vaut mieux Autonomie = veut faire situations de être vigilant. Domination tout mais tout seul vulnérabilité de l’exploration Plus sociable avec l’étranger ffi fi fi fi ff ff ffi fi fi fi SUSANA TERENO Cc1 PSY CLIN ET PSCYCHOPATHO 2 Ce que l’enfant pense Pourquoi Prévalence insécure ambivalent Mieux vaut se mé er je Incertain quant à la 8% de la pop générale résistant reste près sans savoir si capacité de la FA de 10% de ceux en elle va répondre. Je répondre à ses besoins situation de vulnérabilité doute de sa réaction. Régulation di cile Comment retenir son Ampli cation des attention et a ection expressions des émotions négatives Insécure désorganisé J’ai peur ! C’est trop Peur sans solution 15% de la pop générale dangereux d’être Capacités d’adaptation et 25% en situation de dépendant, je prends le dépassées vulnérabilité contrôle car pas d’issus Aucune stratégie n’est régulatrice d’émotions négative Rejet ou hyper adaptation Colère ou a ection exagérer Vigilant violents gés Question partiel : Est ce que l’insécurité est une pathologie ? NON fonctionnement dysfonctionnelle mais pas forcément clinique. L’attachement à partir de 4-5 ans L’enfant a moins besoin de la proximité physique de sa gure d’attachement en dehors des situations de grand stress, il peut-être séparé et est disponible pr apprendre Il a besoin de savoir qu’elle sera disponible, si cela lui est nécessaire, et accessible Il utilise les représentations mentales qu’il a intériorisé et s’appuie sur le soutien de gures adultes auxiliaires (cf enseignant) A cet âge (4-5 ans), l’enfant sait : - reconnaître des états internes, distinguer son point de vue et celui de l’autre - Comprendre la logique des stratégies et des buts, + in uence sur le pdv de l’autre instaure le partenariat corrigé quand au but système d’attachement et le syst d’exploration st complémentaires la sécurité d’attachement dépend de la con ance + disponibilité de la FA ancrage pr le syst d’exploration (Ainsworth et al 1978) Modèles Internes Opérants d’attachement Mary Main Résultat de l’interaction du S avc FA guident les tentes de l’enf et ses cpt interpersonnels en situation d’attachement pertinente (stress, séparation, alarme, détresse) Revisités et actualisés : assimilation et accommodation Jouent 1 role actif en guidante cpt Bowlby 1980 l’enf repère surtout le « comme d’habitude » et a + de mal percevoir le « pas comme d’habitude » Les règles des MIO st re étés au travers de l’organisation de la pensée et se manifeste / le langage ou s’il est lié directement ou indirectement à l’attachement. La plupart, de ses règles st inconscientes : elles dirigent le cpt, l’évaluation ressentie de l’ex, l’attention et la mémoire et son organisation fi ff ffi ff fi fi fl fi fl fi fi SUSANA TERENO Cc1 PSY CLIN ET PSCYCHOPATHO 2 permettent ou limitent l'accès de l’indu à certaines formes de savoir, du soi, de la FA et de la relation [e] soi et FA Ce qui est particulièrement impt pr Bowlby c’est de di érencier les 2 modèles Mio du soi Mio du FA Comment le Soi est acceptable aux yeux de la FA L’accessibilité de la gure et le soutien émotionnel On remarque une étroite complémentarité des 2 modèles / un processus continu qui est de en plus en plus automatiques et pas ou peu accessibles à la conscience. il s’agit d’1 relative stabilité de comment 1 personne construit son modèle interpersonnel! Cette e cacité croissant est au prise d’1 sur simpli cation et doc d’1 possible accusation : assimilation Les ≠ types d’attachement (mary Main et Robert Rogers) Ils se produisent / des interactions précoces qui se traduisent / des di érences de trajectoires de dvp émotionnel. Ils intègrent des règles qui : - guident les réponses individuelles lors des situations qui entraînent des émotions et du stress Attachement secure Attachement insécure/ Attachement insécure/ Attachement évitant résistant désorganisé/ désorienté Stratégie primaire (ss Stratégie 2ndaire Stratégie 2ndaire Abs de stratégie mécanisme défensif équilibré) [e] eq activation et Désactivation du Hyperactivation du syst Hypercativation désactivation système d’attachement d’attachement permanente ss (not°d’ampli cation) possibilité de désactivat° Les différents désignations des styles d’attachement chez l’ado/adulte Enfant Secure insécure/ évitant Insécure ambi- désorganisé/ valent/ résistant désorienté Adulte Secure- autonome Insecure/ détaché Insécure Non-résolu psychologie préoccupé développent Adulte Secure Anxieux/ évitant Anxieux préoccupé Craintif psychologie sociale Catégories d’état-esprit - Free-autonomous : sécures / autonomes - Dismissive : détachées - Preocupied : préoccupées - Unresolved loss or trauma / Disorganised : non résolus ou désorganisées / désorientées L’image que je me fais de moi avec l’image que je me fais des autres crée un style d’attachement ≠. Le modèle des autres positifs ou non : - Soit je demande de l’aide donc positif par rapport à moi et aux autres : attachement secure - Si négative : donc pas compétente (mauvaise estime de moi) et beaucoup d’attente sur les autres (positifs) => attachement préoccupé. ffi fi fi fi ff ff SUSANA TERENO Cc1 PSY CLIN ET PSCYCHOPATHO 2 - Quand j’ai un modèle de moi positif et négatif des autres (pas assez compétent ) => attachement évitant chez l’adulte. (autosu sance). - Image positive de moi mais image négative de l’autre (car dangereux) => attachement craintif : non résolus les relations sont dysfonctionnelles. Différences individuelles Ado/Adulte Attachement et vulnérabilité psychosociale Sécurité de l’attachement - facteurs de résilience ou de protection (Fonagy, et al., 2003) Insécurité, associée à d’autres facteurs de vulnérabilité (psychosociaux) : surtout si désorganisation - Risque de survenue de tb du cpt (Greenberg, et al., 1991) - Risque de troubles internalisés (cf. Tereno, et al., 2007) Processus inhérents : - sécurité => sensibilité du caregiver (Ainsworth et al, 1978) - Désorganisation => interactions disruptives (Lyons-Ruth, et al., 1999; Tereno et al 2017) Apports pr la clinique intérêt de l’évaluation de la qualité de l’attachement en clinique La connaissance de ce paradigme permet d’a ner nos observations lors de notre rencontre avc un petit enfant (situation un peu stressante pr lui : lieu inconnu, personne étrangère) Les consultations parents - enfant : - le premier contact avc l’enfant - Les séparations et les retrouvailles - Les moments di ciles - L’alliance avc les parents La psychothérapie de l’enfant : - la demande d’aide - La constitution d’une base Secure - L’exploration des con its - La régulation des émotions - Les séparations et les retrouvailles - La n de la thérapie… 30/09/2024 - Cm 4 Troubles relationnels : dé nitions SYSTÈME FAMILIAL (SAMPIO & GAMEIRO, 1985) fi ffi fl fi ffi ffi SUSANA TERENO Cc1 PSY CLIN ET PSCYCHOPATHO 2 ens d’éléments interconnectés organisé autour d’1 ens de relat° permanentes avc l’extérieur, qui a pr but de garder 1 eq tout au long d’1 processus de dvp, qui rencontre des stades d’évolut° diversi és (cycles) FAMILLE SÉCURE (BYNG-HALL, 1995) réseau able de relat° d’attachements qui permet à ts les membres de la famille d’être su samment sûre, d’explorer les relat° [e] eux et avec d’autres en dehors de la famille. La famille comme un système apparait dans les années 50 : - compris des ss-systèmes - Sous-syst conjugal/ parental - Sous-syst lial/ fraternel - Sous-système lial / fraternel La famille fait partie de supra-système : tous liés de façon hiérarchique et organisée. Des limites ou des frontières qui régulent le passage d’information d’1 système à l’autre (ex : le couple ne parle pas de ses problèmes aux enfants). Problèmes parent-enfant problèmes structurels École structurelle (Minuchin ; Montalvo; Aponte) FONCTIONNEMENT FAMILIALE NORMAL: Frontières nettes, hiérarchie : sous-système parental fort, exibilité pour permettre autonomie et indépendance. CLASSIFICATION DES FAMILLES : - Frontières nettes (relations équilibrées) ------------ (communication possible) - Frontières di uses (relations enchevêtrées) (pb de hiérarchie, un enfant devient pote avec ses parents, ou encore 1 parenti cat° de l’enfant) - Frontières rigides (relations déliées) (pas de lien ds la famille, pas de com). Hypothèse de Travail Systémique : identi er comment tous les éléments du système st liées au problème fondamental. la dépression de l’un, le désengagement de l’autre et les troubles de conduite d’un autre. OBJECTIF DE LA THÉRAPIE La réorganisation de la structure familiale (Walsh, 1982) - Chgts ds les positions des membres ds la structure familiale - renforcement du sous-systèmes parental - frontières nettes et exibles Problèmes parent-enfant : conflit conjugal LE CONFLIT CONJUGAL ET VIOLENCE DOMESTIQUE : - stress post-traumatique - attachement désorganisé LA MALTRAITANCE PARENTALE : LA “PEUR SANS SOLUTION” - enfant face au paradoxe d’une gure d’attachement protectrice - mais, au même temps, abusive (Madignan et al., 2006) L’enfant témoigne une gure d'attachement (Cichetti & Lynch, 1993 ; Zeanah & al. 1999 ; Guedeney, N & Guedeney, A, 2013) : - impuissante - incapable de se protéger elle-même - dans le con it avec le conjoint Problèmes ds la fratrie RELATION FRATERNELLE : COMPÉTITION OU COMPLICITÉ ? ffi fi fl ff fi fi fl fi fi fi fi fi fl SUSANA TERENO Cc1 PSY CLIN ET PSCYCHOPATHO 2 Qualité du lien fraternel: - capacité parentale à répondre de façon di érenciée - comprendre l’individualité de chaque enfant - selon leur âge et niveau de dvp Attention à la sensation d’ “(in)justice” (Kowal & Kramer, 1997). - Rivalité et colère CONFLIT PARENTAL => CONFLIT FRATERNEL (BRODY & AL 1992 ; MCHALE & CROUTER, 1996) - active le système d’attachement du parent - diminuant ses capacités à réguler ses propres émotions - conséquemment , à analyser la situation - et à agir avec justice - en gardant la capacité de di érenciation LA RELATION FRATERNELLE EST UN FACTEUR DE PROTECTION fratrie dans la psychothérapie Enfant séparé de ses parents Base de sécurité familiale (Byng-Hall, 1995): - sécurité émotionnelle Le système d’attachement - Objectif : la protection de l’enfant - réconfort via la proximité et le contact physique La question de la perte et de la séparat° chez le jeune enfant, tout comme celle de leurs e ets sur son dvp. Enfant séparé de ses parents : la perte d’un enfant RUPTURES DU LIEN D’ATTACHEMENT : - réponse de protestation - réponse de désespoir (acceptation dépressive) - détachement (le deuil d’une personne poche prend 2ans psychiquement, ne pas dépasser 5jours de séparation jusqu’à 7/8ans) - envers une séparation signi cative par rapport à la FA - une perte soudaine Le deuil pathologique : 3 types de symptômes (Horowitz & al. 1993, 1997) : - intrusivité (cauchemars, pensées insistantes) - évitement (ne pas penser à la personne perdue) - adaptation dysfonctionnelle (pb pour manger, cpt dépressif) - Deuil chronique (Parkes & Weiss / Wortman & Silver) - Deuil inhibé ou absent (Bonanno & al. / Wortman & Silver) - Deuil di éré ou post-posé (Wortman & Silver) Enfant séparé de ses parents : Séparation brèves (Rabouam, 2016) LA GARDE NON PARENTALE : - séparations d’avec ses parents - fréquentes, régulières - souvent quotidiennes, plus ou moins longues LES ANNÉES 70/80 - vie professionnelle des femmes - reprenant leur travail ff ff fi ff ff SUSANA TERENO Cc1 PSY CLIN ET PSCYCHOPATHO 2 - qqs mois/semaines après la naissance LA THÉORIE DE L’ATTACHEMENT AU CŒUR DU DÉBAT : - Scarr (1984) - e et conditionnement (l’enfant sait qu’on vient le chercher, il ne sou re pas) - Belsky et Steinberg (1978) - les modes de garde du jeune enfant risque d’augmenter la - probabilité d’une relation bébé-parents insécure (National Institut of Child and Human Developpement (NICHD; Belsky, 2001) - Mais l’ampleur est modérée - Si l’âge de début est précoce - que la fréquentation > 20h semaine - et que la qualité des soins insu sante UN ACCUEIL DE QUALITÉ (BELSKY, 2009): - soins attentifs aux besoins matériels et émotionnels - réponse aux signaux verbaux et non verbaux - stimulation de la curiosité et du désir d’apprendre - émotionnellement chaleureux, soutenant et attentif - pas plus de trois enfants par adulte PROPOSITIONS CLINIQUES: - prolongement des congés maternité et/ou paternit - travail mi-temps (1ère année) : allaitement et transition progressive - revalorisation de la génération oubliée (grands-parents) - système de temps d’adaptation et de référents en crèche - nombre d’adultes par e ectif : 3 enfants par adulte - sélection du personnel : pro l psychologique et sensibilité émotionnelle Enfant séparé de ses parents : séparation et divorce (Rabouam, 2016) La séparation des parents, dans certaines conditions : - e ets négatifs sur la sécurité de l’attachement des enfants - parfois des risques de tr. émotionnels, comportementaux et relationnels LES MODÈLES D’ATTACHEMENT DES ENFANTS : - Proximité - Disponibilité - Accessibilité physique La séparation des parents a ecte plus ou moins leur accessibilité dans la mesure où l’enfant est toujours séparé d’un parent quand il est avec l’autre (Feeney & Monin, 2008). LE DIVORCE (KAPLAN & PRUETT, 2000) : - ruptures - routines modi ées - changements de résidence - grand nombre de passages (d’une maison ou d’un parent à l’autre) - niveau économique de la famille parfois menacé => Risques sur la sécurité des attachements, d’autant + graves que les enfants st + jeunes. Les e ets varient selon l’âge et le développement cognitif de l’enfant. Moins de 3 / 6 ans : - Proximité physique avec ses gures d’attachement - Di cultés à se séparer - Troubles du sommeil - Régressions dans le développement En grandissant : - Possibilités de se représenter le lien ff ffi ff fi ff ff fi fi ff ffi ff SUSANA TERENO Cc1 PSY CLIN ET PSCYCHOPATHO 2 - Meilleure capacité à supporter l’absence et l’attente - Meilleures capacités d’autorégulation émotionnelle A + long terme, l’impact du divorce (Bretherton et al., 1997; Feeney & Monin, 2008): - surreprésentation de l’insécurité chez les adolescents/jeunes adultes - nombreux facteurs médiatisent cette association : - l’âge de l’enfant - la capacité des parents à assurer une alliance parentale - à continuer à fournir à l’enfant une base de sécurité Les enfants ont besoin de réponses adéquates pour retrouver un sentiment de sécurité, notamment au moment des séparations et des retrouvailles (Solomon et George, 1999). ATTENTION: Si con its graves et durables, après un soulagement immédiat (Feeney & Monin 2008), les parents : - Déprimés, jaloux, en colère, émotions très contradictoires - Perte du partenaire comme gure d’attachement - Impuissants davantage à protéger leurs enfants - Activent leur propre système d’attachement - Compétition avec leur système de caregiving - Réduction disponibilité/sensibilité aux besoins des enfants - Recherche (+ -) inconsciente du soutien des enfants au risque d’une inversion des rôles PROPOSITIONS CLINIQUES : - De-stigmatisation du rôle du ps - Prévention des séparations et des divorces: - Divulgation des systèmes de soins familiaux (thérapeutes familiales/couple) - Médiations familiales plus systématiques : - Compatibilité : agenda des adultes vs. besoins des enfants (selon l’âge - Médecin généraliste doit détecter et stimuler la demande d’un soutien psychologique : - pour l’adulte - pour les enfants issues des divorces con ictuelles 07/10/2024 - CM 5 Co construction du lien d’attachement et monde moderne occidental industrialisé : pr réfléchir L’infos sur les connaissances scienti ques actuelles aidées sur les besoin des bébés : messages véhiculé et en partie puisés ds la théorie due l’attachement - le rôle des parents est majeur - Les bébés ont besoin de relations personnelles, familières, stables spéci ques et qui répondent, si possible, de manière adéquate aux besoins d’attachement de l’enfant - Le tps des jeunes enfants n’est pas cela des adultes, bcp de choses se jouent ds la 1e année Les messages contradictoires du monde moderne Les individus vulnérables et qui demandent le + de soins et d’attachements (enfants, malades, adultes vieillissants) (Aubert, 2007) - st perçus comme des poids pr le monde du travail Ils doivent être con és pr pouvoir aller travailler - les congés de maternité trop brefs et la reprise ss exibilité possible - La question des modes de garde : - Le bébé et son parent moderne : 10h de crèche des 2 mois 1/2 - 1 auxiliaire pr 5 enfants de moins de 1 an fl fi fi fi fl fl fi SUSANA TERENO Cc1 PSY CLIN ET PSCYCHOPATHO 2 La charge mentale des mères - travail des mères - Agenda des carrières professionnelles vs agenda des bébés - Aides à domicile (réseau familial? Nounous) - Transports et durée du travail - Le multi-tâches et les micro stress (Holmes, 2005; Leblanc, 2007) - Toujours plus - Jamais assz bien - Encore plus vite - Sois encore plus performante => extrêmement délétère pr le fonctionnement des adultes : BO, stress CHRONIQUE => mine la sensibilité parentale Les changements de notre époque : valorisation de l’individu - L’impt attachée aux besoins individuels d’accomplissement et l’impt de la satisfaction simultanée des besoin sde tous les membres de la famille - Notion de court terme au détriment du long terme - « Tout, tout de suite, parce que je le vaux bien » vs « renoncement » - Priorisation des besoins?? Bébé vs. Adulte?? L’ATTENTION AUX BÉBÉS DS UN MONDE CONNECTÉ!!! - écran, téléphone, multitâches et interaction parent/ bébé??? - Le parent au portable : un still face qui ne dure pas 3 min! Conclusion - Enrichissement de connaissances sur la co-cosntruction dans la relation d’attachement - Enrichissement des prises en charge / ces avancées scienti ques mises au service des professionnels ainsi que des familles et de leurs enfants - Mais notre ré exion doit maintenant suivre le chemin tracé / Bowlby, tjr soucieux des implications de la science pr le domaine de la santé publique - Comment aider les politiques à comprendre les besoins des bébés et de leurs parents? Les nouvelles constellations familiales st surement le produit d’une adaptation culturelle, mais cette adaptation n’est pas libre de contradictions. L’enfant est placé au centre de la dynamique familiale, puisqu’on lui accorde une attention qu’il n’a jamais eu auparavant Paradoxalement, on est souvent irrespectueux de la continuité et de la stabilité qui lui st nécessaires pr le dvp d’un attachement Secure. Au même tps, les exigences du monde du travail laissent peu de tps pr prendre soin de l’enfant. Les métamorphoses de la vie a ective des adultes et leur caractère potentiellement imprévisible : - les laissent aussi sst - disponibles psychiquement pr repérer les signaux de débordement émotionnel de leurs enfants et - capables de leur répondre d’une façon sensible. LA THÉORIE DE L’ATTACHEMENT : - Revisite l’impact de ces chgts familiaux sur les ≠ membres du systèmes familial - Donnant des possibilités d’intervention pr prévenir la désorganisation des attachements - Voire les troubles durables de l’attachement chez les enfants et subséquents troubles relationnels. Anxiété de séparation et phobie scolaire Anxiété de séparation : définition L’ANXIÉTÉ DE SÉPARATION EST CARACTÉRISÉE / : fl ff fi SUSANA TERENO Cc1 PSY CLIN ET PSCYCHOPATHO 2 Une anxiété excessive et inappropriée présentée par l’enfant s’il doit quitter la maison et se séparer de ses parents craint qu’un malheur lui arrive ou arrive à la FA Les symptômes dérangent le fonctionnement : social, scolaire et familial. Le tb de d’anxiété de séparation peut se présenter chez des ind de tout âge. Anxiété de séparation : critères diagnostiques DSM-V Peur ou anxiété excessives et inappropriées (…) concernant la séparation d’avc les personnes auxquelles le sujet est attaché, présence d’au moins 3 des symptômes : - Détresse excessive et récurrente ds les situat° de séparation avc la maison ou les principales gures d'attachement ou en anticipat° de telles situat° - Souci excessif et persistant concernant la disparit° des principales gures d'attachement ou un malheur pouvant leur arriver, tel qu’1 maladie, 1 accident, 1 catastrophe ou la mort. - Soucis excessifs et persistants qu'1 événement malheureux ne vienne séparer le sujet de ses principales gures d'attachement. - Réticence persistante ou refus de sortir, loin de la maison, pr aller à l'école, travailler ou ailleurs, en raison de la peur de la séparat° - Appréhens° ou réticence excessive et persistante à rester seul ou sans l’1 des principales gures d’attachement à la maison, ou bien d’autres envt - Réticence persistante ou refus de dormir en dehors de la maison ou d’aller dormir sans être à proximité de l’1 des principales gures d'attachement - Cauchemars répétés à thèmes de séparat° - Plaintes somatiques répétées lors des séparat° d'avc les principales gures d’attachement, ou en anticipat° de telles situations Anxiété de séparation : diagnostique différentiel(-) et comorbidité *: Troubles des conduites – Troubles dépressifs et bipolaires - / * Anxiété sociale – Trouble oppositionnel avec provocation - / * Crainte excessive d’avoir une maladie – Phobie spéci que * Trouble panique - / * Agoraphobie * Trouble stress-post traumatique - / * Trouble obsessionnel-compulsif * Epidémiologie de l’anxiété de séparation Prévalence de l’angoisse de séparation : 9 à 13 ans + de 13 ans Fille 5,6 % 0,3 % Garçon 4,2 % 0,5 % Phobie scolaire : définition Phobie scolaire : jeunes qui n’arrivent pas à aller à l’école pour des raisons qui semblent incompréhensibles (il ne s’agit pas d’un manque d’intérêt) Présence de facteurs communs de peur excessive de l'échec, du jugement des gens, des professeurs ou des autres élèves. fi fi fi fi fi fi fi SUSANA TERENO Cc1 PSY CLIN ET PSCYCHOPATHO 2 Causes : - harcèlement (ou cyber harcèlement) fréquemment impliqués - peur ancienne de la mort ou de la séparation quelquefois réactivée / 1 traumatisme + récent Phobie scolaire : description clinique La peur se manifeste / des crises d'angoisse (réact° psychologiques et/ou somatiques) avec : - Appareil Digestif (douleurs abdominales, nausées, vomissements, diarrhées), - migraines, - hypersudation, - tachycardie, - attaques de panique + crises de larmes. => Absentéisme, pas toujours détecté. Signes à prendre en compte sans délai st l’anorexie, les scari cat°, le renfermement, les tb du sommeil et les refus répétés de se lever qu’1 perspective agréable ne résolvent pas QUI EST CONCERNÉ ? ESTIMATION TRÈS DIFFICILE : - 1 à 5% de la classe âgés [e] 12-19 ans - bons élèves et les moins bons. Causes Conséquences Envtales : phobie sociale et/ou SPST Long terme grave : désocialisat°, dép, Individuelles : tb « instrumentaux » (dyslexie / ex) déscolarisat° totale Anxiété de séparation Sur l'avenir pro : compliqué pr les parents, BO, arrêt d’activité pro, dép, isolement soc Anxiété de séparation et phobie scolaire 4 SCHÉMAS FAMILIAUX INTERACTIFS Schéma A Schéma B Schéma C Schéma D Mère ou père (plus L’enfant craint que qqch L’enfant craint que qqch La mère ou le père (plus rarement) sou re de terrible n’arrive à sa chose de terrible ne lui rarement) craint que d’angoisse chronique à mère pendant qu’il est à arrive à lui s’il n’est pas quelque chose de propos des FA et retient l’école, il reste donc à la à la maison terrible n’arrive à l’enfant l’enfant à la maison pr maison pr protéger sa s’il n’est pas à la maison avoir de la compagnie FA Anxiété de séparation : hypothèses étiologiques THÉORIE DE L’ATTACHEMENT : LA CARENCE DE SOINS MATERNELS Correspond aux soins maternels et santé mentale (Jonh Bowlby : OMS, 1953) avec comme pionnières des Françaises (Aubry, 1955). Cette carence entraîne des csq en santé mentale avc l’introduct° des référents (crèche, hôpital), va favoriser les hospitalisations mère-enfant (Platt, 1959) et des pratiques généralisées à partir de 1970-80. La carence de soins maternels Les jeunes enfants placés en institution au long terme - syndromes d’apparence autistique. ff fi SUSANA TERENO Cc1 PSY CLIN ET PSCYCHOPATHO 2 Les jeunes enfants hospitalisés pour maladie chronique : - Engendrant un attachement insécure surtout si avant 5-6 ans - Enfants insécure moins visité par leurs mères (Robinson et al., 1996) - Attachement désorganisé (parents imprévisibles) hypothèses étiologiques : théorie de l’attachement RELATION D’ATTACHEMENT - nécessite une relation stable et sécurisante [e] enfant et gure d’attachement. - 2 fonctions : - obtenir la protection face au danger - procurer l’a ection et la stimulation pr augmenter les compétences individuelles. => Défectuosité de cette relation : en creusant et installant de l’anxiété et des peurs. LA SURPROTECTION PARENTALE ET TROUBLES ANXIEUX Stimulat° de la dépendance et diminut° de la con ance ds ses propres compétences. L’ATTACHEMENT AMBIVALENT-RÉSISTANT ET TROUBLES ANXIEUX Stratégies de hyper-signalisation. Concept de Base de sécurité ÉQUILIBRE ENTRE EXPLORATION ET ATTACHEMENT : EXPLORATION ET ATTACHEMENT SONT ACTIVÉS ET ÉTEINTS DE MANIÈRE COMPLÉMENTAIRE (GROSSMAN ET AL, 2005) Angoisse de séparation : evaluation psychologique : Un rendez-vous clinique est une situation qui réveille le système d’attachement, surtout la 1e consultation - Rencontre de l’étranger, - Découverte d’un lieu nouveau - Eventuelle menace de séparation ou séparation ≠ moments intéressants pr l’évaluation : - Ds la salle d’attente ; - Lors des moments stressants ds la consultat° - Moments de séparat° et de réunion - n de la consultation - Retrouvailles après des vacances ENTRETIEN CLINIQUE AVEC LES PARENTS (ALLIANCE DE TRAVAIL) : a. une histoire psychosociale de l'enfant b. Interview des parents (Questions importantes) : 1. caregiving comme base de sécurité, que fait l’enfant quand il est : Bouleversé ? Soucieux ? Préoccupé ? Se fait mal ? 2. les expériences de séparations et de perte c. observations d'interaction directes - signaux de cpt parentaux inadaptés (e rayants ou e rayés) fi ff ff ff fi fi SUSANA TERENO Cc1 PSY CLIN ET PSCYCHOPATHO 2 Angoisse de séparation : échelles d’auto-évaluation Screen for Child Anxiety Related Emotional Disorders (SCARED; Birmaher, B., 1999; version Française de Petot et coll., 2010). Questionnaire de dépistage et d’aide au diagnostic des troubles anxieux : - 41 items - 5 échelles syndromiques : - Trouble de panique - Anxiété généralisé - Phobie sociale - Angoisse de séparation - Phobie scolaire. - 2 formes du Scared : - auto-évaluative (enfant à partir de 8 ans) - hétero-évaluative (parents)