CM du 26/11/24 PDF

CM du 26/11/24 mardi 26 novembre 2024 10:29 La rupture monétaire s. Après-guerre, les États doivent choisir s’ils rétablissent la convertibilité-or et à quel niveau. Dans l’ordre ancen(avant la guerre), les États s’étaient refuse la liberté de fixer la valeur de leur monnaie. À partir de 1918...

CM du 26/11/24 mardi 26 novembre 2024 10:29 La rupture monétaire s. Après-guerre, les États doivent choisir s’ils rétablissent la convertibilité-or et à quel niveau. Dans l’ordre ancen(avant la guerre), les États s’étaient refuse la liberté de fixer la valeur de leur monnaie. À partir de 1918, ils vont le faire selon la perception de leur « interet national » -. Les bolcheviks changent de monnaies et répudient les « empreunts russes », les bolvheviks abandonnent la monnaie qui primait a l’époque du tsar russe. La question monétaire et la stabilité est mise de coté.. Les autres gouvernements rétablissent la convertibilité-or, mais à des niveaux différents. Deux exemples: Grande Bretagne on réintègre l’étalon or et rétablissent la convertibilité des livres sterling; effet négatif pour les industries britanniques mais positif pour la finance britannique car taux de change très élevé. En France rétablissement de la convertabilité- or sous poincarré mais il va la rétablir a une niveau bien moindre. La rupture commerciale. Au niveau commercial, l’ordre ancien ne s’effondre pas immédiatement. Quasi-retour au statu quo ante des 1923 °la plupart des restrictions quantitatives aux échanges issues de la guerre sont levées (exporter importer librement) °les droits de douane. Sont rétablis au niveau d’avant-guerre °entre 1924-1929, le commerce mondial progresse de 6% par an. L’effondrement final a lieu dans les années 1930 Crise de 1929 —> Chute des prix internationaux —> Nationalisme économique (dans un cadre de crise interna. les pays vont avoir tendance a repartir sur des politiques protectionnistes mais bcp plus radicales, et procède a des dévaluations fortes) —> Chute des flux de marchandises et de capitaux Une conséquence inattendue de la rupture des années 30. Les capitalismes ont été contraints de se replier sur leurs territoires respectifs. Une des causes de l’exceptionnelle croissance d’après-guerre. Mais il fallait une condition supplémentaire La transformation des ouvriers en consommateurs. Les ouvriers doivent pouvoir consommer une plus grande partie des richesses produites. Ford et Hitler —> les ouvriers doivent pouvoir s’offrir une automobile (Ford T/Volkswagen) ; l’Etat commence à intervenir sur le partage de la valeure ajoutée -> le pib est partager en revenus ( new deal aux usa et front populaire en France) L’après guerre: la consommation de masse. Pour vendre à l’ensemble de la population, il faut standardiser la production. Peu de standardisation : le Ford T(1908), reste un bien de luxe pendant longtemps. Se développe dans l’après guerre pour la majorité Les USA: la consommation de masse, des les années 30. Aux usa ca commence des les années 30. 40% des foyers ont la radio en 1930-> 83% en 1940. 70% des foyers ont l’électricité en. Le cas de la France : la consommation, de masse dans l’après guerre. Entre 1954-19745, le taux d’équipement des ménages en machines a laver 8%->72%. Réfrigérateurs 3%->91%. Téléviseurs 1%->86%. Arrivée du gaz dans les années 1960. De l’électricité et de l’eau courante dans les années 1970 —> Changements radicaux en une generation La croissance “autocentrée” de l’après guerre: un cercle vicieux Production “ de masse “ —> Générer des gains de productivité —> partage “équilibré” de la valeur ajoutée —> augmentation des salaires(au meme rythme que la prod) —> consommation “de masse” —> augmentation des investissements —> Production “de masse” : cercle vertueux engendrant une croissance. C’est l’âge d’or du capitalisme, tout le monde était gagnant, compromis social qui ne sont pas fait au detriment du profit. Un accroissement sans precedent de la richesse moyenne. Cercle vertueux —> taux de croissance exceptionnels. Entre 1950-1974 la richesse moyenne par habitant augmente de ° 2ù par an aux usa ° 7,7% par an au Japon ° 4,8% par an en Allemagne ° 4% par an en France —> Réduction des inégalités La situation dans le reste du monde : l’union soviétique. Développement industriel important au cours de la période : croissance et industrialisation dans les années 30, collectivisation des terres, industrie lourde. Après la fin de la guerre civile (1921) -> taux de croissances > ceux des pays capitalistes. Devenir une puissance industrielle en à peine 2 générations. Alors que le capitalisme russe était encore faible et subordonné aux capitalismes EU avant 1914 La situation dans le reste du monde: Amérique latine et Dominions. Dans les années 30, se replient également sur leur territoire. Capitalismes extravertis (activités agro-exportations), avec faibles noyaux d’activités industrielles. Chute des prix des matières premieres -> politiques d’industrialisation sous protection dans certains pays. Les Dominions (hors Afrique du Sud) rejoindront les pays industrialisés. Mais échec en Amérique latine , qui rejoindre le “Tiers Monde” dans les années 1950 ° pas d’intégration économique des classes ouvrières (sociétés très polarisées) ° reprise du commerce international à la fin des années 40 -> relance le développement extraverti ° petite taille des marchés intérieurs pour produire sur une échelle suffisamment importante La situation dans les colonies et semi-colonies jusqu’aux indépendances. Avant les indépendances pas vraiment de dev économique. Une véritable explosion démographique ° baisse de la mortalité infantile : diffusion de méthodes d’hygiène et de soins de base par exemple: lavage des mains de la part des médecins lors accouchements ° maintien des taux de natalité ° énormes besoins d’investissement (infrastructures, urbanisation, education …) phénomènes de bidon ville car entassement dans les villes, villes polluées, sales etc.. Les écarts de richesse se creusent au cours de la période 1900-1953: le PIB par tête croit de 0,4% par an contre 1,47% pour la pays développés. Écart de richesse passe de 1 à 3 (1900) à 1 à 5,5 (1953)