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Questions and Answers
La séquence du brin d’ADN matriciel, lue de 3’ en 5’, est identique à celle de
l’ARN synthétisé (les T dans l’ADN étant remplacés par des U).
La séquence du brin d’ADN matriciel, lue de 3’ en 5’, est identique à celle de l’ARN synthétisé (les T dans l’ADN étant remplacés par des U).
False (B)
Trois ARN polymérases mitochondriales permettent la transcription du
génome mitochondrial.
Trois ARN polymérases mitochondriales permettent la transcription du génome mitochondrial.
False (B)
Le promoteur minimum est une séquence d’ADN reconnue par des
enhancers.
Le promoteur minimum est une séquence d’ADN reconnue par des enhancers.
False (B)
Les deux plus grandes sous-unités de l’ARN polymérase II humaine, RPB1 et
RPB2, forment le site actif de l’enzyme et sont spécifiques de l’ARN polymérase
II.
Les deux plus grandes sous-unités de l’ARN polymérase II humaine, RPB1 et RPB2, forment le site actif de l’enzyme et sont spécifiques de l’ARN polymérase II.
Le CTD est constitué de 52 répétitions d’un pentapeptide (séquence de 5
acides aminés), avec une sérine en position 2 et une sérine en position 5.
Le CTD est constitué de 52 répétitions d’un pentapeptide (séquence de 5 acides aminés), avec une sérine en position 2 et une sérine en position 5.
Les modifications du CTD sont mises en place par des histones méthyltransférases.
Les modifications du CTD sont mises en place par des histones méthyltransférases.
La phosphorylation des sérines 5 du CTD est mise en place par CDK7, une
sous-unité du complexe TFIIH.
La phosphorylation des sérines 5 du CTD est mise en place par CDK7, une sous-unité du complexe TFIIH.
A l’extrémité 3’ des gènes, l’ARN polymérase II est majoritairement
phosphorylée sur les sérines 2 du CTD.
A l’extrémité 3’ des gènes, l’ARN polymérase II est majoritairement phosphorylée sur les sérines 2 du CTD.
La protéine TBP (protéine liant la boite TATA) interagit avec les CpG
non méthylés sur le petit sillon de l'ADN double brin.
La protéine TBP (protéine liant la boite TATA) interagit avec les CpG non méthylés sur le petit sillon de l'ADN double brin.
La séquence du brin non-matriciel est complémentaire de la séquence
de l'ARN synthétisé.
La séquence du brin non-matriciel est complémentaire de la séquence de l'ARN synthétisé.
Le promoteur minimum est un fragment d'ADN sur lequel s'assemble le
complexe de pré-initiation.
Le promoteur minimum est un fragment d'ADN sur lequel s'assemble le complexe de pré-initiation.
La protéine XPB, sous-unité du complexe TFIIH, est une translocase qui
phosphoryle le domaine C-terminal de la grande sous-unité de l'ARN
polymérase Il.
La protéine XPB, sous-unité du complexe TFIIH, est une translocase qui phosphoryle le domaine C-terminal de la grande sous-unité de l'ARN polymérase Il.
Les gènes codant pour les sous-unités des facteurs généraux de transcription
sont exprimés à des taux très variables dans les différents types cellulaires.
Les gènes codant pour les sous-unités des facteurs généraux de transcription sont exprimés à des taux très variables dans les différents types cellulaires.
Les îlots CpG sont des régions du génome enrichies en dinucléotides CpG,
fréquemment retrouvées en 5’ des gènes.
Les îlots CpG sont des régions du génome enrichies en dinucléotides CpG, fréquemment retrouvées en 5’ des gènes.
Les facteurs généraux de la transcription se fixent sur des séquences
régulatrices distales appelées enhancers.
Les facteurs généraux de la transcription se fixent sur des séquences régulatrices distales appelées enhancers.
En dehors des îlots CpG, les cytosines des dinucléotides CpG sont
majoritairement méthylées.
En dehors des îlots CpG, les cytosines des dinucléotides CpG sont majoritairement méthylées.
Toutes les cytosines du génome peuvent être méthylées par des ADN
méthyltransférases.
Toutes les cytosines du génome peuvent être méthylées par des ADN méthyltransférases.
L'ARN polymérase Il peut initier la transcription à des sites différents
(TSS variables) à partir d'un promoteur contenu dans un îlot CpG.
L'ARN polymérase Il peut initier la transcription à des sites différents (TSS variables) à partir d'un promoteur contenu dans un îlot CpG.
L'activité primase de TFIIH permet de synthétiser une amorce ARN
nécessaire pour l'initiation de la transcription par l'ARN polymérase Il.
L'activité primase de TFIIH permet de synthétiser une amorce ARN nécessaire pour l'initiation de la transcription par l'ARN polymérase Il.
Les ARN polymérases ont une faible processivité et se dissocient
facilement de l'ADN matriciel.
Les ARN polymérases ont une faible processivité et se dissocient facilement de l'ADN matriciel.
Les ARN ribosomiques des mitochondries sont synthétisés par l'ARN
polymérase I.
Les ARN ribosomiques des mitochondries sont synthétisés par l'ARN polymérase I.
Les trois ARN polymérases nucléaires sont des complexes
multiprotéiques partageant les mêmes sous-unités catalytiques (RPB1
et RPB2).
Les trois ARN polymérases nucléaires sont des complexes multiprotéiques partageant les mêmes sous-unités catalytiques (RPB1 et RPB2).
L'ARN nouvellement synthétisé reste apparié au brin d'ADN matriciel
jusqu'Ã la terminaison de la transcription.
L'ARN nouvellement synthétisé reste apparié au brin d'ADN matriciel jusqu'à la terminaison de la transcription.
Les snRNA sont synthétisés par les ARN polymérases Il et Ill.
Les snRNA sont synthétisés par les ARN polymérases Il et Ill.
Tous les précurseurs des snRNA sont synthétisés par l'ARN polymérase
Ill.
Tous les précurseurs des snRNA sont synthétisés par l'ARN polymérase Ill.
Les snRNA s'apparient par complémentarité de base avec les sites
consensus d'épissages.
Les snRNA s'apparient par complémentarité de base avec les sites consensus d'épissages.
Le site donneur d'épissage est reconnu successivement par différentes
snRNP.
Le site donneur d'épissage est reconnu successivement par différentes snRNP.
Un épissage alternatif est observé lorsqu'une mutation de la séquence
d'ADN touche un site consensus d'épissage.
Un épissage alternatif est observé lorsqu'une mutation de la séquence d'ADN touche un site consensus d'épissage.
La présence d’un dinucléotide GU (de 5’ en 3’) suffit à définir un site donneur
d’épissage.
La présence d’un dinucléotide GU (de 5’ en 3’) suffit à définir un site donneur d’épissage.
Le spliceosome est constitué de 5 snRNP et catalyse deux réactions de
transestérification.
Le spliceosome est constitué de 5 snRNP et catalyse deux réactions de transestérification.
Le clivage pré-ARNm au site donneur d’épissage est variable, pouvant avoir
lieu immédiatement en amont du GU invariant, entre le G et le U ou encore
juste en aval de GU.
Le clivage pré-ARNm au site donneur d’épissage est variable, pouvant avoir lieu immédiatement en amont du GU invariant, entre le G et le U ou encore juste en aval de GU.
Un site consensus d’épissage peut être lié successivement par deux snRNP
différentes.
Un site consensus d’épissage peut être lié successivement par deux snRNP différentes.
Après l'épissage, un complexe protéique reste associé aux jonctions d'exons.
Après l'épissage, un complexe protéique reste associé aux jonctions d'exons.
L'ARN polymérase Il se dissocie de l'ADN matriciel 10 à 30 paires de bases
en aval du signal de polyadénylation.
L'ARN polymérase Il se dissocie de l'ADN matriciel 10 à 30 paires de bases en aval du signal de polyadénylation.
Pour un gène ayant deux promoteurs alternatifs, il y a deux promoteurs
minimaux permettant d'initier la transcription à des sites différents.
Pour un gène ayant deux promoteurs alternatifs, il y a deux promoteurs minimaux permettant d'initier la transcription à des sites différents.
Différents transcrits alternatifs d'un même gène peuvent être présents dans
une cellule donnée.
Différents transcrits alternatifs d'un même gène peuvent être présents dans une cellule donnée.
Chez l’Homme, environ 10 % des gènes de classe II codent pour des facteurs
de transcription.
Chez l’Homme, environ 10 % des gènes de classe II codent pour des facteurs de transcription.
L’activation de l’expression d’un gène nécessite de rendre les séquences
d’ADN du promoteur un minimum accessibles, afin d’augmenter la fréquence des
évènements d’initiation.
L’activation de l’expression d’un gène nécessite de rendre les séquences d’ADN du promoteur un minimum accessibles, afin d’augmenter la fréquence des évènements d’initiation.
En présence de son ligand, le récepteur des glucocorticoïdes se fixe sur les
séquences régulatrices de gènes cibles.
En présence de son ligand, le récepteur des glucocorticoïdes se fixe sur les séquences régulatrices de gènes cibles.
Les récepteurs nucléaires ont un domaine de liaison à l’ADN de type « leucine
zipper » (fermeture éclair à leucines) permettant la dimérisation de ces récepteurs.
Les récepteurs nucléaires ont un domaine de liaison à l’ADN de type « leucine zipper » (fermeture éclair à leucines) permettant la dimérisation de ces récepteurs.
Les complexes de remodelage de la chromatine lient des séquences
d'ADN au promoteur minimum pour établir des régions déplétées en
nucléosomes.
Les complexes de remodelage de la chromatine lient des séquences d'ADN au promoteur minimum pour établir des régions déplétées en nucléosomes.
Les gènes codant pour les histones canoniques sont très fortement
transcrits pendant la phase S du cycle cellulaire.
Les gènes codant pour les histones canoniques sont très fortement transcrits pendant la phase S du cycle cellulaire.
Les marques d'histones agissent en recrutant des protéines
reconnaissant spécifiquement une histone modifiée.
Les marques d'histones agissent en recrutant des protéines reconnaissant spécifiquement une histone modifiée.
Les cofacteurs transcriptionnels (Co-activateurs ou co-répresseurs)
régulent la compaction de la chromatine.
Les cofacteurs transcriptionnels (Co-activateurs ou co-répresseurs) régulent la compaction de la chromatine.
Les complexes co-activateurs sont recrutés sur les enhancers par des
facteurs de transcription et agissent sur les promoteurs.
Les complexes co-activateurs sont recrutés sur les enhancers par des facteurs de transcription et agissent sur les promoteurs.
Les facteurs de transcription se lient à l'ADN en interagissant avec le
squelette désoxyribose phosphate, indépendamment de la séquence
d'ADN.
Les facteurs de transcription se lient à l'ADN en interagissant avec le squelette désoxyribose phosphate, indépendamment de la séquence d'ADN.
Les répresseurs transcriptionnels induisent la formation d'une région
déplétée en nucléosomes en amont du site d'initiation de la transcription
(TSS).
Les répresseurs transcriptionnels induisent la formation d'une région déplétée en nucléosomes en amont du site d'initiation de la transcription (TSS).
Un épissage incomplet (rétention d'un intron dans l'ARNm) est détecté par
un système de contrôle de qualité induisant la dégradation de cet ARNm.
Un épissage incomplet (rétention d'un intron dans l'ARNm) est détecté par un système de contrôle de qualité induisant la dégradation de cet ARNm.
La régulation de l’expression des gènes fait appel à des complexes
protéiques permettant de modifier le degré de compaction de la chromatine.
La régulation de l’expression des gènes fait appel à des complexes protéiques permettant de modifier le degré de compaction de la chromatine.
Les protéines histones sont liées à l’ADN par des liaisons covalentes.
Les protéines histones sont liées à l’ADN par des liaisons covalentes.
Les complexes de modifications post-traductionnelles d’histones permettent
également la méthylation de l’ADN.
Les complexes de modifications post-traductionnelles d’histones permettent également la méthylation de l’ADN.
Une forte compaction de la chromatine stabilise le complexe de pré-initiation
sur le promoteur minimum.
Une forte compaction de la chromatine stabilise le complexe de pré-initiation sur le promoteur minimum.
Les domaines « histone fold » (repliements d'histones) permettent des
interactions spécifiques entre histones H2A et H3, d'une part, H2B et H4,
d'autre part.
Les domaines « histone fold » (repliements d'histones) permettent des interactions spécifiques entre histones H2A et H3, d'une part, H2B et H4, d'autre part.
Les queues N-terminales des histones sont situées à l'extérieur des
nucléosomes et peuvent porter de nombreuses modifications posttraductionnelles.
Les queues N-terminales des histones sont situées à l'extérieur des nucléosomes et peuvent porter de nombreuses modifications posttraductionnelles.
Les complexes de remodelage de la chromatine permettent de mettre en
place une région déplétée en nucléosomes en amont du site d'initiation de la
transcription.
Les complexes de remodelage de la chromatine permettent de mettre en place une région déplétée en nucléosomes en amont du site d'initiation de la transcription.
Le complexe co-activateur Médiateur favorise la formation d'une boucle de
chromatine mettant à proximité enhancer et promoteur minimum.
Le complexe co-activateur Médiateur favorise la formation d'une boucle de chromatine mettant à proximité enhancer et promoteur minimum.
L’euchromatine contient des régions génomiques où la chromatine est
fortement condensée et où l’expression des gènes est réprimée.
L’euchromatine contient des régions génomiques où la chromatine est fortement condensée et où l’expression des gènes est réprimée.
Un nucléosome est constitué de huit protéines histones et de 147 paires de
bases d’ADN double brin.
Un nucléosome est constitué de huit protéines histones et de 147 paires de bases d’ADN double brin.
Des complexes de remodelage de la chromatine permettent de déplacer ou de
dissocier un nucléosome de la séquence d’ADN.
Des complexes de remodelage de la chromatine permettent de déplacer ou de dissocier un nucléosome de la séquence d’ADN.
Les queues N-terminales des histones permettent l’assemblage de l’octamère
d’histones.
Les queues N-terminales des histones permettent l’assemblage de l’octamère d’histones.