Troubles du Métabolisme - Traitement du Diabète

L'activité physique réduit l'inflammation sur le long terme en diminuant les niveaux de cytokines pro-inflammatoires (IL-10, IL-6, TNF alpha).

L'entraînement aérobie et anaérobie améliorent le système vasculaire en augmentant la vasomotricité, les fonctions vasculaires, la capillarisation et l'angiogenèse, conduisant à une meilleure disponibilité d'insuline et de glucose pour les tissus.

L'entraînement physique réduit le tissu adipeux viscéral, augmente les transporteurs de glucose GLUT 4 membranaires, augmente la proportion de fibres musculaires de type I et IIa, et améliore la densité mitochondriale, augmentant ainsi la capacité du corps à utiliser le glucose.

L'entraînement physique améliore la sensibilité à l'insuline et la capacité du corps à utiliser le glucose, ce qui conduit à une meilleure régulation de la glycémie et à une réduction de la variabilité glycémique et de l'HbA1c.

L'entraînement en résistance, comme l'entraînement aérobie, améliore la sensibilité à l'insuline et l'utilisation du glucose, tout en favorisant l'hypertrophie musculaire.

Des médicaments utilisés pour traiter le diabète de type 2, qui aident à contrôler le taux de sucre dans le sang.

L'insuline est injectée directement dans le tissu adipeux, généralement par un petit pincement pour faciliter l'absorption.

Une hormone qui régule le taux de sucre dans le sang. Elle permet au glucose de pénétrer dans les cellules pour être utilisé comme énergie.

L'objectif est de maintenir un taux de sucre dans le sang stable et d'éviter les complications liées au diabète.

Un appareil qui contrôle et ajuste automatiquement le dosage de l'insuline en fonction des besoins du patient, mimant ainsi le fonctionnement du pancréas.

Un type d'insuline qui agit rapidement, avec un pic d'effet 30 minutes à 3 heures après l'injection. Son durée d'action est de 8 heures.

Un type d'insuline qui agit lentement, avec un effet progressif qui dure jusqu'à 24 heures. Elle est utilisée pour réguler le taux de sucre entre les repas.

L'auto-surveillance glycémique permet de mesurer régulièrement le taux de sucre dans le sang, ce qui permet de suivre l'efficacité du traitement et d'ajuster les doses.

Un capteur de glucose continu qui mesure la glycémie toutes les minutes, fournissant des informations historiques sur 8 heures et un historique complet de 90 jours.

Présence de glucose dans les urines, indiquant un taux de glycémie supérieur au seuil d'excrétion urinaire (9.9mmol/L).

Concentration excessive de corps cétoniques dans le sang, provoquée par une mobilisation excessive des acides gras, pouvant entraîner une acidification du sang, appelée acidose.

Un test sanguin qui mesure la glycémie moyenne sur les 2-3 derniers mois, reflétant le contrôle à long terme du diabète.

Le processus par lequel l'insuline se lie à son récepteur cellulaire, déclenchant une cascade de réactions qui permettent l'absorption du glucose par la cellule.

La libération de calcium du réticulum sarcoplasmique, qui se lie à la troponine/tropomyosine, déclenchant la contraction musculaire.

Une voie métabolique activée par une augmentation du ratio AMP/ATP pendant l'exercice physique, qui stimule la translocation des transporteurs de glucose (GLUT4) à la membrane cellulaire, augmentant l'absorption du glucose.

Une voie activée par la libération de calcium pendant l'exercice physique, qui aboutit à l'activation de l'AMPK et stimule l'absorption du glucose.

Le processus par lequel l'insuline et l'activité physique convergent pour stimuler l'absorption du glucose par les cellules.

L'activité physique permet de réguler la glycémie en augmentant l'absorption du glucose par les muscles.