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Summary
This document discusses youth, education, and societies, covering topics such as the historical categorization of youth, the role of age in society, and the influence of social changes. It introduces different models relating to youth. The potential examination question styles are also mentioned.
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UEO - James Massy Jeunesses, éducation et sociétés Modalités d’examens : - QCM chronométré, en ligne, la semaine avant les vacances de Noel Introduction : âges histoire de la jeunesse L’âge permet de donner une catégorisation des g...
UEO - James Massy Jeunesses, éducation et sociétés Modalités d’examens : - QCM chronométré, en ligne, la semaine avant les vacances de Noel Introduction : âges histoire de la jeunesse L’âge permet de donner une catégorisation des gens de la société. Quand on parle de jeunes ou de jeunesse, on parle d’une donnée biologique mais aussi d’une évidence d’une socialisation manipulable. L’âge est une avancé dans le temps, il y a plusieurs questions qu’on peut se poser : - y’a t-il des adolescents partout ? - Les vieux sont-il les mêmes en France qu’en Afrique ?… et ces questions sont-elles en adéquation avec l’époque. Dans notre société il existe trois ordre de la société : enfance, adulte, vieillesse. Est ce que toute les cultures ont la même structure de l’âge ? Quand est la n de la jeunesse ? Est ce que les bornes de la jeunesses d’hier sont les mêmes que les bornes de la jeunesse d’aujourd’hui ? La jeunesse est traversé par son époque et inversement. Il y a des sujets qui sont jugés di érents entre les générations. Les jeunes sont plus préoccupé par les violences faites aux femmes, le racisme… que les adultes (parents). Le monde contemporains modi e les questions que se posent les jeunes et inversement. La jeunesse est une sorte de changement social de la société. Aujourd’hui les jeunes représentent 17,3% de la population totale (15-29 ans). La projection en 2050 est de 16,2%. De plus, les jeunes ne se retrouvent pas partout, ils sont plutôt espacé au niveau démographique de la France. 3,2 millions de 15-29 ans habitent en milieu rural. 78,2% des jeunes qui ont obtenu leur bac en 2019 poursuivent ensuite en études supérieurs. En 2018-2019, 45% des 15-29 ans sont scolarisés. En 2019, 7,3% des 15-29 ans en emploi sont en sous-emplois (TP,chômage partiel…). Mais aussi, 16,8% des jeunes actifs qui ont terminé leurs études initiales depuis 1 à 4 ans sont au chômage. 12,9% sont des NEET : sans emploi, études, ni en formation. 1 fi ff fi I. La jeune histoire de la jeunesse La jeunesse est une dénomination qui permet de parler d’un truc ou mais qui permet quand même de se reconnaitre. Il existe di érentes variables qui nalement sont diverses façon de vivre sa jeunesse (emploi, études, couples, célibataires…). L’étude de la jeunesse n’est pas si vieux, en e et elle n’existait pas il y a longtemps, on disait que c’était un « truc de riche ». 1.1. les SHS et la jeunesse Les historiens ont toujours étudié la jeunesse, il y avait aussi des catégorisations sociales de la société à l’époque. C’est donc une notion scienti que qui s’est introduit. Si on prend l’exemple de la psychanalyse, on étudiait la période de la puberté. Les scienti ques on étudier les transformations physiques de la puberté, on y remarquait un changement du corps important. C’était un passage du corps de l’enfant à l’adulte. Ce qui a amené une période de mutation psychologique mais aussi morale de l’homme. Changement psychologiques = changements physiologique. Au début des sciences humaines, on va reconnaître l’existence d’une phase qui n’est ni l’enfance ni l’adulte mais une période de changements psychologiques et physiologiques. C’est pour ça qu’on parle de crise d’adolescence. Selon la psychanalyse, la puberté serait l’intégration de la sexualité dans le corps. Ce qui amène à une catégorisation sociale des jeunes. Ainsi, l’adolescence se dé nit plutôt comme une période individuel (changement du corps) au contraire de la jeunesse qui est collective. Les ados représente là un groupe social, mais ici, les adolescents ne sont pas tous dans la période de l’adolescence (ne sont pas tous dans la période de la puberté). Donc les ados / adolescence est à distinguer. Cependant, derrière adolescence se cache une catégorisation sociale. Ce qui constitue la façon la plus simple de catégoriser les jeunes est le calendrier scolaire (collège, lycée, études). Il faut di érencier adolescence (période individuelle) et les ados (groupes sociale). L’adolescence est une sous catégorie de la jeunesse marqué par la puberté. Selon les sociologues, nous donnons des caractéristiques à ces âges catégoriques. Comme la forme, la durée, le sens… Le passage de la jeunesse à l’âge adulte est surtout représenté par l’école, selon les socio. La dé nition de la jeunesse constitue une indé nition, il n’y a rien de plus ou que la jeunesse. Car constitue pleins de caractéristiques mais aussi groupe social. C’est un processus en la sortie de l’enfance au passage à l’âge adulte. Jeune semblerait être un attribut donné celui le temps passé sur terre donc lié à l’âge. 2 fi fi fi ff ff ff fi fi fi fl fl La jeunesse commencerait par le début de l’adolescence. 1.2. une brève histoire de la jeunesse L’entre deux guerres : on commence à entendre parler de la jeunesse, notamment avec les mouvements de jeunesses catholiques ou d’autres mouvements de jeunesses organisés. Le front populaire c’est l’explosion des questions de jeunesses, c’est aussi la période où se construisent toutes les fédérations pour la jeunesse (auberges de jeunesse, MJC…) L’entre-deux-guerres voit la consolidation de l’adolescence comme une catégorie distincte, grâce aux travaux de psychologues comme Jean Piaget, qui explore le développement cognitif des jeunes. Sous vichy : la première préoccupations politiques est la lutte contre la résistance qui est institué surtout par la jeunesse. Une partie de la jeunesse rejette les valeurs de Vichy et entre dans des réseaux de résistance, notamment après l’imposition du STO. Les maquis et mouvements clandestins accueillent de nombreux jeunes résistants, devenant un symbole de contestation contre le régime. Après guerre : la résistance constitué par des jeunes va être le pilier de la reconstruction de la société après guerre. Ici, on fait face à une période d’expansion de la jeunesse, en e et elle devient un objet politique qu’il faudrait anticiper. Prenons exemple de « jeunesse et sport ». = espace de construction de la jeunesse (culture juvénile) mais aussi un espace qui fait évoluer cette culture : l’école. Seconde partie du 20ème siècle : la jeunesse devient la période à laquelle on se prépare, se construit. « Il y a, dans cette distribution des places, en termes d’âges et de genre, tout un dispositif attribuant les rôles, accordant les statuts, dispensant les devoirs et les prérogatives, les grati cations et les sanctions, pour mieux réa rmer les normes de conduite cardinales dont se dote une société et qu’elle fait évoluer. La jeunesse est au cœur de cet agencement sociale, en tant que porteuse d’avenir » (Ludivine bantigny, 2009) 1.3. La jeunesse, les sociologues et les anthropologues Les premiers à avoir étudier la jeunesse est aux états-unis, en science humaine et social. États-unis : Dans les années 20, pourquoi certains jeunes sont déviants ? C’est la question que se pose ces sociologues américains. Pk on arrive plus à contrôler la jeunesse, ces études étaient surtout faites dans les quartiers pauvres. Une autre idée va aussi apparaitre, c’est que les jeunes sont à l’origine du changement social. C’est par la transgression des normes de la société que la jeunesse fait changer cette société. Donc à travers leur déviance, ils transforment la sté. Laisse à penser que la culture juvénile est une alternative à la culture des adultes. Les cultures sont en accord Avec leur époque. La culture échappe à la culture des 3 fi ff ffi adultes. Chaque génération est aussi caractérisé par l’utilisation de la langue (l’utilisation de la langue n’est pas la même que ce soit chez les jeunes, les parents ou les vieux). On est donc allé étudier des jeunes dans les guettos. En Grande - Bretagne : c’est du coté des jeunes prolétaires et leur délinquance. Les chercheurs de l’époque voient que chez les jeunes prolétaires il y a plus de délinquance que les autres jeunes. Il vont donc essayer de comprendre pk une délinquance chez ces jeunes là ? Les liens sont évident, ce sont des jeunes exclut de la société en pleine transformation, en marge, au chômage. Ici, on obs la culture juvénile est vu comme un instrument de résistance mutuel. Renvoie aussi ici à une domination des classes. Il existe tjr une culture dominante/ une culture dominé. En France : années 60. On va obs que la jeunesse est un Mécanisme de placement, déplacement et replacement. Peu à peu la Sté industriel qui avait permit d’éclore la Sté ouvrière, laisse place à une autre Sté bcp moin marqué par l’industrie mais par le service. La classe ouvrière avait sa propre culture. L’école a produit la mobilité sociale ascendante aussi dit ascenseur social. Elle a donc laissé espérer qu’il y avait dans l’école une émancipation de classe. L’allongement de la jeunesse signi e que les jeunes restent + à l’école. Il y a de plus en plus de jeunes qui vont en études supérieurs. C’est ce temps social fait pour se construire. Une transformation anthropologique du passage à l’âge adulte. La socialisation primaire correspond à ce moment où les parents où/et la maitresse sont les pers les plus importantes pour l’enfant. La socialisation secondaire qui est l’intégration de nouveau sous-monde. Rupture totale avec le monde d’avant (comme l’entrée à la fac). La jeunesse dans cette perspective serait aussi une socialisation secondaire. Ce n’est pas une question d’âge mais d’intégrer un nouveau groupe social (ex : du coming out). Les âges de la vie, prismes et paradigmes : Dès les années 60-70, la jeunesse à tjrs été aborder avec les théorie par ce qu’elle n’était pas, et non pas par ce qu’elle est. Enjeux sociaux de la jeunesse, mi enfant mi adulte – Qu’est ce que la dé nition de la jeunesse fait à la jeunesse ? On considérait 3 séquences dans la vie : enfant/jeunesse ; adulte ; vieillesse. Dimension presque universelle. La métaphore du sphinx (?) : le matin à 4 pattes, le jour sur 2 pieds et le soir sur 3 pattes. L’existence se transforme avec l’allongement mais aussi autres dimensions – l’extrême vieillesse. Des séquences de temps qui sont structurantes. Avec des parts relatives de la vie active, elle tend à réduire (entrer ds vie active 25ans et retraite 65ans / alors qu’avant entrer VA 12ans et mort possible à 40ans). La jeunesse est un temps inscrit entre 2 temps. 4 fi fi L’allongement de l’espérance de vie voit se multiplier les segments de vie / les âges de la vie. Au sein de la même vie les changements voit naître plusieurs vie (ex changmt de métier). Un segment de vie, c’est une nouvelle identité ; un segment de vie peut commencer avec le calendrier scolaire, une frange, un évènement traumatisant, subjectif ou objectif, etc. Les classes d’âges dépendent de segments de vie. Comment dé nir un grp social ? Un segment de vie peut dé nir un grp social. Les codes adultes imprègnent de grp sociaux, alors le grp social accède à des codes dont il ne devrait pas avoir accès. Qu’est ce que les segments apportent ? On parle à la fois des problématiques qui touchent individuellement mais aussi de grp sociaux. Segmentation de la vie pour voir opérer des chgmt. Ds le chgmt qui émaillent les trajectoires, on voit de la mobilité comme le statut d’adulte a acquérir. Cette mobilité à double visage, normes diverse et économiques. La mobilité est aussi provoquer pour certains projet de vie (perso/professionnel). Tout les passages sont ou, la mobilité n’est pas forcément assurer. Quand est ce que l’on arrête d’être jeune ? En gros, c’est du ressenti. Il y a des seuils que l’on peut ou pas faire, ex mariage. Les seuils était simple pour constituer des classes d’âges. Les aspirations se sont construites et reconstruite. La culture du travail constitue un ethos de la jeunesse et de ce fait ça transforme les seuils. On ré échit la vie dans très longtemps. Les segments sont des expérimentations. Ces existences sont de + en + long et avec des statut réversible (personne avec emploi – chômage). On considérait 3 séquences dans la vie : enfant/jeunesse ; adulte ; vieillesse → Les 3 âges de la vie sont devenus des illusions. Quel est le prisme a prendre pour garder ces classes d’âges ? +sieurs axes d’étude: celui des âges = à 18ans t’es adulte. Une classe d’age peut être un chgmt. 31Min. « Citation » = Tout les gens qui ont le même âge vivent la même chose, et de la même façon. Celui des parcours = érosion des ages et plus de temporalité xe. Souligne l’affaiblissement (du pouvoir de scansion) des seuils. Les seuils sont + nb et + long mais aussi réversible. Observer les différences celui des générations = dvlpé en comparaison avec les + anciennes. Les transformations socio-anthropologiques à l’âge adulte. Ce sont 3 paradigmes pour expliquer les classes d’âges, les frontières entre ces paradigmes sont clair et net mais pas gé. Les jeunes à la fac sont travaillant, étudiant, relationnel(amour). Les paradigmes sont clivants mais reste complémentaire dans la connaissances des jeunes et de la jeunesse. Un J qui n’est plus un construction mais en lutte avec certaines catégories d’âge (symbole d’émancipation). Bourdieu dit « en gros la jeunesse bouge ». 1.4. la jeunesse et la société, la jeunesse dans la Sté Les conditions socio-économiques La jeunesse est la classe d’âge qui subit le plus les e ets d’une crise. 5 fl fi fi fl ff fi fi Dès lors qu’il y a une trajectoire migratoire dans une famille alors il y a moins d’accès au supérieur. Augmentation du taux de chômage, mais augmentation de la qualité de vie. Les jeunes sont plus formés mais plus pauvres. En 2020, Les étudiants déclarant une aide nancière de leur famille reçoivent en moyenne 530 € de la part de celle-ci. Les étudiants déclarant béné cier d’aides publiques reçoivent en moyenne 330 €. Les étudiants percevant des revenus d’activité reçoivent en moyenne 730€. - Les politiques Parcours d’insertion selon le diplôme: tout le monde n’a pas accès à toutes les formations, les formations sont inégalement valorisées. La segmentation politique des formations Les jeunes sont les plus pauvres mais pas de politique de lutte contre la précarité des jeunes. Les aides publiques sont gérées par les politiques. Les aides des étudiants sont faibles, ce qui demande une aide des familles donc augmentent les inégalités. Les classes préparatoires aux grandes écoles coûtent plus cher que les étudiants à la fac. Quatre référentiels de la jeunesse : (Chantal Guerin plantin) - le modèle de la jeunesse citoyenne (conseil régional de la jeunesse) - Le modèle de la jeunesse dangereuse et en danger (jeunes de quartier pop) - Le modèle de la jeunesse messianique (Grève pour le climat) - Le modèle de la jeunesse fragile Des nouvelles jeunesses ? Le parcours d’insertion à la vie active de la jeunesse connait des inégalités puisque seulement 45% d’entre eux connaissent un accès durable à l’emploi au cours des trois ans après leur formation. Le taux de chômage des jeunes actifs selon l’origine des parents est bcp plus forte pour les moins de 25 ans descendants d’immigré d’Afrique = personne peu ou non diplômés. On remarque que la volonté d’inclure les jeunes dans la société est importante, exemple : lors du régime de vichy, volonté des jeunes à la résistance. Une jeunesse en émancipation mais qu’il faut encadrer. Sous la république de Charles de gaule, développement des lieux, des structures de milles clubs, qui accueillent et anime des groupes de jeunes. À cette époque, il n’y a pas vraiment de jeunesse comme aujourd’hui, mais on parle de jeunesse populaire: - les étudiants de 1960 - Les blousons noirs (jeunes de milieu populaire). Deuxième postulat, c’est que cette jeunesse populaire est dangereuse. Une nouvelle jeunesse va voir le jour à cette époque, on parle de la jeunesse des quartiers (venant de l’immigration) = ex : quartier des minguettes le 20 juin 1983. Il y a ceux qui veulent encadrer/éviter le débordement de la jeunesse, et d’autres qui eux souhaite l’émancipation des jeunes. 6 fi fi Il y a une tentative de contrôle sociale, sur cette population dite « dangereuse ». Il faut la repérer, l’encadrer. En la repérant, on peut agir et prévenir au cas où. L’insertion de la jeunesse dans la Sté, pourquoi leur trouver une place ? Le travail serait l’ultime de la jeunesse, préparer sa vie d’adulte. Sans travail, aucune possibilité de vivre. Les politiques depuis la seconde guerre mondiale, ont une tendance au contrôle sociale de cette jeunesse. Jeunesse citoyenne Ce modèle développe une croyance en une éducation, en une transmission des principes des adultes à ces jeunes, « pour mieux connaitre la vie des adultes ». Comme le conseil régional de la jeunesse, on part d’un principe quand même d’encadrement de la jeunesse. Une idée d’un apprentissage de la société qui favoriserait cette transformation du jeune en adulte. On les retrouve dans les mouvements de jeunesses, dans les associations, dans les conseils locaux, dans les syndicats… Jeunesse messianique Cette jeunesse est plutôt dans cette idée de faire évoluer le monde comme par exemple la grève pour le climat. Nommé aussi les paci stes, ou jeunesse écolo. Donc des mouvements en faveur de la défense de la nature en général. Reprenne des a aires qui était en cours chez les adultes. Jeunesse fragile C’est la jeunesse qui est fragile, qu’on essaye d’accompagner tout leur jeunesse car enfance di cile ou autre. Jeunesse dangereuse On peut parler ici des jeunes de quartier populaires. Ils représentent un danger selon les politiques. Selon ces quatres modèles, on est sur une idée de répartitions de la jeunesse. Les politiques font des jeunesses. Les jeunesses dangereuses au 19ème siècle/ les jeunesses dangereuses au 21ème siècle. Jeunesse : participation électorale et tendances politiques 7 ffi ff fi Nouvelle jeunesses : vieilles idées , vielle idéologie On est plus sur des jeunesses qui ont des idées conservatrices. Nouvelles jeunesses : nouveaux combats Ici, on est plutôt sur des jeunesses progressives, qui souhaitent faire évoluer les choses, et changer la société. Un mieux vivre ensemble. Il faut distinguer les partisans et les sympathisants. Les classes moyennes qui représente le plus d’individus en France, sont perçu par les politiques comme un stage de stabilité, là ou se jouerait la cohésion sociale. Les études montrent que les jeunes issus de classes moyennes sont retrouvé dans des milieux altermondialiste. Depuis 2013, on remarque une transformation de la jeunesse comme la jeunesse terroriste. La place des jeunes de classes moyennes dans ces milieux très spéci que est devenu de classe égale avec des jeunes de classe populaire. Il y a trois lignes de clivages : 1. Chez les 18/24 ans, c’est de sexe et de genre et notamment dans la forme de protestation. Et la manière de se mobiliser politiquement Les femmes se sentent + impliqué dans les questions de sociétés, mais par contre elles sont moins engagé politiquement et dans les associations. 2. Le capital culturel hériter qui a un e et sur la participation politique et social Un capital c’est ce qu’on possède, il y en a trois : économique, sociale et culturel. Et ce capital culturel à lui trois étapes : - capital culturel incorporé ( tout ce qui est qu’on est nous) - Capital culturel objectivé ( quelque chose qu’on peut toucher et transmettre) - Capital culturel institutionnalisé ( c’est l’ers des titres et diplômes que l’on a) On hérite donc des trois capitaux culturels de nos parents. Il nous vient aussi de notre culturel que ce soit national ou local. 8 ff fi On hérite donc pas tous du même capital, pour plusieurs raisons possibles. Il y a une inégalité culturelle de base. Cette inégalité culturel créer aussi donc une inégalité de participation sociale = inégalité de capital culturel hérité. Provoque donc cette inégalité de CCH au sein de la jeunesse. Une jeunesse plurielle. Enquête auprès des 18-24 ans (Galland et Lazar, 2022) Le facteur de mal être, on retrouve aussi des jeunes qui sont d’autant plus malheureux et qui sont insatisfait de leur orientation pro. 3. L’origine nationale et la religion Les jeunes de confessions musulmanes se distinguent sur plusieurs aspects : -le niveau de racisme - Le niveau de discrimination Que ce soit à l’orientation, à l’embauche où même dans la société. Le territoire entendu au sens large, ce qui joue le plus c’est la taille de la commune qui elle structure très largement le rapport au monde. On a d’un coté une jeunesse rural plutôt populaire, et une autre jeunesse urbaine, plutôt favorisé extra-européenne. Avec ces trois lignes de clivage on ne peut pas appréhender la jeunesse de façon homogène. Les auteurs ont choisis de faire sortir une pluralité dans leur étude. Les 4 jeunesses françaises : Les démocrates protestataires : catégorie qui rapport le plus de jeunes (39% des jeunes enquêtes). Ces jeunes semblent + intéressés aux questions sociétés. Les révoltés : représente 22% des jeunes enquêtes, ils ont deux caractéristiques : souvent en détresse psychologique, mais aussi en situation matériel di cile. Ils sont favorable à un changement radical, qui est plutôt de nature révolutionnaire qui touche la société. Les désengagés : représente 26% des jeunes enquêtes. Ils sont en retrait, ils s’en foutent que ce soit sur des questions politiques ou sociétales. Les intégrés transgressifs : représente 13% de l’enquête. Eux ils ont tout les signes de l’intégration sociale et économique. On pourrait presque parler des classes moyennes supérieur. En conclusion, la jeunesse à du mal à faire sa place dans la société. La Sté renvoient les jeunes à leur responsabilité de faire leur place elle même. La place de la jeunesse dans la Sté à du mal a se faire car la génération précédente n’est pas prête à laisser sa place. Ce qui nous emmène Aujourd’hui à une société d’une certaine génération/classe. Une société où les jeunes doivent assurer leur avenir par la force de travail. Être adulte n’est plus une évidence. 9 ffi II. Le processus socio-anthropologique du passage à l’âge adulte : de l’approche anthropologique à l’approche sociologique Puberté - initiation - passage - ségrégation Le rite de passage était la façon dont on avait construit le passage à l’âge adulte : il était mit en action, structuré. On peut prendre par exemple : le bac est un rite de passage plutôt positif. Mais se vomir dessus après une cuite c’est aussi un rite de passage mais négatif. 2.1. l’initiation, une deuxième naissance Les trois types de rites selon Arnold van gennep (les rites de passage, paris 1981) Les rites de séparations À l’adolescence on sépare un enfant des enfants. Derrière cette idée est de suggérer que l’enfant n’est plus dans le monde des enfants. Les rites de marges D’éloigner le Groupe du village, de la vie social… qui peut durer très longtemps. Cette marge s’accompagne tjr de tabous (alimentaires par exemple). Ce qui est commun à ces rites, c’est la transmission du sacré. Les rites d’agrégations A travers ces trois étapes, le novice passe d’enfant à une inscription a une culture du groupe. La puberté est une période de transformation, considéré comme un rite. 2.2. la liminalité, anti-structure Victor turner (1990/1969). Le phénomène rituel : structure et contre structure Liminalité : entre séparation et agrégation Communitas : anti-structure 2.3. l’institution de la di érence Rites d’institution : institution d'une di érence qui consacre ceux qui ont vécu le rite de ceux qui ne l’ont pas vécu et ne le vivront jamais E cacité symbolique : les rites agissent sur le réel en agissant la représentation de celui-ci. L’investiture d’une personne « transforme la représentation que se font les autres agents et surtout peut-être les comportements qu’ils adoptent à son égard, et ensuite parce 10 ffi ff ff qu’elle transforme du même coup la représentation que la personne investie se fait d’elle même et les comportements qu’elle se croit tenue d’adopter pour se conformer à cette représentation » Pierre Bourdieu, Les rites d'institution », III.La déritualisation du processus socio anthropologique 3.1. le déclin du sacré Les sociétés traditionnels se sont les sociétés rurales. Il y trois gures importantes dans les anciennes société/ communautés : le maire, le curé et l’instituteur. Les rites ici avait pour mission de séparer/ ségrégation. Le rite étant ségrégatif ils avaient un rôle d’intégration social, si on prenait pas compte des rites de la société alors rejet de la société. On parle des sociétés traditionnels de l’époque. En respectant les normes je m’intègre, à l’inverse je respecte pas je suis rejeté. Aujourd’hui ces Sté n’existe plus même si il en reste des bribes. Les croyances de manière G (religieuses) qui fondent ces communautés de personnes, les liens sociales et l’intégration. Même les Sté contemporaines possède des rites qui sont di des rites de l’époque. Donc les rites ont connu des mutations parce que les formes de passage (rites de passages) suivent le changement social des époques. Le rituel le plus important du 18/19S c’est le service militaire. Pour les femmes c’était le mariage et religieux. Qui reste un rite de passage. Si on prend l’exemple des enterrements de vie de jeunes lles ou de jeunes garçons, restent des rites de passages de séparations de la personne avec son ancienne vie de célibataire. Pour les femmes le mariage est le passage de la maison de l’enfance à la maison adulte, c’est la découverte d’un new rôle qui est soumis à l’autorité maritale. Ce qui fait de ce rite c’est le fait qu’elle passe de jeune lle vierge à jeune femme qui dans la nuit ne le sera plus. Un critère qui n’est pas une contrainte pour les hommes. L’initiation sexuelle se fait directement par le mari, devient un des passages qui est parfois soumis par preuve d’autres pers. C’est donc un rite de passage a n d’être intégré comme femme dans la Sté. 11 fi fi ff fi fi Ce qu’il faut retenir c’est que les rites de passages ont continué d’exister, mais ils perdent tout de même cette fonction religieuse : perte du sacré dans la société. Il s’agit pas de disparition de la religion mais une désacralisation au l du temps et une scolarisation de le vie. Le sacré permettait de s’intégrer dans la réalité et dans la société, des gens. = Donc désacralisation des rites. Donc à quoi servent les rites nalement si il y une désacralisation ? 3.2 les raisons du déclin de la ritualité Massi cation scolaire et démocratisation du secondaire Dans les milieux pop, à l’aube du 20S, l’industrialisation est galopante en Europe mais tjr plus besoin de mains d’oeuvres, etc. La jeunesse reste délimité par des rites que l’église tient à mettre à jour, que l’on connait encore comme le baptême, la communion, etc. Au même moment où l’on désacralise, on doit monter la puissance de l’école, car celle-ci devient obligatoire. C’est un espace temps qui structure les positions sociales entre les enfants et les adultes. Un fois qu’on sort de l’école, ce ne sont plus des enfants, la communion était une façon pour le clergé de ramener la population au sacré. Ce ne sont plus des enfants mais pas non plus encore des adultes, ils vont commencé à travailler dans les industries, champs. Ils travaillent alors pour l’économie du pays, mais en même temps ce ne sont pas des adultes. Ces jeunes garçons qui quittent l’école pour aller travailler étaient un moment appeler pour le service militaire. C’était à l’issu de ce service qu’ils pouvaient devenir un vrai adulte, avoir une femme, avoir un logement, etc. C’était de sorte un passage (seuil) obligatoire pour aller + loin. Massi cation veut dire que tout le monde doit venir à l’école, sorte d’obligation. Ségrégation socio-scolaire Transformation des liens sociaux (boson,2002) On a une Sté marqué par de grands changements sociaux et pro. Les Sté traditionnels sont construites sur des hiérarchies sociales et donc des rapports sociaux basé sur la domination. Et ces rapports de dominations sont gérer par les rites de passages, on retrouve trois éléments quasiment constant dans les sté tradi : - la domination matérielle symbolique des G ainées la valeur social diminue, être jeune est mieux que d’être vieux. L’exp de la vieillesse était un atout dans les générations des sté tradi. Maintenant toute cette exp des personnes ainées diminuent avec le devlp des technologies. Il y a pas de transfert de connaissances alors qu’à l’époque c’était central. Maintint ce sont les jeunes qui apprennent aux anciens. Le principe d’obéissance aussi à évoluer de G en G. - Domination masculine sur les femmes 12 fi fi fi fi - Déclin des communautés d’interconnaissance Désynchronisation des seuils d’entrée à la vie adulte (Galland, 1993) On a un allongement de la jeunesse plus précisément.les vieux n’ont plus tous les pouvoirs car ce sont les jeunes qui apprennent aux anciens, ils sont moin respecté qu’à l’époque. Aujourd’hui, les seuils sont beaucoup plus long dans la vie d’un individu par rapport aux années d’avant. Que ce soit par exemple le premier rapport, début de la vie en couple, n des études, premier emploi, etc. Schéma 2 : schéma de modèle de la di érence des étapes de la vie selon l’époque. Le modèle de la jeunesse actuelle s’allonge dans le tps. Le modèle du 19s et première moitié du 20s, c’était un modèle synchronisé ritualisé et discontinuiste, tout était organisé, contraire au modèle désynchronisé, dévitalisé et continuiste. Aujourd’hui, les seuils ne sont plus les mêmes pour tout le monde, chacun à ses histoires de vie. Il n’y a plus de modèle normatif de la succession des seuils, on a plus besoin d’être en couple pour être autonome pour une femme par exemple. Ce nouveau modèle vient poser de nouvelles questions sur ces rituels de seuils. Un double processus et une double latence/double transition (Mauger,1999) Il disait que la jeunesse est cette séquences de la vie où il y a le passage entre école et travail. 13 fi ff Idée de double transition/double passage qui sont parallèles. En fonction de notre famille nous somme poussé à un certain type de vie qui n’est pas le même pour tous. Remise en cause par le capital scolaire acquis. - le premier rapport sexuel et le premier enfant sont les deux facteurs qui peuvent permettre d’évaluer la dimension matrimonial des individus. L’âge moyen du premier rapport était de 17 ans, aujourd’hui c’est plutôt 18 ans. Le temps entre le premier rapport et le premier enfant s’est considérablement augmenté. Les rites ont quasiment disparus, même si il y a certains espaces où les rites continuent. IV. Rites et rituels contemporains 4.1 les premières fois : nouveaux rites Rites ponctuelles et informelles entretiennent les jeunes dans une phase de tâtonnement. Ces rites sont partiel engage qu’une partie de nous, mais surtout ils sont irréversibles. Ces premières fois n’implique pas des passages formels, éventuellement on passe un seuil mais ce n’est pas formel (la première clope). Ils n’inaugurent pas une maturité social. Non responsabilité de l’autonomie comme des premières fois. En 2016 on comptais encore 57% des jeunes vivant encore chez leurs parents. Une des premiers rasons de la cohabitation est l’accès aux études. De plus en plus de jeunes ont accès à l’enseignement sup mais en même temps de plus en plus de jeunes sont bloqué chez eux notamment. Les diplômés sont ceux qui sont le plus impacté par le chômage. La désynchronisation mène aussi à la dé-standardisation. La jeunesse s’enchaîne sur des séquences variées. Plus de forme ritualisée qui organise le temps de façon uniforme, sauf le calendrier scolaire. Le temps de l’enseignement supérieur = le tps de la jeunesse. Les calendrier scolaire sont stéréotypés car ségrégatif. Un Σ d’expérience pour la jeunesse → les rites de 1res fois. Le trajet vers l’âge adulte s’organise en évolution ponctuelle (news exp), personnelle et réversible. Le terme « rite » est garder car certaines premières fois constituent un passage important. Le 1res fois non supervisée, elles constituent un angle d’observation pour voir ce que la jeunesse emprunte aux rites. Ces expériences ne nous change pas où tout au plus dans notre groupe. Ces rites de 1res fois ne sont pas des rites de passages. Bozon : les 1res fois sont des rites ponctuels et des procédures informelles, qui n’augure pas l’entré dans un processus, mais qui entretienne plutôt les jeunes dans une phase de tâtonnement » 14 Ces rites sont partiels dans le sens où qu’ils sont réversible (mariage, couple, décohabitation). Ces 1res fois n’implique pas des passages formels (au plus on passe un seuil). Elles ont une formes de déresponsabilisation / contrôlées, elle n’augure pas une véritable maturité sociale. Une autonomie sous contrôle. Une phase d’expérimentation, qui n’a pas forcément une dimension structurante. Ce new processus maintient le jeune dans un statut en attente. Double transition = double latence qui mènerait même à une double anxiété. Une jeunesse avec des objectif de + en + insaisissable. Le jeune se sent responsable de choix à faire et pour l’avenir. La décohabitation au 21e s Processus intégrant la jeunesse de codes et données variables, conditionné par 3 choses : sexe, diplôme, Les plus aptes a décohabité c’est ceux qui ont toutes les données. Les femmes a âge et diplôme égale décohabite +. En 2016, 57 % des 18 à 24ans encore chez les parents. Un raison de la décohabitation = l’accès aux études. Pour autant, décohabiter implique une capacité à faire face aux coûts quotidien. 3/4 des jeunes disaient ne pas avoir décohabité pour de raisons de coût économique. La situation sociale est a la fois scolaire et économique. 40ans que la précocité féminine au départ comparer au départ des hommes. (1re raison par rapport à l’allongement des études mais pas si simple). Le niv de diplôme, le parcours résidentiel n’a pas réellement changer. Ceux qui sont le plus souvent cher les parents 5ans après la n de études sont ceux qui ont un niv faible / + bas. De + en + de jeunes on accès à l’enseignement supérieur et paradoxalement de + en + de jeunes ne peuvent pas décohabiter par manque d’accès au supérieur. A l’invers + niv diplôme ↗ alors décohabitation rapide à la n des études. Le modèle français : la double résidence ( nancé donc sous contrôle) ; ceux qui ne sont pas nancé → c’est un cohabitation négocié. Dimension cultuel a considérer. ≠ trajectoires de décohabitation : varié, réversible, risqué. Les trajectoires sont un re ète de la jeunesse décohabitante « que je veux vivre ». Risqué car la familialisation de l’aide aux jeunes ; car marqué par la situation de primo-arrivant sur la marché de l’emploi. Ex : un accident de la vie (rupture, changement d’emploi, etc) → confrontation au marché du logement qui mène à des stratégies de repli. Logiques de décohabitation : investissement (professionnel surtout investir dans l’après = le double résidence des étudiants), installation (métier et couple stable), le repli conjugale (concerne surtout les femmes et mène à fonder de + en + jeune sa famille). La décohabitation des femmes + rapide : elle ont plus a gagné en décohabitant là ou les hommes béné cie déjà du + de la domination masculine et donc ont plus a gagné en restant. Les études sont soumises aux coûts nanciers, les jeunes ne décohabite pas forcément par manque de moyen. 15 fi fi fi fi fi fl fi 1er seuil. Le travail / L’insertion professionnelle Trajectoire de l’insertion professionnelle, lutte des places (domination des plus âgés). La jeunesse massi er avec démocratisation de l’accès à l’enseignement supérieur, le diplôme est un éléments qui vise à préserver du chômage. Idéal commun de faire des études après le BAC. Une année passer de plus dans l’enseignement supérieur ne change pas tant le taux de chômage. Un niv d’étude (aspiration) vient avec un niv… La trajectoire de l’insertion professionnelle est en lien avec les choix antérieurs dans l’orientation. L’origine démographique cèle les destins sociaux (rentabilité étude courte pour campagne + valoriser). A l’instar du calendrier scolaire, l’orientation participe au destin social. Trajectoire plus favorable pour les + diplômés. Les masters sont pris d’assaut pour l’espoir d’une stabilité. Mtn le type du diplôme et le modèle du diplôme (alternance). + la politique dvlpt les ≠ types de diplôme, plus cela créer des trajectoires, inégalement répartie et inégalement valoriser. Un travail de subsistance permettant l’autonomie pour viser un travail voulu. Le tps passer en marge de l’emploi (le tps avant de trouver l’emploi que l’on veut), alors ceux qui sont non-diplômé rester de + en + longtemps. L’allongement de la jeunesse, c’est aussi être à la marge (socialement). Le paradoxe de la démocratisation du supérieur : paradoxe de l’injonction à se former et le déclin de la mobilité sociale acsendante La part des cadres sup n’a pas augmenter la part d’emploi, l’affaiblissement du lien emploi- formation. Les compétences extra-scolaire (=soft-skills) sont de + en + valoriser, les formations ne sont tourner vers une formation professionnel. Les employeurs cherchent de comp spéci que, c’est pas le fait qu’on soit bcp sur le diplôme qui est rentable – c’est les employeurs qui choisissent. De plus il y a la renommer qui vient mettre sont grain de sel. Synthèse : l’évolution de la proba d’insertion dépend pas seulement de l’origine social et le diplôme mais aussi …, le sexe de naissance. Pour autant le diplôme continu à protéger dans l’insertion professionnelle ± bien. Les signaux constituent les bases de la période « jeunesse », les différentes jeunesses. Ceux qui sont éloigné de l’emploi sont … Transition école travail + longue pour les personnes qui n’ont pas de diplôme, mais aussi ceux qui veulent le travail qu’ils souhaitent. L’amour / Sexe, couple et mariage Évolution de l’âge médian au 1er rapport : les ♀ tendent à retarder. La 1er rapport sexuel au 1er enfant. L’autonomisation de l’intimité (= très tôt on puisse demande sa zone d’intimité) (ex : fermé à clé) 16 fi fi ◦ l’entrée dans la sexualité qui s’est transformé, la société reste patriarcale donc celle- ci est souvent plus mal vécu par les ♀. évolution mais constance (violation de l’intimité vécu par ♀, en lien avec la domination masculine) ◦ autonomie contrôlé et surveillé – sur le tps long l’interdiction absolue de sortir est absolu. Constance de l’autorité sur le corps de l’autre. ▪ 75 % les femmes née en 1945 avaient l’interdiction absolu de sortir. ◦ comment se représente l’amour dans chaque groupe genré ? Le contrôle stricte (demander) ou le contrôle souple (informer d’où on va). Le contrôle stricte est svt pour les jeunes femmes et le contrôle souple svt pour les hommes. Autonomie limité pour les femmes. Les groupes de pairs (+souvent hommes) L’exploration physique de l’autre, « le baisé profond (=roulage de pelle) » 20e s. 15-16ans / 21e s. = 13-14ans. ◦ Transition à la sexualité génital = processus plus long et généraliser. Ce processus se déroule en plusieir année. De + le nb de partenaire. ◦ Le processus de l’intimité était au singulier surtout pour les femmes mais mtn ↗ ◦ c’est pas un processus récent, « la période de irt ». ◦ L’entre pairs, norme le cadre de l’intimité (dans l’amour) ▪ Transgression conformiste = transgression de l’ancien monde, on fait ça ou on veut et qu’on on veut, l’ordre hétérosexuel (= la délité). En 2020, les 2 gures repoussoirs au collège : « la pute et le pédé ». « la pute » c’est celle qui ne fait pas ce qu’on attend d’elle, « le pédé » c’est celui qui à pas pécho ou celui qui ne fait pas preuve de virilité. ▪ Ces gures repoussoirs sont un rappel à la norme, rappel à l’intimité et au rapport du corps. La sexualité génitale = seuil social qui inaugure au moins un nouvel âge (valeur symbolique) intégration de nouvelles pratiques. Les années 60, 1/3 des ♂ le font dans la nature, 2/3 dans le domicile des parents. Les premiers rapport se faisait des les foins en dehors du mariage (clandestinité). ◦ La différenciation se fait pour les lles ancré dans l’affectivité (être certaine que c’est le bons et qu’elle est prête). Le pb des tenues , les femmes ne doit pas être vulgaire et.. L’entrée dans la jeunesse se distingue par le corps. Selon Bozon, la jeunesse sexuelle (génitale) et la stabilité du couple. Le segment de temps de la jeunesse sexuelle. Autonomie dans la sexualité. La JS n’est pas nécessairement tourner vers une insertion nuptiale. Ce qui distingue la JS :♀ → 4ans et 4mois et ♂ → 6ans et 10mois. Les femmes incorpore un façon d’être femme. 17 fi fi fi fl fi La représentation du 1er rapport sexuel (♀= amour /♂= formation à performer) ce qui est véhiculer autour. 2 représentations de soi. Rodrigue, le RSE (relation sexuelle éphémère) sans perspective nuptiale. La qualité (fonde) la Jsest distincte ± assumé et valoriser se trouve à ne pas forcément faire, dire ou assumer ce quelle voudrait faire. La transformation des lieux de rencontre (monter en puissance des applications de rencontre) ces espaces sont des continuité du monde sociale, les partenaires choisissent en fonctions des critères sociaux. La sexualité s’est largement transformé mais n’a pas changé les inégalités f/h. Homogamie du niveau de diplôme. Conclusion : Tout les seuils transformé rester des marqueurs des jeunesses, l’allongement de la J traduise tjrs l’idée d’une lutte des places, la doubles période de latence matrimonial et emploi est un double position de dominé. Supposition que le but ultime des jeunes soit de devenir adulte, on s’intéresse moins au marge de liberté et d’autonomie dvlpé. La J est un temps pas + pour ce qu’on doit devenir que ce que l’on est. L’enjeu 1er n’est pas l’accès à l’emploi. Des éléments de façon de vivre sa J = toutes les possibilités. Ne plus se contraindre à devenir ce que l’on doit être. Possibilités qui marques les seuils de la J, des façons de faire et de vivre différentes mais il y aurait une n à tout ça, devenir adulte. De stabilisé cette J, il y a une n souhaité et souhaitable. L’hypothèse du renouvellement : 1) le temps comme la condamnations à la dépendance (structuration de ce temps de jeunes, c’est l’incertitude) ; 2) vivre sa J ce ne soit ni un vision de l’avenir certain ni de l’adultéité mais une façon de dvlpé son autonomie, se créer un monde à soi et pour soi. 18 fi fi