Adaptations Chroniques à l'Exercice PDF
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Summary
Ce document présente un aperçu des adaptations chroniques à l'exercice, notamment le système cardiovasculaire, respiratoire et musculaire. Il décrit les adaptations aiguës et chroniques, ainsi que les impacts physiologiques des adaptations. Le document aborde le sujet de l'entraînement et de son impact sur le corps.
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adaptations chroniques à l’exercice l’ex physique régulier entraîne des adaptations chroniques dans le corps : des changements qui se produisent progressivement avec le temps en réponse à l'entraînement → elles concernent diffèrent sys du corps : cardiovasculaire, respiratoire, muscles, os, etc rô...
adaptations chroniques à l’exercice l’ex physique régulier entraîne des adaptations chroniques dans le corps : des changements qui se produisent progressivement avec le temps en réponse à l'entraînement → elles concernent diffèrent sys du corps : cardiovasculaire, respiratoire, muscles, os, etc rôle de l’Apa : solliciter une fonction et lui provoquer un stress physiologique on amène un enchaînement (succession de stress) qui permette de renforcer la fonction on cherche à faire de la surcompensation : fatiguer le muscle que je vise à améliorer, on va en-dessous du seuil d’acceptation puis, je laisse le temps au muscle de se reposer pour avoir une amélioration il faut savoir doser le temps de repos et la charge de travail si mal réalisé : aucun effet et d’adaptations chroniques allant jusqu’à une dégradation à cause du surentraînement cela s’explique avec nos différents systèmes : système nerveux sympathique : tout ce qui va stresser notre corps ce qui amène une cascade de réactions et des adaptations activation pendant l’ap système nerveux parasympathique : inverse du sympathique quand l’un fonctionne, l’autre va moins bien fonctionner il permet de réparer ce qui a été agressé par le stress, et le contrebalance activation au repos : il faut qu’il ait le temps de récupérer on regarde la variabilité de la fréquence cardiaque (au repos) pour être dans le bon compromis et laisser un temps de repos adéquat peu ou pas de variabilité : le système parasympathique cherche tout le temps à contrebalancer l’effet du stress, le corps a besoin de + de repos → utilisation du RMSSD (analyse fréquentielle du coeur avec ratio et ordre de grandeur de l’état de fatigue du système nerveux) 3 systèmes principaux dans l’apa : cardiovasculaire, pulmonaire et musculaire système cardiovasculaire : adaptations cardiaques aiguës : augmentation de la Fc : demande accrue d’oxygène pendant l’exercice donc le système nerveux stimule le coeur pour augmenter sa fréquence de battement : aide pour transporte de l’oxygène augmentation du VES : le coeur augmente le volume de sang éjecté à chaque contraction (vol systolique) pour répondre à la demande accrue des muscles actifs VES : la systole (phase de contraction des ventricules du coeur) permet d’éjecter du sang, et la diastole (phase de relaxation des ventricules) permet le remplissage du coeur en sang ici, phase de systole où le coeur bat + vite et + fort élévation du débit cardiaque : augmente pour assurer une circulation sanguine adéquate vers les muscles en activité : meilleure alimentation des muscles Q (L/min) = VES (mml) x Fc (bpm) vasoconstriction et vasodilatation : les vaisseaux sanguins vers les muscles se dilatent pour avoir un meilleur flux sanguin les vaisseaux vers les organes non essentiels subissent une vasoconstriction pour rediriger le sang vers les muscles alors qu’au repos, il y a une répartition du débit sanguin adaptations cardiaques chroniques : avec entraînement régulier augmentation de la capacité cardiaque : changements structurels et fonctionnels du coeur qui augmente sa capacité à pomper le sang → hausse du VES et baisse de Fc repos amélioration de la contractilité cardiaque : stimule l’hypertrophie du muscle cardiaque et améliore sa capacité à se contracter de manière plus efficace hypertrophie : augmentation du volume musculaire loi de starling : décrit la relation remplissage du coeur et sa force de contraction force de contraction est fonction de la longueur des sarcomères si la taille du coeur augmente, sa force est augmentée réduction de la Fc de repos : économie cardiaque accrue une personne entraînée a un système parasympathique qui va + facilement revenir à un état d’équilibre amélioration de la récupération après l’exercice : un coeur entraîné récupère + rapidement car il a une capacité à ajuster plus rapidement la Fc et le débit cardiaque stimulation de l’angiogénèse : favorise la croissance de nouveaux vaisseaux sanguins et améliore la distribution d’oxygène vers les tissus angiogenèse : fabrication de nouveaux vaisseaux sanguins adaptations aiguës de la tension artérielle : augmentation de la tension artérielle systolique : la pression dans les artères quand le coeur se contracte augmente pour répondre à la demande accrue en oxygène et nutriments par les muscles actifs augmentation de la Fc : contribue à l’augmentation de la tension artérielle distribution du débit sanguin : vers les muscles en activité, ce qui entraîne une diminution de la résistance périphérique totale et contribue à une augmentation de la pression systolique maintien ou légère augmentation de la tension artérielle diastolique : la pression des artères entre les battements cardiaques reste stable ou augmente légèrement adaptations chroniques de la tension artérielle : diminution de la tension artérielle au repos : particulièrement notable chez les personnes hypertendues ou prétendues diminution de la réponse de la tension artérielle à l’exercice : maintient une tension artérielle plus stable pendant l’effort amélioration de la compliance vasculaire : la capacité des vaisseaux sanguins à se dilater et se contracter est plus efficace réduction de la tension artérielle nocturne : important pour la santé cardiovasculaire réduction du risque d’hypertension : réduit le risque de développer une hypertension artérielle à long terme amélioration de la santé vasculaire : favorise la santé des vaisseaux sanguins et réduit le risque de maladies cardiovasculaires effets antihypertenseurs : peut avoir des effets similaires à ceux des médicaments antihypertenseurs qui contribuent à la gestion de la pression artérielle ccl : les réponses individuelles à l’exercice peuvent varier angiogenèse augmente le volume du coeur : + de sarcomères : + de force : + d’efficacité fait évacuer la transpiration et l’eau : meilleure irrigation périphérique et réduit le volume d’eau : produit plus d’activité système respiratoire : les poumons prélèvent de l’oxygène présent dans l’air et d’éjecter le Co2 à l’intérieur maladie respi : je ne peux prélever de l’oxygène et je réalise seulement des ex anaérobies quand je fais de l’ex : la pression en Co2 augmente il y a une cascade qui permet de réguler la fréquence respiratoire avec des récepteurs (poumons, cerveau) adaptations aiguës respiratoires : augmentation de la fréquence respiratoire : permet une inhalation et une expiration plus rapides augmentation du volume courant : le volume d’air inspiré et expiré à chaque cycle respiratoire augmente pour répondre à la demande accrue d’oxygène stimulation du système nerveux sympathique : peut augmenter la ventilation pulmonaire pour assurer une oxygénation adéquate du sang expansion des voies respiratoires : elles peuvent se dilater pour permettre un flux d’air plus important adaptations chroniques respiratoires : amélioration de l’efficacité respiratoire : car renforce les muscles respiratoires (diaphragme et intercostaux) augmentation de la capacité pulmonaire : ex aérobie régulier peut entraîner une extension des poumons qui augmente la capacité pulmonaire et la quantité d’air que les poumons peuvent contenir diminution de la fréquence respiratoire de repos : témoigne d’une adaptation à une respiration plus efficace amélioration de la diffusion pulmonaire : améliore la capacité des poumons à diffuser l’oxygène dans le sang qui contribue à une meilleure utilisation de l’oxygène par le corps réduction de la sensation de dyspnée : de l'essoufflement pendant l’exercice du à une meilleure adaptation du système respiratoire optimisation du rapport ventilation-perfusion : meilleure correspondance entre l’apport d’air aux poumons et la circulation sanguine dans les poumons qui améliore l'efficacité de l'échange gazeux système musculaire : adaptations aiguës musculaires : augmentation du flux sanguin vers les muscles : pour fournir davantage d’oxygène et de nutriments nécessaires à la production d’énergie : meilleure perfusion activation du système neuromusculaire : le système nerveux stimule les unités motrices qui entraîne des contractions musculaires pour générer le mouvement → câble électrique qui provient du cerveau et envoie l’info aux muscles, la commande nerveuse va activer le muscle au niveau des terminaisons, on retrouve des unités motrices recrutement des fibres musculaires : en fonctions de l’intensité, différents types de fibres sont recruté : lente (1) pour activités d’endurance, rapide (2) pour des activités intensives qui amène une meilleure diffusion et une activation plus spatiale production accrue d’atp : la principale source d’énergie des contractions musculaires production de chaleur : contribue au maintien de la température corporelle Les mitochondries sont primordiales dans cette production d’atp (cycle de Krebs utilise nutriments) si un muscle est faible en mitochondries : vite acide et fatigable (t1) s’il repose correctement : s’adapter et créer de nouvelles mitochondries avec l’exercice, il est possible d’avoir plus d’adaptations neuromusc, et de mitochondries mais il est difficile de passer d’un type de fibres prédominant à un autre si je m’entraine avec de la résistance et de la force de W, j’ai besoin de toutes mes fibres, il faut recruter toutes les unités motrices en même temps : synchronisation charge lourde : aspect neuro charge faible : aspect mitochondrial adaptations chroniques musculaire : hypertrophie musculaire : augmentation de la taille des fibres musc en réponse à des charges progressives amélioration de l’endurance musculaire : utilisation plus efficace de l’oxygène augmentation de la densité capillaire : stimule la croissance de nouveaux vaisseaux sanguins dans les muscles qui augmente la perfusion sanguine et la fourniture d’oxygène amélioration de la coordination intermusculaire : affine la coordination entre groupes musc, qui améliore la précision des mouvements (quadri, biceps, triceps) optimisation du métabolisme énergétique : changements dans les enzymes et processus métaboliques au sein des c musc qui améliore l’efficacité dans la production d’énergie réduction du risque de fatigue musculaire : retarder et améliore la capacité à maintenir des performances élevées sur une longue période adaptation de la composition musculaire : influence la proportion des fibres ce qui a des implications sur les perfs et caractéristiques physiques système squelettique : os : corps spongieux composé de calcium adaptations aiguës osseuse : augmentation de la circulation sanguine osseuse : flux sanguin vers les os augmente et fournit des nutriments essentiels, favorise la santé osseuse stimulation des cellules osseuses : l’impact mécanique stimule ces c et favorise la régulation de la densité minérale osseuse adaptations chroniques osseuse : stimulation de l'ostéogenèse : la formation d’os en incitant le corps à déposer davantage de minéraux (calcium, phosphate) dans les os création de contrainte créer des microfissures sur l’os et on laisse récupérer, il se consolide augmentation de la densité minérale osseuse : réduit risque d'ostéoporose (diminution chronique de la densité osseuse et altération de l’architecture osseuse avec risque de fracture et os plus fragiles) renforcement de la structure osseuse : en stimulant la formation de nouvelles trabécules osseuses et en augmentant la résistance à la compression amélioration de la résilience osseuse : réduit risque de fractures amélioration de la géométrie osseuse : notamment élargissement des os en réponse à la charge mécanique réduction du risque de perte osseuse liée à l'âge : protection contre l’ostéoporose stimulation de la production d’hormones : telles que l’oestrogène et la testo, qui jouent un rôle important dans la régulation de la densité osseuse amélioration de l’équilibre : et la coordination en réduisant le risque de chutes et fractures os et âge : -17 : construction du capital osseux 18-35 : vie avec capital osseux +40 : déclin du capital osseux : pas la mm densité et moins simples donc + de fractures système métabolique : La compo chimique des glucides est primordiale dans l’ap et va avoir une influence sur la gestion et l’utilisation des glucides la conso de glucides doit être adaptée à l’effort qui suit adaptations aiguës métabolique : augmentation de la conso d’oxygène (Vo2max) : répondre à la demande accrue d'énergie des muscles actifs utilisation des substrats énergétiques : alterne l’utilisation de glucides, graisses et protéines comme source d’énergie en fonction de l’intensité augmentation de la lipolyse : stimule la décomposition des triglycérides dans les cellules adipeuses et libère des acides gras qui peuvent être utilisés comme source d’énergie activation du métabolisme anaérobie : haute intensité : pour générer de l’énergie en absence d'oxygène sur courte durée adaptations chroniques métaboliques : amélioration de l’efficacité énergétique : efficacité avec laquelle le corps utilise l'oxygène pour produire de l’énergie : amène meilleure endurance optimisation du métabolisme des glucides : augmente la capacité du corps à stocker et utiliser le glycogène (forme de stockage les glucides dans les muscles et foie) augmentation de la capacité aérobie : cardio favorise le dvp des systèmes aérobies, qui améliore la capacité du corps à utiliser l’oxygène pour la production d’énergie accroissement de la capacité de lipolyse : devient plus efficace dans la mobilisation et l’utilisation des graisses comme source d’énergie adaptation mitochondriale : augmente densité mitochondriale dans les c musc, qui améliore la capacité à générer de l’énergie en aérobie amélioration de la sensibilité à l’insuline : favorise meilleur contrôle de la glycémie réduction du risque de résistance à l’insuline : prévient et atténue la résistance qui est un facteur de risque du DT2 adaptations métaboliques spécifiques au type d'entraînement : en fonction des demandes énergétiques de l’activité parfois, quand je suis au max, il y a des limitations ventilatoires, cardio et musc on a toujours un peu de lactate seuil de lactate : je n’arrive plus à tenir une conversation, je commence à en produire 2e seuil : l’intensité de battements de coeur ne peut plus augmenter : j’en produis encore + relation espérance de vie-Vo2 max : Vo2 max importante : plus de 95% de rester vivants au bout de 10 ans de pathologie en fonction du temps de l’effort, nous n’utilisons pas les mêmes stratégies 1m : glucose dans les muscles 3m : oxydation des glucides dans le sang +3m : oxydation des lipides et protides système immunitaire : les globules blancs montrent l’état de ce système adaptations aiguës immunitaire : augmentation de la circulation des c immunitaires : comme les globules blancs dans le sang qui facilite leur déplacement vers les sites d’infection ou d’inflammation potentiel stimulation de la libération d’anticorps et de cytokines : molécules impliquées dans la régulation de la réponse immunitaire activation des cellules tueuses naturelles (NK) : jouent un rôle dans la défense immunitaire contre les c infectées ou tumorales modulation de l’inflammation : contribue à une réponse immunitaire équilibrée adaptations chroniques immunitaire : réduction du risque d’infections respiratoires : mais des niveaux d’intensité très élevés et un surentraînement peuvent avoir des effets négatifs amélioration de la fonction des c immunitaires : notamment augmentation de la capacité des c T à reconnaître et combattre les agents pathogènes régulation de l’inflammation chronique : contribue à la santé générale et fonction immuni effets anti-inflammatoires : notamment ex d’intensité modérée qui contribue à un équilibre sain du sys immunitaire réduction du stress oxydatif : il est lié à l’inflammation et peut affecter la fonction immuni stimulation de la production d’immunoglobulines : protéines qui jouent un rôle clé dans la défense immunitaire modulation des réponses inflammatoires aiguës : régulation plus précise de la rép immu l’intensité, durée et type d’ex ont des effets différents ap active les defs immunitaires et le nombre de globules blancs qui restent à un seuil max et chutent en-dessous du seuil après l’ap puis le seuil sera + haut qu’avant après le repos système nerveux : adaptations aiguës du sys nerveux : activation du sys nerveux sympathique : augmente la libération d’adrénaline augmente Fc, pression artérielle et mobilisation de l’énergie recrutement des unités motrices : elles activent les muscles pour produire un mvt + l’intensité augmente, + d’unités motrices sont recrutées amélioration de la coordination neuromusc : coordination entre sys nerveux central (cerveau et moelle) et sys immunitaire, qui favorise des mvt + précis et efficaces augmentation de la concentration des neurotransmetteurs : tels que la sérotonine et noradrénaline qui contribue à une amélioration de l’humeur et réduction du stress adaptations chroniques du sys nerveux : amélioration de la coordination intermusculaire : optimise la perf notamment des mouvements complexes optimisation des réflexes moteurs : + rapides et efficaces qui permet une réaction musculaire + rapide en réponse à un stimulus amélioration de la plasticité synaptique : facilite la communication entre les neurones et renforce les connexions synaptiques diminution de la réponse au stress : favorise un état de relaxation amélioré changements dans la structure cérébrale : tels que l’augmentation du volume de certaines régions liées à la mémoire, apprentissage et contrôle moteur réduction du risque de troubles neurologiques : comme parkinson ou alzheimer amélioration de la proprioception : capacité du corps à percevoir la position et les mouvements de ses parties, qui contribue à une meilleure coordination et stabilité optimisation de la transmission nerveuse : transmission des signaux nerveux le long les voies neuronales devient plus efficace et améliore la qualité des mouvements sur la fatigue : fatigue aiguë : accumulation de métabolites : tels que le lactate et l’acide lactique qui contribuent à la sensation de fatigue musculaire épuisement des réserves de glycogène : ex d’endurance amène fatigue musculaire diminution des substrat énergétiques : tels que le glycogène musc et acides gras peut contribuer à la fatigue accumulation d’ammoniac : sous-produit du métabolisme des protéines qui contribue à la sensation de fatigue stimulation du sys nerveux central : augmente la perception de l’effort et contribue à la fatigue mentale fatigue chronique : amélioration de l’efficacité énergétique : plus efficace dans l’utilisation des substrats énergétiques, et contribue à retarder l’apparition de la fatigue amélioration de la résistance à la fatigue musculaire : permet aux muscles de maintenir des perfs plus élevées pendant les périodes plus longues adaptations mitochondriales : améliore la capacité des c à produire de l’énergie en aérobie diminution de la perception de l’effort : retarde sensation de fatigue amélioration de la récupération : réduit la durée nécessaire pour récupérer après un effort adaptations neuromusc : telles que l’amélioration de la coordination motrice et la synchronisation des unités motrices qui contribue à la perf diminution de la production de lactate : contribue à la gestion de la fatigue musc fatigue : processus complexe influencé par de nombreux facteurs état général de faiblesse, manque d’énergie qui peut être mental, physique ou émotionnel somnolence : état de besoin pressant de sommeil caractérisé par une difficulté à rester éveillée l’ap permet d’améliorer la qualité et quantité de sommeil (latence d’endormissement)