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This document details the early history of Greece, from the Minoans to Solon. It discusses the geographical context of ancient Greece and the influence of the natural world on early Greek civilizations.

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De Minos à Solon, les premiers temps de la Grèce 2 ème millénaire avant J.C 15 siècle avant J.C I) Le monde grec,sources et géographie La Grèce s’est fondée sur la Mer 15,30 Grèce Antique : d’autres frontières,pleins de communautés parle la même langue/dieux/modes Hellénisme Grèce Antique : + gra...

De Minos à Solon, les premiers temps de la Grèce 2 ème millénaire avant J.C 15 siècle avant J.C I) Le monde grec,sources et géographie La Grèce s’est fondée sur la Mer 15,30 Grèce Antique : d’autres frontières,pleins de communautés parle la même langue/dieux/modes Hellénisme Grèce Antique : + grande que la Grèce actuelle,organisée autour de la Mer Egée Peloponèse jusqu’avant le II millénaire il y a une série de communautés grecques qui vivent sur la côte de l’actuelle Turquie. 21 Ile Crête 22:30 Ile Rhodes 23-26 Les Grecs ont été s’installés vers l’Occident : Italie du Sud/Sicile mais aussi autour de la Mer noire. 26 – temple de paysage : Montagne/ Mer : montagnes qui tombent dans la mer, laissant peu de place aux plaines/ endroit idéal pour construire des temples. - sommets peu élevés ( Parnasse culmine à 2457 m) mais il y a des reliefs escarpés. Thessalie : Des plaines au milieu de la montagne Omniprésence de la mer Civilisation marquée par son ouverture maritime et la difficulté des communications terrestes ( d’une plaine à l’autre). 36 38 - Difficiles communications maritimes aussi Ulysse a mis 7 ans à faire Turquie→ Grèce ART : Importance de la pêche Pb de pirateries Navigation technique du cabotage () Un paysage profondément marqué par la présence de l’Homme 44-46 (oliverai) olives,vignes,céréales Déforestation dès 6500 avant notre ère. Villes Forte culture de l’olive : cuisine/hygiène Forte importance du vin : notamment lors des banquets, Dieu/ Dionysos Grand commerce du Vin : Timbres amphoriques Dernier composant de la trilogie méditerranéenne: Les céréales 1:O5-1:07 Travail fastidieux et très souvent réalisés par des femmes L’élevage : une société archaïque transhumante, puis l’élévage caprin des sédentaires. Laine de chèvre/brebis : Filer et tisser la laine, travail des femmes Tissu très important dans cette époque puisque cela prenait 1 année à temps plein d’une ou plusieurs femmes pour le fabriquer. Cité : une communauté dans une ville avec autour des campagnes ( Cora), les confins. « Le passé es Philippe Ariès : historien moderniste Pierre Riché (1921-2019) = historien spécialiste du Moyen-Age historien = métier récent Didier Lett, ses sources s’inspirent des récits des miracles (hagiographie) I) Historiographie 3) Les sources 1960-70 fouilles archéologiques systématiques, s’intéresser à l’archéologie du quotidien Traces écrites ( - traités d’éducation : rédigés par des religieux et des pères de familles laique ; - textes hagiographiques, - poésies, poésie du Moyen-âge - livres de raisons.mémoires livres tenus par les pères de famille au XIV/XV ème siècle : comptes de l’affaire familiale,les naissances/dèces des enfants Jusqu’au XI il y a dans les abbayes des écoles acueillis par des moines, comment les enfants doivent être accueillis 14- sources iconographiques, textes ne , regards sur la façon dont les sociétés du passé se repressentent et représente leur réalité. Plein d’images au Moyen-Age : tapisseries,les enluminures des manuscrits, fresques Eglise.Palais/Peinture sur , vitraux,gravures, Comprendre l’image avant de l ’interpréter. Système de représentation allégorique T et image qui se confonde, chronologie, contexte dans lequel il a été produit critiquer les sources II) Les Ages de la vie représentation que nous avons des âges de la vie est différente de celles des médiévaux. Schéma hérités de l’Antiquité greco-romain, revisité par le Christianisme et les intellectuels chrétiens comme allant vers le Salut ( l’entrée après la mort dans la vie Avec Dieu ). La sotériologie,réflexion sur le Salut, classification qui coexistent dans les écrits 33’ - Jeunesse,maturité,vielliesse / Croissance,Déclin 3 Mages Baltazar : représente la maturité, offre la mire Gaspard : imberbe, roux,vêtement vert Méripiore : longue barbe, vêtement pourpre 35 Pythagore : âges de la vie, correspondance avec les saisons, 3 saisons la vielliesse ( Sénectus) Vincent de Beauvais m Schéma des 6 âges de la Vie : Adam-Noe,Noe-Abraham,Abraham-David- David-Babylone, Babylone- Christ correspond aux 6 Jours de la création 40’ 12 âges fin du Moyen-Äge poème anonyme du XIV, qui suivent les mois de l’année : Printemps : Jeunesse, le temps de vielliesse apparaît comme long et inexorable, recopié sur des calendriers. Barthelemy L’Anglais fonde l’ordre religieux franciscain : études de théologie à Paris, couvent franciscain en Allemagne 1247 rédige une Encyclopédie avec des frères : De proprietatibus rerum Schéma par lequel les médiévaux se représentent la vie 48 CM3 : Naître A) Venir au monde : de l’accouchement aux relevailles ( rites qui cloturent l’accouchement ) Angoisse de la mort accompagné de rites religieux/prières confession de la parturiante bassine : rite du baptême, pas uniquement pour laver l’enfant accouchement affaire de femmes homme peut représenté, àà l’extérieur de la scène, reprèsentation diffère de la réalité : père est pas toujours présent, présent dans le milieu paysan : accompagne les femmes dans ce moment f : jeune mère, nouveau né lave,enmaillote Joseph représenté dans les scènes de la Nativité, chauffer la chambre dans laquelle naît l’enfant Jésus XIII 1267 présence de ces femmes qui aident les parturiantes rapport Amiens, rôle juridique, témoigner en justice de la date de naissance de l’enfant pas d’état civil. C’est aussi une af I) La naissance côtoie la mort de près 2) Une affaire de femmes 3) Famille et voisinnage Italie : livres de raisons/famillles livres dans lesquels lès pères rovenant de la marchandise et l’artisanat, note les commandes, évènement de la ville, naissances/ décès des enfants Jean Jouvenel des Ursins livre de naissance Livre de la famille le borgne d’Arras pratique astrologie → livres évènements précis mère est au centre de l’évenement/parenté, elle reçoit des cadeaux/des pièces d’étoffes Famille du nouveau-né offre jésine, vin, dragées 40 jours après l’accouchement, la f vit un rituel de purification à l’Église lié au tabou du sang → réintégrer la communauté chétienne→ festivités → consolide le lien social du village/quartier B) Entrer dans une parenté 1) Place respective du père et de la mère dans la génération agnats vs cognats engendrement de l’enfant ? jouent -ils un rôle à parts égales 2 théories médiévales coexistent dans la pensée médiévales, théories héritées de l’Antiquité 1 théorie origine d’Hippocrate : Barthélémy l’Anglais ; D.Lett ; Hésiode, les Travaux et les jours sperme masculin/sperme féminin inférieur à celui d el’Homme lais contribue à la conception de l’enfance. Aristote Thomas d’Aquin : une semence féminine : la semence féminine n’a pas de conséquences sur la construction de l’embryon. Le sperme féminin reste le principe de la génération, prédomine dans la conception de l’enfant. Interprétation en faveur de la lignée du père, sang maternel et la lignée de la mère sont inférieur, d e moindre influence façon de voir les choses n’est pas que celle du Moyen-âge, sociétés amérindiennes ( etnographie) patrimoine symbolique qui vient s’ajouter sur cette lecture de la conception de l’enfant Collection de traités médicaux, France,XIII 19, Pour les juristes médiévales le fœtus n’a droit au nom d’enfant qu’après la naissance ( avnat fruit) ce ne veut pas dire qu’un fœtus n’est rien dans le ventre de sa mère reconnaissance de cette personne Evangile de Saint-Luc, mère de Jésus va chez sa cousine, Elizabett sent Jean- Baptiste tressaillir en elle. Argument décisif pour reconnaître le fœtus comme un être vivant capabe de tressaillie et qui a une conscience éveillé le fœtus est considéré comme un héritier à paart entière Père de famille doté une fille qui n’est pas encore né capacité juridique ; d’être un Homme libre,du cerf hl ( prêtre, témoigner un justice) enfant à son premier cri considéré comme un enfant : position de reçevoir un héritage Vie intra-utérine considéré, même si il faut attendre le 1 er cri lignage XIX -XII 25 avant la structure qui prévaut est groupe familial large,faible conscience de la généalogie, 2) Naître, c’est s’incrire dans un lignage XIX -XII vocabulaire linea XX-XXI ancêtre rattaché à la ligné paternel/maternelle prise de conscience d ela généalogie, s(‘accompagne d’une prise de position d’un territoire, domination territoire passe par la consturcion d’un château qui cristazllise 28 se diffuser dans le reste de la société élaboration de généalogie écrite noble→ reste de la sociétés 2 ème marqueurs armoiries individuelles→ héréditaire armoirie pleine→ brisé → élément qui indique quel individu estes vous au sein de la généalogie commune renforce la communion familiale : façon de se repésenter le groupe et l’individu dans le groupe XII : lignage s’oriente du côté de la parenté agnatiques qui s’impose Femme par le mariage quitte son lignage, lensionner le nom des femmes qui sont indiqués dans le lignage quand elles rentre par le bais du mariage pratique l’hypergamie masculine ,fait pour un homme de choisr une épouse dasn un lignage plus précieux que le sien => surcroît de prestige renforce avec l’unité du patrimoine familial 35 37 mise en place de la primogéniture masculine ; avantager dans le partage du patrimoine le fil ainé ( lui qui aura le château, armoirie pleine) patrimoine ne sera pas dispersé pae la transmission et les mariages discrédites les cadets, on les dédommages : garçons peuvent aller vers des carrières ecclésiatisques → sitation sociale fille par leur dôtes ( compensation) Lorsque la fille est enfant unique elle est pleinement héritère 3) La révolution anthroponymique fin de l’empire romain les individus sont désigné par 3 noms qui désignent respectivement genes l’appartenance à une branche particulières de gènes, nom qui relève d’un attribut personnel MA remplacé quand des barbares arrivent dans l’empire romain 40 Nom unique d’origine germanique pris du côté maternel nomem propritum ou paternel 10501150 modification de ce système anthroponymique, profit diu dénomination des individus nom propre qui provient du baptême, marque identitaire individuelle cognomen rattacher le 1 er nom propre à une famille par le lien avec le père fin XII Le patronyme/ nom de famille formés à partir d’un métier, lieu de résidence,caractère physique transmettre de père en fils Tourantn XIV registre de la taille parisienne, voit lles Hommes uqi au nom de leurs familles désigné par ke prénpm et le patronyme consolide par la place d l’écrit XI- pratique de pouvoir désigné les individus prénom et leur cognomen devant la justice et dans les contrats nles indovidus + souven t amené à déclare leurs iditentité phénomène qui touche l’ensemble de la société mais pas au même rythme, les femmes et les h d’Eglise retard adoption de ce système, périphérie de la transmission de ces patrimoines familiaux Fin XIII-XV retard rattapé par les femmes e Bourgogne./Paros 47 Patonyme du mari féminisé même si pas sytématique F conserve la marque de leur lignage d’origine, la patronymisation des femmes → nom de leurs maris familles nobles → nécropole mais pas généalogie 4) L’enfant bâtard, adopté, abandonné a) la bâtardise : « donat « problème rattachement familial de l’enfant , frais d’accouchement et de santé actes notariés qui en dehors du mariage : existence sociale de l’enfant, donné à son père putatif par sa mère. Le père sé’engagant à recevoir l’enfant, le considérér éduquer entretenir, mère obtiendra du père les moyens matériels de l’élever, après le père choisit de la rattacher ou non à son lignage. Système pas généralisé batards dasn la noblesse : élevés avec les enfant légitime mais patrimoine réservé aux enfants légitimes( pas dans le juridique des sucessions) ( mais ils ont quand meême quelque fois b) L’adoption Rome antique adoption : mode d’intégration dans une famille,modifier l’ordre des héritiers, influer sur la trajectoire du patrimoine,assurer les cultes familiaux, disparus au MA, et réapparus à la fin du XIX. Archives notaires qui permettent de renvoyer à des pratiques d’adoption : pratique marginale pratqieu de l’adoption a été modifiée par rapport à l’Antiquité juristes médiévaux l’adoption est une ressemblance de filiation Aristote : adoption qui imite la nature ↘ imposer une différence d’âge d’au moins 18 années l’adoptant doit être en âge d’engendrer, écarte certaines catégories d’optant uniquement si ps déjà des descendants. Intérêt du sujet pendant toute la période médiévale Gévaudan : registres notariaux 150 12aine d’actes notariés d’adoption enfants sont donnés à un père/mère adoptant vêtir/adopter/alimenter dispositions rattachement légitimitement au lien de parenté c) L’adoption : « gard infranticide commis en toute impunité Iv de notre ère : officialisation du christianisme dans le monde romain Eglise condamne fermement et formellement Eglise prend doin des enfants abandonnés caanons de consignes, modèles de formulaires juridiques, textes hagiographiques enfants abandonnés porte de l’Eglise/Monastère : prêtre/abbé informait publiquement la pop° locale, 3-10 jours de délai pour le reprendre après baptisé, nom, confier à qqn moyennant une somme d’argent pas de légitimitation : domestiques Oitalie ( temps des carolingiens) structure pour recueillir ces enfants , jusqu’à l’âge de 7 ans → diffusion à partir du XII s → évolution dans le monde monastique , avant il sacuueillait les e,fants oblature ( donner les enfants monastères). Saint Sauveur Milan Fin XI : réforme grégorienne moines considèrent qu’ils ne vont accueiller uniquement des adultes, fermer la porte pour les enfants. Enfants prise en charge autrement XII Ordre du saint d’esprit, consacre à l fin du XIII 60 aine d’étblissements qu irecueillent ainsi les enfants abandonnés milieu 14 ? cruciale, situation économique de l’Europe va se dégrader→ misère → augmentation du nombre d’enfants abandonnés registre hopitaux, archives de certaines villes, pris le relai pour organiser l ‘éducation de ces enfants Lille, les échevins ( Consiel Municcipal) nomme des « gard’orphènes » qui s’occupait des enfants , Bruxelles, municipalité donne de lrargent , employer les mères par les ville « vondeligen « recueillir les enfants de + 7 ans bcp des enfants meurent après leurs arrivées à l’hôpital C) Entrer dans la communauté chrétienne : le baptême 2) La cérémonie valorise la parenté spirituelle 3) L’enfant mort sans baptême 4) Le choix du prénom( onomastique) * Rifare 1) Une impérieuse obligation adultes qui se convertisaient et demander à reçevoir le baptême père entraîner la femme et les enfants/domestiques au baptême pédobaptisme Devoirs de faire baptiser leurs enfants, enfant mort/ résurretcion du Christ entrer dans la vie chrétienne 2) La cérémonie valorise la parenté spirituelle parents faute grave au sein d’une liasion légitime de ne pas faire baptiser leurs rnfants ils risqueraint leurs propres saluts pas besoin de prêtre, père/mère/voisine peut baptiser l’enfant obligation intégrée : miracles répit de vie pour qu’on puisse le baptiser ce sacrement fait entrer l’enfant dans une famille/communauté qui dépasse très largement sa famille biologique Eglise ba^pt^rme d’avoir une autre parenté : incarné par les parrains/marraines présence indispensable pour le baptême de l’enfant : répondre aux questions des parents parrain/marraine : réseau social (afin ), milieux sociaux + élévés -< réseau de sociabilité 3) L’enfant mort sans baptême il est voué à la damnation éternelle provoquait des angoisse chez les parents, mortalité infantile très élevè, baptiser l’enfant au pie du lit de sa mère, sanctuaires à répit : enfant mort, parents demandent à obtenir un répit de vie ( respirer à nouveau), temps de le baptiser, ouvrier les portes de la vie éternelle.* théologiens revenir sur cela, affinier les choses en considérent , n’entre pas directement dans la vie éternelle, mais pas condamné définitvement , lieu (limbes) en attente de la vie éternelle permet aux parent-s de sortir de cette position anxiogène st de mettre deuil vicants priés pour les défunts, obtenir d’entrer dans la vie éternelle 4) Le choix du prénom( onomastique) aristocratie : concurrence de stratégies ; prénom agnatiques dans la lignée de la famille du père que dans la branche cognatique. Choix du prénomn revient à la culture tournée vers l’Antiquité et le roman Alexandre,Blanche-Fleur pas nécessairement chrétien Eglise de par lles saints un stock de prénoms suffisnats prénoms venus des peuples germaniques comme Bernar/Guillaume intégrés dan sles prénoms chrétiens stock anthroponymique fortment christianisé à partir du XII, il n’est pas exclusif Christianisation de la société : prénoms chrétiens sont choisis de façon + régulière que d’autres milieu XV : choix de prendre un prénom à consonnance paiellienne, contrait dans les traités d’éducation 1544 s’insurge des parents qui donnent des prénoms paiens à leurs enfants * Rifare attribuer le prénom d’un enfant décédé à un nouveau-né Florence : 30 % des filles ont le prénom d’une sœur précédente II) L’enfance A) Une vie fragile 1) Forte natalité// Forte moratlité infantile Leborgne livre de raisons 9 enfants sont nés 4 survécu, moyenne 3/10 meurent avant 1 ans , 3/10 avant la puberté moitié seulement arrivera à l’age adulte, mesure de procréer travrese l’ensemble de la société médiévale sommet de la société médiévale Blanche Castille mère de Saint Louis (9) 12 enfants 4 sont morts naissance/qqj jours après 3 n’ont pas allés jusqu’à lâge de procréer XI ème siècle meilleur contexte économique, la popo° de l’Occident s’accroît , la mortalité infantile reste forte, témoigne livres de raison, fouille archéologique cimetière notre-dame de Cherbourg 45 % défunts retrouvés ont – 18 ans,58 % nsont morts avant l’âge de 4 ans 2) Les menaces de la vie a) les maladies manque d’hygiène et absence d’une médecineefficace, manque moyens humain( connaissance théorique) apparaissent au 13/14 s. La malnutrition entre le 11 et le 13 ème s dysenterie(), fièvres ( liès aux conditions d »hygiène) à travers les récits de miracles : proportions d’enfants paralysés , atteint de cécité rédigée par des clercs/laics traités de pédagogie surveiller l’enfant jusqu’à lâge de raison à 7 ans F familles paysanes assurent la production agricole,+vie de famille Les accidnets mortels touchés les enfanst + après-midi, F occupées à l’extérieur surveillance des enfants compromise. 47 % des décès internvenait entre mai et août, les moissons,les travaux de la terre. Accidents dommestiques à l’origine de cette mortalité infantile + 65 % des cas. Ne signifie pas que cette société médiévale ne se préoccupe pas de ces enfants. B) Le soin du petit d’enfant Albrandin de Sienne recommande surveiller la température de l’eau, préserver l’enfant de la température extérieure, toilette de l’enfant : ustensiles, cuves, cruches,chaudrons souvenir marqqé la mémoire de l’enfant fin XIV Jean Froissards poésie/romans ; se souvient de la cuvonette d’or et d’argent enfants séché dans un linge doux réché, layettes ; langues du nourisson, ras du sol, vêtu chemise facilite l’apprentissage de la propreté, soins de la petite enfance assurée par les femmes/mères,nourisse Joseph faire chauffer l’eau du bain, père charge hygiène du petit 2) Le vêtement vêtir ( couvrir des intempéries , revetir manière d ele reconnaître symbolique, garde robe de l’enfant réduite : milieux aisés enfant surprotégé par ses vêtements, représentation enfant avec bcp de couvertures médecins/pédagogues pas trop couvrir l’enfanat vêtu d’un vêtement rouge symbolique du milieur sociale aristocratie,valueurs rouge enfant vêtements issu d elinge de récupération petits nus pieds, apprentissage marahce + aisée, fouille de dépotoir de coordonniers , écharpes artisanales ( chaussures adaptés à l’enfant qu’on va retrouver), chaussure montantes prennent bien la cheville, attention de sparents à l’apprentissage de la marche drap,fdrapeau,drapiau,drapelet 3) Alimentation infante allaitement maternel , pratique recommandée par es théoriciens de la petit enfance, lait transmet héréditaire les vertus de la mèr eet du lignage maternelle.lait !: prolongation du sang don l’enfant nourri in-utéro,partagé par les savanst. Bourgeoisie ; tous les mères n’allaitent pas, l’allaitement par nouriice rétribuée, trnanspmertra les vertus de son lait,liat abaondant, bonne santé ni colèreuse, ni sotte, ni triste,surveiller son alimentation, ne doit pas tomber enceinte sevrage au but 2 ans l’intervalle intergénésique conseillé par les médecins, implantation dentaire en place – compatilible avec l’allitement maternel nourrice personnage important dans la vie de ces enfants, récits autobiographiques,testaments reconnaissances d’adultes à l’égard de l’affection prodiguée par la nourrice 1350- 1364 Testament de Jean le Bon prèvoit un lèque pour cette nourrice papin papet : bouillie à base de farine, diversification alimentaire de l’enfaant compositions : mie de pain,miel,lait de chèvre, vin tannin du vin coupe les diarhées compositions bouillies peut entraîner des malaides,responsable de décès périnataux constatés dès le XIII cuisson de la farine ( cru fatale pour le nourisseau) pot en cuir pour le petit, partage la table des adiultes,milieu populaire, éviter les plats trops épicés, indications 1 ères viandes l’enfangt ne fait pas le carême 4) Le sommeil du tout petit berceau bois osier ( différents noms) , matériel connaît documents narratifs/figurés contes familes aristocratiques/royales de, berceau prévu avant la naissance berceau trop cher → caisse en bois (soir veillée,mauvais temps) ,corbeille berceau de transport en forme de U,attaché par des sangles aux épaules, mettre l’enfant sur son dos, emmener l’enfants lors des travaux dans les champs garni d’une paillasse( seigle), confort et chaleur, éloigner du fond rigide, absorber l’urine de l’enfant litière contenue dans une housse de tissu, recouverte par des draps blancs terme berceau renvoie à un ojet et à la pratique de berceer, milieux arsitocratiques, berceresse pour les petits princes, taches féminines Chap 2 L’ENFANCE A) Une vie fragile Forte mortalité infentile : 3 enfant sur 10 meurt avant ses 1 ans et 3/&amp;à avant la puberté. La moitié arrivait a l’age adulte dans la société médiévale Cette mortalité comme dans la famille de balnche de Castille, 4 sont morts a la naissance et 3 sont pas aller a l’age de procréer. Au XI on a un meilleur contexte economique et la pop de l’occident s’ccroit malgré les mortalités infentiles. dans les livres de raison et le cimetiere de cherbours : 45% des défunts ont – de 18 ans et 58% - dde 4 ans. Causes : - manque d’hygiène et absence de médecine efficace : médecins rares et connaissances théoriques. Il faudra attendre le 14 e s pour que les connaissances s’accroissent. -Malnutrition : jusqu’au 11 e s. après la pop est mieux nourrit. U 14 e on retrouve a nouveau de la mal nutrition. -La dicentrie et les fièvres(liées à l’hygiène) sont les principaux fléaux. Bcp d’enfants paralysés, tumeurs et sans explications de cette proportion importante de mal formations et maladies. -Accidents : à partir du 13 e des traités de pédagogies recommandent de surveiller l’enfants jusqu’à l’âge de raison : 7 ans -&gt; les mères assurent ce rôle, mais travaillent aussi dans les familles paysanes… les accidents mortels pour les enfants se trouvent souvent l’après midi quand les femmes étaient les plus occupées à travailler. 47% des décès d’enfants étaient entre le moins de mai et d’aout =période de moisson, des champs ou toutes l’attention des adultes étaient centrée. Didier lettes constate dans ces récit que ces dansgers sont dans l’environnement domestique B) Le soin du petit enfant Un de ces traités de pédagogie a été écrit par Aldebrandin du Sienne ou il parle de l’Hygienne. Il recommande dedans que l’in surveille la température de l’eau , de la maison, pour qu’il n’attrape pas froid. Cette toilette est décrite comme une utilisation de cruche, de bassines. Des poésies et romans von être ecrit par jean froissard ou il explique qu’il se rappelle de ses bains (bourgeois) : cuvelette en or et argent(pas si vrai) séché dans un linge doux et réchauffé stocké dans les layettes(coffre)  Assuré par des femmes mais il est pas rare de voir dans la représentation de jesus, joseph, ou des peres chauffer l’eau. Vêtir l’enfant à la naissance est une manière de le reconnaître(valeure symbolique). La garde robe de l’enfant est réduite dans les familles pauvres. Dans les milieux aisés, ils sont surprotégés par les vêtements avec bonnets et couvertures fourrées -&gt; besoins de chaleur car chauffage insuffisant. Représenter un enfants autant couvert montre aussi sa catégorie sociale = marquer symbolique du milieu social. On remarque dans l’iconographie que l’enfant est vetu en rouge : couleur de l’aristocratie , associé au courage, aux chevaliers. Dans les familles modestes : tissus de récupération des membres de la famille. Les plus petits sont souvent pieds nus, et on retrouve des ateliers de cordonnerie avec des chaussures d’enfants : montantes et qui prennent la cheville ; montre l’attention de bien faire marcher l’enfant. 3) l’alimentation infantile L’allaitement est le + recommandé par les médecins, théoriciens. Pour eux, le lait transmet les vertus de la mère et de son lignage= forme de prolongation du sang à travers le lait. Théorie très largement partagée. Dans le milieu aristocratique, toutes les mères n’allaitent pas : donnent ce rôle à une nourrisse : il faut la choisir avec soins car transmettra ses vertus à travers son lait. Son lait doit être abondant , ne doit être ni triste , no colereuse , ni sotte (défauts) et risquerait de les transmettre. Elle doit surveiller son alimentation , ne pas tomber enceinte car si non son lait irait au fœtus et serait moins bon pour son nourrissions.et un ecart de 2 ans entre les grossesses est conseilée. On a bcp de témoignages dans la littératures, récits et testaments sur la reconnaissance d’enfanst devnu adultes a l’gard de l’affection que leur nourrisse leur a prodiguer. Dans le testament de Jean Lebon (1350-1364) montre le liens entre lui et sa nourrisse et prévoit une part de l’heritage, un lèque. A cette époque on donne du vin a l’enfant car on pense que ca coupe la diarrhée. Les compositions de bouillies elles peuvent rendre malades surtout ds le milieu paysans : la non cuisson de la farine peut être fatale pour le nourrisson. On donne dans les traités les premières vandes données : les viandes jeunes : veau , lappreau , éviter les plats épicés et il ne fait pas le câreme. 4) le sommeil du tout petit Berceau en bois, osier et matériaux qui n’existent plus et si vrm pauvre : cuves, bassines, ou berceau réalisé sois même. Les familles aristocratiques ont un berceau déjà prevu a la naissance. Il existait des berceaux de transports que l’on pouvait attacher par des snagles l’nfnat sjur le dos pour pouvoir l’emmener (surtout dans les travaux des champs) Ce berceau est garnit de paillasse(blé ou seigne) elle est faite pour procurer confort et chaleur et recouverte par des draps blancs peut importe le milieu social. Le terme de berceau renvoie au fait de bercer et dans les milieux princiers, bercer est un métier et les petits princes ont une berceresse. C) Jeux et jouets 1) LE JOUET EST UN INDICATEUR DE L’ATTENTION DES ADULTES A L’ENFANCE L’enfant médiéval est souvent représenté avec des jouets= laisse penser que peu importe la catégorie sociale : ,il n’a pas manqué de jouets  Ils sont construits et donnés dans le cadre familial, mais des poteries ou dinettes étaient vendus par des marchands ambulants. Les parents achetaient = élément important pour l’enfant car favorise l’évolution intellectuelle et son insertion sociale. Jouets variés : -le hochet - la balle -le sifflet = imitait le chant des oiseaux, très utilisés Lorsque l’enfant commence à marcher : des jeux de constructions, des jeux sexués( fille= dinette, poupée/ garçons = chevaux de bois) Mais on a aussi des dinettes pour les enfants royaux, les filles peuvent aussi jouer avec des toupies Le jouet est un moyen d’inissier a la vie sociale et économique : usage de petits bateaux pour les diriger vers la mer, des outils agricoles. Le lien jouet = vie adulte les parents les occupent avec des jeux pour les acclimater a la réalité de la vie d’adulte. L’enfant est rarement représenté seul avec ses jouets : sa mère est casi tjr présente ils sont avec des sortes de marionnettes actionnés sur une table Le chant est aussi très important : le moyen- âge est un temps ou la chanson devient important, de tous types : un plaisir de la société et prescrit pour les enfants avec des berceuses (berceresse qui ont la mission de bercer les enfants aisés). Et nos contines actuels sont créer depuis la fin du 15 e s : mémoire collective. D) Les regards sur l’enfant Nous avons très peu de récits autobiographiques sur l’enfance et nous n’avons que un récit du 12 e ou l’enfance et son adolescence est raconté brièvement Christine de pisan : montre aussi son enfance mais on peut pas généraliser sa manière de vivre car elle a eu une éducation très ouverte et proche de la cours : a apprit très tôt à lire et écrire Ce discours sur l’enfant est vu par un discours théorique : grâce aux traités pédagogiques. IV) Les cadres de vie B) Une société normée par l’Église 1) De la distinction clerc/laic aux « états de vie « -fin XI, la réforme grégorienne opp pape/empereur, volet social réformer les clercs, vivre + dignement, réforme du clergé : entraîner les clercs dans une spiritualité + forte, mis à part de la société + nette : célibat -vie des laics + configurée : état matrimonial propre des laics mariage hexogamme : on ne se marie pas dans sa parenté biologique, les aristos faisait l’inverse tendance famille aristocratique pour éviter de dissimuler le patrimoine : eglise passe-droits indissolubilité jusqu’à la mort d’1/2 conjoints, mariages dissous puisque pas de descendance ( aristots) - monogamie, 1 seule femme jusque mort s’en suive - mariage doit être consensuel * mariage légitime = 4 critères ci dessus 1215, concile ( Pape Innocent III qui réunit à Rome tous les évèques) de Latran IV définir un bon chrétien quand on est un laic ; programme pastoral la prédication des clers pour laics importants , mission d’enseigner aux laics, encadrer leurs pratiques religieuses => création des paroisses, curé au centre de la vie sociale et religieuse des villageois clercs conscience que la société change par l’allongement de la vie, ainsi qu’une pop°+ urbanisée, pop×3/4 dans les villes dans les Flandres par ex diff chrétien citadin/chrétien campagne = quel place faire à l’argent ? Argent peut être source de péché, est ce qu’un artisan peut être bon chrétien, christ difficile q’un riche aille au paradis. + situations sociales ville : nv aspirations » spirituelles « prédications pour tous les états de vie de cette société clercs/frères mendiants ( dominicains,franciscains ) serments marchands/femmes/lépreux ( maladie infectueuse) sacrement de la confession/pardon donné par Dieu, fidèle confesser ses péchés 1 /an à partir de 7 ans , variété de Saints développe au fil du temps 2) Une sociabilité qui se décline en cercles concentriques, (qui a un même centre ) F/H médiévale jamais seule, présenter les liens qu’il entretient avec chaque cercle concentrique : 1) la famille nucléaire, fondé sur un couple uni en légitime mariage qui correpsond à l’unité de travail (atelier/potagers) mariage-vocation à l’échelle Eglise couples qui durent 10/20 ans,maternités proches,( vage) des hommes qui se remarient + facilement que les hommes couple : structure économique, accueillir un étranger 2) paroisse même que village pop° fixe dans les villages, église/quartier communauté qui s’organise autour de l’Église ( batiments) entretenu par le curé et les fidèles ( curaré soigner en latin, soin des âmes) (clerc pivot de la communauté villageoise) 3) Seigneurie « Géographie ce qu’ils pensaient la France « savent qu’il sont chrétiens/l’église qui s’étend au-delà du royaume parfois des communautés juives voisines D) Une société travaillée par les progrès de l’écrit Monde médiéval : monde oral ( serment), parole performative parole qui fait le mariage : nécessaire et a d el’autorité « bai « officier royal pas d’opp° entre les 2 fin MA : Explosion documentaire renvoie à une société qui a besoin de l’écrit demande social de l’écrit propage couches inférieures sociétes/personnes qui ne savent pas lire/écrire XIII paysan vendre la terre « accordée » par Dieu il passait par un notaire/ religieux alphabétisé : Florence 50 % pop°, exception par ses activités économiques, demande d’écrits augmentés par ce fait , devenu une nécessité d’apprendre à lire. Ailleurs on ne sait pas milieux : apprend aux enfants à lire/écrire pour reprendre la boutique familiale ; pas systématique maillage scolaire qui se met en place écriture ne vient pas du pouvoir 10 km alentours : mariage rayon géographique restreint villges→ trouver du travail, vendre leurs productions, imiter modèle église limitrophe perméable aux influences, société rurale – enclavée que ce qu’on pourrait penser III) l’ENFANCE C) La société est l’enfant petites écoles qui dispensent un enseignement élementaire à l’apprentissage de la lecture/écriture,calcul connaît + depuis 30 ans : études par sondages se multiplient dès le XII siècle, nb s’accroît au XIII XIV Nicolas Homes en Angleterre, réseau se densifie au III siècle près des cathédrales,autorité de l’êvêque écoles de chants : salette près des cathédrales, lire et écrire 2 compétences dissociées Angleterre fin mA : X2 Provence Jacques Paul Brignol,cisteron écoles élementaires pétrarque à appris à lire dans une petite école de Carpentras Reims : petites écoles paroisses , maitresses d’école Normandie 30 aine d’écoles Marjoliane « Légendes,savoirs au Bretagne entre le XIII et le XV « maillage territorial de ces petites écoles : fr cran inférieur à l’Italie fin XI Italie, les communes di’Italie être à l’origine des petites écoles, bons résutats Giovanni XIV 1340 8-10k enfants seraient scolarisés à Florence, grammaire, logique taux d’alphabétisation : 40 % florence présentes en péninsules ibériques école XIV +tôt ? image caricaturale : revendication de la III république au XIX République met en place son propre système scolaire, jette l’opprobre sur d’autres sytèmes contrôle autorités ecclésiastiques attente sociale à l’égard de ces apprentissages manque de moralité : enfants se battre/jouer à des jeux avec des sdés pouvoirs laics et les familles s’associer aux structures écclésisatiques des fpois que les parents financement de ces petites écoles : charge des familles qui instruisent leurs enfants salaire quand c’est instauré par l’Église : 90 % sont indépendantes et financées par les parents. Écoles besoin social des familles : + famille urbaine : marchans,artisans principauté : gouvernement par l’écrit, carrières qui s’ouvrent/exigent de savoir écrire degrès + ou – important en fonction de l’utilisation de cette compétence alphabétisation + importante de ce qu’on pensait écoles d’ abaque en Italie : villes prospèrent sur le commerce avec l’Orient notamment : comptabilité notaires, tablionages se multipllier ( « bureau » ), apprentissage des jeunes apprenait/complétait apprentissage de l’« critur actes Philippe de « Vignol » 2) L’enfant au travail, 2 situations contart entre l’apprenti et le patron , nature du travail, iconographie renseigne bien : taches quotidienne/domestiques pouvant être confiés aux enfants milieu rural + travail d’enfants, travail informel des temps d’initiation à la vie professionnelle : s’occuper des bêtes, rzmzsser les copeaux de bois villes : enfants sont – sollicités, - ingrates,place dans l’atelier XV Auvergne, garçon de 8-10 ans, vend des chandelles, capable de compter ex drapiers traités de pédagogie : pas de charges physiques avant 12 ans pas emploi temps complet, ne sont pas écrasés par les tâches domestiques travail jouant : garçons bergers ( minorités enfants travaillents conditions difficiles) Auvergne XV, mère,fils de 10 ans : récuper des toitures effondrées : pour revendre les tuiles et les poutres Provence enfants employés avec un faible salaire pour retirer les mauvaises herbes des champs de pastels : petite taille très intéressante différenst des enfants dans les pmines du XIX ème s contrat apprentissage : 60 % des enfants perdus 1 parents ouvent le père, déroule devant un notaire assurer une structure d’éducation, familles nombreuses : mise en apprentissage + de place dans l’atelier familial, même activité famille d’origine : ne traduit pas un signe de désinvestissement volonté de faire un acte éducatif confié à autrui garantie maître signature famille engagement, contrôle, gardé par la famille orphelins placés + jeunes que les autres,situation d’urgence 12/13 ou 15-16, 12 considéré majeur , mise au travail progressive tps d’observation : 2/3 ans ; enfant est logé chez le patron nourri/logé/blanchi, s’engage à envoyer l’enfant dans ses petites écoles, maître ne doit pas maltraiter l’enfant, même rythme de vie que l’adulte, métiers → associations→ statut → apprentis conditions travail spécifique ( lever après le lever du soleil), en cas de mauvais traitement la famille de l’enfant peut parfaitement rompre le contrat, d’aller en justice, reprochent parfois au maître d’être trop absents, accuser l’épouse du patron pas sufissament nourri, mauvais traitements physiques, battus ; patron pas intérêt à les maltraiter : apprentis à bas cout, + grands reçoivent des salaires/compensations, vêtements, sinon réputation du maître qui est en jeu ? salaire débattu dans les contrats, élément de négociation entre maître/famille choix qu’il y ai pas de salaires : pour laisser du temps pour les distractions, succèder au maître de l’atelier en épousant la fille du maître ou la femme du patron si elle devient veuve ! Retrouve différents milieux sociétés médiévales 12-16 ans jeune chevalier, fils d’un seigneur va quiter le château, finir son éducation auprès d’un autre seigneur. Pas de système scolaire concurrencer ce système

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