Psychologie sociale appliquée à la communication Cours PDF
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Camus Odile
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Ce document présente un cours sur la psychologie sociale appliquée à la communication. Il explore les fondements de la pragmatique psycho-sociale (PPS) et examine la signification dans la communication.
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Camus Odile : Psychologie sociale appliquée à la communication : 1. Principes de base de la pragmatique psycho-social (PPS) : Moscovici en 1967 va contribuer au points de départ de la psychologie sociale notamment dans la communication. Il va émettre qu’il n’y a pas de...
Camus Odile : Psychologie sociale appliquée à la communication : 1. Principes de base de la pragmatique psycho-social (PPS) : Moscovici en 1967 va contribuer au points de départ de la psychologie sociale notamment dans la communication. Il va émettre qu’il n’y a pas de langage sans communication et inversement. Faire de la psychologie sociale suppose d’avoir des connaissances sur le langage et de la communication. Pour lui, la communication passe par un égo, alter et un objet (permet de regarder les comportements individuelle). Nous prouvons nos hypothèses à travers des observations individuel en considérant les réponses de chacun. Les fait individuel sont importants pour le champ sociale, et on retrouve des interactions réciproque entre les sujets. L’objet permet l’interaction sur un sujet. C’est le produit de l’interaction, il n’existe pas avant, il se fabrique. Il va permettre à la psychologie sociale de se positionner dans le behaviorisme dans sa grande majorité. Ce sont les caractéristiques des situations qui détermine nos comportements. La communication influe sur nos points de vue (exemple : Milgram, la communication passe par un ordre donné par une autorité légitime mais cela marche à une seule condition, il faut que le sujet considère l’autorité comme légitime = réalité signifiante). Cela revient à dire que je ne peux prédire comment ces facteurs vont me déterminer sans prednre en compte ce que cela représente pour moi, il faut qu’il y a une signification particulière. La significations passe par le langage, un individu isoler ne peut pas développer cela. Elle est partagée par tout les sujets sur une société culturelle donnée. La citation de Beauvois met en évidence la construction ou de coconstruction, cela renvoie au fantasme ne collant pas à la réalité, on est sur une perspective matérialisme (Marxiste). Ici l’objet est coconstruit pour permettre une signification dans un rapport de domination si il y en a même si elle est subjectivement reconstruite (renvoie au symbolique). Pour une histoire de cigarette, on a une situation qui commence en dissymétrique où on a un possédant et un un autre qui est inférieur. Il se voit comme un déchet, mais quand il a vue que le possédant était aussi mal que lui, il a réinterpréter la chose, et ce geste de don est devenue un partage (relation fraternel). L’étude de Shérif (normalisation) montre deux différences, si on pense en terme de sociologue, cette expérience repose sur la signification qu’on a selon la situation dans laquelle on se trouve. Mais pour la psychologie sociale, si je veux donné le bon résultat alors il faut que je pense en tant que scientifique. 1.1 Document 2 :Notions de base de la PPS : La psychologie sociale dans le développement des années 70 va prendre en point de départ la pragmatique (s’appuie sur les sciences du langage). → Signification : produit de caractéristiques linguistiques et extra-linguistiques. Cela équivaut à dire que ce n’est pas à l’intérieur de la langue elle-même où je peut trouver toutes mes réponses parce qu’elle se réalise que dans l’usage. Quand nous échangeons, de la contribue à modifier les mots, les objets même les réactualiser. Les mots sont déterminé par l’usage de la société. C’est les caractéristiques extra-linguistique qu’on retrouve dans la situation de communication. → Pour comprendre c’est signification, j’ai besoins de considéré le contexte dans laquelle se discours se fait (produite en situation + adressée). Je ne suis pas maître des mots, c’est comment l’autre va l’interprété, nous ne sommes pas maître de la signification, on évalue se que nous disons et écrivons. Toute production langagière est adressée à quelqu’un car le discours se donne comme signifiant où j’ai l’intention de donné de la signification, nous sommes en communication. Ici, signifier correspond à donné du signe qui doit être reçue et interpréter. On a donc une articulation entre la production et l’interprétation, elle se construit à l’interface (coconstruction). Il n'y a pas de signification sans interprétation. → La signification est en grande partie dans l'implicite. En particulier pour l’intention de communication (vouloir dire, avoir un certains sens). Ici, nous sommes massivement dans l’implicite, on va donc contrôler ce que l’on dit (iceberg). Il y a une importance de cette implicite car elle permet de faire comprendre à l’autre et d’avoir un fil directeur. Par exemple dans le document 1, l’Asperger ne comprend pas l’implicite, il peut s’adapter même si cela reste difficile. Cela provoque des accidents communicationnelle. La signification « est-ce-que je suis gros ? » est une demande d’évaluation pour l’Asperger alors que pour l’autre c’était juste pour être rassurer, recevoir de la gentillesse, être aimable et avoir une demande affectif. C’est dans les années 80 que le langage dans la psychologie sociale va vraiment immergé. → Postulat de la pertinence du propos (Sperber & Wilson 1985, tr.fr. 1989), qui permet d'inférer correctement l'intention du locuteur (postulat d'un rapport entre le propos et la situation). La pertinence met en avant la coopération car cela demande un accord tassique durant l’échange. Pour se comprendre de cette masse implicite, il faut coopérer pour se mettre d’accord sur le sens du mot. La pertinence renvoi sur une approche cognitif de la chose notamment du traitement du mot langagière. Normalement le savoir est supposer se partager dans notre société. Pour faire des inférences, il faut partir d’un apriorie que Gofman dira qu’il faut partir d’un principe que l’autre n’est pas fou, c’est partir du principe que ce que dit l’autre à un rapport avec ce que j’ai dit. Ex. (Grice, 1975, tr.fr. 1979: coopération comme principe de base): L1-Je suis en panne d'essence 12-Il y a un garage au coin de la rue. Inférences (L2 sait ou croit que le garage vend de l'essence il est ouvert.). 12: Il y a une boulangerie au coin de lo rue → Contrat de communication: 1- Accord implicite sur des règles communes (coopération) renvoie à la coopération qui devient pertient, nous venons avec des apriorie et out ce qui va se dire va être filtrer par nos attentes. Le contrat renvoie à la copération : 2 personnes s’engage à coopéré pour arriver à s’entendre. 2-Cadre socio-cognitif (situation X savoirs antérieurs) qui pré-structure les interactions langagières. Situation de communication (dire) situation d'action (faire). Contrat: «On est là pour faire quoi?» (Charaudeau); accord sur une définition de la situation. Cela veut dire que quand je rentre en communication, le contrat est présent avant qu’on parle, les inférences sont présent. Il faut donc des connaissances sur le langage mais cela relève de la psychologie sociale (amphi). A travers la répartition des rôles, le contrat de communication peut s’expliquer. Parlé s’est pour faire quelque chose mais il faut être d’accord sur la définition du mot. → Jusqu’en 1970, on avait le modèle codique où le langage est un code, par les mots, je peux coder la réalité pour en parler. Je peux associé un mot à un objet réels. Alors qu’un code est transparents, nous n’avons pas d’implicite, pour que tout se passe bien entre 2 interlocuteurs, il faut donc qu’ils aient le même code (l’homme machine) mais il ne faut pas de parasite. Cela remet en cause le modèle codique de la communication, pour lequel le langage est un code, et sert à informer. Le conception représentationnelle ou instrumental permet de dire que le langage est un instrument où quelque chose sert à faire quelque chose d’autre. L’outil sert à l’usage langagier où la viser est l’information. Mais l’idée d’usage pour informé fait l’impasse sur l’implicite donc pas bien pour informer, passant au oubliette la représentation de ce que veut dire l’autre. Cela montre que le contenue d’information de ce que nous disons n’est pas important car c’est ce qu’on va comprendre qui va faire évoluer la relation, l’identité, les enjeux identitaire qui est plus important que le contenue. On qualifie ainsi la conception suivant laquelle le langage représente le monde, la réalité non langagière représenter signifie dans ce contexte non pas mettre en scène mais présenter de nouveau, rendre présent, recopier. Une telle conception est également instrumentale, dans la mesure où le langage ici n'est qu'un instrument, un outil au service d'une finalité informer, qui lui est extérieure, et même indépendante. En d'autres termes, on ne peut concevoir dans ce cadre que la fonction et l'organe se déterminent mutuellement. → Pragmatique: parler c'est faire quelque chose ou faire agir l’autre, et en premier lieu : agir sur l'autre. Postulat que toute parole est persuasive donc modifiable. Ex. La vaisselle n'est pas faite. Constat (description)? Requête (demande de faire la vaisselle)? Hors situation polysémique. Valeur d'acte fonction de la situation. → Théorie des actes de langage. C'est le philosophe John Langshaw Austin (1911-1960) qui en a posé les fondements, initialement pour rendre compte de la particularité de certains énoncés, les performatifs, auxquels il n'est pas possible d'attribuer une valeur de vérité (par exemple: Je t'ordonne de fermer la porte, qui ne peut être dit ni vrai ni faux), à la différence des constatifs (par exemple: La porte est fermée) Ces énoncés performatifs ne sauraient donc avoir pour fonction de transmettre une information ou de décrire un état de chose, mais de réaliser un acte (dans l'exemple: acte d'ordonner), dont on pourra évaluer la réussite ou l'échec. Or tout énoncé, performatif ou non, dès lors qu'il est considéré en situation d'énonciation, possède une valeur d'acte. Ainsi le locuteur de La porte est fermée», explicitement, fait un constat qui, suivant les caractéristiques de la situation, prendra implicitement valeur de requête (« Ouvre-moi s'il-te-plaît), de proposition ( Parlons sérieusement, nous sommes tranquilles ici »), d'avertissement (« Je te préviens que tu n'as pas intérêt à me déranger »), etc. Si on revient sur la pragmatique, elle est issue de la révolution des sciences du langage, qu’on nommera l’acte langagier (parler, c’est pour agir). La conception codéïque met l’accent sur le contenue du langage alors que ce contenue est que secondaire dans la pragmatique. Exemple : dans les années 70, notamment les contrats publicitaires, il était difficile de comprendre le rapport avec le produit vendu (l’objet promu) et l’histoire de la pub. Cela revient à dire qu’on peut parler de n’importe quoi dans la pub mais l’objet promu n’arrivera qu’à la toute fin. On joue avec la notion d’implicite, comment on arrive à comprendre les pub car cela est dû au contrat de communication. On sait que la pub arrive, quelle sera sans doute pertinente, on accède sans peine à un contenu pertinent car la pub mettra en valeur le produit. La théorie des actes du langage est arrivée en 1967 de Austin, il se demande comment peut-on évalué la validité d’une énoncé ? Pour lui il faut regarder la correspondance entre ce qu’on dit et la réalité (les mots et les choses). Pour certaines énoncés, on peut l’évaluer car la question à du sens mais on peut trouver des situations qui ne fonctionne pas pour validé l’énoncé. Un grand nombre d’énoncé ne peuvent pas être évaluer à cause de la vérité fausseté et n’a pas de rapport avec le monde, ils ont un sens que dans la situation qui permet la validité (allume la lumière alors qu’elle est déjà allumé, ou parce qu’il fait jour). On peut donc évaluer la réussite ou l’échec de l’acte (souhaité ou non souhaité). Austin dit qu’il y a deux sorte d’énoncer : les énoncer que je peux évaluer en terme de vérité fausseté, rendre compte de la réalité en dehors du langage. Ou l’énoncé qui réalise des actes, ce qui renvoie au performatif (verbe particulier qui quelque soit le contexte d’usage ne se compense que dans l’action, donc soit la réussite ou l’échec). C’est-à-dire que même les énoncés sont à considéré comme des actes, on a des énoncés descriptif réalisant des constat sur le monde (acte de constat). Pour identifier la valeur d’acte d’un énoncer, il faut aller dans l’implicite pour voir la réelle motivation du partenaire. Si on ne comprend pas la valeur d’acte, on peut avoir du malaise et de l’incompréhension dans la communication. II. Quelques terrains d’application : II.1. L’enquête informative : II.1. Les données d’enquête : recueil ou production ? Comment considérer les données d’enquête avec tout ce que l’on a ou sait, il faut penser en terme de comportement langagier (comment les sujets répondent à l’expérience). On interprète les données d’enquête directement entre ce qui est dit et l’objet psychologique qu’on est censé mesurer (chômage..). Il ne faut pas interpréter les données de l’enquête au pied de la lettre, car on ne peut pas être sur que tout le monde soit sincère même si tout le monde essaye, c’est-à-dire que les données brutes, je ne peux pas les rapporter directement à l’objet psychologique. La réponse verbale d’un sujet et censé se référé à une attitude mais je dois considéré avant tout comme du langage émis sur une certaine situation qui est ici une enquête. Ce qui est dit est construit en situation d’enquête et pas pré-construit. Je suis dans un contexte qui va déterminer la construction de mes réponses. On ne doit pas dire qu’on a recueillie des donnés d’enquête car cela veut dire que c’était là avant, on parlera de production des données d’enquête (tout ce qu’il va falloir considérer pour interpréter). Pour les sociologues qui réalisent les enquêtes sont plus simple car la majorité s’intéresse au pratique des gens. Par exemple si on se consacre au habitude alimentaire mais de façon complexe comme « Combien de pain en moyenne consommer vous? » Ils ne peuvent pas avoir dans leur tête la consommation exacte de pain, ils doivent calculé. Mais si la question comporte des enjeux normatif, cela va intéresser les psychologue sociales, la réponse du répondant ne va pas correspondre à ce que le répondant pense mais par rapport au sujet de l’enquête. Si il y a un malaise ou un gène, cela permet de rendre saillant le biais avec une information implicite, déstabilisant ainsi l’enquête. C’est la question qui prédétermine la réponse. Personne n’a envie d’être en dehors de la normes. Dans le document 5, de l’expérience de Schwartz, de 1985, la télé, à l’époque était mal vue, les prof se plaignaient que les enfants regardaient trop la télé, nuisible pour l’éducation, il faut laisser ça aux américains (7 heures par jours de télé). Pour eux, le téléphage est quelqu’un de pas cultivé, et donc pas valoriser. Dans l’expérimentation, nous avons la même question pour les deux groupes « combien de temps quotidien passez-vous devant la télévision? », ce qu’il diffère est que dans le groupe 1, on retrouve 6 échelons de moins d’une demi heure à plus de deux heures et demie et dans le groupe deux nous avons toujours 6 échelons mais avec un écart de 2h30 à 4h30. Quand on regarde les résultats, on ne peut pas conclure c’est résultat de manière objectif car dans le groupe 1 on retrouve 16,2 % des sujets regardants plus de 2h30 la télé et dans le groupe 2, on retrouve 37,5 %. La différence entre les deux groupes vient bien de la variable manipulé (échelon). On peut calculé la moyenne d’une activité même si cela n’est pas évident, on va la calculer de manière intuitive, donc les échelons proposer permet d’avoir des repère qui nous permet de savoir et d’avoir une idée de la réponse attendu. On essaie de savoir combien les autres passe devant la télé donc en voyant les échelons, on regarde les milieux. Dans le groupe 1, on a entre 1-2h devant la télé et dans le groupe 2, 3-4h devant la télé. On va calculer notre moyenne estimé à travers la moyenne des autres donc de l’échelle, cela est fortement biaisé si l’échelle est mal faite. Les sujets essaie de rester positif pour être bien vue permettant ainsi un profit identitaire. Les réponses sont construites en situation et dépendent donc des échelles. Les attitudes sont construites pendant la situation. Un biais est donc une erreur, et ne se conforme pas à la réalité. Le point de vue que manque les sociologues est le fait qu’ils n’ont pas assez étudier le langage, la communication et ne vont donc pas faire attention à ces biais. Pour les psychologues, ce ne sont pas des biais, pour nous on sait que quelque soit la question, le mot utilisé, on transmet dans nos mots de l’implicite, et que le répondant va l’interpréter selon le langage que lui aura compris. II.1.2. Les réponses de l’enquêté : un positionnement socio-normatif : On sait que dans nos phrases, on peut retrouver de l’implicite à tout les niveaux. La norme social est partagée, le sujet se réfère à un point de vue qui semble collectif quand on s’accroche à une norme pour y répondre. Quand on fait partit d’une norme, on peut être sanctionné de manière implicite (regard, réflexion). Quand on est seul, face à une enquête, on n’a pas de regarde mais la sanction est intériorisé (il va imaginé le regard social). Les références normatif sont intégré, l’enjeu est identitaire, on a donc un biais de désirabilité social. C’est un positionnement socio-normatif. Quand on a des mots dans une question qui mesure les attitudes, il faut savoir ce que l’on risque de déclenché en choisissant tels ou tels mot donc il faut faire attention sur les mots qu’on utilise. Le mot déportation reste associé à une époque saignante (mal absolu), actuellement se mot évolue à travers des personnes militantes pour les immigrés, on parle d’immigré déporter. C’est un mot qui a un usage politique et stratégique. Dans les années 80, la France sous François Mitterrand, à rendue le mot privatisation de notre industrie qui avait une connotation négatif en ouverture du capital qui était plus positif. Avant EDF était de l’ordre publique et maintenant elle est privée. Un autre exemple dans les années 90, la guerre de Kosovo a fait émettre plusieurs sondage (pas destiné à recueillir des informations, c’est un outils de propagande, politiques, de marketing pour influencer l’opinion). Un premier sondage (CSA) porter sur la question de l’Otan qui avait bombarder la Serbie, cela ne passe pas auprès des français avec 46 % des français qui désapprouvaient le bombardement contre 40 % qui était pour. L’opinion publique est contre l’Otan. Le deuxième sondage de Ipsos porte sur la question « Pour vous est-ce bien l’intervention militaire de l’Otan contre la Serbie ? » et la on retrouve l’opposé du sondage précédent avec une tendance de 47 % pour contre 30 % qui désapprouve. Il suffit que deux mot différents, l’un lié au bombardement et l’autre à l’intervention militaire (maintenir l’ordre) pour avoir un impact énorme sur l’opinion public. Si on porte plus d’intérêt au phrases, notamment dans le document 6. L’enquête tout venant incite de manière positif à choisir la bonne réponse. On remarque que dans l’étude 1, qu’il n’y a pas un seul répondant qui va s’assurer de la véracité des chiffres ? Pour eux, les infos transmis par l’enquête sont vrai, ils ne vont pas mentir, pas sérieux. Les gens partent du principe que tout est vrai, ils sont amenés à valider une conception du chômage qui est absurde. On a 51 % qui disent non mais ce non ne va pas répondre à la question car la personne veut rester dans la norme, je ne suis pas un fasciste, pas quelqu’un d’extrême-droite. Dans l’étude 2, on retrouve la non remise en cause des chiffres données même si on n’a 18 % qui ne répondent pas car ils peuvent se sentir gainé. 52 % disent oui, même si ce n’est pas possible que tout le monde fasse l’amour 12 fois par semaine mais il ne mente pas. Il faut regarder sur quels questions ils ont choisit et pas seulement sur la question dans sa globalité. La première question va être soit ils ont vraiment 12 rapports ou soit il se situe dans cette moyenne car si il est en dehors de la norme alors ça ne va pas. Pour eux ils ont une sexualité normal, on a donc des réponses éronné à l’égard de la réalité. On peut retrouver des amalgames discutables dans de nombreuses enquêtes. Dans le document 8, il est préférable d’avoir un opinion car on est socialement valorisé. On retrouve des normes dès qu’on fait une enquête d’opinion. Dans ce document, les personnes du groupes qui est aider ne se sentent pas assez aidées et cela quelque soit l’âge ou le groupes.