Cm3-Le développement cognitif acquis PDF

Cm3-Le développement cognitif acquis I. Théories du développement acquis Idée d'un développement cognitif acquis: l'esprit apparaîtrait puis se développerais sous l'influence de l'environnement Rien dans le développement psychologique n'est uniquement innée Même le cerveau, dont la genèse s'appu...

Cm3-Le développement cognitif acquis I. Théories du développement acquis Idée d'un développement cognitif acquis: l'esprit apparaîtrait puis se développerais sous l'influence de l'environnement Rien dans le développement psychologique n'est uniquement innée Même le cerveau, dont la genèse s'appuie sur des gènes présents de façon innée, se développe dans la durée sous l'effet de l'environnement Les parties du cerveau qui gèrent les fonction les plus complexes se développent jusqu'à la fin de l'adolescence Les fonction exécutives c'est l'ensemble des processus qui va permettre a l'individu de réguler ça penser Dans le cerveau elles sont associés a des aires, les partie du cerveau qui génèrent les fonction les plus complexe se développent jusqu' la fin de l'adolescence Elles vont joué un rôle centrale dans le développement de l'individu et ça jusqu'à la fin de l'adolescence en se complexifient En le guidant dans son apprentissage et réconfortant, en le guidant ça va l'aider a utiliser ces compétence. Dans un environnement plus riche elle va pouvoir développé et conservé un réseau synaptique plus complexe Au niveaux cellulaire et synapse dans le cerveau- La maturation du cerveau n'est pas seulement en croissance.Le cerveau subit aussi une décroissance appelé l'élagage synaptique. L'élagage synaptique= est la disparition progressive des synapses (connexion entre neurone) les moins utiliser,à partir de 2 ans et va permettre de conservé les plus utile pour l'enfant. On considère qu'il y'a un effet de l'environnement sur la maturation du système nerveux. Production massive de synapse jusqu'à 2 ans, puis a partir de 2ans jusqu'à l'adolescence→ élagage permet d'optimiser le cerveau au fur et a mesure des apprentissage pour renforcer et conserver les connexion les plus utile pour l'enfant il y'a donc un effet de l'environnement sur le système nerveux expl: les aires du langage oral sont présentes de façon innée *mais* le langage se développe pas sens stimulation Un enfant qui va grandir dans un riche et stimulant va pouvoir construire un réseau synaptique plus complexe **Élagage synaptique**. Les neurones forment massivement de nouvelles synapses (connexions) entre eux jusqu\'à 2 ans environ. A partir de 2 ans, et jusqu\'à la fin de l\'adolescence, le phénomène inverse se produit : de nombreuses synapses disparaissent. Ce phénomène d\'élagage des synapses permet de sélectionner/renforcer les connexions les plus utiles et d\'éliminer les autres : c\'est donc un effet de l\'environnement sur la maturation du système nerveux. **Le concept de tabula rasa** est l'idée que l'esprit humain n'ait intégralement vide: il n'existe rien d'innée, tout doit être appris Ce concept est développé au 20eme siècle a partir des travaux de psychologues Béhavioristes.Le courant Béhavioristes propose que le comportement humain sont appris par association: un stimulus→ un comportement Les comportements sont essentiellement appris a partir: -d'apprentissage \- de facteur environnementaux **Tabula rasa**. Concept philosophique présent dès l\'antiquité et à travers toute l\'histoire des idées (Aristote, Aetius, Avicenne, Locke), suggérant que l\'esprit humain est comme une tablette de cire (tabula) vide (rasa), donc que le développement psychologique est 100% acquis. Pavlov: principe de conditionnement( principe du conditionnement avec le chien et le sifflet) Watson: application du développement de l'enfant(Albert) Le comportement serait du a l'apprentissage et aux facteur environnementaux C'est une technique répétitive qui permet la mise en place d'un nouveau comportement **Apprentissage=** **Béhaviorisme.** Courant théorique qui propose que les comportements humains sont essentiellement appris à partir de conditionnement. Pour ses auteurs, étudier la psychologie humaine revient à étudier les associations entre des stimuli et les réponses qu\'ils provoquent. Les plus anciens auteurs béhavioristes pensaient que tous les comportements humains s\'expliquaient sous cette forme (je vais en cours parce que j\'ai appris à associer \"aller en cours\" à la récompense \"réussite aux examens\") ; cette position radicale n\'est plus défendue par personne -- on sait qu\'il existe aussi des phénomènes psychologiques plus complexes qui passent par l\'intermédiaire de représentations mentales des concepts. **Conditionnement**. Phénomène d\'abord observé par Ivan **Pavlov (1897)** consistant en l\'apprentissage d\'une association entre deux stimuli A et B. Si A provoque une réponse, à force de présenter A en même temps que B, à terme B finira par provoquer la même réponse / le même comportement. Généralement illustré par l\'expérience des chiens de Pavlov : à force de présenter la pâtée en même temps qu\'une clochette, le chien apprend à saliver en entendant simplement la clochette. Ce principe fonctionne chez l\'animal comme chez l\'humain et permet d\'expliquer de nombreux apprentissages humains. **Expérience du Petit Albert**. Expérience menée par **John Watson en 1920** dans le cadre du courant béhavioriste et visant à montrer que les phobies peuvent être acquises par conditionnement. Le Petit Albert, 3 mois, a été conditionné à avoir peur de rats (et de la fourrure en général) en présentant de façon répétée un petit rat blanc en même temps qu\'un son violent. Cette expérience est de mauvaise qualité mais montre que les troubles mentaux peuvent être acquis (et qu\'il faut se poser des questions éthiques quand on fait de la recherche). IF: les troubles psychologique comme les phobies peuvent être acquis par conditionnement, apprentissage IF: Les expérience portent sur des enfant doivent être approuvées par un comite éthique (c10) **Modèle de Bronfenbrenner (1977)**. **Modèle permettant de décrire les effets de l\'environnement sur le développement de l\'enfant.** Les influence extérieure sur le développement de l'enfant.= théorie de l'acquis. La notion de \"environnement\" est découpée en quatre niveaux : -le **microsystème** (environnement immédiat de l\'enfant : le père, la mère, les frères et sœurs, l\'instituteur, pédiatre...) -le **mésosystème** (toutes les interactions entre les membres du microsystème : comment la mère interagit avec le père, ce que les parents disent au sujet de l\'école...) -l\'**exosystème** (tout ce qui exerce une influence sur les membres du microsystème, et donc indirectement sur l\'enfant : médias, lieu de travail des parents, amis de la famille, voisinage, produits vendus au supermarché...) \- le **macrosystème** (toutes les règles culturelles, explicites -- comme les lois -- ou implicites -- comme les règles linguistiques, religieuses, les coutumes, les habitudes...). **mésosystèm**e= interaction avec les différant membre de la famille II\. Les différences cognitives entre cultures **La culture au sens large (macrosystème) va avoir de nombreux effet sur le développement cognitif de l'enfant:** 6 exemples a retenir: 1.La numération : effet du langage sur le comptage Pirahã. Exemple de langue amazonienne qui ne contient que trois mots pour désigner les nombres : un (hói), deux (hoí), beaucoup (aibai). Il existe au moins une douzaine d\'autres langues similaires dans le bassin Amazonien. Les Pirahãs sont très en difficulté pour résoudre des tâches impliquant plus de 3 objets. Cet exemple soutient l\'hypothèse de Sapir-Whorf. Résultat= la pop est en difficulté pour les tache a plus de 3 objet et cognition numérique est affecter 2\. Mémorisation : effet du langage sur le traitement des couleurs Tarahumara. Exemple de langue mexicaine qui utilise le même mot pour toutes les couleurs allant du bleu au vert (c\'est le cas dans beaucoup d\'autres langues). Les Tarahumaras catégorisent le bleu et le vert ensemble sans distinction, et ont tendance à les mélanger dans les tests de mémoire. C\'est le contraire de l\'anglais ou du français, qui perçoivent une différence exagérée entre bleu et vert et s\'en souviennent de façon distincte. Les t perçoivent 2 comme étant aussi proche de 1 que au 3 Les anglais mémorise mieux 1 les T mémorise 1,2,3 pareil et plus difficile Cet exemple soutient l\'hypothèse de Sapir-Whorf. 3\. Visuo- spatial : effet du langage sur l'orientation spatial Guugu Yimithirr. Exemple de langue aborigène australienne dans laquelle il n\'existe aucun mot pour exprimer des positions **spatiales relatives** : \"à gauche de\", \"à droite de\", \"en-dessus de\". Toutes les positions spatiales sont exprimées de **façon absolue** par rapport aux points cardinaux : \"à l\'est de\", \"à l\'ouest de\". Un locuteur de cette langue ne pourrait pas exprimer la phrase \"vous êtes devant votre écran d\'ordinateur\" : il devrait consulter la position du soleil pour dire par exemple \"vous êtes au nord-est de votre écran d\'ordinateur\". Les locuteurs de cette langue sont bien meilleurs que les occidentaux en orientation dans l\'espace, mais réussissent moins bien les tâches qui portent sur les relations entre objets. Cet exemple soutient l\'hypothèse de Sapir-Whorf. \-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-- **Définition:** l'hypothèse de Saphir- Whorf propose que la structures d'une langue influence la façon dont ses locuteurs pensent et perçoivent le monde → lien entre la langue et la pensé Hypothèse de Sapir-Whorf. Principe selon lequel la structure d\'une langue affecte la façon dont les locuteurs de cette langue pensent, réfléchissent, perçoivent le monde. Un concept pour lequel il n\'existe pas de mot dans une langue serait donc plus difficile à identifier et à manipuler. Hypothèse largement issue des travaux de Edward Sapir et Benjamin Whorf. \-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-- 4.Perception : effet de l'environnement sur les illusions Illusion de Müller-Lyer et illusion horizontale-verticale. Deux exemples d\'illusions visuelles (les deux lignes sont en réalité de la même longueur) qui fonctionnent chez presque 100% des occidentaux, mais pas dans d\'autres cultures. L\'illusion de Müller-Lyer fonctionne mal dans les cultures où on voit peu d\'angles droits dans la vie de tous les jours et l\'illusion horizontale-verticale fonctionne mieux dans les cultures qui vivent dans des endroits très plats où il y a peu de stimuli verticaux. Illustre le caractère acquis de la perception visuelle.  *Image de gauche:* ne fonctionne *pas* dans les cultures ou il y'a peu d'angles droits *Image de droite:* fonction mieux dans les cultures qui vivent dans des environnement très horizontaux **ccl→on apprend a percevoir les stimuli visuels. qui ont du sens dans notre culture** 5\. Catégorisation:effet des normes culturel **Catégorisation:** effet des normes culturelles sur la catégorisation **Catégorisé:** procureuse fondamental dans la perception et la compression de la catégorie d'objet Effet de la culture sur le raisonnement logique. La culture a aussi un effet sur la performance dans les tâches de raisonnement logique complexe : deux autres exemples sont les tâches de catégorisation (\"qu\'est-ce qui va avec une patate : le chou ou le couteau ?\" la réponse considérée comme \"intelligente\" diffère d\'une culture à l\'autre). Questions: qu\'est-ce qu'on peut ranger avec une patate? → réussite massive des enfant français( environ 3 ans et plus) → échec massif des Kpelle adultes: «le couteau, parce qu'un homme intelligent épluche une patate avec un couteau» Questions: qu'est ce qu'un abruti mettrait avec la patate? → réponses correcte des Kpelle: «le chou, parce que c'est de la nourriture, comme une patate» 6.Pensé abstraites: effet de la scolarisation Les tâches de manipulation d\'objets abstraits → (les enfants des favelas brésiliennes, non scolarisés, sont excellents en calcul avec des objets concrets mais très mauvais avec des quantités abstraites). \-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-\-- Idée Fondamentale: les contexte culturel influence le développement de la structure de la pensée, dans tous les domaines du fonctionnement cognitif Cet effet de la culture explique totalement pourquoi les cultures non-occidentales réussissent moins biens les teste occidentaux Carte du monde du quotient intellectuel. Carte réalisée par des scientifiques racistes pour essayer de montrer que les groupes non-occidentaux seraient moins intelligents que les blancs. En réalité les résultats obtenus s\'expliquent intégralement par les différences culturelles, comme celles détaillées plus haut (et d\'autres, par exemple le fait que les tests sont faits pour être lus de gauche à droite alors que certaines langues se lisent de droite à gauche). Il existe plusieurs exemples de groupes culturels qui font bien mieux que les occidentaux blancs quand on utilise des tests qui leur sont adaptés III\. Les différences cognitives entre familles Le contexte familial(une partie du microrystème) a aussi de nombreux effet sur le développement: 4 exemples a retenir: 1\. Influence du niveau socio-culturel de la famille Niveau socio-économique / socio-culturel. Le niveau **socio-économique renvoie à la quantité de richesse d\'une famille (profession, revenus, lieu d\'habitation...)** et le **niveau socio-culturel à sa quantité de capital culturel (connaissances, diplômes, nombre de livres possédés...).** Le niveau socio-économique et/ou socio-culturel a un effet important sur le développement cognitif : les enfants de cadres font toujours mieux en moyenne que les enfants de paysans, dans des domaines qui vont de l\'apprentissage de la langue aux tests d\'intelligence. L\'écart a peu diminué depuis les premières études sur ce sujet dans les années 1930. En France les études de référence sont celles de l\'Institut National d\'Etudes Démographiques (INED). Les enfant né dans les famille riche et doté d'un bon niveau d'étude ont des performance cognitive plus élevées *en moyenne* L' existence d'une vraie **égalité des chance à l'école** de la république est un mythe indéfendable en pratique **Égalité des chances à l\'école.** Idée selon laquelle tous les enfants scolarisés en France débutent leur scolarité avec les mêmes chances de réussir et d\'accéder aux diplômes les plus élevés et aux professions les plus prestigieuses. Les importantes inégalités en fonction du niveau socio-économique / socio-culturel montrent bien que l\'égalité des chances est un mythe. Y'a pas de différence génétique c'est le rôle de l'acquis et de l'environnement! D'où vient l'effet du niveau socio-économique ou socio-culturel? -qualité de la nutrition pré-natale et post-natale(effets à court terme?) -tabagisme,alcool -comportement parental -accès aux support culturel(nombre de livre dans la maison...) -langage utilisé par les parents -type de logement,type de voisinage -etc.. Expérience: \- 35 enfants adoptés par des familles favorisées(cadres- groupe A) -39 demi- frères ou sœurs restés dans leurs milieu d'origine(groupe B) résultats du teste individuel= -groupe A: 110,6 \- groupe B: 94,2 2.Effet de la composition familiale. En moyenne, les enfants de familles plus nombreuses ont des scores de raisonnement plus faibles, et plus l\'ordre de naissance est grand (plus l\'enfant naît tard dans une fratrie), plus son score est faible. ▪ L\'effet de la taille de la famille est difficile à interpréter et peut-être lié au fait que les familles au niveau socio-culturel plus faible ont tendance à faire plus d\'enfants. ▪ L\'effet du rang dans la fratrie est souvent attribué au fait que les enfants les plus âgés reçoivent plus d\'attention et de ressources des parents, et ont l\'occasion d\'enseigner des choses à leurs frères et sœurs plus jeunes. Cela expliquerait non seulement pourquoi les aînés ont tendance à avoir des scores plus élevés que leurs cadets, mais aussi pourquoi les enfants uniques sont en moyenne un peu plus faibles que les aînés de familles de 2 ou 3 enfants En moyen les aînés ont des scores de raisonnement plus élevés que leurs cadets → plus de ressources, de temps, d'énergie pour les enfant nés avant? **3. Effet du style éducatif des parents** IF: le style éducatif a un vrais impact sur le développement du raisonnement **→ 5 pratique éducative particulièrement favorable:** acceptation, protection, démocratie,stimulation, autonomie Style éducatif= modèle généraux d'éducation caractérisent le comportement des parent a l'égard des enfant **On récapitule a retenir**: 1\. l'acceptation de l'enfant( amour,compliment,attention portée\...) 2\. La protection de l'enfant(préoccupation pour sa santé,durée du contact avec la mère\...) 3\. La démocratie à la maison(tendance à expliquer les comportements,règles éducatives claires, négociation possible\...) 4.La présence de stimulation appropriées(jeu adaptés et diversifiés,présence et implication des parents, activités variées\...) 5\. Le développement progressif de l'autonomie de l'enfant Exemples de profils(étude longitudinal sur 94 familles): \- acceptation + protection + démocratie= +8.6 point de QI -acceptation + démocratie= +7,1 point de QI -protection= +4,4 point de QI -rejet + protection + autocratie= -0,3 point de QI -rejet + indifférence + autocratie= -0,9 point de QI Étude de Jack Laitrai- Il s'est intéressé a la structure de l'environnement familiale, il y'a 3 type de structuration: **souple**(si l'enfant demande il peux sortir)**/rigide/aléatoire**(l'enfant sort de table quand il veux) La structuration souple est le plus favorable est la vie familiale est claire et précise avec une possibilité de les moduler Les autres sont moins favorable car trop rigide( règle inflexibles) ou pas assez organiser(sans règle) 4\. Influence des stéréotype transmis **Stéréotypes de genre.** Les filles sont stéréotypiquement considérées comme moins malignes et plus gentilles que les garçons. Ce stéréotype apparaît avec l\'influence de l\'école, des médias, de la famille (jouets achetés par les parents, activités extra-scolaires proposées, etc) et s\'observe nettement dès 6 ans avec l\'entrée au CP. -Les enfant apprennent très tôt des stéréotype de genre sur l'aptitude cognitive (influence des parent, de l'enfant) Expl: raconter une histoire a des enfant et demander si le protagoniste est une fille ou un garçon sachant que qu'il y a deux réponse soit il/elle est très très maline soit il/ elle est très très gentilles A l'age de 5 ans il y'a pas de différence entre les sexes niveau réponses → pas de stéréotype A partir de 6 ans les stéréotype ce font les réponses sont:→ fille gentilles → garçon malins **Menace du stéréotype.** Phénomène selon lequel les gens ont tendance à échouer lorsqu\'il existe un stéréotype qui dit qu\'ils devraient échouer. Renvoie à d\'autres concepts proches (voir sur google : prophétie auto-réalisatrice, effet Pygmalion). Ce phénomène explique les différences observées entre sexes sur les tests cognitifs complexes : les filles sont moins bonnes que les garçons sur les tests qu\'elles s\'attendent à rater. Changer la consigne du test suffit à annuler, voire à inverser cet effet ( expl: teste de géométrie) -Effet du sexe sur la performance à un teste visuo-spatial d'enfant de 11- 13ans \- Les filles raisonnement moins bien que les garçons?....seulement si elle pensent que elle vont moins bien réussir Menace du stéréotype: est le fait que les gens sont moins bons quand il existe un stéréotype qui prédit qu'ils doivent échouer → La menace du stéréotype suffit à expliquer les différences entre sexes sur les tests de raisonnement