D\u0027Islam Coran et Sunna PDF

D) Islam Coran et Sunna - L'homme n'est pas propriétaire ni de son corps, ni des corps des autres. - Interdit de tuer et de se suicider. - Interdiction d'incinération. - Le don d'un organe possible, sous conditions. - Un enfant peut être conçu entre un homme et une femme un...

D) Islam Coran et Sunna - L'homme n'est pas propriétaire ni de son corps, ni des corps des autres. - Interdit de tuer et de se suicider. - Interdiction d'incinération. - Le don d'un organe possible, sous conditions. - Un enfant peut être conçu entre un homme et une femme unie par un contrat de mariage. - Une grossesse obtenue avec le sperme d'un autre homme est considérée comme un adultère. - Avortement interdit, sauf en cas thérapeutique avant le 120e jour, et même après si c'est pour sauver la vie de la mère. - L'euthanasie active est assimilée à un homicide volontaire. Le refus de la transfusion sanguine chez les témoins de jéhovah - Jadis considérée comme une situation « ordinaire » (Janine Barbot) - 120 000 TJ Hexagone et 1/292 à La Réunion (2005) - Modèle paternaliste : la « transfusion à l'insu » - Déclin du modèle paternaliste Loi du 4 mars 2002, dite Loi Kouchner, relative aux droits de malades - Droit à l'information - Le consentement libre et éclairé - La personne de confiance Genèse 9 : 3, 4 : « Tout animal qui se meut [et] qui est vivant pourra vous servir de nourriture. Comme pour la végétation verte, oui je vous donne tout cela. Seulement la chair avec son âme - son sang - vous ne devez pas la manger » Actes des Apôtres 15 : 19, 20 : « Ma décision est donc de ne pas inquiéter ceux des nations qui se tournent vers Dieu, mais de leur écrire de s'abstenir des choses qui ont été souillées par les idoles, et de la fornication, et de ce qui est étouffé, et du sang ». Lévitique, 17 : 13, 14 : « Vous ne devez manger le sang d'aucune sorte de chair, car l'âme de toute sorte de chair est son sang. Quiconque le mangera sera retranché ». 1982 : le Conseil d'État exprime la possibilité de passer outre un refus clairement exprimé si le danger de vie est immédiat. (CAA de Paris, 9 juin 1998, Senanayake) : (...) si la thérapeutique mise en œuvre a pu, en l'espèce, eu égard à la qualité de témoin de Jéhovah de l'intéressé, constituer une atteinte à la liberté de manifester sa religion ou sa conviction, mentionnée à l'article 9 de la convention, cette circonstance n'est nullement constitutive d'une violation de cette disposition, dès lors qu'elle résulte, ainsi qu'il a été dit en dessus du respect par le médecin de l'obligation de protection de la santé et donc, en dernier ressort, de la vie qui s'impose à lui (...) » = HIÉRARCHIE ENTRE L'OBLIGATION DE SOIGNER ET LE RESPECT DE LA VOLONTÉ DU PATIENT mais il ne doit pas y en avoir Ici, deux injonctions contradictoires entre l'obligation de soigner le respect de la volonté du patient.