LPSP1330 - Fiches par chapitre 20 pages PDF

Document Details

DaringTheory

Uploaded by DaringTheory

UCLouvain, Université catholique de Louvain

Tags

group dynamics social psychology group behavior sociology

Summary

This document contains outlines for chapters on group dynamics, detailing various types of groups, classic studies such as facilitation and social loafing, and the nature of groups. It further illustrates qualities shared by groups and the concepts of interaction, interdependence, and structure.

Full Transcript

CHAPITRE 1 – Définir un groupe Types de groupes Groupes primaires = long-terme, interactions Études classiques face-à-face, haut degré cohésion/indentification, Facili...

CHAPITRE 1 – Définir un groupe Types de groupes Groupes primaires = long-terme, interactions Études classiques face-à-face, haut degré cohésion/indentification, Facilitation sociale (Triplett, 1897) : la présence beaucoup engagement, réunions régulières, d’autrui modifie performance dans une tâche interdépendance très élevée. simple et bien apprise. Groupes sociaux = moyenne-durée, perméabilité, Paresse sociale (Ringelmann, 1913) : baisse de interactions moyennes, organisation formelle, l’effort individuel lors d’un travail collectif, ne moins implication émotionnelle. → Groupes pas se sentir observé influence notre effort. tsecondaires Effet Hawthorne (Mayo, 1927-32) : Collectifs = spontanément, courte durée, très mouvement de motivation sociale → perméables, associations lâches, mouvements de augmentation productivité et satisfaction. masse. Sentiment groupe cohésif, solidaire et visible. Catégories = individus similaires, pas d’implication Norme comme force (Lewin, 1947) : adhésion sociale (description personnes avec points des normes passe par le groupe → Ouverture communs). → Devient groupe avec influence si au changement quand décision prise en mobilise processus, donc haute entitativité. groupe. Niveaux d’analyse Individuel : focus sur personne, comportement Nature des groupes chaque membre, réaction individu, groupe n’existe Groupe = 2 ou plus d’individus connectés (liens pas. → Psycho forts ou faibles) par et au sein de relations Groupe : focus sur groupe, collectif, comportement sociales (affiliation, identité commune et fonction système et événements, force invisible qui identité sociale partagée). unit psychologiquement, réaction du groupe. D’autres définitions → /!\ aux subtilités → Socio et anthropo Limites : définition très limitée car très courte, c’est le minimum absolu. Le groupe Objet scientifique : simple représentation, Qualités partagées anthropomorphisme, pas d’unité organique. Interactions = portant sur les relations (nourrir Construction imaginaire : réalité phénoménale, ou affaiblir les liens) ou sur les tâches structure et rôles, groupe existe, nous VS eux. (coordonner ressources, expériences et motivations). Statut épistémologique Buts = générer (créativité/planning), choisir Approche dynamique : réalité en soi, behavioriste, (intellectuelle/décision), négocier (conflit objet étude scientifique, processus inter-individuels. cognitif/motives-mixed) ou exécuter Approche catégorielle : réalité subjective, cognitive, (compétitive/performative). → Modèle processus auto-catégorisation (groupe minimal, circumplex des tâches de groupe (McGarth, biais po-endogroupe). 1984) : 2 axes (coopération VS conflit ; comportemental VS conceptuel) 2 approches : critères d’appartenance Interdépendance = basse (peu liens) ou Dynamique : interdépendance, membres élevée (beaucoup liens). → Mutuelle complémentaires, but partagé. réciproque, unilatérale, inégale réciproque ou Catégorielle : similitude, membres séquentielle. interchangeables, auto-catégorisation. Structure = schèmes et régularités déterminent ce qui est permis ou non. Elle Perspectives précise les rôles, normes et relations. Unité = entité singulière avec des frontières Interactionnisme (Lewin, 1951) : 𝐵 = 𝑓(𝑃, 𝐸). (inclus VS exclus). → Cohésion et entitativité Multi-niveaux : contribution toutes perspectives. (destin commun, similarité, proximité). Dynamique de groupe par des facteurs micro, méso et macro. CHAPITRE 2 – Devenir un groupe = Effets et conséquences Augmentation satisfaction (exception : cohésion et entitativité syndrome du vieux sergent) Cohésion Diminution tension et stress Concept important → Force invisible qui unit, Diminution roulement du personnel (moins de participe à la solidarité/unité/ intégrité, tendance à turn-over) coopérer pour but commun (Moreno), pour Augmentation durée de l’affiliation résister aux forces de désintégration (Festinger) Augmentation productivité (groupes petits, Concept vague → Multiples niveaux (résultat des «bona fide», corrélations). Cercle vertueux : forces d’attraction : individuel, groupe), multiples cohésion ↔ performance composantes (appartenance, morale, confiance, Augmentation intensité des processus sociaux attraction, identité, etc.). et émotionnels Augmentation influence et pression Nature de la cohésion Augmentation hostilité Sociale = attraction entre membres et envers le Augmentation pensée de groupe et conformité groupe, attraction dépersonnalisée pour (prise de décision en groupe plus risquée, appartenance au groupe → Festinger moins réfléchie) Liée à la tâche = travailler avec succès, faire fonctionner vers un but. Efficacité collective, force Développement groupes (Tuckman, 1965) d’un groupe. Modèle de Tuckman : conception de l’évolution Collective = identité consensuelle, partagée. des groupes et de l’attachement →ETAPES Unité de nous, être inclus. Orientation = dépendance, inclusion et Émotionnelle = intensité émotionnelle, cohésion acceptation du leader. positive. Esprit du corps = énergie de groupe et Conflit = désaccord, insatisfaction et tensions. véritable équipe ; cohésion augmente quand Structure = croissance cohésion et unité, groupe = source d’émotions + établissement rôles/standards/relations, bien Structurelle = organisation, rôles, normes, fonctionner vers but commun. hiérarchie… Travail = atteinte objectifs, focus performance et production, opérationnel. Sources et antécédents Dissolution = terminaison rôles, achèvement Facteurs socio-affectif intra-groupe tâches, réduction dépendance. Attraction interpersonnelle = attrait, d’autant CYCLE entre conflit-structure-travail. Si groupe plus fort si proximité, fréquence, complémentarité préexistant, 3 premières tâches pas nécessaires. et réciprocité. 5e étape pas toujours présente. Attrait du but commun = netteté et adéquation →Group development questionnaire (Wheelan) aux aspirations de l’objectif (ex : manifestation, pas pour mesurer les étapes de liens aux membres mais but commun) Attrait de l’activité collective = source de Entitativité satisfaction en elle-même (ex : club de sport, but = = degré selon un groupe est perçu comme compétition mais aussi plaisir du sport) formant un tout. Degré organisation et Appartenance au groupe = se percevoir inclus structuration. dans réseaux sociaux (besoin fondamental Indices perceptuels : proximité, similarité, d’appartenance). bonne forme, sort commun. Facteur socio-opératoire intra-groupe Perception dépend du contexte, relativement Aspects structuraux = proportion amis endo- VS dynamique. Exogroupes perçus plus entitatifs exogroupe, centralité et densité, pourcentage (effet homogénéisation) mais contexte membres isolés, sub-groupes. compétitif augmente entitativité. Facteurs contextuels Effets et conséquences : Taille du groupe = sentiment de communauté, Stéréotypes et stéréotypisation (↔) influence interactions/liens (grand groupe, liens Essentialisme (↔) plus faibles) Infra-humanisation : essence + humaine Initiation = prérequis formels et informels nécessaires pour rejoindre, coût élevé = cohésion endo>exogroupe élevée (dissonance cognitive) → rites de passage Attribution de pouvoir (→) Menace = menace de l’extérieur, compétition Biais pro-endogroupe (→) intergroupe. Responsabilité collective (→) CHAPITRE 3 – Formation d’un groupe Support social pour gérer stress Support social = sentiment d’appartenance, avis, Joindre des groupes = action dépend des guidance, perspective spirituelle, soutien émotionnel qualités personnelles. donné à autrui lorsqu’ils ressentent du stress/vivent Personnalité expériences négatives Big Five : OCEAN. → E = facteur le plus Rôle clé dans réponses « Fight or fly » et important. « Tend-and-befriend » Relationnalité : facilite et maintient Différents supports : connections, valorise appartenance, associé o Appartenance : inclusion au sein du groupe avec A et E. o support émotionnel : préoccupation de soin l’un o Individus hauts en R préfèrent interagir pour l’autre avec d’autres hauts en R o support informationnel : avis et guidance Hommes, femmes et groupes o support instrumental : fournir ressources Hô et fê : temps activités solitaires, o support spirituel : questions du sens de la vie engagement communauté et appartenance → Moins stressé, moins d’émotions négatives. groupes atypiques. → Meilleure santé Fê : plus extraverties, mémoire plus dans Solitude détails, relations plus importantes, plus de Solitude émotionnelle (manque de relations intimes temps en groupe, moins de groupes. → porteuses de sens // groupes intimes) et/ou solitude Groupes plus petits, informels et plus intimes sociale (manque de réseau d’amis //groupes (soutien et support). sociaux) : ne sont pas dépendantes. Motivation sociale Différents groupes atténuent. → Groupes primaires 3 besoins : affiliation, intimité et pouvoir. pour battre les 2. Théorie fondamentale de l'orientation des Attraction relations interpersonnelles (FIRO - Schutz) : Groupes se forment quand les gens s’apprécient, dépend intégration des 3 besoins qui déterminent de l’attraction. Principes : comment on traite autrui et comment on souhaite être traité. Proximité = tendance à former des relations avec Anxiété et attachement ceux qui sont proches. Effet d’exposition (+) répétée. Anxiété sociale = vouloir donner une bonne Élaboration = tendance des groupes à devenir plus impression mais douter ses capacités. larges car membres forment dyades avec gens hors Attentes pessimistes → effets négatifs → du groupe, alors incluses. Processus auto- désaffiliation. organisation. Attachement - Bowlby : manière d’être Similarité = tendance à être affilié ou attiré par attaché et de gérer ses relations. d’autres similaires. Tendance à l’homophilie. → Sécure, anxieux ou évitant. → classification 4 pôles (anxiété – évitement) Complémentarité = tendance à apprécier gens Expérience et préférence dissimilaires de manière à être complémentaire (bon Histoire vécue a un impact sur futur. «fit»). → Compatibilité d’échange (besoins similaires Expériences positives poussent à chercher à VS d’initiateur (besoins compatibles) devenir membre (valorisation). Réciprocité = tendance à ce que l’appréciation Affiliation amène à être mutuelle. → Réciprocité positive et Comparaison sociale négative (rejet de celui qui ne nous apprécie pas) Besoin d’informations et de clarté - Festinger : Minimax = tendance à préférer relations qui donnent validation de la réalité sociale. Situations un max de gains (sociaux et personnels) et un min de ambiguës, sentiment confusion. Clarté pertes (temps et argent). Principe économique. cognitive. Gérer la peur avec personnes similaires Économie de l’appartenance « misery loves miserable company » Si groupes attractifs, décision de rejoindre basée sur 2 Gérer la peur, pas l’embarras : peur → facteurs : Niveau de comparaison (NC) = par rapport aux interaction, anxiété → désengagement. Comparaison vers le bas et vers le haut en expériences passées (prédit la satisfaction) Niveau de comparaison des alternatives (NCA) = par fonction du but (info : cibles =, confiance en rapport aux projections futures (évalue qualité des soi : cibles ↘, motivation : cibles ↗) autres groupes qu’on pourrait rejoindre, prédit si on va rester ou quitter le groupe) CHAPITRE 4 – Devenir membre De l’individualise au collectivisme continuum Individualisme = importance de l’individu, indépendance. De l’isolation à l’inclusion : continuum Personnes autonomes, libres, uniques. Identité Besoin d’appartenance/Désir d’affiliation personnelle. = besoin fondamental dans plusieurs théories : Collectivisme = importance du groupe et de la Pyramide des besoins - Maslow : besoins sociaux, communauté, interdépendance. Groupes forment Besoins manifestes – Murray : besoin d’affiliation, collectifs. Identité sociale. Théorie d’auto-détermination - Deci & Ryan : besoin Relations sociales d’appartenance, Théorie de soi cognitif-expérientiel - I : relation d’échange et norme de l’équité (% Epstein : besoin d’être connecté. contribution) Appartenir à un groupe joue un rôle central. Pour C : relation commune et norme d’égalité chaque besoin, on trouve un groupe. Obligations sociales Modèle utilitaire = on va vers les groupes car on I : egocentrique (désagrément, conflit). en a besoin. Plusieurs objectifs et motivations : C : socio-centrique (complaisance/ tolérance, accomplir les tâches (motivation instrumentale), compromis). satisfaire le besoin d’appartenance (motivations Identité sociale sociale) et réduire l’anxiété (recherche support I : identité personnelle, idiocentrique social). C : identité sociale, allocentrique (buts et besoins Modèle de l’attraction = on s’aime, alors on du groupe mis en avant) forme un groupe. Relations (attraction D’identité personnelle à identité sociale interpersonnelle) → groupe uni et cohésif. Attitude positive vis-à-vis des autres Théorie de l’identité sociale (représentations/cognitive, sentiments/affective L’identité personnelle, par la définition du soi, va et intentions d’action/conative). Système de définir l’identité sociale. Via la catégorisation sociale, gravitation socio-affective. elle facilite la distinction entre l’endo et l’exogroupe. Modèle de l’échange social = on choisit les Tajfel & Turner : groupe purement cognitif peut groupes où bénéfices > coûts. Choix rationnel influencer la perception et l’action. des groupes « économiques ». Règle de l’équité. → Favorisation endogroupe. Modèle de l’identification sociale = on est Auto-catégorisation = classification de soi-même, membre d’un groupe alors on s’aime. Base implique l’auto-stéréotypie. perspective et cognitive. S’affilier en fonction de Identification sociale = accepter la catégorie sociale qui on est, auto-assignation. Membres comme élément clé du soi. Valorisation du groupe. prototypiques. Implication identité sociale : catégorisation, appartenance Ostracisme = exclusion par ignorance et évitement et attitudes positives. ou rejet formel. → Punitif, défensif ou ignorant. Motivation et identité sociale Peur et douleur du rejet Évaluation du soi entachée de biais → Motivation à Force du besoin d’appartenance se manifeste penser du bien de soi et à se comprendre quand il n’est pas satisfait → Paradigme « Ball Augmentation de l’estime d’adhésion augmente Tossing » : exclusion diminue actes prosociaux l’estime de soi collectif privé, l’estime de soi collectif et augmente cpts agressifs. publique et l’estime de soi personnelle. Réaction réflexive (automatique, physiologique) Dimension temporelle de l’affiliation Le groupe change puis réponse réflective (raisons) avec le temps – 5 étapes (voir schéma p50) →Freeze (ignorer l’ostracisme), Fight or flight 1- Investigation = recrutement et reconnaissance des (hostilité ou retrait), Tend and befriend (cpt nouveaux membres. protecteur et recherche de connections) 2- Socialisation* = on est entré, on s’adapte au groupe Conséquences physio (stress), psycho qui s’adapte à nous. = assimilation et accommodation (dépression, anxiété) et cptales (anti ou 3- Conservation = membre à part entière. Engagement prosociaux → restauration besoins relationnels) maximal. Isolation par malchance → pas d’effet négatif ; 4- Resocialisation* = membre marginal, désaccords et VD = estime de soi divergences. Théorie socio-mètre : estime de soi est un 5- Remémoration = ex-membre. système interne et psychologique qui jauge la Socialisation du nouveau membre valeur relationnelle, moniteur du degré Important de découvrir et acquérir culture. RM d’inclusion ou d’exclusion → permet d’estimer la contiennent valeurs et schèmes d’action. probabilité d’être exclu (quand haute estime, on Nouveau membre actif → doit valider ses fait attention à maintenir de bonnes relations) connaissances dans l’interaction. CHAPITRE 5 – Aspects structuraux Différents types Normes prescriptives = comportements préférables, ce Structure explicite / Structure implicite qu’on doit montrer. Degré d’organisation et de structuration = Normes proscriptives = comportements prohibés, ce indice clé de perception d’entitativité. qu’on ne doit pas montrer. Réalisation des projets collectifs dépend des Normes descriptives = comment la plupart des gens se ressources de chacun et de la coordination comportement, se sentent et pensent de manière typique. des efforts/compétences. Normes injonctives = comment les gens devraient se Organigramme renvoie à la hiérarchie et aux comporter, se sentir et penser, bon VS mauvais responsabilités. → On s’intéresse aux statuts comportement. et on va définir notre rôle. Fonctions Structure implicite est tout même réelle. Fonction utilitaire = fournir des repères, un cadre, réduire incertitudes et coûts, renforce cohésion. Approches Fonction axiologique = attributions de valeur, ce qui est Top-down = à partir des structures sociales, désirable ou non. on va essayer de comprendre les conduites Caractéristiques des normes (explication socio). Consensuelles Bottom-up = en regardant les conduites, on tente de comprendre les structures sociales Informelles (explication psycho). Implicites Structuration d’un groupe Auto-générées = configuration sous-jacente des rôles, Stables normes et du réseau des relations qui définit Les statuts et organise le groupe. Domaines de responsabilités et de pouvoir Interactions entre membres sont centrales Groupes en formation, informels et affinitaires → Statut car elles informent sur un schéma organisé. progressif, initiatives productives, hiérarchie spontanée. → Éléments qui se répètent, règles, Groupes avec une structure stabilisée → Droits et éléments prévisibles. devoirs, règlement, structure hiérarchique formalisée. L’interaction entre les membres suit un 2 dimensions schéma organisé et prévisible car régulée Évaluative = stratification sociale, échelle de prestige et par la structure et la structuration. de pouvoir. Les normes Prescriptive = attributs liés à la position, à quoi s’attendre = standards émergeants et consensuels qui en raison du statut. régulent le comportement. 2 types de statuts Elles définissent ce qui est normal, donnent une Assignés = pas choisis, directement observables, diffus. direction, joue un rôle motivationnel, organisent Acquis = inférés à partir des conduites, caractéristiques les interactions sociales, rendent les réactions spécifiques à la situation. d’autrui prévisibles, sont fondamentales à la Problématique des statuts assignés structuration du groupe. Effet plafond de verre Développement Prophéties auto-réalisatrices Standards explicites = discussion formelle La diffusion à toute situation de caractéristiques des statuts pour adopter des normes comme règles. Standards implicites = pas besoin de dire assignés maintient les inégalités dans la société. explicitement ce qui est attendu. Les rôles Adaptation automatique = sans s’en Charnière entre systèmes sociaux et gens. Rôles donnent rendre compte, norme intériorisée. structure aux comportements en prescrivant les parties Shérif (1935) : effet auto-cinétique. → Norme = de chacun dans l’interaction. produit émergeant qui parait être la réalité. Rôles à différents niveaux. Transmission Niveau institutionnel (sociétal et groupe) Normes sont consensuelles et internalisées prescriptions continues dans les normes de rôles, précise → Faits sociaux. ce qui est attendu en fonction de fonction et statut. Statut en action, aspect fonctionnel. Paradigme générationnel : norme persiste Niveau personnel malgré la nouvelle génération. = qui on est, notre personnalité. Fonction expressive, interprétation du rôle (sauf rôles protocolaires). Différentes modalités du rapport rôle/personnalité : rôle standard (devoir être), rôle masque (paraitre), rôle refuge Les rôles o causes intra : conflit inter-rôles, ambiguïté, Charnière entre systèmes sociaux et gens. conflit intra-rôle, conflit du fit Structure aux cpts en prescrivant les parties o causes inter : pas de cadre de référence de chacun dans l’interaction. commun, définition ambiguë ou imprécise, attentes et conduites pas complémentaires, Niveau institutionnel (sociétal et groupe) repose sur des stéréotypes ou statuts = prescriptions continues dans les normes de inégaux (conflits de pouvoir) rôles, précise ce qui est attendu en fonction de la o csp : stress, tension, conflit de loyauté, fonction et du statut. fatigue émotionnelle, diminution engagement, →Statut en action, aspect fonctionnel (division tâches, coordination, anticiper les actions, …) satisfaction, performance, attachement, … Niveau personnel = qui on est, notre personnalité. Fonction Les réseaux expressive, interprétation du rôle (variations Analyses SNA personnelles, sauf pour rôles protocolaires). Focus sur les structures des groupes sociaux et les →Différentes modalités du rapport liens entre membres → mesure et évaluation des rôle/personnalité : structures, usage de représentations graphiques rôle standard : devoir être, stricte conformité (maths pour quantifier) rôle masque : paraitre, volonté de séduire et/ou Groupe comme réseau manipuler Distance = nbre de personnes par lesquels on rôle refuge : alibi, rôle pour se protéger doit passer pour transmettre l’info et la commu rôle soutien : vouloir être, surmonter les Densité = nbre de personne liées sur le nbre total inhibitions de liens possibles rôle dynamique : libre expression soi, rôle = Centralité = index egocentrique (combien de extension de soi liens a la personne ?) → out- (liens initiés) VS in- Niveau interactionnel degree (liens reçus) = manière d’être et d’agir adoptée au moment de Intermédiaire = degré auquel un individu est réagir dans situations où autrui ou des objets sont positionné sur un lien entre des paires → engagés - Moreno Gardien : relie tous les sous-groupes Émergence spontanée des rôles → Proximité = distance (liens) entre un individu et Interactions qui renvoient à l’aire socio- tous les autres individus dans le réseau pour affective ou socio-opératoire. chaque personne. Différenciation selon degré d’activité, type de Réseaux d’attraction sociabilité et investissement dans réalisation Réseau reflète préférences/aversions, du but. acceptation/rejet, inclusion/exclusion → Grille d’observation de Bales : différenciation sociométrique : dvpt de liens forts et complémentarité des rôles pour les coder et + interpersonnels avec qq membres mieux les comprendre → diminution qualité des relations avec autres Différenciation rôles membre. Processus = structure informelle des Déterminé par facteurs interpersonnels et le « fit » rôles qui s’établissent et se spécialisent. personne/groupe. Réseaux de communication Rôles individuels, liés aux relations (focus b-ê du groupe → socio-affectif), liés aux tâches Réseaux décentralisés = mêmes canaux d’accès (focus sur les buts → socio-opératoire) aux infos, plus efficace pour tâches complexes, moins saturation (membres reliés → ex : carré) Changements temporels relation individu/groupe Théorie générale de la socialisation des Réseaux centralisés = 1 personne avec haut groupes : évaluation permanente du degré centralité (traitement info), plus efficace caractère rémunérateur de relation. tâches simples, plus de risque de saturation Relation bénéfique si niveau (ex : V, Y, X) d’engagement élevée pour 2 partis. Les réseaux ont un impact sur l’allocation des rôles, de l’engagement et de la satisfaction. Investigation, socialisation, conservation, resocialisation, remémoration (voir chap 4) Méthode SYMLOG : dimensions de la structure Conflits de rôle On peut observer un groupe et encoder items qui = état de tension/stress/incertitude causé par combinent 3 dimensions : 26 aspects attentes inconsistantes ou discordantes d’un rôle. Rôle : forward (tâches) VS backward (relations) Rôle : fonction de régulation sociale, Statut : up (actif, sociable) VS down (passif, d’expression et de construction du soi, « Moi » introverti) se forme à partir des rôles. Attraction : positive VS négative Conflits intra- VS inter-individuels causes ≠ mais conséquences = Lammers et al. 6 - Pouvoir et leadership Pouvoir et hypocrisie : ceux avec haut niveau Pouvoir de pouvoir sont plus stricts pour juger autrui qui a fait qqch de mal (et moins pour eux-mêmes). Sources – French & Raven Pouvoir et infidélité : haut niveau de pouvoir Pouvoirs de position = sanction, récompense, sont positivement associés à l’infidélité (pouvoir légitimité (autorité naturelle) augmente la confiance en soi dans la capacité à Pouvoirs personnels = information, référence séduire). (respect, tradition, sympathie), expertise. Réactions de ceux qui n’ont PAS de pouvoir Tactiques Tendance à l’évitement augmente, émotions = stratégies pour influencer autrui, généralement négatives, sensibilité aux menaces et punitions, pour obtenir un objectif ou un avantage. suivre normes, influencés par tactiques douces. Continuum : douces/dures, rationnelles/ → Théorie de la conformité (suivre mais pas irrationnelles, unilatérales/bilatérales. forcément d’accord) – identification (suivre car désir d’imiter et faire plaisir à l’autorité) – internalisation Qui aime/cherche le pouvoir ? (suivre car ordres du leader congruents avec Approches sur la personne ou sur la situation. valeurs et croyances) : 3 réactions face à une Q. des valeurs personnelles - McClelland : s’intéresse au besoin de pouvoir, prédit influence coercitive. position et autorité 8 à 16 ans plus tard, Leadership sentiment de puissance, pouvoir social. Échelle sentiment de pouvoir - Anderson et al. Chef VS leader → meneur obtient modification : activation et inhibition sont liés au pouvoir. du cpt mais confusion entre influence et Orientation à la dominance sociale SDO - pouvoir. Sidanius & Pratto : représentation du monde o Chef = est imposé au groupe, distribution des organisé selon la dominance relative (orga renforcements + ou -, délégation de pouvoir de des groupes au sein de la société). sa direction. Prédisposition anti-égalitaire dans et entre o Leader = émane du groupe, influence pour groupes. La dominance sociale prédit l’intérêt agir, stabilité dépend de l’appréciation de son propre groupe, ascendant dans intra-groupe. du pouvoir (≠ selon la culture) Leadership = processus par lequel un individu Théories concernant les effets du pouvoir guide autrui dans la poursuite collective → Théorie de l’approche-inhibition du pouvoir - Processus réciproque, transactionnel, Keltner et al. : déterminants du pouvoir qui transformationnel, de coopération et adaptatif. prédissent augmentation ou diminution du Modèle tâche-relations du leadership – Lord ; Yukl pouvoir social et conséquences sociales. Leadership concernant les tâches = faciliter Théorie de la distance sociale du pouvoir - l’atteinte des buts (performance/initiation de Magee & Smith : quand on a du pouvoir → moins structure). motivation pour affiliation, s’éloigne d’autrui (intérêts et attentes), difficile à convaincre, si Leadership concernant les relations = focus sur niveau élevé de construit alors vision abstraite. les relations interpersonnelles (relations/considération et soutien). Théorie du focus contextualisé du pouvoir - Bon leader doit TOUJOURS jouer sur ces 2 voies Guinote : variabilité observée concernant cpts et jugements de ceux au pouvoir (flexibles, Théorie des substituts du leadership – Kerr ; Jermier focalisés sur buts → attention sélective limitée = analyse conceptuelle des facteurs qui réduisent car on cherche à traiter toutes les infos, ou éliminent le besoin de leader → 3 niveaux : traitements de celles-ci orienté par des caractéristiques des subordonnés, de la tâche et de facteurs comme la motivation, les l’organisation. expériences passées, …) Approche personnologique Conséquences Leadership = caractéristique personnelle, Positives : approche augmente, évitement source dans les traits de personnalité. Leader diminue, initiation action, proactivité, focus naturel, facteurs objectifs (âge, taille, niveau buts, auto-régulation, prise de décision, d’études) et subjectifs (énergie, ambition). expression émotions positives, perspective Études non concluantes, résultats globale. contradictoires → décontextualisation (une Négatives : approche diminue, évitement bonne qualité de leader pas dans toute augmente, prise de risques (actions situation) inappropriées), soi exagéré, distance avec r+ entre leadership et E dans différents autrui, émotions négatives, stéréotypes. contextes Besoin d’intervention de qualité. Approche situationnelle Leader plus efficace ? - Lewin et al. : Leadership dépend de la situation, à la bonne Autoritaire ? démocratique ? laissez-faire ? place au bon moment. →Démocratique a avantage ! Réseau de communication centralisé a rôle Modèle de Fiedler : important : leader permet d’atteindre objectifs, Niveau du groupe, fonction de régulation et il dispose des infos. d’élucidation → nécessité à s’adapter Certaines situations, pas besoin de leader Modèle de contingence : efficacité leader dépend : Position interactionniste - Lewin style motivationnel (orienté vers relations VS tâches) 𝐵 = 𝑓(𝑃, 𝐸) cpt expliqué en fonction des traits de la et contrôle situationnel (structure de la tâche, personne et de son environnement social → Tenir pouvoir du leader, rapports affectifs). compte de la personne et de la situation ! Modèle de Grid Leadership transactionnel VS transformationnel Leader efficace fait balance entre focus sur Transactionnel = transaction entre leader et tâche et focus sur relations → Style suiveurs (leader apporte des bénéfices, leadership dépend importance des résultats groupe accepte son influence). Récompenses et importance des sentiments. contingentes (fournir au suiveur des Style management (style 9.9) = style plus récompenses ÷ performance) et sanctions en efficace en performance et satisfaction. fonction de la gestion par les attentes (actif →Gestion du travail en équipe. ou passif) + transaction entre les membres Modèle du leadership situationnel et adaptatif - Hersey & (profits que les uns tirent de leur participation Blanchard au groupe) Combinaison de cpts qui dirigent selon le niveau Transformationnel = transformation attentes de dvpt et de la maturité du groupe. des suiveurs, transcender intérêts individuels 1) Diriger : focus sur la tâche en aspirations collectives. → 4 « I » : influence 2) Entrainer : augmenter focus relations idéalisée, motivation inspirante, considération individualisée, stimulation intellectuelle → 3) Epauler : diminuer direction, focus relations transformation de la réalité 4) Déléguer : quand le groupe fonctionne bien Approche interactionnelle Théorie de l’échange leader-membre = leadership dépend de l’interaction avec les Approche dyadique et relationnelle. Leader suiveurs, se définit par le fait d’être perçu comme développe relations d’échanges avec un leader par les suiveurs. subordonnés dont la qualité varie et Émergence des rôles → Stabilité (théories influence la responsabilité, l’influence, implicites, stéréotypes) → cpts s’adaptent → l’accès aux ressources et la performance stabilisation de la structuration. des subordonnés Subordonnés du « cercle interne » (base Théorie des suiveurs - Kelley compétences/similarités) sont plus 2 questions : suiveurs actifs ou passifs ? performants et démissionnent moins. indépendants ou dépendants ? continuum + suiveurs exemplaires (I-A), conformistes (D- Approche de l’identité sociale A), passifs (D-P), aliénés (I-P), pragmatiques = leadership reflète identité sociale partagée. (au centre, font ce qu’ils peuvent) Appartenances groupales essentielles pour définition du « nous » et le contexte intergroupe Leadership fonctionnaliste et adaptatif les rend saillantes. Leader adaptatif, agir en fonction de la 4 conditions du leadership : situation. Pertinence des cpts – 2 dimensions 1) Correspondre prototype (charisme) du leadership : atteinte des buts et 2) Agir comme champion, dans le sens des conservation du groupe. valeurs et intérêts du groupe Niveau de tâche (fonctions : production, 3) Entrepreneur d’identités (rendre les normes facilitation) et du groupe (fonctions : saillantes) régulation, élucidation). 4) Être efficace et perçu comme légitime, traduire dans la réalité sociale les aspirations du groupe → shows, rituels qui incarnent l’identité, constitution d’une structure pour l’action 7 - Efficacité et Taxonomie des tâches - Steiner Composantes : tâche divisible ou unitaire performance Quanti VS quali : maximiser ou optimiser Interdépendance : Efficacité o Tâche additive = contributions additionnées → paresse sociale Définition difficile… o Compensatoire = décision prise par la Johnson & Johnson : 5 critères moyenne → immunise face aux pertes si 1) Ressources individuelles pleinement utilisées membres intéressés ou ont des infos 2) Temps optimisé o Disjointe = solution choisie d’un pool des 3) Décision correcte ou satisfaisante solutions → groupe = meilleur membre 4) Décision appliquée o Conjointe = tous les membres doivent 5) Capacité à travailler ensemble s’améliore contribuer → effet de Köhler (motive le plus faible) Hackman : 3 critères o Facultative/discrétionnaire : groupe décide 1- Performance évaluée en quantité, qualité et dans quelle mesure on considère la temps passé contribution individuelle → implication varie 2- Augmentation de capacité à travailler ensemble Causes 3- Épanouissement perso et pro Pertes dues à la motivation : paresse sociale - Critères économiques et psychologiques Ringelmann = infériorité de la performance de /!\ group effectiveness (efficacité du groupe) ≠ groupe comparée à la somme des group efficacy (efficacité collective) performances individuelles. Moins s’investir collectivement car moins l’impression que Facilitation sociale – Triplett actions individuelles utiles (augmente quand →Comparaison sociale favorise la facilitation nbre de membres augmente) sociale pour tâches simples si co-acteur a Pertes dues au manque de coordination - Latané et performance égale/meilleure. al = membres ne peuvent pas combiner leurs Théorie de pulsion « drive » - Zajonc : efforts avec efficacité maximale. Social loafing. Pulsion pas apprise : présence autrui augmente Paresse sociale : que faire ? pulsions → facilitation sociale si réponse ⇨ Rendre contributions personnelles identifiables dominante requise. ⇨ Situation intergroupe (compétition) Théorie de l’appréhension de l’évaluation - Cottrell ⇨ Contexte normatif communautaire Motivation : association entre présence autrui (allocentrique) et évaluation. Préoccupation pour l’évaluation ⇨ Minimiser le « parasitisme » → petits groupes facilite performance (tâches bien apprises). ⇨ Fixer des objectif exigeants et concrets mais Pas de facilitation sociale si individus pas atteignables et motivants en mesure d’évaluer (qualité). ⇨ Augmenter et équilibrer implication personnelle → valorisation de l’expérience Théorie de la distraction et du conflit – Baron ; ⇨ Augmenter identification avec le groupe → Sanders : labeur social Processus cognitif : présence autrui divise attention. Conflit attentionnel augmente la Modèle de l’effort individuel dans le travail collectif - motivation et facilite la performance pour Karau & Williams tâches simples. 2 facteurs déterminent la motivation des membres : Effets - : présence impacte la capacité Motivation selon attente d’atteindre un but traitement, attention divisée, conscience de (SEP) soi augmentée. Valeur du but (importance accordée) Effets + : distraction mène à plus d’efforts et → Effort doit être rentable // Labeur social (surtout donc meilleure performance pour tâches dans tâches conjointes si comparaison sociale simples. légèrement ascendante) Pertes liées aux processus dans les groupes Problèmes coordination Baisse de performance dans groupes Tâches complexes Performance réelle : ressources disponibles, Productivité dépend des ressources interactions membres et spécificité tâche individuelles et processus interpersonnels Performance réelle = productivité potentielle – déterminant comment combiner les ressources pertes dues aux processus défectueux Pertes caractérisées par actions inter- et interindividuelles, et les non-actions. Gains liés aux processus dans les groupes Autres modèles Performance réelle = productivité potentielle – Modèle « input-process-output » - Hackman & pertes + gains dus aux processus favorables Morris Brainstorming Caractéristiques individuelles, du groupe et Augmenter créativité, expressivité, évaluations facteurs environnementaux (=inputs) retardées, quantité > qualité, au-delà idées déterminent pertes et gains dans le processus du précédentes. groupe (performance et outcomes). Problèmes : Modèles cognitifs Moins d’idées et qualité inférieure car pertes Groupe = unité de traitement d’info : dues aux processus : paresse sociale, manque encodage, stockage, transformation et de buts clairs, engagement diminué. utilisation (// processus mémoire). Pertes liées à la coordination et cognition : Partage préalable des processus cognitifs. blocage de la production (oublier son idée en Efficacité dépendante des structures et attendant son tour), effet d’appariement constructions cognitives des membres. social (contribuer en restant dans le Modèles mentaux des membres standard), illusion de la productivité Représentation permet de simuler (surestimation contributions individuelles). mentalement déroulement phénomène Solutions : pour anticiper résultats. Attention au face-à-face (précautions), règles, 3 étapes : schéma anticipatoire, activation collecter chaque contribution, mix approches partielle connaissances (tâche et membres), individuelles et groupales, pauses, pas de pression, adaptation comportement persister, faciliter la session (modérateur motive Nécessité partager même modèle → Quoi et encadre) (connaissances déclaratives), comment (procédurales), quand (stratégiques) Autres techniques : Plus le modèle mental est développé, plus le ✓ Groupes nominaux = sujets chargés émotionnellement ou opinions polarisées. groupe est performant (coordination tacite) 1) Réponses en privé Mémoire transactive 2) Liste compilatoire Permet d’encoder, stocker et récupérer de 3) Clarifier ensemble manière sélective les infos nécessaires au 4) Regrouper les items similaires travail commun et mettre en œuvre 5) Ordre préférence individuel (top 5) coordination tacite et efficace. 6) Podium idées préférées par le groupe Récupérer ce qui est stocké dans mémoire (moyenne) des autres, de façon directe ou indirecte. ✓ Technique Delphi = utilisé quand revue 3 composantes : spécialisation de systématique des infos ne résout pas le chacun (acquérir compétences des problème autres), coordination de capacité à → modérateur demande à plusieurs experts, collaborer, crédibilité degré confiance en rassemble et organise les infos (rôle l’expertise des autres. facilitateur), retour des experts (rapport final), Gains et pertes dépendent du dvpt et des etc. Facilitateur ↔ experts connaissances établies. Gains surtout liés à ✓ Brainstorming électronique = but est de ne pas coordination tacite (tâches complexes). avoir de blocage de production par appréhension de l’évaluation → pas d’inférence Approche intégrative - Myers & Lamm 8 - Décider en groupe Motivation sociale, traitement cognitif et Perspective fonctionnelle engagement dans l’action présentent des effets sur Groupes montrent meilleure performance pour changement d’attitude. choisir/estimer/résoudre. Perception plus Motivation sociale : dépendance normative correcte, trouver infos plus rapidement et (autrui point de référence) et aspect socio- diagnostic plus juste. affectif. = processus en place augmentent récolte, analyse Traitement cognitif : dépendance et pondération d’infos par : informationnelle (encore plus d’arguments) et Orientation = clarifier buts, identifier ressources, aspect fonctionnel. considérer obstacles, spécifier procédures (très Engagement dans l’action : « chambre d’écho ». important), établir étapes… Dynamique des groupes : norme comme force - Discussion = traitement info collectif (se Lewin rappeler, échanger, traiter). Adhésion normes par groupe (// abats). Décision = prendre décisions, méta-décision. Implémentation = appliquer justice procédurale « Pensée de groupe » et « voice ». Paradoxe Du « Risky shift » à la polarisation de groupe Groupe composé d’individus hautement compétents aboutit à une décision catastrophique… Risky shift : décisions collectives plus → Cause : mauvais dvpt de processus collectifs risquées, opinion plus extrême. pendant prise de décision ! Cautious shift : déplacement vers la prudence → Polarisation de groupe – Moscovici & Janis Zavalloni : le groupe extrêmise nos positions Pensée de groupe = mode de pensée adopté par initiales. Accentuation dela tendance initiale gens fortement impliqué dans groupe adhésif, dominante membres plutôt préoccupés par unanimité Conditions : (renforcement de l’illusion ; favorisation Discussion a lieu endogroupe) qu’évaluation réaliste. Diversité des points de vue indispensable : →apparait de façon plus marquée dans le différences suscitent échange leadership autoritaire, pression temporelle ou stress Diversité doit s’inscrire dans une tendance (perte des capacités à utiliser les ressources générale qui préexiste à la discussion cognitives et une appréciation réaliste et rationnelle Engagement des participants pour de la situation) développement discussion Antécédents Renforcement préférence individuelle résulte… ↬ Groupe uni de décideurs : cohésion Comparaison sociale et dépendance ↬ Défauts structurels : isolement, pas de dirigeants normative : on prend autrui comme référence, impartiaux, pas de normes méthodiques, on découvre la norme du groupe et on veut la homogénéité. surpasser (au moins un peu) ↬ Situation provocante : stress/menace,faible Arguments persuasifs et dépendance estime de soi (échecs récents, complexité, informationnelle : position dominante compte dilemmes éthiques). plus d’arguments partagés Conséquences Intégration - dépendance normative ET Symptômes de l’opinion de groupe informationnelle Surestimation du groupe : illusion Verbalisation répétée : facteur intra- invulnérabilité, foi en moralité du groupe. individuel : renforcement d’une préférence Fermeture d’esprit : rationalisation collective, quand l’individu peut répéter l’attitude → stéréotypes sur non-membres. valable pour le groupe si d’autres répètent Uniformité des pressions : autocensure, illusion l’argument d’unanimité, pression directe, théoricien du Position prototypique du groupe : membres groupe. veulent se rapprocher de la position Symptômes de prises de décision inadaptées prototypique du groupe (position idéale pour Étude incomplète autres choix possibles l’identité et la distinctivité) Étude incomplète objectifs Incapacité analyser risques du choix préféré Incapacité réévaluation Pauvreté recherche infos Tendance sélection infos (préjugés) Incapacité à envisager plan secours Recommandations pour prévenir 1) Parler de la « pensée de groupe » (cause et conséquence) 2) Recommander impartialité 3) Favoriser expression doute et objections 4) Rôle d’avocat du diable 5) Séquences en sous-groupe 6) Signaux d’alarme, possibilités d’action lors de relations avec un groupe rival 7) Réunion « 2 nde chance » où chacun peut exprimer ses doutes 8) Expert extérieur pour remettre en question les idées du groupe 9) Parler à extérieur pour voir réactions (échanger avec collègue) 10) Proposer que plusieurs groupes indépendants traitent une même question Partage d’infos en groupe Présupposé : horizons différents, donc infos différentes → en partageant, seront mieux informés pour décision. MAIS tendance à se focaliser sur infos déjà partagées → Biais partage d’info engroupe : infos communes davantage discutées que les infos uniques. Paradigme du « profil caché » - Strasser & Titus : focalisation sur infos communes au détriment infos uniques Expliquer manque partage info unique Avantage probabiliste des infos communes Avantage social : mise en valeur réciproque, pertinence, fiabilité. Désavantage cognitif : désintérêt infos uniques car contre consensus émergeant. Influence préférence initiales : biais de confirmation (nouvelles infos rejetées car inconsistantes avec préférences initiales) Améliorer partage infos Cibler facteurs qui renvoient à la perception destâches, facteurs relatifs à : La perception des caractéristiques de latâche (1 solution correcte donc partageplus d’infos uniques) La composition du groupe (désignation explicite d’experts avec infos uniques) L’environnement socio-cognitif de la tâche (méta-information pour développer mémoire transactive). 9 - Influence et rationalité Types d’accord Selon Moscovici et Doise, 2 types : Types de tâches Compromis = accord grâce à modération, Minsky - Typologie sur modalités d’articulation ou concessions, // normalisation opinion en groupe. propriétés structurelles. Souvent contexte normatif valorisant uniformité. Tâches bien définies = totalement décidable, Consensus = résultat de débat, peut aboutir valeur binaire, corpus de savoir et procédure nouvelles positions, pour problèmes bien systématique pour trouver une solution définis. Pression temporelle et craintes correcte (binaire : vrai/faux) → Tâches de normatives. Contexte normatif valorisant raisonnement, critère de vérité différence et diversité. Tâches mal définies = interprétation subjective, Critères pour décider échelle de qualité relative admet les degrés Validité externe = opinion basée sur faits, intermédiaires entre meilleur et moins bon → exigence de pertinence. Confiance dans validité Tâche de jugement, critère d’utilité. des critères partagés. Pression à l’uniformité Validité interne = opinion valide si affirmée par Selon Festinger 2 causes : autrui (partage), exigence de cohérence par Besoin d’auto-évaluation = vouloir vérifier rapport à d’autres croyances. Validation par exactitude des performances, opinions, comparaison sociale. jugements en utilisant autrui comme référence Biais dans un groupe → validation par uniformité, qui prend valeur Biais de confirmation = tendance à privilégier vérité. infos qui confirment nos hypothèses. Méta- Valeur fonctionnelle attribuée à biais. Mode de « pensée convergente » (pensée l’uniformité = uniformité nécessaire pour canalisée en vue de la réponse recherchée) atteindre buts du groupe. Biais individuels Selon Butera & Pérez, 2 autres sources : Biais dispositionnel = expliquer conduites Besoin d’approbation = rechercher l’accord d’autrui par causes personnelles avec autrui (mène à l’uniformité) Catégorisation sociale = être d’accord avec (dispositionnelles et internes) et non gens du même groupe/catégorie → réduction situationnelles. → Erreur fondamentale divergence comme source ou cible. Double d’attribution. souci : Désir exactitude et désirabilité sociale Biais d’auto-complaisance = tendance à trouver + Influence informationnelle et normative des causes externes à nos échecs et des causes Types d’influence internes à nos succès → locus de contrôle. Influence informationnelle Tendance à accorder plus de poids à des Rapport avec contenu, considération opinion informations concrètes suscitant l’imagerie qu’à autrui (car compétence particulière, pdv des informations abstraites valide si partagé), démarche rationnelle, Effet du faux consensus = tendance à motivation exactitude, tâche raisonnement. surestimer nombre de gens qui partagent notre Processus interpersonnel, promeut le opinion. changement avec remise en question Heuristique de représentativité = tendance à d’exactitude croyances. prendre en compte info catégorielle (plutôt Autrui comme référence, comparaison sociale, effet faux consensus, autrui infos qu’info probabiliste) → stéréotypes, croyances. correctes, autres ont raison. Influence de majorité VS minorité Influence normative Influence sociale = processus interpersonnel qui Rapport avec relation, influencé car on estime change pensées/sentiments/cpts d’autrui. qqun et on veut faire partie du groupe Influence majorité : augmente consensus (majorité), aire socio-émotionnelle, ajustement groupe, pression de plusieurs contre un. social, tâche de jugement. Influence minorité : soutient individualité et Processus personnel et interpersonnel, pour à innovation, opinion différente, pression d’un se comporter comme prescrit par les normes. contre plusieurs, arriver à un consensus. Éviter conséquences négatives, processus dissonance cognitive si non-respect des normes, désir d’être accepté → changement des attitudes de longue durée Théorie de l’impact social - Latané Quand est-ce que l’influence de la majorité est plus forte ? →Influence sociale est fonction de la force des 3 facteurs des sources ou personnes présentes : force, immédiateté (face-à-face > en ligne), nombre (1ère personne en désaccord a plus d’impact que la 100 ème). Réponses à l’influence sociale Avant discussion Privé, après Publique, après Réponse sociale Désaccord Désaccord Accord Conformité : suivre l’influence mais pas convaincu personnellement Désaccord Accord Accord Conversion : convaincu après discussion Désaccord Désaccord Désaccord Indépendance : consonnance cognitive, jugement/cpt consistant avec croyances Accord Accord Désaccord Anti-conformité : s’opposer volontairement Accord Accord Accord Convergence : accord naturel préexistant Facteurs influençant conformité Responsabilité, exactitude (position de la majorité est raisonnable), ambiguïté, anonymat, attraction, disponibilité partenaire (individus motivés à se distinguer des autres), conscience, cohésion, engagement pour sa position, engagement pour l’adhésion, menace existentielle, amorçage, taille/unanimité, tâche… Théorie de la conversion - Moscovici = désagrément dans groupe crée du conflit qu’on est motivé à réduire. Ceci permet de se changer soi et les autres. Influence minorité → Processus de validation → Conversion indirecte, retardée, durable (privé) Influence majorité → Comparaison → Conformité directe, immédiate, temporaire (publique) Influence de la minorité quand… Consistance, bonnes intentions. Crédit idiosyncratique (haut statut ou impression positive déjà établie dans le groupe → tolérance pour la divergence si « bon membre du groupe »). Effort : qualité des arguments/plus de réflexions. Règlement pour prise de décision : unanimité favorise minorité Influence de la majorité ? Face avis minoritaire, dépendance normative conduit à rejeter (1er temps) Obstination/consistance des minoritaires va amener à s’y intéresser et chercher à comprendre et peut-être se l’approprier. Minorité doit surmonter crainte d’ordre normatif → puis peut s’engager dans une dépendance d’ordre informationnel. EXP Choisir librement sa chaise à table donne plus d’impact à la minorité. S’asseoir en tête renvoie image qqun important et sûr de soi. Explications individuelles – facteurs distaux 10 - Agression Estime de soi : lié au sentiment de supériorité Définition et aux relations positives. Estime de soi Difficile à définir : différentes natures, blessée conduit à agir agressivement car on différentes définitions, etc. n’est pas supérieur. Intention de vouloir faire mal, de nuire Personnalité type A : s’énerve facilement, trop Variations selon culture et normes réactive et compétitive, désir être en contrôle. Bègue - 3 types d’agression genre et socialisation : homme > femmes, à Agression hostile = faire du mal à qqun sur le travers culture et SSE → Théorie du rôle plan physique et psychique, volonté et social : différences entre genres plus certain plaisir. Colère, hostilité déterminées par société → MAIS effets de Agression instrumentale = souffrance pour genre confondus avec effets de statut ! d’autres motifs (attention, ressources, Alcool : désinhibition du cpt, diminution positions idéologiques). contrôle cortical + alcool myopia (focus Agression sociale = mettre à mal le bien-être attentionnel sur provocation) + interaction émotionnel et social sans attenter à intégrité entre alcool et pression sociale. physique immédiate. Explications situationnelles Mesure Température : phénomène El Nino → Erreur Difficile car dépend définition… → Définitions d’attribution effets de la chaleur. Relation opérationnelles : permettent de mesurer ou entre t° et violence en forme de U inversé. manipuler. Présence d’armes dans environnement : Mesures analogues et substituts (bruits conjonction arme et provocation entraine blancs, sauce piquante, etc.) forte augmentation des chocs. Généralement bonne validité externe Frustration : théorie frustration-agression (lien Perspectives théoriques absolu) → Pas tout à fait réaliste, autres facteurs ! Modèle général de l’agression Transfert d’excitation - Zillmann’s : cpt agressif Facteurs distaux liés à la personnalité et aux appris, excitation d’autre source et situations → produisent conduites interprétation état d’excitation. agressives via mécanismes affectifs, Encombrement : endroit confiné, haute cognitifs et physiologiques. densité urbaine ou espace personnel Évaluation et processus décisionnels pour empiété. mettre en place action réfléchie ou Théorie de l’apprentissage social - Bandura impulsive. Contrôle impulsivité dépend apprentissage Nature VS nurture : continuum (acquisition, instigation, maintien). Agression = comportement assimilé et Explications biologiques appris par observation et expérience de Éthologie - Lorenz : nature humaine manière directe ou indirecte. instinctive, accumulation et relâchement Agressivité dépend : expériences, succès d’énergie. Agression adaptative résultat comportement, probabilité punition ou sélection naturelle. récompense, facteurs cognitifs/sociaux/… Approche génétique : hérédité exerce influence importante. Base hormonale : testostérone (hô) → 𝑟 =.14 → autres facteurs explicatifs. o Sécrétion testostérone aussi déterminée par facteurs sociaux ! Niveau anormalement faible sérotonine Gène MAO-A défectueux (en interaction avec environnement) Limites Instinct dépend énergie → peu d’utilité pour prévention. Logique circulaire avec connections causales, sans preuve. Gènes et hormones : soutien empirique mais pattern complexe, pas lien direct, multiples causes. Exposition Voir des films violents engendre agressivité accrue. Impact plus important juste après la vision. Effets à long-terme → Est-ce que ce sont les films qui rendent les enfants violents ou les enfants violents aiment regarder ce type de films ? Jeux vidéo rendent plus agressifs, mais dépend de facteurs et de leur répétition. Exposition à agression et violence à la TV est corrélé avec jugement d’agression des pairs (𝑟 =.25). Néo-associationnisme = image violente se traduit en actes violents. La pensée nous prépare (réponse idéomotrice) : activation en mémoire et amorçage d’infos en lien avec contenu. o Aussi pour images pro-sociales ! Autres approches / explications Culture d’honneur = tolérance pour expression de la violence en lien avec question d’honneur et de réputation. o EXP : Latinos estimaient femmes qui partaient comme étant moins intelligentes que celles du Nord, mais les 2 cultures estimaient plus intelligentes les femmes qui partaient par rapport à celles qui restent. /!\ Aussi +- 25 sociétés basées sur coopération qui condamnent la violence. Inégalité sociale = personnes pauvres ne sont pas forcément celles qui manifestent le plus de comportements délinquants. Pour pays industrialisés, pasde lien entre revenus et homicide mais lien entre inégalités et homicides ! Facteurs favorables à l’émergence de l’altruisme 11 - Comportement pro- Similarités avec personne aidant et/ouavec social victime Facteurs des bénéficiaires (femmes, per sonnes Définitions, terminologies âgées, attrayantes, liens sang, similarité, Cpt pro-social = conséquences sociales +, appartenance sociale). contribue au bien-être autrui, cpt volontaire Facteurs personnalité et socialisation (moralité, avec intention de faire du bien à autrui. extensivité, valeurs, religion, SSE, croyance Accorder de l’aide = intentionnel, vise à aider, monde juste). bénéfices pour destinataire et auteur. Perspective psychologie évolutionnaire Altruisme = cpt dévoué, sans intérêt Aider ceux qui nous sont liés par le sang personnel, aucun renforcement, empathie qui = valeur évolutionnaire pour survie altruisme. vise mieux-être d’autrui. Mutualisme et sélection de parentèle. Sous-échelles du IRI Questionnaire Caractéristiques personne Empathie = réponse émotionnelle détresse, Humeur actuelle : bonne humeur rend identification à autrui. Capacité à sentir les disponible pour aider autrui alors que mauvaise sentiments. → Emotion humeur amène focus interne. Prise de perspective = se mettre à la place Style attachement : sécure donne sentiment d’autrui, capacité à comprendre le point de sécurité interne donc compassion. Style vue. → Cognition anxieux est affecté donc s’occupe de lui-même. K. Genovese Compétences : se sentir compétent augmente probabilité de fournir de l’aide. Effet observateur/spectateur/témoin = situations d’urgence semblent donner lieu à l’apathie Foci différents des observateurs plutôt qu’à une intervention Apprendre à être prêt à aider autrui rapide et efficace. Socialisation comportement prosocial, basé sur Situation urgente/critique = danger, situation apprentissage sociale et conditionnement, liés à rare, différentes natures, planification l’apprentissagede partager/aider/consoler, impossible, requière actionimmédiate. patterns émergents à 1-2 ans. →Ambiguïté, incertitude etmanque structure. Comment cpt social est construit ? Donner des → Autrui référence. instructions, utiliser le renforcement (positif Modèle cognitif de l’intervention en cas instantané), apprendre en observant un modèle d’urgence - Latané & Darley (ex : programmes TV avec leçonsmorales). Étapes : Contagion sensorielle et similarité 1) Remarquer l’incident = réactions physiologiques face à douleur autrui. 2) Interpréter* comme urgent Différence entre main blanche et noire pour 3) Engager* sa responsabilité personnes racistes. 4) Intervenir Coopération *Forte influence de réaction d’autrui. Collaboration (bénéficier groupe) VS défection Ignorance plurielle – Prentice & Miller (propres intérêts) = état psychologique qui survient quand on a la Dilemme du prisonnier conviction que compréhension est différente de Bénévoles et volontaires celle de l’entourage. Message envoyé est de ne pas intervenir. Motivations pour récompenses sociales, soulagement détresse personnelle, empathie. Facteurs ↘ et ↗ intervention cas d’urgence Utile à société et agir pour autrui Facteurs soutiennent effet observateur Motivations égoïstes et altruistes ! Diffusion responsabilité Meilleure santé des volontaires Inhibition audience : peur de mal agir (de Il vaut mieux donner que recevoir. façon excessive/inappropriée) donc on n’agit pas Influence sociale : autrui comme modèle 12 - Attraction et relations Modèle pénétration sociale - Altman & Taylor Partage des infos plus intimes avec amis proches proches, dévoilement aux gens estimés fiables et aimés. Attirance pour autrui Lien entre dévoilement et attraction. Proximité Dévoilement important pour dvpt et maintien Former relations sociales avec gens côtoyé relation, augmente confiance et proximité. dans environnement social, gens proches Prédit satisfaction dans mariage. physiquement de nous. Modèle expansion de soi - Aaron et al. Humain paresseux : se contente de ce Soi façonné par l’autre. On est motivé à qu’il y a autour de lui. dépasser et étendre soi individuel pour Familiarité ressources, identités… pour nos objectifs. = degré auquel on est exposé à autrui → Effet de Similarité s’éteint + en + car on assimile autrui et simple exposition (aisance cognitive et confiance) autrui nous assimile. → Expansion de soi, → Attirance pour les visages qu’on voit souvent inclusion traits partenaire. + Confusion entre soi /!\ en savoir trop, révèle des différences et donc et autre proche en mémoire. diminue attraction. Différence entre genres et choix partenaires Similarité Buss - comparaison 33 cultures → Aptitude « Qui se ressemble, s’assemble » : origine reproductrice (bons gènes ; femmes qualité et sociale, niveau études, attirance physique, hommes quantité). appartenance culturelle, couleur de peau, Interprétation alternative : caractère patriarcal attitudes → Appariement assortatif. société. Explication Buss ok si beaucoup Similarités des expériences renforce similarité d’inégalité mais inverse si peu. apparence + similarité du début augmente /!\ Littérature exagère : défautintrospection avec le temps (partenaires s’influencent). (stéréotypes). Qu’est-ce qui nous attire ? Perspectives fonctionnalistes / d’échange Universalité de la beauté = gens tendent à s’accorder sur une échelle de « beauté Instrumentalité standardisée » (majorité similaire selon Attraction pour autrui dans mesure où ils aidentà cultures) → Beauté amène meilleure accomplir objectifs. traitement. + Effet de Halo (on infère une Si relation court-terme, concentration sur personnalité positive à une personne quand relations sexuelles (physique, facilité…). on lui trouve une qualité) Si relation long-terme, concentration sur Symétrie = plus d’attirance pour visages relations amitié ou amour (empathie, jovialité…). « en miroir » → Interprétation évolutionniste Focus personnalité et fiabilité. (indication bonne santé, transmission gènes). Relations long-terme : échange et communauté Caractère prototypique = moyenne est Relations communales = sentiment responsabilité, attractive → interprétation évolutionniste identité, appartenance. Partenaire sur long- (diversité génétique, bonne santé physique). terme. Concentration sur fiabilité, empathie, Rapport taille/hanches = hommes privilégient confiance. rapport de.70 chez les femmes (stable dans Relations échanges = relations comme temps et cultures) → Avantageux pour santé transactions. Court-terme physique (maladies cardiovasculaires, accouchements). Caractéristiques personnelles = plus d’attraction pour gens avec même apparence physique, SSE, personnalité, intérêts, etc→ Personnalité désirable (fiabilité, chaleur, gentil, doux, amical) Dévoilement et expansion de soi Dévoilement = parle de nous aux gens qui sont proches. → Lien social : dévoilement, appréciation, intimité… → Cercle vertueux ! Rôle de la réciprocité dans l’attirance. Dévoilement est indice de la confiance et appréciation (sentiment proximité). Modèle relations sociales - Fiske 4 types de Typologie styles attachement adultes relations : Sécure = anxiété et évitement faible. Partage communautaire = gens peu Personnes en confiance, intimité, méritent différenciés, partage ressources d’être aimées. indépendamment contributions, Méprisant/évitant = anxiété faible et confiance. évitement élevé. Hiérarchisation par autorité = groupe Anxieux/préoccupé = anxiété élevée et soumis à hiérarchie stricte, obéissance au évitement faible. Cherchent proximité et supérieur. intimité mais peur rejet. Sentiment de ne Appariement égalitaire = chacun contribue, pas recevoir d’amour, veulent faveurs réciproques et objectifs communs. «fusionner». Tarification par le marché = transaction avec Craintif/évitant = anxiété et évitement échange (généralement $), relations à élevé. Ne se sentent pas dignes de court-terme. l’affection, évitent intimité. Suppression besoin d’attachement. Modèle renforcement affectif - Byrne & Clore Association entre personnes et aspects Perspectives sur l’amour positifs/négatifs dans environnement. Conception naïve - Fehr Contexte influence sur attirance. Complicité et camaraderie (attachement, Activation automatique des attitudes en affection) – moins intense fonction de la valence ou d’une dimension Amour romantique ou passionné évaluative. (tendresse, anxiété, jalousie) – intense, Théorie interdépendance - Thibault & Kelly confusion Approche instrumentale. Avis des gens pas aussi nets… Toute interaction implique coûts et bénéfices, on va faire un jugement du Théorie des 3 facteurs de l’amour - Hatfield & résultat de la relation. Walters Relation équitable = rapport de A est le 3 labels qui déterminent l’amour : même que le rapport de B. Déterminant culturel qui reconnaitamour Voir relation entre avantages et comme état contributions dans le temps. → Objet de désir présent (plus ou moins Changement valence dans le temps. similaire) Modèle investissement dans relation à long- Excitation physiologique en interagissant terme - Rusbult ou en pensant à l’objet de désir Investissements (directs et associés) Attribution causale (évaluation et passés sont importants pour expliquer que interprétation) pour sentiments. → EXP du personnes pas trop satisfaites restent pont ensemble. Femmes battues : décision selon niveau Modèle d’amour de Sternberg - triangle satisfaction, qualité alternatives et ampleur d’amour investissements passés. 3 dimensions indépendantes : Intimité = sentiment chaleur, proximité et Styles d’attachement partage. → Bien-être, admiration, respect, Bowlby - attachement figure parentale confiance, complicité. contribue à survie ettransmission gènes. Engagement = pour maintenir relation. Harlow - singes rhésus sans contact social, Tolérance, sollicitude et affection. plus de temps mère-laine. Passion = attraction sexuelle. Attraction Ainsworth - styles attachement (sécure, physique et estime de soi. ambivalent/anxieux, évitement). / !\ Le modèle ne prend pas en compte le temps !

Use Quizgecko on...
Browser
Browser