Corrigé de Sémiologie (299 questions) PDF
Document Details
![AstonishingNewYork8692](https://quizgecko.com/images/avatars/avatar-3.webp)
Uploaded by AstonishingNewYork8692
Tags
Summary
Ce document contient 28 questions sur la sémiologie médicale. Les questions couvrent des sujets tels que les symptômes, les signes vitaux, les antécédents personnels et familiaux, ainsi que les différentes caractéristiques des lésions cutanées, telles que l'ictère, la cyanose et l'œdème. Il s'agit d'un document qui aborde différents aspects de l'examen clinique.
Full Transcript
SÉMIOLOGIE (299 questions) 1)La sémiologie médicale est la partie de la médecine qui étudie : A. La biologie cellulaire B. Les traitements C. Les symptômes D. La façon de les relever par des examens complémentaires E. Les maladies F. Lʼanatomie humaine G. Les signes H. La façon de relever les signe...
SÉMIOLOGIE (299 questions) 1)La sémiologie médicale est la partie de la médecine qui étudie : A. La biologie cellulaire B. Les traitements C. Les symptômes D. La façon de les relever par des examens complémentaires E. Les maladies F. Lʼanatomie humaine G. Les signes H. La façon de relever les signes et les symptômes par examen clinique, I. La façon de relever les signes et les symptômes par interrogatoire J. La physiopathologie des maladies 2)La fiche médicale contient : A. Lʼanamnèse de la famille B. Le traitement des maladies de ses parents trouble C. Lʼévolution des maladies de ses parents D. Lʼévolution de la maladie du patient E. Les données dʼidentification de la famille F. La situation financière des parents G. Les données dʼidentification du malade H. Lʼexamen clinique du malade I. Lʼanamnèse du malade J. Lʼépicrise 3)Les parties de l'anamnèse sont : A. Les explorations paracliniques B. Lʼexamen clinique du malade C. Le traitement D. Lʼhistoire de la maladie E. Les motifs de consultation (les symptômes) F. Lʼépicrise G. Les antécédents familiaux H. Les antécédents personnels I. La profession actuelle ou passée et la consommation de tabac, dʼalcool et de drogue, J. Les données dʼidentification 4)Les motifs de consultation (dans lʼanamnèse) peuvent être : A. Douleur abdominale B. Douleur thoracique C. Lʼachat des médicamentes D. Les problèmes juridiques E. Le chômage F. Les problèmes sociaux G. Mal à la tête 1 H. Les problèmes financiers I. Dyspnée J. Toux productive 5)Les attributs de la douleur sont : A. Irradiation B. Lʼhémoptysie C. Durée D. Lʼhémorragie E. Hypotension artérielle F. Facteurs dʼaggravation ou dʼamélioration G. Intensité H. Lʼhématémèse I. Localisation J. Hypertension artérielle 6)Les signes vitaux sont : A. La coloration des ongles B. Fréquence respiratoire C. Diurèse D. Température E. Lʼaspect du visage F. La texture de la peau G. Fréquence cardiaque H. Lʼaspect de la chevelure I. Le poids J. Pression artérielle 7)Les antécédentes physiologique personnels sont : A. La pathologie psychiatrique B. La pathologie infectieuse C. Âge de la ménopause D. Les allergies E. Méthodes contraceptives F. Nombre de grossesse, dʼavortements G. Age aux premières règles H. Les maladies héréditaires I. Dernières règles J. Conditions de la vie et du travail 8)Les caractéristiques dès lʼadénopathies : A. Modification du volume des ganglions B. Ne sont pas palpable C. Non-douloureux dans les inflammations aigue D. Douloureux dans les inflammations aigue E. Consistance dure dans les adénopathies malignes 2 F. Sans modification du volume G. Mobilité dans les adénopathies malignes H. Perte de la mobilité dans les adénopathies malignes I. Consistance souple dans les adénopathies malignes J. Tendance à confluer 9)Les groupes ganglionnaires palpable sont : A. Les ganglions médiastinaux B. Les ganglions jugulaires externe et interne C. Les ganglions retro auriculaire D. Les ganglions intestinaux E. Les ganglions occipitaux F. Les ganglions submandibulaires G. Les ganglions intrathoraciques H. Les ganglions poplités I. Les ganglions mésentériques J. Les ganglions axillaires 10)Les causes de la fièvre : A. Les réactions aux médicaments B. Les troubles hématologiques C. Le diabète sucré D. La maladie du reflux gastroœsophagien E. Les troubles immunitaires (collagénoses) F. Lʼhypertension artérielle G. Le cancer H. Lʼangine de poitrine I. Lʼinfection J. Lʼulcère gastroduodénal 11)Les signes accompagnant la fièvre sont : A. Frisson B. Grelottement C. Sensation de froid nécessitant plusieurs couvertures D. Lʼamaigrissement E. Refroidissement des extrémités F. Perte de la masse adipeuse G. Lʼanorexie H. Sueurs I. Perte de masse musculaire J. Dyspnée 3 12)La couleur normale des téguments dépend de : A. Nombre des globules rouges B. Les valeurs de la pression artérielle C. La diurèse D. La fréquence respiratoire E. Quantité dʼhémoglobine transportée F. Richesse en mélanine G. La fréquence cardiaque H. Nombre et calibre des vaisseaux sanguins I. Déshydratation J. Epaisseur de lʼépiderme 13)Les modifications de la couleur des téguments sont : A. Lʼascite B. Les vésicules C. Rougeur D. Œdème E. Cyanose F. La circulation veineuse collatérale G. Troubles pigmentaires H. Zona zostère I. Ictère J. Pâleur 14)Les lésions cutanées élémentaires sont : A. Les modifications des ongles B. Papules C. La cyanose D. Les ganglions E. Pustule F. Nodule G. Macules H. Lʼictère I. La rougeur J. Vésicules 15)La circulation veineuse collatérale : A. Disparaît lorsquʼon palpe B. Il peut se produire à la suite dʼun obstacle sur les trois troncs veineux profonds C. Le tronc cave-cave supérieur indique une tumeur médiastinale D. Normalement, les veines sous-cutanées de lʼabdomen ne sont pas visibles E. Le tronc porto-cave, périombilical, en tête de méduse F. Il nʼy a aucun lien entre la circulation collatérale et les tumeurs abdominales G. La présence de la circulation collatérale nʼindique pas un phénomène pathologique H. Le tronc cave-cave inférieur indique des tumeurs abdominales I. Les veines sous-cutanées de lʼabdomen sont visibles 4 J. Il est présent chez les obèses 16)La cyanose : A. Est due à une diminution du taux de lʼhémoglobine réduite dans le sang B. Peut intéresser les organes interne C. Peut-être rechercher au niveau des lèvres, nez, lit de lʼongles D. Est une coloration jaune des téguments E. Est due à une augmentation du taux de lʼhémoglobine réduite dans le sang F. Peut intéresser la totalité des téguments G. Est la coloration bleue violace des téguments H. Est due à une diminution des plaquettes I. Est due à une augmentation du taux des globules blancs J. Est la coloration bleue violace des muqueuses 17)La cyanose centrale : A. La cyanose centrale affecte la totalité de lʼorganisme B. Elle ne disparaît pas en massant le lobe de lʼoreille C. On la trouve dans les maladies cardiaques et pulmonaires aigue D. On la trouve dans les maladies neurologiques E. Est une cyanose « froid » F. Est une conséquence de lʼœdème G. Elle est associée à lʼexposition au soleil H. Est une cyanose ‘chaude ” I. Est une conséquence du déficit dʼoxygénation du sang J. La peau est pâle 18)La cyanose périphérique : A. Cʼest le résultat de la stase au niveau tissulaire B. Elle ne disparaît pas en massant le lobe de lʼoreille C. On ne la voit jamais au niveau des extrémités D. Le syndrome Raynaud cʼest une variante particulière de cyanose périphérique E. Est une cyanose ‘chaude ” F. La température cutanée est diminuée, est une cyanose « froide » G. Cʼest un trouble de pigmentation de la peau H. On la trouve dans les troubles de la circulation artérielle I. On la trouve dans les maladies cardiaques et pulmonaires aigue J. On la trouve dans les troubles de la circulation veineuse 19)Lʼictère : A. Dans lʼictère la bilirubine totale a une valeur normale ou diminuée B. On distingue trois types dʼictère : par rétention, par hépatite et cirrhose, par hémolyse C. Survient dans les maladies pulmonaires D. Dans lʼictère il nʼexiste jamais des modifications de la couleur des selles et dʼurine E. Survient dans lʼhypertension artérielle F. La pigmentation apparaît quand la valeur de la bilirubine augmente 5 G. Est caractérisé par une coloration rouge des téguments et des muqueuses H. Survient dans la cirrhose hépatique I. Est caractériser par une coloration jaune des téguments et des muqueuses J. Dans l’ictère existe des modifications de la couleur des selles et d’urine 20)Lʼœdème : A. Cʼest une augmentation articulaire B. Le signe du godet est absente C. La peau est bleuâtre D. La peau œdématiée est brillante E. Lʼœdème généralisé sʼappelle anasarque F. Le signe du godet est présent G. L'œdème peut être généralisé ou localisé H. Cʼest une augmentation de la masse musculaire I. Cʼest une accumulation du liquide au niveau du tissue sous-cutané J. Cʼest une accumulation de la graisse au niveau du tissue sous-cutané 21)Les mécanismes de la production de lʼœdème : A. Augmentation de la pression hydrostatique capillaire B. Hyperaldostéronisme C. Besoin accru dʼoxygène D. Le reflux gastro-œsophagien E. Obstruction du système lymphatique F. Hypertrophie des parois artérielles G. Augmentation de la perméabilité capillaire H. Diminution de la pression oncotique plasmatique I. Dépôt de cholestérol J. Destruction des globules rouges 22)Lʼœdème cardiaque: A. La cause principale de lʼœdème cardiaque cʼest lʼinsuffisance hépatique B. Est produit par lʼaugmentation de la pression hydrostatique C. La consistance varie entre mou et dur en fonction de lʼancienneté D. Il nʼexiste pas aucune modification de la couleur E. Est produit par la stimulation vagale F. Il disparaît dans lʼinsuffisance cardiaque G. Il est seulement unilatéral H. Il est symétrique et déclive I. Au début il a la couleur blanche, ensuit devient bleuâtre J. Il peut être intermittent, caractère vespéral (lʼintensité maximale le soir) 23)Lʼœdème rénal: A. Est non douloureux B. Est fréquemment dans les glomérulonéphrites, syndrome néphrotique C. Il se produit à cause de lʼhypo albuminémie D. La couleur est bleuâtre 6 E. Il est localisé particulièrement au niveau cardiaque F. Il est douloureux G. La couleur est blanche H. Apparaît dans lʼinsuffisance cardiaque I. Il est localisé au niveau du visage, particulièrement au niveau des paupières J. Il se produit à cause de lʼhypercholestérolémie 24)Lʼœdème allergique : A. Il a une durée courte et une disparition rapide B. Il se produit à cause de lʼaugmentation de la perméabilité capillaire C. Il est limité au niveau du visage D. Sans modification de la couleur, la consistance accrue E. La couleur est blanche, la consistance mou F. Il est permanent G. Il est généralisé (anasarque) H. Il se produit à cause dʼun traumatisme I. Apparaît dans les maladies rénales J. Apparaît dans les maladies allergiques 25)Les modifications du cheveux et ongles : A. La disparition de la mélanine est suivie de la décoloration du cheveux (blanchiment) B. Le blanchiment du cheveu est produit par la mélanine C. La couleur du cheveu est donnée par la cantinée du cholestérol D. Lʼhippocratisme digital cʼest une mycose E. La couleur du cheveu est donnée par la quantité et qualité de la mélanine F. Les ongles présentent la spécificité de pousser en continu. G. Dans lʼhippocratisme digital les ongles sont bombés en « verre du montre » H. La couleur normal des ongles est rose perlé I. Normalement les ongles sont jaunâtres J. Les ongles ne poussent jamais 26)Les modifications au niveau des ongles peuvent être : A. Hyperpilosité B. Rainures transversales et longitudinales au niveau des ongles C. Œdème des ongles D. Au niveau des ongles, il ne peut jamais y avoir de changements E. Koilonychia, ongles concaves F. Dépôts de cholestérol dans lʼongle G. Leuconychie, la couleur blanche de lʼongle H. Lʼaugmentation de la température au niveau des ongles I. Melanonychia, la couleur brune de lʼongle J. Platonychia, ongles plats 7 27)Les éruptions cutanées peuvent être : A. Macula B. Mycose C. Érysipèle D. Circulation veineuse collatérale E. Dermographisme (rayures du Trousseau) F. Abcès G. Lʼœdème en manteau H. Érythème noueux I. Zona zostère J. Lʼherpès 28)Les troubles trophiques cutanés peuvent être : A. Les lipomes B. Hyperpilosité C. Les engelures D. Ulcère perforé plantaire E. La gangrène F. Nodules sous-cutanés G. Dépôts de cholestérol H. Les doigts hippocratiques I. Lʼescarre J. Circulation collatérale veineuse 29)Lʼattitude du patient : A. Lʼorthopnée est une attitude forcée B. Lʼattitude passive, adynamique est normale C. La position génu-pectorale (la prière mahométane) est une attitude forcée D. Peut-être active, normale E. Dans aucune maladie on ne trouve pas une position spécifique F. Lʼattitude du patient nʼas pas aucune importance pour lʼexaminateur G. Peut-être passive, adynamique dans les maladies graves H. Peut-être forcée, pour soulager un certain symptôme (douleur, dyspnée) I. Lʼattitude active est pathologique J. Lʼorthopnée est une attitude normale 30)Lʼexamen du patient : A. Lʼauscultation cʼest une technique dʼexamen B. Lʼinspection du patient a aucune valeur diagnostique C. Se fait de haut en bas en utilisant diffèrent techniques D. Lʼauscultation se fait dans une chambre avec beaucoup du bruit E. La percussion cʼest une technique dʼexamen F. Commence avec lʼinspection G. La palpation cʼest une technique dʼexamen H. La percussion se fait en mettant lʼoreille sur le thorax du patient I. La palpation se fait avec le stéthoscope 8 J. Il nʼest pas nécessaire dʼutiliser aucune technique pour examiner le patient 31)La percussion : A. Lʼintensité du son dépend du poil du patient B. Le son tympanique est caractéristique pour le thorax C. Lʼintensité des sons obtenus dépend de lʼamplitude des vibrations sonores D. Le son mat apparaît dans lʼemphysème E. La percussion nʼest plus utilisée comme méthode dʼexamen F. La sous-matité est un mélange de sons (processus de condensation pulmonaire). G. Le son mat est caractérisé par une faible intensité (liquide pleural). H. Le son est caractérisé par une forte intensité (percussion abdomen, poumons) I. Il est fait avec le stéthoscope J. Elle est indirecte 32)Les types caractéristiques du faciès : A. Myxœdème (hypothyroïdien), avec lʼexagération des protubérances osseuses du visage B. Lʼaspect du visage nʼest pas caractéristique pour aucune maladie C. Hyperthyroïdien (Basedow), aspect en papillon D. Mitral, caractéristique pour lʼinsuffisance aortique E. Mitral (sténose mitrale) avec la cyanose des joues, nez, lèvres F. Dans lʼacromégalie les protubérances osseuses sont mince G. Acromégalique, avec lʼexagération des protubérances osseuses du visage H. Lupique (lupus), aspect en papillon I. Hyperthyroïdien (Basedow), avec exophtalmie bilatérale, terrifié J. Myxœdème (hypothyroïdien), aspect en plein lune, bouffi 33)Types dʼattitude forcée : A. Décubitus ventral en mettant pression avec le poignet dans lʼhypogastre B. La prière mahométane C. Position pendant le sommeil D. Opistotonos E. Torticolis F. Décubitus dorsal G. Adynamique, dans les comas H. Passif I. Fusil de chasse J. Actif, gratuit 34)Lʼétat de nutrition : A. Est estimé par lʼépaisseur du pli cutané B. Lʼépaisseur du pli cutané augmente chez les personnes maigres C. IMC nʼest pas utilisé pour appréciation de lʼétat nutritionnel D. Lʼépaisseur du pli cutané diminue chez les personnes obese E. Lʼobésité est le résultat dʼun apport alimentaire excessif F. IMC cʼest le rapport entre le poids et la taille carré 9 G. Lʼobésité est caractérisée par un excès de tissu adipeux H. Est estimé par IMC I. Lʼobésité est caractérisée par un excès de tissu musculaire J. Lʼobésité est caractérisée par un excès hydrique 35)Les caractéristiques de lʼétat de nutrition : A. Le déficit pondéral représente la diminution du poids B. Le stade final du déficit pondéral sʼappelle marasme C. La cachexie est une variante avancée du déficit pondéral D. Les personnes dans un stade finale dʼévolution dʼun cancer sont obese E. Le déficit pondéral cʼest une variante de lʼobésité F. Toutes les personnes obese ont un déficit pondéral G. Parmi les causes du déficit pondérale se trouve les tumeurs malignes, le diabète sucré H. Lʼétat de nutrition nʼa aucune valeur médicale I. Le gaspillage est une étape du déficit pondéral J. Le premier degré dʼobésité sʼappelle marasme 36)Les modifications au niveau de globe oculaire sont : A. Lʼenophtalmie nʼest pas une modification du globe oculaire B. Enophtalmie, due à une diminution du contenu orbitaire C. La couleur de la sclérotique ne peut jamais changer D. Lʼexophtalmie nʼest pas une modification du globe oculaire E. Le nystagmus nʼest pas une modification des mouvements du globe oculaire F. Exophtalmie, protrusion du globe oculaire hors de l'orbite caractéristique pour Basedow G. Le nystagmus, mouvements oculaires rapides, rythmés, répétitifs et involontaires H. Dépôt des lipides, du cuivre, au niveau cornéen (ex gérontoxon) I. Les dépôts des lipides, du cuivre au niveau cornéen sont normaux J. Les sclérotiques bleus, jaune, brun ou rouge 37)Les modifications au niveau palpébrale sont : A. Les xanthélasmas, dépôt des lipides aux niveau de lʼangle interne de la paupière supérieure B. Lʼœdème palpébral C. La lagophtalmie est une augmentation de la fente palpébrale D. La ptose de la paupière supérieure dans la paralysie du nerf oculomoteur commun E. Les dépôts des protéines au niveau palpébrale F. Lʼœdème au niveau palpébral nʼest pas possible G. Les ecchymoses palpébrales H. Les dépôts de la fibrine au niveau palpébrale I. La fente palpébrale ne peut pas changer ses dimensions J. La ptose de la paupière supérieure nʼest pas une modification de la paupière 38)Les cause de lʼaugmentation de la sécrétion lacrymale : A. Exposition a une lumière vive B. Le diabète sucré 10 C. Le contact avec des irritants D. Les conjonctivites E. Dans lʼobscurité F. Le vent, lʼair froid G. Les maladies des lèvres H. Des corps étrangères dans les sourcils I. Le vent et le froid nʼont aucun effet sur la sécrétion lacrymale J. Des corps étrangères intraoculaire 39)Lʼexamen des seins: A. Nʼest pas obligatoire pour chaque femme B. Lʼinspection des seins se fait avec la patiente complètement habillée C. La palpation ne peut pas identifier les tumeurs D. La gynécomastie chez les hommes est une modification pathologique E. Est obligatoire pour chaque femme F. Les tumeurs malignes sont fréquentes au niveau des seins G. Lʼexamen se fait avec le stéthoscope H. Lʼexamen se fait avec lʼaide de lʼinspection et de la palpation I. La gynécomastie peut être physiologique à la puberté J. A lʼinspection on ne peut pas voire la rétraction mamelonnaire 40)Les symptômes de la pathologie ostéoarticulaire sont : A. La pression artérielle élevé B. Lʼimpotence fonctionnelle totale C. Lʼimpotence fonctionnelle nʼest pas un symptôme de la pathologie ostéoarticulaire D. La rigidité articulaire E. Lʼimpotence fonctionnelle partielle F. La douleur G. Lʼobésité H. La raideur articulaire I. La raideur articulaire nʼest pas un symptôme de la pathologie ostéoarticulaire J. La fièvre 41)A lʼexamen du système ostéoarticulaire : A. On ne mesure pas lʼamplitude des mouvements articulaires B. On mesure lʼamplitude des mouvements articulaires C. La palpation se fait avec le stéthoscope D. La mobilité articulaire nʼa pas aucune importance sémiologique E. On fait lʼinspection de la région articulaire F. On fait la palpation G. Lʼexamen des articulations est comparatif H. On apprécie la mobilité articulaire I. La région articulaire ne doit pas être inspectée J. Lʼexamen des articulations nʼest pas comparatif 11 42)A lʼinspection des articulations on peut avoir: A. Des modifications des ongles B. Circulation veineuse C. Lʼictère D. Congestion locale E. Des positions vicieux antalgiques des articulations F. Augmentation du volume articulaire donner par la présence du liquide G. Des ecchymoses H. Au niveau articulaire on nʼa pas jamais de modifications inflammatoires I. La contraction Dupuytren J. Le pouls périphérique diminué 43)Le gigantisme présente les caractéristiques suivantes : A. Est causée par une hypersécrétion dʼhormones thyroïdiennes B. Taille < 1,2 m chez les femmes C. Taille < 1,5 m chez les hommes D. Taille > 2 m chez lʼhomme E. Survient dans la période précédant la fermeture des épiphyses F. Est causée par une hypersécrétion de lʼhormone somatotrope G. Il sʼagit dʼune augmentation exagérée de la hauteur H. Taille > 1,9 m chez les femmes I. Cʼest une station en hauteur J. Le développement somatique du patient est faible 44)Le nanisme: A. Le nanisme hypophysaire a les membres court par rapport au tronc B. Le nanisme cʼest un état de nutrition C. Le nanisme hypophysaire est harmonique avec des fonctions psychiques normalement développées D. Il apparaît dans lʼinsuffisance médullaire E. Il peut être thyroïdien F. Le patient avec nanisme a une haute stature G. Le patient avec nanisme a une petite taille, gagné et héréditaire H. Le nanisme thyroïdien a un développement harmonique I. Il peut être hypophysaire J. Le nanisme thyroïdien est disproportionné, dysharmonique 45)Lʼobésité: A. Dans lʼobésité, se produit la croissance musculaire B. Lʼobésité peut être gynoïde C. Il est la conséquence de troubles endocriniens, le terrain génétique D. Lʼobésité peut être androïde E. Elle est plus fréquente chez les enfants F. Lʼœdème est fréquemment associé G. Il nʼexiste pas des méthodes pour déterminer lʼexcès de poids 12 H. Il représente la perte de poids I. Elle peut être généralisée J. Ceci est le résultat dʼun apport alimentaire excessif 46)La sémiologie médicale est la partie de la médecine qui nʼétudie pas : A. La façon de relever les signes et les symptômes par examen clinique, B. Les maladies C. La biologie cellulaire D. La façon de relever les signes et les symptômes par interrogatoire, E. Les symptômes de la maladie F. Les traitements G. La façon de les relever par examens complémentaires H. La physiopathologie des maladies I. Lʼanatomie humaine J. Les signes de la maladie 47)La fiche médicale ne contient pas : A. Les données dʼidentification du malade B. Lʼanamnèse de la famille C. Les données dʼidentification de la famille D. Lʼanamnèse du malade E. Lʼévolution des maladies de ses parents F. Le traitement des maladies de ses parents G. Lʼépicrise H. Lʼévolution de la maladie du patient I. Lʼexamen clinique du malade J. La situation financière des parents 48)Les parties de l'anamnèse ne sont pas : : A. Les antécédents familiaux B. Les données dʼidentification C. Les antécédents personnels D. La profession actuelle ou passée et la consommation de tabac, dʼalcool et de drogue, E. Les motifs de consultation (les symptômes) F. Lʼexamen clinique du malade G. Lʼépicrise H. Le traitement I. Lʼhistoire de la maladie J. Les explorations paracliniques 49)Les motifs de consultation (dans lʼanamnèse) ne peuvent pas être : A. Mal à la tête, B. Le chômage C. Les problèmes sociaux D. Les problèmes juridiques E. Douleur abdominale 13 F. Douleur thoracique G. Lʼachat des médicamentes H. Les problèmes financiers I. Dyspnée J. Toux productive 50)Les attributs de la douleur ne sont pas : A. Lʼhémorragie B. Facteurs dʼaggravation ou dʼamélioration C. Durée D. Lʼhémoptysie E. Intensité F. Hypertension artérielle G. Irradiation H. Hypotension artérielle I. Localisation J. Lʼhématémèse 51)Les signes vitaux ne sont pas : A. La coloration des ongles B. Fréquence respiratoire C. Diurèse D. Lʼaspect de la chevelure E. Pression artérielle F. Fréquence cardiaque G. Lʼaspect du visage H. Température I. Le poids J. La texture de la peau 52)Les antécédentes physiologique personnels ne sont pas: A. Les maladies héréditaires B. Les conditions de la vie et du travail C. La pathologie psychiatrique D. Nombre de grossesse, dʼavortements E. Age de la ménopause F. Dernières règles G. Les allergies H. La pathologie infectieuse I. lʼâge aux premières règles J. Méthodes contraceptives 53)Les groupes ganglionnaires palpable ne sont pas les suivantes : A. Les ganglions occipitaux B. Les ganglions poplités C. Les ganglions intrathoraciques 14 D. Les ganglions submandibulaires E. Les ganglions axillaires F. Les ganglions médiastinaux G. Les ganglions retro auriculaire H. Les ganglions mésentériques I. Les ganglions jugulaires externe et interne J. Les ganglions intestinaux 54)Les causes de la fièvre ne sont pas les suivantes : A. Le cancer B. Le diabète sucré C. Les troubles immunitaires (collagénoses) D. Lʼinfection E. Lʼulcère gastroduodénal F. Lʼangine de poitrine G. Les réactions aux médicaments H. Les troubles hématologiques I. La maladie du reflux gastroœsophagien J. Lʼhypertension artérielle 55)Les signes accompagnant la fièvre ne sont pas les suivantes : A. Lʼamaigrissement B. Refroidissement des extrémités C. Sensation de froid nécessitant plusieurs couvertures D. Sueurs E. Grelottement F. Perte de masse musculaire G. Frisson H. Lʼanorexie I. Dyspnée J. Perte de la masse adipeuse 56)La couleur normale des téguments ne dépend pas de : : A. Déshydratation B. La diurèse C. Les valeurs de la pression artérielle D. Epaisseur de lʼépiderme E. La fréquence cardiaque F. Nombre et calibre des vaisseaux sanguines G. Richesse en mélanine H. La fréquence respiratoire I. Nombre des globules rouges J. Quantité dʼhémoglobine transportée 15 57)Les modifications de la couleur des téguments ne sont pas les suivantes : A. Les hémorragies cutanées B. Ictère C. Cyanose D. Œdème E. La circulation veineuse collatérale F. Lʼascite G. Rougeur H. Pâleur I. Troubles pigmentaires J. Zona zostère 58)Parmi les lésions cutanées élémentaires on ne trouve pas les suivantes : A. Pustule B. La rougeur C. La cyanose D. Vésicules E. Lʼictère F. Nodule G. Papules H. Macules I. Les ganglions J. Lʼherpes 59)Les suivantes aspects ne sont pas caractéristiques pour lʼœdème: A. Cʼest une augmentation de la masse musculaire B. Le signe du godet est présent C. Cʼest une accumulation du liquide au niveau du tissue sous-cutané D. La peau est bleuâtre E. Le signe du godet est absente F. L'œdème peut être généralisé ou localisé G. Cʼest une accumulation de la graisse au niveau du tissu sous-cutané H. Cʼest une augmentation articulaire I. Lʼœdème généralisé sʼappelle anasarque J. La peau œdématiée est brillante 60)Parmi les mécanismes de production de lʼœdème, on ne trouve pas les suivantes: A. Augmentation de la pression hydrostatique capillaire B. Dépôt de cholestérol C. Augmentation de la perméabilité capillaire D. Besoin accru dʼoxygène E. Diminution de la pression oncotique plasmatique F. Destruction des globules rouges G. Hypertrophie des parois artérielles H. Hyperaldostéronisme I. Le reflux gastro-œsophagien 16 J. Obstruction du système lymphatique 61)Parmi les modifications du cheveu et ongles, on ne trouve pas les suivantes : A. La couleur du cheveu est donnée par la cantinée et qualité de la mélanine B.Lʼhippocratisme digital cʼest une mycose C. Dans lʼhippocratisme digital les ongles sont bombés en « verre du montre » D. La couleur du cheveu est donnée par la cantinée du cholestérol E. Les ongles ne poussent jamais F. La couleur normale des ongles est rose perlé G. Les ongles présentent la spécificité de pousser en continu. H. Le blanchiment du cheveu est produit par la mélanine I. La disparition de la mélanine est suivie de la décoloration du cheveu (blanchiment) J. Normalement les ongles sont jaunâtres 62)La palpation : A. Elle nous donne des informations sur le volume, la sensibilité et la consistance des organesV B. Pour palper on a besoin dʼun stéthoscope C. On palpe les ganglions D. De nos jours on a renoncer a utilisé la palpation E. Quand on palpe, on appui assez fort pour produire la douleur du patient F. Peut-être une palpation profonde G. Elle est une méthode radiologique H. Elle se fait à la fin du traitement du patient I. On palpe aussi les téguments, les muscles J. Peut-être une palpation superficielle 63)Les erreurs de lʼexamen du patient sont: A. La percussion cʼest une technique dʼexamen B. La percussion se fait en mettant lʼoreille sur le thorax du patient C. Commence avec lʼinspection D. Lʼauscultation se fait dans une chambre avec beaucoup du bruit E. La palpation cʼest une technique dʼexamen F. La palpation se fait avec le stéthoscope G. Examiner sans utiliser la palpation, percussion, auscultation H. Lʼauscultation cʼest une technique dʼexamen I. Lʼinspection du patient nʼa pas aucune valeur diagnostique J. Lʼexamen du patient se fait de haut en bas en utilisant diffèrent techniques 64)A lʼinspection des articulations on ne peut pas avoir: A. Augmentation du volume articulaire donner par la présence du liquide B. La contraction Dupuytren C. Des modifications des ongles D. Des positions vicieux antalgiques des articulations E. Au niveau articulaire on nʼa pas jamais de modifications inflammatoires 17 F. Le pouls périphérique diminué G. Congestion locale H. Lʼictère I. Circulation veineuse J. Des ecchymoses 65)Types de fièvre: A. Sous fébrilité B. La sueur C. Fièvre ondulante D. Le frisson E. Fièvre continue F. Fièvre récurrente G. Lʼhypothermie H. Fièvre irrégulier I. Fièvre intermittente J. Lʼanxiété 66)Le pyrosis: A. Il représente la douleur au niveau du flanc gauche B. Il apparaît dans les coliques néphrétiques C. Il est accentué avec l'ingestion de boissons acides D. C'est la difficulté à avaler les aliments E. Il est accentué par l'ingestion d'alcool F. Il représente une sensation de brûlure rétrosternale G. Il représente l'élimination de gaz de l'estomac par la bouche H. Il est accentué avec des liquides chauds I. On le trouve dans la maladie de reflux gastro-oesophagien J. C'est similaire à l'odynophagie 67)La dysphagie : A. Elle représente un symptôme d'alarme B. Elle représente la douleur lors de la déglutition C. Elle peut être complète ou incomplète D. Elle représente le vomissement de sang E. Elle représente une difficulté à avaler des aliments F. Elle peut apparaître dans les néoplasies oesophagiennes G. C'est la sensation d'arrête du bol alimentaire a travers de l'œsophage H. C'est la sensation de brûlure rétrosternale I. C'est un trouble respiratoire J. Elle représente l'élimination du sang des voies respiratoires par la toux 68)Lʼexploration du système digestif comprend: A. LʼEndoscopie digestive basse B. Lʼéchographie cardiaque C. La radiographie pulmonaire 18 D. Lʼéchographie Doppler des membres inférieurs E. Lʼexamen radiologique eso-gastro-duodénal F. La résonance magnétique nucléaire G. La touchée rectale H. Lʼexamen tomodensitométrique du thorax I. LʼÉchographie abdominale J. LʼEndoscopie digestive haute 69)Parmi les causes des douleurs abdominales aiguës on peut retrouver : A. Lʼʼhypertension artérielle essentielle B. Lʼocclusion intestinale C. L'asthme bronchique D. La colique néphrétique E. La colique biliaire F. Lʼangine pectorale G. La maladie de reflux gastro-œsophagien H. La pancréatite aiguë I. Le diabète sucré J. Lʼulcère gastrique et duodenal 70)Les vomissements: A. Ils peuvent être précédés de nausées B. Ils représentent un acte réflexe, avec centre de vomissement dans le bulbe rachidien C. La sensation de nausée qui les accompagne fait la différence entre les vomissements et les régurgitations D. Ils sont sans odeur E. Ils représentent l'expulsion soudaine et forcée, par la bouche, du contenu gastrique F. Ils représentent l'augmentation du volume urinaire plus de 2000 ml/24 h G. Ils peuvent apparaître dans les ulcères gastriques et duodénaux H. Ils peuvent apparaître seulement le matin I. Ils ne sont jamais précédés de nausées J. Ils ne sont jamais multiples 71)Lʼhématémèse : A. Elle n'est pas une urgence B. Le sang peut être plus au moins digéré C. Elle est la complication la plus fréquente de l'ulcère gastroduodénal D. Le patient a souvent hypertension artérielle E. Elle a une couleur brunâtre (marc de café) F. Elle représente l'élimination des selles noires, molles et brillantes G. Elle représente une urgence en gastro-entérologie H. Elle représente l'élimination du sang par la bouche par des vomissements I. La cause n'est pas représentée par les troubles digestifs J. Elle représente l'élimination du sang expulsé par la toux 19 72)En cas d'hématémèse les suivantes sont vraies: A. Le patient doit être évalué par endoscopie digestive haute dans les premières 24 à 48 heures B. Le diagnostic différentiel est fait avec l'hémoptysie C. Le diagnostic différentiel est fait avec une épistaxis avalé D. L'endoscopie digestive haute n'est pas la méthode de choix E. Lʼhémogramme n'est pas nécessaire pour nous orienter sur la gravité de l'hémorragie digestive haute F. Une cause qui doit être différenciée de l'hématémèse est représentée par la gingivorragie G. Les varices œsophagiennes de la cirrhose du foie peuvent être une cause d'hématémèse H. Elle n'y a aucun risque de rechute I. Elle représente le besoin de consommer des liquides J. Elle n'apparaît jamais dans la pathologie ulcéreuse 73)En ce qui concerne la topographie de l'abdomen, les affirmations suivantes sont vraies: A. L'abdomen est divisé par 2 lignes horizontales et 2 lignes verticales B. L'abdomen est divisé en 12 zones topographiques C. Au niveau de l'hypochondre droit on trouve le lobe droit du foie, la vésicule biliaire, l'angle droit du côlon, le rein droit et le duodénum D. Au niveau de l'épigastre on trouve lʼappendice E. Au niveau du flanc gauche on trouve la rate F. Au niveau de l'hypochondre droit on trouve la rate G. Au niveau de la fosse iliaque gauche on trouve le côlon sigmoïde H. L'abdomen est divisé en 9 zones topographiques I. Il est divisé en 3 lignes horizontales et 3 lignes verticales J. L'abdomen est divisé en 6 zones topographiques 74)Le méléna : A. Elle représente le vomissement de sang B. Elle survient le plus souvent dans les infections urinaires C. La couleur, la consistance et l'odeur sont dues à une digestion incomplète du sang D. Le diagnostic différentiel peut être fait avec l'administration de médicaments (fer, bismuth) E. Les selles méléniques sont rouge foncée F. Il représente l'élimination de selles noires, pâteuse et brillantes G. Les selles sont souvent qualifiées de goudronneuses H. Elle représente une hémorragie digestive basse I. Il indique une hémorragie située relativement haut dans le tube digestif. J. Elle représente l'extériorisation du sang rouge par l'anus 75)Parmi les causes d'hématémèse on peut trouver : A. Sténose mitrale B. Infarctus pulmonaire C. Ulcère gastrique D. Gastrite hémorragique E. Varices œsophagiennes dans la cirrhose du foie F. Pneumothorax G. Cancer gastrique 20 H. Cancer broncho-pulmonaire I. L'ulcère duodénal J. Pneumonie à Klebsiella pneumominiae 76)La manœuvre de Murphy : A. Si le patient arrête l ́ inspiration pendant la manœuvre, on peut dire que la manœuvre est positive. B. La pression est appliquée avec le bout des doigts sur le flanc gauche lorsque le patient est en décubitus dorsal C. Elle est positive dans la cholécystite aigue D. C'est un signe qui montre lʼinflammation de la paroi de la vésicule biliaire E. Elle est positive dans les ulcères F. Elle est positive dans les coliques néphrétiques H. Pour lʼeffectuer on doit appliqué une pression avec le bout des doigts au niveau de l'hypochondre droit lorsque le patient est en décubitus dorsal G. Elle apparaît dans l'occlusion intestinale I. L'application d'une pression sur l'hypochondre droit se fait de manière synchrone avec l'inspiration profonde du patient J. Elle apparaît dans les maladies pancréatiques 77)La douleur ulcéreuse peut être accompagnée de : A. Troubles de l'appétit B. Nausée C. Toux D. Dyspnée E. Palpitations F. Vomissements alimentaires G. Régurgitation H. Hémoptysie I. Pyrosis J. Dysurie 78)Les suivantes sont vraies en ce qui concerne la douleur dans lʼulcère gastroduodénal : A. La douleur est permanente, sans période d'accalmie B. La douleur est rythmée par les repas (la petite périodicité) C. Dans la crise d'ulcère la douleur ne dépasse pas 3 minutes D. La douleur peut avoir un caractère saisonnier (printemps et automne) E. La durée peut être des heures, des jours ou des semaines avec des périodes d'accalmie F. Les facteurs aggravants sont la consommation d'alcool et les aliments trop épicés G. L'ingestion des aliments alcalines n'influence pas la douleur H. La localisation de la douleur est plus fréquente dans la région épigastrique I. Il nʼexiste pas de facteurs dʼamélioration de la douleur J. La douleur n'est pas rythmée par les repas 21 79)Les manifestations extra-digestives (atypiques) du reflux gastro-oesophagien peuvent être représentées par : A. Sialorrhée B. Laryngite C. Pyrosis D. Gingivite E. Toux chronique F. Sensation de corps étranger G. Odynophagie H. Érosions dentaires I. Régurgitation acide J. Éructation 80)Les manifestations digestives (typiques) du reflux gastro-oesophagien peuvent être représentées par : A. Sialorrhée B. Eructation C. Otite moyenne D. Odynophagie E. Régurgitation acide F. Brûlures de la muqueuse orale G. Régurgitation alcaline H. Torticolis I. Pyrosis J. Abcès pulmonaire 81)Les suivantes sont caractéristiques à la colique biliaire: A. Le patient peut adopter une position antalgique (penché en avant) B. L'irradiation de la douleur est le plus fréquente au niveau de l'hypochondre gauche C. Le patient peut être dans un état continu d'agitation psychomotrice D. La douleur cesse aux antihypertenseurs E. L'irradiation de la douleur est le plus fréquente au niveau de la région interscapulo-vertébrale gauche F. L'intensité est élevée, caractère de crampe G. L'intensité de la douleur est faible H. Le siège est au niveau de l'hypochondre droit I. L'irradiation de la douleur est le plus souvent postérieure et ascendante vers la pointe de l'omoplate droite J. Il n'est jamais associé à nausée et vomissement 82)Concernant les coliques biliaires on peut dire que : A. Il succombe à l'administration d'antispasmodiques B. Le diagnostic différentiel est fait avec une colique néphrotique gauche C. L'examen objectif de l'abdomen révèle une défense musculaire située sur le flanc gauche D. La durée est variable (minutes, heures) E. Il ne succombe jamais spontanément à l'administration d'antispasmodiques F. L'examen objectif de l'abdomen révèle une défense musculaire située au niveau de 22 l'hypochondre droit G. Les calculs biliaires ne sont pas responsables de lʼapparition de la colique biliaire H. Elle sʼaccompagne dʼhématémèse I. La douleur peut être accompagnée de nausées et de vomissements alimentaires J. Il existe des circonstances de survenue (abus alimentaire, alimentation cholécystocinétique) 83)Parmi les causes d'hématémèse et de méléna on peut trouver : A. Cancer du colon B. Diverticule colique C. Ulcère gastrique D. Cancer de l'œsophage E. Maladie hémorroïdaire F. Varices œsophagiennes G. Ulcérations iléales H. Gastrite aiguë I. Ulcère duodénale J. Calculs rénaux 84)La dysphagie : A. Elle représente la brûlure rétrosternale B. La dysphagie survient toujours dans des conditions bénignes C. Elle représente la difficulté à avaler les alimentes D. Elle permet toujours le passage des aliments solides et semi-solides E. Elle peut être sélective, pour les solides F. Il faut la différencier de "globus hystericus" G. Elle apparaît dans les maladies de la vessie H. Une forte dysphagie peut s'accompagner d'un reflux nasal de la nourriture et de salive I. Les troubles de la dysphagie comprennent les troubles neuromusculaires J. La dysphagie concerne seulement les liquides 85)Parmi les aspects suivants de la douleur épigastrique, quelles sont caractéristiques pour la douleur de l'ulcère duodénal ?: A. Elle s'accentue après l'ingestion d'aliments B. Elle peut être saisonnière C. Elle s'améliore après des vomissements D. La douleur n'est pas le symptôme cardinal E. Les vomissements ne se produisent pas dans les ulcères F. La localisation de la douleur est au niveau de l'hypogastre G. Elle se présente sous la forme d'une crampe, d'une sensation de brûlure ou d'une distension épigastrique douloureuse H. La douleur ulcéreuse est présente le matin au réveil I. Elle a le caractère d'une faim douloureuse J. Elle s'améliore après les repas 23 86)La douleur de la colique biliaire peut être caractérisée par : A. Dans l'examen paraclinique, l'échographie abdominale n'est par une méthode utilisée B. Elle s'accompagne de nausées et de vomissements C. Elle est située dans l'hypochondre droit D. Elle ne peut pas être accompagné d'ictère E. Elle irradie généralement vers l'omoplate F. Elle irradie vers le bas dans l'hypogastre G. Le diagnostic différentiel ne peut pas être fait avec un infarctus du myocarde inférieur H. Elle est accompagnée des rectorragie I. Le diagnostic différentiel peut être fait avec la colique néphrétique droite J. Elle peut s'accompagner d'une jaunisse 87)La niche gastrique bénigne mise en évidence à l'examen radiologique baryté peut être caractérisée par : A. Elle présente un œdème péri-ulcéreux radio-transparent B. Elle ne dépasse pas le contour gastrique (niche en retrait) C. Elle ne présente pas d'œdème péri-ulcéreux D. Elle a une base d'implantation large et irrégulière E. Elle est généralement grande F. Elle dépasse le contour gastrique G. Les dimensions de la niche sont supérieures à 3 cm H. Les bords de la niche sont réguliers I. Les plis gastriques sont convergent vers la niche J. Les dimensions sont petites 88)Relatif à la topographie de l'abdomen : A. Le pancréas se situe au niveau de l'épigastre B. Au niveau de l'hypochondre gauche se trouve le lobe droit du foie C. Au niveau de l'hypochondre droit se trouve le rein gauche D. Au niveau du flanc droit se projette le côlon transverse E. Le caecum est situe au niveau de la fosse iliaque droite F. Au niveau de la fosse iliaque droite se trouve le rein droit G. La grosse masse de l'intestin grêle se trouve au niveau mésogastrique H. Le pancréas est situé au niveau de la fosse iliaque gauche I. Au niveau de la fosse iliaque gauche, on trouve le côlon sigmoïde J. Au niveau de l'hypochondre droit se trouve la vésicule biliaire 89)Les suivantes sont des caractéristiques cliniques spécifiques à la maladie ulcéreuse : A. La douleur est rythmée par les repas B. La "grande périodicité" de la douleur C. La douleur est localisée dans le flanc gauche D. Douleur localisée au niveau de l'épigastre E. Elle n'y a pas de "petite périodicité" F. Elle est accompagne de boulimie G. La douleur este accentue après l'ingestion d'alcalines 24 H. La douleur este accentue après l'ingestion dʼalimentes acides I. La "petite périodicité" J. Elle n'y a pas de "grande périodicité" 90)Les suivantes sont vraies pour l'examen de langue: A. La glossodynie est la sensation de brûlure de la langue B. La langue de framboisée apparaît dans la scarlatine C. Langue dépapillée : lisse, brillante, rouge - apparaît chez le patients avec candida albicans D. La langue framboise apparaît dans les maladies fébriles, la déshydratation E. Le muguet buccal apparaît chez les patients qui respirent par la bouche (polypes nasaux) F. La glossodynie est la réduction du nombre de mictions, inférieure à 3/24 heures G. La macroglossie est l'augmentation du volume de la langue H. Langue dépapillée : lisse, brillante, rouge - apparaît dans l'anémie de Biermer I. La macroglossie est la langue recouverte d'une couche jaune blanchâtre J. La langue sèche ou grillée se rencontre dans les déshydratations massives 91)Les suivantes peuvent être pathologiques à l'examen dentaire: A. La parodontite ne se produit pas dans le diabète sucrée B. La microdontie ne représente pas un changement de volume et d'apparence C. Des anomalies d'implantation surviennent dans la syphilis congénitale D. La macrodontie représente une augmentation de volume E. La macrodontie ne représente pas un changement de volume et d'apparence F. Les caries dentaires figurent également parmi les aspects pathologiques G. La triade de Hutchinson comprend : malformations dentaires (dents de Hutchinson, petites et avec des stries transversales et longitudinales), de lésions oculaires (kératite) et surdité labyrinthique), dans la syphilis congénitale H. La parodontite représente des anomalies d'implantation des dents I. La triade de Hutchinson comprend : malformations dentaires et epistaxis J. La parodontite se caractérise par la perte spontanée des dents 92)Les suivantes sont vraies pour la sémiologie de l'œsophage : A. L'examen radiologique baryté et l'endoscopie digestive haute sont des méthodes d'exploration de l'œsophage B. Le pyrosis est la sensation de brûlure rétrosternale C. Le syndrome œsophagien comprend uniquement la dysphagie D. Globus hystericus représente la sensation d'une boule dans la gorge entre les repas (fausse dysphagie) E. Le pyrosis est l'élimination des gaz de l'estomac par la bouche F. Le syndrome œsophagien comprend la dysphagie, la douleur et la régurgitation G. La méthode la plus utilisée pour explorer l'œsophage est l'échographie abdominale H. L'éructation est l'élimination des gaz de l'estomac par la bouche I. Cela représente une difficulté à avaler des aliments J. L'éructation est la sensation douloureuse rétrosternale à caractère brûlant 25 93)Le reflux gastro-œsophagien : A. L'examen objectif est normalement le plus souvent B. La perte de poids est fréquemment associée au pyrosis dans le reflux gastro-oesophagien C. Les symptômes les plus importants sont le pyrosis et les régurgitations acides D. A l'examen clinique objectif on retrouve une hépato-splénomégalie E. C'est une condition fréquente F. Il représente le retour du contenu gastrique dans l'œsophage G. L'examen radiologique baryté ne permet pas de mettre en évidence un reflux gastro oesophagien H. Le scanner est l'examen de choix I. Le symptôme de base est la dysphagie J. L'une des causes de cette affection est la hernie hiatale 94)Les plus fréquentes causes de douleurs abdominales gastro-intestinales sont : A. Rayonnement des douleurs antérieurs et diabète sucré B. Appendicite aiguë C. Intoxication alimentaire D. Infarctus rénal E. Colique néphrétique F. Pneumonie G. Infarctus du myocarde H. Ulcère duodénal perforé I. Ulcère gastrique perforé J. Occlusion intestinale 95)Les maladies suivantes sont causes des douleurs abdominales chroniques intermittentes: A. Péritonite primitive B. Ulcère gastrique non compliqué C. Gastrite chronique D. Ulcère duodénal non compliqué E. Pancréatite aiguë F. Pancréatite chronique G. Infarctus du myocarde H. Maladie de reflux gastro-oesophagien I. Ulcère gastrique ou duodénal perforé J. Appendicite aiguë 96)Concernant l'inspection de l'abdomen, on peut affirmer que : A. Le patient est examiné uniquement en orthostatisme B. Le nombril apparaît comme une cicatrice légèrement déprimée C. Le patient est examiné en décubitus latéral droit D. L'inspection se fait avec le patient habillé E. On peut constater la participation de lʼabdomen aux mouvements respiratoires F. Le patient est examiné en décubitus dorsal G. Le patient peut être examiné en position verticale H. A l'inspection, les membres inférieurs ne sont pas fléchis 26 I. Le patient doit être déshabillé pour exposé l'abdomen J. Chez les nouveau-nés et les enfants, l'abdomen est convexe, chez les adultes, il est plat 97)L'augmentation de volume de l'abdomen apparaît dans: A. Ascite B. Méningite tuberculeuse C. Grossesse D. Zona Zostère E. Tumeurs massives F. Maladie de reflux gastro-œsophagien G. Flatulence H. Obésité I. Sténose pylorique J. Alopécie 98)Lors de la palpation de l'abdomen : A. La palpation est uniquement bimanuelle B. Les mains doivent être froides C. La palpation commence à partir de l'hypochondre droit/gauche D. La palpation part d'une zone douloureuse E. Le médecin se place à droite du patient F. La palpation commence à partir de la fosse iliaque gauche/droite dans le sens des aiguilles d'une montre ou dans le sens inverse des aiguilles d'une montre G. La palpation commence dans la fosse iliaque opposé à la région douloureuse H. La palpation peut être monomanuelle ou bimanuelle I. Il est recommandé d'avoir les mains chaudes pour éviter la contracture réflexe de la paroi abdominale J. Le médecin est assis à gauche du patient 99)La palpation de l'abdomen : A. La contraction de la paroi abdominale est indépendante de la volonté du patient B. La contracture de la paroi abdominale cède à la palpation C. La contracture de la paroi abdominale ne cède pas à la palpation D. La contraction de la paroi abdominale dépend de la volonté du patient E. Elle commence par une palpation superficielle et est poursuit par une palpation profonde F. Lors de la palpation de l'abdomen, seule une palpation profonde est effectuée G. La défense musculaire dépend de la volonté du patient H. La défense musculaire ne cède pas à la palpation persistante et ne dépend pas de la volonté du patient I. La défense musculaire représente un degré légère de rigidité de la paroi abdominale qui cède à la palpation persistante J. La défense musculaire représente un haut degré de rigidité de la paroi abdominale 100)À propos de la palpation de l'abdomen : A. L'abdomen en bois représente la défense musculaire et non la contracture généralisée de la paroi abdominale 27 B. La palpation profonde nous donne des informations sur l'état de la paroi abdominale, des zones sensibles ou de résistance C. La palpation profonde nous donne des rapports sur les organes intra-abdominaux et leurs conditions D. Chez les femmes multipares et les personnes âgées, l'abdomen est flasque E. Lors de la palpation superficielle et profonde, le médecin regard vers le thorax du patient F. La palpation superficielle nous donne des informations sur les organes intra-abdominaux et leurs conditions G. La paroi abdominale est souple, élastique, indolore H. La palpation profonde est pratiquée avant la palpation superficielle I. La palpation superficielle nous donne des informations sur l'état de la paroi abdominale, des zones sensibles ou de résistance J. Lors de la palpation, le regard du médecin suit les expressions faciales du patient 101)La percussion de l'abdomen : A. Elle peut déterminer un son hypersonore en cas dʼascite B. Elle peut déterminer un son matte en cas dʼune tumeur solide C. Elle peut déterminer un son matte en cas de liquide dʼascite D. Il peut fournir des informations liées à la présence d'un processus pathologique (liquide, tumeurs) E. Elle peut déterminer un son matte dans lʼhypogastre en cas de globe vésical F. La percussion ne peut pas fournir d'informations liées à la présence d'une tumeur abdominale G. La percussion est réalisée seulement au niveau de la fosse iliaque droite/gauche H. La présence de liquide dans la cavité abdominale ne peut pas être mise en évidence par percussion I. La percussion de l'abdomen produit normalement un son tympanique J. La percussion de l'abdomen produit normalement un son matte 102)Les suivantes sont vraies concernant la percussion de l'abdomen: A. Dans le cas de lʼascite on constate hypersonorité déplaçable sur les flancs B. L'hypersonosité peut être trouvée chez les patients présentant une ascite C. Dans des conditions normales, la percussion de l'abdomen produit un son tympanique D. Dans des conditions pathologiques, la matité peut être trouvée dans les tumeurs volumineuses E. Dans des conditions pathologiques, la matité peut être trouvée chez les patients présentant une ascite F. Dans le cas de lʼascite on constate matité déplaçable sur les flancs G. Dans des conditions normales, la percussion de l'abdomen produit un son non tympanique H. Dans des conditions pathologiques, la matité peut être trouvée dans le pneumopéritoine I. L'hypersonorité peut être trouvée chez les patients atteints de globe vésical J. L'hyper sonorité peut être retrouvée dans le pneumopéritoine 103)Les suivantes sont vraies concernant lʼulcère gastroduodénal: A. La localisation de la douleur est plus fréquente dans lʼhypogastre B. Lʼintensité de la douleur est variable C. La rythmicité est une caractéristique de la douleur ulcéreuse. D. La fièvre est le symptôme cardinal 28 E. Le siège de la douleur est le plus souvent épigastrique F. Il nʼy a pas de périodes dʼacalmie dans la douleur ulcéreuse G. La périodicité est une caractéristique importante de la douleur H. La douleur des ulcères gastriques ou duodénaux survient immédiatement après lʼaccouchement I. Lʼintensité de la douleur nʼest présente que sous forme de brûlure J. La douleur est le symptôme cardinal 104)Le signe de vague ou du flot : A. Le médecin palpe l'hypochondre droit tout en percutant l'hypochondre gauche B. Il représente la percussion de la rate C. Il se fait par lʼauscultation de l'abdomen D. Un assistant place le bord ulnaire de la main au milieu de l'abdomen pour limiter la transmission de l'onde par le tissu gras E. Il représente la méthode mixte palpation-percussion (signe d'onde trans-abdominale) F. L'examinateur percute sur un flanc tout en palpant le flanc opposé G. Il représente une méthode de percussion et palpatoire pour le thorax H. C'est une méthode spécifique pour les coliques néphrétiques I. On le constate en présence de liquide dans la cavité abdominale J. Grâce à cette méthode, nous détectons la transmission dʼune onde par le liquide péritonéal 105)Les suivantes sont vraies concernant les maladies gastriques : A. L'ulcère duodénal survient plus fréquemment après l'âge de 50 ans B. Le cancer gastrique survient 3 fois plus fréquemment chez les femmes que chez les hommes C. Les repas irréguliers et la consommation excessive en épices aggravent l'évolution des maladies gastriques D. L'ulcère duodénal est plus fréquent chez les jeunes entre 20 et 45 ans E. L'ulcère gastrique est plus fréquent chez les femmes F. L'ulcère duodénal et le cancer gastrique sont plus fréquents chez les hommes G. Le cancer gastrique survient fréquemment chez les jeunes H. Le tabagisme et la consommation d'alcool n'influencent pas l'évolution des maladies gastriques I. Le cancer gastrique apparaît généralement après 50 ans J. L'ulcère duodénal survient plus fréquemment chez les personnes qui travaille en stress 106)La douleur en ulcère gastroduodénale : A. La douleur n'irradie jamais vers le dos B. La localisation de la douleur est plus fréquente au niveau du flanc gauche et de la fosse iliaque droite C. L'intensité de la douleur varie en fonction de l'atteinte gastrique D. Les aliments excessivement épicée soulage la douleur E. Les médicaments alcalins aggravent la douleur F. La douleur peut irradier dans le dos vers le rachis G. L'intensité de la douleur dans le cancer gastrique et l'ulcère peptique non compliqué est la même 29 H. Le siège est dans la région épigastrique I. Dans l'ulcère duodénal perforé, la douleur est violente "coup de poignard" J. Dans les crises ulcéreuses, il prend l'aspect de coliques 107)Ulcère peptique : A. Il n'y a pas de périodes d'accalmie dans l'ulcère peptique B. La douleur est le plus souvent localisée au niveau de l'hypochondre droit C. La douleur est située au niveau de l'épigastre D. L'anamnèse est l'élément principal pour établir le diagnostic E. La rythmicité est une caractéristique importante qui peut orienter le diagnostique vers l'ulcère duodénal ou l'ulcère gastrique F. Le pyrosis est le symptôme cardinal G. L'anamnèse ne nous donne pas d'informations pour le diagnostic H. L'examen radiologique baryté permet d'établir le diagnostic I. La douleur est le symptôme cardinal J. L'examen endoscopique n'est pas utile pour le diagnostic d'ulcère peptique 108)La diarrhée : A. Le néoplasme du côlon peut être l'une des causes digestives B. L'examen coproparasitologique, coproculture, sont des investigations paracliniques obligatoires C. Les causes de la diarrhée sont uniquement d'origine digestive D. Elle représente l'élimination fréquente des selles non formées E. Les douleurs abdominales ne sont pas associées à un transit intestinal accéléré F. Le néoplasme du côlon est rarement associé aux troubles du transit G. Parmi les causes extra-digestives on trouve : causes nerveuses (émotionnelles), endocriniennes (maladie de Basedow) H. La perte de poids associée à un transit intestinal accéléré récemment établi n'est pas un symptôme alarmant I. L'endoscopie digestive haute est la méthode d'investigation du côlon J. Une méthode d'investigation en cas de diarrhée chronique est représentée par l'endoscopie digestive basse 109)La constipation : A. La sensation de plénitude abdominale peut être associée à la constipation B. Représente l'évacuation retardée du contenu du gros intestin (plus de 48 heures) C. La constipation récemment établie avec des éléments pathologiques (mucus et sang) représente une urgence pour la réalisation d'une coloscopie D. Les douleurs abdominales sont rarement détectées lors de l'examen clinique objectif E. Des douleurs abdominales soulagées par la défécation suggère le diagnostique de néoplasme du colon F. La perte de poids, les saignements rectaux associés à la constipation ne sont pas des symptômes alarmants G. Des douleurs abdominales soulagées par la défécation plaident en faveur du diagnostic de syndrome du côlon irritable 30 H. La constipation ne peut pas être la cause dʼune maladie hémorroïdale I. Représente l'évacuation rapide du contenu du gros intestin (moins de 12 heures) J. Les flatulences abdominales peuvent être associées à la constipation 110)La palpation du foie : A. La palpation se fait uniquement par la méthode monomanuelle B. Le médecin est placé à droite du patient C. La surface du foie est irrégulière dans un état normal D. Elle se fait par des méthodes monomanuelle et bimanuelle E. La position d'examen est en décubitus dorsal, les cuisses fléchies sur l'abdomen F. Au cours de cette manœuvre, le patient respire profondément G. Quand on palpe avec un seul main, le foie est frappé avec les doigts H. Les procédures monomanuelles sont représentées par : la procédure de Gilbert et la manoeuvre de Murphy I. Le médecin est placé à gauche du patient J. Normalement, seule la surface du lobe gauche du foie peut être palpée 111)La percussion du foie : A. L'augmentation de la matité du foie ne se produit pas dans l'hépatomégalie B. Le bord inférieur du foie est déterminé en percutant de haut en bas depuis le niveau de l'hypochondre gauche jusqu'au flanc et la fosse iliaque gauche C. La diminution de la matité du foie est constatée dans l'atrophie du foie produit dans la cirrhose du foie D. Elle est utilisée pour déterminer la limite supérieure du foie E. Elle n'est plus pratiquée en pratique clinique F. Elle constata un son matte G. Le bord supérieur du foie est situé sur la ligne parasternale et mamelonnaire dans l'espace intercostal V, sur la ligne axillaire antérieure au niveau de la côte VII et sur la ligne scapulaire au niveau de la côte X H. On peut détecter le déplacement vers le bas de la matité du foie en cas de lʼemphysème pulmonaire I. Elle est utilisée pour déterminer uniquement la limite inférieure du foie J. On frappe légèrement, du haut vers le bas sur la ligne parasternale, mamelonnaire, axillaire et scapulaire 112)LʼAscite : A. A l'examen clinique objectif le de liquide d'ascite ne peut jamais être détectée B. La percussion de l'abdomen n'apporte pas d'éléments diagnostiques C. Le syndrome néphrotique est la cause la plus fréquente de liquide d'ascite D. L'échographie abdominale montre un liquide d'ascite E. Seul le scanner abdominal peut mettre en évidence la présence de liquide d'ascite F. Le signe de la vague et la matité mobile sur les flancs mettent en évidence la présence de liquide d'ascite G. L'inspection révélera un abdomen élargi H. La cirrhose du foie est la cause la plus fréquente d'ascite I. Il est défini comme la présence de couleur jaune dans la peau et la sclérotique 31 J. Elle est définie comme une accumulation de liquide libre dans la cavité péritonéale 113)Lors de l'examen clinique dans la cirrhose du foie on peut retrouver : A. Excavation de l'abdomen due à la présence de liquide d'ascite B. Zona Zoster C. Maladie de Dupuytren en cas d'étiologie alcoolique D. Angiomes stellaires, télangiectasies E. Cicatrices abdominales F. Hernies abdominales fréquemment associées à une ascite G. Ongles blancs, doigts d'Hippocrate H. Maladie de Dupuytren en cas d'étiologie virale I. Etat nutritionnel toujours normal J. Érythème palmaire, ecchymoses, purpura, hématomes 114)Lors de l'inspection de l'abdomen : A. On peut observer l'élargissement de l'abdomen global ou partiel B. Sur la paroi abdominale on peut détecter des formations nodulaires (lipomes, métastases) C. On peut observer des cicatrices postopératoires D. Le patient est examiné en décubitus ventral E. La jaunisse n'est jamais présente sur la peau abdominale F. L'augmentation de volume de l'abdomen ne peut être que partielle - en cas de flatulence localisée G. En cas d'hernies et d'abcès, il est interdit de recommander au patient de tousser H. On peut observer la couleur de l'abdomen I. Les signes de Cullen et de Gray Turner sont spécifiques des coliques biliaires (non c’est dans les pancréatites) J. On peut observer des éruptions (zona, maladies infectieuses-contagieuses) 115)Les suivantes sont vraies concernant la sémiologie des douleurs abdominales : A. La durée de plusieurs heures est spécifique pour une colique abdominale B. Dans les conditions abdominales graves, l'intensité est souvent augmentée C. Dans la colique biliaire, l'irradiation est fréquente au niveau de l'épaule droite D. Une anamnèse détaillée nʼa aucune valeur pour établir un diagnostic E. Dans l'ulcère duodénal, l'irradiation est fréquente au niveau de la fosse iliaque droite F. La localisation de la douleur nʼa aucune importance pour établir l'organe affecté G. La localisation de la douleur nous donne des informations sur l'organe affecté H. Une anamnèse complète et approfondie de la douleur est importante pour établir un diagnostic précis I. Dans la colique biliaire, l'irradiation est fréquente au niveau de l'épaule gauche J. La douleur abdominale ne peut pas traduire une maladie digestive sévère 116)Les suivantes sont vraies concernant l'hématémèse : A. Il n'est pas possible de faire un diagnostic différentiel avec une épistaxis de déglutition B. La formule sanguine n'est pas réalisée en cas d'hématémèse C. Elle peut être associée à des douleurs abdominales, des nausées et des vomissements D. A l'examen clinique objectif, la pâleur des téguments et des muqueuses peut être mise en 32 évidence E. Elle peut être retrouvé après la consommation d’anti-inflammatoires F. L'endoscopie digestive basse est l'examen le plus important G. L'hématémèse est différente de l'hémoptysie, qui représente du sang rouge aéré expulsé par la toux H. Elle présente sous la forme de vomissements avec du sang I. C'est l'expression d'une hémorragie digestive basse J. Il représente l'expulsion du sang rouge aéré, par la toux 117)Parmi les causes d'hématémèse on peut trouver : A. Ulcère gastrique B. L'asthme bronchique C. Goutte D. Diverticule colique E. Cancer de l'estomac F. Cancer œsophagien G. Ulcère duodénal H. Cancer du colon I. Otite J. Varices œsophagiennes 118)Au niveau de l'hypocondre droit on trouve : A. La vésicule biliaire B. Le rein droit C. Le côlon sigmoïde D. Le foie E. Le rein gauche F. Le duodénum G. Lʼutérus H. Le pancréas I. La rate J. Lʼangle droit du colon 119)Au niveau de l'hypochondre gauche on trouve : A. La rate B. La queue de pancréas C. La grande masse de l'intestin grêle D. La vésicule biliaire E. La grande tubérosité gastrique F. Le colon sigmoïde G. La prostate H. L'angle gauche du côlon I. Le rein gauche J. Le rein droit 33 120)Topographie de l'abdomen : A. La division topographique de l'abdomen nous aide à localiser les modifications constatées à lʼexamen objectif B. Le flanc gauche comprend le lobe droit du foie et la vésicule biliaire C. La division est faite par 3 lignes verticales et 2 horizontales D. La division est faite par 2 lignes verticales et 2 lignes horizontales E. Lʼabdomen est divisé en 3 zones topographiques F. Au niveau de la fosse iliaque gauche, on trouve le côlon sigmoïde G. Le pancréas est situé au niveau de l'hypogastre H. La division est faite par une ligne horizontale et une ligne verticale I. L'abdomen Superior comprend: l'hypochondre droit, l'hypochondre gauche et l'épigastre J. Il est divisé en 9 zones topographiques 121)À propos du syndrome ulcéreux : A. L'incidence est significativement plus élevée chez les patients du groupe sanguin 0 (I) B. Le terme ulcère gastrique ou duodénal désigne l'existence d'une ulcération C. Il représente une perte de substance qui ne concerne pas la muqueuse et les muscles de l'estomac ou du duodénum D. Le facteur héréditaire n'est pas impliqué dans la pathologie ulcéreuse E. L'incidence est significativement plus faible chez les patients du groupe 0 (I) F. Il est synonyme d'ulcère peptique G. La constipation est le symptôme cardinal H. Il existe des preuves liées à l'hérédité de l'ulcère duodénal I. Elle représente une perte de substance qui affecte les muqueuses et muqueuses de la muqueuse gastrique ou duodénale J. Le stress mental et physique, les anti-inflammatoires sont des facteurs d'atténuation du syndrome ulcéreux 122)La douleur dans le syndrome de l'ulcère : A. L'apparition de douleurs à un certain intervalle après le repas est une caractéristique importante du syndrome ulcéreux B. La constipation survient dans la grande majorité des cas d'ulcère gastrique C. L'intensité peut être sous la forme d'une crampe D. A l'examen clinique objectif, il existe une sensibilité à la palpation de l'hypogastre E. Après l'installation d'une hémorragie digestive, la douleur ulcéreuse ne s'atténue pas F. Elle est présente dans presque tous les cas G. L'intensité peut être sous la forme d'une brûlure H. La douleur est diminue quand lʼulcère se complique avec la perforation I. La douleur ne survient pas chez les patients avec ulcère J. Après l'installation d'une hémorragie digestive, la douleur ulcéreuse disparaît 123)Concernant la dysphagie, on peut dire que : A. Selon le siège, elle est classée en dysphagie oropharyngée, de transport, œsogastrique 34 B. Selon la localisation, il existe 2 classifications : transport et œsogastrique C. La cause de la dysphagie peut être évaluée par un examen radiologique baryté D. La dysphagie Lusoria désigne une compression de l'œsophage par le liquide pleural E. La cause peut être évaluée par endoscopie digestive haute F. On peut avoir un blocage complet et ou incomplet G. Elle est toujours incomplète H. Elle apparaît pour les aliments liquides et solides I. Elle n'apparaît que pour les liquides J. Si elle est installée brutalement et est associée à une perte de poids importante, on pense à une maladie de reflux gastro oesophagien 124)Les suivantes sont vraies lié à l'examen du pharynx : A. L'angine ulcéreuse est une variante plus légère de l'angine érythémateuse B. L'angine ulcéreuse comprend des ulcères ovales superficiels sur les amygdales (fièvre typhoïde) C. L'angine érythémateuse représente la présence de fausses membranes gris-blanches (scarlatine, couleurs primaires et secondaires) D. L'angine pultacée est une variante plus sévère de l'érythémateuse, elle peut être cryptique et folliculaire E. L'angine pultacée représente une rougeur de l'oropharynx et des amygdales hypertrophiques F. L'angine pseudo-membraneuse représente la présence de fausses membranes gris-blanc (scarlatine, lueurs primaires et secondaires) G. L'angine érythémateuse représente une rougeur de l'oropharynx et des amygdales hypertrophiques (infection par le streptocoque bêta-hémolytique) H. L'angine herpétique comprend des ulcères ovales superficiels sur les amygdales (fièvre typhoïde) I. L'angine herpétique est représenté par de nombreuses vésicules herpétiques au niveau de l'oropharynx J. L'angine nécrotique est représentée par de nombreuses vésicules herpétiques au niveau de l'oropharynx 125)La nausée: A. Elle ne s'accompagne jamais de vomissements B. Elle représente un sentiment de répulsion de la nourriture C. Il n'apparaît que dans les troubles digestifs D. C'est le symptôme cardinal du reflux gastro-œsophagien E. Elle peut aussi être déclenchée par un mécanisme purement psychologique F. Il peut être déclenché par la palpation abdominale G. Il peut apparaître dans la plupart de maladies digestives H. Elle précède la régurgitation I. Elle peut précéder les vomissements J. Elle se traduit par le besoin de vomir, ressenti au niveau du pharynx ou de l'épigastre 126)Flatulences abdominales : A. Elle peut être localisée ou généralisée 35 B. Il ne représente pas une cause d'augmentation de volume de l'abdomen C. Il ne peut pas être généralisé D. Il peut apparaître seulement à jeun E. L'intensité peut être légère, modérée et intense F. A l'inspection, on peut voir l'augmentation de volume de l'abdomen G. A lʼauscultation de l'abdomen, on constate un silence absolu H. Elle représente l'augmentation du volume gazeux du tube digestif I. Elle peut apparaître post prandiale (précoce et tardive) ou permanente J. A la percussion de l'abdomen, le tympanisme n'apparaît pas 127)La palpation profonde de l'abdomen : A. La position du patient sera en décubitus latéral droit B. Le foie ne peut jamais être palpé C. La palpation profonde se fait doucement, progressivement D. Nous donne des informations sur les organes intra-abdominaux E. Elle se pratique après la palpation superficielle F. On obtient des informations sur l'état de la paroi abdominale G. Normalement, la rate nʼest pas palpable H. Dans des conditions pathologiques, on peut détecter des tumeurs intra-abdominales I. Les formations tumorales ne peuvent pas être mises en évidence par une palpation profonde J. Normalement on peut sentir la rate 128)En ce qui concerne le reflux gastro-oesophagien, nous pouvons dire: A. Des régurgitations acide sont possible B. Lʼexamen objectif est normal C. La douleur précordiale est le symptôme cardinal D. Un facteur favorable peut être lʼobésité E. À lʼinspection du thorax, nous rencontrons emphysème thorax F. Cʼest un trouble digestif fréquent G. Le pyrosis est présent H. Il ne vient jamais après les repas ou après lʼingestion de liquides chauds I. Il y a souvent des lombalgies J. Cʼest une condition digestive rare 129)On peut dire à propos de la palpation du foie: A. Augmentation du volume hépatique (hépatomégalie) en cas de cirrhose atrophique B. La surface du foie est lisse et régulière dans un état normal C. La surface du foie est lisse et régulière dans la cirrhose du foie D. La consistance du foie est molle dans la cirrhose du foie E. La consistance du foie est dure dans la dégénérescence graisseuse F. La consistance du foie est dure dans la cirrhose du foie G. La surface est irrégulière dans la cirrhose du foie H. La consistance du foie est mou dans la dégénérescence graisseuse 36 I. La surface est irrégulière dans le foie normal J. Augmentation du volume hépatique (hépatomégalie) dans la cirrhose du foie 130)Concernant les symptômes digestifs, il est vrai que : A. La rumination est secondaire à l'augmentation de la quantité d'air dans l'estomac B. La régurgitation représente la sensation douloureuse de brûlure rétrosternale C. La régurgitation est le reflux de nourriture de l'œsophage ou de l'estomac dans la bouche D. Lʼéructation survient suite à l'augmentation de la quantité d'air dans l'estomac (aérophagie, sténose pylorique) E. Lʼéructation est l'élimination des gaz dans la bouche F. La régurgitation est précédée de nausées G. La flatulence c'est mâcher le contenu régurgité H. La rumination est l'élimination des gaz dans la bouche I. La rumination consiste à mâcher le contenu régurgité et à l'avaler à nouveau J. La régurgitation n'est pas accompagnée de nausées 131)Le reflux gastro-œsophagien: A. La prévalence la plus élevée est chez les femmes B. Le diagnostic ne peut être établi que cliniquement C. La cause la plus fréquente est une hernie hiatale D. Les tumeurs abdominales géantes ne peuvent pas provoquer de reflux gastro-oesophagien E. La prévalence augmente avec l'âge F. Il présente des symptômes typiques et atypiques G. Le tabagisme n'est pas un facteur de risque de reflux gastro-oesophagien H. Toute augmentation de la pression intra-abdominale peut provoquer un reflux I. La prévalence est plus élevée chez les hommes J. Il survient le plus souvent chez les enfants et les jeunes 132)Parmi les symptômes typiques du reflux gastro-oesophagien, on retrouve : A. Les éructations B. Lʼodynophagie C. Sialorrhée D. Les régurgitations acides E. Laryngospasme F. La toux G. Le pyrosis H. Brûlures de la muqueuse buccale I. Lʼabcès pulmonaire J. Douleur cervicale 133)Parmi les symptômes atypiques (extra-oesophagiens) du reflux gastro-oesophagien, on trouve : A. La dysphagie B. La régurgitation alcaline C. La dysphonie D. La régurgitation acide 37 E. La nausée F. La gingivite G. Les érosions dentaire H. La sensation de corps étranger I. La douleur thoracique non cardiaque J. Le vomissement 134)Dans le reflux gastro-oesophagien : A. L'existence d'une hernie hiatale ne peut pas être mise en évidence à l'examen radiologique baryté B. Les symptômes atypiques sont représentés par des éructations et une sialorrhée C. Les symptômes d'alarme sont la perte de poids D. Les symptômes dus aux complications du reflux sont représentés par la dysphagie E. La dysphagie et la perte de poids ne nécessitent pas d'endoscopie digestive haute F. La toux n'apparaît pas comme un symptôme atypique du reflux gastro-oesophagien G. Le pyrosis et les régurgitations acides sont des symptômes typiques de cette affection H. L'examen radiologique baryté n'est pas réalisé en présence de dysphagie I. La surveillance du pH œsophagien est utile pour le diagnostic J. L'endoscopie digestive haute est indiquée pour tous les sujets qui présentent des symptômes d'alarme 135)Les troubles mictionnelle sont: A. Dysurie B. Pollakiurie C. Perte de poids D. Polyurie E. Insuffisance rénale F. Miction impérieuse G. Douleur à la miction H. Polyphagie I. Pseudo-pollakiurie J. Polydipsie 136)Les troubles de la diurèse: A. Polyurie B. Pollakiurie C. Miction impérieuse D. Dysurie E. Anurie F. Polyphagie G. Nycturie H. Douleurs a la miction I. Oligo-anurie J. Ils peuvent être accompagnés de symptômes généraux 137)Lʼexamen de lʼappareille urinaire : A. Il peut être utilisé chez tous les patients 38 B. Cʼest un manœuvre objectif de lʼexamen C. Ça peut être un symptôme urinaire D. Il se compose souvent de palpation et de percussion E. Cʼest une méthode exploratoire F. Cʼest un examen dʼurine G. Il est utilisé régulièrement pour les maladies rénales H. Cʼest un trouble de miction I. Se réfère à toutes les régions du système urinaire J. Il est utilisé pour lʼappareil cardiovasculaire 138)LʼUroculture représente: A. Une méthode dʼinvestigation de la dysurie B. Un symptôme C. Un signe D. Peut dépister la présence dʼune infection urinaire E. Une exploration de lʼappareil rénal F. Une analyse microbiologie de laboratoire G. Culture et analyse des preuves dʼurine H. Augmentation de la glycémie sanguine I. Une variante de position J. Un trouble psychique 139)Exploration complémentaire de lʼappareil rénal : A. Echographie pelvienne B. Examen biochimique sanguin C. Analyse microbiologique D. Electrocardiographie E. Echographie cardiaque F. Examen biochimique urinaire G. Scanner H. Inspection des globes oculaires I. Mesure du pli cutané J. Récolte de tissu 140)La colique rénale a les caractéristiques suivantes A Rayonnement des douleurs antérieures et inférieures, dans lʼabdomen, sur la face interne de la cuisse B. Résolution au Salbutamol C. Précipité par les vibrations, les ondes du choc D. Résolution aux médicamentes antispasmodiques E. Résolution aux antiacides F. Précipité dʼaliments acides G. La douleur est fréquemment sévère H. Douleur dans lʼhypocondre I. Précipité dʼaliment riche en gras J. Douleur dans la région lombaire 39 141)Symptômes et signes végétatifs associés aux coliques rénales sont: A. Tachycardie B. Râles sifflants C. Toux D. Frottement pleurale E. Expectoration sanguinolente F. Vomissement G. Nausées H. Transpiration I. Hypotension artérielle J. Frottement péricardique 142)La polyurie est un symptôme de: A. Diabète insipide B. Ulcère duodénal C. Vésicule biliaire D. Insuffisance cardiaque E. Consommation excessive dʼalcool, de café F. Diabète sucré G. Cirrhose du foie H. Insuffisance rénale chronique au début I. Cholécystite aiguë J. Hypercalcémie 143)Lʼoligurie est un symptôme de : A. Septicémie B. Cancer gastrique C. Stades terminaux de lʼinsuffisance rénale chronique D. Hépatite chronique E. Reflux gastro-œsophagien F. Administration de médicaments néphrotoxiques G. Utilisation de substances radio-opaques H. Bronchite chronique I. Insuffisance cardiaque J. Emphysème pulmonaire 144)Lʼanurie est un symptôme de : A. Insuffisance cardiaque B. Cancer du poumon C. Péricardite D. Administration de médicaments néphrotoxiques E. Utilisation de substances radio-opaques F. Septicémie 40 G. Insuffisance respiratoire H. Cancer du côlon I. Stades terminaux de lʼinsuffisance rénale chronique J. Infarctus aigu du myocarde 145)La nycturie est un symptôme de : : A. Cancer gastrique B. Infections urinaires C. Cancer de la prostate D. Tumeur bénigne de la prostate E. Emphysème pulmonaire F. Cancer de lʼœsophage G. Asthme bronchique H. Insuffisance cardiaque I. Cancer du foie J. Diabète sucré 146)La pollakiurie est un symptôme de: A. Occlusion intestinale B. Tumeur maligne de la prostate C. Vésicule biliaire D. Tumeur bénigne de la prostate E. Lithiase vésicale F. Cirrhose du foie G. Cancer gastrique H. Enceinte dans le troisième trimestre I. Infections urinaires J. Péritonite 147)La dysurie est un symptôme de : A. Maladie hémorroïdaire B. Cancer du poumon C. Infections urinaires D. Hépatite chronique E. Sténose urétrale F. Infections génitales G. Prostatite H. Lithiase rénale I. Cancer du foie J. Tuberculose pulmonaire 148)Lʼincontinence urinaire est un symptôme de : A. Infections urinaires bas B. Médicaments psychiatriques, hypnotique C. Cirrhose du foie D. Troubles neurologiques 41 E. Bronchite chronique F. Lithiase rénale G. Vésicule biliaire H. Péritonite I. Adénome péri urétral J. Ménopause 149)La rétention dʼurine est un symptôme de : A. Bronchite chronique B. Cancer de la prostate C. Tumeur urétrale D. Ulcère gastrique E. Cancer de lʼœsophage F. Médicaments psychiatriques (antidépresseurs, antipsychotiques) G. Cancer rénal H. Hépatite chronique I. Tumeur bénigne de la prostate J. Prostatite 150)Lʼhématurie est un symptôme de : A. Hépatite chronique B. Tuberculose urinaire C. Lithiase rénale D. Ulcère duodénal E. Tumeurs des reins ou des voies urinaires F. Cystite hémorragique G. Glomérulonéphrite H. Hypertension artérielle I. Angine de poitrine J. Vésicule biliaire 151)Les énoncés suivants sont vrais au sujet de la palpation des reins: A. Il nʼest pas nécessaire dʼeffectuer un examen orthostatique B. Lʼexamen du décubitus dorsal est suffisant C. La palpation est effectuée avec les deux mains placées dans lʼhypochondre D. Entre les 2 mains qui font la palpation vous pouvez sentir le pôle inférieur du rein ou le rein entier E. La main droite se pose sous le rebord côtier F. Combiner la méthode de la palpation avec la percussion pour un résultat correct G. Normalement, les reins sont palpés à lʼexamen objectif H. La palpation se fait en décubitus dorsal et ensuite en orthostatisme, pour la ptose rénale I. La main gauche se pose dans la région lombaire J. La palpation est bi-manuelle 152)La palpation des reins est positive dans : : A. Pionéphrose 42 B. Rein poly kystique C. Angine de poitrine D. Insuffisance hépatique E. Hydronéphrose F. Ptose rénale G. Tumeurs rénales H. Fibrillation auriculaire I. Hypertension artérielle J. Insuffisance cardiaque 153)Ce qui suit est vrai de la manœuvre de Giordano: A. Utiliser lʼauscultation comme méthode dʼexamen B. Utiliser la palpation comme méthode dʼexamen C. Il est positif dans la lithiase rénale D. Il sʼadresse au système digestif E. Si le patient a une lithiase rénale, la manœuvre de Giordano est suivie par lʼapparition de la douleur F. Il sʼadresse au système urinaire G. Utiliser la percussion comme méthode dʼexamen H. Dans la région de lʼhypochondre, il est percuté avec le bord cubital de la main I. Il est positif en lithiase biliaire J. Dans la région lombaire, le médecin percute avec le bord cubital de la main 154)Lʼanalyse dʼurine en laboratoire est pathologique si : A. Il présente des cylindres B. Lʼuroculture est positif C. Le glucose est présent D. Protéinurie inférieure à 100 mg/l E. La valeur de la protéinurie est dessous de 75 mg/l F. Lʼaspect est claire G. Il y a des corps cétoniques H. Protéinurie inférieure à 50 mg/l I. Protéinurie inférieure à 150 mg/l J. Il existe protéinurie plus de 150mg/l 155)La rétention urinaire avec globe vésical est due à: A. Cirrhose du foie B. Tumeurs urétrales bénignes, obstructives C. Compression pelvienne par le fécalome D. Occlusion intestinale E. Tumeurs malignes obstructives urétrales F. Lésion neurologique G. Cancer du côlon H. Obstruction urétrale par calculs I. Péritonite J. La lithiase biliaire 43 156)Le syndrome néphrétique présente les symptômes et les signes suivants : A. Œdème rénal B. Œdème de Quincke C. Dysurie D. Pollakiurie E. Œdème cardiaque F. Œdème inflammatoire G. Lʼoligurie H. Symptômes de la maladie causale I. Hématurie macroscopique J. Tension artérielle élevée 157)La pyélonéphrite aiguë, syndrome interstitiel rénal le plus fréquent, présente les symptômes suivants : A. Mélaena B. Hématémèse C. Frissons D. Pollakiurie (initiale) E. Hémoptysie F. Rectoragie G. Gingivorragie H. Dysurie (initiale) I. Fièvre J. Lombalgie 158)Les complications de la lithiase rénale sont: A. Infarctus du myocarde B. Angine de poitrine C. Septicémie D. Insuffisance cardiaque E. Hydronéphrose F. Cancer de la prostate G. Pyo néphrose H. Fosse septique I. Cancer du côlon J. Insuffisance rénale aiguë/chronique 159)La rétention complète de lʼurine se caractérise par : A. Elle peut être plus fréquente chez les races jaunes B. Cʼest un trouble de la miction C. Il est perçu comme une nécessité impérative de miction D. Cʼest un examen dʼurine E. Elle sʼaccompagne dʼagitation, de malaise F. Elle peut survenir dans les ulcères duodénaux G. Cʼest une inflammation du pharynx H. Représente une augmentation des enzymes hépatiques I. Lʼexamen objectif met en évidence la présence du globe vésical 44 J. Elle est accompagnée de douleurs hypogastriques 160)La douleur angineuse se caractérise par les éléments suivants: A. Elle disparaît ou diminue avec la nitroglycérine B. Elle est favorisée par les aliments en conserve C. Elle est favorisée par le régime végétarien D. La nitroglycérine est administrée par voie orale dans les crises d'angine E. La nitroglycérine est administrée par voie sous-cutanée dans l'angine de poitrine F. Elle disparaît ou diminue au repos G. Elle est favorisée par le stress émotionnel H. Elle dure quelques minutes, jusqu'à 10 minutes, jamais plus de 20 minutes I. La nitroglycérine est administrée par inhalateur dans les crises d'angine J. La nitroglycérine est administrée par voie sublinguale dans les crises d'angine 161)La douleur angineuse a les caractéristiques suivantes: A. Elle est précipitée par les aliments acides B. Irradiation atypique dans l'épigastre C. Irradiation atypique dans la région mésogastrique D. Irradiation atypique dans l'articulation scapulo-humérale droite E. Elle est précipitée par des repas copieux F. Elle est précipitée par les épices G. Irradiation atypique dans la mandibule H. Elle est précipitée par l'effort physique I. Irradiation atypique dans l'hypogastre J. Irradiation atypique dans la région lombaire gauche 162)La douleur angineuse a les caractéristiques cliniques suivantes: A. Irradiation typique dans le flanc gauche B. Irradiation typique dans l'articulation scapulo-humérale gauche C. Irradiation typique dans la fosse iliaque gauche D. Irradiation typique jusquʼaux derniers deux doigts de la main gauche E. Elle est située dans l'hypochondre droit F. Siège dans la colonne lombaire G. Irradiation typique dans l'hypochondre gauche H. Irradiation typique sur le bord cubital du bras et de l'avant-bras gauche I. Siège précordial J. Siège rétrosternal 163)L'administration sublinguale de nitroglycérine dans les crises d'angine a les effets suivants: A. Si la douleur dure moins de 10 minutes, on pense à un infarctus aigu du myocarde B. Le test thérapeutique de la Nitroglycérine signifie la disparition ou l'atténuation de la crise angineuse après 30 minutes C. La douleur disparaît en 30 secondes -3 minutes D. Après la première administration, une bouffée supplémentaire peut être répétée après 5 minutes, si la douleur n'a pas disparu E. La douleur disparaît en 30 minutes F. Après la première administration, la deuxième dose peut être est répétée, après une heure G. Si la douleur ne disparaît pas en 20 minutes, on pense à un infarctus aigu du myocarde H. Le test thérapeutique de la Nitroglycérine signifie la disparition ou l'atténuation de la crise angineuse en 30 secondes-3 minutes après l'administration sublinguale I. La douleur disparaît au bout d'une heure 45 J. Si la douleur ne disparaît pas après 3 bouffées de Nitroglycérine, on pense à un infarctus aigu du myocarde 164)La dyspnée est: A. Un signe clinique du rétrécissement aortique sévère B. La difficulté à respirer C. Un symptôme D. Symptôme d'insuffisance cardiaque gauche E. Un symptôme majeur de pathologie cardiaque F. Un signe clinique du rétrécissement mitral sévère G. Un signe clinique H. Une perception subjective du patient I. Une maladie J. Un syndrome 165)La dyspnée paroxystique est: A. Un symptôme B. Un symptôme d'une crise d'asthme C. Un symptôme de l'asthme cardiaque D. Une dyspnée en courant E. Un symptôme dʼinsuffisance cardiaque gauche aiguë F. Un symptôme d'œdème pulmonaire aigu G. Une dyspnée au grand effort H. Un syndrome cardiaque I. Un syndrome respiratoire J. Une cardiopathie 166)Les souffles cardiaques: A. Ils sont attribués à écoulement du sang à travers un orifice valvulaire rétrécie ou sténotique B. Un souffle systolique au niveau du foyer aortique indique une sténose aortique C. Ils témoignent une angine de poitrine D. Ils sont des bruits cardiaque pathologiques qui indique une péricardite aiguë E. Ils sont des bruits normaux constatés a lʼauscultation cardiaque F. Ils sont des bruits cardiaque pathologiques qui indique une fibrillation auriculaire G. Un souffle diastolique dans le foyer mitral indique une sténose mitrale H. Sont des bruits pathologiques constatés à lʼauscultation cardiaque ( patho condition : intensité > ou = a 3/6 ) I. Ils sont des bruits cardiaque qui indique rythme anormal J. Ils sont attribués à la turbulence du flux sanguin à cause d‘une pathologie valvulaire 167)La dyspnée de classe IV NYHA signifie: A. Un syndrome respiratoire B. Dyspnée au repos C. Une cardiopathie D. La dernière classe de dyspnée dans la classification NYHA E. Un signe clinique F. Un signe clinique en pathologie cardiaque G. Un symptôme H. Une dyspnée sévère I. Un symptôme cardiaque J. Une dyspnée facile 46 168)Les propositions suivantes concernant lʼauscultation cardiaque sont vraies: A. Le premier bruit est synchrones avec le pouls B. Normalement on constate un rythme régulier C. Normalement on constate un rythme irégulier D. Normalement on constate deux bruits cardiaques E. Normalement chez lʼadulte on constate trois bruits cardiaques F. Le galop est un rythme à 3 temps qui indique une insuffisance cardiaque G. Le foyer mitral est à lʼextrémité interne du 2ème espace intercostal gauche H. Le foyer aortique est à lʼextrémité interne du 5ème espace intercostal gauche I. Le claquement dʼouverture mitrale est un bruit surajouté qui indique une sténose mitrale J. Le deuxième bruit est synchrones avec le pouls 169)Les palpitations signifient : A. Un symptôme B. Un signe clinique de la pathologie cardiaque C. Une cardiopathie D. La perception des mouvements respiratoires E. Un signe clinique F. Un symptôme d'arythmie cardiaque G. Un symptôme de pathologie cardiaque H. Une perception des battements cardiaques irréguliers I. Un syndrome cardiaque J. Une perception subjective du patient 170)La syncope signifie: A. Une maladie respiratoire B. Un symptôme respiratoire C. Un syndrome cardiaque D. Un symptôme cardiaque E. Une urgence médicale F. Un symptôme causé par la réduction marquée du flux sanguin dans le cerveau G. Une cardiopathie H. Un symptôme I. Perte de conscience J. Une attitude 171)La lipothymie se traduit par : A. On la distingue de la syncope, qui correspond à un malaise accompagné dʼune perte brutale et totale de connaissance B. Sensation d'asthénie marquée avec perte la conscience de façon incomplète C. Un symptôme de la bronchite aiguë D. Une perte totale de conscience E. Un symptôme du reflux gastro-œsophagien F. Un symptôme de la pneumonie G. Une sensation de malaise sans perte brutale et totale de connaissance. H. Une grande faiblesse le patient a souvent le temps de s'allonger pour éviter de tomber I. Un symptôme de l'emphysème pulmonaire J. La survenue brutale dʼune sensation dʼévanouissement imminent 47 172)Le choc de l'apex peut être palpé normalement: A. Avec le patient en décubitus dorsal B. Normalement dans le 6ème espace intercostal gauche C. Bimanuel D. Monomanuel E. Avec la paume de l'examinateur F. Avec le patient en orthostatisme G. Par la palpation de la région précordiale H. Avec le pouce I. Dans le 5ème espace intercostal gauche sur la ligne médio-claviculaire gauche J. Sur la ligne axillaire antérieure 173)Le pouls périphérique est: A. Composante de l'examen objectif de l'appareil respiratoire B. La valeur normale minimale est de 60 battements/minute C. La valeur normale maximale est de 120 impulsions/minute D. La valeur normale maximale est de 100 battements/minute E. Il est souvent mesuré au niveau de l'artère fémorale F. Composante de l'examen objectif du système cardiovasculaire G. La valeur normale minimale est de 40 impulsions/minute H. Normalement c'est régulier I. Normalement c'est irrégulier J. Il est souvent mesuré au niveau de l'artère radiale 174)Lʼauscultation du coeur: A. C'est une méthode d'examen clinique B. Elle constate normalement un deuxième bruit donné par la fermeture des valves aortique et pulmonaire C. C'est une méthode d'examen paraclinique D. Normalement on constate 3 bruits cardiaques E. Fréquemment, lʼauscultation du coeur se fait avec le patient en décubitus dorsal F. Elle constate normalement les bruits cardiaques rythmiques G. Elle révèle normalement un premier son donné par l'ouverture des valves mitrale et tricuspide H. Elle constate normalement, un premier bruit donné par la fermeture des valves mitrale et tricuspide I. On constate normalement des bruits cardiaques arythmiques J. Elle révèle normalement un deuxième bruit donné par l'ouverture des valves aortique et pulmonaire 175)La détermination correcte de la pression artérielle: A. Elle est effectué à la première consultation du patient aux deux bras B. Elle est exprimée en battement/min C. Elle est exprimée en cm D. Elle est réalisée en position assise E. Elle est exprimée en mmHg F. Elle peut révéler, normalement, des différences de plus de 20 mmHg entre le bras droit et le bras gauche G. La valeur du clinostatisme est suffisante H. On peut constater normalement, des différences allant jusqu'à 15 mmHg, entre le bras droit et le bras gauche I. Elle peut être réalisée en position allongée J. Elle est réalisée exclusivement sur le bras gauche du patient 48 176)La détermination de la pression artérielle en clinostatisme (position allongé) mais également dans l'orthostatisme est recommandée en particulier chez les: A. Patients atteints d'ulcère duodénal B. Lorsqu'une hypotension orthostatique est recherchée. C. Patients avec lithiase rénale D. Patients atteints de reflux gastro-œsophagien chronique E. A la premier consultation F. Patients de plus de 65 ans G. Les jeunes H. Patients diabétiques I. Personnes âgées J. Patients avec lithiase vésiculeuse 177)Les foyers d'auscultation cardiaque sont: A. Erb B. Jugulaire C. Mitral D. Fémoral E. brachial F. Pulmonai