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This document is a summary of general concepts related to business and economics. It defines key terms like "Prix Hors Taxes," "Taxe," "Impôt," and more, relating them to business operations and general economic concepts.

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Made by ‫ بطة‬aka. Agal Imene (future ECON teacher) – Résumé – Généralités sur l’entreprise – Module – ECON – 2CP – S1 Définitions Pri...

Made by ‫ بطة‬aka. Agal Imene (future ECON teacher) – Résumé – Généralités sur l’entreprise – Module – ECON – 2CP – S1 Définitions Prix Hors Taxes (HT) : prix de vente sans les taxes obligatoires, dont principalement la TVA (Taxe sur la Valeur Ajoutée). Taxe : prélèvement financier obligatoire prélevé par une administration (état, administration centrale ou collectivité locale) en échange d'un service donné. Impôt : prélèvement obligatoire sur les ressources (chiffre d’affaires, bénéfice, patrimoine,...) des personnes physiques ou morales, servant à couvrir les dépenses de l'état ou des collectivités locales ; Charges : ensemble des dépenses qui se rapportent à l'exploitation et au fonctionnement de l’entreprise (le loyer, l’entretien, matières premières,...). Participation : complément de rémunération attribué aux salariés par l'entreprise en plus du salaire (prime de fin d’année, participation au bénéfice, etc.) ; Dividende : part des bénéfices d'une société qui, sur décision de l‘Assemblée Générale (l'ensemble des actionnaires de l’entreprise), est distribuée à chaque titulaire d'une part ou action (actionnaire). Il est alors un revenu de parts ou actions d'une société provenant des bénéfices réalisés ; Rente : revenu périodique, non obtenu par le travail, contrepartie du droit du propriétaire d'user par exemple de sa terre ou son bien immobilier (rente foncière) ou provenant d'une ressource naturelle rare (rente pétrolière) ; Valeur Ajoutée (VA) : représente la richesse nouvelle produite qui pourra être répartie sous forme de revenus. C’est une notion différente du Chiffre d’Affaires (CA) qui représente la somme de l’ensemble des ventes des entreprises. Entrepreneuriat : au sens économique, c’est l’action de créer de la richesse et/ ou de l’emploi par la création ou la reprise d’une entreprise. Entrepreneur : une personne physique qui prend le risque de réunir des capitaux matériels, financiers et des hommes, et qui a pour but de réaliser un certain nombre d'objectifs économiques. Provisions : des charges probables qu'une entreprise aura à supporter dans un avenir plus ou moins proche et pour un montant estimable mais non connu définitivement (comme les amandes). Amortissement : constatation comptable et annuelle de la perte de valeur des investissements (actifs) d'une entreprise subie du fait de l'usure, du temps ou de l'obsolescence. Il permet de récupérer le coût de l’investissement sur sa durée d'utilisation et ainsi de le renouveler. Conseil d’Administration (CA) : il est composé de personnes morales ou physiques, qui ont la responsabilité de diriger une entreprise privée, un établissement public, ou une autre institution. Il détermine les orientations de l’activité de la société et veille à leur mise en œuvre par la direction générale. Assemblée Générale (AG) : c’est le rassemblement de l'ensemble des actionnaires d'une entreprise (ou de leurs représentants) afin qu'ils rencontrent les dirigeants ou les membres de son Conseil d’Administration (CA) et puissent éventuellement prendre des décisions. Définitions de l’entreprise D’un point de vue juridique : L’entreprise est une personne morale, qui a les droits et obligations d’une personne physique. Elle existe réellement avec un nom. Elle jouit d’une liberté d’actio (dynamique). Elle doit connaître les lois et s’y soumettre, notamment les codes de commerce et fiscal. Elle a également un acte de naissance (acte de constitution) et une espérance de vie et éventuellement un acte de décès (acte de dissolution). D’un point de vue sociologique : L’entreprise est un groupe humain avec une organisation propre qui peut prendre les formes très variées (Directions, Départements, Services, Equipes, etc.), où des hommes (respectivement des femmes) y communiquent, y investissent leur énergie, y jouent leurs qualités propres et leurs compétences. D’un point de vue économique : L’entreprise est une organisation économique de forme juridique déterminée, réunissant des moyens pour produire des biens et des services destinés à être vendus sur un marché, afin d’assurer la satisfaction des clients et pour réaliser un profit. Alors : l’entreprise est une organisation sociale, un centre d’échange (de production et de répartition de la richesse) et un centre de décision. L’entreprise et son environnement Analyse SWOT : L’environnement est l’ensemble des forces/faiblesses qui agissent sur l’entreprise et qui contribuent en retour à génér er un Feed-Back. Il peut être porteur d’opportunités ou de menaces, désignées par l’analyse SWOT/FFOM (Strengths/Forces, Weaknesses/Faiblesses, Opportunities/Opportunités, threats/Menaces), qui se fait sur un plan interne et externe. Micro-environnement (propre) : Un environnement propre à une entreprise donnée, composé par : Ses clients actuels et potentiels, ses fournisseurs, ses concurrents, ses partenaires financiers, ses syndicats de salariés, ses sous-traitants, les associations de défense de consommateurs, … etc. Le modèle de Michael PORTER est l’un des modèles les plus utilisé pour illustrer le microenvironnement. Ce modèle est une référence, il permet l’identification des forces qui agissent sur la position concurrentielle d’une entreprise, et permet donc à l’entreprise de mesurer l’intensité concurrentielle du marché dans lequel elle intervient. Pour cela Michael Porter distingue 4 forces/faiblesses. Macro-environnement (éloigné) : Un environnement qui n’est pas propre pour une entreprise (éloigné), mais pour un ensemble d’entreprises, ou pour toutes les entreprises. Il s’agit alors de l’ensemble des forces à caractères : Géographique, démographique, technologique, politique, juridique, économique, socioculturel, … etc. Le modèle souvent utilisé pour illustrer ce macro-environnement est le modèle « PESTEL ». En effet, l’analyse de l’environnement général est appréhendée à travers le modèle PESTEL (Politique, Économique, Sociétal, Technologique, Environnemental et Légal). Ce modèle permet de déterminer les grandes tendances, au niveau de l’économie générale, pouvant avoir une influence sur l’activité présente et future d’une entreprise. Modèle de Micheal Porter Modèle « PESTEL » Maitrise de l’environnement Stratégie de l’entreprise : Ce sont les buts et les objectifs à long terme de l’entreprise, d’adoption de lignes d’action et d’allocation des ressources nécessaires pour atteindre ces objectifs. Cela consiste principalement à tenter d’avoir un avantage concurrentiel déterminant, celui qui modifie durablement les rapports de force. La fonction de veille : Ce sont les moyens mis en œuvre par l’entreprise pour surveiller son environnement afin de déceler quelles sont les menaces auxquelles elle est confrontée et les opportunités qu’elle a, par rapport à ses concurrents. Il s’agit en fait du système d’information développé par l’entreprise pour consolider et appuyer les grandes décisions qui sont prises. Ce système est représenté comme suit : La planification : Procédure formalisée de prise de décision, par laquelle l'entreprise élabore une représentation voulue de son état futur et les modalités de mise en œuvre correspondantes. On distingue : la planification stratégique, la planification à moyen terme et les plans opérationnels ou annuels (planification à court terme). Le « système » entreprise Le système est un ensemble d’unités en interrelation mutuelle ou une unité globale organisée d’interrelations entre éléments, actions ou individus. D’un point de vue systémique, l’entreprise est un système structuré, constitué d’organes hiérarchisés et spécialisés, et d’un certain nombre de liaisons les reliant, dont les caractéristiques sont les suivantes :  Organisé, doté d’une structure de fonctionnement permettant d’assurer la coordination des éléments du système ;  Concert, constitué d’un ensemble d’éléments concrets (machines, terrains, immeubles, etc.) mais aussi abstraits (une histoire, une culture, des valeurs, etc.) ;  Ouvert, donc en relation (flux entrants et sortants) avec son environnement ;  Finalisé, ayant un objectif qui nécessite la mise en place d’une stratégie ;  Dynamique, en constante évolution, en réaction des modifications de son environnement ;  Régulé, de manière à essayer d’atteindre constamment ses objectifs grâce à la prise de décision, notamment en face des problèmes et contraintes rencontrés, qui la dévient de ses objectifs. Sous-systèmes du système entreprise Le système entreprise est composé de sous-systèmes classés (organisé):  Selon le critère fonctionnel : elle a des sous-systèmes approvisionnement, production, commercialisation ;  Selon les flux échangés : sous-système physique (gère les flux réels de matières, etc.) financier (flux de capitaux) ou de communication (flux d’information).  Le sous-système d’information : défini par l’ensemble des moyens et procédures mis en place, afin de fournir aux membres de l’entreprise une représentation de la situation et du fonctionnement de celle-ci face à son environnement (comment réagit-elle) ;  Le sous-système de décision (pilotage) : ensemble de tous les éléments qui interviennent dans le processus de décision (personnel, procédures, culture…);  Le sous-système opérationnel : Sa fonction principale est d’assurer le bon fonctionnement de l’entreprise (système de production, système financier, système de gestion du personnel, etc.). Les parties prenantes de l’entreprise L’entreprise évolue dans un environnement qui englobe de nombreux acteurs internes et externes qui sont autant de parties prenantes de son activité. Traditionnellement, l'entreprise doit rendre des comptes, principalement, à ses actionnaires (Shareholders’s Model). Cependant, l’évolution et le changement de l’environnement, notamment le développement de la responsabilité sociétale de l'entreprise, a permis de considérer que qu’elle doit aussi écouter et rendre des comptes à d'autres acteurs concernés par l'activité de l'entreprise comme les salariés, les sous-traitants,... Ces acteurs sont appelés les parties prenantes (Stakeholders’s Model), qui sont généralement : les salariés ; la direction ; les clients ; les actionnaires ; les pouvoirs publics ; les concurrents ; les fournisseurs ; sous-traitants ; … Toutefois, dans ce qui suit, nous allons plus s’intéresser aux parties prenantes internes, à savoir :  Les détenteurs du capital (ou capital social) de l'entreprise (les actionnaires qui sont les propriétaires ou détenteurs des parts sociales de la société). Leur rôle premier est d'apporter les fonds nécessaires au démarrage et au développement de l'entreprise, de choisir les membres de la direction. Ils perçoivent des revenus sur les bénéfices de l'entreprise, dénommés dividendes, et peuvent influer de manière notable sur les décisions prises par le Conseil d’Administration (CA), car c'est eux qui l'élisent au terme de l‘Assemblée Générale (AG) annuelle.  La direction de l'entreprise (mandatée désignée par les actionnaires).  Les employés de l'entreprise (recrutés par la direction de l'entreprise). Décision en entreprise On peut définir la décision comme l’acte par lequel un ou des décideurs opèrent un choix entre plusieurs options permettant d’apporter une solution satisfaisante à un problème donné. Types de décisions On distingue traditionnellement trois grands types de décisions qui doivent être prises dans une entreprise, à savoir : 1- Les décisions stratégiques : Les décisions stratégiques engagent l’entreprise sur une longue période puisqu’elles conditionnent la manière dont l’entreprise va se positionner sur un marché de manière à retirer le maximum de profits des ressources qu’elle mobilise. On cherche alors à répondre à la question essentielle de l’entreprise qui est : « quoi produire ? » et son corollaire qui est « quels moyens mettre en œuvre de manière efficace pour produire ? », dans un environnement donné. 2- Les décisions managerielles (tactiques) : Les décisions managerielles permettent de définir comment allouer les ressources de l’entreprise pour parvenir à réaliser les objectifs définis dans le cadre des décisions stratégiques. Il s’agit alors « d’organiser la collecte et l’affectation des ressources matérielles, humaines, financières et technologiques au sein de l’entreprise ». 3- Les décisions opérationnelles : Ces décisions s’appliquent dans le cadre de la gestion courante de l’entreprise et concerne l’utilisation optimale des ressources allouées dans le cadre du processus productif de l’entreprise, tel que la gestion des stocks, gestion de production. Prise de décision 1- Identification de l’objectif : on vise à définir de manière précise et formulable l’objet de la prise de décision future (sur quoi se porte la prise de décision). 2- Collecte de l’information : qui se porte à la fois sur les facteurs externes (environnement concurrentiel de l’entreprise, etc.) et sur les facteurs internes (inventaire des ressources disponibles pouvant être utilisées dans le cadre de la décision prise) ; 3- Définition des options possibles : l’analyse de l’information permet de définir un ensemble de décisions susceptibles de fournir une réponse au problème. 4- Comparaison et évaluation de ces options : dans le processus de décision, il est nécessaire de pouvoir comparer les différentes options possibles ce qui nécessite le pouvoir d’en évaluer les coûts et les gains probables, par conséquent une satisfaction, afin de lancer exécutions. De nombreux modèles existent pour schématiser ce processus. Parmi eux le Modèle IMC (Intelligence, Modelisation and Choice) de Herbet SIMON (économiste et sociologue américain). Les grandes fonctions de l’entreprise  Fonctions opérationnelles : Production ; Commerciale et marketing ; Achats et approvisionnement; Logistique  Fonctions supports : Finance ; Comptabilité et Contrôle de gestion ; Ressources humaines ; Informatique ; Organisation et les Services généraux. Situation de l’E dans le processus de production et interdépendance L’entreprise n’est pas une entité économique fermée. Pour réaliser sa production, elle a des relations avec les tiers tel que les banquiers pour des emprunts, les fournisseurs pour les approvisionnements… Des perturbations dans ses approvisionnements entraîneraient de graves préjudices à l’entreprise, tel que la perte des clients. L’entreprise dépend aussi du type de produit qu’elle réalise, certains produits par exemple sont saisonniers et de simples perturbations atmosphériques risqueraient de remettre en question sa production. L’entreprise est un lieu d’échange, son activité consiste à acheter, transformer et vendre ses produits. Elle est donc constamment du fait de l’échange traversée par des courants que l’on appelle des ‘flux’. Notion de « flux » Les flux économiques : une quantité en mouvement de biens, de services, de moyens de règlement mis en jeu par des agents économiques au cours d’une période déterminée et dans le cadre de leur activité. Les flux ont tous un sens : tout flux a un point de départ (origine), et un point d’arrivée (destination). Ils sont tous mesurés en unités monétaires.  Lors d’un achat de marchandise : il y a un transfert de marchandise dans un sens (X vers Y) et un transfert d’un moyen de règlement, argent, chèque ou autres, dans le sens inverse (Y vers X), ce qui se traduit par un échange d’une richesse (bien matériel), appelé flux réel (physique), contre une autre richesse (qui sont les moyens de règlement), appelé flux monétaire (financier).  le flux représente : une ressource pour l’entreprise située à l’origine du flux, et un emploi pour l’entreprise située à la destination du flux. On définit sous le terme de « flux », tous les mouvements de biens et de valeurs qui se produisent dans un intervalle déterminé :  Biens matériels, ex : les équipements, la matière première…  Prestations de services, ex : transport, banque…  Les moyens de règlement, ex : chèque, effets de commerce, monnaie… Constatation des « flux » Tous les mouvements de biens et de services auxquels correspond un flux sont constatés par un ou plusieurs documents commerciaux, dont les principaux : 1. Bon de commande : un document commercial généralement pré- 2. Bulletin de commande : un document commercial pré-imprimé imprimé, établi par le client (acheteur). Il détaille les articles commandés par le fournisseur (vendeur) et rempli par le client. Il détaille aussi les à un fournisseur. articles commandés à un fournisseur (même rôle du bon de commande). Un fournisseur Détailles sur les articles Remplit par le client Remplit par le client 3. Bon de livraison : document établi par le fournisseur pour contrôler les marchandises reçues et les comparer au double de bon de commande. Quantités Références et désignations des articles. Unités 4. Le chèque bancaire (lettre de change) : c’est un moyen de paiement 5. La facture La facture doit contenir :  Une en-tête qui est préétablie avec tous les renseignements concernant le fournisseur qui établit la facture, notamment : le nom de l’entreprise, n° de téléphone, email, n° registre de commerce, type de société, le capital (en DA).  La désignation des articles, références, prix unitaire par article, quantités,… et les montants (tout comme pour un bon de commande) Il y a trois types de réductions commerciales sur une facture :  Rabais : réduction sur le prix de vente s’il y a un défaut dans le produit, ou en cas où il est non conforme à la demande du client.  Remise : réduction sous forme d’un pourcentage sur le prix nominal de la vente en raison des grandes quantités achetées.  Ristourne : c’est une prime de fidélité, sous forme d’un pourcentage, accordée à certains clients. On a de plus une réduction financière appelée « escompte de règlement » ; c’est une réduction accordée aux clients qui paient leurs achats avant la date normale (appelée date d’échéance). L’entreprise peut aussi accorder des réductions après avoir établi sa facture (hors facture). Dans ce cas, l’entreprise établie une autre facture appelée « facture d’avoir », sur laquelle sont transcrites ces réductions. Les réductions se calculent en « cascade » : Sur le prix vente on diminue d’abord le rabais Sur ce net on retranche ensuite la remise Sur ce nouveau net on retranche enfin la ristourne ; on obtient « net commercial » Sur ce net commercial on retranche l’escompte et on obtient le net à payer Hors taxes (HT) Après avoir rajouté la TVA (taxe à valeur ajoutée), on obtient le net à payer toutes taxes comprises (TTC). Il existe aussi des flux internes à l’entreprise qui sont eux aussi matérialisés par des documents internes à l’entreprise. Par exemple : les bons d’entrées et de sorties des stocks lors du stockage/déstockage de la marchandise ou de la matière première (SPOILER : le chapitre suivant détaille la notion de « stocks ») Organisation de l’entreprise L’organisation est l’ensemble des moyens utilisés pour diviser le travail en tâches distinctes, Pour assurer ensuite leurs coordinations. Elle vise à : Augmenter la productivité du travail, améliorer la qualité du produit ou service, maîtriser les délais, améliorer la circulation de l’information et des réseaux de communication et améliorer la sécurité des biens et personnes. Organiser une entreprise, c’est définir : les moyens à employer ; les tâches à accomplir ; les compétences nécessaires ; les processus de coordination et de communication entre les différentes personnes et les différents métiers ; les modalités de dynamisation et de regroupement des activités par services ou départements, et des services au sein des grandes divisions. Structure d’une organisation Dans ses travaux Henry MINTZBERG décompose l'organisation en 5 parties :  Centre opérationnel : ce sont ceux qui effectuent le travail de base, tel que produire les biens/services. Il peut également prendre en charge l'acquisition des matières premières, leurs transformations et la commercialisation des produits.  Le sommet stratégique : nécessite au moins un manager à plein temps, à partir duquel il est possible d'avoir une vue d'ensemble du système. Lorsque l'organisation grandit, elle a alors besoin de plus de. La ligne hiérarchique se trouve ainsi constituée, c'est-à-dire une hiérarchie d'autorité entre le centre opérationnel et le sommet stratégique.  Au fur à mesure que l'organisation devient plus complexe, elle a besoin de nouveaux groupes de spécialistes appelés analystes. Ils effectuent des tâches administratives, planifient et contrôlent le travail des autres. Ces analystes forment la technostructure.  Le support logistique regroupe ceux qui remplissent des fonctions de soutiens telles que les relations publiques, le service juridique, le service postal, l'entretien des bâtiments, mais aussi l'administration générale, … Typologies des organisations Il existe de nombreuses structures organisationnelles, dont les plus importantes sont : La structure fonctionnelle : elle se caractérise par une spécialisation de chaque responsable selon son type de compétences : les décisions sont prises par des responsables qualifiés et chaque tâche est menée par un ou plusieurs subordonnés. Direction Fonction Fonction Fonction... production commerciale personnel La structure divisionnelle : Chaque division ou branche est relativement autonome et peut posséder une structure propre (fonctionnelle ou autre). C’est le type de structure adopté par la majorité des grandes entreprises car il permet une grande flexibilité. Dans cette typologie on peut trouver de nombreuses structures : H o Structure divisionnelle par région : Direction Région A (vente, production, Région B (vente, production, Région C (vente, production,... comptabilité,...) comptabilité,...) comptabilité,...) o Structure divisionnelle par produit : Direction Division PRODUIT A Division PRODUIT B... Fonction Fonction Fonction Fonction Fonction Fonction production commerciale... production commerciale... o Structure divisionnelle par marché : elle tend à se substituer à la structure par produit. La structure matricielle : Elle repose sur le principe de dualité au niveau du contrôle et de la gestion. Chaque salarié a 2 supérieurs hiérarchiques : un chef de projet désigné selon les tâches à accomplir, et un responsable permanent. L’activité au sein de l’entreprise se fait donc par groupes de projets. De nombreuses variantes découlent de cette typologie, comme : o Structure matricielle Produit/Fonction (orientée produit) : o Structure matricielle Projet/Fonction (orientée projet) : o Structure matricielle Marché/Produit : o Structure matricielle mixte (orientée produit et projet) :

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