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Ce sont des goitres plongeants qui refoulent et compriment parfois la trachée.

Ce sont des tumeurs du thymus qui peuvent être épithéliales, des lymphomes thymiques ou des kystes et tumeurs bénignes.

Ce sont des tumeurs qui peuvent être bénignes (tératomes) ou malignes (séminomes et non-séminomes).

Ce sont des tumeurs bénignes liquidiennes de l'angle cardio-phrénique, souvent asymptomatiques.

Ce sont des ganglions lymphatiques enflés dans le médiastin.

Ce sont des masses régulières arrondies contenant du liquide, situées au contact des bronches.

Ce sont des tumeurs du système nerveux, bénignes chez l'adulte (schwannome) et malignes chez l'enfant.

La prise en charge dépend de l'étiologie de la pathologie. Elle peut être chirurgicale ou par des traitements systémiques.

Une condition médicale caractérisée par la présence d'air dans l'espace pleural.

Une inflammation de la plèvre, les membranes qui recouvrent les poumons.

Liquide présent dans la cavité pleurale, entre les feuillets viscéral et pariétal.

La plèvre assure le glissement des poumons pendant la respiration et contribue à la pression négative dans la cavité thoracique.

La couche la plus externe du poumon qui est en contact direct avec la cavité pleurale.

Le pneumothorax peut être spontané (sans cause apparente) ou traumatique (causé par un événement).

Un pneumothorax qui survient chez un individu en bonne santé, souvent lié à une anomalie microscopique de la plèvre.

Un pneumothorax qui survient chez une personne atteinte d'une maladie pulmonaire préexistante.

Un pneumothorax causé par un traumatisme, comme une fracture costale ou une blessure par arme blanche.

La douleur thoracique, la toux et la dyspnée (difficulté à respirer) sont des symptômes fréquents. Mais le Pneumothorax peut aussi être asymptomatique.

Une radiographie thoracique est généralement suffisante pour diagnostiquer un pneumothorax.

Une échographie pleurale et une tomodensitométrie peuvent également être utilisées pour compléter le diagnostic.

D'autres conditions, comme l'infarctus, la pneumonie ou l'embolie pulmonaire, peuvent présenter des symptômes similaires et nécessitent une distinction.

Le pronostic vital peut être engagé dans les cas de pneumothorax, il est donc crucial de surveiller attentivement les constantes vitales.

Une accumulation de liquide dans la cavité pleurale, l'espace entre les poumons et la paroi thoracique.

La pleurésie se manifeste généralement par une douleur thoracique, une difficulté à respirer (dyspnée), une toux et parfois une fièvre.

La pleurésie peut être causée par des problèmes mécaniques, une insuffisance cardiaque, une cirrhose, un syndrome néphrotique, une dénutrition sévère, des métastases, des infections, des maladies tumorales (mésothéliome) ou une embolie pulmonaire.

La pleurésie d'origine infectieuse peut être causée par des bactéries ou des virus. Une infection bactérienne peut provoquer une douleur thoracique intense et un exsudat riche en cellules inflammatoires (polynucléaires neutrophiles) nécessitant un traitement antibiotique. Une infection virale, quant à elle, se présente souvent comme un épanchement peu abondant.

La pleurésie d'origine tumorale peut être causée par un mésothéliome, un cancer rare de la plèvre, souvent associé à une exposition à l'amiante. Le liquide pleural est généralement citrin ou séro-hématique. Des biopsies sont nécessaires pour confirmer le diagnostic.

Une radiographie thoracique, une tomodensitométrie, une échographie pleurale et une ponction pleurale sont utilisées pour diagnostiquer la pleurésie.

Une ponction pleurale sert à prélever du liquide pleural pour analyse, ce qui permet de déterminer la cause de la pleurésie et de choisir le traitement adéquat.

La ponction pleurale peut entraîner un pneumothorax (air dans la cavité pleurale), une hémorragie, une douleur, un malaise vagal.

D'autres affections peuvent causer des douleurs thoraciques, telles qu'un infarctus du myocarde, un pneumothorax, une pneumonie, une embolie pulmonaire, une dissection aortique ou une péricardite.

Le traitement du pneumothorax dépend de sa gravité. Si le pneumothorax est peu abondant et bien toléré, une surveillance suffira. Sinon, l'exsufflation, le drainage ou la thoracoscopie peuvent être nécessaires.

L'exsufflation est une technique visant à aspirer l'air du pneumothorax à l'aide d'une aiguille et d'une seringue. Elle peut être utilisée pour les petits pneumothorax.

Le drainage est une technique qui consiste à placer un tube dans la cavité pleurale afin de drainer l'air et permettre au poumon de se ré-expandre. On utilise un petit calibre pour les pneumothorax simples et un gros calibre pour les pneumothorax plus importants.

La thoracoscopie est une intervention chirurgicale réalisée sous anesthésie générale ou sous sédation. Un tube est inséré dans la cavité pleurale pour permettre la visualisation du poumon. Le talc peut être utilisé pour provoquer une inflammation et la formation d'adhérences, empêchant le pneumothorax de réapparaître.

Outre les fournitures stériles standards, le matériel comprend des aiguilles de différents calibres, de la Xylocaïne, du Bicarbonate de Sodium, des seringues, un drain, un système de vidange, une aspiration et une poubelle pour les déchets médicaux.

Un pneumothorax secondaire est un pneumothorax qui est causé par une autre maladie pulmonaire, comme une infection, une maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC) ou la fibrose kystique.

Après un pneumothorax, il est important de suivre certaines recommandations. Il est interdit de prendre l'avion pendant 2 semaines et la plongée sous-marine est interdite à vie. Arrêter de fumer est aussi crucial pour la prévention de récidives.

Le talc est utilisé pendant la thoracoscopie comme un agent irritant. Il provoque une inflammation et la formation d'adhérences, empêchant ainsi le pneumothorax de réapparaître.

L'arrêt du tabac est primordial pour prévenir la réapparition du pneumothorax. La fumée de cigarette irrite les poumons et les rend plus sensibles aux pneumothorax